TORONTO — “I am here to express our appreciation to Canada, its government and its people,” Israeli Foreign Minister Avigdor Lieberman, , left, told The CJN on the weekend. “Canada is our best, most reliable friend in the world. And it is necessary to prove friendship by expressing appreciation to your friends.” |
Nations Unies--Harper appuie Israël
Le Canada se porte à la défense d'Israël, à l'ONU
Une analyse critique du rapport de la CPCCA fait état de fausses affirmations sur l'antisémitisme au Canada
19 sept. 2011 20h16 HE
Le Canada devient le premier pays à signer le Protocole d'Ottawa contre l'antisémitisme
OTTAWA, ONTARIO--(Marketwire - 19 sept. 2011) -
Ottawa, le 19 septembre 2011- Le ministre de la Citoyenneté, de l'Immigration et du Multiculturalisme, Jason Kenney, et le ministre des Affaires étrangères, John Baird, sont les hôtes d'un événement dans le cadre duquel le protocole d'Ottawa sur la lutte contre l'antisémitisme est signé.
Le ministre de la Citoyenneté, de l'Immigration et du Multiculturalisme, Jason Kenney, et le ministre des Affaires étrangères, John Baird, ont signé aujourd'hui le Protocole d'Ottawa sur la lutte contre l'antisémitisme.
Le Protocole est un plan d'action élaboré au cours de la deuxième conférence annuelle de la Coalition interparlementaire de lutte contre l'antisémitisme (ICCA), qui s'est tenue à Ottawa en novembre 2010. La signature du Protocole témoigne de l'appui que le gouvernement du Canada lui apporte et de sa détermination à réaliser les objectifs qui y sont associés.
«Le gouvernement agit en tant que chef de file dans la lutte contre l'antisémitisme, a affirmé le ministre Kenney. Le Protocole d'Ottawa complète les efforts que le Canada déploie actuellement pour lutter contre la haine et la discrimination, notamment contre l'antisémitisme. Le Canada est membre du Groupe de travail pour la coopération internationale en matière d'éducation, de mémoire et de recherche au sujet de l'Holocauste, et ici, au pays, il a lancé des programmes ayant pour but de promouvoir la cohésion sociale et l'intégration des Canadiens de tous les milieux.»
Le Protocole aidera les pays à mesurer et à mettre en évidence les progrès qu'ils réalisent en ce qui a trait à la lutte contre l'antisémitisme. Le Protocole appelle les dirigeants des groupes confessionnels à lutter contre la haine et la discrimination, notamment contre l'antisémitisme, et les gouvernements à réitérer leur engagement à l'égard de la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide des Nations Unies (1948) et leur volonté d'assurer son application. Le Protocole appelle également à l'établissement d'un groupe de travail international chargé de relever et de surveiller les cas de haine sur Internet et à l'élaboration d'un système complet d'enregistrement des données concernant tous les crimes haineux, y compris les crimes commis au nom de l'antisémitisme.
«La signature du Protocole d'Ottawa montre que le gouvernement est toujours fermement résolu à agir comme chef de file dans le cadre des efforts mondiaux concertés visant à lutter contre l'antisémitisme, a affirmé le ministre Baird. Alors que le Canada procède à la conception et à l'érection d'un Monument national de l'Holocauste dans la région de la capitale nationale, nous prévoyons également faire part de notre engagement aux parlementaires des quatre coins du monde afin de leur proposer de se joindre à nous et de signer le Protocole.»
Les ministres ont ajouté que l'engagement du gouvernement du Canada envers la lutte contre l'antisémitisme est la raison pour laquelle le Canada ne participera pas aux activités qui se tiendront plus tard au cours du mois de septembre et qui auront pour but de commémorer le 10e anniversaire de l'adoption de la Déclaration et du Programme d'action de Durban, aussi appelée Durban III.
«Notre gouvernement a perdu confiance dans le processus de Durban et ne participera pas à cette rencontre visant à commémorer des activités qui font la promotion du racisme plutôt que de le combattre», a indiqué le ministre Kenney.
Canada looks to strengthen trade with Israel
Baird, Flaherty celebrate Canada-Israel friendship
Canada Is Israeli Occupied Territory: Canada Competes With The US For Being The Biggest Israel Butt Kissers!
Voir aussi: Chronique nécrologique: Liberté d’expression sur l’Internet au Canada (2011)
VIDEO - Le Canada sous influence: le poids du lobby pro-Israël à Ottawa - Pt 1
VIDEO - Le Canada sous influence du lobby pro-Israël à Ottawa - Pt 2
VIDEO - Retour sur le Grand Reportage
Flashback: "Quand le Canada représente les intérêts d'Israël"
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La Presse canadienne
27 septembre 2011
Code criminel: Ottawa limitera à deux jours la deuxième lecture de la loi omnibus
Ottawa — Comme prévu, le gouvernement fédéral accélère l’étude de sa loi omnibus qui resserre plusieurs articles du Code criminel: le débat en deuxième lecture ne durera que deux jours.
L’opposition néodémocrate, qui s’attend à une pareille manœuvre à l’étape du comité parlementaire, dénonce cette guillotine.
«C’est une démarche extrême dans un Parlement, au terme d’un long débat. Le Parlement vient à peine de commencer», s’offusque le leader parlementaire du Nouveau Parti démocratique (NPD), Thomas Mulcair.
La loi omnibus a été déposée la semaine dernière. Les conservateurs avaient promis, durant la campagne électorale, que leurs engagements majeurs en termes de loi et ordre deviendraient lois en moins de 100 jours.
M. Mulcair reproche au gouvernement de ne pas donner une étude chiffrée des coûts des modifications proposées par sa loi. «On sait que ça va comporter une dépense massive pour les provinces. Les conservateurs ne veulent pas qu’on ait les vrais chiffres», accuse M. Mulcair.
Le gouvernement Harper est tombé au printemps dernier parce qu’il a été trouvé coupable d’outrage au Parlement pour avoir refusé, entre autres, de fournir à l’opposition le détail des coûts de ces projets de loi en matière de criminalité.
Will Canada’s social-democratic party be able to prevent a leadership coup?
gregfelton.com
(February 1, 2012)
On March 24, Canada’s New Democratic Party will do more than elect a new leader; it will face a test of character.
As it stands, the NDP is the only major national party not led by an avowed zionist. Stephen Harper leads a cabal of governing “Likudniks,” who value subservience to Israel above all else, and the interim leader of the “Labour-Zionist” Liberals, Bob Rae, is on the board of the Jewish National Fund, an organization so criminal that it has been condemned in Israel as racist.
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Does Mulcair mean to say that he “ardently supports” Israel’s collective punishment of Palestinians, which includes torturing children, bulldozing homes, and keeping Palestinians near starvation levels as a matter of national policy? Do these constitute morally defensible “situations and circumstances?” Based on his abject endorsement of Israel, the answer is clearly, “yes.” The fact that all of the preceding are contrary to Canadian and international law, to say nothing of basic humanity, doesn’t faze Mulcair one bit. What a mensch!
How this walking advertisement for sedition found a home in a left-of-centre, social-democratic party is bizarre. The NDP, after all, still cleaves to the quaint notions that the federal government should defend the Constitution, uphold the rule of law, oppose military aggression, stand up for victims of human rights abuses, and generally serve the public good. Such high-minded ethical standards clearly distinguish it from both “Likud” and “Labour,” which are financially and politically indentured to the Israel Lobby.
So, why would the NDP even allow someone like Mulcair in the front door? This question takes on added significance when we recall that Mulcair had first considered joining Harper’s Likudniks, and was even said to have been tempted by a cabinet appointment. That would at least have made sense. When questioned last July about the earlier offer, though, the NDP’s newly minted interim leader Nycole Turmel seemed curiously unconcerned: “[Mulcair] was contacted by a number of people, a number of political parties and he chose to come work with us. He chose the NDP and I’m proud of that. He’s a great candidate.”
Mulcair represents Outremont, a small, wealthy riding on the Island of Montreal, which he won in a 2007 by-election, thus making him the NDP’s (ta-da!) first MP from Quebec to go on to win in a general election. Outremont has a substantial Jewish population, more than 20%; in the larger Labour riding of Mount Royal just to the south, represented by Israel-firster extraordinaire Irwin Cotler, it is 36%. If the NDP expects to make inroads into Quebec it is logical for it to compete for the Jewish vote, but how far is the NDP prepared to go to mortgage its principles for electoral advantage?
As party leader, Mulcair would be expected to protect his caucus colleagues from harassment and abuse from other parties, but in 2010 he sided with Labour and Likud to call for the resignation of fellow MP Libby Davies as NDP House Leader. Davies’s “crime” was to state that Israel’s occupation of Palestine began in 1948, not 1967. Her statement is a fact supported by historical documents that include admissions from leading political and military Israelis like David Ben Gurion and Gen. Moshe Dayan.
Mulcair’s contemptible attack on Davies’s basic freedom of expression, to say nothing of historical honesty, showed Mulcair’s true allegiance, and the threat he poses to this country. It doesn’t matter if he believes the zionist bilge he spews or whether he’s merely pandering to the Jewish community. By rights, he should be have been expelled from the party for his misconduct.
If you are reading this and are a member of the federal NDP who plans to cast a vote at the leadership convention, ask yourself these questions before you vote:
1) Can Mulcair be trusted to put loyalty to Canada and the NDP ahead of his loyalty to Israel?
2) Would Mulcair stifle his MPs’ freedom of expression in the name of being an “ardent supporter”of Israel?
3) Would Mulcair’s overt zionism irreparably debase the NDP’s reputation as a party of law and justice?
If you answered 1) no; 2) yes; and 3) yes, then you can proudly claim to be a member in good standing of a national, Canadian political party. You know what not to do on March 24. No matter how much you may like Mulcair’s position on the environment or any other issue, anyone who bullies his own people, betrays his party’s principles, and sells out his country is unfit to lead the NDP, much less sit in the House of Commons.
As I said earlier, the NDP appears to many voters to be the only viable Canadian governing option left in this country. Don’t force them into a no-win scenario among Likud, Labour and Meretz!
Canada Stakes Out Strong Pro-Israel Stand
Canada protests ‘one-sided’ resolutions with pro-Israel stand at UN
John Baird bares teeth in offering Canada's defence of Israel at UN
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Sur ce blog:
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