Psychologists: Questioning 9/11 Is the Sane Thing To Do
The 9/11 Commissioners and Other Officials Don’t Believe the Government
The 9/11 Commissioners and congressional investigators into 9/11 themselves don’t believe the government’s description of events.
Much of the world doesn’t believe the official story.
Mental Health Professionals Say that Questioning 9/11 Is the Sane Thing To Do
Many mental health professionals have concluded that the official version of 9/11 is false, and that those who believe the official version suffer from defense mechanisms. For example:- Associate Professor Emeritus of Psychiatry, Harvard Medical School, Lester Grinspoon, MD
- Associate Clinical Professor of Psychiatry and Behavioral Sciences, Duke University Medical Center, as well as Radiology, at Duke University Medical Center D. Lawrence Burk, Jr., MD
- Board of Governors Distinguished Service Professor of Psychology and Associate Dean of the Graduate School at Ruters University Barry R. Komisaruk
- Distinguished Professor in the Department of Mental Health Law and Policy, Professor of Medicine in the Department of Internal Medicine and Distinguished Professor of Global Health in the College of Public Health, University of South Florida, Michael D. Knox
- Professor Emeritus, Psychology and Neuroscience, Beckman Institute, University of Illinois at Urbana-Champaign Michael Gabriel
- Professor of Psychology at University of New Hampshire William Woodward
- Professor of Psychology at University of Essex Philip Cozzolino
- Professor of Psychology at Goddard College Catherine Lowther
- Professor Emeritus of Psychology at California Institute of Integral Studies Ralph Metzner
- Professor of Psychology at Rhodes University Mike Earl-Taylor
- Retired Professor of Psychology at Oxford University Graham Harris
- Retired Psychiatrist. Former Assistant Professor of Psychiatry, Jefferson Medical College. Former Major, U.S. Army Medical Corps, Vietnam Veteran 7 years service, Jon Bjornson, MD
- Ph.D. in Clinical Psychology from the University of Nebraska and licensed Psychologist Ronald Feintech
- PhD in clinical psychology from Texas Tech Michael Green
- PhD in educational psychology Brent Igo
- PhD psychologist Paul Johansson
- PhD psychologist Gail Maudal
- Ph.D. Clinical Neuropsychologist Richard Welser
- Psychiatrist Carol S. Wolman, MD
- Psychiatrist E. Martin Schotz
And watch this must-see 15-minute interview with psychologists:
11 septembre : Pourquoi refusez-vous de voir la vérité? "Psychologists Speak Out" : Pourquoi est-il si difficile pour les gens de s'ouvrir à la vérité sur le 11 Septembre? Grâce à leur expertise psychologique et leur expérience avec des victimes de traumatismes, ces psychologues professionnels nous aident à mieux comprendre.
Israël et le 11 septembre : les faits démentent Caroline Fourest
Nouvelles études : les « théoriciens de la conspiration » sont sains ; les dupes du gouvernement sont fous, hostiles.
De
récentes études effectuées par des psychologues et des experts en
sciences sociales aux USA et en Grande-Bretagne suggèrent que,
contrairement aux stéréotypes des médias officiels, ceux qui sont
appelés « théoriciens de la conspiration » semblent plus sains que ceux
qui acceptent les versions officielles d'évènements contestés.
L'étude la plus récente a été publiée le 8 juillet par les psychologues Michael J. Wood et Karen M. Douglas, de l'université de Kent (GB). Intitulée « Qu'en est-il du bâtiment sept? Une étude psycho-sociale de discussions en ligne sur les théories du 11 septembre », l'étude compare les commentaires des « conspirationnistes » (théorie pro-conspiration) et des « conventionnels » (anti-conspiration) sur des sites web d'information.
Les auteurs furent surpris de découvrir qu'il est maintenant plus conventionnel de laisser des commentaires dits « conspirationnistes » que des commentaires conventionnels : « Sur les 2.174 commentaires recueillis, 1.459 furent codés comme conspirationnistes et 715 comme conventionnels ». En d'autres termes, parmi les gens qui commentent les articles d'information, ceux qui ne croient pas aux versions gouvernementales d'évènements tels que le 11 septembre et l'assassinat de John F. Kennedy sont plus nombreux que les croyants dans un rapport de deux à un. Ce qui signifie que ce sont les commentateurs pro-conspiration qui expriment ce qui représente désormais la sagesse conventionnelle, tandis que les commentateurs anti-conspiration sont devenus une petite minorité assiégée.
Peut-être du fait que leurs vues supposément officielles ne représentent plus la majorité, les commentateurs anti-conspiration affichent souvent de la colère et de l'hostilité : « La recherche [...] a montré que les gens favorisant le récit officiel du 11 septembre étaient généralement plus hostiles quand ils tentaient de persuader leurs rivaux ».
De plus, il se révéla que les « anti-conspiration » n'étaient pas seulement hostiles mais fanatiquement attachés eux aussi à leurs propres théories de la conspiration. Selon eux, leur propre théorie du 11 septembre -- une théorie de la conspiration affirmant que 19 Arabes, aucun d'entre eux n'ayant la moindre compétence pour piloter un avion, furent les auteurs du crime du siècle sous la direction d'un type sous dialyse se trouvant dans une grotte en Afghanistan -- est indiscutablement vraie. Les prétendus conspirationnistes, d'un autre côté, ne prétendent pas posséder une théorie expliquant entièrement les évènements du 11 septembre : « Pour les gens qui pensent que le 11 septembre était une conspiration gouvernementale, le but n'est pas de promouvoir une théorie spécifique rivale mais de tenter de démythifier le récit officiel ».
En bref, la nouvelle étude de Wood et Douglas suggère que le stéréotype négatif attaché au conspirationniste -- un fanatique hostile empêtré dans la vérité de sa propre théorie marginale -- décrit précisément les gens qui défendent le récit officiel du 11 septembre et non pas ceux qui remettent celui-ci en cause.
L'étude a de plus découvert que les prétendus conspirationnistes discutent du contexte historique (en voyant par exemple l'assassinat de John F. Kennedy comme un précédent du 11 septembre) bien plus que les anti-conspirationnistes. Elle a également découvert que les prétendus conspirationnistes n'apprécient pas d'être étiquetés « conspirationnistes » ou « théoriciens de la conspiration ».
Ces deux découvertes sont développées dans le nouveau livre Conspiracy Theory in America, du spécialiste en sciences politiques Lance deHaven-Smith, publié au début de cette année par University of Texas Press. Le professeur deHaven-Smith explique pourquoi les gens n'aiment pas être appelés « théoriciens de la conspiration » : ce terme fut inventé et largement mis en circulation par la CIA afin de diffamer et de salir les gens qui se posaient des questions sur l'assassinat de Kennedy! « La campagne de la CIA pour populariser le terme "théorie de la conspiration'' et de faire de la croyance en une conspiration une cible de ridicule et d'hostilité doit malheureusement être considérée comme l'une des initiatives propagandistes les plus réussies de tous les temps ».
[NDT : La CIA est la continuation de l'ancien OSS (Office of Strategic Services : Bureau des Services Stratégiques), formé durant la Seconde Guerre Mondiale afin de coordonner les activités secrètes d'espionnage contre les puissances de l'Axe pour les diverses branches des Forces Armées des États-Unis. Autrement dit, la CIA est une organisation occulte JUIVE destinée à récolter toute information sur les Blancs, à les asservir encore plus et finalement à les détruire!]
En d'autres termes, les gens utilisant les expressions « théorie de la conspiration » et « théoricien de la conspiration » comme une insulte sont eux-mêmes le résultat d'une conspiration bien documentée, indiscutée et historiquement réelle de la CIA pour masquer l'assassinat de John F. Kennedy. Cette campagne, il faut d'ailleurs le noter, était complètement illégale, et les officiers de la CIA impliqués étaient des criminels ; la CIA n'a pas le droit de s'occuper d'activités domestiques, et pourtant elle viole systématiquement la loi afin de conduire des opérations domestiques, allant de la simple propagande à des assassinats.
DeHaven-Smith explique également pourquoi ceux qui doutent des explications officielles sur les crimes importants sont avides de discuter du contexte historique. Il souligne qu'un très grand nombre d'affirmations de conspiration se sont révélées vraies et qu'il semble exister de fortes relations entre de nombreux « crimes d'état contre la démocratie » encore irrésolus. Un exemple évident est le lien entre les assassinats de John F. Kennedy et de son frère Robert, ces deux assassinats ayant ouvert la voie à des présidences favorables à la continuation de la Guerre du Vietnam. Selon deHaven-Smith, nous devrions toujours discuter des « assassinats des Kennedy » au pluriel, car les deux assassinats semblent constituer des aspects d'un même crime plus global.
La psychologue Laurie Manwell, de l'Université de Guelph, agrée sur le fait que l'étiquette « théorie de la conspiration », inventée par la CIA, entrave la fonction cognitive. Elle souligne, dans un article publié dans American Behavioral Scientist (2010), le fait que les « anti-conspiration » sont incapables de penser clairement sur des crimes d'état contre la démocratie, comme le 11 septembre par exemple, à cause de leur incapacité à traiter une information entrant en conflit avec leurs croyances pré-établies.
Dans le même numéro d'ABS, le professeur Steven Hoffman, de l'Université de Buffalo, ajoute que les « anti-conspiration » sont systématiquement la proie de forts « biais de confirmation » -- ce qui signifie qu'ils recherchent des informations confirmant leurs croyances pré-établies tout en utilisant des mécanismes irrationnels (tels que l'étiquette « théorie de la conspiration ») afin d'éviter des informations conflictuelles.
L'extrême irrationalité de ceux qui attaquent les « théories de la conspiration » a été exposée avec compétence par les professeurs en communication Ginna Husting et Martin Orr, de l'Université de l'État de Boise. Dans un article de 2007, évalué par des pairs et intitulé « Outils dangereux : "Théoricien de la Conspiration'' utilisé comme stratégie trans-personnelle d'exclusion », ils écrivent :
Il n'est dès lors pas étonnant que les gens opposés à toute idée de conspiration ressemblent de plus en plus à une poignée d'hurluberlus hostiles et paranoïaques.
L'étude la plus récente a été publiée le 8 juillet par les psychologues Michael J. Wood et Karen M. Douglas, de l'université de Kent (GB). Intitulée « Qu'en est-il du bâtiment sept? Une étude psycho-sociale de discussions en ligne sur les théories du 11 septembre », l'étude compare les commentaires des « conspirationnistes » (théorie pro-conspiration) et des « conventionnels » (anti-conspiration) sur des sites web d'information.
Les auteurs furent surpris de découvrir qu'il est maintenant plus conventionnel de laisser des commentaires dits « conspirationnistes » que des commentaires conventionnels : « Sur les 2.174 commentaires recueillis, 1.459 furent codés comme conspirationnistes et 715 comme conventionnels ». En d'autres termes, parmi les gens qui commentent les articles d'information, ceux qui ne croient pas aux versions gouvernementales d'évènements tels que le 11 septembre et l'assassinat de John F. Kennedy sont plus nombreux que les croyants dans un rapport de deux à un. Ce qui signifie que ce sont les commentateurs pro-conspiration qui expriment ce qui représente désormais la sagesse conventionnelle, tandis que les commentateurs anti-conspiration sont devenus une petite minorité assiégée.
Peut-être du fait que leurs vues supposément officielles ne représentent plus la majorité, les commentateurs anti-conspiration affichent souvent de la colère et de l'hostilité : « La recherche [...] a montré que les gens favorisant le récit officiel du 11 septembre étaient généralement plus hostiles quand ils tentaient de persuader leurs rivaux ».
De plus, il se révéla que les « anti-conspiration » n'étaient pas seulement hostiles mais fanatiquement attachés eux aussi à leurs propres théories de la conspiration. Selon eux, leur propre théorie du 11 septembre -- une théorie de la conspiration affirmant que 19 Arabes, aucun d'entre eux n'ayant la moindre compétence pour piloter un avion, furent les auteurs du crime du siècle sous la direction d'un type sous dialyse se trouvant dans une grotte en Afghanistan -- est indiscutablement vraie. Les prétendus conspirationnistes, d'un autre côté, ne prétendent pas posséder une théorie expliquant entièrement les évènements du 11 septembre : « Pour les gens qui pensent que le 11 septembre était une conspiration gouvernementale, le but n'est pas de promouvoir une théorie spécifique rivale mais de tenter de démythifier le récit officiel ».
En bref, la nouvelle étude de Wood et Douglas suggère que le stéréotype négatif attaché au conspirationniste -- un fanatique hostile empêtré dans la vérité de sa propre théorie marginale -- décrit précisément les gens qui défendent le récit officiel du 11 septembre et non pas ceux qui remettent celui-ci en cause.
L'étude a de plus découvert que les prétendus conspirationnistes discutent du contexte historique (en voyant par exemple l'assassinat de John F. Kennedy comme un précédent du 11 septembre) bien plus que les anti-conspirationnistes. Elle a également découvert que les prétendus conspirationnistes n'apprécient pas d'être étiquetés « conspirationnistes » ou « théoriciens de la conspiration ».
Ces deux découvertes sont développées dans le nouveau livre Conspiracy Theory in America, du spécialiste en sciences politiques Lance deHaven-Smith, publié au début de cette année par University of Texas Press. Le professeur deHaven-Smith explique pourquoi les gens n'aiment pas être appelés « théoriciens de la conspiration » : ce terme fut inventé et largement mis en circulation par la CIA afin de diffamer et de salir les gens qui se posaient des questions sur l'assassinat de Kennedy! « La campagne de la CIA pour populariser le terme "théorie de la conspiration'' et de faire de la croyance en une conspiration une cible de ridicule et d'hostilité doit malheureusement être considérée comme l'une des initiatives propagandistes les plus réussies de tous les temps ».
[NDT : La CIA est la continuation de l'ancien OSS (Office of Strategic Services : Bureau des Services Stratégiques), formé durant la Seconde Guerre Mondiale afin de coordonner les activités secrètes d'espionnage contre les puissances de l'Axe pour les diverses branches des Forces Armées des États-Unis. Autrement dit, la CIA est une organisation occulte JUIVE destinée à récolter toute information sur les Blancs, à les asservir encore plus et finalement à les détruire!]
En d'autres termes, les gens utilisant les expressions « théorie de la conspiration » et « théoricien de la conspiration » comme une insulte sont eux-mêmes le résultat d'une conspiration bien documentée, indiscutée et historiquement réelle de la CIA pour masquer l'assassinat de John F. Kennedy. Cette campagne, il faut d'ailleurs le noter, était complètement illégale, et les officiers de la CIA impliqués étaient des criminels ; la CIA n'a pas le droit de s'occuper d'activités domestiques, et pourtant elle viole systématiquement la loi afin de conduire des opérations domestiques, allant de la simple propagande à des assassinats.
DeHaven-Smith explique également pourquoi ceux qui doutent des explications officielles sur les crimes importants sont avides de discuter du contexte historique. Il souligne qu'un très grand nombre d'affirmations de conspiration se sont révélées vraies et qu'il semble exister de fortes relations entre de nombreux « crimes d'état contre la démocratie » encore irrésolus. Un exemple évident est le lien entre les assassinats de John F. Kennedy et de son frère Robert, ces deux assassinats ayant ouvert la voie à des présidences favorables à la continuation de la Guerre du Vietnam. Selon deHaven-Smith, nous devrions toujours discuter des « assassinats des Kennedy » au pluriel, car les deux assassinats semblent constituer des aspects d'un même crime plus global.
La psychologue Laurie Manwell, de l'Université de Guelph, agrée sur le fait que l'étiquette « théorie de la conspiration », inventée par la CIA, entrave la fonction cognitive. Elle souligne, dans un article publié dans American Behavioral Scientist (2010), le fait que les « anti-conspiration » sont incapables de penser clairement sur des crimes d'état contre la démocratie, comme le 11 septembre par exemple, à cause de leur incapacité à traiter une information entrant en conflit avec leurs croyances pré-établies.
Dans le même numéro d'ABS, le professeur Steven Hoffman, de l'Université de Buffalo, ajoute que les « anti-conspiration » sont systématiquement la proie de forts « biais de confirmation » -- ce qui signifie qu'ils recherchent des informations confirmant leurs croyances pré-établies tout en utilisant des mécanismes irrationnels (tels que l'étiquette « théorie de la conspiration ») afin d'éviter des informations conflictuelles.
L'extrême irrationalité de ceux qui attaquent les « théories de la conspiration » a été exposée avec compétence par les professeurs en communication Ginna Husting et Martin Orr, de l'Université de l'État de Boise. Dans un article de 2007, évalué par des pairs et intitulé « Outils dangereux : "Théoricien de la Conspiration'' utilisé comme stratégie trans-personnelle d'exclusion », ils écrivent :
« Si je vous appelle "théoricien de la conspiration'', il importe peu que vous ayez réellement affirmé qu'une conspiration existe ou que vous ayez simplement soulevé un problème que je préfèrerais éviter ... En vous étiquetant, je vous exclus stratégiquement de la sphère dans laquelle le discours public, le débat et les conflits peuvent exister ».Mais maintenant, grâce à l'internet, les gens qui doutent des histoires officielles ne sont plus exclus de la conversation publique ; cette campagne de la CIA, vieille de 44 ans, visant à tuer dans l'œuf tout débat en utilisant la diffamation « théorie de la conspiration », est pratiquement usée. Dans les études académiques comme dans les commentaires des articles d'information, les voix des pro-conspiration sont aujourd'hui plus nombreuses -- et plus rationnelles -- que celles des anti-conspiration.
Il n'est dès lors pas étonnant que les gens opposés à toute idée de conspiration ressemblent de plus en plus à une poignée d'hurluberlus hostiles et paranoïaques.
PressTV - New studies: ?Conspiracy theorists? sane; government dupes crazy, hostile