Toronto's Madoff, Tzvi Erez alledgedly swindles $27 million in
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Report alleges Ponzi scheme
Businessman well-known in Jewish community
Another North American Jewish community rocked by Ponzi scheme
By Haaretz Service
Members of Toronto's Jewish community have lost more than $27 million in a Ponzi scheme perpetrated by one of its own members, Canada's National Post newspaper reported on Tuesday.
The alleged fraud involving 76 high-profile investors came to light after a small printing plant in the Richmond Hill section went bankrupt.
The scheme was allegedly run by Tzvi Erez, 42, a prominent community member who owned the small print shop and claimed he was brokering large jobs for blue-chip clients, according to two of his alleged victims who spoke to the National Post.
The victims told the newspaper that Erez approached them through intermediaries for cash advances on orders and allegedly promised to return the original investment plus interest fees of 30% once he delivered the printed orders to his clients.
The report, however, quotes a court-appointed official as saying there were no large orders, and that between Jan. 25, 2007 and Feb. 17, 2009, $38.9-million went through eight different bank accounts in Canada that belonged to Erez or one of his companies.
Erez is a master pianist who launched his own label in memory of his brother, killed in 2000 during a heist at a jewelry store where he worked, the National Post reported.
Erez moved to Canada from Israel as a teenager and studied at the Community Hebrew Academy. He is married with two children, and, until recently, lived in a home worth more than $1.3-million in Toronto. The home was seized by authorities last summer.
According to the National Post, Erez's stepfather, Leo Erez, was approached by creditors - and a local rabbi - in a bid to settle the dispute before it hit the courts, according to a lawyer who handles several claimants.
A bankruptcy order has been issued against Erez personally and all of his companies.
Un autre Madoff en Afrique du Sud : il s'appelle Tannenbaum.
Quand sa banque l'a appelé le 29 mai, Howard L. a alors compris : "Ils ne parvenaient pas à encaisser le chèque de Barry Tannenbaum", raconte ce comptable sud-africain. "Certes, le profit qu'il me garantissait était élevé, mais je n'avais aucune raison de m'en faire, c'est un ami, un type bien avec une bonne réputation", confie-t-il, s'avouant aujourd'hui "très déçu". Prêteur de 90 000 euros, il fait partie des victimes de l'homme d'affaires sud-africain Barry Tannenbaum, qui pourrait être l'auteur de la plus grande fraude de l'histoire du pays. Révélée par la presse locale, cette escroquerie porterait sur un montant situé entre 10 et 15 milliards de rands (900 millions à 1,3 milliard d'euros). "Environ 400 personnes ont été lésées, surtout en Afrique du Sud, mais aussi aux Etats-Unis, en Australie et en Europe", affirme Eric Levenstein du cabinet d'avocats Werksmans, qui représente six victimes. Barry Tannenbaum importait des composants pharmaceutiques de l'étranger avant de les revendre à des fabricants de médicaments génériques locaux, principalement des antirétroviraux destinés à des malades du sida. Au lieu d'emprunter de l'argent aux banques, l'homme âgé de 43 ans faisait appel à des investisseurs privés en leur faisant miroiter, à l'aide - semble-t-il - de deux avocats de Johannesburg, des versements d'intérêts de l'ordre de 15 % à 20 % au bout de trois mois. A la date d'échéance, le prêteur pouvait choisir de récupérer sa somme ou de la réinvestir. CHAÎNE DE PONZI Ce fils d'un fondateur d'une grande firme pharmaceutique nationale aurait utilisé le même schéma que le financier américain Bernard Madoff arrêté fin 2008, c'est-à-dire une chaîne de Ponzi fonctionnant selon le principe de "déshabiller Pierre pour habiller Paul". L'argent frais versé par les nouveaux investisseurs servait ainsi à payer les gains des prêteurs les plus anciens. Un magazine sud-africain évoque un cas d'un retour sur investissement de 216 % sur un an. La société de M. Tannenbaum était bien réelle, mais celui-ci aurait falsifié des commandes des entreprises pharmaceutiques pour les gonfler, et rassurer ses investisseurs sur la viabilité du projet lors de retards de paiement. La bulle spéculative a toutefois fini par éclater il y a quelques semaines quand une majorité de prêteurs, touchés par la crise, a massivement choisi de se désengager. Les agences de régulation du pays pourraient aussi être mises en cause. Un rapport bancaire sur des mouvements de fonds suspects aurait été rédigé dès 2007. |
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