Ha! Et mes détracteurs disaient que j'allais
m'enrober du drapeau des États-Unis.
Selon Stephen Harper
L'Iran est «la plus grave menace» pour la paix dans le monde
Agence France-Presse
14/10/2011 13h58
OTTAWA - L'Iran représente «la plus grave menace» pour la paix et la sécurité dans le monde, a déclaré vendredi le premier ministre canadien Stephen Harper après la dénonciation par Washington d'un complot iranien présumé visant à assassiner l'ambassadeur saoudien aux États-Unis.(...)
Politique
Le Canada réfléchit à la manière de punir l'Iran
Agence QMI
Mark Dunn
14/10/2011 19h17
OTTAWA – Le premier ministre Stephen Harper a joint sa voix aux autres dirigeants du monde, qui ont condamné le prétendu complot de l’Iran visant à assassiner l’ambassadeur saoudien aux États-Unis.
M. Harper n’a toutefois pas été en mesure de dire quels gestes allaient poser le Canada pour punir Téhéran. Il s’est contenté de dire qu’Ottawa envisage ses options, au moment où le président américain Barak Obama rassemble des soutiens internationaux pour isoler davantage l’Iran.
« Comme vous le savez, nous avons déjà une gamme de sanctions contre le gouvernement d'Iran. Évidemment, en raison des révélations de cette semaine, nous allons travailler étroitement avec nos alliés afin de coordonner les prochaines étapes », a dit M. Harper.(...)
M. Harper n’a toutefois pas été en mesure de dire quels gestes allaient poser le Canada pour punir Téhéran. Il s’est contenté de dire qu’Ottawa envisage ses options, au moment où le président américain Barak Obama rassemble des soutiens internationaux pour isoler davantage l’Iran.
« Comme vous le savez, nous avons déjà une gamme de sanctions contre le gouvernement d'Iran. Évidemment, en raison des révélations de cette semaine, nous allons travailler étroitement avec nos alliés afin de coordonner les prochaines étapes », a dit M. Harper.(...)
Un ex-agent de la CIA accuse l’Arabie saoudite et Israël d’être derrière l’attentat déjoué des Iraniens
par Hicham Hamza - vendredi 14 octobre 2011
Roulement de tambour. Alors que la menace nucléaire iranienne refait parler d’elle, Téhéran est aussi dans le collimateur pour avoir tenté, selon l’Administration Obama, d’assassiner un diplomate saoudien aux États-Unis. Problème : des voix inattendues s’élèvent pour dénoncer une supercherie justifiant une attaque militaire contre l’Iran.
Mais quelle mouche a piqué FOX ? Réputée pour son patriotisme réactionnaire, la chaîne américaine a pourtant diffusé hier soir une interview digne d’une web-tv crypto-gauchiste. Un ancien juge fédéral reconverti dans le talk-show, Andrew Napolitano, s’est entretenu avec Michael Scheuer, l’homme jadis responsable-au sein de la CIA- de l’unité chargée de traquer Oussama Ben Laden.
Interrogé à propos du complot iranien présumé qui visait l’assassinat d’un ambassadeur saoudien sur le sol américain, Michael Scheuer évoque (à 1’55 de la vidéo ci-dessous) une hypothèse décapante :
« Les seuls gens qui pourraient bénéficier de cela seraient les Israéliens et les Saoudiens. Si j’étais à la recherche d’une opération de contre-espionnage pour cerner l’origine de cette information, je serais très tenté de vérifier la piste d’un instigateur israélien ou saoudien. Car, sur le long terme, Israël et l’Arabie saoudite sont deux ennemis bien plus dangereux pour les Etats-Unis que l’Iran. Celui-ci est un pays de troisième rang sur le plan militaire que nous pourrions facilement gérer.
Le Congrès est emballé à l’idée de faire la guerre à l’Iran. Écoutez les sénateurs Graham, McCain et Joe Liberman : ils sont dans les mains des Israéliens. Les Saoudiens sont très influents. Quand vous observez ce genre de choses, vous devez vous poser la question : qui profiterait de cette guerre ? Israéliens et Saoudiens adoreraient voir notre argent et nos jeunes gens être tués pour combattre leur ennemi en Iran ».
Déjà sceptique lui-même quant à l’allégation d’un attentat conçu par Téhéran, l’animateur va encore plus loin : « Vous vous êtes engagé dans le contre-terrorisme l’essentiel de votre vie. Dites-moi, Michael, pourrait-il s’agir là d’un cas dans lequel le gouvernement américain aurait été mené en bateau par des entités étrangères (...), quelqu’un qui voulait fomenter de l’animosité entre l’Iran et les États-Unis ? ».
Réponse de l’initié du renseignement : « Je ne pense pas que cela soit impossible. Bien sûr, je n’ai pas d’information en ce sens mais quand vous tirez les conclusions -à qui bénéficie une action militaire contre l’Iran, il s’agit seulement des Israéliens et des Saoudiens. Et il y a un précédent pour cela. Nous avons déjà mené deux guerres contre l’Irak en faveur des intérêts israéliens et saoudiens. Nous sommes toujours poussés à faire tuer nos concitoyens pour leurs intérêts. Cela peut se reproduire. »
Michael Scheuer n’a pas exactement le profil d’un antisioniste primaire. Employé dans la CIA de 1982 à 2004, il fut notamment chargé de la « station Alec » de 1996 à 1999 –celle destinée notamment à la collecte d’informations sensibles sur al-Qaida. Par la suite, les attentats du 11-Septembre ont conduit à sa réinstallation dans l’unité en tant que conseiller du nouveau responsable. Après sa démission en 2004, il deviendra professeur à l’Université Georgetown mais se verra progressivement écarté ailleurs de certaines positions honorifiques en raison de sa critique de l’expansionnisme militaire ou du soutien systématique à l’État hébreu-tous deux jugés contraires à l’intérêt du peuple américain.
HARPER LA MARIONNETTE DE WASHINGTON
(...) Mais voilà qu’un ex agent de la CIA , Michael Scheuer, l’homme jadis responsable-au sein de la CIA- de l’unité chargée de traquer Oussama Ben Laden, se permet de douter d’une pareille supposition et croit plutôt que cette mise en scène serait l’œuvre d’Israël ou de l’Arabie saoudite.
« Les seuls gens qui pourraient bénéficier de cela seraient les Israéliens et les Saoudiens. Si j’étais à la recherche d’une opération de contre-espionnage pour cerner l’origine de cette information, je serais très tenté de vérifier la piste d’un instigateur israélien ou saoudien. Car, sur le long terme, Israël et l’Arabie saoudite sont deux ennemis bien plus dangereux pour les Etats-Unis que l’Iran. Celui-ci est un pays de troisième rang sur le plan militaire que nous pourrions facilement gérer.
Le Congrès est emballé à l’idée de faire la guerre à l’Iran. Écoutez les sénateurs Graham, McCain et Joe Liberman : ils sont dans les mains des Israéliens. Les Saoudiens sont très influents. Quand vous observez ce genre de choses, vous devez vous poser la question : qui profiterait de cette guerre ? Israéliens et Saoudiens adoreraient voir notre argent et nos jeunes gens être tués pour combattre leur ennemi en Iran ».
Qu’en pense nos services secrets canadiens ? Peuvent-ils apporter des réponses qui vont au delà des suppositions ? Ce n’est tout de même pas rien. Il s’agit de la mise en marche d’une autre guerre aux milliers de morts et aux milliards de dollars investis dans les armements. Est-ce vraiment ce que veut le Peuple canadien ? M. Harper, demandez le donc au Peuple canadien si c’est ce qu’il veut vraiment. Un référendum coute moins cher et n’occasionne aucune mort. Trop de guerres en ce début du XXIe siècle ont été déclarées sur la base de mensonges et de demi-vérités. Plus d’un million de personnes, comme vous et moi, ont été tuées. Pour QUI et pour QUOI ?
Imaginons un instant une guerre de grande envergure déclenchée sur la base d’une tentative d’assassinat d’un ambassadeur saoudien en sol américain. Allons donc, il n’y a pas là motif pour déclarer une guerre et encore moins lorsque les auteurs intellectuels de l’opération ne sont pas clairement reconnus. De plus, en quoi la sécurité du Canada est-elle compromise ?
« Les seuls gens qui pourraient bénéficier de cela seraient les Israéliens et les Saoudiens. Si j’étais à la recherche d’une opération de contre-espionnage pour cerner l’origine de cette information, je serais très tenté de vérifier la piste d’un instigateur israélien ou saoudien. Car, sur le long terme, Israël et l’Arabie saoudite sont deux ennemis bien plus dangereux pour les Etats-Unis que l’Iran. Celui-ci est un pays de troisième rang sur le plan militaire que nous pourrions facilement gérer.
Le Congrès est emballé à l’idée de faire la guerre à l’Iran. Écoutez les sénateurs Graham, McCain et Joe Liberman : ils sont dans les mains des Israéliens. Les Saoudiens sont très influents. Quand vous observez ce genre de choses, vous devez vous poser la question : qui profiterait de cette guerre ? Israéliens et Saoudiens adoreraient voir notre argent et nos jeunes gens être tués pour combattre leur ennemi en Iran ».
Qu’en pense nos services secrets canadiens ? Peuvent-ils apporter des réponses qui vont au delà des suppositions ? Ce n’est tout de même pas rien. Il s’agit de la mise en marche d’une autre guerre aux milliers de morts et aux milliards de dollars investis dans les armements. Est-ce vraiment ce que veut le Peuple canadien ? M. Harper, demandez le donc au Peuple canadien si c’est ce qu’il veut vraiment. Un référendum coute moins cher et n’occasionne aucune mort. Trop de guerres en ce début du XXIe siècle ont été déclarées sur la base de mensonges et de demi-vérités. Plus d’un million de personnes, comme vous et moi, ont été tuées. Pour QUI et pour QUOI ?
Imaginons un instant une guerre de grande envergure déclenchée sur la base d’une tentative d’assassinat d’un ambassadeur saoudien en sol américain. Allons donc, il n’y a pas là motif pour déclarer une guerre et encore moins lorsque les auteurs intellectuels de l’opération ne sont pas clairement reconnus. De plus, en quoi la sécurité du Canada est-elle compromise ?
"Les lobbys sionistes sont derrière les prétentions anti-iraniennes"
VIDEO - Chavez réaffirme son soutien à Assad et à Kadhafi !
VIDEO - Iran - Les battements de tambours US sont de plus en plus assourdissants
(@2:30: segment sur le mouvement juif néoconservateur)
(@2:30: segment sur le mouvement juif néoconservateur)
VIDEO - Iran - La Paix illégale
VIDEO - Iran - L'occident chutera-t-il par la guerre pour masquer la chute financière ?
Iran's UN envoy Mohammad Khazaei
Iran's representative at the United Nations says Canada is the main supplier of arms to Israel and is therefore an accomplice in all Israeli crimes committed in the occupied territories.
During the recent session of the General Assembly's Disarmament and International Security Committee in New York, the Iranian delegation issued a statement condemning Canada's silence towards Israel's nuclear weapons program which poses great threat to global security and is not under international inspection.
Regarding Canada's claim that 20-percent uranium enrichment by Iran is illegal, the statement added, “This measure is completely legal and its aim is to provide fuel for the Tehran reactor which produces medical isotopes used to treat more than one million cancer patients.”
“[Nuclear] activities in Natanz and Qom [facilities] have never been clandestine as they were built according to International Atomic Energy Agency's regulations… and the agency was informed beforehand and these facilities are currently under the permanent supervision of the Agency,” the statement said.
The statement added that Iran only started producing 20-percent enriched uranium after other countries refused to provide fuel for the Tehran reactor and the country was left with no option but to reach self-sufficiency in this regard.
During the recent session of the Disarmament and International Security Committee, the Canadian representative raised questions about Iran's uranium enrichment program alleging that enriching uranium to 20 percent by Iran was not meant for peaceful purposes.
The United States and its Western allies have been accusing Iran of developing a military nuclear program, an allegation categorically rejected by Tehran.
Numerous inspections by the IAEA have found no evidence suggesting that Iran's nuclear program is deviating towards military purposes.
Iran maintains that as a signatory to the Non-Proliferation Treaty it is fully entitled to the peaceful use of the nuclear technology to meet its growing energy demand and to treat cancer patients.
SS/HGH
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TEHRAN (FNA)- Tehran rejected the baseless claims raised by Canada about the nature of the Iranian nuclear program, and questioned Canada' honesty in its support for the Non-Proliferation Treaty, saying that Ottawa is an accomplice of Israel in its war crimes since it is a main arms supplier to Tel Aviv.
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In a statement issued by the Iranian delegation at the meeting of the UN General Assembly Committee for Disarmament and International Security in New York, the Iranian diplomats said the allegations raised by the Canadian envoy about the nature of Iran's peaceful nuclear program are "baseless" and contain deceiving information.
The Iranian delegation also lambasted Canada's silence on Israel's clandestine nuclear arms program, reminding that the Israeli program is "a serious threat to regional and international peace and security".
"Canada is a main supplier of arms to the Zionist regime and is, thus, Israel's accomplice in its crimes in the occupied Palestinian territories and should be accountable for this support," he noted.
Iran, as a signatory to the Non-Proliferation Treaty (NPT), has repeatedly called for the removal of all weapons of mass destruction from across the globe.
Washington and its Western allies accuse Iran of trying to develop nuclear weapons under the cover of a civilian nuclear program, while they have never presented any corroborative evidence to substantiate their allegations. Iran denies the charges and insists that its nuclear program is for peaceful purposes only.
Tehran stresses that the country has always pursued a civilian path to provide power to the growing number of Iranian population, whose fossil fuel would eventually run dry.
Despite the rules enshrined in the Non-Proliferation Treaty (NPT) entitling every member state, including Iran, to the right of uranium enrichment, Tehran is now under four rounds of UN Security Council sanctions for turning down West's calls to give up its right of uranium enrichment.
Tehran has dismissed West's demands as politically tainted and illogical, stressing that sanctions and pressures merely consolidate Iranians' national resolve to continue the path.
The “very scary” Iranian Terror plot
Iranian Muslims in the Quds Force sending marauding bands of Mexican drug cartel assassins onto sacred American soil to commit Terrorism — against Saudi Arabia and possibly Israel — is what Bill Kristol [PNAC king] and John Bolton would feverishly dream up while dropping acid and madly cackling at the possibility that they could get someone to believe it.
Israel Readies for Iran Attack
Iranian Muslims in the Quds Force sending marauding bands of Mexican drug cartel assassins onto sacred American soil to commit Terrorism — against Saudi Arabia and possibly Israel — is what Bill Kristol [PNAC king] and John Bolton would feverishly dream up while dropping acid and madly cackling at the possibility that they could get someone to believe it.
Israel Readies for Iran Attack
By Keith Johnson – A Sept. 23 report by Newsweek journalist Eli Lake reveals that Barack Obama secretly approved the transfer of 55 high-tech bunkerbusting bombs to Israel during the early days of his administration. Although this disclosure should come as no surprise, it does demonstrate that tensions between Obama and the Israeli government are...
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Philip Giraldi (ex CIA analyst): Israelis are the only players with strong desire for war with Iran
Ex-CIA warns US ‘dangerously wrong’ on Iran
Is The Fraudulent And Laughable Iranian "Terrorist Plot" The Pretext For Giving Israel The Green Light To Strike Iran?
Bill Kristol [PNAC king]: ‘We need to hear’ that Obama has gone to war on Iran
Independent: Extreme supporters of Israel among beneficiaries of bizarre “Iran terror plot”
U.S. aims to “unite the world” against Iran
Oren: Israel is taking “Iran plot” seriously — But can we take the ambassador seriously?
Obama: No options off the table over Iran assassination plot
Zionists behind US anti-Iran claim
Iranian Terror Plot: Fake, Fake, Fake
A Plot Straight Out Of A Hollywood Thriller
“Iran Terror Plot” — Iraqi WMD Déjà Vu?
Is alleged Iranian plot a “provocation by an outside agency”? asks Guardian
Patrick Cockburn: This bizarre plot goes against all that is known of Iran’s intelligence service
Saudi Arabia refrains from fingering Iran in alleged assassination plot
The US continues to ratchet up pressure on Iran over an alleged assassination plot against the Saudi ambassador to the US. But Saudi Arabia Wednesday said it was working to determine who was responsible.
Was Mossad using Fox and Werritty as ‘useful idiots’?
Revealed: Fox's Best Man and his Ties to Iran's Opposition and Mossad
Ousted UK Defence Secretary’s Passionate Attachment: Travelling companion had ‘links to Mossad’
Gilad Atzmon sur Adam Werritty, taupe du Mossad à Londres
Iran: US plot allegations resemble Iraq WMD claims
PRESSTV Unfolding a plot: Mossad at work
The Mossad Merengue of the Dancing Disco Dead.
The Iranian plot has become an international joke, with Pakistani intelligence reporting that the Mossad gave the Texas car salesman his paperwork.
Pakistani Intelligence Official Says Mossad Gave Supposed Iranian Terrorist Arbabsiar Fake Papers
U.S. Hawks Behind Iraq War Rally for Strikes Against Iran
The Israeli-backed ‘Humanitarian War’ in Libya
Iran accuses U.S. of attempting to ruin Iran’s ties with Arab states
VIDEO - Ahmadinejad Rejects US ‘Murder Plot’ Claims
Former CIA Analyst: Best guess is that ‘cockamamie’ assassination plot is a Mossad false flag
Liam Fox, un ministre de la défense qui facilite la fuite de technologies au profit du Mossad
Israel’s Fifth Column Rallies for War with Iran The usual suspects are calling for the United States to retaliate against Iran for being framed in a ludicrous terror plot, i.e. getting in the way of Israeli hegemony:
Leading the charge is the Foreign Policy Initiative (FPI), the ideological successor to the Project for the New American Century (PNAC), which played a critical role in mobilizing support for “regime change” in Iraq in the late 1990s and subsequently spearheaded the public campaign to invade the country after the 9/11 attacks. The group sent reporters appeals by two of its leaders for military action on its letterhead Monday.
In a column headlined “Speak Softly … and Fight Back” in this week’s Weekly Standard, chief editor William Kristol, co-founder of both PNAC and FPI, said the alleged plot amounted to “an engraved invitation” by Tehran to use force against it.
Iran orders investigation into U.S. ‘crimes’ following call for tougher sanctions
A Saudi-Iranian cold war takes shape
Must Read–Former Mujahadeen Khalq Leader Confirms Alleged Iran Terror Plot Conspirator Affiliated with MEK
New virus threatens Iran’s nuclear program After the Stuxnet computer virus that wreaked havoc on Iran’s nuclear program, a new virus named ‘Duqu’ threatens similar consequences
Fox + Werritty + Mossad = ? (Adam Werritty attended Israeli secret service meeting)
Congressional Hearing on “Iranian Terror Operations on American Soil” Dominated by Pro-Israeli Think Tanks
Israeli Fingerprints All Over ‘Iranian’ Murder Plot
‘Progressive’ advocate for notorious Israeli spy urges U.S. to use fake ‘Iran terror’ plot to strengthen sanctions
U.S. Defense Dept. paid Israel lobby’s think tank director $77,883 for one-day conference on Iran
Pro-Israeli think-tanker calls for escalation of ‘war on terror’ against Iran over ‘sloppy’ terror op
Pro-Israeli hawk urges U.S. to ‘induce some healthy fear’ in Iran
Territory of Lies: CNN’s sympathetic Jonathan Pollard biographer concerned about Iranian spies
Israel lobby cutout advises U.S. to ‘induce Beijing to reassess its approach to Iran’
Israël étudie l'option d'un raid contre l'Iran
IDF ready to strike Iran Op-ed: Israel’s message to world – either you stop Iran’s nuclear program, or we will
Implication US dans le terrorisme : l’Iran menace de faire des révélations
VIDEO - RT- World War III Could Erupt - Russia Warns US of Israel Not To Attack Iran
Israël pointe ses missiles nucléaires sur la France
Israël pointe ses missiles nucléaires intercontinentaux Jericho 3 sur Paris et d’autres capitales européennes. Les sionistes baladent leurs sous marins « Made In Germany » à têtes nucléaires à proximité de Côte d’Azur.(Irib)
European Poll: Israel Biggest Threat To World Peace
Iran says united and ‘ready for war’ with Israel
Jewish Chronicle: "Possible Strike on Iran": US-UK-Israel Initiative. Top Level Defense Consultations between UK and Israel
80% of Israelis believe Iran strike will lead to war with Hamas, Hezbollah
Netanyahu veut organiser cette semaine une action militaire contre l’Iran
Perry would back Israel strike on Iran nuke sites
No-fly zone over Iraq set to expire, opening shortest route from Israel to Iran
Lest We Forget–ISRAEL, not Iran has been calling to “wipe Iran off the map” all along!
Russian FM warns against any military strike on Iran
AIPAC's "War With Iran" Bill Passes House Committee
Russia and China warn America against attacking Iran
Warmongering Jeffrey Goldberg calls on Obama to use missile strikes against Iran
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Top Iran official: Israel will pay for Gaza ‘crimes’ if it attacks nuclear program
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Selon ce journal, qui cite un «haut responsable à Jérusalem», le premier ministre veut éviter de donner l'impression qu'Israël souhaite entraîner les États-Unis contre leur volonté dans une guerre contre l'Iran».
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Israel's Mossad trained assassins of Iran nuclear scientists, report says U.S. officials confirm link between clandestine Israeli operations and People’s Mujahedin of Iran activists, according to NBC News report.
Israel teams with terror group to kill Iran’s nuclear scientists, U.S. officials admit
The Holocaust is a good reason, not a bad excuse, for attacking Iran
Contrairement à ce qu'a dit Obama (pour apaiser et conforter les sionistes), les USA ne sont PAS totalement avec Israel dans cette affaire:
"US Iran Policy in Lockstep With Israel"? (...) Didn’t the US just send Gen.Martin Dempsey, chairman of the US Military’s Joint Chiefs of Staff, to Israel to tell that country’s leaders that the US does not want Israel to attack Iran’s nuclear facilities. And wasn’t Israel also told that the US would not support it in any attack on Iran, at least if the US was not warned well in advance? Israel, of course, is continuing to threaten to attack Iran -- using the very planes and bombs that the US provides it with. So how exactly is opposing an attack by Israel and having Israel continuously threatening to attack in any way to be construed as working in “lockstep”? (...) The president’s position as stated yesterday is a hodgepodge of confusion and self-contradiction.
Rick Santorum: Obama helping Iran obtain nuclear weapons
AIPAC to Obama: Attack Iran or let Israel do it
US Implausibly Denies Role in Israeli Terror Squads
US admits Israel is arming and training terrorist groups to create terrorism
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Israel teams with terror group to kill Iran’s nuclear scientists, U.S. officials admit
The Holocaust is a good reason, not a bad excuse, for attacking Iran
Contrairement à ce qu'a dit Obama (pour apaiser et conforter les sionistes), les USA ne sont PAS totalement avec Israel dans cette affaire:
"US Iran Policy in Lockstep With Israel"? (...) Didn’t the US just send Gen.Martin Dempsey, chairman of the US Military’s Joint Chiefs of Staff, to Israel to tell that country’s leaders that the US does not want Israel to attack Iran’s nuclear facilities. And wasn’t Israel also told that the US would not support it in any attack on Iran, at least if the US was not warned well in advance? Israel, of course, is continuing to threaten to attack Iran -- using the very planes and bombs that the US provides it with. So how exactly is opposing an attack by Israel and having Israel continuously threatening to attack in any way to be construed as working in “lockstep”? (...) The president’s position as stated yesterday is a hodgepodge of confusion and self-contradiction.
Rick Santorum: Obama helping Iran obtain nuclear weapons
AIPAC to Obama: Attack Iran or let Israel do it
US Implausibly Denies Role in Israeli Terror Squads
US admits Israel is arming and training terrorist groups to create terrorism
Saurons-nous éviter le pire ?Nucléaire israélien : Incontrôlable et dangereux !
Le professeur et historien militaire israélien Martin Van Creveld parle du nucléaire israélien et n’hésite pas à exercer un chantage atomique à l’encontre des Européens, en affirmant qu’Israël a « la capacité d’atteindre la plupart des capitales européennes avec ses armes nucléaires ». Souhaitant l’expulsion de tous les Palestiniens y compris ceux des territoires occupés depuis 1967, le professeur fait observer que les Européens ne pourront pas réagir parce que dit-il : « Nous possédons plusieurs centaines d’ogives atomiques et de fusées et pouvons atteindre nos cibles tous azimuts, et même Rome. La plupart des capitales européennes font partie des cibles potentielles de notre Armée de l’air ». « Nos forces armées ne sont pas au trentième rang, mais aux deuxième ou troisième rang mondial. Nous avons la capacité de détruire le Monde avec nous. Et je peux vous assurer que cela arrivera avant qu’Israël ne disparaisse ».
Même si cette déclaration (reprise par l’hebdomadaire néerlandais Elsevier) remonte à 2003, il faut savoir que M. Martin Van Creveld est encore aujourd’hui très écouté dans les milieux gouvernementaux israéliens et américains. C’est pourquoi, cette déclaration doit être prise très au sérieux. La majorité des Européens vit encore dans le souvenir et la nostalgie des Trente Glorieuses : ces années de croissance économique pendant que les guerres, souvent coloniales, se déroulaient au Moyen-Orient, en Asie ou en Afrique. Cela a fini par créer un état d’esprit généralisé qui fait croire aux Européens qu’ils sont à l’abri de tout conflit. Ajoutons la propagande quotidienne désignant «le terrorisme islamiste » ou le nucléaire civil iranien comme ennemis de l’Europe et nous voyons que la propagande atteint son but : détourner l’attention contre les Musulmans.
Pourtant le professeur israélien n’hésite pas à désigner ouvertement les capitales européennes comme cibles potentielles des missiles sionistes. Et cela, dans le plus grand silence de nos grands médias et de nos gouvernements. Pourquoi ? L’Europe vit-elle sous le chantage nucléaire israélien ? Autrement dit, en plus du chantage moral permanent, que les sionistes appellent antisémitisme, n’y a-t’il pas un autre chantage moins apparent mais tout aussi efficace de la part d’Israël ? Il est à remarquer que dans sa déclaration concernant les capitales européennes, Martin Van Creveld n’en mentionne qu’une nommément, à savoir Rome. Pourquoi ? Parce que Rome contient une puissance symbolique et spirituelle particulières. Capitale de l’Empire romain devenue capitale du Catholicisme, Rome apparaît à beaucoup de sionistes comme un barrage à leur influence, une dernière digue qu’il faut faire sauter.
Si ces propos n’avaient pas été tenus par un universitaire israélien, ils n’auraient pas eu une très grande importance. Mais nous connaissons le sionisme et sa longue et triste histoire. C’est un mélange de provocations et de violences qui, souvent, cherche à se dissimuler sous le masque de la victime. En Europe, ce masque est tombé depuis longtemps. Quel Européen croit aujourd’hui qu’Israël c’est la paix ? Quel Européen de bonne foi peut ignorer qu’Israël, c’est soixante ans d’illégalités internationales ? Qui ignore en France la puissance et la malfaisance du lobby sioniste ? Et c’est justement parce que la vérité finit par s’imposer que le sionisme, se sentant acculé, est capable du pire.
Nous avons déjà écrit qu’un 11 septembre qui se déroulerait cette fois en Europe n’est pas du tout à exclure. Et rien ne nous assure qu’il se produise avec des moyens conventionnels. Il faut donc que les Européens prennent conscience de ce danger. L’absence de guerre en Europe depuis 1945 (excepté en Yougoslavie), a fini par créer chez beaucoup une idée fausse : la guerre, c’est pour les autres. Maintenant que la crise est installée pour longtemps en Europe, les Européens commencent à ouvrir les yeux et à comprendre que la misère, ce n’est pas seulement pour les « autres ». Le même raisonnement doit être appliqué à la guerre. Et aujourd’hui, la principale cause de guerre et d’instabilité dans le monde est Israël dans sa volonté de domination.
L’entité sioniste continue de fabriquer, chaque année, un véritable arsenal de destruction massive. Classé sixième puissance nucléaire mondiale, le pays possède, selon une note confidentielle du Pentagone, plus de 200 ogives nucléaires et vient de développer un nouveau missile, le Jéricho III, à très longue portée –plus de 11 000 km– pour étendre sa zone d'«influence». Elle produit également des armes biologiques et chimiques, et refuse systématiquement de se soumettre à de nouvelles inspections de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de signer le Traité sur la non-prolifération nucléaire.
Seule une union de tous, Musulmans, Chrétiens, Juifs, humanistes, tous anti sionistes, peut empêcher le pire.
Même si cette déclaration (reprise par l’hebdomadaire néerlandais Elsevier) remonte à 2003, il faut savoir que M. Martin Van Creveld est encore aujourd’hui très écouté dans les milieux gouvernementaux israéliens et américains. C’est pourquoi, cette déclaration doit être prise très au sérieux. La majorité des Européens vit encore dans le souvenir et la nostalgie des Trente Glorieuses : ces années de croissance économique pendant que les guerres, souvent coloniales, se déroulaient au Moyen-Orient, en Asie ou en Afrique. Cela a fini par créer un état d’esprit généralisé qui fait croire aux Européens qu’ils sont à l’abri de tout conflit. Ajoutons la propagande quotidienne désignant «le terrorisme islamiste » ou le nucléaire civil iranien comme ennemis de l’Europe et nous voyons que la propagande atteint son but : détourner l’attention contre les Musulmans.
Pourtant le professeur israélien n’hésite pas à désigner ouvertement les capitales européennes comme cibles potentielles des missiles sionistes. Et cela, dans le plus grand silence de nos grands médias et de nos gouvernements. Pourquoi ? L’Europe vit-elle sous le chantage nucléaire israélien ? Autrement dit, en plus du chantage moral permanent, que les sionistes appellent antisémitisme, n’y a-t’il pas un autre chantage moins apparent mais tout aussi efficace de la part d’Israël ? Il est à remarquer que dans sa déclaration concernant les capitales européennes, Martin Van Creveld n’en mentionne qu’une nommément, à savoir Rome. Pourquoi ? Parce que Rome contient une puissance symbolique et spirituelle particulières. Capitale de l’Empire romain devenue capitale du Catholicisme, Rome apparaît à beaucoup de sionistes comme un barrage à leur influence, une dernière digue qu’il faut faire sauter.
Si ces propos n’avaient pas été tenus par un universitaire israélien, ils n’auraient pas eu une très grande importance. Mais nous connaissons le sionisme et sa longue et triste histoire. C’est un mélange de provocations et de violences qui, souvent, cherche à se dissimuler sous le masque de la victime. En Europe, ce masque est tombé depuis longtemps. Quel Européen croit aujourd’hui qu’Israël c’est la paix ? Quel Européen de bonne foi peut ignorer qu’Israël, c’est soixante ans d’illégalités internationales ? Qui ignore en France la puissance et la malfaisance du lobby sioniste ? Et c’est justement parce que la vérité finit par s’imposer que le sionisme, se sentant acculé, est capable du pire.
Nous avons déjà écrit qu’un 11 septembre qui se déroulerait cette fois en Europe n’est pas du tout à exclure. Et rien ne nous assure qu’il se produise avec des moyens conventionnels. Il faut donc que les Européens prennent conscience de ce danger. L’absence de guerre en Europe depuis 1945 (excepté en Yougoslavie), a fini par créer chez beaucoup une idée fausse : la guerre, c’est pour les autres. Maintenant que la crise est installée pour longtemps en Europe, les Européens commencent à ouvrir les yeux et à comprendre que la misère, ce n’est pas seulement pour les « autres ». Le même raisonnement doit être appliqué à la guerre. Et aujourd’hui, la principale cause de guerre et d’instabilité dans le monde est Israël dans sa volonté de domination.
L’entité sioniste continue de fabriquer, chaque année, un véritable arsenal de destruction massive. Classé sixième puissance nucléaire mondiale, le pays possède, selon une note confidentielle du Pentagone, plus de 200 ogives nucléaires et vient de développer un nouveau missile, le Jéricho III, à très longue portée –plus de 11 000 km– pour étendre sa zone d'«influence». Elle produit également des armes biologiques et chimiques, et refuse systématiquement de se soumettre à de nouvelles inspections de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et de signer le Traité sur la non-prolifération nucléaire.
Seule une union de tous, Musulmans, Chrétiens, Juifs, humanistes, tous anti sionistes, peut empêcher le pire.
Jerusalem Post: US ‘absolutely’ concerned Israel will attack Iran – Nightmare War Approaches
Jerusalem Post: US ‘absolutely’ concerned Israel will attack Iran
Nightmare War Could Come Soon –Watch 3 Timely Videos by Dr. Duke
Israel is openly getting closer to launching a murderous attack on Iran that would throw the world into conflict, hate, terrorism and economic Armageddon. A recent Jerusalem Post article says that the US is “absolutely concerned” that Israel will attack Iran.
Dr. David Duke has produced three hard-hitting videos dealing with a possible Zionist attack on Iran and Israel’s record of terrorism, not only against Palestinians and other Mideast peoples but even against the United States. To watch these incredibly powerful videos just click on the image.
http://www.youtube.com/watch?v=_qxzZY4JycY No War for Israel in Iran – Keep America Safe
http://www.youtube.com/watch?v=KLSlmLx4Fls The real Nuclear Rogue State
http://www.youtube.com/watch?v=fvItZ2GS88A Israeli Terrorism Against America
Nov 22, 2011 5:12 PM Est
The boys who cry “Holocaust”
The same neocon hawks who lied us into Iraq are using the ultimate argument-stopper to push war with Iran
Israel's Prime Minister Benjamin Netanyahu and neonconservative William Kristol (Credit: Reuters/Gage Skidmore)
We’ve been through this before. As one of the most disastrous wars in our history is coming to an inglorious end, the same neoconservative hawks who dreamed it up are agitating for a new war that would make Iraq look like the invasion of Grenada — and using the ultimate trump card in American politics to silence debate over it.
When hawks begin beating the drums for war in the Middle East, Israel is usually a big reason why. That was true in the run-up to the war in Iraq, and it is doubly true with the current hysteria over Iran. Despite disingenuous claims to the contrary, the only reason the U.S. is even talking about war with Iran is Israel. As the invaluable M.J. Rosenberg, who knows the working of the Israel lobby as only a former card-carrying member can, notes, “It is impossible to find a single politician or journalist advocating war with Iran who is not a neocon or an AIPAC cutout. (They’re often both.)”
When hawks begin beating the drums for war in the Middle East, Israel is usually a big reason why. That was true in the run-up to the war in Iraq, and it is doubly true with the current hysteria over Iran. Despite disingenuous claims to the contrary, the only reason the U.S. is even talking about war with Iran is Israel. As the invaluable M.J. Rosenberg, who knows the working of the Israel lobby as only a former card-carrying member can, notes, “It is impossible to find a single politician or journalist advocating war with Iran who is not a neocon or an AIPAC cutout. (They’re often both.)”
Ever since the International Atomic Energy Agency released its overhyped, old-news report on Iran’s nuclear program, Israel’s amen corner in the U.S. has been loudly calling for war.
If American politics did not contain an enormous blind spot, no one would pay any attention to what these discredited ideologues have to say. The Iraq war they championed turned out to be one of the biggest foreign-policy disasters in U.S. history. Their ignorant and Islamophobic view of the Middle East is as breathtaking as their bland willingness to commit America to yet another ruinous war against a Muslim country, this time one four times larger than Iraq and with more than twice as many people. They have a demonstrated track record of complete failure.
Yet these incompetent militarists are still taken seriously. And the reason is simple: They purport to be supporters of Israel. In American politics, you can get away with even the most cracked war-mongering as long as you claim to be “pro-Israel.” And the ultimate get-out-of-jail-free card for anything having to do with Israel is the Holocaust.
To listen to the neocons and hawks, you’d think Hitler was about to send the tanks over the Polish border. Former U.S. ambassador and Dr. Strangelove impersonator John Bolton said, “The only alternative now is the potential for a pre-emptive military strike against their military program, either by the United States or Israel. Diplomacy has failed. Sanctions have failed.” For Bolton, Iran is the second coming of Nazi Germany: “If the choice is them continuing [towards a nuclear bomb] or the use of force, I think you’re at a Hitler marching into the Rhineland point … We’re still in 1936, but not for long.”
Jeffrey Goldberg, the former Israeli Defense Forces corporal and Atlantic writer, whose bogus claim in the New Yorker that Saddam Hussein might give his nonexistent WMD to al-Qaida helped convince some liberals to support the Iraq war, claims, “The Israeli case for preemption is compelling, and has been for some time.”
Why? “The leaders of Iran are eliminationist anti-Semites; men who, for reasons of theology, view the state of the Jews as a ‘cancer.’ They have repeatedly called for Israel’s destruction and worked to hasten that end, mainly by providing material support and training to two organizations, Hamas and Hezbollah, that specialize in the slaughter of innocent Jews. Iran’s leaders are men who deny the Holocaust while promising another.”
Goldberg acknowledged the downside for Israel of attacking Iran, including international isolation and retaliation, but for him that was a reason why America, not Israel, should threaten war.
“Numerous Israeli officials have told me that they are much less likely to recommend a preemptive strike of their own if they were reasonably sure that Obama was willing to use force. And if Iran’s leaders feared there was a real chance of a U.S. attack, they might actually modify their behavior,” Goldberg wrote. “I believe Obama would use force — and that he should make that perfectly clear to the Iranians.”
Neoconservative leader Bill Kristol, who was wrong about Iraq and was rewarded by being given a gig at the New York Times, where he quickly proved to be perhaps the worst columnist of all time, wrote in the Weekly Standard, “The next speech we need to hear from the Obama administration should announce that, after 30 years, we have gone on the offensive against this murderous regime. And the speech after that can celebrate the fall of the regime, and offer American help to the democrats building a free and peaceful Iran.” In 2009, Kristol compared Obama to Neville Chamberlain for not being sufficiently outspoken on behalf of the Iranian people.
The Holocaust mind-set
But the most nakedly coercive use of the Holocaust was made by GOP presidential candidate Newt Gingrich (whose trustworthiness in foreign policy matters can be judged by the fact that he criticized the Bush State Department for not cooking its intelligence to support the Iraq war). “I don’t think the United States has the moral right to say to a country whose people who have already gone through one Holocaust – two nuclear weapons is another Holocaust,” said in 2006. “And Iran is racing to arm itself with atomic bombs.” In language virtually identical to Goldberg’s, Netanyahu said that while the Iranian president “denies the Holocaust, he is preparing another Holocaust for the Jewish state.”
“We will always remember what the Nazi Amalek did to us,” Netanyahu said at a 2010 Holocaust remembrance service at Auschwitz, “and we won’t forget to be prepared for the new Amalek, who is making an appearance on the stage of history and once again threatening to destroy the Jews.”
The Holocaust mind-set has led Israel into self-destructive policies. And its promiscuous invocation has helped ensure that Israel maintains a stranglehold over America’s Mideast policy. That stranglehold has always been harmful to America, but it is now actually dangerous.
For there is a very real possibility that Israel will attack Iran. I have been reading Israel’s best newspaper, Ha’aretz, for more than 10 years, and I have never seen a possible war with Iran taken so seriously by its journalists. Ha’aretz is a left-leaning paper, but the concern in Israel reaches across the political spectrum. Israel’s leading political columnist, Nahum Barnea, recently warned in a front-page story in Israel’s highest-circulation newspaper, the centrist Yediot Achronot, that Prime Minister Benjamin Netanyahu and Defense Secretary Ehud Barak, overriding the objections of their security experts, may launch an attack on Iran this winter.
Barnea’s article is in Hebrew: it is summarized by Larry Derfner, who writes for the excellent Israeli-American site 972. Barnea wrote, “Netanyahu [believes] Ahmadinejad is Hitler; if he is not stopped in time, there will be another Holocaust. There are those who describe Netanyahu’s attitude on the matter as an obsession: all his life he dreamed of being Churchill; Iran gives him the opportunity.”
The odds of war
To be sure, the odds are still against Israel actually launching an attack. Washington has made it clear it does not want war with Iran, and the first rule of Israeli politics is “never threaten the special relationship with America.” Israel has been warning that Iran is months away from getting a nuclear bomb for years. And it has a history of rattling its saber as a tactic to force the U.S. to take a harder line with Iran.
But the possibility that Israel might attack Iran, especially after the U.S. troops leave Iraq, cannot be taken lightly — not least because of Netanyahu’s invocation of the Holocaust. Netanyahu is apparently sincerely convinced that if Iran’s nuclear program is not destroyed, Israel will face another Holocaust. If that is true, the traditional restraints on Israeli behavior may not apply.
It is possible that Israel might attack Iran unilaterally, and dare the U.S. to stop it. As Iran analyst Mark Fitzpatrick told Reuters, “When you consider that next year being the U.S. presidential election year, and the dynamics of politics in the United States, this could increase Israel’s inclination to take matters into its own hands. The most likely possibility is that Netanyahu calls up Obama and says: ‘I’m not asking for a green light, I’m just telling you that we’ve just launched the planes, don’t shoot them down.’ And in a U.S. presidential election year, I think it’s unlikely that Obama would shoot them down.”
The Israeli historian Benny Morris makes the same point.
“Most observers in Israel believe that while Israel would like to have a green light from Washington, it will proceed without one if it believes that its existence is at stake,” he wrote in the National Interest. “The feeling here is that Obama will endorse, and perhaps in various ways assist, an Israeli strike once it is underway — whether or not he is consulted beforehand — because he sees the ayatollahs’ regime as a threat to world peace and American interests in the Middle East; because successive American administrations, including his own, have declared that Washington will not to allow Iran to acquire the bomb; and because, in a presidential election year, Obama cannot afford to alienate the Jewish vote.”
Morris’ assertion that Obama would be willing to endorse and perhaps assist an Israeli strike because he believes it is justified is extremely dubious, to put it mildly. Obama’s Middle East policies have been hugely disappointing, but he is not a fool. He knows that Iran — which has not started a war in modern history — poses no conceivable military threat to the United States. He also knows that the Arab Spring and the crisis in Syria have weakened Tehran’s geo-strategic position. There is also the little issue of America being bankrupt and its military exhausted. For all these reasons, for Washington to even consider starting a war with Iran would be utter lunacy. This is why Obama has repeatedly sent Netanyahu high-level messages, from Defense Secretary Leon Panetta and others, warning him not to launch a unilateral attack.
But starting a war is one thing, and daring to stand up to Israel in an election year is another. As usual, the discourse is tilted psychotically to the right. The GOP presidential candidates are beating up Obama for his alleged lack of support for Israel and falling over each other to be first in line to attack Iran. (Mitt Romney, who stands a decent chance of being the next president, actually said that he would simply let Israel decide America’s Mideast policy.) And considering Obama’s politically driven surrender to Netanyahu, Morris and Fitzpatrick are probably right that he would be unwilling to confront the Israeli leader.
In other words, it is quite likely that the most powerful nation in the world will simply stand impotently by while a tiny client state threatens to do something that it knows is not just antithetical to its interests, but possibly ruinous to them. The tail could be about to wag the dog right off a cliff.
If war does break out, the consequences for America would be catastrophic. Oil prices would soar, plunging the U.S. and the world into a massive depression. Iran would use its proxies to attack U.S. troops. And the entire region would erupt, with unforeseeable consequences. It is not too much of a stretch to say that war with Iran might spell the beginning of the end of America as a superpower.
Of course, if a nuclear Iran really did threaten the existence of Israel, a preemptive strike might be justified. But according to the upper echelons of Israeli’s military and security brass, Iran does not pose such a threat. Israel’s recently retired Mossad chief, Meir Dagan, called plans to attack Iran “the stupidest thing I’ve ever heard,” saying that an attack would mean a regional war that would put Israel in an “impossible” position.
Israel’s former military chief of staff, Gabe Ashkenazi, is also opposed to war, as is former Shin Beth head Yuval Diskin. Another former Mossad chief, Ephraim Halevy, said Iran poses no existential threat to Israel and attacking it “will impact the region for 100 years.”
If Iran were to launch a nuclear missile at Israel, Israel would instantly vaporize it with the estimated 200 nuclear warheads it possesses. Contrary to the ignorant claims made by Islamophobic hawks like Goldberg, Iran is not run by madmen bent on committing national suicide. (If its leaders really are “eliminationist anti-Semites,” it’s hard to understand why they have not wiped out Tehran’s Jewish community.)
In fact, the logic behind attacking Iran is identical to that of Dick Cheney’s notorious “one percent doctrine,” which held that if there was even a 1 percent chance that Iraq might acquire WMD, the U.S. had to attack. Cheney’s crackpot doctrine has been thoroughly discredited. But because the supposed 1 percent possibility is another Holocaust, it is once again framing American policy.
What a nuclear Iran really threatens, as several top Israeli officials have admitted, is Israeli hegemony in the region. The Arab Spring and the rise of Turkey have already begun to erode that hegemony, and Iran’s inevitable acquisition of the ability to build a bomb will further erode it. Israel cannot fight this trend. The days when it could impose its will by bullying are over. It must learn to live with its neighbors.
Which takes us to the one thing that is anathema to the war-mongers: full diplomatic engagement with Tehran. It is time for the U.S. to put everything on the table – Hamas, Hezbollah, Syria, the Israeli-Palestinian file, the nuclear issue, Iraq – thrash it all out, acknowledge that Iran is going to be a major regional player, and come to an agreement.
The key element is the Israeli-Palestinian issue. If Israel makes a just peace with the Palestinians and the Arab League recognizes Israel, the entire raison d’etre of Iran’s rejectionist position would be removed. Israel and Iran would then just be neighbors squabbling over their turf, along with the rest of the countries in the rapidly transforming Middle East.
Israel stands at a crossroads — and time is not on its side. Netanyahu is a disciple of the father of Revisionist Zionism, Ze’ev Jabotinsky, who argued that the Arabs, understandably in his view, would never voluntarily accept Zionist colonization, and could only be controlled by an “Iron Wall the native population cannot break through.”
Netanyahu lacks Jabotinsky’s intellectual integrity, but shares his belief that brute force is Israel’s only recourse. For him, it is always 1938, the Palestinians are terrorists, Israel’s enemies are murderous anti-Semites and the Jewish state must exist in a constant state of war.
Israel, supported by the United States, has been fighting the Nazis for 63 years. That Iron Wall approach, which sees all of Israel’s enemies as reincarnations of Hitler (as in Jeffrey Goldberg’s propagandistic assertion that Hezbollah and Hamas “specialize in the slaughter of innocent Jews”) has been a calamitous failure. It has not made Israel safer. As even center-right Israeli politicians like Tzipi Livni now recognize, it has resulted in Israel becoming increasingly isolated from the world, much of which now sees it as a pariah.
And Israel will not be given another 63 years. If it continues down this path, aided by its false “friends” in the U.S. who insist on fighting Hitler-redux to the last Israeli (and the last American), Israel is doomed. But if it abandons its self-defeating Holocaustology, it will be able to live in peace with its neighbors and join the world.
From the founding of Israel in the ashes of the Final Solution, the Holocaust has been at the core of Israel’s national identity. That identity is affirmed every year, when at 10 in the morning, sirens are sounded for two minutes throughout Israel to commemorate the Holocaust. During those two minutes, everything comes to a standstill. Even the traffic on the road stops.
It is understandable that a people who suffered one of the most horrific genocides in human history would commemorate it, and vow never to allow it to happen again. But history is filled with ugly ironies, and sometimes the reaction to a trauma ensures that it keeps happening again.
A young Polish Jew named Ruth Grunkraut and her mother were shipped to Bergen-Belsen. Grunkraut’s mother died just six days before the Allies liberated the camp. Before she died, she told her daughter, “You must live. You must live for me.”
The annals of the Holocaust are filled with this same message: You must live.
An attack on Iran will be carried out in the name of the victims of the Holocaust. But that attack, rather than saving the Jewish state, will sound the death knell for it. Israel and its American supporters owe more to the millions of human beings whose last prayer, before their deaths, was that their children live.
CloseIf American politics did not contain an enormous blind spot, no one would pay any attention to what these discredited ideologues have to say. The Iraq war they championed turned out to be one of the biggest foreign-policy disasters in U.S. history. Their ignorant and Islamophobic view of the Middle East is as breathtaking as their bland willingness to commit America to yet another ruinous war against a Muslim country, this time one four times larger than Iraq and with more than twice as many people. They have a demonstrated track record of complete failure.
Yet these incompetent militarists are still taken seriously. And the reason is simple: They purport to be supporters of Israel. In American politics, you can get away with even the most cracked war-mongering as long as you claim to be “pro-Israel.” And the ultimate get-out-of-jail-free card for anything having to do with Israel is the Holocaust.
To listen to the neocons and hawks, you’d think Hitler was about to send the tanks over the Polish border. Former U.S. ambassador and Dr. Strangelove impersonator John Bolton said, “The only alternative now is the potential for a pre-emptive military strike against their military program, either by the United States or Israel. Diplomacy has failed. Sanctions have failed.” For Bolton, Iran is the second coming of Nazi Germany: “If the choice is them continuing [towards a nuclear bomb] or the use of force, I think you’re at a Hitler marching into the Rhineland point … We’re still in 1936, but not for long.”
Jeffrey Goldberg, the former Israeli Defense Forces corporal and Atlantic writer, whose bogus claim in the New Yorker that Saddam Hussein might give his nonexistent WMD to al-Qaida helped convince some liberals to support the Iraq war, claims, “The Israeli case for preemption is compelling, and has been for some time.”
Why? “The leaders of Iran are eliminationist anti-Semites; men who, for reasons of theology, view the state of the Jews as a ‘cancer.’ They have repeatedly called for Israel’s destruction and worked to hasten that end, mainly by providing material support and training to two organizations, Hamas and Hezbollah, that specialize in the slaughter of innocent Jews. Iran’s leaders are men who deny the Holocaust while promising another.”
Goldberg acknowledged the downside for Israel of attacking Iran, including international isolation and retaliation, but for him that was a reason why America, not Israel, should threaten war.
“Numerous Israeli officials have told me that they are much less likely to recommend a preemptive strike of their own if they were reasonably sure that Obama was willing to use force. And if Iran’s leaders feared there was a real chance of a U.S. attack, they might actually modify their behavior,” Goldberg wrote. “I believe Obama would use force — and that he should make that perfectly clear to the Iranians.”
Neoconservative leader Bill Kristol, who was wrong about Iraq and was rewarded by being given a gig at the New York Times, where he quickly proved to be perhaps the worst columnist of all time, wrote in the Weekly Standard, “The next speech we need to hear from the Obama administration should announce that, after 30 years, we have gone on the offensive against this murderous regime. And the speech after that can celebrate the fall of the regime, and offer American help to the democrats building a free and peaceful Iran.” In 2009, Kristol compared Obama to Neville Chamberlain for not being sufficiently outspoken on behalf of the Iranian people.
The Holocaust mind-set
But the most nakedly coercive use of the Holocaust was made by GOP presidential candidate Newt Gingrich (whose trustworthiness in foreign policy matters can be judged by the fact that he criticized the Bush State Department for not cooking its intelligence to support the Iraq war). “I don’t think the United States has the moral right to say to a country whose people who have already gone through one Holocaust – two nuclear weapons is another Holocaust,” said in 2006. “And Iran is racing to arm itself with atomic bombs.” In language virtually identical to Goldberg’s, Netanyahu said that while the Iranian president “denies the Holocaust, he is preparing another Holocaust for the Jewish state.”
“We will always remember what the Nazi Amalek did to us,” Netanyahu said at a 2010 Holocaust remembrance service at Auschwitz, “and we won’t forget to be prepared for the new Amalek, who is making an appearance on the stage of history and once again threatening to destroy the Jews.”
The Holocaust mind-set has led Israel into self-destructive policies. And its promiscuous invocation has helped ensure that Israel maintains a stranglehold over America’s Mideast policy. That stranglehold has always been harmful to America, but it is now actually dangerous.
For there is a very real possibility that Israel will attack Iran. I have been reading Israel’s best newspaper, Ha’aretz, for more than 10 years, and I have never seen a possible war with Iran taken so seriously by its journalists. Ha’aretz is a left-leaning paper, but the concern in Israel reaches across the political spectrum. Israel’s leading political columnist, Nahum Barnea, recently warned in a front-page story in Israel’s highest-circulation newspaper, the centrist Yediot Achronot, that Prime Minister Benjamin Netanyahu and Defense Secretary Ehud Barak, overriding the objections of their security experts, may launch an attack on Iran this winter.
Barnea’s article is in Hebrew: it is summarized by Larry Derfner, who writes for the excellent Israeli-American site 972. Barnea wrote, “Netanyahu [believes] Ahmadinejad is Hitler; if he is not stopped in time, there will be another Holocaust. There are those who describe Netanyahu’s attitude on the matter as an obsession: all his life he dreamed of being Churchill; Iran gives him the opportunity.”
The odds of war
To be sure, the odds are still against Israel actually launching an attack. Washington has made it clear it does not want war with Iran, and the first rule of Israeli politics is “never threaten the special relationship with America.” Israel has been warning that Iran is months away from getting a nuclear bomb for years. And it has a history of rattling its saber as a tactic to force the U.S. to take a harder line with Iran.
But the possibility that Israel might attack Iran, especially after the U.S. troops leave Iraq, cannot be taken lightly — not least because of Netanyahu’s invocation of the Holocaust. Netanyahu is apparently sincerely convinced that if Iran’s nuclear program is not destroyed, Israel will face another Holocaust. If that is true, the traditional restraints on Israeli behavior may not apply.
It is possible that Israel might attack Iran unilaterally, and dare the U.S. to stop it. As Iran analyst Mark Fitzpatrick told Reuters, “When you consider that next year being the U.S. presidential election year, and the dynamics of politics in the United States, this could increase Israel’s inclination to take matters into its own hands. The most likely possibility is that Netanyahu calls up Obama and says: ‘I’m not asking for a green light, I’m just telling you that we’ve just launched the planes, don’t shoot them down.’ And in a U.S. presidential election year, I think it’s unlikely that Obama would shoot them down.”
The Israeli historian Benny Morris makes the same point.
“Most observers in Israel believe that while Israel would like to have a green light from Washington, it will proceed without one if it believes that its existence is at stake,” he wrote in the National Interest. “The feeling here is that Obama will endorse, and perhaps in various ways assist, an Israeli strike once it is underway — whether or not he is consulted beforehand — because he sees the ayatollahs’ regime as a threat to world peace and American interests in the Middle East; because successive American administrations, including his own, have declared that Washington will not to allow Iran to acquire the bomb; and because, in a presidential election year, Obama cannot afford to alienate the Jewish vote.”
Morris’ assertion that Obama would be willing to endorse and perhaps assist an Israeli strike because he believes it is justified is extremely dubious, to put it mildly. Obama’s Middle East policies have been hugely disappointing, but he is not a fool. He knows that Iran — which has not started a war in modern history — poses no conceivable military threat to the United States. He also knows that the Arab Spring and the crisis in Syria have weakened Tehran’s geo-strategic position. There is also the little issue of America being bankrupt and its military exhausted. For all these reasons, for Washington to even consider starting a war with Iran would be utter lunacy. This is why Obama has repeatedly sent Netanyahu high-level messages, from Defense Secretary Leon Panetta and others, warning him not to launch a unilateral attack.
But starting a war is one thing, and daring to stand up to Israel in an election year is another. As usual, the discourse is tilted psychotically to the right. The GOP presidential candidates are beating up Obama for his alleged lack of support for Israel and falling over each other to be first in line to attack Iran. (Mitt Romney, who stands a decent chance of being the next president, actually said that he would simply let Israel decide America’s Mideast policy.) And considering Obama’s politically driven surrender to Netanyahu, Morris and Fitzpatrick are probably right that he would be unwilling to confront the Israeli leader.
In other words, it is quite likely that the most powerful nation in the world will simply stand impotently by while a tiny client state threatens to do something that it knows is not just antithetical to its interests, but possibly ruinous to them. The tail could be about to wag the dog right off a cliff.
If war does break out, the consequences for America would be catastrophic. Oil prices would soar, plunging the U.S. and the world into a massive depression. Iran would use its proxies to attack U.S. troops. And the entire region would erupt, with unforeseeable consequences. It is not too much of a stretch to say that war with Iran might spell the beginning of the end of America as a superpower.
Of course, if a nuclear Iran really did threaten the existence of Israel, a preemptive strike might be justified. But according to the upper echelons of Israeli’s military and security brass, Iran does not pose such a threat. Israel’s recently retired Mossad chief, Meir Dagan, called plans to attack Iran “the stupidest thing I’ve ever heard,” saying that an attack would mean a regional war that would put Israel in an “impossible” position.
Israel’s former military chief of staff, Gabe Ashkenazi, is also opposed to war, as is former Shin Beth head Yuval Diskin. Another former Mossad chief, Ephraim Halevy, said Iran poses no existential threat to Israel and attacking it “will impact the region for 100 years.”
If Iran were to launch a nuclear missile at Israel, Israel would instantly vaporize it with the estimated 200 nuclear warheads it possesses. Contrary to the ignorant claims made by Islamophobic hawks like Goldberg, Iran is not run by madmen bent on committing national suicide. (If its leaders really are “eliminationist anti-Semites,” it’s hard to understand why they have not wiped out Tehran’s Jewish community.)
In fact, the logic behind attacking Iran is identical to that of Dick Cheney’s notorious “one percent doctrine,” which held that if there was even a 1 percent chance that Iraq might acquire WMD, the U.S. had to attack. Cheney’s crackpot doctrine has been thoroughly discredited. But because the supposed 1 percent possibility is another Holocaust, it is once again framing American policy.
What a nuclear Iran really threatens, as several top Israeli officials have admitted, is Israeli hegemony in the region. The Arab Spring and the rise of Turkey have already begun to erode that hegemony, and Iran’s inevitable acquisition of the ability to build a bomb will further erode it. Israel cannot fight this trend. The days when it could impose its will by bullying are over. It must learn to live with its neighbors.
Which takes us to the one thing that is anathema to the war-mongers: full diplomatic engagement with Tehran. It is time for the U.S. to put everything on the table – Hamas, Hezbollah, Syria, the Israeli-Palestinian file, the nuclear issue, Iraq – thrash it all out, acknowledge that Iran is going to be a major regional player, and come to an agreement.
The key element is the Israeli-Palestinian issue. If Israel makes a just peace with the Palestinians and the Arab League recognizes Israel, the entire raison d’etre of Iran’s rejectionist position would be removed. Israel and Iran would then just be neighbors squabbling over their turf, along with the rest of the countries in the rapidly transforming Middle East.
Israel stands at a crossroads — and time is not on its side. Netanyahu is a disciple of the father of Revisionist Zionism, Ze’ev Jabotinsky, who argued that the Arabs, understandably in his view, would never voluntarily accept Zionist colonization, and could only be controlled by an “Iron Wall the native population cannot break through.”
Netanyahu lacks Jabotinsky’s intellectual integrity, but shares his belief that brute force is Israel’s only recourse. For him, it is always 1938, the Palestinians are terrorists, Israel’s enemies are murderous anti-Semites and the Jewish state must exist in a constant state of war.
Israel, supported by the United States, has been fighting the Nazis for 63 years. That Iron Wall approach, which sees all of Israel’s enemies as reincarnations of Hitler (as in Jeffrey Goldberg’s propagandistic assertion that Hezbollah and Hamas “specialize in the slaughter of innocent Jews”) has been a calamitous failure. It has not made Israel safer. As even center-right Israeli politicians like Tzipi Livni now recognize, it has resulted in Israel becoming increasingly isolated from the world, much of which now sees it as a pariah.
And Israel will not be given another 63 years. If it continues down this path, aided by its false “friends” in the U.S. who insist on fighting Hitler-redux to the last Israeli (and the last American), Israel is doomed. But if it abandons its self-defeating Holocaustology, it will be able to live in peace with its neighbors and join the world.
From the founding of Israel in the ashes of the Final Solution, the Holocaust has been at the core of Israel’s national identity. That identity is affirmed every year, when at 10 in the morning, sirens are sounded for two minutes throughout Israel to commemorate the Holocaust. During those two minutes, everything comes to a standstill. Even the traffic on the road stops.
It is understandable that a people who suffered one of the most horrific genocides in human history would commemorate it, and vow never to allow it to happen again. But history is filled with ugly ironies, and sometimes the reaction to a trauma ensures that it keeps happening again.
A young Polish Jew named Ruth Grunkraut and her mother were shipped to Bergen-Belsen. Grunkraut’s mother died just six days before the Allies liberated the camp. Before she died, she told her daughter, “You must live. You must live for me.”
The annals of the Holocaust are filled with this same message: You must live.
An attack on Iran will be carried out in the name of the victims of the Holocaust. But that attack, rather than saving the Jewish state, will sound the death knell for it. Israel and its American supporters owe more to the millions of human beings whose last prayer, before their deaths, was that their children live.
Did you ever ponder about the question: Who is promoting America’s wars?
Who is pushing for another war on Iran?
Who is promoting concepts of American Exceptionalism., military necessity, and “leadership with muscle”?
Who is indoctrinating American police and public with “educational” programmes of “Law Enforcement”?
Who is fomenting hatred against Islam and Muslims just to conceal their criminality by pretending to be the spearhead fighting the war against terror and extremism?
Who is offering courses in combating terrorism with their “superb anti-terror schools”?
Who is posing as the world leading authority in understanding and explaining “terror” related issues?
Who is supporting a pariah entity and promoting its interests despite all its violations of Human Rights and International Law?
Who are those who hold key positions in USA policy making and Homeland Security despite being advocates and supporters of a supremacist racist Jewish group?
Who is forcing us to go through radiating machines under the pretext of fighting terrorism while expanding and making a fortune in the process?
Who is fermenting by deception, all sorts of wars and conflicts yet deceivingly they pose as the protector of peace and security?
To answer these questions, this might be a good place to start
“For more than three decades, the Jewish Institute for National Security Affairs has been a strong supporter and defender of America’s military might – and of America’s long-standing friendship with Israel. I thank you all for your contribution to the debate over our nation’s foreign policy.” ~ Robert M. Gates, Secretary of Defense
“[JINSA, the Jewish Institute for National Security] created a crucial forum that exists nowhere else that keeps our nation and its leaders focused on the threats, challenges and opportunities that we face from a combination of sworn enemies, emerging rivals and evolving alliances.” ~ Senator Joseph Lieberman
JINSA which claims to have 20,000 members and has a budget of about $4.000.000 is actively involved in promoting and justifying wars of aggression
Henry M. Jackson Foundation- HJF is yet but another organization linked to JINSA. It declares on it’s own website: “for the Advancement of Military Medicine, Inc. (HJF) is a global organization dedicated to advancing military medical research. We serve military, medical, academic and government clients by administering, managing and supporting preeminent scientific programs that benefit members of the armed forces and civilians alike.”
In their 2010 Annual Report, they describe themselves as a “Global Organization Driven by Singular Mission”
“Since its founding in 1983, HJF has dedicated itself to a clear and noble mission: advancing military medicine. Although much has changed in the ensuing 27 years, the Foundation’s commitment to its mission remains unchanged.”
- Matthew Gould, the Zionist-British Ambassador to Israel and the Plot to Attack Iran
“Does this lust for war and destruction have any ideological foundations?”, one is entitled to ask.
Lo and behold, with only a tiny scratch to the surface in search for answers, you are hit with this:
6) The obligation to destroy the seven nations living in the Land of Canaan; 7) The prohibition against allowing any one of them to remain alive; 
The obligation to destroy the descendents of Amalek; 9) The obligation to remember what Amalek did;
The obligation to destroy the descendents of Amalek; 9) The obligation to remember what Amalek did;
“A king should not wage other wars before a milchemet mitzvah. What is considered as milchemet mitzvah? The war against the seven nations who occupied Eretz Yisrael, the war against Amalek, and a war fought to assist Israel from an enemy which attacks them. Afterwards, he may wage a milchemet hareshut, (war of aggression) i.e. a war fought with other nations in order to expand the borders of Israel ormagnify its greatness andreputation.”
“wars of conquest are permissible. As stated, these are wars against enemies that lie very far from Israel’s borders, and as such, are obviously not defensive wars but rather wars motivated by pure aggression.”
“….the justification for war is the Jewish people’s exercising their divine right to the land of Canaan, “And you shall take possession of the land and settle in it for I have assigned the land to you to possess.”
“Rabbi Yehudah identifies wars of conquest and aggression as commanded (mitzvah) and the war against the seven nations as obligatory (chovah).”
Sadly, such ideology is not confined to being dusty theological scrolls kept in attics, or ancient theoretical books used as mythology. Such ideology has managed to produce its own horrific manifestation. It is real in every practical sense; seen, heard, smelled and touched as facts on the ground, and in the most ugly and reprehensible manner, as it poses as an “authority” in ethics slaughtering, maiming and stealing while “blessing” humanity with “Great” lessons in “morality”!
Adherents of such racist and anti-human ideology, while affirming in principle and in practice that wars of aggression are commanded, do not hesitate to agitate the whole world against one quarter of its populations, namely the Muslims. They flood the media with fabricated stories about the “immanent” Islamic “terror threat”. They spread the irrational hysteria of Islamophobia and “shari’a-phobia”. They keep people hostages, in a perpetual state of anxiety, hate and fear; shackled by the Hasbara-made psychological dungeons of ignorance and misinformation.
They accuse and attack the very book that clearly forbids wars of aggression: ‘You may fight in the cause of God against those who fight you, but DO NOT INITIATE AGGRESSION. God does not love transgressors.’ (2.190). The book which clearly calls for justice even against oneself: “Ye who believe! Stand out firmly for justice, as witnesses to God, even as against yourselves, or your parents, or your kin, and whether it be (against) rich or poor: for God can best protect both. Follow not the desires (of your hearts) (4:135). The book which unequivocally calls for justice even when dealing with aggressors: “O ye who believe! be steadfast firmly for God, as witnesses to fair dealing, Let NOT a group’s hostility to you cause you to deviate from JUSTICE. Be JUST, for it is closer to piety. Be God conscious; for God is Well Aware of what you do.” (5-8 ).
Knowing all this, Are We Justified to ask questions and search for answers?
Knowing all this, would any true friend of Palestine, would any sane or moral person, want to see the Palestinians forced or coerced to live with such heartless warmongers?
True friends of Palestine would NOT defend the rights of thieves, murderers and serial killers to remain on STOLEN Land.
True friends of Palestine would NOT object to Palestinian aspiration of FULL Liberation.
True friends of Palestine would NOT divert the attention from the Real Criminals only to focus on a vague phantomic concept that can be dropped at any moment after achieving its goals. True Humanists and True Friends of Palestine would most certainly not shy away from speaking the TRUTH even when it hurts, and even against their own people.
Nahida Exiled
Mardi 8 novembre 2011
La paranoïa israélienne fait courir le plus grand des risques et dangers pour le monde. Les menaces d'Israël d'attaquer les installations nucléaires iraniennes sont désormais à prendre au sérieux pour un pays qui a perdu le sens de la mesure.
Depuis une semaine, un cabinet restreint israélien examine avec le Premier ministre Benjamin Netanyahu, la possibilité d'une telle option: rééditer une attaque massive contre les centrales iraniennes, à l'instar de ce que l'Etat hébreu avait déjà réalisé en 1981 contre la centrale nucléaire irakienne de Tamuz.
Une telle option n'est pas, en tout état de cause, écartée par le président israélien, Shimon Peres, qui affirmait dimanche aux médias qu'une attaque militaire contre l'Iran était une possibilité «plus proche que l'option diplomatique».
C'est dire que la folie semble gagner de plus en plus la classe dirigeante israélienne prête à déclencher l'apocalypse pour peu que l'Iran mette lui aussi à exécution ses propres menaces de riposte à toute attaque contre ses installations nucléaires.
Que fait la «communauté internationale» qui semble observer les «prodiges» que peut accomplir le petit monstre créé par l'ONU sous la pression des Etats-Unis?
Des réactions mitigées ont été notées de la part des chefs de la diplomatie russe et française. Le premier, Sergueï Lavrov, a déclaré: «Notre position sur ce point est bien connue: ce serait une très grave erreur, aux conséquences imprévisibles.» Son homologue français, Alain Juppé, a indiqué qu'une telle option serait «totalement déstabilisatrice pour la région et au-delà».
Las, ni l'un ni l'autre n'ont réellement condamné comme il se devait le chantage d'une attaque contre l'Iran qui serait une aventure suicidaire non seulement pour Israël mais également pour la région, sans doute aussi pour l'ensemble du monde, faisant même planer la menace d'une troisième guerre mondiale.
Or, l'Agence internationale de l'énergie atomique (Aiea) dépendant de l'ONU, actuellement en réunion à Vienne, occupée à préparer un énième rapport sur le nucléaire iranien (qui sera rendu public aujourd'hui) n'a pas trouvé politique de mettre en garde Israël contre toute attaque de ce pays.
Selon des informations parues jeudi dernier dans la presse israélienne, des avions de chasse israéliens prendraient part aux manoeuvres Vega 2011 de l'Otan dans une base près de Cagliari (Sardaigne). L'aviation israélienne serait ainsi l'hôte d'honneur qui, avec celles de pays membres de l'Otan, s'est exercée à des «attaques à longue portée». Outre ses missiles de courte et moyenne portée (de 1500 à 4500 km), Israël dispose depuis 2005 du missile Jéricho 3 à longue portée (7800 km).
Tous les spécialistes atomistes du monde estiment qu'Israël est la quatrième puissance nucléaire. Il y a quelques années, un historien militaire israélien d'origine hollandaise, Martin Van Cleveld, chercheur renommé et auteur d'études militaires, avait affirmé dans une interview qu'Israël avait des armes atomiques pointées contre toutes les capitales du monde occidental, évoquant au passage la «doctrine Samson» dont il a été beaucoup question à une certaine époque.
Selon cette théorie, s'il arrivait qu'Israël soit confronté à une situation telle qu'il lui semble être sur le point de succomber, alors il entraînerait le monde avec lui. Avant de céder, il lancerait des bombes atomiques sur l'Europe, sur le Monde arabe et sur les États-Unis.
Des sources proches du dossier affirment par ailleurs, que des scientifiques israéliens ont plusieurs fois affirmé que les Israéliens peuvent frapper n'importe quel point du globe.
Si tel est le cas, ce n'est pas seulement Israël qui serait à mettre au banc de l'infamie, mais aussi ceux qui l'ont armé et l'ont introduit dans la science nucléaire en en faisant un monstre échappant à tout contrôle, demeurant impuni pour ses crimes et imposant ses vues au monde entier. C'est la planète qui est aujourd'hui à la merci du chantage israélien.
http://www.lexpressiondz.com/edito/142287-le-chantage-israelien.html
Guerre De L'Information
Soutenus par le pays le plus endetté au monde les US qui voient d’un bon œil une troisième guerre mondiale pour renflouer leur économie moribonde - la guerre c’est bon pour le bizness - la bande de dirigeants psychopathes et de colons dégénérés juifs sionistes est en pleine crise de Massadite aïgue projetant de provoquer un holocauste nucléaire mondial.
La campagne médiatique de propagande iranophobe bat son plein menée par les américano sionistes et leur laquais européens l’Allemagne la Grande Bretagne et la France en tête. Le squatteur mafieux de l’Elysée dans ses délires de grandeur a lui-même assuré après sa campagne militaire en Libye contre Kadhafi qu’il a fait exécuter par ses tueurs à gage du CNT que : «si la sécurité d’Israël était menacée La France ne resterait pas sans rien faire». Comme «SA France» se réduit comme peau de chagrin de jour en jour va-t-il envoyer des membres de sa tribu élargie inclus ses fils ½ casher sur le front au Moyen Orient ?
Tout se battage médiatique vise avant tout à intensifier la diabolisation de l’Iran dans un contexte économique catastrophique visant à terme la destruction des états nations en accélérant leur faillite comme c’est désormais le cas de la Grèce mais aussi à monter les peuples européens les uns contre les autres pour mieux les rallier contre un ennemi commun : l’Iran. Vieille tactique que les américano sionistes actualisent avec les nouveaux moyens technologiques dont ils disposent pour mieux imposer leur domination mondiale économique, militaire, politique.
"Donnez moi le contrôle sur la monnaie d'une nation, et je n'aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois." Mayer Amshel Rothschild (1743-1812)
Ce grand déballage médiatique qui trompette partout qu’Israël va attaquer l’Iran vise à normaliser une attaque israélienne qui se fera par surprise le moment venu avec le feu vert de Washington quoiqu’en disent les Américains dont les satellites espions surveillent les moindres mouvements au dessus de la Palestine de l’Iran, de l’Irak…
La presse israélienne - qui a sonné la charge de la propagande de guerre intensive contre l’Iran toute la semaine dernière par des «fuites» savamment orchestrées - fait remarquer aujourd’hui que le départ des Américains d’Irak fin 2011 marquera aussi la fin de la zone d’exclusion aérienne au dessus de l’Irak et par conséquent la voie sera libre pour les avions de combat israéliens pour emprunter le plus court chemin pour aller bombarder l’Iran.
Mais personne dans les médias de masse ne pose la question : de quel droit Israël attaquerait-il l’Iran ? Tous prennent pour argent comptant les fadaises sionistes du droit à une attaque «préventive» dans le cadre de son «autodéfense»?
Et que diraient ces mêmes médias si l’Iran menacé depuis plusieurs années par des discours violemment belliqueux des Israéliens des Américains et des Britanniques utilisait le même argument pour bombarder Dimona où Israël fabrique ses armes nucléaires ?
Personne non plus dans les milieux politiques et au sein des institutions internationales supposées garantir la paix mondiale ou dénucléariser la planète (ONU, AIEA) n’interpelle le gouvernement israélien en lui rappelant que ce serait un acte de guerre condamnable du même type que l’invasion de la Pologne par Hitler.
Il est vrai que l’ONU de Ban Ki moon est asservie au dictat américano sioniste de même que l’AIEA et son secrétaire général Yukiya Amano. Ban Ki moon et Yukiya Amano viennent tous deux de colonies américaines respectivement la Corée du sud et le Japon.
Tout ce battage médiatique se fait en anticipation -et pour forcer la main de la marionnette des US, Yukiya Amano- de la publication d’un rapport de l’AIEA mardi prochain et dans lequel l’Iran selon les fuites orchestrées au sein même de l’AIEA auprès des agences de presse dont l’AP Sioniste - serait impliqué dans un programme nucléaire militaire.
Comme pour l’histoire de l’assassinat de l’ambassadeur saoudien à Washington - une affaire montée de toute pièce par le FBI avec la complicité du Mossad et autres officines de barbouzes étrangères- cette fois selon les fuites le rapport de l’AIEA s’accompagnerait de "preuves irréfutables" contre l’Iran fournies dans un document de 12 pages en appendice (photos satellites et autres documents mis à disposition de l ’AIEA par des agences de renseignements étrangères CIA, Mossad et consorts).
L’Iran a accusé l’AIEA de vouloir publier un rapport basé sur de faux documents pour satisfaire aux pressions des Américains qui avaient déjà fabriqué de fausses «preuves» contre le gouvernement irakien de Saddam Hussein l’accusant d’avoir voulu acheter de l’uranium au Niger pour fabriquer une bombe, justifiant ainsi son attaque et son invasion de l’Irak en 2003.
Le ministre des affaires étrangères iranien, Ali Akbar Salehi, a déclaré samedi que l’Iran ne craignait pas les « révélations » du rapport de l’AIEA : «Nous savons qu’ils vont publier de nouveaux documents. Nous connaissons la vérité - Qu’ils les publient et nous verront ce qui va se passer. Ne seront-ils pas remis en question venant d’une agence sous pression de puissances étrangères».
Ce n’est pas la première fois que l’AIEA évoque des «preuves» extérieures qui contredisent ce que ses enquêteurs sur le terrain ont toujours affirmé : qu’il n’existait aucune preuve du détournement par l’Iran de son programme nucléaire à des fins militaires. Mais sous la direction d’Amano l’AIEA est devenue la chambre d’enregistrement des dictats américano sionistes et de leurs complots contre l’Iran sapant par là même la crédibilité de l’AIEA déjà mal en point. L’objectif pour le moment est de faire passer une nouvelle résolution au CSONU pour renforcer les sanctions contre l’Iran ce à quoi la Russie et la Chine s’opposent toujours et vont certainement continuer à s’opposer.
Cette fois contrairement à ce qui s’est passé en Libye, la France de Sarkozy/Jupé joue dans la pièce de théâtre contre l’Iran le rôle du modérateur avertissant qu’il fallait «éviter tout acte d’agression contre la République Islamique» selon Jupé car «une intervention militaire pourrait créer une situation destabilisant tout le Moyen Orient « et «nous avons imposé des sanctions contre l’Iran qui peuvent être durcies pour mettre la pression sur l’Iran« .
Voilà révélé clairement par l'américano sioniste Jupél’objectif principal de cette campagne de propagande médiatique iranophobe orchestrée à Tel Aviv Washington Londres Paris Berlin ect..
Les cinglés de Tel Aviv en pleine crise de Massadite aïgue.
Le régime sioniste n’arrête pas de crier au loup pour justifier une politique étrangère belliqueuse avec des arrière- pensées militaires à l’égard de l’Iran. Les Juifs sionistes sont atteints de ce que l’on appelle le complexe de Massada les poussant à l’autodestruction.
Comme l’écrit justement le journaliste israélien Gideon Levy dans le quotidien Haaretz dans un article publié le 06/11/2011 intitulé «c’est la folie qui guide la direction israélienne pas la logique » :
«Ceux qui menacent l’Iran actuellement sont les vrais lâches. En fait les courageux sont ceux qui essaient de déjouer cette folie, de l’ancien dirigeant du Mossad, Meir Dagan, au ministre de l’intérieur, Eli Yishai.
« … Les discussions en cours actuellement avec un sérieux terrifiant sur la possibilité de bombarder l’Iran montre que c’est en fait ici en Israël que la folie prévaut. La folie iranienne doit encore être prouvée, en Israël elle est déjà claire comme le jour.
Israël n’a pas de direction politique rationnelle. La plupart de ses actions ne peuvent être expliquées logiquement. Ce n’est pas la logique qui dicte la construction continue dans les territoires, ce n’est pas la logique qui explique la guerre déclarée par le gouvernement à l’autorité palestinienne sans envisager ce qui en ressortira à la place. Il n’y a pas non plus de logique dans les actions d’Israël pour renforcer le Hamas. …
«... C’est autre chose qui guide la direction d’Israël et on ne peut pas l’appeler logique. L’opinion publique israélienne ne peut pas non plus être considérée un seul instant comme se conduisant rationnellement. La plupart des Israéliens pensent que de bombarder l’Iran provoquera un embrasement régional et pourtant il y a plus d’Israéliens qui favorisent une telle attaque que ceux qui sont contre. Si cela est être sain d’esprit alors c’est quoi la folie ?... »
Le monde ne peut se laisser entraîner dans une guerre nucléaire - car bombarder les sites nucléaires de l’Iran y compris avec des bombes bunker buster « Made in USA » fournies gracieusement par le «Prix Nobel de la Paix« Barack Obama - provoquera comme il a été prouvé par des simulations des retombées radioactives et pas seulement en Iran ni dans les pays du Golfe.
La radioactivité est sans frontière comme on l’a vue avec la catastrophe nucléaire de Fukushima.
Selon certaines experts les menaces de guerre nucléaire proférées par les US et Israël à l’encontre de l’Iran pourraient pousser ce pays à se doter d’un «kit de survie nucléaire« autrement dit de la possibilité technologique de pouvoir fabriquer une bombe très rapidement en cas d’attaque prévisible et de menacer de l’utiliser comme force de dissuasion.
Israël qui selon les experts à environ 300 armes nucléaires disposent de certaines de ces armes en kit prêtes à être assemblées. L’Iran a vu le sort réservé à l’Irak de Saddam Hussein et de la Libye de Kadhafi ces deux dirigeants ayant fait la bêtise de faire confiance aux Américains et de démanteler leur programme nucléaire. Moins stupides, le Pakistan et la Corée du Nord utilisent leur force de dissuasion nucléaire contre la bellicosité américaine.
L’AIEA devrait se concentrer sur le désarmement des puissances nucléaires incluses celles qui n’ont pas signé le TNP- Israël en tête - ce qui reste sa mission principale. Au lieu de cela l’AIEA contribue par sa soumission au dictat américano sioniste à renforcer l’actuelle course aux armements nucléaires et sa partialité dans l’affaire du programme nucléaire iranien ne peut que convaincre les pays dont l’Iran lui-même n’ayant pas de force de dissuasion nucléaire de se doter de la bombe le plus rapidement possible pour se protéger de l’impérialisme américano sioniste et de leurs laquais.
La banalisation dans les médias de masse d’une possible attaque nucléaire israélienne ou américano israélienne et britannique contre l’Iran prouve à quel point l’humanité est en danger d’extermination.
Qui va stopper cet holocauste nucléaire planétaire programmé par les cinglés de Tel Aviv dans une crise de massadite aïgue ?
Tout se battage médiatique vise avant tout à intensifier la diabolisation de l’Iran dans un contexte économique catastrophique visant à terme la destruction des états nations en accélérant leur faillite comme c’est désormais le cas de la Grèce mais aussi à monter les peuples européens les uns contre les autres pour mieux les rallier contre un ennemi commun : l’Iran. Vieille tactique que les américano sionistes actualisent avec les nouveaux moyens technologiques dont ils disposent pour mieux imposer leur domination mondiale économique, militaire, politique.
"Donnez moi le contrôle sur la monnaie d'une nation, et je n'aurai pas à me soucier de ceux qui font ses lois." Mayer Amshel Rothschild (1743-1812)
Ce grand déballage médiatique qui trompette partout qu’Israël va attaquer l’Iran vise à normaliser une attaque israélienne qui se fera par surprise le moment venu avec le feu vert de Washington quoiqu’en disent les Américains dont les satellites espions surveillent les moindres mouvements au dessus de la Palestine de l’Iran, de l’Irak…
La presse israélienne - qui a sonné la charge de la propagande de guerre intensive contre l’Iran toute la semaine dernière par des «fuites» savamment orchestrées - fait remarquer aujourd’hui que le départ des Américains d’Irak fin 2011 marquera aussi la fin de la zone d’exclusion aérienne au dessus de l’Irak et par conséquent la voie sera libre pour les avions de combat israéliens pour emprunter le plus court chemin pour aller bombarder l’Iran.
Mais personne dans les médias de masse ne pose la question : de quel droit Israël attaquerait-il l’Iran ? Tous prennent pour argent comptant les fadaises sionistes du droit à une attaque «préventive» dans le cadre de son «autodéfense»?
Et que diraient ces mêmes médias si l’Iran menacé depuis plusieurs années par des discours violemment belliqueux des Israéliens des Américains et des Britanniques utilisait le même argument pour bombarder Dimona où Israël fabrique ses armes nucléaires ?
Personne non plus dans les milieux politiques et au sein des institutions internationales supposées garantir la paix mondiale ou dénucléariser la planète (ONU, AIEA) n’interpelle le gouvernement israélien en lui rappelant que ce serait un acte de guerre condamnable du même type que l’invasion de la Pologne par Hitler.
Il est vrai que l’ONU de Ban Ki moon est asservie au dictat américano sioniste de même que l’AIEA et son secrétaire général Yukiya Amano. Ban Ki moon et Yukiya Amano viennent tous deux de colonies américaines respectivement la Corée du sud et le Japon.
Tout ce battage médiatique se fait en anticipation -et pour forcer la main de la marionnette des US, Yukiya Amano- de la publication d’un rapport de l’AIEA mardi prochain et dans lequel l’Iran selon les fuites orchestrées au sein même de l’AIEA auprès des agences de presse dont l’AP Sioniste - serait impliqué dans un programme nucléaire militaire.
Comme pour l’histoire de l’assassinat de l’ambassadeur saoudien à Washington - une affaire montée de toute pièce par le FBI avec la complicité du Mossad et autres officines de barbouzes étrangères- cette fois selon les fuites le rapport de l’AIEA s’accompagnerait de "preuves irréfutables" contre l’Iran fournies dans un document de 12 pages en appendice (photos satellites et autres documents mis à disposition de l ’AIEA par des agences de renseignements étrangères CIA, Mossad et consorts).
L’Iran a accusé l’AIEA de vouloir publier un rapport basé sur de faux documents pour satisfaire aux pressions des Américains qui avaient déjà fabriqué de fausses «preuves» contre le gouvernement irakien de Saddam Hussein l’accusant d’avoir voulu acheter de l’uranium au Niger pour fabriquer une bombe, justifiant ainsi son attaque et son invasion de l’Irak en 2003.
Le ministre des affaires étrangères iranien, Ali Akbar Salehi, a déclaré samedi que l’Iran ne craignait pas les « révélations » du rapport de l’AIEA : «Nous savons qu’ils vont publier de nouveaux documents. Nous connaissons la vérité - Qu’ils les publient et nous verront ce qui va se passer. Ne seront-ils pas remis en question venant d’une agence sous pression de puissances étrangères».
Ce n’est pas la première fois que l’AIEA évoque des «preuves» extérieures qui contredisent ce que ses enquêteurs sur le terrain ont toujours affirmé : qu’il n’existait aucune preuve du détournement par l’Iran de son programme nucléaire à des fins militaires. Mais sous la direction d’Amano l’AIEA est devenue la chambre d’enregistrement des dictats américano sionistes et de leurs complots contre l’Iran sapant par là même la crédibilité de l’AIEA déjà mal en point. L’objectif pour le moment est de faire passer une nouvelle résolution au CSONU pour renforcer les sanctions contre l’Iran ce à quoi la Russie et la Chine s’opposent toujours et vont certainement continuer à s’opposer.
Cette fois contrairement à ce qui s’est passé en Libye, la France de Sarkozy/Jupé joue dans la pièce de théâtre contre l’Iran le rôle du modérateur avertissant qu’il fallait «éviter tout acte d’agression contre la République Islamique» selon Jupé car «une intervention militaire pourrait créer une situation destabilisant tout le Moyen Orient « et «nous avons imposé des sanctions contre l’Iran qui peuvent être durcies pour mettre la pression sur l’Iran« .
Voilà révélé clairement par l'américano sioniste Jupél’objectif principal de cette campagne de propagande médiatique iranophobe orchestrée à Tel Aviv Washington Londres Paris Berlin ect..
Les cinglés de Tel Aviv en pleine crise de Massadite aïgue.
Le régime sioniste n’arrête pas de crier au loup pour justifier une politique étrangère belliqueuse avec des arrière- pensées militaires à l’égard de l’Iran. Les Juifs sionistes sont atteints de ce que l’on appelle le complexe de Massada les poussant à l’autodestruction.
Comme l’écrit justement le journaliste israélien Gideon Levy dans le quotidien Haaretz dans un article publié le 06/11/2011 intitulé «c’est la folie qui guide la direction israélienne pas la logique » :
«Ceux qui menacent l’Iran actuellement sont les vrais lâches. En fait les courageux sont ceux qui essaient de déjouer cette folie, de l’ancien dirigeant du Mossad, Meir Dagan, au ministre de l’intérieur, Eli Yishai.
« … Les discussions en cours actuellement avec un sérieux terrifiant sur la possibilité de bombarder l’Iran montre que c’est en fait ici en Israël que la folie prévaut. La folie iranienne doit encore être prouvée, en Israël elle est déjà claire comme le jour.
Israël n’a pas de direction politique rationnelle. La plupart de ses actions ne peuvent être expliquées logiquement. Ce n’est pas la logique qui dicte la construction continue dans les territoires, ce n’est pas la logique qui explique la guerre déclarée par le gouvernement à l’autorité palestinienne sans envisager ce qui en ressortira à la place. Il n’y a pas non plus de logique dans les actions d’Israël pour renforcer le Hamas. …
«... C’est autre chose qui guide la direction d’Israël et on ne peut pas l’appeler logique. L’opinion publique israélienne ne peut pas non plus être considérée un seul instant comme se conduisant rationnellement. La plupart des Israéliens pensent que de bombarder l’Iran provoquera un embrasement régional et pourtant il y a plus d’Israéliens qui favorisent une telle attaque que ceux qui sont contre. Si cela est être sain d’esprit alors c’est quoi la folie ?... »
Le monde ne peut se laisser entraîner dans une guerre nucléaire - car bombarder les sites nucléaires de l’Iran y compris avec des bombes bunker buster « Made in USA » fournies gracieusement par le «Prix Nobel de la Paix« Barack Obama - provoquera comme il a été prouvé par des simulations des retombées radioactives et pas seulement en Iran ni dans les pays du Golfe.
La radioactivité est sans frontière comme on l’a vue avec la catastrophe nucléaire de Fukushima.
Selon certaines experts les menaces de guerre nucléaire proférées par les US et Israël à l’encontre de l’Iran pourraient pousser ce pays à se doter d’un «kit de survie nucléaire« autrement dit de la possibilité technologique de pouvoir fabriquer une bombe très rapidement en cas d’attaque prévisible et de menacer de l’utiliser comme force de dissuasion.
Israël qui selon les experts à environ 300 armes nucléaires disposent de certaines de ces armes en kit prêtes à être assemblées. L’Iran a vu le sort réservé à l’Irak de Saddam Hussein et de la Libye de Kadhafi ces deux dirigeants ayant fait la bêtise de faire confiance aux Américains et de démanteler leur programme nucléaire. Moins stupides, le Pakistan et la Corée du Nord utilisent leur force de dissuasion nucléaire contre la bellicosité américaine.
L’AIEA devrait se concentrer sur le désarmement des puissances nucléaires incluses celles qui n’ont pas signé le TNP- Israël en tête - ce qui reste sa mission principale. Au lieu de cela l’AIEA contribue par sa soumission au dictat américano sioniste à renforcer l’actuelle course aux armements nucléaires et sa partialité dans l’affaire du programme nucléaire iranien ne peut que convaincre les pays dont l’Iran lui-même n’ayant pas de force de dissuasion nucléaire de se doter de la bombe le plus rapidement possible pour se protéger de l’impérialisme américano sioniste et de leurs laquais.
La banalisation dans les médias de masse d’une possible attaque nucléaire israélienne ou américano israélienne et britannique contre l’Iran prouve à quel point l’humanité est en danger d’extermination.
Qui va stopper cet holocauste nucléaire planétaire programmé par les cinglés de Tel Aviv dans une crise de massadite aïgue ?
Morning Joe Panel Speaks With Iranian Official
Saturday, 25 February 2012
ROBERT BURNS, THE ASSOCIATED PRESS
WASHINGTON - An Israeli pre-emptive attack on Iran's nuclear sites could draw the U.S. into a new Mideast conflict, a prospect dreaded by a war-weary Pentagon wary of new entanglements.
That could mean pressing into service the top tier of American firepower — warplanes, warships, special operations forces and possibly airborne infantry — with unpredictable outcomes in one of the world's most volatile regions.
"Israel can commence a war with Iran, but it may well take U.S. involvement to conclude it," says Karim Sadjadpour, a Middle East specialist at the Carnegie Endowment for International Peace.(...)
Concocted Saudi assassination plot failed to produce Israel lobby’s desired Iran Central Bank sanctions
January 2011: Israel Says No Iranian Nuclear Bomb Before 2015
Former Mossad Chief Seeks to Avert Israeli Attack
L’ancien chef du Mossad contre l’attaque de l’Iran
Top Israeli firm: World more likely to accept nuclear Iran than pay high cost of war
British military chief General Sir David Richards has secretly visited Tel Aviv earlier this week, the Israeli daily The Jerusalem Post quoted the regime's military sources as saying.
Lieberman: Military force against Iran must be considered
AIPAC mouthpiece Allen West: US Must ‘Absolutely’ Support Israel in Iran Attack
IAEA ‘intelligence’ from ‘the same folks who brought us the Niger uranium forgeries’
Mossad, CIA, MI6 Set up Spying Centers Near Iranian Borders
VIDEO - IAEA report reminiscent of Iraq War lies
VIDEO - US and Israel behind the IAEA reports?
VIDEO - Israel influenced IAEA report on Iran - Press TV News
VIDEO - U.S. guilty by association with Israel’s anti-Iran psyops
VIDEO - James Morris sets Press TV straight on who’s the ‘proxy’ in the U.S.-Israel ‘special relationship’
Israël empêche les experts internationaux d'inspecter ses réacteurs nucléaires
Les nouveaux missiles balistiques israéliens peuvent frapper les capitales européennes
Former Mossad chief: Israeli strike on Iran will lead to regional war
Blankfort & Giraldi: Who is Pushing for War on Iran?
Matthew Gould: Britain’s ‘Fair and Balanced’ Man in Tel Aviv
America's Covert War Against Iran. Do 'All Options' Mean Nukes?
Dershowitz: Israel Has Legal Right to Attack Iran
VIDEO: Accusing Iran of being Behind 9/11. Pretext to Wage War on Iran?
Rick Perry Supports Israeli Attack On Iran, Even If It Sparks Regional War
Huntsman Says He’d Launch A Ground Invasion To Prevent Iran From Getting Nukes
January 2011: Israel Says No Iranian Nuclear Bomb Before 2015
Former Mossad Chief Seeks to Avert Israeli Attack
L’ancien chef du Mossad contre l’attaque de l’Iran
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British military chief General Sir David Richards has secretly visited Tel Aviv earlier this week, the Israeli daily The Jerusalem Post quoted the regime's military sources as saying.
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AIPAC mouthpiece Allen West: US Must ‘Absolutely’ Support Israel in Iran Attack
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Huntsman Says He’d Launch A Ground Invasion To Prevent Iran From Getting Nukes
Britain’s Jewish Ambassador to Israel and the Plot to Attack Iran
By Craig Murray
November 14, 2011
On 29 May 2011, The Jerusalem Post reported: “British Ambassador Matthew Gould declared his commitment to Israel and the principles of Zionism on Thursday”.
Remember this background, it is unusual behaviour for a diplomat, and it is important.
The six meetings between British Ambassador to Israel Matthew Gould and Minister of Defence Liam Fox and Adam Werritty together – only two of which were revealed by Cabinet Secretary Gus O’Donnell in his “investigation” into Werritty’s unauthorised role in the Ministry of Defence – raise vital concerns about a secret agenda for war at the core of government, comparable to Blair’s determination to drive through a war on Iraq…
This is a detective story. It begins a few weeks ago, when the Fox-Werritty scandal was first breaking in the media. I had a contact from an old friend from my Foreign Office days. This friend had access to the Gus O’Donnell investigation. He had given a message for me to a trusted third party.
Matthew Gould and the Plot to Attack Iran
[Editor's note: Former UK ambassador to Uzbekistan, Craig Murray, has had many of his articles published by in the mainstream press over the past 15 years. Over the past few weeks however, all mainstream press outlets (including the supposedly 'liberal' ones) that were contacted with a view to publishing this particular piece refused to do so, for unspecified reasons.]
The picture on the left shows Matthew Gould, second from right, British Ambassador to Israel, at a meeting of the Leeds Zionist Federation that was also the opening of the Leeds Hasbarah Centre. The Leeds Zionist Federation is part of the Zionist Federation of Great Britain and Ireland, motto "Speaking Up for Israel." A collection was made at the meeting to send packages to members of the Israeli Defence Force.
On 29 May 2011 The Jerusalem Post reported: "British Ambassador Matthew Gould declared his commitment to Israel and the principles of Zionism on Thursday".
Remember this background, it is unusual behaviour for a diplomat, and it is important.
The six meetings between British Ambassador to Israel Matthew Gould and Minister of Defence Liam Fox and Adam Werritty together - only two of which were revealed by Cabinet Secretary Gus O'Donnell in his "investigation" into Werritty's unauthorised role in the Ministry of Defence - raise vital concerns about a secret agenda for war at the core of government, comparable to Blair's determination to drive through a war on Iraq..
This is a detective story. It begins a few weeks ago, when the Fox-Werritty scandal was first breaking in the media. I had a contact from an old friend from my Foreign Office days. This friend had access to the Gus O'Donnell investigation. He had given a message for me to a trusted third party.
Whistleblowing in the surveillance state is a difficult activity. I left through a neighbour's garden, not carrying a mobile phone, puffed and panted by bicycle to an unmonitored but busy stretch of road, hitched a lift much of the way, then ordered a minicab on a payphone from a country pub to my final destination, a farm far from CCTV. There the intermediary gave me the message: what really was worrying senior civil servants in the Cabinet Office was that the Fox-Werritty link related to plans involving Mossad and the British Ambassador to Israel, Matthew Gould.
La Presse Canadienne
Herzliya
POLITIQUE CANADIENNE
Publié le 30 janvier 2012 à 19h03 | Mis à jour le 30 janvier 2012 à 20h30
Mike Blanchfield
La Presse Canadienne
Ottawa
Sur ce blog:
Le Canada, nouvel ambassadeur d'Israël et de la lutte contre l'antisémitisme à travers le monde
"Ils menacent de sanctions et de représailles militaires tous ceux qui émettent des doutes sur le 11 septembre ou la Shoah"
Dieudonné et Nabe contre les mensonges médiatiques
L'Iran ne croit pas la fable convenue du 11 septembre ; les États-Unis en mal de casus belli l'accusent d'avoir monté le coup
Rechercher tous les articles sur l'Iran sur ce blog
On 29 May 2011 The Jerusalem Post reported: "British Ambassador Matthew Gould declared his commitment to Israel and the principles of Zionism on Thursday".
Remember this background, it is unusual behaviour for a diplomat, and it is important.
The six meetings between British Ambassador to Israel Matthew Gould and Minister of Defence Liam Fox and Adam Werritty together - only two of which were revealed by Cabinet Secretary Gus O'Donnell in his "investigation" into Werritty's unauthorised role in the Ministry of Defence - raise vital concerns about a secret agenda for war at the core of government, comparable to Blair's determination to drive through a war on Iraq..
This is a detective story. It begins a few weeks ago, when the Fox-Werritty scandal was first breaking in the media. I had a contact from an old friend from my Foreign Office days. This friend had access to the Gus O'Donnell investigation. He had given a message for me to a trusted third party.
Whistleblowing in the surveillance state is a difficult activity. I left through a neighbour's garden, not carrying a mobile phone, puffed and panted by bicycle to an unmonitored but busy stretch of road, hitched a lift much of the way, then ordered a minicab on a payphone from a country pub to my final destination, a farm far from CCTV. There the intermediary gave me the message: what really was worrying senior civil servants in the Cabinet Office was that the Fox-Werritty link related to plans involving Mossad and the British Ambassador to Israel, Matthew Gould.
En Israël, Baird appelle à plus de sanctions contre l'Iran
Publié le 01 février 2012 à 19h20 | Mis à jour à 19h20
Le ministre des Affaires étrangères, John Baird, a conclu mercredi sa visite d'Israël et des territoires palestiniens avec l'espoir que les... »
La Presse Canadienne
Herzliya
Le ministre des Affaires étrangères, John Baird, a conclu mercredi sa visite d'Israël et des territoires palestiniens avec l'espoir que les leaders de l'État hébreu continueront d'appuyer les sanctions plus dures de la communauté internationale envers l'Iran et ses ambitions nucléaires.
Lors d'une conférence de presse organisée en marge de la XIIe Conférence israélienne annuelle d'Herzliya sur la sécurité, M. Baird a soutenu que les sanctions commençaient à avoir un impact significatif.
Il est important, pour la communauté internationale, de redoubler d'efforts pour lutter contre les plans nucléaires, a-t-il ajouté, parlant d'utiliser toutes les mesures diplomatiques possibles en la matière.
Lors de ses discussions avec des dirigeants israéliens, le ministre a également dit avoir entendu parler de craintes concernant l'état «lamentable» des droits de la personne en Iran, qui alimente aussi les tensions dans le sud du Liban, la bande de Gaza et à Bahreïn.
Les mêmes questions surgissent régulièrement lors de ses discussions avec les ministres arabes des Affaires étrangères, a-t-il ajouté.
Questionné à propos de la possibilité d'une frappe militaire contre l'Iran, M. Baird a répété les propos du président américain Barack Obama, selon qui «tout est possible», bien qu'il ait réitéré la nécessité de poursuivre les échanges diplomatiques.
Le ministre a également soutenu l'exigence d'Israël voulant que les Palestiniens reviennent sans conditions à la table de négociations.
Il s'est toutefois montré confiant que l'impasse des colonies israéliennes illégales en vertu du droit international serait bientôt chose du passé. Les deux parties ont par le passé affirmé que les frontières de 1967 représentaient un point de départ pour des échanges de territoire mutuels, a dit M. Baird.
Celui-ci a aussi salué l'approche de la Ligue arabe qui a demandé l'intervention du Conseil de sécurité de l'ONU dans le dossier syrien et l'imposition de sanctions. Au dire de M. Baird, il s'agit là d'une «évolution appréciée de la situation».
Il est important, pour la communauté internationale, de redoubler d'efforts pour lutter contre les plans nucléaires, a-t-il ajouté, parlant d'utiliser toutes les mesures diplomatiques possibles en la matière.
Lors de ses discussions avec des dirigeants israéliens, le ministre a également dit avoir entendu parler de craintes concernant l'état «lamentable» des droits de la personne en Iran, qui alimente aussi les tensions dans le sud du Liban, la bande de Gaza et à Bahreïn.
Les mêmes questions surgissent régulièrement lors de ses discussions avec les ministres arabes des Affaires étrangères, a-t-il ajouté.
Questionné à propos de la possibilité d'une frappe militaire contre l'Iran, M. Baird a répété les propos du président américain Barack Obama, selon qui «tout est possible», bien qu'il ait réitéré la nécessité de poursuivre les échanges diplomatiques.
Le ministre a également soutenu l'exigence d'Israël voulant que les Palestiniens reviennent sans conditions à la table de négociations.
Il s'est toutefois montré confiant que l'impasse des colonies israéliennes illégales en vertu du droit international serait bientôt chose du passé. Les deux parties ont par le passé affirmé que les frontières de 1967 représentaient un point de départ pour des échanges de territoire mutuels, a dit M. Baird.
Celui-ci a aussi salué l'approche de la Ligue arabe qui a demandé l'intervention du Conseil de sécurité de l'ONU dans le dossier syrien et l'imposition de sanctions. Au dire de M. Baird, il s'agit là d'une «évolution appréciée de la situation».
POLITIQUE CANADIENNE
Publié le 30 janvier 2012 à 19h03 | Mis à jour le 30 janvier 2012 à 20h30
John Baird offre son appui à Nétanyahou
Le ministre canadien des Affaires étrangères, John Baird, au mémorial de l'Holocauste Yad Vashem à Jérusalem.
Photo AP
La Presse Canadienne
Ottawa
Les Palestiniens devraient reprendre immédiatement et sans conditions les pourparlers de paix avec Israël, a fait valoir lundi le ministre John Baird, se rangeant résolument derrière l'État hébreu.
Le ministre canadien des Affaires étrangères était de passage à Jérusalem, où il a prononcé un discours d'appui au premier ministre Benjamin Nétanyahou.
M. Baird a vanté le leadership de M. Nétanyahou et a ajouté qu'il était «fier», l'automne dernier, d'entendre son discours à l'assemblée générale des Nations unies.
M. Baird a présenté son message dans les territoires palestiniens, plus tard lundi, où il a rencontré le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Le ministre a pressé le chef palestinien de faire la paix, de reconnaître l'existence d'Israël et de revenir à la table de négociations.
«Les Palestiniens et les Israéliens ont droit d'avoir leurs propres États libres», a déclaré M. Baird lors de sa rencontre à Ramallah. «Ils méritent de vivre en paix, en sécurité et avec dignité. À cette fin, ils doivent tous utiliser leur liberté à bon escient.»
«En résistant aux tentations d'imposer des conditions préalables aux négociations et en évitant des mesures qui risqueraient de pré-déterminer les résultats des discussions, le leadership palestinien pourrait immédiatement progresser en direction d'une transition plus stable et mesurée vers sa reconnaissance officielle en tant qu'État.»
Les déclarations du ministre Baird viennent clairement placer le Canada dans le camp d'Israël.
Le gouvernement Harper a été souvent critiqué par les Canadiens musulmans ou d'origine arabe pour ses prises de position en faveur de l'État hébreu.
D'autres détracteurs estiment que les conservateurs ont ruiné la réputation de «négociant honnête» du Canada dans le cadre du processus de paix du Proche-Orient.
«Pour un pays comme le Canada, la chose facile à faire sera de simplement aller de pair avec le sentiment anti-Israël, d'aller de pair avec d'autres pays», a lancé M. Baird lundi.
«Il serait plus facile de prétendre qu'adopter une rhétorique anti-Israël est en quelque sorte juste, et d'excuser le tout avec le faux prétexte d'être un "négociant honnête".»
Depuis des mois, Israéliens et Palestiniens ont tenu des rencontres exploratoires sous médiation jordanienne pour établir le cadre de négociations officielles.
La frustration causée par ce processus est apparue dimanche lorsque M. Abbas a accusé Israël de présenter des propositions concrètes concernant les frontières des deux États et sur la question de la sécurité. M. Nétanyahou, de son côté, a accusé la partie palestinienne de refuser de discuter des besoins sécuritaires israéliens.
M. Baird a vanté le leadership de M. Nétanyahou et a ajouté qu'il était «fier», l'automne dernier, d'entendre son discours à l'assemblée générale des Nations unies.
M. Baird a présenté son message dans les territoires palestiniens, plus tard lundi, où il a rencontré le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas. Le ministre a pressé le chef palestinien de faire la paix, de reconnaître l'existence d'Israël et de revenir à la table de négociations.
«Les Palestiniens et les Israéliens ont droit d'avoir leurs propres États libres», a déclaré M. Baird lors de sa rencontre à Ramallah. «Ils méritent de vivre en paix, en sécurité et avec dignité. À cette fin, ils doivent tous utiliser leur liberté à bon escient.»
«En résistant aux tentations d'imposer des conditions préalables aux négociations et en évitant des mesures qui risqueraient de pré-déterminer les résultats des discussions, le leadership palestinien pourrait immédiatement progresser en direction d'une transition plus stable et mesurée vers sa reconnaissance officielle en tant qu'État.»
Les déclarations du ministre Baird viennent clairement placer le Canada dans le camp d'Israël.
Le gouvernement Harper a été souvent critiqué par les Canadiens musulmans ou d'origine arabe pour ses prises de position en faveur de l'État hébreu.
D'autres détracteurs estiment que les conservateurs ont ruiné la réputation de «négociant honnête» du Canada dans le cadre du processus de paix du Proche-Orient.
«Pour un pays comme le Canada, la chose facile à faire sera de simplement aller de pair avec le sentiment anti-Israël, d'aller de pair avec d'autres pays», a lancé M. Baird lundi.
«Il serait plus facile de prétendre qu'adopter une rhétorique anti-Israël est en quelque sorte juste, et d'excuser le tout avec le faux prétexte d'être un "négociant honnête".»
Depuis des mois, Israéliens et Palestiniens ont tenu des rencontres exploratoires sous médiation jordanienne pour établir le cadre de négociations officielles.
La frustration causée par ce processus est apparue dimanche lorsque M. Abbas a accusé Israël de présenter des propositions concrètes concernant les frontières des deux États et sur la question de la sécurité. M. Nétanyahou, de son côté, a accusé la partie palestinienne de refuser de discuter des besoins sécuritaires israéliens.
VIDEO - La doctrine Harper: Israël à la vie à la mort
VIDEO - retour sur le grand reportage
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Le Canada, nouvel ambassadeur d'Israël et de la lutte contre l'antisémitisme à travers le monde
"Ils menacent de sanctions et de représailles militaires tous ceux qui émettent des doutes sur le 11 septembre ou la Shoah"
Dieudonné et Nabe contre les mensonges médiatiques
L'Iran ne croit pas la fable convenue du 11 septembre ; les États-Unis en mal de casus belli l'accusent d'avoir monté le coup
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