Wednesday, August 3, 2011

Démasqués: le menteur Gordon Duff et la niaiserie de ceux qui disent qu' "aucun avion ne s'est écrasé sur le WTC"

Entre autre chose, Duff émet souvent des propos infondés sur plein de sujets attrayants pour les antisionistes (ex: sur Rupert Murdoch, etc.). Chris Bollyn est connu pour faire exactement cela. Duff dit avoir des connexions haut placées, dans le Mossad et des services de renseignement. Bollyn aussi a des contacts haut placés, il est même protégé par des gens très hauts placés dans l' "élite", cependant lui n'en parle pas. Duff promeut même la théorie saugrenue et complètement absurde voulant qu' "il n'y a pas eu de crash d'avion au WTC".

Le site de Gordon Duff propage la désinfo des "no-planes" disant qu'il n'y a "pas eu de crash d'avion au WTC au cours des attaques du 11 septembre"... Le désinformateur Jim Fetzer, grand promoteur de la théorie "no planes", y est pour beaucoup. Anthony Lawson a démasqué Duff et Fetzer de Veterans Today dans cet article et ce vidéo démystifiant la théorie "pas d'avions à New York". 



By Anthony Lawson
8-14-11
For some years now, Jeff Rense has been kind enough to host my videos and a few of my articles, and several other websites have followed Jeff's example, including Veterans Today, with whom my relations have been equally cordial, up until a few weeks ago when the notorious James Fetzer suddenly appeared out of nowhere, as a contributor, dredging up the almost-laid-to-rest No-Planes-in-New York theory.(...)




Une discussion fictive entre conspirateurs, on ne connaît que leurs initiales mais on peut les reconnaître facilement...

http://www.takeourworldback.com/fr/noplanes_fr.htm


Version française de
Lies, 9/11 Planners, And No-Planers How a great plot can be spoiled with nonsense such as "faked" planes.


Scène un: fin 1999, quartier général du Mossad

EH: Shalom. Notre plan est de faire sauter le World Trade Center. Nous allons rejeter le blâme sur les musulmans, naturellement. Appelez-les "la toilette", la "base de données" ou quelque chose du genre; le mot arabe al-Qaïda sonnera plus effrayant. Il y a un gars qui se meurt d'une maladie rénale et qui pourrait jouer le rôle d'Emmanuel Goldstein, l'ultime scélérat. Son groupe a été financé, entraîné et armé par la CIA. Sa famille fait des affaires avec la famille B. Quelques shekels et ils vont accepter d'incarner cette légende, et après la mort de ce personnage OBL la CIA peut payer des acteurs pour jouer son rôle. Idéalement, les agents devraient être achetés avec du Viagra, afin de ne pas attirer l'attention en recevant une rentrée d'argent subite ou en achetant des bagues en or ou quelque chose comme ça. L'opération servira de casus belli à nos soi-disant alliés [étouffons quelques rires], tels que les États-Unis pour entrer en guerre pour nous. Nos ennemis tels que l'Afghanistan et l'Irak se démocratisent, la politique d'occupation de dommages collatéraux ou de punition collective sert à nous fournir les soi-disant terroristes et les insurgés qui sont nécessaires pour justifier l'occupation continue et que la soi-disant guerre contre le terrorisme se poursuive, les banques centrales des anciens régimes deviennent plus indépendantes du gouvernement, nous arrivons toujours à tirer un bon profit de l'opium en inversant la réduction de la production par les Talibans, et nous pouvons jeter à nos marionnettes quelques miettes après avoir pillé toute la richesse pétrolière.

DY: BN a écrit sur la démolition du WTC par l'Islam militant dans son livre de 1995. Nous devons lui rappeler de déclarer après l'événement que son père en a eu l'idée, c'est à dire qu'il l'a prédit au début des années 1990. Et espérons que le monde oublie le fait que nos responsables de la sécurité ont inspecté le garage de la compagnie Zim-American Israeli Shipping au WTC en 1991, et conclu que le garage du WTC était vulnérable à un attentat à la voiture explosive, deux ans avant que ledit garage du WTC subisse un attentat à la voiture-piégée après que notre taupe AA ait infiltré le complot. Le grand avantage est que les guerres coûteront, aux États-Unis seulement, la somme de plus d'un billion (= mille milliards) de dollars et des milliers de soldats, et nous nous retrouvons à la fin avec tous les avantages et aucun frais. Le rabbin DZ a toute l'expertise nécessaire et l'accès aux Flight Termination Systems, de sorte que nous puissions pirater électroniquement et contrôler à distance un certain nombre d'avions, après nos tests préliminaires. Chaque fois que nous mettrons en scène des attentats synchronisés à l'avenir, nous pourrons dire qu'ils portent tous la signature d'Al-Qaïda.

EH: Bonne idée! Parlant de Zim-American Israeli Shipping, nous devons les avertir de quitter le WTC, disons, une semaine avant l'attaque. En ce qui concerne le complexe du WTC, LS est l'ami de BN, AS et EB. Et FL est un ami de EO. Nous ferons en sorte que LS et FL reprennent le bail du WTC et assurent les bâtiments pour des milliards de dollars contre des attaques terroristes, six semaines avant que lesdits bâtiments soient détruits par des attaques terroristes. Vous direz que c'était une simple coïncidence ou quelque chose comme ça. Et nous pouvons dire la même chose à propos du fait que LS n'aura pas déjeuné ce matin-là au restaurant Windows on the World situé dans les étages supérieurs de la tour nord, et que ses enfants aussi ne se sont pas présentés au travail. Si quelqu'un trouve qu'il y a trop de coïncidences, les traiter de sales menteurs antisémites qui n'ont aucune preuve ni le moindre indice de nos méfaits.

DY: Qu'en est-il de documenter l'événement?

EH: Nous enverrons quelques jeunes hommes installer leurs caméras vidéo avant le premier impact. S'ils se font prendre en train de danser et de célébrer en poussant des cris de joie et de moquerie, se tapant dans les mains ("high five") ou en se filmant en tenant un briquet allumé avec la scène de la tragédie à l'arrière-plan, nous ferons dire à leur avocat que c'était une conduite immature et ils peuvent nier avoir ri et avoir été heureux. Nous avons déjà un très bon bouc émissaire ("patsy"): ZaJ, le cousin de notre agent AaJ qui pose comme un partisan de la cause palestinienne depuis 1983. AaJ nous a déjà coûté des centaines de milliers de shekels pour ses services. C'est de l'argent bien dépensé - jusqu'à ce qu'il se fasse attraper! - mais nous compenserons à de nombreuses reprises. Et nous avons besoin de voler plus de passeports pour les autres boucs émissaires. Nous avons besoin d'en obtenir suffisamment pour que Joe Sixpack puisse avaler le mythe de plusieurs Boeings détournés le même jour par les Arabes armés de cutters. La partie la plus difficile est d'en trouver qui puissent passer pour de bons pilotes, qui ne se révèleront pas par la suite être vivants et bien portants. Ou qui se révèleront être décédés au mauvais moment, par exemple, exactement un an trop tôt dans une collision aérienne au-dessus de la Floride.

DY: Et si l'une de nos équipes se faisait prendre dans des camionnettes avec des explosifs, ou si d'autres de nos réseaux d'espions se font prendre, nous n'avons qu'à tirer quelques ficelles à CNN et ainsi de suite, pour les amener à le traiter comme un non-événement. Avoir un camion-fourgonnette dans la rue King comme un leurre, avec une peinture d'un avion télécommandé se dirigeant dans le World Trade Center.

EH: Ne nous accusez surtout pas de manquer de culot! S'ils sont capturés, nous ferons en sorte que les occupants soient décrit comme "des gens originaires du Moyen-Orient".

DY: Au moyen de la tromperie! L'hitraot.

Scène deux: quelques mois plus tard, à un dîner prestigieux de la Mafia Sioniste

EW: Ziknei HaAm. Je lisais la revue Popular Mechanics dès l'âge de quatre ans, et si nécessaire je peux les convaincre d'écrire un article de démystification sur les théories du complot. Je vais soudoyer ce policier corrompu de New York, Kerik, l'ami du maire, avec un soi-disant "prêt" de 250 000$. Plutôt que de laisser des traces de transaction trop évidentes, je ferai appel à un intermédiaire - le marchand de marbre et de pierre de Brooklyn Shimon Cohen - pour payer sa femme. Et Steven Witkoff peut payer son loyer, il grimpera à plus de 200 000$ en quelques années. Nous dirons à Kerik de prétendre qu'un passeport d'un pirate de l'air a été trouvé. [Ils pouffent de rires] Je sais, je sais, il se séparera invraisemblablement des vêtements du pirate de l'air ou d'une valise et d'une autre centaine de tonnes de débris provenant de l'avion y compris les passagers et les bagages, aura survécu à la boule de feu même s'il est imbibé de kérosène, virevolté pour tomber par terre dans la rue dans un état presque vierge, pour enfin être découvert, ayant réussi à rester au-dessus de toute cette couverture de deux à trois pouces de cendres. Vous pouvez parier votre dernier shekel qu'on va vous croire; il y en a un de plus qui naît à chaque minute! J'espère juste qu'ils ne ruinent (F--k) pas tout et oublient sur quel vol chaque pirate est supposé être - qu'il vienne du nord ou du sud - et finissent par prétendre que le passeport a été trouvé dans la mauvaise rue.

EH: Eitan, nous allons faire passer Jérôme Hauer à la télévision quelques heures après les attaques pour y déverser tous ses bobards sur la façon dont Oussama a fait le coup, et comment le World Trade Center s'est effondré à cause de la vitesse de l'avion et parce que la chaleur intense avait aussi sans doute affaibli la structure. Et il y a un pigiste de Fox News qui va renforcer cela en disant que les tours se sont effondrées principalement à cause d'une rupture structurelle parce que le feu était trop intense. Don Radlauer du Centre Interdisciplinaire préparera un rapport à publier à moins de quelques jours des attaques. Il montrera les trajectoires de vol des quatre présumés avions détournés, et prétendra que le détournement et le pilotage des avions serait entre guillemets "une tâche facile". Et Eddie Guigui Shalev dira que Hani Hanjour était entre guillemets "un bon pilote", pour contrer les rapports honnêtes quant à ses compétences de vol. Si nous pouvons le corriger, Henry, vous serez en charge de l'enquête officielle. [Rires.] Les étudiants en art seront déjà en place, aidant à notre opération d'extasy, et propageront l'idée desdits pirates musulmans en fournissant à la CIA certains de ces noms présélectionnés. Pour ce qui est d'alerter les nôtres, il y a une société de messagerie instantanée dont les bureaux sont situés à Herzliya et New York. Nous leur fournirons un préavis de deux heures avant l'attaque. Comme je l'ai déjà dit, si quelqu'un se plaint qu'il y a trop de coïncidences, comme l'exercice du NRO d'un avion s'écrasant sur une de leurs tours au même moment que les avions se sont écrasés dans les Twin Towers, nous pouvons les traiter d'antisémites ou d'haineux anti-juifs.

EW: L'acier doit être recyclé aussi vite que possible. Nous ne voulons pas que soit découvert de l'acier fortement sulfurisé ou en partie évaporé. Nous ferons en sorte que le maire restreigne l'accès et interdise de prendre des photos sur le site. Et nous avons un plan B, à utiliser dans le cas où un avion serait abattu et ne pourrait atteindre son objectif. C'est une possibilité qui pourrait survenir, par exemple, si l'avion est retardé en raison de la congestion des aéroports. Les exercices de jeux de guerre nous offrent toute une opportunité, mais l'ordre de laisser-faire ("stand down") ne pourra être maintenu indéfiniment. Dans le Plan B la détonation sera retardée de plusieurs heures, afin que nous puissions prétendre que le gratte-ciel s'est effondré complètement en raison des incendies de bureau. Et bien sûr, les opérateurs doivent se rappeler de faire exploser les étages inférieurs d'abord, plutôt que de la zone d'impact prévue. Nous dirons que les feux étaient hors de contrôle. Mais des années plus tard, quelqu'un devra inventer quelque sornette pour l'expliquer. Ils pourront blâmer la dilatation thermique, ou quelque absurdité qu'ils pensent que les gens pourraient avaler. Quelque chose qui sonnerait très technique et impressionnant pour ceux qui ne connaissent rien des structures ou de l'ingénierie d'incendie, surtout si ces derniers ignorent le fait que ce phénomène qui laisse de l'acier fondu et de la thermite active et qui, le 11 septembre, a supposément démoli entièrement trois gratte-ciel, n'a jamais eu un tel effet dans toute l'histoire. Dans le scénario où aucun avion ne frappe le bâtiment, nous ne pouvons quand même pas invoquer le mythe d'une ignifugation largement éliminée par un impact d'avion. Nous pourrions laisser Silverstein concocter une histoire, comme une chute d'antenne causant des dégâts importants et sectionnant les conduits de gaz naturel. Et il y a un risque que la démolition retardée entraîne une certaine confusion sur le moment exact de celle-ci. Ce sera gênant si la BBC ou CNN affirme que l'édifice s'est déjà effondré, alors qu'on peut toujours le voir debout à l'arrière-plan derrière la tête du journaliste, par exemple.

HK: Nous ferons en sorte que l'Emir du Qatar diffuse les soi-disant vidéos d'al-Qaïda sur sa chaîne Al Jazira. Au moins ça sera de l'arabe, alors que sur CNN ça serait trop évident. Les émissions montreront le scélérat présélectionné Oussama Ben Laden - ou l'acteur, si Oussama décède ou refuse de jouer son rôle et de dire qu'il a orchestré les attentats. L'émir est un vieil ami de Dick Cheney, et nous pouvons également lui faire rencontrer George W. Bush, Colin Powell, Rudy Giuliani, Paul Wolfowitz et Richard Myers, alors il devrait être facile de l'avoir dans notre camp. Si nous ne pouvons trouver quelqu'un qui ressemble même de loin à Oussama, on peut simplement utiliser des cassettes audio et prétendre qu'Al Qaïda ne pouvait pas se permettre une caméra.

EW: Efraim, assurez-vous d'avoir les bons noms pour les boucs émissaires ("patsies"). Si le FBI a besoin de changer certains noms dans les premiers jours soit parce que le gars s'est avéré être encore en vie et que nous n'avons pas pu le buter entre temps, soit parce qu'il est mort la mauvaise année, alors c'est un autre clou dans le cercueil de notre prétention à l'effet que les soi-disant pirates étaient tous sur la liste des passagers. Pour tenir compte de la prétendue confusion initiale, nous devrons prétendre que certaines identités ont été volées. Et le vol d'un nombre disproportionné d'identités de pilotes exposerait publiquement nos tentatives de faire croire aux gens que ces boucs émissaires ont pu engloutir ces avions dans les bâtiments, car il n'y a aucune raison pour les pirates de l'air d'assumer l'identité de pilotes. Et ça ne va pas bien paraître si quelques-uns des noms modifiés sont ceux sur qui nous allons planter des preuves, comme par exemple une Nissan Altima louée retrouvée à Portland dans le Maine. Ça aura déjà assez l'air louche si les pirates de l'air voyagent en voiture de Boston à Portland sans raison apparente, pour ensuite devoir attraper un vol de correspondance pour retourner à Boston à la dernière minute, les forçant presque à rater leur dernier vol. Les gens pourraient tiquer sur le fait que nous ayons attiré certains d'entre eux à Portland en leur promettant un emploi de pilote, inventant alors l'histoire des pirates allant de Boston à Portland à Boston parce que nos soi-disant preuves vidéo de pirates de l'air dans un aéroport ne correspondaient pas aux heures de départ des vols détournés. Les gens pourraient se rendre compte que la théorie officielle du complot des pilotes suicidaires et des pirates de l'air avec des cutters est à ce point débile qu'elle peut être rejetée comme manifestement fausse.

EB: C'est une possibilité, Eitan, leurrer des boucs émissaires d'un aéroport. Si nous ne faisons pas cela, et que notre seule preuve photographique pouvant être attribuée à quelque pirates de l'air les montre portant des chemises à col ouvert, et l'agent de ticket qui fait les vérifications auprès des gars du Mossad - pardon, les pirates - dit qu'ils portaient des vestes et des cravates, et la caméra de sécurité derrière le bureau de l'agent de ticket se trouve à être commodément hors d'usage, ça paraîtrait mal. Surtout si l'agent de ticket se trouve à être une source pas fiable qui propage la désinformation d'un de ses amis au sujet d'une agente de ticket anonyme qui se serait suicidée supposément après avoir fait les vérifications auprès de ces mêmes pirates, et que l'histoire de suicide se trouverait par la suite rejetée et traitée comme un maigre ouï-dire.

EH: Nous pouvons essayer de dissimuler les noms manquants ou incorrects sur les listes de passagers en prétendant que les médias de nouvelles n'ont publié que des "listes partielles", pour reprendre leurs mots exacts, parce qu'ils n'avaient pas reçu l'autorisation de publication de la part des familles des prétendus pirates de l'air. Mais si, par exemple, les Bukharis se trouvent à être vivants ou décédés trop tôt, et que nous essayons de dire que leurs remplaçants dans la nouvelle liste révisée des pirates de l'air - par exemple les Al-Shehris - étaient en réalité les Bukharis, cela va nous faire passer pour des désespérés. Combien de temps cela prendrait-il à un enfant de six ans pour déduire qu'une personne qui était vivante et bien portante en Floride entre 5:00-5:30 le matin du 12 septembre ne pouvait pas avoir été un des soi-disant pirates-suicide ayant été tué dans un écrasement d'avion le matin précédent? Trois secondes? Six secondes? Et si les flics devaient procéder à l'arrestation du soi-disant suspect, ou même aller jusqu'à évacuer des maisons voisines au cas où la maison du suspect serait truffée d'explosifs, cela manifesterait certainement un excès de zèle. Il n'y aurait rien pour étayer l'allégation que les al-Shehri étaient sur la liste jusqu'à ce que nous trouvions quelqu'un pour faire semblant. Des chercheurs honnêtes conclurons que si le moindre suspect se trouvait sur la liste, ce serait les suspects originels, par exemple les Bukharis.

HK: Et Efraim, si nous frappons aussi à Londres quelques années plus tard, n'allez pas publier un article au sujet d'explosions simultanées le même jour dans le Jerusalem Post. Vous savez, cela pourrait prendre aux flics locaux quelques jours pour réaliser que la ligne du temps est incorrecte, ils sont à peine plus avancées que les Indiens. Et soudoyez Scotland Yard à l'avance, ainsi nous saurons qu'ils vont jouer leur rôle en rapportant que c'était d'eux, et non du Mossad, que provenaient les avertissements préalables. Cela aura l'air louche également si une société israélienne en charge de la sécurité vidéo laissait les vidéos mystérieusement hors fonction au moment crucial.

JR: Notre influence est plus que suffisante pour résoudre chacun des petits problèmes que nous rencontrons dans la présentation. Maintenant, quelques bonnes nouvelles. Les finances du Pentagone sont dans un tel désarroi qu'ils ont eu à faire 6,9 ​​billions (=milliers de milliards) de dollars d'ajustements pour concilier leurs divergences de comptabilité. 2,3 billions de dollars de ces corrections comptables n'ont pas de reçus, et l'information financière existe sur des ordinateurs autonomes et des documents de la section comptable. Avec Dov Zakheim au poste de contrôleur des comptes du Pentagone, nous pouvons retirer une fraction de ce 2,3 billions de dollars - après tout, même dix pour cent nous laissent 230 milliards de dollars! Thomas E. White, qui était à Enron, devrait être en mesure d'aider, et pourrait impliquer l'administration américaine de sorte qu'ils seront obligés de dissimuler nos frappes au WTC. J'adore ça!! Nous détruisons la section de la comptabilité du Pentagone, et inciterons Zakheim à se vanter plus tard d'avoir réussi à retrouver un peu de l'argent disparu, et ils font descendre la somme de 2,3 billions$ jusqu'à disons 700 milliards de dollars et moins. Il pourrait dire que, malheureusement, étant donné les "attaques terroristes musulmanes" [nombreux rires sinistres] contre le Pentagone, il ne sera jamais possible de rendre compte de tout l'argent - ni où il est allé. Notre opération sous faux pavillon est financée par l'argent public, c'est à dire par le contribuable américain, et les bénéfices sont déposés dans des comptes privés - principalement nos comptes à nous! Notre bénéfice sur cet investissement est infini.

EB: Brillant! Donc, nous allons engloutir un avion dans le Pentagone et le World Trade Center ...

JR: Attendez, je ne propose pas que nous utilisions réellement des avions. Nous pouvons avoir de faux avions. Utilisez un missile pour le Pentagone, faites peut-être aussi voler un avion au-dessus du bâtiment, plantez des pièces d'avion et des morceaux de corps, faussez les tests d'ADN - ou faite simplement mentir l'armée - et faites en sorte que CNN, etc, truquent les images de nouvelles pour le WTC en utilisant la technologie d'écran bleu pour que ça ait l'air d'avions qui percuteraient les tours. Appelez cela un trucage de télévision, ou une couverture, ou une image projetée. Nous dirons au FBI de prétendre que la plupart des vidéos du monde que le Pentagone n'ont rien montré de pertinent. Nous pouvons toujours sélectionner quelques images, et même les truquer au besoin.

EB: Mais n'est-il pas plus facile d'utiliser des avions? Si nous faisons en sorte qu'il n'y a aucune image claire d'un avion percutant le Pentagone, nous avons encore l'avantage du fait que le mouvement de Vérité du 11 septembre passera des années à débattre pour savoir si c'était le vol 77 ou un autre avion ou un missile, au lieu de nous clouer et de prouver comment les tours et le bâtiment 7 ont été démolis avec de la nano-thermite. Des arguments de diversion sur le Pentagone aideront à protéger le rabbin Zakheim et les autres. Plus de temps cela prendra pour que des scientifiques publient un article sur la controverse du Pentagone expliquant comment les données erronées d'un enregistreur de données de vol peuvent être conciliées avec les rapports de témoins oculaires d'un grand avion frappant le Pentagone, ou pour le mouvement de vérité du 11 septembre de comprendre comment les gens ont été dupés par des spéculations diviseuses se faisant passer pour de la recherche, mieux ce sera. Et cela ne va pas paraître très crédible si nous prétendons que les impacts d'avions ont à eux seuls abattu immédiatement les tours. Le papier blanc de 1964 a révélé que les tours seraient capables de tenir le coup suite à une collision de 600 mph avec un gros avion de ligne, ou un vent de 100 mph après que toutes les colonnes du périmètre d'un côté et quelques colonnes sur les côtés adjacents aient été coupés. Bien sûr, nous devons espérer que les gens oublient que John Skilling l'ingénieur en chef structurel a déclaré que la structure du bâtiment tiendrait encore debout même si un avion la frappait et que tout le carburant se déversait à l'intérieur provoquant un incendie désastreux tuant de nombreuses personnes. Alors que dire des trous d'impact sur les côtés des bâtiments, avant qu'ils soient prétendument abattus par des feux de tapis de compartiments contrôlés par la ventilation, des postes de travail et de la papeterie de bureau? Comment allons-nous faire les faux trous d'entrée d'avion?

JR: Nous allons faire en sorte que le murs soient astucieusement truffés de charges par des experts en explosifs, et faire un si bon travail en plaçant les charges que les explosions souffleront des trous ressemblant à la silhouette d'un Boeing 767.

EB: Ça sonne trop exagéré pour moi. Et que dire du Pentagone? Si nous n'utilisons pas d'avion, allons-nous seulement utiliser des explosifs?

EH: Non, nous allons utiliser un missile. J'avoue que cela signifie que des centaines de personnes supplémentaires devront être dans le coup, pour planter des pièces d'avion, prétendre qu'ils ont vu un gros avion, et mentir à propos des corps et de l'ADN. Et plutôt que de se débarrasser facilement de William Caswell, John Yamnicky, Charles Burlingame, Wilson Flagg, Stanley Hall, Bryan Jack, Chandler Keller, Dong Lee, Barbara Olson, Ruben Ornedo, Robert Penniger et d'autres qui ne peuvent garder le silence une fois qu'ils auront finalement réalisé ce qui est arrivé, nous allons détourner l'avion vers une base aérienne militaire, fusiller tous les passagers et l'équipage, puis fusiller les bourreaux pour les empêcher de parler, puis les bourreaux des bourreaux, etc. Ensuite, nous pouvons faire exploser l'avion, recycler l'aluminium, et fusiller ceux qui ont vu le missile et qui refusent de dire qu'ils ont vu un avion. Et ceux qui n'ont pas vu de corps, qui refusent de mentir à ce sujet. Et ceux qui ont refusé de mentir au sujet des tests ADN. Et ceux qui ont fait sauter l'avion, et recyclé l'aluminium...

HK: Ça ferait trop cher de munitions. [Rires.] Il est bien évident que nous devrions simplement utiliser des avions, plutôt que de recourir à toutes ces autres improvisations dans une tentative de parer à une prolifération d'éventualités. S'il est nécessaire que Rumsfeld mentionne les $ 2,3 billions, ou d'avoir des rapports publiés sur la capacité du Mossad à cibler les intérêts américains en faisant passer cela pour un coup des Arabes, alors le jour avant les attentats serait le bon moment pour enterrer les mauvaises nouvelles, pour ainsi dire.

JR: En parlant d'enterrer, ferme-la, ou je vais m'arranger pour qu'Edgar te fasse aérer! Je suis responsable.

HK: Assez. Je ne suis pas bien avec cela. Nous avons besoin d'un complot sensé auquel nous pouvons tous convenir.

EB: C'est vrai Henry, et je ne vais pas vous envoyer dormir avec les poissons, comme nous envisageons de faire avec ces shmucks en leur disant qu'ils vont empocher le magot sur le bateau casino d'Abramoff. Lord R, avec tout le respect que je vous dois, peut-être vous êtes trop vieux pour ce genre de chose. Cette technologie d'un nouveau genre n'est pas tout ce qu'on prétend à son propos. La technologie d'écran bleu? Hologrammes? (Il secoue la tête, sourit.) Et Efraim, vous ne sonnez pas comme si vous aviez beaucoup d'enthousiasme pour le truc des faux avions. Je n'ai pas invité le rabbin Israël aujourd'hui, comme il aurait mangé tous les bagels. Passez l'Eau de Vie de Marc d'Aquitaine de Mouton Rothschild.

EH: Edgar - et Eitan, vous avez mentionné de leur faire la peau un peu plus tôt - nous n'avons pas besoin de recourir à toute cette théâtralité avec nos boucs émissaires. Naturellement, je ne l'exclus pas! Mais notre intelligence nous dit que Saudi Airlines rappelera ses ingénieurs de vol des cours de pilotage en Floride, qui est la raison même pour laquelle nous avons sélectionné des boucs émissaires Saoudiens. Ou du moins, nous avons suffisamment d'influence auprès de Saudi Airlines pour les encourager à introduire la politique s'ils résistent. Nous avons juste besoin d'agir au bon moment, et les dits pirates suicides disparaîtront comme voulu. S'ils réapparaissent en Arabie saoudite et qu'ils en font tout un plat, ou ceux dont l'identité a été volée protestent, nous dirons que c'est une erreur d'identité. Je sais que cela n'explique pas la coïncidence de ces personnes qui étaient toutes en Floride, avec des passeports volés ou ayant exactement les mêmes noms, lieux de naissance, lieux de résidence et professions, et cela élude la question de l'identité réelle des prétendus pirates, etc. Mais nous allons l'ignorer. Et il est juste dommage que nous ayons à jeter le blâme sur les Saoudiens, car nous voulons que nos marionnettes - oups, désolé, alliés - envahissent d'autres pays.

JR: Bon, je n'étais pas sérieux, et Efraim était au fait de mon petit complot. Nous devions démontrer comment le concept de "pas d'avions" nous sert si bien, un fait reconnu par le Mossad depuis le début de cette opération. Nous allons promouvoir les théories "aucun avions dans le WTC" et "aucun avion au Pentagone". Pour aider à alimenter la controverse, Rumsfeld peut prétendre avoir fait un lapsus en mentionnant entre guillemets le missile. Nous pouvons même pousser des agents du MI5, de la CIA, des membres de l'administration Bush, etc, à faire une sortie publique en disant qu'ils sont des ex-MI5, ex-CIA, ex de l'administration Bush, et prétendre être des détracteurs qui ont eu un désaccords ou quelque chose comme ça, et puis promouvoir la théorie "pas d'avions". Ils peuvent y mélanger d'autres absurdités, comme par exemple que la Lune a 64 pour cent de la gravité de la Terre, une atmosphère respirable dans les cratères, des lacs, des forêts et des pics de montagnes enneigées sur sa face sombre, et une tour de capteur d'âmes sur sa face qui est proche de nous. Nous pourrions même leur faire dire qu'ils sont le Messie! [Rires.] Après que certains de nos critiques soient tombé dans ces pièges de désinformation, ils vont être divisés, démystifiés, et discrédités par association.

EB: Mazel Tov! Pour Mishpucka!


Scène III: Six mois après le 11 septembre, sur la pelouse devant le Pentagone

DZ: Relier la liberté du pays à la mémoire du Rebbe est une chose merveilleuse, surtout quand nous avons fait un billion de shekels et le chiffre monte. Notre opération a été un succès retentissant. Lorsque le vol 990 a plongé dans l'Atlantique, préparant le terrain à nos médias pour qu'ils puissent propager le concept de pilotes musulmans suicidaires à un public crédule, et tuant 33 officiers de l'armée d'Égypte, 22 mois et 11 jours avant la date butoir, je n'ai jamais rêvé que l'occasion du Pentagone se présenterait. Le 31 octobre 1999, nous avions déjà le World Trade Center en ligne de mire depuis des années, mais les comptables du Pentagone n'avaient pas annoncé combien de billions de dollars de corrections ont été requis pour l'année fiscale se terminant le 30 septembre 1999, ou combien de ces corrections n'avaient pas de reçu. Des renseignements suggèrent que certains fraudeurs à la petite semaine - selon nos normes [rires] - ont pris une étrange poignée de millions par-ci par-là dans les comptes du Pentagone. Nous allons les laisser aller pendant un moment, plutôt que d'attirer l'attention sur eux immédiatement. L'Amérique est le plus grand pays au monde - pour le parasitisme, bien sûr! Il y a suffisamment de gens dupes et honnêtes qui travaillent fort qui peuvent être saignés à blanc sans en mourir. Et leurs efforts servent à financer la cause sioniste et notre Nouvel ordre mondial. Affaiblissez l'hôte, mais ne le tuez pas. Nous ne sommes pas des parasitoïdes. Sauf lorsque nous nous vengeons de ce que les Rus nous ont fait, par exemple. Maintenant, pour la dvar Torah. [...]

AS: Nous devons être prêts car il arrive, le grand changement, la venue de Machia'h. Le Rabbi n'a pas laissé un héritage. Il a laissé des ordres.

DZ: Je peux aussi vous dire que nous avons un plan d'urgence pour prendre le contrôle de l'Internet si le mouvement pour la vérité réussit trop bien à démystifier nos mensonges. Notre agent fera semblant de révéler des secrets d'une manière qui, naturellement, nous fera que du bien plutôt que du mal. Nous allons appeler cela des fuites ("leaks"), ou quelque chose comme ça ... Fuitopedia


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La niaiserie des "pas d'avion" fait penser à une conversation entre un "Créateur" et son assistant ...


Les Faux "cerveaux" des "Aucun avion au WTC"


Créateur: Israël, avec le soutien de ses marionnettes, qui va attaquer le World Trade Center et du Pentagone le 11 septembre 2001 en faisant s'écraser des avions dans les édifices.

Assistant: Oh grand maître, après l'attaque, n'y aura-t-il pas toute une panopolie de cinglés qui proposeront toutes sortes de théories du complot sur des avions truqués et des inanités semblables?

Créateur: Certainement, et j'étais au courant de ce nouveau Pearl Harbor longtemps avant le premier Pearl Harbor, mais j'ai déjà créé le cerveau de ces soi-disant enquêteurs. J'ai pris trois livres de sciure, je l'ai répandu dans un cercle, savamment placé quelques charges pour une coupe à angle en dehors du cercle et les ai déclenchés de manière à pousser la sciure de bois en un tas dans le centre du cercle.

Assistant: Pourquoi n'avez-vous pas seulement mis la sciure de bois dans un tas dès le départ, sans vous embêter avec des charges à coupe à angle?

Créateur: Pourquoi laisser la simplicité entraver une petit idée brillante d'ingénierie créative?

Toutes les références à des personnes vivantes ou mortes dans les discussions hypothétiques rapportées ci-dessus sont tout autant des «coïncidences» que:






À propos de ces conspirationnistes qui ont les yeux rivés sur des technicalités... chez les Truthers du 11 septembre!

While the researchers have preoccupied themselves with how the assassination was accomplished, there has been almost no systematic thinking on why President Kennedy was killed."
--Vincent J. Salandria, Attorney Philadelphia, Pa. Based on an address at the conference of the New
England Branch of the Women's International League for Peace and Freedom, Cambridge,


À propos du conspirationnisme débile, qui évite de trop insister sur l'identité des commanditaires en focalisant le plus souvent sur des technicalités (ces fameuses "incohérences de la version officielles"!), se propageant partout et très rapidement sur le Net, polluant, intoxiquant le mouvement de vérité, tout ça pour que les contrôleurs de l'info puissent continuer à contrôler l'info tout en nous faisant passer pour des twits crédules (Ex: acteurs de crise à Boston et Sandy Hook, vidéos et images truquées, etc.), voire même potentiellement dangereux (Breivik-Oslo, Tsarnaev-Boston, etc.), ça ils adorent! 

AUDIO - The Piper Report - Monday, Aug. 26, 2013
Piper lit quelques extraits d'un livre anti-conspiro ("Among the Truthers" de Jonathan Kay) qui a malheureusement trop raison:


FLASHBACK: Jonathan Kay: Bringing paranoia to the digital masses

Jonathan Kay | 11/05/11 | Last Updated: 11/05/11 9:13 AM ET
More from Jonathan Kay | @jonkay

Book Excerpt: Among the Truthers by Jonathan Kay

"All of the tiny little islands of paranoia suddenly were linked up by virtual causeways. One result is that elaborate conspiracy theories now can be cobbled together literally overnight through the efforts of hundreds of scattered dilettante conspiracists. Another result is that conspiracists all around the world now tend to focus on the same few dozen talking points that figure prominently on the top websites.

The Internet has produced a radical democratization of the conspiracist marketplace of ideas. No longer does one have to spend years researching and writing a book to attract attention: One can simply set up a blog, or chime in on someone else’s, with some refinement of the existing collective lore. In fact, today’s conspiracists don’t even have to read books — they can pick up all their talking points from Truther websites, or, better yet, from Truther propaganda videos. (...)

This dumbing-down effect explains the downward shift in the age profile of conspiracists: While influential JFK conspiracy theorists tended to be bookish middle-aged eccentrics, many of the Internet’s noisiest Truthers are barely old enough to shave: Conspiracism is something they fit in between video gaming and Facebook surfing.
--Excerpt from Among the Truthers by Jonathan Kay © 2011.
Published in Canada by HarperCollins Publishers Ltd. All rights reserved.


"As this positive social feedback becomes addictive, the conspiracist's network of enablers grows often to such a point that it crowds out the conspiracy theorist's nonbelieving friends. The process resembles the formation of an electronic cocoon that envelops a conspiracist with codependents."
-"Among the Truthers", Jonathan Kay




À propos du 9/11 et d'Israël:

"THE 9/11 EFFECT
If the Holocaust and the creation of the Jewish state jointly marked the first great turning point in the modern history of Anti-Semitism, 9/11 marked the second. Following the attacks, supporters of Israel spoke of a silver lining: The war against militant Islam suddenly was a global one. Now, the whole world would see and understand the sort of nihilistic hatred that Israelis confronted everyday."
"America's fight became Israel's fight. Over the last decade, a period during which Republicans and Democrats have fought over every other subject imaginable, support for Israel has remained one of the few issues to attract virtually unanimous bipartisan support."

"Among warhawks on the Right in particular, the sudden identification of militant Islam as America's greatest enemy cast a startling transformation in the perception of the American Jewish community. Whereas Jews might once have treathened the American Right in their roles as Communists, Anarchists, Trade Unioners, Civil Rights leaders and Ivy League intellectuals, no Jew could ever be an islamist. Just the opposite: the Jew was the perfect anti-Islamist, whose zeal and reliability in the war on terrorism was hard-wired into his political DNA, thanks to six decades of israeli warfare against islamic terrorists in the Middle East. For the first time in the history of western civilisation, the Jews' 'foreignness' and mixed-loyalties -- to the United States, Israel and world Jewry -- became a source of respect and trust rather than suspicion."

"The September 11th attacks changed America in a thousand different ways. Perhaps the most ironic, given the terrorists' intensely Anti-Semitic ideology, was that it cemented the long process leading to the Jews' full-fledged ascension into the America establishment. "
-- "Among the Truthers", Jonathan Kay





by Michael Collins Piper 

CHAPTER TWENTY-EIGHT:

9-11 and the New Internet Paradigm:
The Necessity for High-Level Manipulation and
Control of the Dissemination of Information

Canadian Zionist conservative Jonathan Kay has been among the foremost critics of the growing number of people in the United States and around the globe who have questioned the official version of what really happened on September 11.
First referenced in Chapter 17, Kay’s recent book—Among the Truthers: A Journey Through America’s Growing Conspiracist Underground—outlines Kay’s concerns about a variety of conspiracy theories, but makes clear his foremost worry is the blossoming of 9-11 conspiracies in particular and that an inordinate number of 9-11 “truthers” point the finger at Israel for that crime.
However, of course, the truth is that most 9-11 dissidents are still largely determined to direct the blame for 9-11 at George W. Bush or the CIA or “the military-industrial complex” or the Illuminati or some combination thereof. Many who do suspect Israeli complicity would just simply not even mention it.
And then, naturally—and this must be said—there are also considerable numbers of agents provocateurs who have infiltrated the 9-11 truth movement (just as they infiltrated the JFK assassination and Oklahoma City truth seekers) who are consciously (and often quite successfully) muddying the waters of research through their insertion of distractions and distortions that redirect focus away from the real conspirators responsible for those terrorist tragedies.
And this is something that is critical to remember: at the time of the JFK assassination there was no Internet. And at the time of the Oklahoma City bombing, the Internet was in its infancy.
The growing public awareness that something was wrong with the official explanation of the JFK assassination was largely stimulated through books, magazine articles, and lectures at small gatherings around the country by pioneer researchers such as Mark Lane and Penn Jones and others whose efforts were supplemented considerably by New Orleans District Attorney Jim Garrison’s journey into the realm.
Literally, word-of-mouth became—during the mid-1960s and beyond—one of the primarily means of broadening discussion about the Warren Commission cover-up.
And needless to say, during this time—and we now know this for a fact—the CIA was in the front-line (although largely operating behind the scenes)—along with the FBI—in doing a great deal of mischief designed to confuse research into the JFK assassination.
And, I think, it’s also fair to say that the Mossad’s own fine hand—through its assets in the mainstream media, in particular—also played a major part in providing vital support to the intrigues of the CIA and the FBI in this regard.
Essentially the same scenario came in the wake of the Oklahoma City bombing. This time, with the rise of desktop publishing and desktop video production, those who were dissenting against the official version of events had, in some respects, even greater outreach than the JFK researchers who were giving headaches to those responsible for the official cover-up.
And the advent of the Internet—though, as we said, still in its earliest days of development—added another dimension that gave considerable outreach to the critics of the government’s lies surrounding the Oklahoma tragedy.
But by the time of the 9-11 disaster, the Internet was already holding sway, and it proved to be a valuable asset in so many ways for those who were seeking to research the story behind the story of 9-11 and to communicate their findings to the American people and to the world.
As a direct consequence, the powers-that-be—whomever you choose to identify as such—realized that the Internet could prove to be a very real danger to their continuing domination of the mass print and broadcast media in the United States and around the globe.
As such, the powers-that-be realized they simply had to find ways to be able to circumvent the growing truth movement—a veritable tsunami that was piling up and preparing to swamp the conspirators and the lies about 9-11 purveyed upon the American people.
In addition to this, another (very negative) aspect of the Internet must be considered.
While the Internet has indeed been a major venue for truth—about 9-11 and so many other matters—the Internet has also set the stage for a growing amount of disinformation (both deliberate and unintentional that has had the effect of negating the very good research on 9-11 and other issues that has been achieved by sincere truth-seekers.
Ironically, in this regard, the aforementioned Zionist propagandist, Jonathan Kay, has summarized the matter well:
Elaborate conspiracy theories now can be cobbled together literally overnight through the efforts of hundreds of scattered dilettante conspiracists.
Another result is that conspiracists all around the world now tend to focus on the same few dozen talking points that figure prominently on the top websites.
While Kay doesn’t say it (and he is essentially celebrating this point) the truth is that what Kay calls, in this regard, the “intellectual balkanization,” that has resulted means that if some bad information—that is, disinformation (deliberate or otherwise)—has been inserted into the debate, that disinformation manages to become an article of faith.
And the result is that serious, fact-focused researchers—those who pay strict attention to detail and try to correct the mistakes—often end up being accused of being the disinformation specialists when, in fact, they are the real truth seekers trying to discredit the disinformation!
Kay assesses the situation in all-too-accurate terms:
The Internet has produced a radical democratization of the conspiracist marketplace of ideas.
No longer does one have to spend years researching and writing a book to attract attention: One can simply set up a blog, or chime in on someone else’s, with some refinement of the existing collective lore.
In fact, today’s conspiracists don’t even have to read books—they can pick up all their talking points from Truther websites, or, better yet, from Truther propaganda videos.
And the problem is, as we’ve said, that these websites and videos that Kay refers to sarcastically as the work of those whom he dismisses as “Truther” sources are not always—in fact, often are not—very reliable sources at all, either as a consequence of slip-shod research or simply the result of just bad writing that conveys false ideas as fact.
What has happened is that—just as Kay has said—many people have been propelled into what Kay calls “paranoid echo chambers,” in which people repeat back to one another—via email, via websites, in books and articles based on that material—an array of misinformation and disinformation that adds nothing to serious conspiracy inquiry and certainly does it a disservice (which is something that Kay and others of similar mindset certainly like to see happening).
Again, Kay is all-too-unfortunately on the mark when he writes:
The conspiracist’s network of enablers grows—often to such a point that it crowds out the conspiracy theorist’s nonbelieving friends. The process resembles the formation of an electronic cocoon that envelops a conspiracist with codependents. Surrounded by an enabling group of the like-minded, he gradually embraces the delusion that his movement has gained critical mass . . . .
The consequence is that Kay is absolutely correct when he refers to the “dumbing down effect” that is arising as a result of the growing world of Internet conspiracy dabbling and he is very much again on target—all too much so—when he suggests that modern-day conspiracy theorizing is something that many people “fit in between video gaming and Facebook.”
In other words, what Kay calls “conspiracism” is emerging, in many respects, as simply a hobby, a new form of entertainment!
Many people—and these are good people—just don’t realize that the world of conspiracy research is not some game, but a deadly serious realm that intersects with the very real world of high-level conspiracies shaping the course of our future.
So the bottom line truth is that while the Internet has been a valuable tool for genuine truth-seekers, the Internet—by its very nature—has also become (particularly in the wake of 9-11) as a considerable and important resource in the dangerous high-tech arsenal of those who seek to manipulate and misinform the public, most especially those who rely on the Internet as a source of information about the very conspiracies that the real conspirators are engaged in.
The 9-11 experience, so to speak, thus proved to be a very real lesson for those responsible for 9-11 and its cover-up, for they were able to observe (and quite carefully) the manner in which information relating to 9-11 emerged and then circulated via email and other means of Internet communication, including YouTube and other new formats known as “social media.”
And, for the record, it has long been an article of faith—and a reasonable one—that in actual preparation for the orchestration of 9-11, the conspirators had already set in place more than a handful of individuals, websites and other means charged with the evil task of “infiltrating” and manipulating and distorting legitimate efforts to uncover the real truth about 9-11.
In fact, after 9-11, there emerged more than a few people who might be called “instant internet celebrities” who became known as “9-11 truthers” but who were—from the beginning—bought-and-paid-for assets of the high-level forces responsible for 9-11 in the first place.
An entire book could be written about some of these characters, but that’s another matter for another time. But suffice it to say, they made their influence felt (in one way or another) and had a considerable impact in shaping not only the 9-11 truth movement itself, but also by offering up opinions about other matters (various and sundry) that also had the effect of delegitimizing very real research (some of it based on years of study) that countered the intrigues of the global elite.
Many of these operatives spent much of their time putting out what could only be described as downright “crazy” theories about 9-11 that redirected attention away from sober, responsible research.
In other instances, they specialized in cranking out often-reckless theories that were quite easily refutable, therefore giving credence to the oft-heard claim from the mainstream media that any and all other dissident 9-11 research was just as silly and unreliable.
And in a number of instances, there were several 9-11 “truthers” who, while pointing the finger of blame at Israel, were (at the same time) engaging in other activity that led many observers to believe that these individuals were “black propaganda” operatives trying to bring discredit to those who believed Israel was indeed responsible for 9-11.
Two such individuals, Christopher Bollyn and Eric Hufschmid—whom many believe were “ringers” inserted into the 9-11 truth movement from the beginning—ingratiated themselves with American Free Press (having pretended to be enthusiastic about my book Final Judgment) and, over a period of time, engaged in a concerted effort to influence AFP’s coverage of 9-11—and not in a positive way.
Ultimately AFP discovered that while Bollyn and Hufschmid supplied a lot of “good” information, that data was mixed in with a variety of “bad” data, the consequence of which was that many of the stories the two generated (working hand-in-hand on a daily basis behind the scenes for well over a year) proved to be of rather dubious value.
At one juncture, Bollyn and Hufschmid tried to convince the editors of AFP that outspoken 9-11 survivor, William Rodriguez—who had been honored by 9-11 truth seekers all over the United States and around the world for his integrity—was some sort of “Zionist agent.”
And despite the fact that independently wealthy American philanthropist Jimmy Walter had bankrolled speaking engagements by both Bollyn and Hufschmid, the dynamic duo also spread the word that Walter—who spent millions of dollars of his own money seeking to alert the public to 9-11 truth—was also a stooge for Israeli interests.
For my own part, I spent an entire week in Malaysia in the company of both Rodriguez and Walter and I never saw any sign that they were working to advance Zionist interests in any way, shape or form.
However, considering the record of Bollyn and Hufschmid, I think it’s safe to say that the same thing cannot be said about them.
Considering all of this, more than a handful of 9-11 dissidents (including many who believed Israel was behind 9-11) ultimately came to conclude Bollyn was actually a disinformation agent using a perverse back-handed way of discrediting AFP and those who believed the Mossad was responsible for 9-11.
Bollyn’s critics correctly pointed out that Bollyn had a pattern of misquoting sources, misinterpreting scientific information, and making assertions about certain matters without any foundational authority.
The consequence was that Bollyn’s disinformation gave ammunition to critics of AFP’s contention that the Mossad was behind 9-11 and as such was enthusiastically bandied about by Zionist propagandists seeking to undermine AFP’s thesis even though the questionable material by Bollyn focused on scientific data that had nothing whatsoever to do with the specific matter of Mossad involvement in 9-11.
In the end, after their deception was unmasked, Bollyn and Hufschmid launched a smear campaign against AFP alleging that we were, too, were really “Zionist agents” trying to cover up Mossad involvement in 9-11, an allegation preposterous on its face to anyone familiar with AFP’s work. Bollyn even claimed that Mark Lane—the anti-Zionist Jewish critic of Israel who pinpointed the CIA’s role in the JFK assassination conspiracy—was a Zionist and a secret asset of the CIA!
Unfortunately—and not unpredictably—a few naive folks actually believed these liars, especially people new to the 9-11 truth movement who didn’t have access to the big picture. However, when all was said and done, the romance between Bollyn and Hufschmid came to a bitter end and the two began accusing one another of being Zionist agents!
And the strange outside possibility was that both of them could actually have been right. After all, not all Zionist agents necessarily know the identities of the others. That’s how complex the world of intelligence intrigue happens to be.
Hufschmid’s own website devolved into a mish-mash of weird commentary (often referencing sexual matters, especially human interaction with animals) and once even included a nude photograph of Hufschmid, taken from the rear, ostensibly for the purpose of explaining some “health” matter Hufschmid felt would interest his readers.
That Bollyn, an American, had spent time on an Israeli kibbutz and later married an Israeli woman—who worked for Shin Bet, Israel’s domestic intelligence agency—was a point many found telling. That his own sister was also married to a Jew and had taken up residence in Israel was also considered somewhat suspicious.
It’s always been my suspicion (based on a variety of data too complicated to delve into here) that Bollyn was a long-standing international free-lance intelligence operative who, for at least a substantial part of his career, was working for the Church of England, which—although many people don’t realize it—has always been an arm of British intelligence, active in global intrigue. In fact, Bollyn and his family have multiple “British” connections which also point toward that conclusion.
And, needless to say, the British Empire—which has long been under the control of the Rothschild Dynasty—has always played a peculiar role in advancing Jewish and Zionist interests, even going back to the days when the woman whom Bollyn claims as an ancestor, Anne Boleyn, was a central player in a grand design that disrupted the traditional role of the Roman Catholic Church in Britain and set the stage for the rise of Jewish financial power in Britain in years to come. (And that is a story in and of itself—worthy of a book that has yet to be written.)
But for those who are interested, an English patriot and critic of the New World order with an abiding interest in 9-11 truth—and who does believe Israel was a key player in that tragedy—has put together a remarkably detailed website (complete with a fascinating variety of links and other valuable information) which delves into the bizarre story of Bollyn and his erstwhile friend Hufschmid. See http://www.takeourworldback.com for more.
In any event, all of this having been said, it’s quite clear that the circumstances surrounding 9-11 gave Israel—along with other power players on the world stage—a new understanding of how the Internet worked and how its resources could be utilized (for better or for worse) in manipulating global opinion.
And as a consequence, people in high places began working to lay forth a plan to ensure that, in the future, the Internet could be used for their own benefit and to undercut those—such as the 9-11 dissidents and other truth-seekers who questioned “official” stories about such matters as the JFK assassination and the Oklahoma bombing and other matters—who stood in opposition to the New World Order agenda.
As we shall see, this carefully-crafted endeavor had even further consequences when the plan was skillfully put into actual working order in the wake of the Sandy Hook shooting in Newtown, Connecticut and the Boston Marathon bombing that followed not long afterward.
The Internet, as a consequence, was no longer simply a venue for truth seekers to “get the word out” about high-level cover-ups. Instead, it became a vehicle used by the high-level conspirators to not only confuse the work of the truth seekers but also to combat them by discrediting them through some of the most manipulative means possible.
It’s a story that has never been told before, but it is a story that must be told, if real truth seekers are going to be able to deal with the big challenges that lie ahead, particularly when confronted with propaganda and disinformation designed to frustrate their efforts to combat the very real forces of Evil that lie behind the New World Order.
Let us then move forward and examine this extraordinary conspiracy in a way that it has never before been dissected. It’s a shocker . . .