Thursday, October 4, 2007

Création accélérée d’un Conseil européen des relations étrangères

Réseau Voltaire
3 octobre 2007

Un Conseil européen des relations étrangères (European Council on Foreign Relations - ECFR), équivalent du CFR états-unien, sera lancé en grande pompe le 9 novembre 2007, à l’occasion du 18e anniversaire de la chute du Mur de Berlin.

Selon nos informations, les réunions préparatoires ont été organisées par George Soros à New York. L’ECFR a immédiatement engagé vingt employés et ouvert des bureaux dans sept capitales Berlin, Londres, Madrid, Paris, Rome, Sofia et Varsovie, mais pas Bruxelles. Il est principalement financé par la Fondation George Soros, par le Fundación para las Relaciones Internacionales y el Diálogo Exterior (liée à El Pais), et par la Communitas Foundation (c’est-à-dire la banque bulgare BRIB).

Les adhésions se font par cooptation pour une durée de 5 ans. Les 50 premiers membres sont :
Urban Ahlin - Martti Ahtisaari - Giuliano Amato - Hannes Androsch - Marek Belka - Svetoslav Bojilov - Emma Bonino - Robert Cooper - Marta Dassu - Gijs de Vries - Jean-Luc Dehaene - Gianfranco Dell’Alba - Andrew Duff - Sarmite Elerte - Brian Eno - Joschka Fischer - Timothy Garton Ash - Bronislaw Geremek - Diego Hidalgo - Mary Kaldor - Gerald Knaus - Caio Koch-Weser - Rem Koolhaas - Ivan Krastev - Mart Laar - Mark Leonard - Adam Lury - Alain Minc - Christine Ockrent - Leoluca Orlando - Cem Özdemir - Simon Panek - Teresa Patricio Gouveia - Chris Patten - Diana Pinto - Andrew Puddephatt - Sigrid Rausing - Albert Rohan - Pierre Schori - Narcís Serra - Elif Shafak - Aleksander Smolar - George Soros - Dominique Strauss-Kahn - Helle Thorning Schmidt - Michiel Van Hulten - Mabel Van Oranje - Antonio Vitorino - Stephen Wall - Andre Wilkens.

Trois co-président sont été désignés : Martti Ahtisaari, Joschka Fischer, et Mabel van Oranje (représentant George Soros).

Au menu des travaux immédiats : l’indépendance du Kosovo et l’intégration des Balkans —Turquie incluse— dans l’Union. À moyen terme, le Conseil devra pallier au rejet du projet de Traité constitutionnel par les peuples français et néerlandais en favorisant, d’une manière ou d’une autre, la fusion des fonctions de Haut Représentant et de Commissaire chargé des relations extérieures. Enfin, à long terme, le Conseil favorisera l’intégration complète des politiques étrangères des États membres dans l’Union « afin qu’elle ne parle que d’une seule voix ».

La création de l’ECFR reprend le projet de l’ambassadeur George Kennan en 1947, mais va au-delà encore pour assurer la perennité du système américaniste. Au moment où les États-Unis montrent des signes de faiblesse, il s’agit de créer une Europe unie qui fasse le pendant des États-Unis et constitue avec eux un vaste ensemble transatlantique.

La nouvelle en anglais: EU Founds International Relations Council (Novinite), new European foreign policy thinktank (Newsroom Finland)

YouTube:The CFR controls american medias

 

Qui est George Soros?

French court upholds Soros conviction

Billionnaire Soros takes on Bush, by Floyd Norris, MARCH 25 2005

Soros kicked AIPAC. Obama kicks Soros. Let’s kick all three.
, By Lenni Brenner, Apr 6 2007

Soros Foundation in the Service of US-Zionist Interests

Il était au courant dès janvier 2006 qu'une récession s'en venait en 2007: "Soros says sees recession in 2007" (Reuters). Il était au courant dès janvier 2006 qu'une récession s'en venait en 2007: "
Soros says sees recession in 2007" (Reuters). À propos de la crise financière actuelle (automne 2007) qui ressemble de façon alarmante à la situation de précédant la crise de 1929.

Réseau Voltaire:
Délits d’initié et coups d’État
George Soros, spéculateur et philanthrope

Archétype du spéculateur et prophète du « post-capitalisme », le financier et philosophe George Soros est à la fois craint et adulé. Responsable de krachs boursiers et mécène dans une cinquantaine de pays, il détient aujourd’hui une fortune évaluée à sept milliards de dollars et se propose de financer les campagnes contre George W. Bush alors même qu’il sauva Junior de la faillite en 1990 et continue à travailler avec son père au sein du Carlyle Group. Simultanémment actif dans de nombreux changements de régime, il est accusé d’être un paravent de la CIA.

Réseau Voltaire:
Complexe militaro-industriel états-unien
Le Carlyle Group, une affaire d’initiés

Premier gestionnaire mondial de portefeuilles, le Carlyle Group rassemble le gratin de la politique mondiale. Piloté par l’ancien secrétaire à la Défense Frank Carlucci, il comprend aussi bien George Bush père que les Ben Laden, George Soros, Mikhail Khodorkovsky ou John Major. Il s’est spécialisé dans la prise de contrôle de sociétés d’armement et de médias. Profitant de la présidence d’un de ses anciens cadres, Bush fils, il influe selon ses intérêts sur la politique étrangère des États-Unis. Usant et abusant de ses relations, le groupe réalise 30% de retour sur investissement au risque de se voir régulièrement mis en cause dans des affaires d’initiés et de corruption.

Pour plus de détails sur le Groupe Carlyle et le CFR étasunien.

Même si Soros s'oppose à Bush-Cheney et Podhoretz, il sert quand même les intérêts Rothschild et sionistes! Alors en ce qui concerne le Conseil européen des relations étrangères, on sait qui est aux commandes...