Tuesday, August 30, 2011

Philip Zelikow (signataire du PNAC): La Libye est un modèle pour la redivision du Moyen-Orient

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"Ce n’est pas un musulman qui était directeur exécutif de la Commission d'enquête du 11 septembre, dont l'expertise et le travail devait mener à la création et au maintien de certains mythes publics ou "hypothèses", et qui a confirmé que la guerre en Irak avait été menée pour le bénéfice d'Israël. C’est plutôt Philip Zelikow." (C'était pas les musulmans)

La Libye, un modèle pour la redivision du Moyen-Orient

Par Bill Van Auken
30 août 2011
wsws.org

Une rubrique de Philip Zelikow, intitulée « La chute de Kadhafi renouvellera le printemps arabe, » et publiée lundi sur le site Internet du Financial Times, donne un aperçu des objectifs ambitieux poursuivis par Washington et les autres principales puissances impérialistes dans leur soi-disant intervention « humanitaire » en Libye.

Zelikow est un ancien conseiller au Département d’Etat conduit par Condoleezza Rice dans le gouvernement de George H.W. Bush durant la période de l’effondrement du bloc soviétique. C’est un conseiller expérimenté et qui jouit de la confiance de l’establishment politique américain, au point même d’avoir été pressenti pour le poste de directeur exécutif de la Commission d’enquête sur les origines des attentats du 11 septembre. A ce poste, il fut la personne sur qui reposait la responsabilité d'occulter le rôle joué par le gouvernement américain dans les attentats terroristes du 11 septembre.

Proche du Projet pour le nouveau Siècle américain (PNAC) et l’un des auteurs de la doctrine de guerre préventive prônée par Bush, Zelikow a une expérience approfondie, à la fois théorique et pratique, de la poussée de l’impérialisme américain à exercer son hégémonie sur l’ensemble du Moyen-Orient.

Zelikow débute sa rubrique en faisant tomber les arguments de ceux qui sont à la droite du Parti républicain et qui s'opposaient à la guerre en Libye au motif que c'était de l’« interventionnisme libéral. » Il rejette cet argument, disant que ce n’est qu’un simple malentendu « alimenté par une certaine rhétorique, notamment du gouvernement. » La guerre, écrit-il, a été lancée en raison de « l’histoire particulière [de la Libye]et d’une géographie du pays qui ont dûment justifié des calculs pragmatiques de la part des États-Unis, de la Grande-Bretagne, de la France et de bien d’autres pays, selon lesquels il fallait saisir cette occasion pour aider les rebelles à se débarrasser de ce régime tout particulièrement dément. »

En d’autres termes, les principales puissances impérialistes on reconnu dans les événements en Libye des circonstances leur permettant de « saisir l’occasion » de mener une campagne militaire en faveur d’un changement de régime aux fins d’établir un contrôle rigoureux sur ce pays d’Afrique du Nord riche en pétrole.

Ces circonstances ont été en partie conditionnées par les soulèvements en Tunisie et en Égypte et leur écho au sein de la population libyenne sous la forme de manifestations contre le régime Kadhafi, qui ont été impitoyablement réprimées. Et ces circonstances ont aussi été en partie déterminées par le caractère de la Libye : un pays de moins de 6,5 millions d’habitants, ayant les plus vastes réserves pétrolière du continent africain et disposant d’un long littoral méditerranéen exposé directement à l’Europe méridionale.

Après avoir lutté jusqu’à la fin pour garder au pouvoir les régimes dictatoriaux de Moubarak et de Ben Ali en Égypte et en Tunisie, les impérialistes ont vu l’occasion d'utiliser le soi-disant « printemps arabe » comme alibi pour s’emparer du contrôle de la Libye, alors même qu’ils exploitent, au même titre que les élites dirigeantes locales, l’absence d’une direction révolutionnaire pour rétablir leur domination en Tunisie et en Égypte.

C’est ce qui a donné lieu à la guerre menée soi-disant pour des « raisons humanitaires » et pour « protéger des civils libyens, » des prétextes que Zelikow rejette à juste titre comme n’étant que de la rhétorique.

Comme le fait bien comprendre l’ancien responsable du Conseil de sécurité nationale (NSC) au Département d’État, ce processus ne s'arrêtera pas à la Libye. La guerre libyenne, dit-il, « renouvellera une dynamique. » Il poursuit en disant : « Le combat en Syrie, en s’intensifiant lentement, passera davantage encore au premier plan. »

En d’autres termes, ce qui est en jeu ce n’est pas simplement la prise de contrôle d’un pays, ce qui, en soi, est déjà important, mais plutôt le réaménagement d’une région tout entière.

Et qui, selon Zelikow, se trouve à l’avant-garde de ce « printemps arabe » soi-disant démocratisant ?

« Une grande partie de la poussée de la politique du printemps arabe provient actuellement des Etats du Golfe persique, tels l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis (EAU) et le Qatar, » écrit-il. « C’est leur heure. Le gouvernement saoudien joue un rôle crucial dans l'isolement actuel de la Syrie par la diplomatie arabe. Les EAU, avec les Saoudiens, ont trouvé les fonds nécessaires qui ont permis aux dirigeants intérimaires de l'Égypte de ne pas se soumettre aux aides proposées sous conditions par les institutions financières internationales. Le gouvernement qatari a joué un rôle vital dans la révolution libyenne. »

Le « printemps arabe » est « leur heure? » Ces soi-disant champions de la démocratie et de la libération des masses arabes sont un assortiment de monarchies absolues où les opposants risquent d’être torturés, emprisonnés sans procès et même décapités. Ils régentent des sociétés dans lesquelles la vaste majorité de la population sont des travailleurs immigrés opprimés et privés de tout droit et où les femmes sont privées des droits fondamentaux.

Ces croisés en faveur de la « démocratie » en Libye et en Syrie sont bien sûr ces mêmes régimes dictatoriaux qui ont organisé la répression militaire des protestations nationales au Bahreïn qui revendiquaient des droits démocratiques en opposition au règne dictatorial de la dynastie d’Al-Khalifa. Avec le soutien tacite de Washington, une multitude de gens ont été tués, plusieurs centaines ont été interpellés et des milliers ont perdu leur emploi durant la répression continue au Bahreïn.

Proclamer ceci comme l’« heure » de régimes tellement odieux c'est projeter un cauchemar de répression et de régression sociale sur les peuples de l'ensemble du monde arabe.

Zelikow poursuit son éloge aux monarques du Golfe persique, fous de pétrodollars, par un commentaire bizarre. « Je me sentirais mieux, » écrit-il, « si, pour coordonner la stratégie, la France, la Grande-Bretagne, les États-Unis, et ces trois pays organisaient régulièrement des discussions de groupes de travail au niveau des hauts responsables et à un rythme quasi quotidien. Mais peut-être le font-ils. »

Qui Zelikow croit-il tromper ? Non seulement la politique est « coordonnée » à un niveau supérieur, mais les forces spéciales qatari ont collaboré sur le sol libyen avec des agents secrets, des troupes d’opérations spéciales et du personnel militaire « sous contrat » américains, britanniques et français pour organiser et diriger les soi-disant offensives rebelles. Si ces régimes sont maintenant présentés comme l’avant-garde du « printemps arabe » c’est parce qu’ils sont les plus asservis à la politique américaine au Moyen-Orient.

Qu’est-ce que cet initié de la politique étrangère et du renseignement voit comme perspective pour la Libye et le monde arabe en général ? Est-ce que de nouveaux régimes répressifs représentant les anciennes élites dirigeantes apparaîtront – comme il semblerait que cela soit le cas en Égypte ou en Tunisie ? Est-ce que « des extrémistes islamistes… prendront le contrôle ? » Ou est-ce que « des sociétés plus ouvertes sur le modèle connu à l’Ouest » émergeront ?

Zelikow suggère qu’une alternative « nouvelle et originale » pourrait émerger ; une alternative qui « ne corresponde pas à ces catégories préconçues. »

« Considérons les dilemmes auxquels les nouveaux dirigeants de la Libye seront confrontés au début, » écrit-il. « Leur économie repose essentiellement sur le complexe pétrolier que l’État voudra contrôler. Leur politique commencera à partager le pouvoir et les ressources entre plusieurs groupes rivaux comblant le vide laissé par la disparition de la dictature. Les dirigeants seront las des combats et du chaos. Plutôt que de réimposer une nouvelle dictature pour faire entrer tout le monde dans un modèle unique et en payer le prix avec les revenus pétrolier et gaziers, le cours naturel sera de conclure des accords, conférant une plus grande autonomie à diverses communautés et des parts du revenu national. Ce n’est pas inhabituel. Des communautés multi-ethniques dans des pays tels la Libye, l’Irak et la Syrie expérimentent ou expérimenteront des solutions fédérales ou même confédérales. Dans cette partie du monde, c’est le modèle du 'tout Etat', fils décrépit de la décolonisation, qui est en train de s’écrouler. Ce modèle unitaire et étatiste a été le vecteur de tout ce clientélisme et il est en train de faire place à quelque chose de nouveau. »

Ici, ce « quelque chose de nouveau » semble par contre avoir tous les aspects de quelque chose de très vieux ou du moins de quelque chose datant du 19ème ou du début du 20ème siècle. Ce qui est proposé ici ce n’est pas l’épanouissement de l’autonomie démocratique mais plutôt le plus grand redécoupage impérialiste du Moyen-Orient depuis que la Grande-Bretagne et la France ont imposé leur système de mandats coloniaux après la Première Guerre mondiale.

Après avoir supprimé le « modèle unitaire et étatiste, » qualifié par Zelikow de « fils décrépit de la décolonisation, » la voie est libre pour une véritable re-colonisation de la région. Ou, plus exactement, de la plus grande partie de la région. L’on peut difficilement soupçonner Zelikow de proposer la fin du « modèle unitaire et étatiste » en Israël.

Avec l’élimination du « modèle étatiste » dans un pays comme la Libye, l’on se débarrasserait probablement aussi du préoccupant problème du contrôle par l’État des ressources pétrolières, permettant ainsi à Exxon-Mobil, BP, Chevron et à d’autres groupes énergétiques de revendiquer la propriété directe des champs pétroliers, de prendre le contrôle de la production et d'évincer des marchés les concurrents en Chine, en Russie et en Inde.

Zelikow conclut en disant: « Les étrangers peuvent contribuer à tout ceci en mettant à disposition des informations, des idées et de l’incitation. Mais les étrangers ne seront pas les décideurs. » Bien sûr que non, tout comme les étrangers de l’OTAN n’ont fait « qu’aider » les « rebelles » en Libye.

Zelilow s'était fait largement connaître dans les cercles de l’establishment américain durant la période de l’effondrement de l’Union soviétique et de la bureaucratie stalinienne en Europe de l’Est. Il était alors conseiller principal pour les questions de sécurité durant la guerre du Golfe persique de 1990-1991. Il s'était fait l'avocat de la politique qui a conduit à l’invasion de l’Irak en 2003, une guerre qui fut rendue possible par la liquidation de l’URSS. A présent, il est en train de proposer que l'on intensifie cette politique de façon significative.

Sa rubrique sur la Libye sert à confirmer que la guerre là-bas n’a rien à voir avec de l’humanitaire ni avec les droits de l’homme mais qu'elle représente l'assujettissement brutal d’un ancien pays colonial. Et c’est un avertissement : La Libye n’est que le début d’une poussée impérialiste visant à réorganiser l’ensemble du Moyen-Orient. Compte tenu des intérêts conflictuels entre les principales puissances impérialistes même, ce processus risque de provoquer des affrontements bien plus sanglants dans un avenir proche.

(Article original paru le 24 août 2011)



American Jewish Committee behind “humanitarian intervention” in Libya

September 29, 2011

In his recent article, “Libya and the Big Lie: Using Human Rights Organizations to Launch Wars,” Mahdi Darius Nazemroaya writes:

One of the main sources for the claim that Qaddafi was killing his own people is the Libyan League for Human Rights (LLHR). The LLHR was actually pivotal to getting the U.N. involved through its specific claims in Geneva. On February 21, 2011 the LLHR got the 70 other non-governmental organizations (NGOs) to sent letters to the President Obama, E.U. High Representative Catherine Ashton., and the U.N. Secretary-General Ban-ki Moon demanding international action against Libya invoking the “Responsibility to Protect” doctrine.

According to the Jerusalem Post, however, the 70 “rights groups” were organised by UN Watch, whose executive director Hillel Neuer, was quoted as saying that:

“the muted response of the US and the EU to the Libyan atrocities is not only a let-down to the many Libyans risking their lives for freedom, but a shirking of their obligations, as members of the Security Council and the Human Rights Council, to protect peace and human rights and to prevent war crimes.”

The Post article does not mention, however, that UN Watch is affiliated with the American Jewish Committee, a key component of the Israel lobby.




Frère Nathanaël: qui sont les juifs derrière la guerre en Libye? (traduction française)




Louis Farrakhan expliquait en 2004 le plan des Néocons (Israël)....





"Choc des Civilisations"
devoilement.blogspot.com

Guerres perdues pour l'empire, mais gagnées pour Israel

Aucune des guerres engagées sur le mensonge du 11 septembre n'était faite pour être gagnée, du moins pour ceux qui les ont engagées. Les USA y ont tout perdu, l'Europe va faire de même, le seul gagnant sera celui qui les a fomenté depuis les années 80, Israël et son réseau mondial de juifs sans humanité.

Ces guerres en plus de lui livrer le monde arabe, lui livre sanguinolent le monde occidental, encore une fois.

Ces guerres n'ont jamais été créée pour faire gagner, leur seul but a été détruire, et faire revenir à l'age de pierre tant le monde occidental, que le monde arabe.

Le nouveau siècle américain comme le nouveau siècle européen ne sont que les chimères qui font rêver ceux qui sont imbus de puissance et de domination, que des moyens de réveiller la fierté chez ceux qui n'en ont plus depuis longtemps.

Le judaïsme conquérant a gagné toutes ces guerres qui vont lui permettre une domination totale sur les ruines des nations. Il faudra encore quelques années pour que le monde le réalise et se réveille, et quand les frigos seront vides, n'importe quel maitre qui permettra de les remplir sera le bon.

Les esclaves le seront en connaissance de cause, et l'accepteront comme naturel devant la puissance et le pouvoir juif.(...)



VIDEO - Syrian Opposition Pushing Libyan Scenario



Sommaire exécutif de The High Priests of War, par Michael Collins Piper:

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LES GRANDS PRETRES DE GUERRE




L'Histoire secrète de l'arrivée au pouvoir des trotskistes "néo-conservateurs" sionistes américains et de leur orchestration de la guerre contre l'Irak comme premier pas vers la réalisation de leur Empire Global.

Le rapport qui suit est basé sur les constats suivants:
  • Que la guerre contre l'Irak menée par l'administration américaine du président George W. Bush est non seulement contraire aux principes «conservateurs» américains traditionnels, mais contraires aussi à tous les principes de la politique étrangère américaine des cinquante dernières années;
  • Que la guerre contre l'Irak est menée à des fins beaucoup plus larges qu'un simple «changement de régime» ou une "élimination des armes de destruction massive"; mais d'abord et avant tout dans le cadre d'un effort global pour faire des États-Unis l'unique super-puissance internationale, capable militairement et économiquement de supprimer toute nation et/ou peuple qui oserait défier l'hégémonie américaine;
  • Que la guerre contre l'Irak n'est tout simplement qu'une première étape d'un plan de longue durée et de grande envergure visant à déployer des frappes encore plus agressives contre l'ensemble du Moyen-Orient arabe, afin de "refaire le monde arabe" pour assurer la survie - et étendre le pouvoir - de L'ÉTAT D'ISRAËL;
  • Que la guerre contre l'Irak n'est que l'objectif initial de ce programme soigneusement planifié et que, finalement, d'autres États arabes et musulmans sont voués à l'extinction pure et simple ou à une certaine forme d'occupation ou de contrôle par les forces militaires et politiques américaines (EN ALLIANCE AVEC ISRAËL);
  • Que la guerre contre l'Irak et le plan pour l'asservissement des peuples arabes n'est tout simplement qu'une modification, une adaptation modernisée du rêve historique sioniste du «Grand Israël», ajusté pour répondre aux exigences des compagnies pétrolières internationales, qui sont, à leur tour, entièrement prêtes à prendre part au projet de domination les pays producteurs de pétrole du monde arabe, EN PARTENARIAT AVEC L'ÉTAT D'ISRAËL;
  • Que la guerre contre l'Irak a été délibérément orchestrée par un réseau petit mais puissant d'éléments sionistes de la ligne dure "de droite" - les soi-disant «néo-conservateurs» - nichés aux plus hauts niveaux de l'administration Bush, habilement aidés et encouragés par des gens suivant la même ligne de pensée dans des organisations politiques publiques, des cercles de réflexion (think tanks), des publications et d'autres institutions, qui sont tous étroitement inter-reliés et, à leur tour reliés à des FORCES DE LA LIGNE DURE LIKOUDNIK EN ISRAËL;
  • Que la guerre contre l'Irak et les interventions supplémentaires des États-Unis contre le monde arabe qui sont prévues pour l'avenir peuvent être attribuées à une manigance politique sioniste dans les hauts niveaux du renseignement américain, remontant aussi loin que les années 1970, et que plusieurs des mêmes acteurs impliqués dans cette activité guident aujourd'hui la politique de l'administration Bush;
  • Que la guerre contre l'Irak est un complément à la «guerre contre le terrorisme» déclarée au préalable qui, en soi, faisait partie d'une longue campagne de propagande, en constante évolution, soigneusement coordonnée, et fondée sur la théorie que le terrorisme est en quelque sorte un trait "arabe"...
---Michael Collins Piper



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Depuis le 11-Septembre tout leur est permis !

Dix ans après le 11septembre 2001, personne de sensé et ayant un tant soit peu d’esprit critique ne peut croire en la version officielle et quasiment obligatoire des attentats ayant atteint les Etats-Unis d’Amérique. Thierry Meyssan et bien d’autres avec lui ont démontré le caractère mensonger de la thèse qui continue à être colportée par les grands media occidentaux. Si pour l’heure la répression des sceptiques n’est pas aussi forte que celle des révisionnistes, si aucune loi d’exception n’a été adoptée contre les déviants, il ne fait pas bon cependant s’écarter de la vulgate. Meyssan a été contraint à l’exil, l’actrice Marion Cotillard et l’humoriste Jean-Marie Bigard ont dû quant à eux présenter leurs plates excuses pour avoir émis publiquement des doutes.

Nous avouera-t-on un jour que l’on nous a affreusement menti comme ce fut le cas en 2003 pour les prétendues armes de destruction massive de Saddam Hussein et en 1990 à propos des bébés koweïtiens soi-disant enlevés de leur couveuse et tués par la soldatesque irakienne? C’est peu probable. En tout cas nul ne peut nier que ces attentats ont permis à l’Oncle Sam de redessiner le Moyen Orient à sa guise en mettant la région à feu et à sang. L’Afghanistan d’abord, puis l’Irak où George Bush fils a terminé le travail interrompu douze ans plus tôt par Bush père et désormais les menaces se font plus précises sur la Syrie, l’Iran voire la Turquie (cf. l’article de Léon Camus en page7). Si l’on ajoute que le Maghreb connaît depuis le début de l’année une succession de révoltes et de révolutions aussi soudaines que suspectes, de la Tunisie à l’Egypte en passant par la Libye, c’est bien tout le monde arabe qui est en train d’être reconfiguré, domestiqué, mis au pas. Et les premières victimes de ces grandes manœuvres, ce sont plus que jamais les Palestiniens qui non seulement n’ont pas droit à un Etat viable avec des frontières sûres et garanties mais de surcroît sont persécutés, harcelés, poussés au désespoir, mis en quarantaine par un nouveau mur de la honte et bombardés comme ce fut le cas lors de la guerre fin 2009 et début 2010 contre la bande de Gaza, laquelle subit toujours un blocus particulièrement inhumain.

Il faut dire que quelques heures seulement après les attentats du 11-Septembre où l’on avait comme par magie identifié aussitôt le coupable (Ben Laden), une image était particulièrement frappante, celle du Premier ministre israélien d’alors, Ariel Sharon, sourire aux lèvres, expliquant que désormais l’Amérique savait ce qu’était le terrorisme auquel son pays est confronté. Quelques semaines plus tard, le même homme confiait, faraud: «Nous tenons l’Amérique, et l’Amérique le sait.» Ce que l’Etat hébreu n’avait pu obtenir seul par les armes (et l’échec de l’agression contre le Hezbollah au Sud Liban a montré que, contrairement à la légende, Tsahal n’était pas invincible) est désormais acquis grâce au 9-11: le chaos est installé un peu partout dans le Proche-Orient pour le plus grand profit de l’entité sioniste qui voit ainsi renforcée sa domination sur la région. Car depuis sa création en 1948 l’obsession de l’entité sioniste a toujours été d’empêcher autour d’elle la constitution d’un pays puissant sur les plans économique, politique, diplomatique et militaire.

La plupart des Occidentaux ne s’inquiètent pas outre mesure des bruits de bottes dans ces régions qu’ils jugent lointaines, pensant être épargnés par les répercussions de ces conflits. Pourtant la guerre appelle la guerre et cette multiplication des conflits n’augure rien de bon pour nous autres. D’autant que notre pays est malheureusement partie prenante dans la plupart des opérations: il a participé à la première guerre du Golfe en 1991, dix ans plus tard à l’invasion de l’Afghanistan — où nous sommes toujours englués — et cette année à l’expédition en Libye, suscitant ainsi une incompréhension générale voire des haines inexpiables dans les masses arabo-musulmanes. En cas d’exportation ou d’extension du conflit, la France serait d’autant plus touchée qu’elle est le pays d’Europe qui compte les communautés juive et musulmane les plus nombreuses. Il est de toute façon faux de penser que le Vieux Continent est depuis 1945 et à jamais une zone de paix. Les guerres en ex-Yougoslavie puis l’agression par l’Otan de la Serbie en 1999 ont prouvé que l’Europe elle-même pouvait être le terrain de conflits et de règlements de compte particulièrement atroces. Il serait dangereux de l’oublier.

jeromebourbon@yahoo.fr








VIDEO - The Increasingly ‘Transparent Cabal’ Running America into the Ground for Israel

America’s Arab Spring policy driven by concern for Israel’s interests, says US ambassador

America’s Arab Spring policy driven by concern for Israel’s interests, says US ambassador

In a recent speech to the Jerusalem-based Jewish People Policy Institute (JPPI), the staunchly Zionist newly-posted U.S. ambassador to Israel revealed that America’s “response” to the so-called “Arab Spring” was driven by Washington’s overriding concern to ensure “Israel’s future as a secure, Jewish, democratic state.” Ambassador Daniel Shapiro said:

“Israel’s interests were not served by the deep anger felt toward the United States in many Muslim communities, and the President made clear that those who would accept his outstretched hand must do so knowing that the United States will remain a fierce defender of Israel’s legitimacy and call on others to build their own connections with Israel.

“As the unprecedented events of the Arab Spring have unfolded, we have recognized the opportunity presented by the possible emergence of more open, transparent peaceful, and democratic governments, who will make better neighbors, while remaining vigilant about the risks these changes could present. We know the stakes for Israel are high, and in a situation where neither of us can control outcomes, we are working closely together to chart a common strategy.”


US Ambassador: Support for Israel drives all US Mideast policies

By Alison Weir
Antiwar
September 14, 2011

While many Americans may believe that US policies are designed to address American needs, America’s new Ambassador to Israel explains that this is far from the case.

In a recent speech before the Jewish People Policy Institute (JPPI), Ambassador Daniel Shapiro clarified what drives US policies: “The test of every policy the Administration develops in the Middle East is whether it is consistent with the goal of ensuring Israel’s future as a secure, Jewish, democratic state. That is a commitment that runs as a common thread through our entire government.”

Shapiro went on to say: “This test explains our extraordinary security cooperation, our stand against the delegitimization of Israel, our efforts on Iran, our response to the Arab Spring, and our efforts on Israeli-Palestinian peace.”

Continue reading…

Tuesday, August 23, 2011

Les documents du FBI sur les fameux "Israéliens dansants" arrêtés le 11 septembre 2001

http://novalight.org/ThreeOfFiveDancingIsraelis.jpg

"We are Israelis. We are not your problem. Your problems are our problems. The Palestinians are the problem."


The FBI documents on the "Dancing Israelis" were partly declassified in 2010...


However, there are many parts that are still blanked off and classified until 2030. These include people's names, and for example the section just after the part where it asks the question: "1. Did the Israeli nationals have foreknowledge of the events at WTC and were they filming the events prior to and in anticipation of the explosion?" The fact that it's blanked out indicates that the answer isn't "no".

The documents can be downloaded from links provided at this page:

http://mybigfatanti-zionistlife.blogspot.com/2011/08/official-2001-fbi-docs-on-urban-moving.html

I was able to instantly register with fake names on Facebook, so I could download the documents Sections One to Six.

I'm working through the documents and will be writing transcripts for the best parts. For example:

"Both [blank] and [blank] are [blank] at Dorric Towers, 100 Manhattan Avenue, Union City, New Jersey. They were at work the morning of the destruction of the World Trade Centers. Dorric Towers was the site were [sic] 3 young men were seen taking video and still pictures of the destruction of the first tower. The men were in a festive mood and high fiving each other. They were driving a white utility van."

"Blank] and his [blank] are [blank] for Doric Towers. On the morning of 9/11/01 [blank] was painting in Apartment [blank] Less than 5 minutes after the first plane hit the North tower of the World Trade Center [blank] comes to Apartment [blank] and informs [blank] of the disaster. [Blank] stands up from painting the baseboard, looks out of the window, and notices 3 young men taking video and still photographs from atop the roof of the parking garage adjoining Doric Towers. He also see [sic] a white utility van next to the men and a brown van further behind. There were no other people in the parking lot at that time. He believes this occurred between 9:00am and 9:10am. [Blank] exits apartment and goes to his apartment at [blank] which takes approximately 5 minutes. He looks out of the window and sees both towers on fire. After 6 to 7 minutes he goes to another window in his apartment and sees that the men and both the white and brown van gone."

"[Blank] date of birth [blank] 100 Manhattan Avenue, Apartment [blank] Union City, NJ, telephone [blank] [blank] was interviewed. After being advised of the official identity of the interviewing agent and the nature of the interview she provided the following information:

At approximately 8:15 a.m. on 09/11/2001, while leaving the above-referenced apartment complex, [blank] observed a white van parking in the rear parking lot of the apartment complex. A male individual appearing to have a brown but not dark complexion, round face, dark hair, approximate age 30's, was driving the van. He drove the van very slowly into the rear parking lot, paused, and backed into a parking spot which, from the front, overlooked the New York City skyline. No passengers were visible. Upon returning to the area, at approximately 9:20 a.m. that same day, the interviewee did not see the van.

The van was white and had no windows on the sides. It appeared to be a utility van for an electric company because the words 'electric supplies', among others, were printed on it. The name of the utility or vendor company, since forgotten, was in red letters on the van. The license tag was not noticed.

Usually, utility or service vehicles at the complex building parked in the front. This vehicle was parked in the back which is why it came to the interviewee's attention. It seemed out of place."

"Another complaint subsequent investigation by Newark Criminal Division Agents revealed a second eyewitness who reported having observed the a [sic] white van in the same parking lot described by [blank]. This eyewitness, however, observed the van in the parking lot as early as 8:00 am on the morning of the explosions at WTC."

"UNSUB 1 looked light, and didn't look like he would work as a mover."

"He was employed by Urban Moving Co., until recently, for approximately [blank] working on a moving van as a helper. He was paid under the table and earned $10.00 an hour. The other helpers all seemed to be Russians, Hungarians and Israelis. They always spoke Hebrew in his presence. He also advised that these other foreign nationals and [blank] of the company, [blank] had frequent meetings in the company's office, and he and the other non-Jewish employees were never invited to join them."

"Nevertheless, fifteen (15) computers and a network server were seized from the Urban Moving Systems office. FBI-NK noted the unusually large number of computers relative to the number of employees for such a fairly small business. Further investigation identified several pseudo-names or aliases associated with Urban Moving Systems and its operations."

"All of the males appeared to be jovial in that they smiled, hugged one another, and gave "high-fives".

"[Blank] is certain that the first fire at the WTC had just started. The second explosion had not yet occurred when she noticed these males."

"When asked about URBAN MOVING COMPANY, [blank] stated he had only heard of them recently when [blank] a tenant in apartment [blank] called on Sunday, 09/09/2001, and stated he and his wife, [blank] would be moving out of the building Monday morning, 09/10/2001. [Blank] stated in the message that URBAN MOVING COMPANY would be moving them. [Blank] thought this odd, because [blank] had paid through the end of September and had not given an earlier notice of his intention to move."

"The tenants of [blank] were a young couple that were very quiet. The mans [sic] name was [blank] did not drive. [Blank] took a cab to the path station in Hoboken every morning for work."

"She recalls that one of the unknown males was holding the camera up to his facial area and moving the camera, slowly from side to side. She described this motion as 'panning the area'. [Blank] also recalls the males appeared to be 'horsing around'."

"T-1, the source of the original information pertaining to the Israeli males, was re-interviewed at a later date. T-1 confirmed for interviewing agents that it was a video recording device, rather than a still camera, that the Israelis had used in filming the WTC from atop the van. In fact, T-1 recalled quite clearly that the camera was a small, hand-held unit, with a Liquid Crystal Display (LCD) screen which folded out and could be used in 'panning'."

"Title: Twin Towers Bombing."

"Details: The Israelis were observed near Liberty State Park New Jersey celebrating and photographing the World Trade Center (WTC) explosion within minutes after the WTC was first hit by an aircraft. It should be noted that there were inconsistencies in the statements made by [blank] who stated that the van he was in was on the West Side Highway in New York at the time of the attack on WTC."

"[Blank] does not recall seeing anybody taking pictures outside the building, although, she does recall that [blank] had received a new camera from [blank] the day before [9/11]."

"[Blank] said she thought [blank] had recently bought his [blank] 'a really nice camera that had a big lense'."

"Oddly, equipment typically used in a moving company's daily duties was not found, including work gloves, blankets, straps, ropes, boxes, dollies, rollers, etc."

"Also not found was the video camera that T-1 observed at least one of the males using to film the explosion at WTC."

"The three (3) Israelis, sitting together on top of a white van, are visibly smiling on at least three (3) of the photographs."

"Given the seemingly unnecessary flight to avoid questioning of [blank] employer [blank], the owner of Urban Moving, coupled with the investigations and arrests of Israeli 'students' working for Israeli moving companies nationwide. [blank......]"






http://mycatbirdseat.com/wp-content/uploads/2011/06/911BIG-Image.jpg

The official 2001 FBI documents on Urban Moving Systems and the 9-11 Dancing Israelis incident



Above: A snippet from Section 5, page 42 of the 2001 FBI files on Urban Moving Systems and the 9-11 Dancing Israelis incident.
An employee of UMS dishes on the boss (Dominik Suter?) who not only cheats customers but seems to harbor a huge grudge against the United States.
Here are videos for those unfamiliar with the story:



The controversy around Urban Moving Systems (active as a business since approximately 1996) centers around the fact that it was a Mossad front company, and whether or not the “employees” (agents) knew what was about to go down on September 11th.
There were also, according to the FBI report, traces of explosive in the van used in the Dancing Israelis incident. Were members of this group involved in rigging the towers for demolition?

Section 1, page 35
In section 5, page 25 of the FBI report, a male eyewitness who was painting the interior of an apartment spots the Dancing Israelis on a nearby roof “less than 5 minutes” after the first plane hits the WTC. The location of the roof, 100 Manhattan Avenue in Union City, NJ, is a 5 minute drive from Urban Moving Systems at 3 W 18th Street in Weehauken.
This contradicts the statement of one of the Israelis in the 2nd video, who claims they began driving to that point after the first plane hit the towers.

Section 1, pages 36-37
There were a number of reasons I retrieved and posted the 4 page police report from the East Rutherford, NJ P.D. on the 9-11-2001 Dancing Israelis incident. If any 9-11 researchers had seen the report, they failed to make it available for public scrutiny.
As a consequence, some individuals have concluded that the Dancing Israelis were an “urban legend”, based only on researchers’ opinions and a slew of seemingly disparate facts.

Section 5, page 41.
Fill out an FOIA request, or write a letter, and these public records are yours for a few dollars, or free. So why have we not seen (until now) official documentation on these suspicious events – events that apparently never got a mention in the 9-11 Commission Report?
Section 5, pages 62-63.
The FBI’s investigation of the Dancing Israelis is close to 450 pages long. Many sections are blanked out, some pages have been withheld, and it won’t be completely declassified until 2030 at the earliest.
Section 5, page 30
The report is in 6 sections. The PDF “search” option does not seem to be working. A brief synopsis of some findings are below, section by section.
Because of time constraints, I have not vetted everything. Please note in the comments area any section/page of interest found in these documents.
Section 5, page 47
Lastly, if you find this to be of value, a donation button to help cover time and other expenses is at the top right of this article. Unused or partly used gift cards (esp. for clothing) also gladly accepted.
Section 1, page 65- a female witness at 100 Manhattan Avenue spots the Israelis “high fiving” each other while watching the WTC burn. Were they really happy to see the WTC burn, or were they just fans of Seattle’s “High Five’n White Guys”?:
FBI documents on Urban Moving Systems and the Dancing Israelis (these notes will be updated as time permits)
Section 1 (full text at this link)
p. 36 and p. 52-53 – An “unscheduled” Urban Moving Systems van is stopped by Pennsylvania State Police as it is traveling toward the Shanksville, PA hijacked flight 93 crash site.

Above – Section 1, p. 36
p. 61-77 – Israelis are spotted at 100 Manhattan Avenue apartments prior to 9-11 by several tenants.
Section 2 (full text at this link)
Section 2 covers insurance papers for Urban Moving Systems.
p. 35 includes VIN numbers for all UMS vehicles, including the famous white van.
p. 77 is a report of said van at Liberty State Park, NJ.
Section 3 (full text at this link)
Section 4 (full text at this link)
Section 5 (full text at this link)
P 21: female employee of UMS arrives at work at 8:58 am (shown on punched time card). A co-worker brings her some cookies – she estimates this happened about 5 minutes after she clocked in (9:03)
She talks with co-worker for “a few more minutes” and then hears someone in the building shout “Oh my God a plane just hit the World Trade Center.”
She then heads into the dispatch room of Urban Moving Systems (where the shout came from) and sees “a still picture on a computer screen of a plane hitting one tower”.
p. 25: A painter at the Doric Towers, 100 Manhattan Ave, Union City, NJ is informed by a partner of the disaster “less than 5 minutes” after the first plane hits the north tower”.
He “stands up from painting the baseboard, looks out of the window, and notices 3 young men taking video and still photographs from atop the roof of the parking garage adjoining Doric Towers. (ed. note: Urban Moving Systems is a 5 minute drive from 100 Manhattan Ave.)
Section 6 (full text at this link)
p 8: foreign names and names of obscure towns in India and Nepal.
p 30: photos found of highway shots of various locations in NJ
p 30: report on Israeli art vendor arrested in Mercer county
p 33: four Israeli nationals arrested by Mt. Holly Police dept on 8 14 2001
p 38: FBI declares Israelis innocent
p 40: phone number found in notes connected to individual in S. America with “ties to Islamic militants in the ME”
P 41: another phone number is connected to a hash dealer in NY – this info is considered moot.
p 43: FBI admits wide discrepancies in suspects stories
p 63: FBI references antiwar.com
p 89: items not claimed by suspects destroyed



http://whatreallyhappened.com/IMAGES/record_9-11.jpg

Lest We Forget–Israeli art students, Mossad and 9/11
“Evidence linking these Israelis to 9/11 is classified. I cannot tell you about evidence that has been gather. It is
classified information.”

– Anonymous U.S. investigator quoted by Carl Cameron of Fox News shortly after 9/11





Le policier responsable de l'arrestation
des "Israéliens dansants" du 9-11, en entrevue
exclusive pour American Free Press

par Dave Gahary
American Free Press
23 septembre 2011

L'officier de police du New Jersey responsable de la capture de cinq Israéliens qui étaient en train de filmer et célébrer alors que les tours du World Trade Center étaient en train de brûler a rompu son silence, et convenu d'une entrevue exclusive le 16 septembre pour American Free Press.

Les lecteurs d'AFP le savent sans doute, ce sont les mêmes Israéliens qui travaillaient pour Urban Moving Systems, une société écran du Mossad qui se trouve au coeur de l'implication israélienne dans les attentats du 11 septembre.

Le sergent Scott DeCarlo n'a jamais parlé aux médias au sujet de cette journée, à l'exception de deux apparitions de 30 secondes dans des vidéos sur Internet provenant de sources indéterminées. En fait, DeCarlo a confirmé que c'est la première et la dernière entrevue qu'il acceptera jamais d'accorder à ce sujet.

DeCarlo a révélé à AFP des détails cachés sur les événements du 11 septembre que les médias auraient dû avoir mis en lumière il y a 10 ans, sans parler de leur silence quasi-total en ce qui concerne l'implication d'Israël.

Même s'il n'était pas supposé travailler ce jour-là, de DeCarlo a quand même été appelé en service et "affecté à l'autoroute" pour prévenir la circulation d'entrer dans New York.

"Il avait reçu l'ordre "BOLO", c'est-à-dire "soyez à l'affût (Be On the Look Out) d'une camionnette particulière, peut-être chargée d'explosifs", a expliqué DeCarlo, "qui était peut-être sur le point de détruire le pont George Washington."

DeCarlo a expliqué: «Elle [la camionnette suspecte] était en train de venir vers nous, et j'ai saisi mon sergent [DeCarlo lui-même était patrouilleur à l'époque] et dit:« Hé, mec, c'est notre camionnette. «Ce n'était pas exactement la plaque d'immatriculation qu'on cherchait car un chiffre ne concordait pas, mais j'ai dit: "Ça doit être elle, elle est trop similaire".

Il a poursuivi: «La camionnette était en train de sortir du Turnpike [du NJ] (fameuse autoroute à péage) et essayaient de prendre la Route 3. La circulation allait à deux miles à l'heure, donc nous nous sommes approchés en face de la camionnette à pied, armes au poing, et elle s'est arrêtée. "

Les cinq espions israéliens ont tous refusé de sortir du véhicule, alors DeCarlo a été contraint de recourir à la force.

"Nous leur avons demandé de sortir de la camionnette, mais ils ne nous ont pas écouté", a-t-il dit. "Donc, nous. . . leur avons passé les menottes et l'avons fait aussi vite que possible."

AFP a demandé à DeCarlo pourquoi, selon lui, les Israéliens ont refusé de suivre ses ordres. DeCarlo était incertain, mais il a demandé à l'auteur, "avez-vous déjà eu une arme pointée sur la tête?"

DeCarlo a ensuite décrit ce qui s'est passé après que les espions aient été traînés hors de leur camionnette. «Quand nous leur avons retiré de la voiture, l'un des gars, plutôt bavard, a déclaré: «Nous ne sommes pas vos ennemis, nous sommes votre ami. Nos ennemis sont vos ennemis,» a déclaré DeCarlo. "A ce moment, ils ont dit qu'ils venaient d'Israël. Ils répétaient: "Hé, nous sommes de votre côté."

«Nous les avons mis dans des cellules de détention du police de l'État du New Jersey situées dans le Meadowlands Stadium, et c'est la dernière fois que je les ai vus", a-t-il dit. Peu après, le FBI aurait pris le relais. Les cinq Israéliens ont été détenus pendant 10 semaines, mais ont finalement été expulsé en Israël sur des accusations de violation des lois d'immigration. En novembre 2001, ils sont apparus à un talk-show de télévision israélienne pour parler du fait qu'ils ont été envoyés aux États-Unis "pour documenter l'événement."

Le sergent DeCarlo a demandé à AFP de demander aux parties intéressées de ne pas communiquer avec lui.



9-11 Cop Who Arrested The "Dancing Israelis" Breaks Silence
Scott DeCarlo
By Dave Gahary -
The New Jersey police officer responsible for capturing five Israelis who filmed and celebrated while the World Trade Center towers burned has broken his silence, agreeing to a Sept. 16 exclusive interview with AMERICAN FREE PRESS.
As AFP readers are no doubt aware, these are the same Israelis who were working under the direction of Urban Moving Systems, a Mossad front company at the center of Israeli involvement in the Sept. 11 attacks.
Sgt. Scott DeCarlo has never spoken to the media about the details of that day except for two 30-second cameo appearances in Internet videos from undetermined sources. In fact, DeCarlo confirmed that this is the first, and last, interview he will ever grant in regard to this subject.
DeCarlo revealed to AFP hidden details about the events of 9-11 that mainstream media venues should have uncovered 10 years ago, if not for their near-total blackout of meaningful coverage where Israel is concerned.
Although not scheduled to work that day, DeCarlo reported anyway and “was posted on the highway” to prevent traffic from entering New York City.
“There was a BOLO, which is a ‘Be On the Look Out’ for a particular van, perhaps loaded with explosives,” explained DeCarlo, “that may have been on its way to destroy the George Washington Bridge.”
DeCarlo explained: “It [the suspicious van] happened to come our way, and I grabbed my sergeant [DeCarlo himself was a patrolman at that time] and said: ‘Hey, man, that’s our van.’ It wasn’t the exact license plate given reported—it was off by one numeral—but I said: ‘That’s gotta be it; it’s just too close.’”
He continued: “The van was coming off the [N.J.] Turnpike trying to get on Route 3. Traffic was rolling at two miles an hour, so we got in front of the van on foot, weapons drawn, and stopped it.”
All five of the Israeli spies refused to exit their vehicle, so DeCarlo was forced to get physical.
“We asked them to get out of the van, but they didn’t listen,” he said. “So, we . . . put them in handcuffs and did it as quickly as possible.”
AFP asked DeCarlo why he thought the Israelis refused to follow his orders. DeCarlo was unsure, but asked this writer, “You ever have a gun pointed at your head?”
DeCarlo then described what happened after the spies were dragged from their van. “When we removed them, one of the guys that was rather chatty said: ‘We’re not your enemy, we’re your friend. Our enemies are your enemies,’” DeCarlo said. “At that point they said they were from Israel. They kept saying, ‘Hey, we’re on your side.’”
“We brought them over to the New Jersey State Police holding cells in the Meadowlands Stadium, and that’s the last I saw of them,” he said. Shortly after that, the FBI reportedly took over. The five Israelis were held for 10 weeks, but were eventually deported to Israel on charges of immigration violations. In November 2001, they appeared on an Israeli TV talk show discussing how they were in the U.S. “to document the event.”
Sgt. DeCarlo asked AFP to request interested parties not to contact him.





Uncensored Version of 9-11 Report Detailing Spy Ring Now Available
By Michael Collins Piper

AFP presents — for the first time ever — an unredacted, uncensored reprint of the controversial report leaked from inside the Drug Enforcement Administration (DEA) exposing a wide-ranging Israeli spy ring operating on American soil prior to the 9-11 “terrorist” tragedy.
Previous editions of the report released by AFP and circulated by others on the Internet were redacted — that is, portions were “blacked out.” But those redactions aren’t in this one. All the facts are there for you to see. Here’s the story:
Due to an unexpected computer “miracle,” when AFP ran out of copies and sent the report back to the printer, a “techie” at the printing company discovered that the scanning process removed all of the redactions. So AFP said, “do it” and the redactions were excised and now you can read the previously suppressed information.
The wide array of evidence presented in this report confirms the fact — still unknown to the public at large — that Israeli intelligence operatives in the United States (posing as “art students”) were engaged in nationwide spying on government facilities and other institutions in the period preceding the 9-11 attacks.
But what makes the report most explosive is that the report demonstrates that these Israelis were surveilling the alleged 9-11 hijackers prior to those attacks.
And while there are some who doubt the alleged identities of the 19 individuals officially named as the hijackers, there is no question that the Israeli operatives were on top of persons whose names have been linked to 9-11 by the U.S. government version of events.
The story of the “art students” has become almost legendary among serious independent investigators of 9-11, despite the fact the U.S. government and the mass media have done their utmost to keep it under wraps. At one point, spokesmen for then-Attorney General John Ashcroft — a fanatic supporter of Israel — even claimed the story was “an urban myth,” and that there were no such “art students.”
In fact — although this is not mentioned in the report — some of those “art students” visited the headquarters of the newspaper, The Spotlight, whose editors launched AFP upon The Spotlight’s demise in 2001. Arriving without notice, they offered to sell artwork at discount prices that they said had been intended for delivery “at the bank across the street” but the bank had rejected it.
While in The Spotlight office they were full of questions and obviously very alert to the activities therein, causing one “conspiracy theorist” on The Spotlight staff — this author, in fact — to suspect these students were Israeli agents on a training mission.
It was only later it was learned that these same “art students” and their colleagues were indeed Israeli agents — thanks to the patriot inside the DEA who released the report that AFP is now making available once again.
——
*See AFP’s special report Israeli Spies in America and the 9-11 Connection. 12 pages. 1-5 copies are $4 each. 6-39 copies are $1.85 each. 40- 499 copies are 60¢ each. 500 or more are 50¢ each.We also recommend The DEA Report on Israeli Spying. This uncensored, unredacted version of the report (60 pages 8.5 x 11 format) is available for $15. Call 1-888-699-NEWS to charge or send payment to AFP, 645 Pennsylvania Avenue SE, #100, Washington, D.C. 20003. Add 10% of order total for S&H inside U.S. Add 20% for S&H outside U.S.iberty?




Time to Investigate Israeli Spying in U.S.
By Michael Collins Piper

If Rep. Peter King (R-N.Y.) is interested in fighting terrorism and treason, he should not only look at the first source of terrorism against America in the Middle East — the state of Israel — as described in the accompanying story, but he should inquire into the numerous high-level American government policy makers who have already been investigated by the FBI for suspected espionage and illicit influence-peddling on Israel’s behalf.* For the record, they include such prominent figures as:

• Richard Perle, former chief advisor to then-Sen. Henry M. Jackson (D-Wash.), at the time Israel’s foremost advocate in Congress, and later assistant secretary of defense for international security policy in the Reagan administration and chairman of the Defense Policy Board under GeorgeW. Bush;

• Stephen J. Bryen, former top aide to then-Sen. Clifford Case (R-N.J.), the ranking Republican on the Senate Foreign Affairs Committee and later Perle’s hand-picked deputy assistant secretary of defense for international economic trade and security policy during the Reagan years. Bryen also founded the powerful Jewish Institute for National Security Affairs that spawned multiple other appointees to high office in GOP administrations;

• Paul Wolfowitz, deputy secretary of defense in the G. W. Bush administration and later, briefly, World Bank president;

• Douglas Feith, former Middle East specialist on the National Security Council, and then deputy assistant secretary of defense for negotiations policy during the Reagan administration, and finally undersecretary of defense for policy in the G.W. Bush administration; and

• Jane Harman, former California congresswoman, now head of the Woodrow Wilson Center, which is highly influential on U.S. foreign policy.

Aside from the infamous former Navy Department-based spy for Israel, Jonathan Pollard, serving a life prison term, multiple American Jews in the military and U.S. intelligence in recent years have been investigated, disciplined, or otherwise convicted outright of various forms of disloyalty, including two of the more notable:

• David Tenenbaum, a Defense Department employee whose security clearance was revoked over suspicions regarding his perceived devotion to Israeli interests; and

• Ben-Ami Kadish, a mechanical engineer for the U.S. Army, who was convicted of relaying U.S. defense secrets to Israel from 1979 to 1985, including nuclear secrets. He was never punished for his treason, ostensibly due to his advanced age.
——
*See AFP’s special report Israeli Spies in America and the 9-11 Connection. 12 pages. 1-5 copies are $4 each. 6-39 copies are $1.85 each. 40-499 copies are 60¢ each. 500 or more are 50¢ each. We also recommend The DEA Report on Israeli Spying. This uncensored, unredacted version of the report (60 pages 8.5 x 11 format) is available for $15. Call 1-888-699-NEWS to charge or send payment to AFP, 645 Pennsylvania Avenue SE, #100, Washington, D.C. 20003. Add 10% of order total for S&H inside U.S. Add 20% for S&H outside U.S.


CRIMINAL ZIONISTS - GUILTY FOR TERRORISM AND MASS MURDER ON 9/11/01

Introduction

So you think you know that Arabs did 9/11? You saw it on TV and read it in the newspapers, so it must be true, right? Actually, there is overwhelming proof from multiple, corroborating lines of evidence that the operation was conceived and orchestrated by a group of fanatical Jewish terrorists.
The following facts are all derived from mainstream news outlets and organizations such as The New York Times, The New York Observer, the Daily News (New York), CNN, Silverstein Properties, The Washington Times, the Washington Report on Middle East Affairs, The Jerusalem Post, Haaretz, Arutz Sheva, Ynetnews.com, Jweekly.com, Netanyahu.org, The Times (London, original), The Guardian, The Telegraph, The Boston Globe, the Los Angeles Times, The Seattle Times, the Pittsburgh Post-Gazette, The Mercury (Pottstown, PA), The Miami Herald, The Chicago Sun-Times, Fox News, Asia Times Online, System Planning Corporation, the Mineta Transportation Institute / Norman Mineta, the Eisenhower Research Project, the Belfer Center, the United Nations, NIST, the DoD and the FBI. Links to the actual sources and screenshots of particularly relevant news reports are available at the Further reading references at the bottom of this page.

The incontrovertible facts

Within five minutes of the first plane impact (Flight 11) into the North Tower, three Israeli Jews - Sivan Kurzberg, Oded Ellner and Yaron Shmuel - were seen high-fiving, smiling, hugging each other, joking and flicking lighters in a jovial, celebratory mood as they filmed the burning WTC atop a van in the parking lot of the Doric apartment block at 100 Manhattan Avenue, Union City, New Jersey. They were "visibly happy on nearly all" of the 76 photographs that they'd taken, which were subsequently developed by the FBI after the Israelis had been arrested. All three gave differing accounts of how they came to be at 100 Manhattan Avenue within such a short time of the first crash. Shmuel originally made a preposterous claim that they were on the "West Side Highway" at the time of the "incident" (it's an 11-minute drive to 100 Manhattan Avenue at the best of times, when there is no major incident that could disrupt traffic flowing through the Lincoln Tunnel). The other two agreed that they were at their workplace - the Urban Moving Systems offices located at 3 West 18th Street, Weehawken, NJ - when they learned about the event.
Problem is, it's a 4- or 5-minute drive from 3 West 18th Street, Weehawken to 100 Manhattan Avenue in Union City - and this was in the rush hour.
Kurzberg, Ellner and Shmuel variously claimed to have stopped for gas, to have climbed onto the Urban Moving Systems roof, and to have been caught in heavy traffic, prior to arriving at the Doric apartment block - which makes their version of events even more impossible. They were seen filming and celebrating with high-fives and hugs on the roof of their van not only before the second plane crash - when innocent bystanders believed the first crash had simply been a terrible accident - but before the news had broken on the local AM news radio station 1010 WINS. And 1010 WINS quickly broke the news because they had one of their account executives - Joan Fleischer - actually on her cell phone to the news room as the first plane crashed. She'd been watching it approach from the roof of her building, just blocks from the World Trade Center, and knew it was going to crash.
It's clearly impossible for the Israeli "moving company" employees to have learned of the event, grabbed their Canon EOS SLR and Pentax P550 cameras which they conveniently had with them (they're supposed to be "movers", not photographers!), rushed out of their workplace presumably without bothering to ask for time off for their new hobby as amateur "journalists", driven through rush-hour traffic from Weehawken to Union City as they quickly decided on a good vantage point, made a left turn into the Doric apartment block, parked in the parking lot facing the Towers, jumped out and climbed onto the roof of the van with their cameras - all before the local news radio station could patch through to the newsroom a trusted account executive who was already talking to the newsroom at the very instant the first plane crashed into the North Tower.
We could go on about how Ellner admitted that they decided to go to the Doric apartment block parking lot because it provided "a view of the entire length of both towers" - when at the time of this decision the only Tower to have been hit by a plane was the North Tower (WTC1), and floors 94 to 98 of the North Tower were visible from the street outside Urban Moving System's offices, or from the Urban Moving Systems roof. Or about how Ellner apologized for appearing happy in the photographs, and said it was because they believed that the incident would prompt the U.S. to "take steps to stop terrorism in the world". This was after a single plane crash, when it was widely believed to have been an accident. Or about how the Israelis were found to be in possession of "maps of the city [...] with certain places highlighted" that linked them to the attacks, and in possession of  "airline tickets with immediate travel dates for destinations world-wide". Or about how Sivan Kurzberg had been seen at the Doric apartment block the day before 9/11. Or about how other Israeli nationals made an unscheduled trip to the vicinity of the Flight 93 crash site in the early hours of 9/11. Or about how Urban Moving Systems, a Mossad front, was closed down and some of the employees fired at lunch time on 9/11/01, before five of its employees were arrested that afternoon, and three days before its owner Dominik Suter needed to flee to Israel on September 14.
Daniel Lewin, one of the Flight 11 passengers, attained the rank of Captain in the Israeli special forces Sayeret Matkal, was an alumnus of MIT, and had lived in Denver and Jerusalem. Interestingly, Lewin "loved jumping out of planes". The probability that an ex-Israeli elite special forces guy would "coincidentally" just happen to be on a plane that was hijacked by "Arab" terrorists beggars belief. However, the "coincidences" don't end there.
Benjamin Netanyahu, an Israeli prime minister both prior to and post 9/11, also attained the rank of Captain in Sayeret Matkal, is an alumnus of MIT, and lived in Denver and Jerusalem, in common with Daniel Lewin, which makes it unlikely that the two were unaware of each other. Netanyahu is a close friend of Larry Silverstein, the leader of a consortium that took over a 99-year lease on the WTC complex six weeks prior to 9/11 and insured against terrorism, to cover property loss and business interruption to the tune of $3,546,800,000 "per occurrence". The lease for the Towers specifically included a clause stating that in the event of terrorist attacks, the leaseholders could walk away from their obligations whilst collecting on the insurance. Netanyahu gained a BSc in architecture at MIT, and as early as 1993, would have had access to blueprints of the WTC buildings either from his friend Larry Silverstein who was the owner and (1987) developer of WTC7, or from Lewis M. Eisenberg, the Chairman of the Board of Commissioners of the Port Authority of New York and New Jersey who went on to oversee the privatization of the WTC in the run-up to 9/11 and was a supporter of Zionist "charities". Netanyahu would have been aware that taking out five contiguous floors from a WTC Tower would suffice to leave too many core columns above the critical slenderness ratio, with consequent Euler buckling effecting global instability and collapse of the building. Thus, Netanyahu and his Sayeret Matkal and Mossad associates would have been capable of devising a plan to demolish the buildings and make the collapses look like the result of office fires and plane crashes.
Flight 11 crashed into the north face of WTC1 whilst banking at a 25° angle so that the impact zone covered five floors - the very same five contiguous floors (94-98) that not only had upgraded fireproofing (SFRM) installed between 1996 and 1998, but also had SFRM that was found to have a high density compared to that of the other upgraded floors. Not only was the impact zone at the very center of the "upgraded" floors 92 to 100, but the upgraded SFRM on floors 94 to 98 had an average SFRM density and applied thickness of 21.24 pcf and 2.993 inches as opposed to 18.9365 pcf and 2½ inches respectively on all upgraded floors, or 18.2167 pcf on upgraded floors outside the impact zone. Thus, the upgraded fireproofing on the WTC1 impact zone floors had an excess mass of 3.02 pcf or 16.6%, which is consistent with ~14.22% by mass of non-standard materials of a relatively high density - e.g., accelerants - embedded in the space between the fibers of the impact zone's "upgraded" mineral wool SFRM.
UpgradedSFRMDensityMedRes

WTC Tower Floor No. Location Date of Report Average SFRM thickness (in.) Adhesion/cohesion (psf) Density (pcf)
1 79 Multiple tenant floor 11/24/99 2.4 333 16.6
1 81 Multiple tenant floor 10/24/96 2.7 270 19.0
1 81 Multiple tenant floor 7/16/99 2.6 377 17.5
1 83 Suite 8331 12/15/99 2.2 259 16.0
1 85 Multiple tenant floor 12/24/97 3.1 210 23.7
1 85 Multiple tenant floor 6/12/99 2.9 278 15.8
1 85 Suite 8563 8/16/99 2.8 259 16.4
1 92 Full floor 4/2/97 2.9 348 17.9
1 93 Full floor 8/28/98 2.1 186 17.0
1 94 Full floor 12/27/96 4.1 426 20.6
1 95 Full floor 8/24/98 2.6 258 19.5
1 96 Full floor 10/22/98 3.1 366 20.0
1 97 Full floor 10/22/98 2.3 432 23.5
1 98 Full floor 11/19/98 2.7 425 22.6
1 99 Full floor 11/20/98 2.4 210 17.9
1 100 Full floor 11/20/98 3.1 296 17.9
1 102 Full floor 9/28/99 2.8 327 16.4
2 77 Full floor 6/9/98 2.5 282 18.7
2 78 Full floor 4/3/98 2.7 279 17.6
2 88 Full floor 7/5/00 2.1 219 16.3
2 89 Full floor 5/5/99 2.8 324 17.8
2 92 Full floor 2/26/98 2.8 333 20.2
2 99 Half floor 7/28/97 2.6 284 21.1
2 99 Half floor 4/3/98 1.8 288 20.7
Dr. Astaneh-Asl found a steel beam from the WTC that had partly "vaporized" in "searing temperatures" prior to collapse, and fireproofing that had "melted into a glassy residue". This is not consistent with "office fires", which should not be capable of delivering sufficient heat to vaporize parts of a fireproofed steel beam. Cafco Blaze-Shield Type II SFRM used in the WTC fireproofing upgrade, and the previous Type DC/F, are both comprised of silicates and calcium sulphate, which do not undergo phase changes or decomposition until heated to above 1,200 °C. NIST carried out heat capacity measurements on Blaze-Shield II, heating it up to 1,200 °C. The "glassy residue" suggests CaO and SiO2, requiring decomposition of a silicate as well as CaSO4.
The whole point of the February 1993 WTC garage bombing, which occurred two years after Israeli security officials inspected the garage of Zim Shipping in the WTC and concluded that the WTC garage would be vulnerable to a car bomb, and in which the FBI was aware of the plot via their informant Emad Salem yet let it go ahead after a plan to substitute harmless powder for the explosives was called off by an FBI supervisor, and in which Ahmad Ajaj is a suspected Israeli intelligence mole, was to provide a pretext for fireproofing "upgrades". Israeli "moving companies" would switch the official Cafco fireproofing for the lethal Israeli version. Deloitte & Touche (formerly Deloitte Haskins & Sells) were badly disrupted by the 1993 bombing, and announced in June 1993 that they would not be returning to the WTC. The fireproofing upgrades were carried out on floors without tenants, and after Deloitte & Touche were gone, the Port Authority was left with "about seven and a half floors of prime space in Tower One" (which included the entire impact zone floors 94-98) for which new tenants were needed, making it the "last large block of contiguous space available in the complex". Thus, the perpetrators were aware prior to 1996 that floors 94-98 were a contiguous set of vacant floors that would be upgraded, so they knew which floors should be sabotaged with the fake SFRM. The "upgrades" to these floors were carried out in 1996 and 1998.
Benjamin Netanyahu was in London on the morning of the 7/7 bombings, and also had advance knowledge of the explosions. Moreover, Efraim Halevy, the London-born head of Israel's Mossad as of 9/11/01, very quickly revealed his intimate knowledge of the 7/7 bombings by referring to them as "simultaneous" in a newspaper article dated July 7. For the next two days, the British authorities believed erroneously that the explosions had occurred over a period of 26 minutes from 08:51 to 09:17, and did not manage to deduce that they were simultaneous until July 9.
Netanyahu "predicted" in 1995 that "militant Islam" would bring down the WTC (and later credited his father with the "prediction"). Netanyahu declared on separate occasions that 9/11 was "very good" and beneficial for Israel. His late father Benzion - who had a great influence on his son - was chief aide and secretary to Ze'ev (Vladimir) Jabotinsky, the Ukranian founder and driving force behind the Irgun, a terrorist group that went on to perpetrate atrocities such as the King David Hotel bombing of 1946, in which more than 90 were killed. Benzion Netanyahu was actually regarded as an "extremist" by Menachem Begin, the commander of the Irgun in 1946 at the time they bombed the King David Hotel. Benjamin Netanyahu's father-in-law Shmuel Ben-Artzi was a member of the Irgun terrorist group. And on the 60th anniversary of the King David Hotel bombing in 2006, Benjamin Netanyahu proudly participated in a two-day seminar commemorating the bombing.
We could go on about the Israeli "art students", or how the Zim American-Israeli Shipping Company moved out of the WTC on September 4, 2001 - one week prior to 9/11/01. Or how Rabbi Dov Zakheim was Pentagon Comptroller from May 4, 2001 until after 9/11/01, delivered a commemorative sermon on the Pentagon lawn to hundreds of co-religionists from 40 countries exactly six months after 9/11 on March 11, 2002, was co-signatory to a September 2000 paper that wrote of the 'benefits' of a "new Pearl Harbor", and was CEO of SPC International, a company whose Radar Physics Group produced "Flight Termination Systems" incorporating a "Command Transmitter System" whereby an operator or operators could electronically hijack multiple in-flight aircraft "several hundreds of miles" away and simultaneously steer them into targets. (Lewin's job would have been to take out the pilots so that they couldn't regain manual control.) Or about how Flight 77 - the plane that was allegedly flown by Hani Hanjour, a "very bad pilot" who "could not fly at all" and was refused permission to fly solo in a Cessna 172 in the second week or the middle of August 2001 - "coincidentally" crashed into the Pentagon's accounting section, eighteen months after it was revealed that the Pentagon's finances were "in disarray" and almost $7 trillion of bookkeeping adjustments had been required in order to balance the accounts, with $2.3 trillion of those corrections lacking receipts. Or how New York Police Commissioner Bernard Kerik visited Israel two weeks prior to 9/11 from August 26-29, 2001, at which time he met Eitan Wertheimer, one of Israel's richest businessmen who was reading Popular Mechanics at the age of 4. Kerik announced on September 16, 2001 that a "passport belonging to one of the hijackers" had been "discovered", and denied that an Israeli van stopped near the George Washington Bridge on 9/11 contained explosives after it reportedly contained "tons" of high explosives that could do great damage to the bridge. Kerik later received a $250,000 "loan" from Wertheimer, and was subsequently indicted, convicted and jailed for lying, conspiracy and fraud.
However, the evidence against the official 9/11 loony conspiracy theory of 19 hijackers with box cutters is so overwhelming that anybody believing it after learning of the facts would be best advised to seek psychiatric help.

Further reading

Why 9/11 researchers know the official story is false
The "Dancing Israelis" FBI Report - Debunked
Millette study fails to refute crucial findings by Harrit et al
Note: The above three articles provide hundreds of references to mainstream sources.
Stranger Than Fiction
The Synagogue of Satan
Waters Flowing Eastward





29 janvier 2011
11 septembre 2001 - Le Mossad juif israélien dirigeait les « pirates de l’air » de l’opération terroriste
Wayne Madsen
 http://www.opinion-maker.org/wp-content/uploads/2011/01/ScreenHunter_24-Jan.-27-09.17.jpg
En février 2002, le Renseignement britannique signala que le Mossad israélien dirigeait les cellules de pirates de l'air arabes qui furent ensuite accusées par la Commission sur le 11/9 de l’exécution des attentats aériens du World Trade Center et du Pentagone. Nous avons reçu les détails de ce rapport du Renseignement britanniques, qui avait été étouffé par le régime de l'ancien premier ministre britannique Tony Blair.
Dans les mois précédant le 11/9, une unité du Mossad composée de six Juifs natifs d’Égypte et du Yémen a infiltré les cellules d’Al-Qaïda de Hambourg (la cellule Atta-Mamoun Darkanzali), de Floride du Sud, et de Sharjah dans les Émirats arabes unis. Non seulement le Mossad a infiltré les cellules, mais il a commencé à les organiser et à leur donner les ordres spécifiques qui aboutirait finalement le 11/9 à leur présence à bord des quatre vols réguliers en provenance de Boston, Washington Dulles, et Newark dans le New Jersey.
Formée de six Israéliens, l'équipe d'infiltration du Mossad comptait deux cellules de trois agents. Pour leur futur contrôle et manipulation de cellule Al-Qaïda, tous avaient reçu une formation spéciale dans une de leurs bases du désert du Néguev. Une cellule du Mossad s'est rendue à Amsterdam où elle s’est mise sous le contrôle opérationnel du poste du Mossad Europe, opérant à partir du complexe d'El Al à l'aéroport international de Schiphol. Se rendant ensuite à Hambourg, cette unité de trois hommes du Mossad a pris contact avec Mohammed Atta, qui a cru qu'elle était envoyée par Oussama Ben Laden. Elle était envoyée en réalité par le chef du Mossad, Ephraim Halevy.
La deuxième équipe de trois hommes du Mossad a pris l'avion pour New York et puis pour le sud de la Floride, où elle a commencé à organiser les cellules Al-Qaïda opérant depuis Hollywood, Miami, Vero Beach, Delray Beach, et West Palm Beach. Les « étudiants en art » israéliens, qui faisaient déjà l’objet d'une enquête de la Drug Enforcement Administration pour espionnage (casing) des bureaux et domiciles des agents fédéraux, vivaient parmi elles et exerçaient une surveillance sur leurs activités, notamment sur la formation à l’école de pilotage de la future cellule de « pirates » arabes, en particulier à Hollywood et Vero Beach.
En août 2001, la première équipe du Mossad s’est envolée pour Boston avec Atta et les autres membres d’Al-Qaïda de Hambourg. La sécurité de l'aéroport international de Logan était confiée à Huntleigh USA, une filiale de la compagnie israélienne de sécurité aéroportuaire étroitement liée au Mossad, International Consultants on Targeted Security – ICTS. Les propriétaires d’ICTS étaient liés politiquement au Parti du Likoud, en particulier à la faction de Netanyahu, alors maire de Jérusalem, et du futur premier ministre Ehud Olmert. C’est Olmert qui intercéda personnellement auprès du maire de New York Rudolph Giuliani pour libérer de prison les cinq employés de l’entreprise de déménagement Urban Moving Systems, identifiés par les agents de la CIA et du FBI comme des pions du Mossad. Considérés comme ayant été impliqués dans les attentats du 11/9, ces Israéliens furent les seuls suspects arrêtés dans tous les États-Unis.
Par l’intermédiaire de l'ambassade d'Israël à Washington, les deux équipes du Mossad envoyaient régulièrement à Tel-Aviv des rapports codés sur les progrès de l'opération 11/9. Nous avons appris d'une source du Pentagone que les principaux Zuniens impliqués dans l'activité médiatique visant à mettre le 11/9 sur le dos des pirates arabes d’Oussama Ben Laden et des Talibans, étaient présents à l'ambassade d'Israël le 10 septembre 2001. C’est là qu’ils coordonnaient leurs offensive médiatique pour les jours et semaines qui suivraient les attentats. Il est plus que probable que les agents de contre-espionnage du FBI qui s’acquittent de la surveillance de l'ambassade d'Israël ont la preuve de leur présence là-bas le 10 septembre. Certains de ces Zuniens sont bien connus du public des informations du réseau télévisé national.
À la mi-août, l'équipe du Mossad dirigeant la cellule de Hambourg à Boston a informé Tel-Aviv que les plans du 11/09 étaient finalisés. La cellule du Mossad basée en Floride a indiqué que la preuve de la « présence » des membres de la cellule arabe dans les écoles de vol de Floride était établie.
Les deux cellules du Mossad évitaient soigneusement toute mention du World Trade Center ou des cibles à Washington dans leurs messages codés pour Tel-Aviv. Ephraim Halevy a dissimulé ses traces en signalant à la CIA une « menace générale » d’attaque de terroristes arabes contre une centrale nucléaire quelque part sur la côte Est des États-Unis. Le directeur de la CIA George Tenet a rejeté comme « pas assez précis » l'avertissement de Halevy. Sous le directeur Louis Freeh, proche du départ, le FBI a enregistré l'alerte « imprécise » concernant l’attaque contre une centrale nucléaire et a expédié cette information dans ses bulletins habituels aux agents de terrain, mais aucun haut niveau d’alerte n’a été décrété.
Aucune trace papier ne montrant qu’Al-Qaïda est le cerveau du 11/9, qui pourrait donc être lié aux instructeurs du Mossad d'Al-Qaïda, a troublé le FBI. Le 19 avril 2002, dans un discours au Club Commonwealth de San Francisco, le directeur du FBI Robert Mueller a déclaré : « Dans notre enquête, nous n'avons pas découvert un seul bout de papier — soit ici aux États-Unis, soit dans la mine d'information découverte en Afghanistan et ailleurs — mentionnant quelque aspect du complot du 11 septembre. »
Les deux équipes du Mossad, d’infiltration et de contrôle d’Al-Qaïda, ont aussi aidé à établir des lieux sûrs pour l'exfiltration rapide des États-Unis des agents du Mossad. En mars dernier, nous avions signalé : « Wayne Madsen Report a appris de deux sources d'El Al qui travaillaient pour cette compagnie aérienne israélienne à l'aéroport JFK de New York, que le 11/9, quelques heures après que la Federal Aviation Administration (FAA) ait fait clouer au sol tous les vols civils nationaux et internationaux entrants et sortants des États-Unis , qu’un Boeing 747 d’El Al bondé a décollé de JFK à destination de l’aéroport international Ben Gurion de Tel-Aviv. Nos deux sources d’El Al ne sont pas des ressortissants israéliens, mais les immigrés légaux équatoriens qui travaillaient aux États-Unis pour la compagnie aérienne. Le vol a décollé de JFK à 16 heures 11 et son départ a été, selon les sources d’El Al, autorisé grâce à l'intervention directe du ministère de la Défense des États-Unis e . Sur les lieux, à l'aéroport JFK, avec les autorités aéroportuaires et du contrôle du trafic aérien, des responsables militaires ont été personnellement impliqués dans le déblayage de la voie pour faire décoller le vol. Selon le rapport de la Commission sur le 11/9, le ministre aux Transports Norman Mineta a ordonné à tous les vols civils d’atterrir à 9 heures 45 le 11 septembre. » Nous avons appris de sources du Renseignement britanniques que les six hommes de l’équipe du Mossad ont été enregistrés sur le manifeste de vol à titre d'employés d'El Al.À la suite des attentats du 11/9, Dominik Suter a eu l’autorisation de s’échapper des États-Unis après qu’il ait eu un contact initial avec le FBI à l'entrepôt d’Urban Moving Systems à Weehawken dans le New Jersey. Selon une source informée qui nous a contactés, Suter a plus tard été autorisé à revenir des États-Unis où il a participé à des activités de fourniture de pièces d'avion dans le sud de la Floride. Suter a ensuite déposé en Floride le bilan d’Urban Moving Systems et d'autres entreprises qu’il exploitait : Suburban Moving & Storage Inc ; Max Movers, Inc ; Invsupport ; Woodflooring Warehouse Corp ; One Stop nettoyage LLC, et City Carpet Upholstery, Inc. Au moment du dépôt de bilan en Floride, Suter a inscrit son adresse : 1867 Fox Cour, Wellington, FL 33414, avec son numéro de téléphone : 561 204-2359.
Nous avions signalé antérieurement que la cellule du Mossad opérant à travers Urban Moving Systems dans la région de Jersey City-Weehawken dans le New Jersey, était soupçonnée par certains au FBI et à la CIA d'être impliquée dans l’installation (moving) d'explosifs au World Trade Center, ainsi que dans la mise en scène de manifestations « sous fausse bannière » en au moins deux endroits du nord de Jersey : au parc d’État Liberty et dans un complexe d'appartements à Jersey City au moment où le premier avion a heurté la tour nord du World Trade Center. Une équipe d’agents du Mossad d'Urban Moving Systems a été arrêtée plus tard le 11 septembre et emprisonnée pendant cinq mois au Centre de détention métropolitain de Brooklyn. Certains de leurs noms figuraient en tant qu’agents du Mossad connus dans une base de donnée commune de la CIA et du FBI, avec le propriétaire d’Urban Moving Systems, Dominik Suter, dont le nom figurait aussi sur une liste confidentielle du FBI concernant des suspects du 11/9, ainsi que le nom des principaux « pirates, » dont Mohammed Atta et Hani Hanjour, ainsi que le soi-disant « 20ème pirate de l'air 20, » Zacarias Moussaoui.

D’après la liste de créanciers, il peut être établi que Suter opérait aux États-Unis depuis 1993, année du premier attentat contre le World Trade Center. En 1993, Suter a commencé à accumuler des frais de carte de crédit American Express totalisant 21.913,97 dollars. Suter a aussi entretenu des comptes de carte de crédit dans, entre autres banques, HSBC et Orchard c/o HSBC Card Services de Salinas en Californie. Suter a également été en affaire avec le Centre communautaire juif de Grand Palm Beach en Floride et de Ryder Trucks à Miami. Miami et le sud de la Floride étaient des régions d'exploitation majeures pour les cellules d'agents du Mossad israélien se faisant passer pour des « étudiants en art, » qui vivaient et travaillaient à proximité de quelques-uns des futurs « pirates » arabes identifiés dans les mois précédant le 11/9.Après la débâcle de l'Union soviétique et la montée en puissance des Talibans en Afghanistan, le régent de Sharjah, le Sultan Ben Mohammed al-Qasimi, qui a survécu à une tentative de révolution de palais en 1987, a ouvert son domaine à des hommes d'affaires russes comme Viktor Bout, ainsi qu’à des bailleurs de fonds de groupes musulmans radicaux, incluant les Talibans et Al-Qaïda.
De plus, ce soutien israélien à Al-Qaïda était parfaitement connu du Renseignement saoudien, qui l'approuvait pour éviter de compromettre Riyad. Le soutien commun israélo-saoudien à Al-Qaïda était bien connu à Sharjah et dans le réseau aéronautique basé à Ras el Khaimah de Viktor Bout, désormais emprisonné à New York sur charges de terrorisme. La présence de Viktor Bout à New York, un foyer du Renseignement israélien contrôlant des procureurs fédéraux, des juges, ainsi que des organes de presse, n'est pas un hasard : Bout en sait suffisamment sur les activités à Sharjah de soutien du Mossad aux Talibans et à Al-Qaïda en Afghanistan, où Bout avait également des contrats d’aviation et de logistique, pour éventer le Mossad en tant que véritable cerveau derrière le 11/9. L'empire aéronautique de Bout se prolongeait aussi à Miami et Dallas, deux régions reliant plusieurs points du réseau du Mossad pour les opérations de contrôle des vols d'entraînement des membres d’Al-Qaïda de la cellule arabe dans le mois précédant le 11/9.
Le chemin de Bout a aussi croisé le réseau de soutien d’Al-Qaïda à cette même banque HSBC de Sharjah. Les Frères musulmans bidons, membres du Mossad d'Égypte et du Yémen, contrôlaient le financement d’Al-Qaïda à travers les comptes de HSBC à Sharjah. Dominik Suter du Mossad a également été impliqué avec HSBC aux États-Unis . Enquêtant sur Al-Qaïda, John O'Neill, patron du contre-terrorisme au FBI, a pris conscience des mécanismes de financement « exceptionnels » de cette organisation. Ce n’est pas par erreur si, la veille des attentats, O'Neill a obtenu le poste de directeur de la sécurité au World Trade Center. O'Neill a péri dans l'écroulement des tours. Le Mossad utilise un certain nombre de Juifs nés en pays arabes pour se faire passer pour des Arabes. Ils sont souvent porteurs de passeports volés dans des pays arabes ou européens avec de grandes populations d’immigrés arabes, Allemagne, France, Grande-Bretagne, Danemark, Suède et Pays-Bas, en particulier.
Le succès de l’opération sous fausse bannière du 11/9 fut pour le Mossad un succès dépassant toute attente. Soutenue par le régime Blair, l'administration Bush a attaqué et occupé l'Irak, destitué Saddam Hussein, et la pression sur Israël a été détournée sur d’autres, notamment sur l'Iran, la Syrie, le Pakistan, le Hamas et le Hezbollah libanais. Les Israéliens ont également vu les États-Unis , la Grande-Bretagne, et les Nations Unies commencer à sévir contre les entreprises diamantaires chiites libanaises en République démocratique du Congo et Afrique de l'Ouest, et par voie de conséquence, avec le soutien logistique fourni par les compagnies aéronautiques de Bout, cela a ouvert la voie à l’apparition de Tel-Aviv dans le marché du diamant libanais en Afrique centrale et occidentale.
Ministre israélien des Finances à l’époque, Benjamin Netanyahu a commenté les attentats du 11/9 à la télévision zunienne peu de temps après qu’ils se soient produits. Il s’est exclamé : « C’est très bon ! » Il apparaît maintenant que, dans sa fougue, en tant que cerveau du 11/9, Netanyahu a soulevé le voile du Mossad.

Wayne Madsen est un ancien officier de renseignement de la marine de guerre zunienne spécialisé dans la surveillance électronique et la sécurité. Anciennement assigné à l’Agence de sécurité nationale (NSA) et au ministère des Affaires étrangères. Actuellement, journaliste d’investigation, chroniqueur dans la presse nationale, et auteur. Administrateur de l’Electronic Privacy Information Center (EPIC), (une organisation dédiée à la protection des libertés individuelles) à Washington DC.

Original :
www.opinion-maker.org/2011/01/british-intelligence-reports/

Traduction copyleft de Pétrus Lombard





JEWISH FINGERPRINTS ALL OVER 9-11
September 05, 2011
Made In Israel
AFP PODCAST – Victor Thorn is so sure 9-11 was a Jewish plot, he’s challenging anyone to prove him wrong. Thorn’s new book, Made in Israel: 9-11 and the Jewish Plot Against America, has been released for the false-flag terror attack’s 10th anniversary, and Thorn is pulling no punches.
Read



Pour toute info sur le 11 septembre: takeourworldback.com (v.f.)

https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiZuA2vJxnWpsFFbvfdn0l8YTKWCpx-uixTswze-nlfW2R0IQdPfYrB1jh0lkiMUXK_9cZ3H41rqIwuNXVqFFttu1l56XP5hG5FjgK4Iyok53Yzyzi8UGfqjRJu96qohNFtLiTp-iT0Cso/s1600/netanyahu1.jpg


http://ehpg.files.wordpress.com/2010/05/iraq-iran-odometer2.jpg




Le FBI n'apprécie pas que Justin Raimondo du site Antiwar.com attire autant l'attention sur les liens entre Israël et le 11 septembre:

The FBI vs. Antiwar.com: Secret documents reveal government spy-and-smear campaign


Voir aussi cet autre exemple de cette panique concernant la révélation des liens entre Israel et le 911 :

Les Sayanim de Reopen911 ferment la discussion sur Missing Links

Ten years after 9/11, anti-Semitic conspiracies 'still going strong' 'For ten years, the historical record has been warped and manipulated by anti-Semites intent on creating their false version of history', says Anti-Defamation League national director.

ADL: 9/11 fuels anti-Semitism Jewish group shows how conspiracy theories surrounding attacks have grown and evolved

Anti-Defamation League: Speaking the truth about 9/11 is anti-Semitic



Equating “Mossad did 9/11″ with “Israel Lobby” proponents — Doth Kirsch protest too much?
Displaying a cavalier disregard for well-documented facts, Adam Kirsch has an unintentionally revealing piece in Tablet Magazine on the American Jewish response to Sept. 11:
Thus, anti-Semitic rumors suggest that the Mossad brought down the twin towers, either because the real hijackers could not have possessed the technical ability to do so, or because Israel was the real beneficiary of the War on Terror. (A strange kind of benefit, one might think, looking at the history of Israel over the last 10 years.) The power of the slander lies not in its plausibility but in the diabolical way it confounds rebuttal. If Jews are accused of staying home on Sept. 11, they can point to the State Department for a defense; but then the anti-Semite’s question becomes, why is the American government so solicitous of Jewish honor? Is it not because, in the words of one fringe anti-Semite quoted in the ADL report, “our government has for decades been used to further the interests of Israel at the expense of the interests of the American people”?
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Sur ce blog:

Lobbying sioniste et libération des "Israéliens dansants" du 11 septembre

Un ancien directeur des études du US Army War College, Alan Sabrosky, explique l'opération de guerre israélienne du 11 septembre

L'Iran ne croit pas la fable convenue du 11 septembre ; les États-Unis en mal de casus belli l'accusent d'avoir monté le coup

Rare témoignage du policier qui a appréhendé les agents "dansant" du Mossad le 11 septembre

Une ancienne agente de la CIA révèle des infos exclusives sur le rôle des sionistes et la complicité du gouvernement US dans les attentats du 9.11

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À quand une nuit de cristal pour démanteler ce réseau d'espionnage sioniste international?

Le procès d'Alan Gross, espion "américain" dans la communauté juive cubaine

Quelques jours avant l'attentat du nouvel an survenu devant une église copte, un réseau d'espions israéliens venait d'être découvert

Rappel: c'étaient pas des musulmans qui ont été arrêté juste après le 11 septembre, c'étaient une soixantaine d'Israéliens

Résumé des preuves liant le Mossad aux coupables du 11 septembre

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Les 5 Israéliens dansants et le camion rempli d'explosifs du 11 septembre

Rappel: le général du renseignement pakistanais identifie les néocons sionistes comme étant les véritables responsables du 11 septembre

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Le récent scandale d'espionnage par des compagnies de sécurité israéliennes en Pennsylvanie n'est que la pointe de l'iceberg...

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