Le Mossad espionne la CIA, rapporte l'Associated Press
CIA considers Israel one of its biggest spy threats, but the U.S. continues to fund their military adventures
Les Etats Unis voient leur proche allié israélien comme une menace en matière d’espionnage
Par Adam Goldman et Matt Apuzzo, Associated Press,
WASHINGTON (AP) — Le chef de la station de la CIA à Tel Aviv avait déverrouillé la boîte qui contenait le matériel sensible dont il se servait à son domicile de Tel Aviv, en Israël, pour communiquer avec le siège de la CIA en Virginie, et n’avait pu que constater que quelqu’un l’avait trafiqué. Ce dont il référa à ses supérieurs.
Cet incident, décrit par trois anciens cadres des services secrets US aurait pu être rangé simplement parmi les péripéties qui émaillent le monde de l’espionnage international, sauf que le même chose était arrivée au précédent chef de station en Israël.
C’était un rappel pas très subtil que, même dans un pays ami des Etats-Unis, la CIA elle-même était sous surveillance.
Dans un incident distinct, selon deux autres anciens officiels US, un agent de la CIA en Israël était rentré chez lui pour découvrir que la place des aliments dans le réfrigérateur avait été modifiée. Dans tous les cas, les autorités US pensent que les services de sécurité israéliens étaient les responsables.
Une telle ingérence souligne ce qui est largement connu mais rarement discuté en dehors du milieu des services de renseignements: malgré les liens incontestables entre les Etats-Unis et leur allié le plus proche au Moyen Orient et malgré les déclarations des politiciens US qui claironnent cette amitié, les officiels de la sécurité nationale des Etats-Unis considèrent qu’Israël est, par moment, un allié frustrant et une véritable menace pour le contre-espionnage.
Outre ce que les anciens officiels US ont décrit comme des violations de domicile au cours de ces dix dernières années, Israël a été impliqué dans des affaires criminelles d’espionnage contre les Etats-Unis, dans des procédures disciplinaires contre les agents de la CIA et mis en cause dans la mort d’un espion important qui travaillait pour le compte de la CIA en Syrie pendant l’administration George W. Bush.
La CIA considère Israël comme étant sa menace N°1 en matière de contre-espionnage pour sa division Proche Orient, le groupe qui chapeaute les activités d’espionnage au Moyen Orient, selon d’anciens et d’actuels officiels.
Le contre-espionnage est l’art de protéger les secrets du pays contre les espions étrangers. Ce qui veut dire que la CIA pense que les secrets d’Etat des Etats-Unis sont plus à l’abri des autres services secrets de la région que d’Israël.
Israël a des services d’espionnage hautement sophistiqués et professionnels qui rivalisent avec les services américains en technicité et capacité à recruter de la ressource humaine. A la différence de la Syrie et de l’Iran, par exemple, Israël, en qualité d’allié indéfectible, bénéficie d’un accès aux niveaux les plus élevés des cercles militaires et du renseignement au sein du gouvernement des Etats-Unis.Les officiels nous ont parlé sous condition d’anonymat parce qu’ils ne sont pas autorisés à parler publiquement de ces questions sensibles pour les relations diplomatiques entre les deux pays.
Les inquiétudes du contre-espionnage persistent alors même que la relation entre les USA et Israël comprennent une étroite coopération sur des programmes de renseignement qui incluraient le virus Stuxnet qui a attaqué les ordinateurs des principaux sites iraniens d’enrichissement d’uranium. Alors que l’alliance [avec le régime sioniste] est centrale dans l’approche des Etats Unis au Moyen Orient, il y a quand même place pour un désaccord important, tout particulièrement dans la tourmente diplomatique au sujet des ambitions nucléaires de l’Iran.
«C’est une relation compliquée,» déclare Joseph Wippl, un ancien officier supérieur des actions clandestines la CIA, et ancien chef du bureau de la CIA pour les affaires parlementaires (Congrès). «Ils ont leurs intérêts. Nous avons nos intérêts. Pour les Etats Unis, il y a un équilibre à trouver.»
La façon dont Washington caractérise sa relation avec Israël est importante aussi dans la manière dont les Etats Unis sont perçus dans le reste du monde, particulièrement dans les pays musulmans.
Les éloges à l’égard des Etats Unis sont allés crescendo [dans l’entité sioniste] avant la rencontre prévue dimanche entre le candidat à la présidentielle Mitt Romney et le premier ministre Israélien Benjamin Netanyahu à Jérusalem. Leur relation remonte à plusieurs dizaines d’années, quand ils s’étaient brièvement croisés dans les années 1970 au the Boston Consulting Group. Tous deux travaillaient comme conseillers de cette firme au début de leur carrière, avant que Romney fonde en partenariat sa propre société de gestion de placements. Romney a déclaré dans un discours la semaine dernière qu’Israël était «un de nos amis les plus chers, » et a critiqué Obama pour ce qu’il a qualifié de «traitement médiocre» de l’Etat juif par l’administration Obama.
«Le peuple d’Israël mérite mieux que ce qu’il a reçu de la part du leader du monde libre,» a déclaré Romney dans un appel clair à l’électorat juif américain et aux électeurs évangélistes pro-Israël.
Leaked documents reveal US sees Israel as a spying threat
Fanatical Jew lover hilariously claims CIA was “chock full of Nazis from day one”
“CIA has been chock full of Nazis since Day One — I unfortunately have decades of experience in my personal war with these rat bastards. I’ve become a Nazi hunter by necessity, by choice, and as a matter of integrity and honor.”
“From 1943–1945, the OSS played a major role in training Kuomintang troops in China and Burma, and recruited Kachin, and other indigenous irregular forces for sabotage as well as guides for Allied forces in Burma fighting the Japanese Army. Among other activities, the OSS helped arm, train and supply resistance movements, including Mao Zedong’s Red Army in China and the Viet Minh in French Indochina, in areas occupied by the Axis powers during World War II. The OSS also recruited and ran one of the war’s most important spies, the German diplomat Fritz Kolbe. Other functions of the OSS included the use of propaganda, espionage, subversion, and post-war planning.
One of the greatest accomplishments of the OSS during World War II was its penetration of Nazi Germany by OSS operatives. The OSS was responsible for training German and Austrian individuals for missions inside Germany. Some of these agents included exiled communists and Socialist party members, labor activists, anti-Nazi prisoners-of-war, and German and Jewish refugees.“
“The Nazis set out in the beginning to destroy whole peoples. They expected to obliterate from the earth not less than 6,000,000 Jews as a beginning.”
The CIA has proved to be a major promoter of the holocaust© hoax. Dino A. Brugioni is a former senior official at the CIA’s National Photographic Interpretation Center (NPIC) who put together a report in 1979 entitled, The Holocaust Revisited: A Retrospective Analysis of the Auschwitz-Birkenau Extermination Complex. This 1979 CIA report claims to “prove” that exterminations of Jews took place in Auschwitz using grainy aerial photographs. Air photo expert John Ball proved that the reconnaissance photographs used by the CIA in their report were tampered with and altered in what amounts to photo fakery on the part of the CIA — a pathetic effort to prop up the traditional, scientifically impossible, holocaust© narrative. John Ball, in his study of WWII aerial photographs entitled Air Photo Evidence, concluded:
“To this day there is no air photo evidence to support the alleged mass murder of the Jews at any location in Europe occupied by the Germans during World War Two. Further, air photo analysis refutes the claim that the Nazis had intended, at whatever time, to keep events in the alleged extermination camps secret. In many cases the air photos provide clear proof that some of the events attested to by witnesses, such as the destruction of the Hungarian Jews or the mass executions at Babi Yar, did not in fact take place. We may hope that the release of Soviet air photos dating from the time the camps were in operation will shed further light on these issues. The fact that these photos have not been published to date may already speak for itself. That the photos in Western hands were altered in order to incriminate Germany, and were first published by the CIA, is also very significant indeed.”
“I will not tolerate anti-semitism, or any other form of discrimination, at the CIA. It is repugnant to me and to all that our Agency and Country stand for. For these reasons, when Mr. Ciralsky’s allegations first arose, I assembled a group to examine whether the CIA engaged in anti-semitism. The group reported to me that, based on its review, it found no anti-semitism.”
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