Internet – Racisme : une première rencontre positive entre la LICRA et Facebook
Vendredi, 31 Juillet 2009
La LICRA et l’INACH, réseau international contre la haine sur Internet, saluent la réaction positive de Facebook à la suite de la lettre ouverte qu’elles ont adressée le 23 juillet dernier à son directeur général, Mark Zuckerberg, concernant la politique de l’entreprise américaine en matière de contenus négationnistes sur Internet.
En effet, à l’occasion d’une rencontre organisée à Paris le 28 juillet 2009 à l’initiative de Facebook et en présence de Richard Allan, Policy Director de Facebook pour l’Europe, et de Damien Vincent, responsable Facebook France, les deux ONG ont pu directement expliquer à Facebook en quoi le négationnisme constitue en soi un discours haineux et une facette de l’antisémitisme.
La LICRA et l’INACH ont ainsi rappelé à Facebook qu’en conséquence, l’accès à tous les groupes niant l’Holocauste devrait être bloqué dans l’ensemble des pays, quelles que soient leurs législations nationales. Au surplus, Facebook se mettrait de cette façon en accord avec sa propre Déclaration des Droits et Responsabilités.
La LICRA et l’INACH ont bon espoir que Facebook, qui s’est engagé à apporter rapidement une réponse constructive, décidera sous peu de modifier sa politique et refusera à l’avenir de contribuer à la propagation du langage de haine que constitue le négationnisme.
Is Facebook an Israeli plot to control the world?
Palestinians complain they have an extremely difficult time on Facebook. Do they join the Zionist entity and engage in "normalization" or do they go to the Arab alternative, Berqabook?
I HAVE my own tribulations with Facebook. I have been booted from the worldwide entity twice! Coincidence? The first time, I was writing criticism of the Israeli government. The second time, just this past week, I was writing criticism of the Israeli government. (Actually, I always write criticism of the Israeli government, but so what?) Immediately after and without notice, Facebook shut my account and my 1,363 "friends" vanished off my computer "facescreen" like "born again Christians" scooped up in the rapture. (That's where Evangelical Christian supporters of Israel turn on the Jewish state and read the fine print that if Jews don't convert to Christianity, they get punished like the Muslims.)
I am slowly working my way back from "Ground Zero" and no friends to recovery. I know have 124 "friends as of this writing." What I am learning is that I now have 1,363 people who were once "friends" and who are now angry at me, thinking that I "de-friended" them. Oops! (De-friending someone to a Facebook-nick is like anti-Semitism to a Jew.) About 911 of those former "friends" are Arabs, mostly relatives. (Yes, "Hanania is my last name" has a group on Facebook.) It includes the 15 Saudis whom I don't know but who asked to be my "friend" using a library computer at Guantanamo.
But de-friending 896 relatives and Arabs is the quintessential definition of Jeeeehad! I'll never make my "fourth wife" goal at this rate.
SO I HAVE to slowly re-friend people, one-by-one, cursing my Zionist entity nemesis, "Maaaark Zuuckerberg!" Worse in all this is the jolt to my ego. I went from 1,363 "friends" to zero friends, reminding me that no matter where I live, I am little more than a Palestinian refugee in a harsh and insensitive world of YouTube videos, Twitter and podcasting. (read the rest...)
03 juil 2009
Les faux amis de Facebook
Soumis par : Monique Crépault à 9:42 AMEnquête de la commissaire à la protection de la vie privée - Facebook contrevient à la loi canadienne
L'entreprise peut conserver indéfiniment les données personnelles d'un abonné qui désactive son compte
22/07/09
Internet – Un champ de bataille. Après, que faire?
Il devient de plus en plus évident que l’Internet est en passe de se transformer en un véritable champs de bataille. Un espace virtuel, mais une guerre réelle. La blogosphère dérange, les échanges d’idées et d’information s’effectuent en temps réel, dépassant le filtre des médias traditionnels. C’est une guerre de l’information.
Les exemples sont nombreux, mais allons-y avec quelques-uns.
On apprenait cette semaine qu’un nouveau projet de loi déposé à Ottawa vise à octroyer plus de pouvoir à la police et aux agents du renseignement (SCRS) pour surveiller et espionner l’Internet en leur permettant l’écoute et l’interception électronique de communications sur Internet ainsi que la collecte d’informations personnelles sur les utilisateurs. Selon ce nouveau projet de loi annoncé par Peter Van Loan, le ministère de la sécurité publique, les fournisseurs de services Internet (ISP) pourraient se voir obligé de partager les données concernant la consommation d’un client, ce qui les pousserait donc à stocker ces informations pour tous leurs clients, en tout temps.
«Ça voudrait donc dire qu’on serait surveillé, en quelque sorte, en tout temps,» expliquait au Globe and Mail Richard Rosenberg, président de la B.C. Freedom of Information and Privacy Association, une association de défense de la vie privée et de la liberté d’information basée en Colombie-Britannique.
Un autre projet de loi introduit par Nicholson exigerait entre autre: Que les forces policières puissent obtenir des données de transmission (informations sur le routage) qui est envoyé ou reçu via le téléphone ou l’Internet si autorisé par un mandat.
Des compagnies de télécommunications de garder les données relatives à des communications spécifiques ou abonnés si ces informations sont nécessaires à une enquête et demandé par une ordonnance.
De permettre à la police d’activer à distance des dispositifs de repérage qui sont inclus dans certaines voitures et autres bidules électroniques tels que les téléphones cellulaires.
Le même type de loi permettant la surveillance de l’Internet sont en place dans plusieurs autres pays. En Angleterre, il s’agit du Regulation of Investigatory Power Act de 2000. Aux États-Unis, le USA PATRIOT Act de 2001 donnait de l’expansion aux surveillances électroniques de l’Internet qui sous l’administration Bush, autorisait la National Security Agency (NSA) à le faire sans mandats. Le Protect America Act de 2007 et le FISA Amendments Act de 2008 augmentaient encore plus ce pouvoir. En Australie, le Surveillance Devices Bill de 2004 et le Intelligence Services Act de 2001 donnent à peu près les mêmes pouvoirs aux autorités australiennes et leurs services du renseignement. En Nouvelle-Zélande, c’est la même histoire avec le Search and Surveillance Powers Bill qui a été introduit en septembre 2008. En Suède, le parlement a approuvé de nouvelles lois permettant les services du renseignement de filtrer les appels internationaux, les fax et courriels sans ordre de la cour.
Facebook qui compte presque que 12 millions d’utilisateurs au Canada seulement et environ 250 mondialement, ne se gêne pas pour violer la vie privée de ses abonnés. On accumule vos données personnelles et les garde de façon indéfinie, même si vous fermez votre compte. Toutes ces informations personnelles deviennent la propriété de Facebook et seront partagées avec un million de fournisseurs tiers, sans compter la CIA.
La stratégie de cyberdéfense d’Obama
Aux États-Unis, un plan pour créer un poste de commande de la cyberespace sous le contrôle du Pentagone menace le droit à la vie privée et soulève de nombreuses inquiétudes diplomatiques. L’administration Obama soutient qu’elle veut protéger la nation de cyber-attaques et va de l’avant pour se préparer pour de possible opérations offensives contre des réseaux d’ordinateurs adversaires. Le Pentagone au contrôle d’un poste de commande d’intervention sur l’Internet. Tout ce qui a de plus rassurant. Les libertés civiles sous la responsabilité militaire du Pentagone et de ses contractants privés du secteur militaro-industriel.
Le futur de la censure sur Internet
Nous connaissons tous la censure de l’Internet par le régime communiste chinois. Mais l’Australie vient de nous donner un autre aperçu de ce que sera le futur de la censure sur Internet. Le gouvernement australien vient de produire une liste de 1 370 sites Internet bannis. Présentement, il s’agit d’un projet pilote volontaire auquel les fournisseurs d’Internet peuvent se soumettre. Mais si l’expérience est concluante est qu’ils en fassent une loi, quiconque mettra un lien sur son site vers l’un de ces sites interdits par la liste noire du gouvernement sera passible d’une amende de $11 000 par jour. Non seulement il sera un crime de reproduire le contenu d’un site Internet interdit, mais même le simple fait de reproduire son adresse le sera.
Ce n’est pas uniquement similaire à l’interdiction de certains livres. C’est comme interdire des livres et interdire de prononcer leur titre. Cela représente beaucoup d’interdictions. Mais voici la partie tortueuse: le gouvernement ne va même pas dire quels sont les sites interdits! C’est un secret. Alors, il existe 1 370 sites Internet qui pourraient résulter en une poursuite judiciaire contre vous si vous vous trouvez en Australie, mais vous ne pourrez pas savoir lesquels jusqu’à ce que vous tombiez sur l’un d’eux.
La police de la pensée
Le Ministre des affaires étrangères d’Israël a annoncé la création d’une nouvelle police de la pensée pour mener une guerre sur l’Internet. Le gouvernement va commencer à payer des anciens militaires et autres jeunes pro-israéliens parlant différentes langues pour se promener sur différents sites, blogs et forums sur Internet et ainsi influencer les débats en faveur d’une image positive d’Israël. L’establishment lui donnera le nom «d’escadron de guerre Internet». Cela va probablement par leur sauter en plein visage comme un vieux pétard parce que la blogosphère va maintenant simplement assumer que TOUS les commentaires pro-Israël sont de la propagande payée. Il faut contrôler la pensée, criminaliser certains segments de celle-ci, intimider. On va même chercher à criminaliser les comparaisons entre les israéliens, sionistes et juifs avec les nazis.
Peu à peu, la police de la pensée s’installe. C’est sur Internet que cette guerre va bientôt faire rage. Vous êtes sur le champ de bataille, avec vos pensées, votre ordinateur et vos données privées. Plus rien ne vous appartient, tout pourra être retenu contre vous. On commence par criminaliser certaines choses, puis peu à peu, c’est la dissidence politique et la critique du gouvernement qui deviendra un crime. C’est le gouvernement et les militaires qui vous dicteront ce qui est permis de penser et ce qui ne le sera pas. À moins qu’on renverse la vapeur et qu’on réalise qu’Internet est le dernier vrai bastion de la liberté au sens large et de la liberté d’expression en particulier.
Zuckerberg, Rothschild, Sandberg : les milliardaires de Facebook
Elgrably-Lévy suggère aux boycotteurs d'être cohérents
The Jewish hand behind the Internet: Google, Facebook, etc.
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Cyber-tactics gain growing importance in Israel's warfare
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That commenter on your blog may actually be working for the Israeli government
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Verint alias Comverse Infosys, paravent du Mossad