- Publié le : samedi 24 mai
- Mots-clés : États-Unis; International; Israël; Services secrets
- Source : E/R
Alors
qu’un projet de loi est à l’étude pour que les ressortissants
israéliens n’aient plus besoin de visa pour entrer sur le territoire
étasunien, l’exaspération monte au sein du Congrès et de la « communauté
du renseignement ».
Le 6 mai dernier Jeff Stein, auteur d’un long article sur le sujet dans Newsweek, écrivait, non sans malice :
Ces rapports interviennent alors qu’un projet de loi visant à assouplir les conditions d’attribution de visa aux citoyens israéliens est à l’étude aux États-Unis. Israël exerce dans le même temps d’intenses pressions pour figurer sur la liste des pays (38 actuellement) dont les ressortissants n’ont pas besoin de visa pour entrer aux États-Unis. En janvier dernier, un membre du Congrès avait qualifié l’un de ces rapports d’ « électrochoc alarmant et même terrifiant », expliquant que les Israéliens pensaient qu’ils « n’avaient qu’à claquer des doigts » pour trouver des soutiens au Congrès capables de voter un changement de loi plutôt que de passer par la procédure réglementaire avec le DHS (département de la sécurité intérieure des États-Unis). Jonathan Broder, journaliste spécialisé dans les questions de défense et de relations internationales pour le site d’information CQ Roll Call, cite un haut responsable de la Chambre des représentants :
Les services secrets étasuniens aux abois
Plusieurs auditions de ce type ont été organisées au cours des derniers mois par le département de la Sécurité intérieure, le département d’État, le FBI et la direction nationale du Contre-espionnage : « Aucun autre allié des États-Unis ne se permet de franchir la ligne rouge comme les Israéliens », a déclaré un ancien membre du personnel du Congrès, qui a assisté à une réunion confidentielle à la fin de l’année 2013. Parlant d’ « espionnage industriel », il désigne « des gens qui viennent pour des missions commerciales ou avec des sociétés israéliennes travaillant avec des sociétés américaines, ou bien des agents du renseignement directement gérés par le gouvernement, ce qui veut dire – je suppose – en dehors de l’ambassade d’Israël […] Si on leur permet d’envoyer librement des ressortissants, comment pourra-t-on mettre fin à cette situation ? Ils sont incroyablement agressifs. Ils font preuve d’agressivité dans tous les aspects de leur relation avec les États-Unis. Pourquoi leurs services de renseignements seraient-ils différents ? […] Je pense que personne n’a été surpris pas ces révélations. Mais quand vous réfléchissez un peu et que vous entendez qu’aucun autre pays ne profite plus qu’Israël de nos relations de sécurité à des fins d’espionnage, c’est assez choquant. Les gens doivent comprendre que même après l’affaire Pollard, rien n’a changé. »
Un espionnage qui ne date pas d’hier
Une allusion à Jonathan Pollard, tristement célèbre agent de renseignement de la marine étasunienne qui fut condamné à la prison à perpétuité en 1987 pour avoir dérobé des dizaines de milliers de secrets au profit d’Israël (ces informations auraient ensuite servi de monnaie d’échange avec Moscou pour l’émigration des juifs d’URSS, et cela en pleine Guerre froide). Israël avait présenté ses excuses et promis de ne plus jamais espionner les États-Unis sur leur territoire, non sans avoir nié pendant plus de dix ans être le véritable employeur de Jonathan Pollard. Évidemment, d’autres espions israéliens ont été arrêtés et condamnés par des tribunaux américains depuis cette promesse. Comme l’expliquait Paul Pillar, ancien responsable de la CIA pour le Moyen-Orient et l’Asie du Sud, les sionistes envoyaient des espions aux États-Unis avant même la création de l’État d’Israël pour rassembler des fonds et des équipements pour la cause, puis plus tard pour soutenir le jeune État.
Le 6 mai dernier Jeff Stein, auteur d’un long article sur le sujet dans Newsweek, écrivait, non sans malice :
« Il paraît aussi improbable de voir les Israéliens renoncer à espionner les États-Unis que de les voir abandonner la matza pour la Pâque juive. »Mais selon plusieurs rapports confidentiels, les manœuvres israéliennes pour dérober des secrets étasuniens sous couvert de missions commerciales et de contrats de technologie de défense ont « dépassé les bornes ».
Ces rapports interviennent alors qu’un projet de loi visant à assouplir les conditions d’attribution de visa aux citoyens israéliens est à l’étude aux États-Unis. Israël exerce dans le même temps d’intenses pressions pour figurer sur la liste des pays (38 actuellement) dont les ressortissants n’ont pas besoin de visa pour entrer aux États-Unis. En janvier dernier, un membre du Congrès avait qualifié l’un de ces rapports d’ « électrochoc alarmant et même terrifiant », expliquant que les Israéliens pensaient qu’ils « n’avaient qu’à claquer des doigts » pour trouver des soutiens au Congrès capables de voter un changement de loi plutôt que de passer par la procédure réglementaire avec le DHS (département de la sécurité intérieure des États-Unis). Jonathan Broder, journaliste spécialisé dans les questions de défense et de relations internationales pour le site d’information CQ Roll Call, cite un haut responsable de la Chambre des représentants :
« La communauté du renseignement américain craint que l’admission d’Israël au programme de dispense de visa ne facilite l’entrée d’espions israéliens dans le pays. »En effet, des spécialistes du contre-espionnage auditionnés par le comité judiciaire de la Chambre des représentants et le Comité des affaires étrangères ont déclaré que « l’espionnage de l’État hébreu aux États-Unis [est] sans égal ».
Les services secrets étasuniens aux abois
Plusieurs auditions de ce type ont été organisées au cours des derniers mois par le département de la Sécurité intérieure, le département d’État, le FBI et la direction nationale du Contre-espionnage : « Aucun autre allié des États-Unis ne se permet de franchir la ligne rouge comme les Israéliens », a déclaré un ancien membre du personnel du Congrès, qui a assisté à une réunion confidentielle à la fin de l’année 2013. Parlant d’ « espionnage industriel », il désigne « des gens qui viennent pour des missions commerciales ou avec des sociétés israéliennes travaillant avec des sociétés américaines, ou bien des agents du renseignement directement gérés par le gouvernement, ce qui veut dire – je suppose – en dehors de l’ambassade d’Israël […] Si on leur permet d’envoyer librement des ressortissants, comment pourra-t-on mettre fin à cette situation ? Ils sont incroyablement agressifs. Ils font preuve d’agressivité dans tous les aspects de leur relation avec les États-Unis. Pourquoi leurs services de renseignements seraient-ils différents ? […] Je pense que personne n’a été surpris pas ces révélations. Mais quand vous réfléchissez un peu et que vous entendez qu’aucun autre pays ne profite plus qu’Israël de nos relations de sécurité à des fins d’espionnage, c’est assez choquant. Les gens doivent comprendre que même après l’affaire Pollard, rien n’a changé. »
Un espionnage qui ne date pas d’hier
Une allusion à Jonathan Pollard, tristement célèbre agent de renseignement de la marine étasunienne qui fut condamné à la prison à perpétuité en 1987 pour avoir dérobé des dizaines de milliers de secrets au profit d’Israël (ces informations auraient ensuite servi de monnaie d’échange avec Moscou pour l’émigration des juifs d’URSS, et cela en pleine Guerre froide). Israël avait présenté ses excuses et promis de ne plus jamais espionner les États-Unis sur leur territoire, non sans avoir nié pendant plus de dix ans être le véritable employeur de Jonathan Pollard. Évidemment, d’autres espions israéliens ont été arrêtés et condamnés par des tribunaux américains depuis cette promesse. Comme l’expliquait Paul Pillar, ancien responsable de la CIA pour le Moyen-Orient et l’Asie du Sud, les sionistes envoyaient des espions aux États-Unis avant même la création de l’État d’Israël pour rassembler des fonds et des équipements pour la cause, puis plus tard pour soutenir le jeune État.
Whatever happened to honor among thieves? When the National
Security Agency was caught eavesdropping on German Chancellor Angela
Merkel’s cell phone, it was considered a rude way to treat a friend. Now
U.S. intelligence officials are saying—albeit very quietly, behind
closed doors on Capitol Hill—that our Israeli “friends” have gone too
far with their spying operations here.
According to classified briefings on legislation that would lower
visa restrictions on Israeli citizens, Jerusalem’s efforts to steal U.S.
secrets under the cover of trade missions and joint defense technology
contracts have “crossed red lines.”
Israel’s espionage activities in America are unrivaled and unseemly,
counterspies have told members of the House Judiciary and Foreign
Affairs committees, going far beyond activities by other close allies,
such as Germany, France, the U.K. and Japan. A congressional staffer
familiar with a briefing last January called the testimony “very
sobering…alarming…even terrifying.” Another staffer called it
“damaging.”
The Jewish state’s primary target: America’s industrial and technical secrets.
“No other country close to the United States continues to cross the
line on espionage like the Israelis do,” said a former congressional
staffer who attended another classified briefing in late 2013, one of
several in recent months given by officials from the Department of
Homeland Security (DHS), the State Department, the FBI and the National
Counterintelligence Directorate.
The intelligence agencies didn’t go into specifics, the former aide
said, but cited “industrial espionage—folks coming over here on trade
missions or with Israeli companies working in collaboration with
American companies, [or] intelligence operatives being run directly by
the government, which I assume meant out of the [Israeli] Embassy.”
An Israeli Embassy spokesman flatly denied the charges Tuesday after initially declining to comment. Aaron Sagui told Newsweek "Israel
doesn't conduct espionage operations in the United States, period. We
condemn the fact that such outrageous, false allegations are being
directed against Israel." Representatives of two U.S. intelligence
agencies, while acknowledging problems with Israeli spies, would not
discuss classified testimony for the record. The FBI would neither
confirm nor deny it briefed Congress. A State Department representative
would say only that staff in its Consular and Israel Palestinian Affairs
offices briefed members of Congress on visa reciprocity issues.
Of course, the U.S. spies on Israel, too. “It was the last place you wanted to go on vacation,” a former top CIA operative told Newsweek, because of heavy-handed Israeli surveillance. But the level of Israeli espionage here now has rankled U.S. counterspies.
“I don’t think anyone was surprised by these revelations,” the former
aide said. “But when you step back and hear…that there are no other
countries taking advantage of our security relationship the way the
Israelis are for espionage purposes, it is quite shocking. I mean, it
shouldn’t be lost on anyone that after all the hand-wringing over
[Jonathan] Pollard, it’s still going on.”
Israel and pro-Israel groups in America have long lobbied U.S.
administrations to free Pollard, a former U.S. naval intelligence
analyst serving a life sentence since 1987 for stealing tens of
thousands of secrets for Israel. (U.S. counterintelligence officials
suspect that Israel traded some of the Cold War-era information to
Moscow in exchange for the emigration of Russian Jews.) After denying
for over a decade that Pollard was its paid agent, Israel apologized and
promised not to spy on U.S. soil again. Since then, more Israeli spies
have been arrested and convicted by U.S. courts.
I.C. Smith, a former top FBI counterintelligence specialist during the Pollard affair, tells Newsweek,
“In the early 1980s, dealing with the Israelis was, for those assigned
that area, extremely frustrating. The Israelis were supremely confident
that they had the clout, especially on the Hill, to basically get [away]
with just about anything. This was the time of the Criteria Country
List—later changed to the National Security Threat List—and I found it
incredible that Taiwan and Vietnam, for instance, were on [it], when
neither country had conducted activities that remotely approached the
Pollard case, and neither had a history of, or a comparable capability
to conduct, such activities.”
While all this was going on, Israel was lobbying hard to be put on
the short list of countries (38 today) whose citizens don’t need visas
to visit here.
Until recently, the major sticking point was the Jewish state’s
discriminatory and sometimes harsh treatment of Arab-Americans and U.S.
Palestinians seeking to enter Israel. It has also failed to meet other
requirements for the program, such as promptly and regularly reporting
lost and stolen passports, officials say—a problem all the more pressing
since Iranians were found to have boarded the missing Malaysia Airlines
flight with stolen passports.
“But this is the first time congressional aides have indicated that
intelligence and national security concerns also are considerations in
weighing Israel’s admission into the visa waiver program,” Jonathan
Broder, the foreign and defense editor for CQ Roll Call, a Capitol Hill
news site, wrote last month. He quoted a senior House aide as saying,
“The U.S. intelligence community is concerned that adding Israel to the
visa waiver program would make it easier for Israeli spies to enter the
country.”
The Israelis “thought they could just snap their fingers” and get
friends in Congress to legislate visa changes, a Hill aide said, instead
of going through the required hoops with DHS. But facing resistance
from U.S. intelligence, Israel recently signaled it’s willing to work
with DHS, both Israeli and U.S. officials say. “Israel is interested in
entering into the visa waiver program and is taking concrete steps to
meet its conditions,” Israeli Embassy spokesman Aaron Sagui told Newsweek.
“Most recently, the U.S. and Israel decided to establish a working
group to advance the process,” Sagui added, saying that “Deputy Minister
of Foreign Affairs Zeev Elkin will head the Israeli delegation.” He
refused to say when the Elkin delegation was coming.
Congressional aides snorted at the announcement. “The Israelis
haven’t done s**t to get themselves into the visa waiver program,” the
former congressional aide said, echoing the views of two other House
staffers working on the issue. “I mean, if the Israelis got themselves
into this visa waiver program and if we were able to address this
[intelligence community] concern—great, they’re a close ally, there are
strong economic and cultural links between the two countries, it would
be wonderful if more Israelis could come over here without visas. I’m
sure it would spur investment and tourist dollars in our economy and so
on and so forth. But what I find really funny is they haven’t done s**t
to get into the program. They think that their friends in Congress can
get them in, and that’s not the case. Congress can lower one or two of
the barriers, but they can’t just legislate the Israelis in.”
The path to visa waivers runs through DHS and can take years to
navigate. For Chile, it was three years, a government official said on a
not-for-attribution basis; for Taiwan, “several.” Requirements include
“enhanced law enforcement and security-related data sharing with the
United States; timely reporting of lost and stolen passports; and the
maintenance of high counterterrorism, law enforcement, border control,
aviation and document security standards,” a DHS statement said.
Israel is not even close to meeting those standards, a congressional
aide said. “You’ve got to have machine-readable passports in place—the
e-passports with a data chip in them. The Israelis have only just
started to issue them to diplomats and senior officials and so forth,
and that probably won’t be rolled out to the rest of their population
for another 10 years.”
But U.S. counterspies will get the final word. And since Israel is as
likely to stop spying here as it is to give up matzo for Passover, the
visa barriers are likely to stay up.
As Paul Pillar, the CIA’s former national intelligence officer for the Near East and South Asia, told Newsweek,
old habits are hard to break: Zionists were dispatching spies to
America before there even was an Israel, to gather money and materials
for the cause and later the fledgling state. Key components for Israel’s
nuclear bombs were clandestinely obtained here. “They’ve found creative
and inventive ways,” Pillar said, to get what they want.
“If we give them free rein to send people over here, how are we going
to stop that?” the former congressional aide asked. “They’re incredibly
aggressive. They’re aggressive in all aspects of their relationship
with the United States. Why would their intelligence relationship with
us be any different?”
Jeff Stein writes SpyTalk for Newsweek from Washington, D.C.
US State Department does not deny reports of ‘unrivaled’ Israeli spying
US officials: Extent of Israeli spying ‘shocking’
Intelligence officials to Congress: Israel 'crossed red lines' in spying on U.S. Newsweek quotes confidential briefings to Congress and says Israel's massive spying is behind the failure to provide visa waiver to Israelis entering U.S.
'Israeli spying in US crosses red lines' Newsweek reporter Jeff Stein cites classified U.S. intelligence document on "Jerusalem's efforts to steal U.S. secrets under the cover of trade missions and joint defense technology contracts" • Foreign Minister Avigdor Lieberman slams "malicious" report.
PRESSTV - US intelligence officials: Israel has crossed red lines in spying on US
Report: US Intelligence Officials Say 'Israel Crossed the Line'
Secret US Intelligence Reports Reveal “Sobering” “Alarming” “Terrifying” Israeli Spying on America!
ADL Director Foxman slams ‘unfounded’ US fears of Israeli spying
Liberman calls accusations of Israeli spying on US 'false and malicious' Senior Israeli officials condemn allegations in 'Newsweek' of espionage, claim reports are anti-Semitic.
Israel rejects US spying allegations as false, ‘malicious’
Israel slams report of massive spying efforts against US Israel decries Newsweek report claiming it is involved in attempts to steal US 'industry and technical secrets,' saying report has 'whiff of anti-Semitism'; officials say 'someone is gunning for visa waiver program.'
US fears mounting Israeli espionage
ADL Director Foxman slams ‘unfounded’ US fears of Israeli spying Il croit vraiment qu'on va gober ça?
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Did an Israeli spy hide in Al Gore's bathroom? Just days after Newsweek quoted senior U.S. intelligence officials as saying that Israeli espionage operations in the United...
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Newsweek--Israel Eavesdropped on President Clinton’s Diplomatic Phone Calls
Report: Israel spied on Bill Clinton Latest Newsweek report on alleged Israeli espionage cites new book claiming Clinton's calls were tapped.
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Report Israel wiretapped Clinton likely not baseless
The Accidental Spy Bombshell By Nathan Guttman A bombshell book details Israeli spying on America, including shocking wiretaps of President Clinton. Even more amazing? Author Ahron Bregman was chasing a whole different story.
Netanyahu said to have offered Lewinsky tapes for Pollard New critical book on the Clinton family claims that Israel tapped White House phones, blackmailed president with recordings of intern
Obama's 'helplessness' an act: Snowden reveals scale of US aid to Israel
Israel Flagged as Top Spy Threat to U.S. in New Snowden/NSA Document
Foreign Policy Journal: How Israel Has Betrayed America
Israeli counterterror chief’s son blames US for his 1988 assassination
Ed note-given the extremely embarrassing nature of the recent pieces detailing Israeli spying against America, it is somewhere between possible and probable that this story involving the death of Nir is just Israel’s tit-for-tat response. This does not mean however that there is no truth in it, although the more likely explanation is that whatever role the US played in his death was done with Israeli direction/collusion.
Israel assails latest allegations of brazen spying on US In response to 'Newsweek' report, Strategic Affairs Minister Steinitz accuses “someone of trying to maliciously harm" US-Israel ties.
A spy in the ointment of U.S.-Israel relations Israel should be troubled not by the unconvincing espionage allegations, but by their timing.
Newsweek reporter stands by Israeli spying allegation: Facts are facts
Israel denies spying on US
US spies vindictive on Israel
US Officials: Israeli Spying on US has 'Crossed Red Lines'
Ex-Mossad chief calls Newsweek spy story ‘delusional’
Congressional Move To Ease Visa Rules for Israel Hits Snag Over Spying Reports
The Latest Document From the Snowden Trove Highlights Israeli Spying
Why Snowden hasn't harmed Israel's intelligence services There was an expectation that the Snowden documents would yield details on Israel's electronic surveillance capabilities, yet Glenn Greenwald has barely reported on Israel.
Israel Flagged as Top Spy Threat to U.S. in New Snowden/NSA Document
VIDEO - Former Israeli Ambassador Suddenly Can't Hear MSNBC When Asked About Spying On John Kerry
VIDEO - Espionnage de John Kerry : Quand l’ancien ambassadeur israélien "n’entend pas" la question Interviewé par une journaliste américaine, Michael Oren, ancien ambassadeur israélien auprès des États-Unis, n’a "pas entendu" la question portant sur de possibles écoutes israéliennes sur John Kerry.
ÇA COUPE....? LE MOSSAD À L'ÉCOUTE?
Kerry-Netanyahu call abruptly terminated Prime minister, secretary of state spoke on Sunday, but the conversation was ended due to 'communications issue' according to State Department; Kerry not planning to attend Cairo talks
ÇA COUPE...? LE MOSSAD À L'ÉCOUTE?
Rep. Sherman says Israelis should enter US without visas
Hamas executes two men in Gaza as spies for Israel
Report: Egypt uncovers Mossad spy operation
Egypt claims Israeli spy ring uncovered
U.S. denying visa to Israeli defense officials?
Israelis: Obama Withholding Visas to Israeli Security Personnel Hundreds of Israeli military officers, intelligence operatives, and those working for the country's defense industry are being denied U.S. visas once routinely approved, the Hebrew tabloid Ma'ariv reported in its Tuesday edition.
Les Américains empêchent les agents du Shin Bet et du Mossad de visiter leur pays
Israeli push for visa-free travel to US faces test
U.S. intelligence objects to visa waiver for Israelis
PRESSTV - US officials oppose admission of Israeli spies to Visa Waiver program
Our alliance with Israel has caused the United States to be isolated on the world stage because of Israel lawlessness on the international stage
Silverstein atteint du syndrome de Stockholm affirme que l'une des victimes de Bruxelles travaillait pour le Mossad
- Publié le : lundi 26 mai
- Mots-clés : Belgique; International; Israël; Services secrets; Tuerie de Bruxelles
- Source : ER
« Une
source israélienne confirme une rumeur qui a circulé dans les médias
israéliens : l’un des Israéliens assassinés au musée juif de Bruxelles
travaillait pour le Mossad. » C’est ce qu’affirme aujourd’hui Richard Silverstein sur son blog Tikun Olam (de sensibilité « juif libéral »).
Les deux Israéliens assassinés, Emmanuel (54 ans) et Miriam Riva (53
ans) experts comptables de profession, ont d’abord été présentés comme
un couple de touristes israéliens venus de Tel-Aviv.
Or Miriam Riva officia pour le Mossad, explique aujourd’hui Richard
Silverstein, qui rapporte également qu’Emmanuel Riva a travaillé pour
Nativ, une agence du gouvernement israélien. Cette agence a notamment
œuvré, en lien direct avec les services secrets israélien, pour l’Alya
des juifs d’URSS et plus généralement pour inciter les juifs d’Europe
de l’Est à opter pour une installation en Israël plutôt qu’aux
États-Unis.
La chaîne de télévision Channel 10 News rapporte par ailleurs que le
couple travailla six ans durant pour le « service gouvernemental » (government service)
allemand. Or l’expression « service gouvernemental », en Israël, est
parfois un euphémisme pour désigner les activités de renseignement.
S’il n’exclut pas définitivement qu’ils aient pu être ciblés en
raison de leur appartenance aux services secrets israéliens, Richard
Silverstein considère néanmoins cette hypothèse comme peu probable car
aucun d’eux n’était présentement actif.
Selon Amir Oren, expert du journal Haaretz
pour les questions de défense, les services de sécurité israéliens
prennent cette piste en considération et enquêtent pour déterminer si le
couple Riva a réellement été visé au hasard.
Police hunt Brussels Jewish Museum gunman
REUTERS-An Israeli official said Emmanuel Riva had formerly worked
for Nativ, a government agency that played a covert role in fostering
Jewish immigration from the former Soviet Union.(...)
The gunman was “cold-blooded and very determined,” officials
said on Monday, leading some security experts to suggest he may have
been a hit man rather than an anti-Semitic “lone wolf.”(...)
But some terrorism and security experts said the way in which the
assailant carried out the killings suggested planning and execution by a
specialist.
Edwin Bakker, professor at the Centre for Terrorism
and Counterterrorism at the University of Leiden in the Netherlands,
said the gunman’s calm manner indicated he had experience.
He added that no organization had claimed responsibility for the attack, suggesting it was not an act of terrorism.
Attaque du musée juif de Bruxelles : «Haaretz» parle d'une «guerre secrète»
AFP 27 mai 2014
Selon le quotidien, les meurtres ne seraient pas antisémites, mais le résultat d'une «attaque ciblée» contre des Israéliens ayant travaillé pour le gouvernement.
(...)Les deux Israéliens tués, un couple de quinquagénaires, avaient
travaillé pour le gouvernement mais étaient comptables plutôt
qu’espions, selon l’expert en matière de défense de Haaretz, Amir Oren. Miriam et Emmanuel Riva «étaient tous deux comptables, employés séparément par des organismes gouvernementaux», a-t-il indiqué. «Mais
il est possible que le meurtre (...) ne soit pas un crime haineux ou
antisémite mais une attaque ciblée (...) une bataille dans une guerre
secrète, même s’il y a peut-être eu erreur sur l’identité des personnes
visées».
En Belgique, la piste terroriste était privilégiée dans l’enquête, avec la désignation de magistrats spécialisés.
Selon Haaretz,
Emmanuel Riva a travaillé pour le ministère des Finances ainsi que pour
l’organisation Nativ, fondée dans les années 1950 pour encourager
secrètement l’éducation juive dans l’Union soviétique durant la Guerre
froide ainsi que l’immigration en Israël. Autrefois accusée d’espionnage
par le KGB, cette organisation qui dépend du bureau du Premier ministre
œuvre aujourd’hui pour encourager l’émigration vers Israël des juifs
russophones résidant en Europe de l’ouest, particulièrement en
Allemagne.
Miriam Riva a elle travaillé pour une «agence gouvernementale» non précisée, affirme le quotidien israélien, précisant que «son travail était purement administratif». «Elle n’était pas Mata Hari»,
ajoute le journal, en référence à une danseuse et courtisane qui a été
fusillée en France pour espionnage pendant la Première Guerre Mondiale.
Contacté
par l’AFP, le ministère israélien de la Défense a nié que le couple ait
travaillé pour lui, tandis que le bureau du Premier ministre s’est
abstenu de tout commentaire.
Jewish Couple Killed in Brussels Museum Were Israeli Spies
Is Brussels, Belgium unsafe for Jews? Israel says couple killed in Jewish museum were victims of “hate,” but investigators believe duo was part of secret spook recruitment network
THE SPY GAME
Richard Walker for American Free Press (Issue 25, June 22, 2014)
Israel’s leaders have made much ado about a Jewish couple who were gunned down on May 24 in broad daylight at the Brussels Jewish Museum, claiming that the two retired accountants were targeted because they were Jews. In truth, however, it looks like the two were Israeli spies and were targeted not because of their ethnicity but due to their work in espionage.
The Israeli government has claimed the murder was a “hate crime” caused by growing anti-Jewish incitement across Europe, but investigators have a different interpretation.
On May 24, the couple was shot along with two other people in the museum in Brussels. A gunman armed with an AK-47 rifle first shot the couple and then the other people. He calmly chose his targets like a professional assassin, left the museum immediately following the shooting and then vanished in a maze of side streets. The two Israelis and one other person died at the scene while the fourth victimwas left in critical condition.
Within hours, Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu denouncedwhat he called growing anti-Jewish sentiment in Europe. He accused European leaders of hypocrisy for not being loud enough in condemning the shooting as a hate crime.
Some commentators have suggested Netanyahu deliberately chose to react in a bellicose fashion to make headlines that would overshadow the pope’s meetingwith Palestinians, an event opposed by Netanyahu and his Likud Party.
It was not long before the media, especially Israeli newspaper Ha’aretz, questioned Netanyahu’s analysis of the shooting.
Journalists learned the dead couple, Miriam Riva, 53, and her husband, Emmanuel Riva, 54,were linked to Nativ, an organization with ties to Israel’s notorious spy agency, the Mossad, and to Netanyahu’s personal office.
The Israeli government was quick to insist the Rivasweremerely accountantswho hadworked for Nativ, an organization that functioned effectively during the Cold War to bring Jews from the former Soviet Union to Israel. In otherwords, it was simply a tool used in an immigration process. Miriam Riva was also reported to have worked for the prime minister’s office and in Germany for six years. One Israeli news outlet announced the couple had been in “government service,” which was shorthand for saying they had been spies.
On May 30, Brussels police arrested a Muslim man from France, on suspicion of the murder. According to reports, it is believed that the man, Mehdi Nemmouche, had been to Syria and trained with terrorists fighting the Syrian government. Those same terrorist groups have received weapons and training from the CIA as well as Israeli intelligence.
A retired European intelligence officer, speaking to this writer on condition of anonymity, claimed most European intelligence agencies had long ago “logged Nativ as aMossad asset for recruiting spies throughout Europe, especially Eastern Europe.”
He said Nativ had always portrayed itself as a social tool, enabling it to use the cover of being an immigration bureau to spy and recruit spies.
“It has played that same role in the Russian republics since the end of the ColdWar. It remains the major player in the recruitment of spies in Jewish communities in Russia. No one in the intelligence world is fooled by its public persona, and my sources tellme the couple in Brussels had a history of espionage,” he stressed.
In 1998, a Russian security officer branded Nativ as “extremely perfidious,” accusing it of running a spy network. His comments followed the ouster of a Nativ operative for passing classified plans for a new Russian battle tank to Mossad.
In the wake of the Brussels museum shooting, Russia has turned down several requests from Israel to allow Nativ to set up shop in Russia and its republics. The latest request was from Israeli Foreign Minister Avigdor Lieberman, a former Soviet bloc immigrant,whowas a Nativ operativewhen he lived in Moldova during the Cold War. The Russian Foreign Ministry rejected Lieberman’s request.
——
Richard Walker is the pen name of a former N.Y. news producer.
Israeli Murdered in Brussels Worked for Mossad By Richard Silverstein for Tikkum Olam
Tuerie de Bruxelles : la police aurait reçu le renfort du FBI
Swiss professor: Belgium may be lying about museum shootings A Swiss professor wrote on Facebook that Belgian officials may be part of a conspiracy to falsely present the Brussels Jewish museum shootings as anti-Semitic.
VIDEO - Antisémitisme : attention à l’intox!
Israel won’t let nuclear whistle-blower leave country The government is refusing to let Mordechai Vanunu leave the country for three days to speak at a conference in London and...
31 juillet 2014. Libération s’indigne. Ulcan, un hacker franco-israélien ose s’en prendre à l’extrême gauche pro-palestinienne. Un vrai scandale. Et ce qu’il fait est très grave. Il déface les sites. C’est à dire qu’il publie sur la page d’accueil de ses victimes un insert humoristique tournant en dérision la junte militaire fasciste et raciste au pouvoir à Gaza. Intolérable. D’ailleurs le hacker israélien est ce même criminel abject qui a osé s’en prendre au grand humoriste breton Dieudonné, le célèbre filleul du Président d’Honneur du Front National, M. Le Pen. Les journalistes de Libération écrivent en effet avec respect:"le polémiste Dieudonné". Ulcan "le harceleur" israélien comme le qualifie avec mépris Libération, a "piraté" le site du polémiste français Dieudonné. Intolérable. Libération déplore également que le hacker israélien ait osé s’en prendre à des suprémacistes racistes ou à des repris de justice notoires voire à des islamistes. Le journal bourgeois-bohème qui s’improvise soudain expert en sécurité informatique croit savoir qu’Ulcan exploite des failles du logiciel libre SPIP (Système de publication pour l’Internet) pourtant signalées par le CERTA. Si l’information du journal de la rue Béranger est vraie cela signifie simplement que les sites piratés ne sont pas sérieux et techniquement déficients. Un comble pour des sites de partis qui ambitionnent de diriger ou révolutionner le pays. Le reste des divagations de Libération prête à rire pour ceux qui ont suivi les aventures d’Ulcan sur Youtube et sur Twitter. Les harceleurs ne sont pas ceux que l’on croit et Libération se trompe volontairement de cible. Aux antipodes du vrai journalisme, cela s’appelle un papier de commande, qui généralement vaut une récompense (hochet, promotion, renvoi d’ascenseur, pantouflage, menus avantages etc…).
Les idées préconçues anti-israéliennes de Charles Enderlin Ils le lâcheront jamais ce Enderlin... Depuis l'Affaire Al-Dura ils l'ont pas lâché.
Photographed punching an Arab woman? Sue the photographer
Media hypocrisy on Israel Op-ed: So-called prestigious newspapers Guardian and NYT give platform to every nonsensical item about racism in Israel.
Massmedias antisémites? Faites-moi pas rire!
Sur ce blog:
Médiats juifs antijuifs? La chaîne CBS rapporte que l'administration Obama a demandé à Israël de bien vouloir cesser d'assassiner les scientifiques iraniens
La CIA voit le Mossad comme sa pire menace en matière de contre-espionnage
Surprise durant la semaine de l'anniversaire de l'assassinat de JFK: Arnon Milchan, producteur juif d'Hollywood, a confirmé ce que nous savions en avouant publiquement avoir été à l'emploi du Mossad dans le cadre du développement du programme nucléaire d'Israël...
Israël admet que le producteur du JFK d'Oliver Stone, Arnon Milchan, était un agent du Mossad
Les États-Unis semblent en avoir marre de devoir toujours couvrir Israël et prendre le blâme pour ses activités criminelles, lèvent le voile sur l'espionnage international israélien. Israël a-t-elle vraiment besoin d'épier la planète entière comme elle a besoin de son arsenal nucléaire et de son "Option Samson", simplement pour "survivre"?
Les médias juifs désignent Obama comme bouc émissaire du scandale d'écoute électronique par la NSA, pour faire pression sur lui et son administration afin que l'option militaire soit envisagée dès maintenant en Syrie et en Iran
Le procès d'Alan Gross, espion "américain" dans la communauté juive cubaine, pourrait envenimer les relations entre Cuba et les États-Unis
À quand une nuit de cristal pour démanteler ce réseau international d'espionnage?
Rare témoignage du policier qui a procédé à l'arrestation des "Israéliens dansants" du 11 septembre
Analyse du rapport du FBI sur les "Israéliens dansants"
Les documents du FBI sur les fameux "Israéliens dansants" arrêtés le 11 septembre 2001
Lobbying sioniste et libération des "Israéliens dansants" du 11 septembre
Vingt ans avant le VP iranien, l'ancien agent du Mossad Victor Ostrovsky accusait le Mossad de se financer par le trafic international de la drogue
"Je larguerais Israël demain matin!" dit au Congrès le professeur Michael Scheuer, ancien directeur de l'unité anti-Ben Laden à la CIA