Wednesday, July 4, 2012

Wikileaks révèle que Bilderberg craint le nationalisme... mais Infowars s'entête à répéter que Bilderberg a été fondé par des nazis!

Alex Jones et ses disciples ne peuvent-ils voir la contradiction flagrante?
Selon Infowars, LES NAZIS, National-Socialistes seraient les tireurs de ficelles de la réunion de Bilderberg... cette même réunion de Bilderberg qui, comme le confirme Wikileaks, croit que "le nationalisme est dangereux"!

http://www.prisonplanet.com/leaked-bilderberg-documents-nationalism-is-dangerous.html

Leaked Bilderberg Documents: “Nationalism Is Dangerous”

Infowars exclusively obtains Senators’ notes from 1966 confab

By Paul Joseph Watson
Editor’s Note: We have obtained hundreds of documents from the 1966 meeting. This is a Wikileaks-sized data dump and we will be writing several more articles over the next few days to cover the myriad of different issues at hand.


Alex Jones et quantité d'autres "truthers" et "théoriciens du complot" (sic) répètent inlassablement que "les Bilderberg ont été fondés par les 'nazis' ".
En réalité, la réunion de Bilderberg ne puise pas ses racines dans le "nazisme", elle n'a aucune relation au IIIe Reich, ni même avec des restants du IIIe Reich (scientifiques "nazis" ou dignitaires "nazis"). Au contraire, Bilderberg fait partie du système de contrôle instauré par le pouvoir juif sioniste.
Bilderberg est en quelque sorte un mécanisme d'influence et de gestion globale pour la dynastie Rothschild - et les Rothschild ne sont pas des nazis! Depuis les 18e siècle, Rothschild est connu comme ayant été un fervent talmudiste, c'est-à-dire un expert et dévot du Talmud, le livre sacré de la religion juive. Les Rothschild sont une famille juive de haut rang, la famille la plus riche et la plus puissante au monde, et ce depuis des siècles. Ils ont établis de nombreuses et gigantesques fortunes indépendantes - dont plusieurs sont juives, mais pas toutes. La première banque des USA a été fondée par leurs représentants.
Historiquement, les membres de Bilderberg ont agi comme représentants des plus grands intérêts bancaires, des plus grandes industries, des grands médias, quelques élites politiques de tous les horizons et même des commentateurs politiques choisis. La liste est sans fin.
Bilderberg a été fondé en 1954, après la Deuxième guerre mondiale (en conjonction avec l'OTAN), afin de prévenir l'émergence de mouvements et de régimes nationalistes comme on en a vu apparaître avant la Seconde Guerre mondiale (ex: les fascistes, les "nazis" et autres groupes nationalistes plus ou moins semblables ou liés). Cette organisation était donc forcément fondamentalement anti-"nazis". Les forces internationales de l'empire Rothschild ne peuvent tolérer ces mouvements nationalistes qui remettent en question le pouvoir des banques internationales! (Voir: La révolution européenne, Francis Delaisi, disponible en pdf.)
Bilderberg est généralement décrit comme une entreprise conjointe de Rothschild et de Rockefeller. Ces Rockefeller, dont le nom reste associé au Council on Foreign Relations (CFR), ont toujours été des laquais des Rothschild, le CFR n'étant rien de plus qu'une filiale américaine du Royal Institute for International Affairs, établi en Angleterre comme organe de contrôle de la politique et des affaires étrangères au service des intérêts Rothschild. Si les Rockefeller ont déjà été extrêmement riches et puissants, il faut souligner que l'importance des Rockefeller est en train de décliner rapidement... Alors que les fortunes familiales liées à l'empire Rothschild (organigramme - pdf) prennent de plus en plus de place.

(Combien de juifs étaient présents aux réunions de Bilderberg 2008, 2009 et 2010)


L'empire mondial anglo-américain: marionnette des Rothschild?

Certains ont affirmé que les nazis n'ont jamais causé de problèmes aux Rothschild. Cela est faux. En fait, des journaux ont rapporté que des propriétés des Rothschild, notamment des châteaux, avaient été confisqués et leurs vastes terrains recyclés en parcs. Le sinistre pouvoir financier des Rothschild a fait l'objet de deux films de propagande nazie: Die Rothschilds-Aktien auf Waterloo et Der Ewige Jude (Le Juif Éternel).
Certains disent que les fascistes avaient/ont l'appui des sionistes et la franc-maçonnerie. C'est une affirmation erronée, puisque les franc-maçons italiens se plaignaient d'être persécutés par les fascistes, notamment parce que les francs-maçons italiens supportaient les communistes. La franc-maçonnerie a fait l'objet d'un film de propagande nazie, "Forces Occultes" qui la dépeint comme une puissance internationale ennemie de la nation comme de toutes les nations. 
Le Jewish Chronicle rapportait en décembre 1934 les propos de Samuel Untermeyer prononcés après l'adoption d'une résolution de boycott contre l'Allemagne, soulignant que le boycott continuerait "jusqu'à ce que l'Allemagne ait rendu aux loges maçonniques leurs status et propriétés dont elles ont été dépouillées".
La connexion "nazie" derrière Bilderberg, dit-on, est que le Prince Bernhard, qui est effectivement le fondateur officiel de la réunion des Bilderberg, aurait été un "officier SS". Or, cela est faux. Si l'on regarde de près l'historique du Prince Bernhard, on constate qu'il était très anti-"nazis". La plupart des aristocrates européens ont vite pris position contre les nationaux-socialistes, car la révolution NS n'était pas du tout à leur avantage! Le Prince Bernhard a été invité par les SS (l'élite censée assurer la protection du Führer) en 1930, bien avant que les SS ne s'orientent vers la guerre, tout simplement parce qu'il faisait partie d'un club équestre fréquenté par l'aristocratie (où l'on s'adonnait à des randonnée à cheval et autres activités sociales de loisirs champêtres) qui a été absorbé par les SS sous la gouvernance nationale-socialiste. C'était pas une organisation de conspiration. C'est sur la base de l'appartenance de Bernhard à ce club que certains "truthers" et "théoriciens du complot" se permettent d'affirmer que le Prince Bernhard était un officier SS. On peut dire en fait que le Prince Bernhard était une sorte de représentant de l'agenda Bilderberg dans les milieux aristocratiques.
Rappelons que les Bilderberg ne font pas que se réunir pour prendre le thé et s'adonner à d'autres activités sociales et champêtres: ils planifient l'avenir de leur système de contrôle politique économique et médiatique. En résumé, Bilderberg n'est pas une organisation "nazie", c'est même une organisation anti-"nazis", puisqu'elle s'oppose au nationalisme et sert les intérêts Rothschild!

Le Prince Bernhard était une façade de cette organisation des Rothschild et la dynastie Rothschild suit les préceptes du Talmud et non du nazisme.



 


Royals and the Reich

Bien que le livre de Jonathan Petropoulos, Royals and the Reich (PDF, 2006), cherche à mettre en évidence les liens entre l'aristocratie européenne et le IIIe Reich, celui-ci nous donne quand même la preuve irréfutable que le Prince Bernhard détestait le national-socialisme. En 1936, trois ans après l'accession au pouvoir de Hitler, le Prince Bernhard alla rencontrer Hitler pour lui annoncer, au cours d'un tête-à-tête particulièrement froid et tendu, qu'il renonçait à sa nationalité allemande. (Vous savez bien qu'Hitler était un fervent nationaliste allemand, n'est-ce pas?) Un mariage devait sceller l'alliance entre les Pays-Bas et l'Allemagne, mais la Reine des Pays-Bas et le Prince Bernhard se sont mis d'accord pour s'y opposer. Hitler a donc cherché à empêcher sa famille d'aller à la cérémonie. Plus tard, le Prince Bernhard alla combattre les Allemands dans la Royal Air Force (britannique). Il fut nommé commandant des Pays-Bas en 1944 et accepta la reddition de l'Allemagne.
" (...) Prince Bernhard zur Lippe-Biesterfeld (1911-2004), who had a series of titles during his lifetime, culminating in Prince of the Netherlands when he married Queen Wilhelmina's daughter Juliana in 1937, joined the SA, the National-Socialist League of Air Sports, the NSKK, and was a member of the SS. Whatever loyalties he had to Hitler clearly dissipated: in 1936 he renounced his German nationality during a "chilly meeting" with Hitler, and he agreed with Dutch Queen Wilhelmina in opposing "the Führer [who] was keen to treat the wedding as the alliance of two countries .... Hitler responded by trying to stop his relatives [from] attending the ceremony. In 1940 Prince Bernhard helped the Dutch royal family escape to Great Britain, and from 1942 to 1944 worked for the Royal Air force (on at least one occasion overcoming Queen Wilhelmina's ban on his participation in active combat by flying under an assumed name). (...) Queen Wilhelmina made him Commander of the Netherlands armed forces in 1944, and the following year, he accepted the German surrender at Wageningen."  (Source: PDF - Royals and the Reich, Jonathan Petropoulos, 2006)
Une autre anecdote révèle l'antipathie mutuelle existant entre Hitler et le Prince Bernhard:
"One of the visitors who might have profited from such advice was Bernhard, prince of Lippe-Biesterfeld, who had married Crown Princess Juliania of the Netherlands in 1937. Although as a former party member - and now Prince Bernhard of the Netherlas, as Hitler recounted with disdain - he had always maintained how closely he felt the tie with his "atherland Germany". Hitler realised when they took their leave of each other that he had been dealing with a 'windbag'. When I offered him my hand in parting', Hitler said, 'I held a lazy, limp leaf.' The 'reorientation of the prince's conscience and felleings' was treason to Volk and Fatherland'. If Hitler originally thought that, by the presence of the prince in Amstredam and The Hague , he could build a bastion of the Reich there, that handshake alone had shown hmi that he was sadly mistaken." (Source: PDF - With Hitler to the End: The Memoir of Hitler's Valet, 2009, by Heinz Linge,Roger Moorehouse) Voir aussi Hitler's Table Talk (2000).
Une autre des nombreuses preuves que le Prince Bernhard n'était pas nazi est qu'il a été un proche allié du rabbin Tibor ("Pinchas") Rosenbaum. Difficile d'être plus loin des nazis que rabbin Rosenbaum, un rescapé de l'holocauste qui a même aidé à sauver un grand nombre de juifs de l'Holocauste! Rosenbaum s'occupait de fournir des armes au Mossad (services secrets d'Israël) et dirigeait, pour le Mossad, le blanchiment de l'argent du réseau mafieux de Meyer Lansky, le roi de la mafia juive, via la Banque de crédit international, basé en suisse! (Lansky orchestra même des perturbations contre des ralliements "nazis" aux État-Unis). La Banque de Crédit et de Commerce International (BCCI), sous la direction de Rosenbaum, fut le principal actionnaire de Permindex, qui orchestra l'assassinat de JFK (Clay Shaw était membre du CA de Permindex). (Voir ici un documentaire du centre Simon Wiesenthal - nommé ainsi en l'honneur du fameux chasseur de nazis! - qui l'appelle "Pinchas" Rosenbaum). Cela servait non pas les nazis mais le pouvoir juif sioniste!
Eisenberg, Dan et Laudau écrivent au sujet du favoritisme exhibé par le Prince Bernhard envers Rosenbaum:
another of [Rosenbaum's] good friends in high places was Prince Bernhard, consort of the Queen of the Netherlands, who invited him to the royal Palace in Holland to lecture leading Dutch bankers on good business practices. Here too a scandal ensued, when the Prince sold a castle, the Warmelo, for 400000$ to a Lichtenstein firm, Evlyma Inc., owned by Rosenbaum [BCI]. Just why this castle was sold to the Swiss banker, for what he described a ridiculously low price has never been made clear." (Rapporté dans Final Judgment, de Michael Collins Piper.)

Petite parenthèse sur Tibor Rosenbaum...
La thèse de Final Judgment à cet égard est principalement construite sur l'importance clé de Meyer Lansky en tant que véritable acteur d'importance dans le crime organisé américain des années 1950 et 1960, le supérieur de Giancana, Roselli, Marcello, Mickey Cohen, Mickey Weiner, Moe Dalitz, Frank Costello, et d'autres mentionnés précédemment en tant que participants au complot contre Kennedy. À son tour, le rôle de Lansky en tant que sioniste engagé et leveur de fonds pour l'État d'Israël impliquait des liens directs et palpables entre son empire criminel, ses banques de Miami et la Banque de Crédit international (BCI) à Genève, en Suisse. Cette dernière entité a été le centre européen de blanchiment d'argent pour les activités mondiales M. Lansky. BCI, à son tour, a été dirigée par un banquier israélien, le rabbin Tibor Rosenbaum, ex-directeur des Finances et de l'approvisionnement pour le Mossad israélien. Piper démontre ensuite que la BCI est un actionnaire principal dans une société basée à Rome appelée CMC/Permindex, dont le président du conseil d'administration était nul autre que Louis M. Bloomfield de Montréal (Canada), un important collecteur de fonds pour Israël et opérateur connu du renseignement israélien. CMC/Permindex, à son tour, se révèle être l'un des principaux points d'intersection qui relie le mystérieux Bloomfield directement ou indirectement à Clay Shaw (la principale cible de l'enquête de Jim Garrison à New Orleans), Guy Banister, James Jesus Angleton (loyaliste pro-Israël), le chef de la section 5 du FBI William Sullivan (qui a dirigé l'enquête du FBI pour la Commission Warren et a servi comme agent de liaison du FBI et ami de Angleton), l'ex-président cubain Carlos Prio Socarras (un trafiquant d'armes avéré partenaire d'affaires de l'assassin d'Oswald Jack "Ruby" Rubenstein), Ernest Israël Japhet (directeur et président de la Banque israélienne Leumi), Shaul Eisenberg (un personnage clé dans le développement de la bombe nucléaire d'Israël et participant avec Rosenbaum dans la banque d'échange Suisse-israélienne), des éléments de l'Organisation Armée Secrète (OAS) nationaliste française, l'agent de la CIA Théodore Shackley (le chef de la station de la CIA à Miami au moment du plan de la CIA-Lansky pour assassiner Fidel Castro), et Abe Feinberg, un homme d'affaire juif de New York employé par Ben Gourion comme agent de liaison pour des réunions secrètes avec le président Kennedy dans le but de régler le différend des deux partis au sujet de Dimona. C'est donc les acteurs et les liens de BCI et CMC/Permindex que Piper met en évidence pour montrer que les joueurs, les alliances et les actifs ont été mis en place en combinant les motifs, les moyens et l'occasion dans ce complot qui a porté ses fruits à Dallas.
Source: Michael Collins Piper, 45e anniversaire de l'assassinat de JFK
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Le fait est que lorsque le District Attorney (Procureur) de la Nouvelle-Orléans Jim Garrison poursuivait l'exécutif commercial Clay Shaw pour complot dans l'assassinat, Garrison a trébuché sur la connexion du Mossad.
Bien que (après son acquittement) Shaw fut exposé comme collaborateur de la CIA, en 1963 Shaw siégeait au conseil d'une société basée à Rome nommée Permindex, qui était en réalité une façade pour une opération de trafic d'armes parrainée par le Mossad.
L'actionnaire principal dans Permindex, la Banque de Crédit Internationale de Genève, était non seulement le fief de Tibor Rosenbaum, un haut responsable du Mossad, mais aussi le centre opératif du blanchiment d'argent pour Meyer Lansky, parrain du syndicat du crime et loyaliste israélien de longue date.L'exécutif en chef de Permindex était Louis Bloomfield de Montréal, une figure prééminente du lobby d'Israël et un opérateur de la famille Bronfman, qui furent des associés intimes de Lansky et les grands Parrains d'Israël.(...)
En fait, la présence juive dans le crime organisé en Amérique est un phénomène peu connu que les médias obsédés par la "mafia" ont réussi à garder secret.
Qu'en est-il de Jack Ruby (Rubenstein), l'opérateur de discothèque juif, qui a tué Lee Harvey Oswald, l'accusé assassin du président?
Les connexions de Ruby au monde interlope criminalisé sont bien documentées. Cependant, ce qui est encore peu connu est le lien intégral de Ruby au Syndicat du crime de Meyer Lansky -- et non pas « la mafia » -- et aux alliés d'Israël dans la CIA.
Dans Final Judgment j'ai documenté des connexions supplémentaires entre Jack Ruby et l'État d'Israël et son trafic d'armes et ses conduits financiers aux États-Unis.
Des documents du FBI, longtemps étouffés, révèlent que Ruby lui-même a visité Israël en 1955 et que, lorsque Ruby était à San Francisco cette année-là, il aurait déclaré à un ami, «Après être parti d'ici, je m'en vais en Floride acheter une charge de contrebande pour l'envoyer en Israël ».
En outre, notons que Lawrence Meyers, un ami de longue date de Ruby qu'il a rencontré la veille de l'assassinat de JFK, était un vendeur pour Ero Manufacturing, une entreprise liée à une corporation sous enquête pour envois illégaux d'armes à Israël.
En outre, nous savons aussi que Jack Ruby était sur la liste de paie de la famille connectée au Syndicat du crime Lansky: les Bronfman (actuellement dirigée par Edgar Bronfman, président du Congrès juif mondial). Considérant les liens intimes de la famille Bronfman avec la créature du Mossad "Permindex" qui a joué un rôle central dans le complot d'assassinat de JFK, la connexion de Ruby à la famille Bronfman pointe effectivement, encore une fois, vers une autre autre connexion israélienne à l'assassinat de JFK.
Source: Michael Collins Piper, L'arsenal nucléaire israélien au centre de la guerre secrète entre Israël et JFK



 



More Than Meets the Eye?
• Why Bilderberg isn’t Nazi...
Michael Collins Piper
American Free Press
Three current news stories—taken together—illustrate that things are not always as they seem. Take, for example, a new revelation about the Bilderberg group released by Internet voice Alex Jones in the wake of last week’s Bilderberg meeting in Virginia, where Jones joined a crowd jeering the assembled would-be world rulers.
Although Jones has insisted Bilderberg is some sort of remnant of the Nazi regime of Adolf Hitler devoted to a modern-day Nazi agenda, a report on Jones’s own website effectively admits Bilderberg’s program is distinctly anti-Nazi.
Citing the papers of former Sen. Fred Harris (D-Okla.), who attended Bilderberg’s 1966 meeting in Wiesbaden, Germany, Jones points out that Harris recorded the remarks of top Bilderberg figure, labor leader Walter Reuther, who outlined Bilderberg’s underlying agenda: “Nationalism is dangerous.”
WWII-era German National Socialism—Nazism —of course, was very much nationalist in every sense, and the fact nationalism was denounced at Bilderberg gives a clear picture of the real Bilderberg point of view, rumors notwithstanding.
Jones mentions Bilderberg’s founder, Prince Bernhard of the Netherlands, had been a Nazi Party member. But what Jones does not mention is that Bernhard left the party in 1934, a year after Hitler came to power, and by 1940 was a top leader of the anti-Nazi resistance in Europe. So by the time Bernhard became Bilderberg chief, he had undergone a serious political transformation.
What’s more, as careful historians know, Hitler held Bernhard in contempt. In his recorded Table Talk* and in the memoirs of his valet, Hitler is recalled scoffing satirically at Bernhard, and questioning his intelligence, integrity and loyalty.
The forces leading Bilderberg are anti-Nazi, particularly the Rothschild dynasty, whose assets were seized by the Nazis, belying a popular myth that “the Nazis never touched the Rothschilds.”
(...)

——
*Hitler’s Table Talk.
——
Michael Collins Piper is an author, journalist, lecturer and radio show host. He has spoken in Russia, Malaysia, Iran, Abu Dhabi, Japan, Canada and the U.S. He is the author of Final Judgment, The New Jerusalem, The High Priests of War, Dirty Secrets, The New Babylon, Share the Wealth, The Judas Goats, Target: Traficant and The Golem.



Bilderberg: c'est pas des nazis!
by Michael Collins Piper

This year's American delegation-some 33 members strong-among the 127 acknowledged attendees at the 2004 Bilderberg meeting was populated by a heavy contingent of individuals known for their intimate ties to the powerful Israeli lobby in the United States. In full force was that faction known as the so-called "neo-conservatives"-those who have determined that Israel's security should be central to all U.S. foreign policy decisions, even those policies that focus on other parts of the world, outside the realm of U.S.-Middle East relations.

Most notable among this group is the now-infamous Richard Perle, who has attended several past Bilderberg meetings, when Republican administrations have been ensconced in Washington.

A former member and chairman of the "Dubya" Bush-administrated created Defense Policy Board (DPB), Perle was once a lobbyist for an Israeli arms manufacturer and, in the 1970s-while serving as a top aide to then-Sen. Henry M. Jackson (D-Wash.)-was investigated by the FBI for espionage on behalf of Israel. After a stint as an undersecretary of defense in the Reagan administration, Perle went on to become a major player in the burgeoning neo-conservative network that played the critical role in pushing the United States into the war against Iraq.

Considering the fact that Perle was forced to resign from the DPB after it was learned that he had been advising Goldman Sachs International on how it might profit from the war in Iraq, it is not surprising that Goldman Sachs has long been represented at the Bilderberg meetings and now boasts its "international advisor" Martin Taylor as Bilderberg's honorary secretary general.

Joining Perle were two other Bush administration neo-conservative heavyweights generally known to have been major forces behind the push for war in Iraq: Douglas Feith, deputy undersecretary of defense for policy-the top lieutenant of neoconservative stalwart and longtime Perle associate, Deputy Defense Secretary Paul Wolfowitz-and his colleague, William J. Luti, deputy undersecretary of defense for Near Eastern and South Asian Affairs.

The neo-conservatives were also represented at Bilderberg by Max Boot, a top editor for The Wall Street Journal, who has been known for his advocacy of American imperialism in the pages of both the Journal and in The Weekly Standard, which is published by European-based Rothschild family satellite Rupert Murdoch and edited by neoconservative theoretician William Kristol.

Also in attendance at this year's Bilderberg was Kristol's close colleague, Robert Kagan-a contributing editor of The Weekly Standard and a director of Kristol's Project for the New American Century, which once declared that "a new Pearl Harbor" was necessary in order for the United States to begin waging imperial ventures around the globe.

The neo-conservative Hudson Institute was represented at Bilderberg by Marie Josee Kravis, who is both the wife of billionaire Henry Kravis (also in attendance, representing his financial empire) and a business colleague of Perle, having served with Perle as a director of the neo-conservative (and Rothschild family affiliated) Hollinger publishing empire, which includes The Jerusalem Post among its holdings.

Another neo-conservative figure on hand was Bruce Kovner, one of America's richest men, who has helped finance The New York Sun newspaper, a small circulation-but highly influential-neo-conservative journal. Kovner also serves as chairman of the American Enterprise Institute, with which the aforementioned Perle has long been associated.

These neo-conservatives were also joined this year at Bilderberg by a handful of other top former Washington policy makers and publicists known for their sympathies for Israel, including Dennis Ross of the pro-Israel Washington Institute for Near East Policy, effectively an offshoot of the America Israel Public Affairs Committee, former State Department official Richard N. Haas, president of the CFR, and former Assistant Secretary of State Richard Holbrooke.

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À propos de certaines sources douteuses telles que le juif et ancien agent du renseignement britannique John Coleman...
YE SHALL KNOW THE TRUTH 101 Books Nationalists Need to Read and Understand Before 'They' Burn Them, by Michael Collins Piper (2013) p.33-36