Thursday, February 26, 2009

Madoff le psychopathe



Wiesel qualifie Madoff de "psychopathe" qui devrait être placé à l'isolement

Le prix Nobel de la paix Elie Wiesel a qualifié l'investisseur américain Bernard Madoff, accusé d'une gigantesque fraude, de "psychopathe" qui devrait être placé à l'isolement, selon des propos rapportés vendredi par le New York Post.

"Psychopathe est un mot trop gentil pour le qualifier", a déclaré M. Wiesel, dont la Fondation avait donné en gestion la quasi-totalité de ses avoirs à la société de Bernard Madoff, soit plus de 15 millions de dollars, selon le quotidien.

"Il devrait être placé à l'isolement pendant au moins cinq ans avec un écran sur lequel seraient diffusées des photos de ses victimes", a poursuivi le survivant de l'Holocauste, cité par le journal.

"Il faudrait inventer n'importe quoi pour le faire souffrir (...) Il devrait être présenté à des juges qui trouveraient un châtiment", a ajouté M. Wiesel, selon le New York Post.

Bernard Madoff, 70 ans, a été arrêté le 11 décembre dernier après avoir révélé à ses proches qu'il avait pendant des décennies monté un énorme fonds d'investissement frauduleux, où des rémunérations élevées fictives étaient offertes aux clients qui lui confiaient leur argent.

Seul accusé jusqu'à présent, et pas encore formellement inculpé, l'investisseur est assigné à résidence 24 heures sur 24 dans son luxueux appartement de Manhattan.

La Fondation Elie Wiesel, vouée à l'entretien de la mémoire de l'Holocauste, mène des programmes de sensibilisation à l'antisémitisme auprès des jeunes, en organisant concours et conférences internationales. Elle a été créée en 1986 par le prix Nobel de la Paix et sa femme Marion.

Né en 1928, rescapé des camps de la mort nazis, Elie Wiesel a consacré l'essentiel de sa vie à la mémoire de la Shoah.

Source : http://www.google.com

Elie Wiesel says 'psycho' Madoff 'should suffer'

resistanceeuropeenne.blogspot.com

Wiesel livre la vérité sur les magouilles communautaires

Elie Wiesel avoue humblement sa psychopathie


«Psychopathe est un mot trop gentil pour le qualifier», a déclaré M. Wiesel. «Il devrait être placé à l’isolement pendant au moins cinq ans avec un écran sur lequel seraient diffusées des photos de ses victimes [...] Il faudrait inventer n’importe quoi pour le faire souffrir .(…) Il devrait être présenté à des juges qui trouveraient un châtiment.»

C'est en ces termes que le (très) grand Elie Wiesel, victime pour l'éternité de la barbarie-nazie-qui-fait-peur-aux-petits-enfants-goyim-aussi, s'en est pris à son correligionnaire Madoff pour avoir ruiner nombre de membres de la communauté dont certaines entreprises spécialisées dans le souvenir du génocide dont la reconnaissance est obligatoire par la loi.

Naturellement ce cher Elie ne s'emporte pas de cette façon quand les victimes ne sont que de grossiers Goyim (Lire "La mafia juive" d'Hervé Ryssen). Non ce qui énerve singulièrement le (très) grand Elie Wiesel c'est bien qu'un congénère ait pu si complètement ruiner d'autres Juifs. Le langage outrancier de l'intéressé étant tout à fait symptomatique d'une "intolérance à la frustration" très présente chez les Juifs en raison de la névrose post-incestueuse.

Mais comme d'habitude, ce qu'il faut pour réellement saisir la dimension des propos de Wiesel c'est d'inverser les rôles pour comprendre sa véritable pensée projetée sur Madoff: c'est bel et bien de la communauté juive impliqué dans les diverses magouilles habituelles qu'Elie parle sans s'en rendre compte ! Le terme de "psychopathie", rarement employé pour une arnaque, étant tout simplement un aveu de la nature psychopathologique du Judaïsme lui-même et du lien entre cette pathologie et le comportement criminogène de nombreux Juifs.

Par ailleurs l'asociabilité, c'est à dire la haine d'autrui et le refus d'entretenir des contacts avec lui, est un élément central de l'univers mental Juif comme nous le disions il y a quelques mois et surtout un des symptômes principaux de psychopathie ! Un paradoxe apparaît dans le propos de l'auteur (le paradoxe est très courant dans le discours Juif, caractéristique du double jeu permanent qui trouble l'esprit Juif) puisque qualifié de psychopathe on propose comme traitement de choc l'isolement, qui est précisément un des piliers de cette maladie...

Il faut y voir bien sûr Wiesel avouer inconsciemment la nature pathologique du Judaïsme qui oscille entre transfert sur autrui de ses propres tares et aveu de culpabilité. Wiesel admet sans le dire la nature psychopathique des comportements criminels Juifs, mais propose comme réponse un remède typiquement Juif: l'isolement, la séparation d'avec les autres, le renfermement sur soi coupable. Et cette projection des "visages des victimes" est l'expression même du rapport névrotique aux autres, aux Goyim, qu'entretiennent les Juifs, partagés entre rejet (isolement) et remords (utilisation du terme "victimes").

Un aveu final qui confine aussi au masochisme ("n'importe quoi pour le faire souffrir"): Wiesel ne nous dit rien de moins que conscient des injustices commises, les auteurs espèrent les persécutions comme une punition qu'ils auraient recherché, ce qui expliquerait que le but des provocations de nombreux Juifs contre les autres peuples n'est autre qu'un châtiment. Une névrose sado-masochiste s'ajoutant à la psychopathie.

Comme on le voit, chez les Juifs, tout est très simple et très compliqué. Cependant lorsqu'un escroc Juif se fera prendre vous pourrez à bon droit dire:

«Psychopathe est un mot trop gentil pour le qualifier», «Il devrait être placé à l’isolement pendant au moins cinq ans avec un écran sur lequel seraient diffusées des photos de ses victimes [...] Il faudrait inventer n’importe quoi pour le faire souffrir .(…) Il devrait être présenté à des juges qui trouveraient un châtiment.»
2 commentaires


club-acacia.over-blog.com

Le docteur (mais qui n'est qu'ès science-fiction) Elie Wiesel se prend maintenant pour un médecin psychiatre. Les vilains diraient que c'est toujours mieux qu'être médecin-chef du camp de Drancy comme le fut son coreligionnaire Abraham Drucker, physionomiste à la solde des Allemands pour les accompagner dans le choix de prépusectomisés à déporter ; mais ce n'est pas le sujet.

Dans une assez peu croyable intervention, le romancier américain s'est attaqué à son coreligionnaire escroc Bernard Madoff avec une violence et, il faut bien le dire, une haine toute talmudique qui en dit long sur le personnage. Qui en dit surtout très long sur les pratiques levantines et le martyre de l'Allemagne occupée depuis 1945.

« Psychopathe est un mot trop gentil pour le qualifier »


a-t-il déclaré en préambule alors que lui-même fait croire que sa fondation d'endoctrinement et de manipulation serait en faillite.

« Il [Madoff]devrait être placé à l'isolement pendant au moins cinq ans avec un écran sur lequel seraient diffusées des photos de ses victimes.

Il faudrait inventer n'importe quoi pour le faire souffrir [...] Il devrait être présenté à des juges qui trouveraient un châtiment »


a-t-il poursuivi dans un entretien au New York Post. Des propos qui laissent imaginer avec quelle cruauté et qulle inhumanité ont pu être traité les Allemands pendant et après la Seconde Guerre mondiale.


Depuis plusieurs semaines, pour faire oublier les origines de Bernard Madoff et surtout le fait que ce dernier et sa femme était des bienfaiteurs d'organisations sionistes et de divers établissements israéliens (avec l'argent qu'ilz volaient), tentent de faire croire qu'ils sont les seuls réelles victimes de l'escroc.


Et pour ceux qui seraient surpris par la haine maladive dont est capable le "survivant" – l'un de ces millions de "survivants" – digne elle d'un psychopathe meurtrier, rappelons ces quelques mots issus de son livre "Rendez-vous avec la haine", Legends of Our Time, New York, Avon Books, 1968, p.1778.

« Tout juif, quelque part en lui, devrait se ménager une zone de haine-- une haine saine et virile-- pour ce que l'Allemand personnifie et pour ce qui persiste dans l'Allemand. Agir autrement serait trahir les morts. »


mot d'ordre qui s'est répandu dans le monde dès 1933 contre l'Allemagne et bientôt contre l'Europe, et qui explique comment, hier comme aujourd'hui, chaque mort d'un Européen est une victoire pour ces âmes malades...




Is Madoff A Symbol Of Jewish Greed?


Above Center Picture Featured On The ADL Web Site Here

IS MADOFF A SYMBOL OF JEWISH GREED?
By Brother Nathanael Kapner, Copyright 2009


Articles May Be Reproduced Only With Authorship of Br Nathanael Kapner
& Link To Real Jew News (SM)

For The Best Financial Crisis Coverage CLICK: Rense.com Here

THE CONTRAST BETWEEN JEWISH GREED and basic Christian generosity has never been more searingly exposed than by the ongoing Bernard Madoff scandal.

Madoff was arrested for criminal securities fraud on December 11, 2008. Because Bernie is a Jewish criminal, he has only had to endure house arrest with afternoon walks to date. The arrest was made shortly after Madoff told his two sons, employees at his firm, “Bernard L Madoff Investment Securities,” that he had been running a giant Ponzi scheme…resulting in robbing his clients of over $50 billion dollars.

In articles such as, “How I Got Screwed By Bernie Madoff,” it was brought to light that Madoff used client money for personal use…apparently a LOT of client money. Bernie has lived a lavish lifestyle and owns several homes, including a penthouse apartment in Manhattan’s Upper East Side, a luxurious home & private club in Florida, two private jets, and a yacht named “Bull.”

In the US Attorney's Access Document charging Madoff with securities fraud, it states



"BERNARD L MADOFF - the founder of Bernard L Madoff Investment Securities former chairman of the NASDAQ Stock Market - was arrested today for securities fraud.

“According to Madoff’s Website, ‘he has a personal interest in maintaining an unblemished record of fair-dealing and high ethical standards.’” View Arrest Document Here.

Madoff’s Website is now defunct and his claim to “high ethical standards” has been shown to be another classic Zionist con and lie. Running a Ponzi game is bad enough, but Bernie seems to have taken the game to a new level of criminality. On February 20, 2009, it was reported that there was no indication whatsoever that Madoff had EVER bought a single security for even one of his clients in the last 13 years even though he listed blue-chip stocks on their account statements.

Where did the $50 billion go? To date, the Feds have only found a little over $900 million. The leading scenario has it that Dirty Bernie laundered much of the loot through Israeli banks. Some suspect most of the stolen billions are still sitting safely in various Israeli banks right now and are being - and have been - used to fund a long list of intel schemes and black operations.


MANY ARE NOW ASKING the question: “Is Madoff a symbol of common Jewish greed?”

The Anti Defamation League defends Madoff by saying that his situation is an isolated incident. Other Jewish organizations claim that there are many Jewish charities who give generously, and thus, Madoff should not be used as an example of “Jewish greed.” Little is ever discussed as to how those benevolent Jewish charities actually MADE their money in the first place.

Having grown up in an upper middle class synagogue, my reply to Jewry’s defense of Madoff is two-fold.

First of all, how many “isolated incidents” regarding Wall Street shysters and financial crooks of all stripes does it take to establish the fact of Jewish greed? How many on the planet, even reputable Jews, have been defrauded and victimized by Jewish greed? How many could tell of their own experiences of being duped, lied to, conned and ripped-off by unscrupulous Jews? Tens of millions? More?




Secondly, Jewish charities are not concerned with helping all of humanity at large as is the practice of Christian charities. The vast majority of Jewish charities help THEIR OWN. (Compare The Two Links For An Obvious Contrast Between Jewish Charities & Christian Charities. Then Click On, A Closer Look At Jewish Charities, & See How Jews Only Help Other Jews.)

Indeed, Jews can be very generous, but almost invariably only when it comes to their own kind. Like Bernard Madoff, World Zionist Jewry clearly basks in the largesse of “Jewish greed” and keep its often ill-gotten wealth, parasitized from the Gentiles who host them, within their own elitist group…

And: Should US Bail Out Jewish Bankers? Click Here

And: ‘Bailout’ Betrays Main Street Click Here

And: ADL Calls Madoff Critics ‘Anti Semites’ Click Here

And: How The Jews Think Click Here

And: Jewish Bankers At War Click Here

And: Why I Left Judaism Click Here



Ponzi scheme financier Bernard Madoff should feel fortunate that he got nabbed when he did. Now under house arrest in his $7 million Manhattan penthouse, he could be lying in a pine box, six feet under if some of the people he crossed got their hands on him.

Former funds manager Harry Markopolos told a House Financial Services subcommittee on Feb. 4 that Madoff had cheated some extremely dangerous figures out of millions of dollars.

“Mr. Madoff was running such a large scheme of unimaginable size and complexity, and he had a lot of dirty money,” Markopolos testified. “Let me describe dirty money to you. When you’re that big and you’re that secretive, you’re going to attract a lot of organized crime money, which we now know came from the Russian mob and the Latin American drug cartel. When you’re zeroing out mobsters, you have a lot of fear. He could not afford to get caught, because once he got caught. . . .”


Markopolos switched course to address his own fears of being murdered ifMadoff learned of his investigation:

“If he would’ve known my name and knew he had a team tracking him, I didn’t think I was long for this world. Mr. Madoff was one of the most powerful men on Wall Street, and he was in a position to end our careers, or worse.” He continued, “Mr. Madoff was already facing life in prison if he were caught, so he’d face little to no downside to removing whatever threats he felt we posed. My team and I surmised that if Mr. Madoff gained knowledge of our activities, he might feel threatened enough to seek to stifle us.”

As his research continued over a 10-year period, Markopolos found that Madoff’s operation rivaled the infamous BCCI scandal of the 1980s and 1990s. In addition to his association with Russian oligarchs and Colombian drug lords, Madoff was also linked to high-society stockbroker Robert M. Jaffe (now under investigation by Massachusetts security regulators and linked to New England mobster Gennaro Angiulo),
Cayman Island money launderers, and corrupt pro-Israel financiers Sy Syms and Jacob Merkin.

Syms ran billions of dirty money through the Israeli Discount Bank of New York, while researcher Wayne Madsen wrote on January 14:

“Madoff is suspected of transferring much of his ill-gotten gain to Israeli banks, including one, Bank Leumi, that Madoff associate J. Ezra Merkin bought from the Israeli government when Ariel Sharon was prime minister and current PM Ehud Olmert was finance minister.”

Madoff was a past treasurer of the American Jewish Congress. Could these be the men Markopolos referred to when saying that Madoff “had been aided by an army of colleagues within his investment business in Manhattan”?

Government regulators still refused to act. “The SEC had enough to get Madoff,” Markopolos said. “I drew them pictures. I gave them a road map. I told them what questions to ask and who to phone.”

While hundreds of people lost their life savings, Wall Street continued its “code of silence.” In turn, the banking cartel’s elite pressured their subordinates to turn a blind eye. Former SEC Commissioner Paul Atkins confessed, “We were actively discouraged from going after Ponzi schemes, pump-and-dump schemes, and things that were considered small cases. Actively discouraged by our superiors.”

Markopolos said the SEC didn’t listen to his warnings because, “they’re too in-bed with the large derivative traders and investment banks. People lost money because they had faith in government.” The syndicate is flourishing between Washington and Wall Street.

Victor Thorn is a hard-hitting researcher, journalist and the author of
many books on 9-11 and the New World Order. These include 9-11 Evil:
The Israeli Role in 9-11
and Phantom Flight 93.


Le commentaire de Kevin Macdonald

Inquiétude dans les milieux judaïques

Souriant, Madoff pourrait plaider la folie

L'affaire Madoff en détail

Les Bronfman: les profiteurs de l'escroquerie Madoff

Wednesday, February 25, 2009

Qui est Rabinovitch?


une créature des Bronfman (Congrès juif)!


Qui est Rabinovitch?

Pierre Falardeau
Le Couac, novembre 2000.
(...)

Après «le show des Olympiques», (nos Canadiens, mes Canadiens, vos Canadiens, mur à mur) et avant le «show du Canada, une histoire populaire» (tes Canadiens, ses Canadiens, leurs Canadiens), Rabinovitch, président de Radio-Canada, nous organise le «show Trudeau» (un grand Canadien, un très grand Canadien) pour remplir les temps morts. Une véritable indigestion de Sheila «Flag» Copps.

Un homme sûr que ce Rabinovitch, un ancien de la Fondation Bronfman qui recyclait l'argent sale de Patrimoine Canada dans les «Minutes du patrimoine». Avec Claude Saint-Laurent, à l'information et à la propagande, responsable des grosses «Minutes du Patrimoine de l'histoire populaire», on sait à quoi s'en tenir. C'est clair. C'est ce même Saint-Laurent qui a muté aux chiens écrasés Normand Lester, qui enquêtait justement sur le scandale des «Minutes à Bronfman».

Mais revenons au «show Trudeau». «Un grand penseur qui assimilait le nationalisme au tribalisme, au fascisme, au nazisme», affirment-ils le plus sérieusement du monde en décrivant ce dangereux gauchiste de la Champlain Oil recyclé en chef du Liberal Party of Canada. Nous prennent vraiment pour des caves, ces carriéristes qui pensent en rang. En fait, le seul nationalisme qu'il détestait, c'était celui de son propre peuple, le nationalisme québécois. Car c'est lui, Trudeau, qui créa de toutes pièces le nationalisme canadien avec son castor, sa police montée, sa reine anglaise, son boeuf de l'ouest, son stampede de Calgary, son hymne gratonesque, ses ponts-bridges, son folklore ukrainien, ses fours à pains d'expression francophone, ses juges à perruque ridicule, son cirque parlementaire, ses anglaises d'Ottawa, ses tulipes et ses cornemuses à chier.

Son nationalisme à lui n'était pas ethnique, mais multiethnique, un nationalisme à la yougoslave ou à la soviétique, communisme en moins. Il aurait été à l'aise à la tête de l'Empire autro-hongrois, le Prince. Son supposé anti-nationalisme ne servait en fait qu'à masquer son nationalisme de Montagnes Rocheuses, outil essentiel à la survie de l'Empire, à la survie du système d'exploitation néo-colonial canadien.

«Cet homme incarnait la raison face aux nationalistes québécois qui ne savent qu'attiser les passions», entonnent les chiens savants, avec une belle unanimité. Tu parles, Charles. Assez comique pour un politicien qui a construit sa carrière sur l'hystérie collective de la trudeaumanie.

Les médias qui adoraient ses pitreries transformèrent ce contemporain des Beatles et des Rolling Stones en premier ministre de show business. Le degré zéro de la politique-spectacle. Car il avait quand même du talent, ce spécialiste du déguisement. Un acteur médiocre, mais cabotin hors pair, quoique fort risible. Regardez les albums de photos souvenirs. Il visite l'Inde déguisé en fakir, se promène à Saint-Pierre et Miquelon en chandail rayé et foulard de titi parisien autour du cou. Ne manquent que l'accordéon musette, le bérêt et la baguette dans le cul. Il rencontre Fidel en costume mi-safari, mi-guérillero du Château, fait du canot costumé en coureur des bois de Disneyland, botte le ballon de la Coupe Grey avec sa cape de Dracula et son chapeau de mafioso gaglianesque. Un sens du «timing» remarquable. On le voit en marin-pêcheur, en pilote de chasse, en esquimau congelé, en capitaine à la Réal Caouette, en play-boy de télésérie cheap, en moine tibétain avec Jacques Hébert, en socialiste à voiture sport, etc. Aussi subtil et discret que Dupont et Dupond. En toutes circonstances.

Même dans sa tombe, il gardera le sens du spectacle. On le déguisera en «grand homme d'État», puis en drapeau canadien dans une jolie boite en bois, portée par six grosses polices en rouge. Quelle fin magnifique. Son fils spirituel Jean Chrétien se prépare même à le déguiser pour l'éternité en montagnes Rocheuses. Le Mont Trudeau. Mon cul.(...)





La Radio-Canada de Robert Rabinovitch

De chaîne publique à chaîne d'État Jean-Luc Gouin

TRIBUNE LIBRE 8 novembre 2004

Robert « Bob » Rabinovitch (http://www.cbc.radio-canada.ca/htmfr/administration/index.htm) est le grand patron de Radio-Canada depuis le retour au pouvoir, en 1993, du Parti libéral du Canada «de» Jean Chrétien - lequel a «requis» incontinent les services de l'individu à ce poste, qui a pris effectivement le relais à la fin du contrat (non renouvelé) qui liait le gouvernement fédéral au précédent président, Perrin Beatty.

Or depuis ce temps Radio-Canada n'a cessé de sombrer, et n'est plus désormais que l'ombre de ce qu'elle fut naguère - à tous égards, chaînes radiophoniques comprises. Ainsi, l'antenne publique s'est vue devenir tout à la fois une chaîne commerciale dans ses manières (on ne voit plus très bien la différence en regard aux TVA et autres TQS) et largement une chaîne de propagande de la Canadian National Unity dans ses contenus.

Génial ! le monsieur Rabinovitch (autorisez-moi l'antilitote, faute d'antidote): privatiser et étatiser - privétatiser ? - tout en un...




Le soufflet de Radio-Canada à Patrick Bourgeois

Dans son mandat, Radio-Canada doit, et je cite son préambule : la société Radio-Canada, à titre de radiodiffuseur public national, devrait offrir des services de radio et de télévision qui comportent une très large programmation qui renseigne, éclaire et divertit .

Il est aussi dit, à l’alinéa ii : (la programmation de la société devrait à la fois) refléter la globalité canadienne et rendre compte de la diversité régionale du pays, tant au plan national qu’au niveau régional, tout en répondant aux besoins particuliers des régions.

Dans ce contexte, il est impératif que Radio-Canada puisse offrir, à TOUS les Canadiens, une information qui éclaire (c’est écrit dans le mandat) sur les réalités politiques, historiques, économiques et socioculturelles du Canada. Ce principe, violé allègrement par toutes les directions du grand chiffon, prend des allures de cavale depuis le vol du référendum de 1995, notamment avec M. Rabinovitch, l’actuel dirigeant et fédéraliste hargneux dont la qualité du français parlé et écrit est une honte pour tous les francophones de ce pays.

En effet, la règle implicite que tous les décideurs appliquent dans la boîte est celle qui est contenue dans la liste noire de Rabinovitch : tous les noms associés au mouvement indépendantiste ne peuvent et ne doivent pas venir sur les ondes radio-canadiennes pour promouvoir leurs idées, des faits historiques indéniables et leur perspective qui va à l’encontre de la vision de la majorité, laquelle est fédéraliste, multiculturelle, bilingue (pour qui ?), atomisée, post-moderne et pour qui le Québec n’est qu’une composante de plus à se fondre (marginalisée) dans la logique de la langue commune unique (l’anglais).



Canadian Rule, Rabinology «und» culture québécoise
Nicolas St-Gilles, Québec TRIBUNE LIBRE 12 sept. 2002
En misant sur le multiculturalisme, loin de viser « l'ouverture au monde » les deux chaînes radio de la SRC s’activent avec grande célérité à la secondarisation, à la folklorisation, à l'appauvrissement enfin (et donc, à terme, à la disparition) de la culture française québécoise.



Médias - L'ignorance dirigeante
Jean Larose LD 23.6.2002 - La réforme Lafrance-Rabinovitch et la fin de la radio culturelle québécoise - L'imposture démagogique prend également une autre forme : la régionalisation. Selon Lafrance et Rabinovitch, dans la francophonie canadienne, Ottawa et Vancouver comptent autant que Montréal. Il faut humilier l'autorité du Québec au profit d'une égalité régionale calquée sur le modèle anglo-canadien.



SRC - cette formidable et puissante médiocrité systémique
Mathilde François Tribune libre de Vigile - mercredi 5 avril 2006 - Or pendant ce temps les Robert Rabinovitch et les Sylvain Lafrance sont bien installés, vraisemblablement, de manière à « gérer avec professionnalisme cette formidable et puissante médiocrité systémique ». Sans doute tout heureux, au surplus, d’avoir mis les Jean Larose et les Georges Leroux à la porte il y a quelques années...


Radio-Canada la provincialeuse...

Province, provincial...
Province, provincial...
Province, provincial...

Le journaliste ( ?) Yvan Côté (reportage sur Loto-Québec) a visiblement bien appris sa leçon de ses patrons radio-canadiens, M. Robert Rabinovitch en particulier (on peut aisément le présumer). Et avec la bénédiction, cela va de soi, du chef d’antenne attitré aux origines vaguement romaines : ça tombe sous le sens, quoi (sauf que sous le sens, constatons-le derechef, il y a parfois la tombe même).



http://www.vigile.net/spip.php?page=archives&u=archives/ds-medias/index-souv.html
Vous ne m'en voudrez pas si je vous dis qu'une idée subversive m'a traversé l'esprit : les Québécois sont un peu les «Tchétchènes» du Canada. Les armes en moins bien sûr. Mais nos trois chaînes nationales de télévision étant toutes dirigées par des hommes du régime libéral – Izzy Asper (Canwest Global), Ivan Fecan (CTV) et Robert Rabinovitch (CBC) – on a un peu fait passer, au Canada anglais, ce peuple indomptable que sont les Québécois pour une association de mauvais citoyens corrompus et de partisans des terroristes islamistes...


http://www.vigile.net/spip.php?page=archives&u=/archives/ds-actu/docs4a/9-22.html
La télésérie «Ciao Bella», débutant tout juste à Radio-Canada et portant sur une famille italienne de Montréal, a été tournée directement en français, ce qui est invraisemblable, voire ridicule (comme cela le serait avec les communautés chinoise ou juive ou anglaise de Montréal). En outre, les deux jeunes sœurs parlent français sans accent (il est à noter que plus on est jeune dans cette série moins on a l’accent, comme si le français gagnait tu terrain). Même le cousin d'Italie parle français. (...)

«Ciao Bella» a été produite à même le fonds dit «transculturel», créé par Robert Rabinovitch, président de Radio-Canada, pour développer des projets soi-disant conjoints pour les deux réseaux. Que veut nous faire accroire la maligne chaîne (qui ne fait jamais rien pour rien) avec cette série? Que le français n’est plus menacé à Montréal? Il l’est pourtant.





The Bronfman Stooge who J-wed the CBC

The CBC was already a Shabbaz Goy haven, but the Zionists couldn’t take any chances that the truth about Palestine come out, so the Bronfmans likely pressured PM Chretien to appoint this Zionist mole as the head of the CBC in 1999.

No newspapers or radio stations pointed out the glaring conflict of interest in having an Isr-el first activist and member of the Canadian Jewish Congress as head of the opinion-shaping national public media.

CJC J-w 'Rabbi' Robert Rabbinovitch

CJC/Bronfman entangled Zionist J-w Robert 'Rabbi' Rabbinovitch did his best to wreck the CBC

From wikipedia:

Robert Rabinovitch (born 1943) is a Canadian public servant and businessman, and he served as the President and CEO of the Canadian Broadcasting Corporation from 1999 to 2007.

Rabinovitch was in for the crucial years after the 9/11 attacks, where he totally remade the CBC into a Zionist propaganda vehicle, repeating the Bushisms of the Netanyahu spawned War of Terror. He is connected to the criminal Bronfman family and has been an executive in the pernicious Talmudic J-w pressure group the Canadian J-wish Congress.

Prior to his appointment as head of the CBC, Rabinovitch served as Executive Vice-President and Chief Operating Officer of Claridge Inc., a Bronfman family holding company. He has been a member of a number of corporate boards, including Cineplex Odeon and NetStar Communications. He was also a member of the federal government’s Direct-to-Home Satellite Broadcasting Policy Review Panel.

Is that why no Al Jezeera in Zionist Occupied Canada?

Rabinovitch has also been active with the Canadian Executive Service Organization (CESO), the CRB Foundation, the Samuel and Saidye Bronfman Family Foundation and the Canadian Film Centre. He served as Chairman of the Executive Committee of the Canadian Jewish Congress (Québec) until his appointment to the CBC.

The CBC Goyim revolted under the Rabbinical rule, and he locked them out!

While serving as head of the CBC, Rabinovitch ordered the lockout of 5,500 unionized employees in 2005, leading to a two-month labour struggle between the crown corporation and the Canadian Media Guild.

-Order out of Chaos!

Reading an article written in 2005, and it becomes apparent that the trouble at the CBC coincided with the term of this slimy Jew(appointed in 1999), working for the Zionist agenda to wreck the CBC’s ability to deliver objective reporting, and pushing to hire ‘outside workers’… from the article : “In 6½ years, there have been five work stoppages involving four different unions, the last three caused by management-imposed lockouts.”

http://www.friends.ca/news-item/5009

This is definitely a management lockout that didn’t have to happen. However, labour relations at the CBC are as bad as they can get. Here are the figures: In 6½ years, there have been five work stoppages involving four different unions, the last three caused by management-imposed lockouts. The Canadian Media Guild’s estimate is that more than 250,000 person-days have been lost in the disputes, and every day that toll continues to rise. Compare the Corporation’s record with that of the guild: Until Aug. 15, we had been at the CBC for 53 years without a work stoppage.

Throughout the latest negotiations, the Corporation kept insisting that the union agree to its most troubling demand: the right to hire whole groups of employees on contract if it so wishes. When we refused to buckle on this very important point (and others), senior managers orchestrated an end to the talks when it suited their schedule. They locked us out in order to avoid a strike later in the busy broadcast season.

Rabbinovitch has since been replaced by a Shabbat Goy(can’t have the Kontrol too obvious, although you’d have to be a braindead CBC listener to not realize it!).

Legacy of Rabinovitch: The CBC is Part of J-wsmedia

Some lucid posts by Kixi starting from May 21st 2009, on the can.politics newsgroup , showing CBC simply repeats Jew propaganda fables in Canada, post Rabbinovitch:

Although the CBC is publicly funded the jews’ lobbies have their
people in key positions within the organization and so are able to
quietly decide what is to be broadcast and how to spin it.

Typical consideration that you will find evidence of are:

1. Repeat dogma about the so-called “Holocaust” but disallow public
discussion on it.

2. Present stories of Jewish suffering, victimhood and achievements.

3. Present Muslims and Arabs in bad light. Label them as “militants”,
“radicals” etc..

4. Present the Catholic church in bad light.

5. Create media “outrage” on any incident the the jews lobbies want.
For example, if someone criticizes jewish power.

Back to the CBC. In the past 24 hours, from CBC radio’s morning and
evening newscasts, I note the following evidence of CBC being part of
the jewsmedia. (I no longer watch CBC TV - got Aljazeera via
satellite. It’s free too.)

A. Wednesday morning. Iran has tested a missile with a range “capable
of hitting Israel”. CBC made no mention whether Israel had missiles
capable of hitting Iran.

B. Wednesday evening. Art being returned to former jewish owners. This
theme recurs peridically. The word “Nazi” was used 3 times. Editors
also sneaked in “Six million” was twice.

C. Wednesday evening. Catholic church in Ireland. Some issue with the
church abusing boys, IIRC.

D. Thursday morning. Four men arrested on conspiracy to blow up a
synagogue in New York. An earlier edition makes a link to Muslims -
but more recent version drops this.

So CBC is part of the global jewsmedia and it is constantly airing
stories the fit their global (zionist) agenda.

Friday morning: Yet another plug for “The Holocaust” on CBC radio. A
mention of a human rights museum which will include Canada’s natives’
issues and “The Holocaust”.

I haven’t yet figured out yet what “The Holocaust” has to do with
Canada to warrant taxpayers money. When religions build their
structures to promote their myths, they pay for them themselves. Huh -
Jewish power again!

PS. I wonder if the jews will put bars of “pure jewish soap” on
display. I think there are plenty of bars available since some of the
Holohoax museums in the US pulled them after the advent of DNA
technology.

Here is a nice, humorous, footnoted report, “The Jewish Soap Myth”
found on this page
http://www.ihr.org/main/leaflets.shtml

Monday morning May 25: CBC jews are at it again. Today there is a
story about the custody of a child whose parent has beliefs the jews
don’t approve of.

Half asleep, I thought I heard the buzz smear labels typically
used … “white supremacists” … “skin heads” …. “nazis” ….
“holocaust deniers” (no doubt with a capital H on the script.

Now thinking about these labels, is there anything inaprorpriate about
being a part of any of them

“white supremacists” - why shouldn’t the whites promote their race,
and blacks foster black pride …. just as jews in synagogue basements
foster their own supremacy?

“skin heads” - not permitted to shave one’s head?

“Nazis” - a smearing substitute for the German National Socialist
Workers party, one of the most democratic, successful, clean,
political movements of the 20th century to which millions proudly
belonged.

“holocaust denier” - something wrong with questioning some of the most
unbelievable aspects of the so-called H-word?

Aha! Now we understand. The jews at CBC are doing the work of
international jewry. They are trying to stamp out these activities
with their smearing labels.



CanWest Propaganda Network

400e anniversaire de l'autre Palestine occupée: le Québec

Le bouc émissaire

Le congrès juif mondial

Les Saigneurs d'Amérique du Nord

La presse (israélo-)canadienne

L'idole terroriste d'Israel Asper (CanWest)

Les mensonges de Richard Perle


CNN: Ron Paul démasque les néocons Bill Kristol et Richard Perle


VIDEO - The War Party - Zionism in NeoCon Foreign Policy


Richard Perle nie l'existence des néocons


Perle, Feith auteurs de Clean Break, le plan de guerre en Irak




Espions du Mossad au Pentagone: Wolfowitz, Perle, Libby, Feith, Rosen, etc.


http://www.theoccidentalobserver.net/authors/Connelly-OutrageousLies.html

Richard Perle's Outrageous Lies
Edmund Connelly
February 24, 2009
I’ve just finished listening to an enlightening 2-hour radio interview with hosts Mark Glenn and James Morris and guest Kevin MacDonald, and including an interesting call-in appearance from Stephen Sniegoski. The general topic was Jewish power, but one point in particular stood out: Recently, a premier architect and promoter of the neocon war against Iraq, “Prince of Darkness” Richard Perle, has been escalating his campaign to deny the neocon role in American politics. Let me explain.
Back in 1996, a group of Americans writing for an Israeli think tank published a paper for Israeli Likud Party leader Benjamin Netanyahu called “A Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm.” In addition to calling for Saddam Hussein’s replacement, it also advised an overthrow or destabilization of the governments of Syria, Lebanon, Saudi Arabia and Iran, thus leading to something akin to a “Greater US-Israel Co-Prosperity Sphere.”
One year later came the formation of The Project for the New American Century (PNAC), a neocon think tank based in Washington. William Kristol and Robert Kagan co-founded it as a non-profit educational organization, but many have accused it of playing a primary role in the Bush Administration’s decision to go to war with Iraq in 2003. Later, the Pentagon hosted a unit called the Office of Special Plans (OSP), where Paul Wolfowitz joined Douglas Feith in propagating what many have claimed were false allegations about Hussein’s possession of weapons of mass destruction.
In the American media there were legions of neocon writers who repeated the party line about the need for a preemptive war against Hussein. Anyone following the efforts and words of the neocons likely recognized a sense of schizophrenia about describing who, exactly, these neocons were. Last year I wrote about this phenomenon of naming neocons (see also here), noting how such comfortable homes to neoconservatism as The Public Interest, The National Interest, and Commentary (published by The American Jewish Committee) began to ignore any connection between Jews and neoconservatism. For example, the Winter 2004 issue of The Public Interest had an essay titled "Conservatives and Neoconservatives." Yet author Adam Wolfson offered not even an oblique reference to Jews. Never mind that journal co-founder Irving Kristol is considered by many to be the father of neoconservatism, or that the other three editors over the forty-year life of the magazine have also been Jews.
Over at its more foreign-policy oriented sister publication, The National Interest, Francis Fukuyama, in "The Neoconservative Moment" (Summer 2004) also failed to mention this connection. And in the October 2005 issue of Commentary, Joshua Muravchik did likewise in his article "Iraq and the Conservatives." (Notice that Muravchik doesn't even call them neoconservatives.)
The schizophrenic aspect of naming or not naming neocons as Jews was obvious at the New York Times beginning at the end of 2008. In mid-December, America’s “paper of record” featured a review of a book about neocon hawk Richard Perle written by Alan Weisman, “a world-traveled journalist and the son of Ukrainian Jews.” In the review were found familiar neocon names such as Elliott Abrams, Douglas Feith, Michael Ledeen, and David Frum. The reader, however, heard not a word about their Jewish identity.
One month later, however, the very same Times Book Review addressed Jacob Heilbrunn’s They Knew They Were Right: The Rise of the Neocons—yet another book on neocons written by a Jewish author. But this time the reviewer, Timothy Noah, could not have been more blunt about the Jewish nature of the movement: “There’s no point denying it: neocons tend to be Jewish.” Heilbrunn confirmed this in an interview, when he bequeathed to us this verbal gift: "It is anything but an anti-Semitic canard to label neoconservatism a largely Jewish phenomenon.” In an article in The American Conservative, Philip Weiss delivered the same verdict: “Heilbrunn achieves one important chore: a forthright social narrative of the neocons as a Jewish movement.”
All of this brings us full circle back to 2004, when Kevin MacDonald wrote that "neoconservatism is indeed a Jewish intellectual and political movement." "The current situation in the United States is really an awesome display of Jewish power and influence.” MacDonald goes over the entire history of the movement back to the 1960s and shows that the principal players were Jews with a strong Jewish identity and a strong sense of pursuing Jewish interests — first and foremost the interests of Israel, but also advocating the use of US foreign policy to combat anti-Semitism in the Soviet Union. He shows that neocons hold traditional Jewish liberal attitudes on every other issue, including immigration policy, but that they managed to elbow out traditional conservatives in the Republican Party to the point that paleocons like Pat Buchanan have been relegated to the sidelines.
Of course anyone following the antics of the neocons always knew about a certain Jewish character to the movement. After all, didn’t Pat Buchanan famously write in his seminal cover story in The American Conservative in early 2003 that a “neoconservative clique” was responsible for a pre-planned attack on Iraq following 9/11? Continuing, he thundered, “We charge that a cabal of polemicists and public officials seek to ensnare our country in a series of wars that are not in America’s interests. We charge them with colluding with Israel to ignite those wars.”
And who might benefit from the Iraq War? Buchanan spelled it out:
Cui Bono? For whose benefit these endless wars in a region that holds nothing vital to America save oil, which the Arabs must sell us to survive? Who would benefit from a war of civilizations between the West and Islam? Answer: one nation, one leader, one party. Israel, Sharon, Likud.
One might argue that the Jewish nature of the neocon movement and its efforts on behalf of the State of Israel are two of the most heavily documented and discussed topics of the last decade. Here is just a short list of the most well-known considerations of Jewish power in this respect:
Perhaps the crowning achievement in this category is Stephen Sniegoski’s The Transparent Cabal, a comprehensive solo effort that definitively documents the neocon-Zionist hand in America’s disastrous decision to invade and occupy Iraq, as well as in American Middle East policy more generally. His lucid comments on the radio show mentioned above make this topic even easier to understand.
Finally, I arrive at the point of this column: Despite the massive proof of neocon involvement in America’s decision to go to war with Iraq and despite the overwhelming evidence that neoconservatism qualifies as a Jewish movement, central neocon figure Richard Perle has, with a straight face, stated that neocons do not exist. And it follows that if they don't exist, they certainly are not a Jewish cabal.
In a story last week in the Washington Post, journalist Dana Milbank expressed skepticism about Perle’s odd claims. “Listening to neoconservative mastermind Richard Perle at the Nixon Center yesterday,” he wrote, “there was a sense of falling down the rabbit hole. In real life, Perle was the ideological architect of the Iraq war and of the Bush doctrine of preemptive attack. But at yesterday's forum of foreign policy intellectuals, he created a fantastic world in which:
1. Perle is not a neoconservative.
2. Neoconservatives do not exist.
3. Even if neoconservatives did exist, they certainly couldn't be blamed for the disasters of the past eight years.”
Against any form of reality that most of us would recognize, Perle averred that "There is no such thing as a neoconservative foreign policy." This nonsense was spoken at a gathering hosted by The National Interest.
As evidence of the coordinated nature of this disinformation campaign, one can point to the essay Perle recently penned for The National Interest. Titled Ambushed on the Potomac, the essay has Perle spouting such howlers as, “I know of no statement, public or private, by any neoconservative in or near government, advocating the invasion of Iraq primarily for the purpose of promoting democracy or advancing some grand neoconservative vision.” And this: “And as for Israeli interests, well, the Israelis, who believed that Iran posed the greater threat, were strongly and often vociferously against the United States going into Iraq.”
He also alleges that his fellow Jew Jacob Heilbrunn’s They Knew They Were Right exhibits “an obsession with neoconservative influence” but fails “utterly to describe or document that influence.” Further, he adds, “This neoconservative conspiracy is nonsense, of course, and no serious observer of the Bush administration would argue such a thing, not least because there is not, and cannot be, any evidence to substantiate it.”
The National Interest is entirely complicit in this campaign. Witness, for example, the six large pictures interspersed throughout the article: Bush, Cheney, Powell, Tenet, Rice, Rumsfeld none of them a Jew. Perle (with the help of The National Interest) wants to frame them for “the hijacking of foreign policy.” And he concludes that “what is unusual is the extent to which President Bush was undermined by his own administration.”
What might be missed here is a two-year-old piece in Vanity Fair which reveals even more chutzpah on who is to blame for Iraq. In conversations just prior to the 2006 elections, a host of neocon operatives were interviewed and sought to distance themselves from the Iraq fiasco by blaming others—but only non-Jews.
Kenneth Adelman, for instance, though professing deep respect for personal friend Donald Rumsfeld, still blamed him for many of the problems in carrying out the plans of the neocons. “I’m crushed by his performance.” Adelman also blamed three other top non-Jews: Paul Bremer, George Tenet and General Tommy Franks. “Those three are each directly responsible for the disaster of Iraq.”
Michael Ledeen, top scholar from the American Enterprise Institute, a leading neocon think tank, felt that Condoleezza Rice, in her capacity as national-security adviser, had sought compromise rather than correct decisions. Eliot Cohen saw “a very different quality of leadership” as responsible for missed chances in 2003 and 2004. Michael Rubin, also from the A.E.I., faulted the Commander-in-Chief this way: “Where I most blame George Bush is that, through his rhetoric, people trusted him, people believed him. Reformists came out of the woodwork and exposed themselves."
Perle offered that “this unfolding catastrophe has a central cause: devastating dysfunction within the Bush administration. . . . At the end of the day, you have to hold the president responsible.” Incredibly, Perle claimed, “Huge mistakes were made, and I want to be very clear on this: they were not made by neoconservatives, who had almost no voice in what happened . . .”
The most outlandish opinion, however, came from Ledeen, who argued that the best way to understand the dysfunction of the Bush administration was to ask, “Who are the most powerful people in the White House?” His answer: "They are women who are in love with the president: Laura [Bush], Condi, Harriet Miers, and Karen Hughes." Quite frankly, I'm speechless.
James Petras, who has penned three recent books on the “Zionist Power Configuration (ZPC),” also noted the blame-the-goyim approach. "Whatever inside dope [journalist Seymour] Hersh cited that had not been public was based on anonymous sources which could never be double checked or verified, whose analysis incidentally coincided with Hersh's peculiar penchant for blaming the Gentiles (WASPs) and exonerating the brethren."
Petras is a man worth reading. In two previous books, The Power of Israel in the United States (2006) and Rulers and Ruled in the US Empire: Bankers, Zionists and Militants (2007), he lucidly outlined the power structure that controls Washington. (See my review of both books for The Occidental Quarterly here). Last year he come out with a new book, Zionism, Militarism, and the Decline of U.S. Power that continued his exposition. (For a short summary of such ideas about the ZPC, see here.)
Petras minces no words in this new book:
The lesson is clear: the rise of Judeo-fascism represents a clear and present danger to our democratic freedoms in the United States. They do not come with black shirts and stiff-arm salutes. The public face is a clean-shaven, neck-tied attorney, real estate philanthropist or Ivy League professor. But there is rising anger and hostility in American against the ZPC, against its arrogant authoritarian communal attacks on our democratic values, to say nothing of our national interests. Sooner or later there will be a major backlash—and it will reflect badly on those who, through vocation or conviction, engage in the firings, censoring and intimidation campaigns against the American majority. The American people will not remember their cries of ‘anti-Semitism’; they will recall their role in sending thousands of American soldiers to their death in the Middle East in the interests of Israel, and how that war has diminished the United States’ image in the world, to say nothing of its economic well-being and democratic freedoms at home.
Time will tell whether the American people will react as Petras suggests. But more to the point, will the American people swallow the current lies of Perle and his fellow neocons? There are two reasons they might. First, Jews have a long history of deception of non-Jews. MacDonald was being polite when he titled a chapter on the history of Jewish deception “Rationalization and Apologia.” Less charitable people might call it something else. In any case, we might suspect that Perle is simply engaging in a tried and true tactic of his tribe.
The second reason Perle et al. might succeed in deceiving the masses is that the bulk of American media is in the hands of Jews, most of whom, as Petras and others have shown, are highly sympathetic to the Zionist cause. Israel Shamir provides a reason why the transgressions of Perle and his fellow neocons may well go unpunished: “The rich Jews buy media so it will cover up their (and their brethren's) misdeeds.”
And for people who are not deceived by all this, there is little doubt that organizations like the ADL will step in to label as anti-Semites anyone who publicly states that neoconservatism is a Jewish cabal. Indeed, the ADL has already done so. As usual, such charges will keep public discussion of these issues to a minimum, and respectable politicians will be loathe to discuss the topic.
How the American people react to these brazen attempts by the Jewish neocons to whitewash their role in steering America on such a disastrous course will show their maturity and determination to get to the truth of the matter, or it will show their lack thereof. The proper response, of course, is to forcefully reject these outrageous lies.

Perle Conspiring With War Criminal William Kristol

Une guerre contre l’Iran serait un désastre, même pour les USA

traduction de Mecanopolis.org

Extraits des chapitres « conclusions» et «Postscriptum» du livre de Stephen Sniegoski: «The Transparent Cabal»

Ce livre a défendu la thèse que les origines de la guerre américaine contre l’Irak tournent autour de l’agenda de guerre américaine, dont les bases furent esquissées en Israël pour favoriser les intérêts israéliens, et que des néoconservateurs américains, amis d’Israël à l’intérieur et à l’extérieur du gouvernement Bush, firent avancer avec passion. Pour documenter cette affirmation, des preuves étendues furent produites dont beaucoup d’entre elles proviennent d’un document néoconservateur détaillé et compromettant. (p. 351)

L’influence des néoconservateurs fut avant tout démontrée par le fait que leur agenda de guerre se différencia radicalement de la politique traditionnelle américaine au Moyen-Orient, qui se concentrait sur le maintien de la stabilité régionale. La politique des neocons a par conséquent provoqué l’opposition de membres de l’élite traditionnelle dans le domaine de la politique étrangère/sécurité nationale. (p. 352)

Une partie fondamentale et plutôt tabouisée du sujet de ce travail est la combinaison intégrale d’Israël avec l’agenda de guerre néoconservateur. Les contours essentiels de cet agenda de guerre pour le Proche-Orient – à l’aide duquel la sécurité d’Israël devait être renforcée par la déstabilisation des voisins d’Israël – se profilèrent en grande partie dans la pensée du Likoud des années 1980. Des leaders neocons – Richard Perle, David Wurmser, Douglas Feith ‑ soumirent en 1996 au Premier ministre israélien Netanyahou un plan comparable, selon lequel les Etats-Unis auraient remplacé Israël dans son rôle de parti agresseur. Cependant, il y avait également une liaison israélienne lorsque l’Amérique s’achemina vers une guerre avec l’Irak, lorsque le gouvernement Sharon insista pour une attaque et favorisa l’idée d’une menace immédiate par les armes de destruction massives de Saddam. Plus tard, Israël aurait joué un rôle semblable en appuyant une ligne dure contre l’Iran.

Comme révélé dans cette étude, les néoconservateurs entretenaient d’étroits liens avec Israël et avaient indiqué, à l’occasion d’une série de manifestations, la sécurité d’Israël comme but de leur agenda de guerre pour le Proche-Orient. Mais ils insistaient sur le fait que les intérêts américains et israéliens concordaient et que le but fondamental de leurs recettes politiques consistait en un renforcement de la sécurité américaine. Afin de tirer au clair la justesse de cette affirmation des neocons, il est instructif d’évaluer les fruits de leur politique.

Principalement: dans quelle mesure un renforcement de la sécurité américaine a-t-il effectivement résulté de leur politique de guerre? Pour l’Amérique, les conséquences négatives de la guerre en Irak sont assez évidentes. Jusqu’à fin mars 2008, plus de 4000 Américains ont perdu la vie, le nombre de blessés dépassa 29 000, et on avait dépensé près de 490 milliards de dollars pour cette guerre.

Le total des coûts économiques de la guerre, auxquels n’appartiennent pas que les dépenses de guerre directes, mais aussi les effets de la guerre sur l’économie en général, était de loin plus élevé. Joseph Stiglitz, l’ancien président du conseil national des experts économiques, prix Nobel et professeur d’économie à la Columbia University, et Linda Bilmes, experte financière de l’Université de Harvard calculèrent dans leur livre intitulé «The Three Trillion Dollar War: The True Cost of the Iraq Conflict» [La guerre à trois billions de dollars: les coûts effectifs de la guerre], paru au début 2008, que le coût global de la guerre d’Irak se monterait à 3 mille milliards de dollars. (Cette estimation repose sur l’hypothèse que les Etats-Unis retireraient toutes leurs troupes d’ici 2012). Les coûts de la guerre ont déjà dépassé ceux de la guerre du Vietnam qui dura douze ans. Les auteurs font remarquer que la seule guerre des Etats-Unis qui coûta plus fut la Seconde Guerre mondiale. Ces coûts qui donnent le tournis ont déjà constitué un facteur important de la récession de l’économie américaine. (p. 352)

La guerre d’Irak n’a pas seulement aggravé le terrorisme, mais elle a aussi affaibli la puissance de l’Amérique dans le monde. Avant tout, cela a gravement nui à la position américaine au Proche-Orient. Richard Haass, le président du Conseil des relations étran gères, prétendit dans son essai «La fin d’une ère», paru fin 2006 dans Foreign Policy, que la guerre américaine contre l’Irak avait conduit à la fin du «primat américain» au Proche-Orient. (p. 354)

Les néoconservateurs voyaient la politique extérieure américaine à travers les lunettes des intérêts d’Israël, comme les Likoudniks ont défendu les intérêts d’Israël. Ils voyaient très probablement les intérêts d’Israël vraiment comme étant ceux de l’Amérique et ne se considéraient pas comme des gens qui sacrifiaient les intérêts des Etats-Unis en faveur d’Israël. Chez des individus orientés par une idéologie, l’automystification n’a rien d’extraordinaire.

Dire que les néoconservateurs tentaient de promouvoir les intérêts israéliens n’est cependant pas la même chose que de pré tendre que les néoconservateurs exécutaient les ordres du gouvernement d’Israël. Il n’y a pas d’indication qu’ils auraient reçu des instructions dans ce sens. Les positions des neocons et du gouvernement israélien se recoupaient dans bien des questions déci sives: concernant la guerre d’Irak; concernant la nécessité de liquider le pouvoir iranien; concernant la défense de l’Etat juif contre les Palestiniens. Dans les faits, la position des néoconservateurs concernant l’Iran – dans les années 1980 de façon bienveillante, ces dernières années de façon hostile – était totalement calquée sur celle d’Israël. Il semble cependant que quelques éléments importants en Israël affirmaient des opinions modérées et ne s’identifiaient pas à l’entier de l’agenda de guerre néoconservateur. C’est facile à comprendre. Avant 2001 déjà, il était patent que les neocons faisaient partie de l’aile dure des opinions israéli ennes, comme ils l’ont clairement affirmé dans leur papier «A Clean Break» publié en 1990, qui avait appelé le gouvernement likoud de Netanyahou de rompre avec le «processus de paix» du parti travailliste et d’adopter une attitude beaucoup plus agressive. Même le dur Netanyahou se distança de la mise en œuvre de leur ligne belliciste sans compromis. De même, le gouvernement Olmert s’abstint de suivre l’agenda néoconservateur lors de l’invasion du Liban en 2006. Apparemment la scène politique conflictuelle israélienne impose des limites à la marge de manœuvre d’un leader poli tique, de sorte que la mise en œuvre d’un programme politique devient très difficile. Malgré cela, il y a eu une relation évidente entre les neocons et des politiciens israéliens qui dépassait le simple échange d’idées. Des neocons n’étaient pas seulement proches de Netanyahou, mais encore de Sharansky, Dore Gold et dans une moindre mesure de Sharon. Ce qui est le plus significatif, et ça a été souligné dans tout le livre, c’est que l’agenda de guerre pour le Proche-Orient ne provenait pas du cerveau des neocons, mais qu’il reflétait la pensée des purs et durs du Likoud. Leurs idées fondamentales sur le nouvel ordre du Proche-Orient avaient été pensées pour l’essentiel en Israël pour faire avancer les intérêts israéliens. (p. 365 ss.)

Les preuves de la relation entre les néoconservateurs et les Israéliens avec la guerre des Etats-Unis au Proche-Orient sont renversantes et d’accès public. Il n’y eut pas de «conspiration» obscure et secrète, une expression moqueuse qui est souvent utilisée par des gens qui veulent railler la représentation d’une relation des neocons avec la guerre. Mais dans le domaine de la politique, comme le faisait remarquer George Orwell, « il faut un effort constant pour voir ce qui vous pend au nez ». On serait en droit d’espérer que les Américains, dans leur autoproclamé «pays des hommes libres», ne devraient pas craindre de discuter honnêtement des dessous et des motivations pour la guerre d’Irak et de la politique des Etats-Unis au Proche-Orient en général. Ce n’est qu’en comprenant la vérité que les Etats-Unis pourront peut-être prendre les mesures correctrices adéquates au Proche-Orient; à défaut d’une pareille compréhension, la catastrophe se rapproche de façon inquiétante.

Pour créer une politique moyen-orientale dans l’intérêt des Etats-Unis et de leur population, il est apparemment essentiel d’avoir une vue claire de la situation. Des individus qui dans leurs analyses se trompaient complètement, comme c’était le cas pour les néoconservateurs dans leurs prises de position publiques, ne devraient pas participer à l’élaboration de la politique dans ce domaine. Par ailleurs, l’axe principal de la détermination d’une pareille politique devrait être mis sur les intérêts des Etats-Unis, sans interférence des intérêts d’autres pays. Des individus, ayant des relations étroites avec des Etats étrangers, ne devraient pas participer à l’élaboration de la politique américaine dans des domaines qui concernent les intérêts de ces Etats. C’est un conflit d’intérêts évident. Aucune de ces affirmations ne signifie que les Etats-Unis ne doivent pas réfléchir à la moralité internationale – étant entendu que tous les pays doivent être mesurés à la même aulne – mais on ne peut pas attendre des Etats-Unis qu’ils poursuivent une politique qui renforcerait la sécurité de certains pays étrangers au détriment de leurs propres intérêts. Un pareil principe de base devrait être valable pour Israël comme pour tous les autres pays. Lorsqu’il devient évident que les intérêts des Etats-Unis sont sacrifiés au profit d’un autre pays, des Américains ne devraient pas se laisser dissuader de démontrer cela. La survie à proprement parler des Etats-Unis et de leur population pourrait en dépendre. (p. 372 ss.)

Rien ne garantit l’application d’une guerre contre l’Iran ni les aspects complémen­taires de l’agenda de guerre des néoconservateurs. Cependant, au vu de la rhétorique qui s’exprima au printemps 2008, une pareille guerre parut être une possibilité indubi table du gouvernement Bush à son déclin. Vu la position de dur de McCain et de sa proximité des neocons, il apparaît que la probabilité d’une guerre contre l’Iran serait encore plus grande s’il était élu. Et un pareil engagement ne pourrait pas non plus être exclu sous Obama ou Clinton malgré leur critique de la guerre de l’Irak. On peut dire avec certitude que – bien que la politique moyen-orientale des neocons a une longue histoire – cette poli tique, et les neocons eux-mêmes, sont loin de devenir de l’histoire. (p. 382)
Source : Stephen J. Sniegoski. The Transparent Cabal. The Neoconservative Agenda, War in the Middle East, and the National Interest of Israel. Norfolk Virginia 2008. ISBN 978-1-932528-17-6
Traduction : Horizons & Débats


Israeli-firsters and the "Clean Break" agenda

Galloway contre Perle


Feith, Ledeen, Kristol, Kagan et le népotisme néocon

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La sécurité nucléaire au coeur du scandale d'espionnage à l'AIPAC