Éric Duhaime, qui était le directeur du programme des partis politiques pour
un organisme sans but lucratif, devait préparer les élections du 25 juillet au
Kurdistan et les élections générales attendues en janvier 2010.
Professeur de démocratie en Irak
(lire le reste ici)
VIDEO - Geert Wilders: Most Dangerous Man in Europe? (BBC 2, 2011)
À l'inverse de Geert Wilders qui revendique son affiliation au Mossad, Duhaime préfère ne pas trop nous rappeler son passé récent...Éric Duhaime est-il un agent de la CIA? La question se pose
Éric Duhaime, un individu dangereux À lire
Le caractère fétiche d’Éric Duhaime et son secret*
Éric Duhaime, qui est à la tête du mouvement Réseau Liberté-Québec (équivalent québécois du Tea Party) a des liens avec la CIA et a travaillé pour elle, en travaillant pour le National Institute for Democracy (NDI) et le National Endowment for Democracy (NED). Il travaille toujours pour la NDI.
D'après Wikipedia:
Éric Duhaime a passé plus d’une décennie à travailler comme conseiller politique pour différents chefs de partis à Ottawa et à Québec, notamment pour Stockwell Day (du temps de l'Alliance Canadienne) et Mario Dumont (de 2003 à 2008, alors que celui-ci dirigeait l'Action Démocratique du Québec) et Gilles Duceppe[5]. Il a également travaillé pour l'Institut économique de Montréal, un think tank d'obédience néolibérale[6].Brève présentation de la nébuleuse de la NED par Jules Falardeau dans Sotchi, LGBT et nouvelle guerre froide.
Éric Duhaime est directeur résident pour les programmes des partis politiques et directeur pour l'Irak pour l'ONG américaine National Democratic Institute (NDI), un organisme satellitaire de l'ONG New Endowment for Democracy. Au cours des dernières années, il a travaillé à apporter une assistance technique dans différents pays en transition démocratique, principalement en Irak, au Maroc et en Mauritanie. Il a été nommé récemment par le gouvernement canadien sur un panel de conseillers devant mettre en place une « nouvelle agence non partisane de promotion de la démocratie » avec Thomas Axworthy, Leslie Campbell (également membre du NDI) et la sénatrice Pamela Wallin[5].
Plus récemment Éric Duhaime a participé à la fondation du Réseau Liberté-Québec, un mouvement d'inspîration libertarienne prônant un renouveau du conservatisme et du nationalisme de la droite au Québec[4].
VIDEO - Duhaime pourfend l'Antisémitisme et l'Homophobie des musulmans "intégristes" (1:53), mais tolère qu'on chie sur les Noirs et les étudiants qui manifestent...
Par Éric Duhaime - 21 janvier 2011
Un mois après avoir manifesté pour le boycott de la boutique Le Marcheur sur la rue St-Denis à Montréal parce que 2% des chaussures vendues proviennent d’Israël, le député Amir Khadir s’attire maintenant les foudres méritées de toute la classe politique.
Samedi dernier, Marlene Jennings (PLC), Marc Garneau (PLC), Lawrence Bergman (PLQ) et François Bonnardel (ADQ) défiaient les manifestants campés devant la boutique pour aller s’acheter des souliers en soutient au propriétaire, M. Yves Archambault.Dans les jours précédents, Steven Blaney (PC), Martin Lemay (PQ) et Gérard Deltell (ADQ) avaient également visité le commerce en vue d’appuyer le marchant boycotté.PQ-BQCette semaine, Pauline Marois, écrivait une lettre à la communauté juive québécoise pour dénoncer fermement les actes de vandalisme perpétrés ces derniers jours contre des institutions juives montréalaises. Elle en profite pour «réitérer le refus du Parti Québécois de soutenir une quelconque forme de boycott, économique ou autre, de l’État d’Israël.» Dans une démarche similaire, hier, Gilles Duceppe tenait à souligner son «appui au propriétaire de la boutique Le Marcheur, M. Yves Archambault.»Tout cela survient après que les trois principaux quotidiens de la métropole aient, via leurs chroniqueurs ou éditorialistes, condamné le fanatisme et le manque de jugement de l’unique député de Québec solidaire.Une telle unanimité en appui aux ententes de coopération et de libre-échange avec l’État d’Israël eut été impensable il y a à peine quelques années.Le Québec évolue dans sa perception de la réalité du conflit israélo-palestinien et Amir Khadir pourrait bien être le premier à en payer le prix s’il ne réajuste pas son tir.SENSIBILISATIONSi à une certaine époque la condamnation gratuite d’Israël était de bon ton, force est de constater que le lobby palestinien doit faire preuve de plus de perspicacité pour obtenir aujourd’hui une oreille attentive des Québécois. [NOTE: MAIS SUR QUELLE PLANÈTE VIT-IL CE DUHAIME?]Nous réalisons, après la crise des accommodements raisonnables et l’observation de la montée de l’islamisme en Europe, qu’Israël défend souvent les valeurs occidentales qui sont les nôtres et demeure notre dernier rempart au Proche-Orient.Les campagnes malhonnêtes d’une gauche radicale contre un état avec lequel on retrouve des atomes crochus n’iront nulle part. L’échec de la conférence de boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) contre Israël organisée par certains syndicats, tenue à l’UQAM en octobre dernier, en témoigne.DOGMATISMEOn peut certes éprouver de la sympathie pour le peuple palestinien voulant se doter d’un état souverain, sans diaboliser nécessairement Israël. Comme on éprouve également beaucoup de compassion pour les Kurdes en Syrie, les Coptes en Égypte ou les Chrétiens en Irak. [ERIC, ISRAEL TON AMI EST RESPONSABLE DE CETTE GUERRE EN IRAK ET DE CES MORTS CHRÉTIENS SUR LE DOS DESQUELS TU SEMBLES IRONISER.]La gauche radicale au Québec doit prendre acte de la nouvelle sensibilité québécoise sur cette question et cesser son grotesque dénigrement de l’état juif. [LA NOUVELLE SENSIBILITÉ EST ANTI-ISRAEL ET TU AS PEUR DE L'ADMETTRE. KHADIR EST POPULISTE ET LE PEUPLE QUÉBÉCOIS N'EST PAS PRO-ISRAEL COMME TOI]Quant à Amir Khadir, il ne peut rien faire d’autre que s’excuser dès maintenant à Monsieur Archambault et à l’ensemble des Québécois pour son activisme. S’attaquer à un honnête commerçant au nom de son dogmatisme idéologique est totalement inacceptable. Les Québécois sont en droit de s’attendre à beaucoup mieux de la part de leur politicien le plus populaire.
LES SOULIERS D’AMIR
Par le troufion de Éric Duhaime - 17 décembre 2010Amir Khadir s'explique à propos du Boycott d'Israël (vidéo)
"Quebecor et ses chroniqueurs sont à la botte du lobby sioniste, ce qui fait que toute opposition aux crimes de l’état israélien doit être muselée ou remise à sa place par Quebecor et ses mercenaires pseudo journalistes grassement payés." SOURCE: Nouvelle campagne d’insultes de Quebecor contre la gauche et Amir Khadir
The boycott of a Montreal shoe store that sells Israeli shoes has been suspended because a radical group wants to take part in the campaign.
Amir Khadir: Conference on the boycott, divestment and sanctions campaign (BDS) against Israeli occupation
Vu sur un blog anglophone --
Shoe boycott in Montreal: Muslim Attempts To Turn Montreal Into Nazi Shithole
Qui est Geert Wilders?
Maître de l'islamophobie européenne, le sioniste Geert Wilders est un grand ami du néocon juif Daniel Pipes:
Pourquoi je suis du côté de Geert Wilders :: Daniel Pipes
Why I Stand with Geert Wilders :: Daniel Pipes
VIDEO - Guy Millière et Daniel Pipes [néocon juif anti-Islam] à la synagogue de Neuilly
Comparez avec...
VIDEO - Marine Le Pen financée par Israël
The Tea Party’s Emerging Zionist Face
Glenn Beck (FOX) –”Islam is the Anti-Christ”
Europe’s Extreme Righteous Far-right European politicians find love—and common cause—in Israel
Europe far right courts Israel in anti-Islam drive
VIDEO - Islam Bashing en Europe, la télé américaine relate la concrétisation du projet juif de Conflit des civilisations
Marine Le Pen dans Israël Magazine
Qu'elle fasse 5 ou 25% en 2012 ... cela ne changera rien de toute façon, puisque que comme en 2002, avec son père, au second tour, nous assisterons à l'union des démocrates pour barrer la route au FN.
Ha'aretz, Jan 7, 2011:
The Daughter as "De-Demonizer"
"Prasquier’s fears are even more profound: “The circle of her voters is liable to be joined by Jews who are disappointed by Sarkozy, who bear a grudge against him for intervening in the peace process and for the pressures he is applying to Prime Minister Benjamin Netanyahu,” he says. Actually, Le Pen has already managed to forge ties with the Kahanists in France, members of the Jewish Defense League, who consider the leaders of the community “traitors who deserve to die.”"
À LA GAUCHE DE DUCEPPE
Par le connard Éric Duhaime - 15 février 2011
anvier 23, 2011
L’extrême-droite se joint au PAJU devant « Le Marcheur »
En dépit de l’indignation généralisée contre la campagne de boycott de la boutique « Le Marcheur » pour sa vente de chaussures israéliennes, le PAJU est revenu hier après-midi piqueter devant le magasin d’Yves Archambault. Par contre, ses militants ont trouvé une vingtaine de contre-manifestants sur les lieux venus exprimer leur soutien à M. Archambault et à sa famille, et ont donc été contraints d’installer leur banderole en marge de l’entrée du magasin.
Les extrêmes s’attirent
Signe de la marginalité des boycotteurs anti-Israël, le militant d’extrême-droite Jean-Roch Villemaire est venu prêter main forte au PAJU. Villemaire est le fondateur du Mouvement Nationaliste Révolutionnaire Québécois, dont le manifeste publié sur le site vigile.net énonce « qu’ il brisera l’échine de l’idéologie sioniste et de ses avatars politiques, pour rendre le pouvoir au peuple québécois ». Admirateur de dirigeants de l’extrême-droite xénophobe européenne tels Jean-Marie Le Pen et Jörg Haider, Villemaire a notamment volé des pancartes électorales unilingues anglaises et vandalisé l’enseigne de l’organisme West Quebecers, une organisation anglophone à Gatineau, en 2009.
Un autre boycotteur a pris à partie un jeune homme venu appuyer la boutique en raison de la couleur de sa peau. « T’es pas de la même couleur de peau que moi », lui a lancé l’individu, » moi, ma peau est blanche ». Curieux propos pour quelqu’un venu dénoncer un prétendu apartheid.
Vincent Marissal écrivait dans La Presse au début de la controverse soulevée par la participation d’Amir Khadir au boycott de la boutique que « le danger avec ces mouvements, c’est que l’on sait où ça commence, mais on ne sait pas toujours où ça finit ». Hier après-midi, nous avons vu où aboutissent ces campagnes fondées sur le mensonge et le harcèlement.
Mathieu Turbide signe deux articles sur les incidents d’hier dans le Journal de Montréal: « L’extrême-droite avec l’extrême-gauche ? » et »Deux groupes s’affrontent« .
Monday, 31 October 2011
Quebec-Israel Committee's Islamophobia on rue St-Denis
Contributor: "PAJU"From a joint press conference held on October 25 by Palestinian and Jewish Unity (PAJU) and the Montreal Chapter of Independent Jewish Voices (IJV)
MONTREAL: On Saturday, October 22nd, PAJU members were gathered, as we have been doing every week for over a year, on St-Denis Street in front of the Naot shoe store which sells Israeli shoes produced in the occupied Palestinian territories. Our objective is to distribute information in order to raise awareness about the conditions under which Palestinians are forced to live and to propose concrete actions that citizens can undertake in solidarity with the Palestinian people.
Everything was going as usual until three masked men, wearing burkas and imitating women`s voices, presented themselves at our picket line. The men were carrying placards calling for the death of Israel.
You can see the footage of the event on the internet.
The men strategically placed themselves beside us to give the impression that they were standing with us. They screamed things like ''Death to Israel'' and they clearly targeted some of the Palestinian and Muslim members of our group by screaming things like ''he supports Hezbollah''.
These disgraceful acts are nothing more than an expression of hatred against Muslims and display contempt for Muslim women. The men in question obviously intended to express, by way of this ''parody,'' that all Muslims are fundamentalists, all Muslims mistreat women and all Muslims inherently wish the death of Israel.
Moreover, one of the more disturbing elements of this disgraceful act concerns the fact that those who were with them from the Quebec-Israel Committee and from the Réseau Liberté-Québec, and who regularly come to counter our action, were laughing and seemed highly amused as if this were simply some kind of funny street theater skit. In fact, this was without any doubt the obscene expression of xenophobic hatred of Muslims and Arabs in general.
The men also shouted racist epithets at a Palestinian member of PAJU by screaming things like "F..g Arab" and ''He`s Muslim; he`s Hezbollah''.
This was nothing more than a malevolent attempt to demonize and deform the figure of Muslims in Quebec society. The provocative nature of this Islamophobic ‘’theater’’ leads one to see in it a strategy meant to escalate confrontations with Quebec pacifists working for a peace with justice in Palestine and against initiatives for cooperation between Jews, Muslims and Arabs.(...)
Lavage de cerveau anti-musulman: dites 'NON à l'intolérance religieuse'
Aujourd'hui, j'ai entendu au moins sept fois des présentateurs télé référer aux musulmans comme des extrémistes islamiques.
La quantité et l'importance de ce genre de manoeuvres de suggestions frauduleuses augmente presque chaque jour.
Je l'appelle frauduleuse parce que l'auditoire qui entend à répétition cet amalgame entre musulmans et extrémistes subit un lavage de cerveau et finit par penser que tous les musulmans sont des extrémistes.
De telles références à des extrémistes islamistes est souvent faite sur Fox News par Glenn Beck, Bill O'Reilly et Sean Hannity.
Un titre sur MMTV affirme que "O'Reilly soutient les audiences du représentant King portant sur l'islamisme extrémiste: "Il faut savoir la maîtriser". Les mots extrémistes islamiques ont infecté le Congrès américain.
Pendant des années, depuis qu'il est à CNN, Glenn Beck a fait de fausses déclarations extravagantes, comme par exemple «l'extrémisme islamique est la plus grande menace pour notre mode de vie depuis la Seconde Guerre mondiale et nous ne serons jamais capables d'y résister - si nous pouvons le voir. "
Or, comme propagandiste en chef de FOX, Glenn Beck implique l'aile gauche américaine dans sa vision paranoïaque: «Croyez ce que vous voulez, mais la gauche travaille main dans la main avec les Frères musulmans et les extrémistes musulmans ... main dans la main." ...
Sean Hannity n'est pas bien mieux, en disant des choses comme, "Il me semble que l'extrémisme islamique est la grande menace au 21e siècle que (le communisme) représentait au siècle dernier ..."
Des références islamophobes semblables ont été entendues sur CNN, ABC, CBS, NBC et d'autres réseaux aux États-Unis. Même les journalistes de la chaîne très libérale MSNBC se sont avérés coupables d'avoir amalgamé l'Islam avec l'extrémisme.
L'Associated Press dit: "Un rapport du Sénat sur le tournage de Fort Hood a fortement critiqué l'incapacité du FBI à reconnaître les signes d'alerte qu'un psychiatre de l'armée était devenu un extrémiste islamiste ..."
Les fous qui commettent des massacres gratuits doivent-ils être identifiés selon leur appartenance religieuse? Si oui, pourquoi les tueurs de Columbine et celui de l'Arizona évoqué récemment n'ont-ils pas été identifiés comme des extrémistes chrétiens? [note du traducteur: les tireurs de Columbine étaient juifs, pro-juifs et fanatiquement anti-nazis. La tuerie de Columbine était un geste haineux anti-chrétien: en effet ils associaient les peuples chrétiens européens aux nazis.]
Mais c'est en supposant qu'ils étaient chrétiens. Les médias semblent intéressés à faire le lien avec l'appartenance religieuse seulement lorsque le tueur fou se trouve également être un musulman.
Un comité du Sénat, présidé par Joe Lieberman, a affirmé que "L'ennemi - les extrémistes islamistes - doivent être étiquetés correctement et explicitement ... pour que les militaires luttent contre l'extrémisme."
Récemment, en commentant les manifestants en Egypte, plusieurs journalistes ont visé les Frères musulmans comme étant des extrémistes.
Le professeur Sami Hamod dit que les Frères musulmans étaient à l'origine un instrument des États-Unis. Comment peuvent-ils être des extrémistes?
Il semble que les membres des groupes opposés à l'ingérence des États-Unis au Moyen-Orient se font étiqueter d'extrémistes islamiques.
Les Palestiniens qui cherchent à protéger leurs biens se font qualifier d'extrémistes musulmans, même quand ils sont chrétiens.
Pour les radiodiffuseurs de l'Ouest, tous les membres du Hamas et du Hezbollah sont automatiquement qualifiés d'extrémistes islamistes.
La population entière de l'Iran semble avoir été qualifiée d'extrémistes islamiques parce que l'Iran refuse de suivre derrière Israël et les États-Unis.
La Syrie et le Liban, en dépit de leurs populations non-musulmanes, ont été qualifiés d'extrémistes islamistes, car ils n'ont pas pu signer de traité de paix avec Israël.
Les soi-disant extrémistes islamiques ont forcé le roi de Jordanie à quitter son cabinet. Au Yémen, ils ont poussé Ali Abdulla Saleh à annoncer qu'il ne se présenterait pas pour une réélection. Les deux cas sont évidemment destinées à éviter les rébellions populaires.
Malgré le fait que Hosni Moubarak et Zine El Abidine Ben Ali, le président de la Tunisie qui vient de quitter ses fonctions, aient été deux dictateurs haïs du public, les rébellions ont été perçues comme étant l'oeuvre de terroristes islamiques.
Récemment, Tony Blair a mis en garde l'Occident qu'il doit renoncer à sa "misérable posture excusant" l'extrémisme islamique.
Présentateurs, journalistes, commentateurs, politiciens et dirigeants, infectés par l'intolérance religieuse, ont besoin urgent d'une cure de désintox.
Copyright @ Paul J. Balles
Joseph Facal: « l’engagement de Khadir dans cette affaire a attiré l’extrême droite »
Le merdier
Joseph Facal, 31 janvier 2011, Journal de Montréal
(Extrait)
Allez faire un tour sur le site du MNRQ. On y dénonce «les parasites» et les «représentants des intérêts étrangers». Les Québécois seraient «les jouets des lobbies étrangers». Il faut remplacer le «droit du sol» par le «droit du sang» et défendre l’«ethnicité» du Québec. Le capitalisme maintiendrait notre nation dans un «esclavage» qui exigera des «luttes violentes» de libération.
Le MNRQ se dit nationaliste, socialiste et révolutionnaire, exactement comme les chemises brunes de jadis, mais il a la «finesse» de ne jamais évoquer Hitler. Les textes contiennent cependant tous les mots clés, tous les codes langagiers de l’extrême droite. Cliquez sur les onglets Musique, Milice ou Légion : voyez le choix des couleurs, le lettrage gothique, l’iconographie utilisée. Tout y est. N’y verront que du feu ceux qui n’y connaissent rien ou ceux qui font de l’aveuglement volontaire.
Allez ensuite écouter les entrevues données par Amir Khadir la semaine dernière aux émissions de Benoît Dutrizac et de Christiane Charrette. Il dit lutter contre «un des lobbies les plus puissants». Le commerçant, lui, «fait partie d’un ensemble». Il dit à Dutrizac de ne pas se laisser «aveugler par les millions de dollars». Il loue aussi «l’intelligence» et le «courage» des militants du PAJU, dont la charte réclame un État palestinien, mais ne dit rien sur le droit d’exister d’Israël. Surréaliste.
Depuis quatre mois, un regroupement d’illuminés appelé le PAJU harcèle un petit commerçant montréalais, monsieur Yves Archambault, dont la boutique est située au 4062 rue Saint-Denis, parce qu’il vend quelques paires de souliers fabriqués en Israël. Il est donc pour eux un rouage du complot sioniste et un instrument du «lobby juif».
Pour ces lâches, s’en prendre à cet homme et à sa famille est plus facile et plus payant politiquement que manifester devant le consulat d’Israël (si ce sont les politiques israéliennes que l’on veut dénoncer, ce qui est parfaitement légitime) ou devant des géants comme Wal-Mart, Starbucks ou Dollarama.
Plusieurs membres du PAJU sont aussi membres du Parti communiste du Québec. À leur tour, les membres du PCQ sont de facto membres de Québec solidaire. C’est parfaitement légal, mais c’est bon à savoir et ça aide à comprendre. Quand Amir Khadir, co-chef de Québec solidaire, s’est joint aux manifestants, l’affaire est devenue médiatique.
La merde, donc, attire les mouches. Flairant la bonne affaire, Jean-Roch Villemaire et son Mouvement nationaliste-révolutionnaire du Québec (MNRQ) viennent de débarquer devant le magasin. Eux aussi veulent accabler ce marchand pour, disent-il, «briser l’échine de l’idéologie sioniste». Voyez le choix des mots, bien musclés.
Françoise David patine aujourd’hui désespérément pour se dissocier du MNRQ. Ce mouvement, dit-elle, «pue l’antisémitisme et le racisme» et prône «des idées inspirées de l’idéologie hitlérienne de l’Allemagne nazie». Évidemment, Villemaire menace maintenant de la poursuivre.
Allez faire un tour sur le site web du MNRQ et jugez vous-mêmes. On y dénonce «les parasites» et les «représentants des intérêts étrangers». Les Québécois seraient «les jouets des lobbies étrangers». Il faut remplacer le «droit du sol» par le «droit du sang» et défendre l’«ethnicité» du Québec. Le capitalisme maintiendrait notre nation dans un «esclavage» qui exigera des «luttes violentes» de libération.
Le MNRQ se dit nationaliste, socialiste et révolutionnaire, exactement comme les chemises brunes de jadis, mais il a la «finesse» de ne jamais évoquer Hitler. Les textes contiennent cependant tous les mots-clés, tous les codes langagiers de l’extrême-droite. Cliquez sur les onglets Musique, Milice ou Légion : voyez le choix des couleurs, le lettrage gothique, l’iconographie utilisée. Tout y est. N’y verront que du feu ceux qui n’y connaissent rien, les idiots ou ceux qui font de l’aveuglement volontaire.
Poursuivez l’exercice. Allez ensuite écouter les entrevues données par Amir Khadir, la semaine dernière, aux émissions de Benoît Dutrizac (jeudi, au 98,5 FM) et de Christiane Charrette (vendredi, SRC, 95,1 FM à Montréal). Au lieu de s’excuser, il persiste, signe et s’enfonce.
Sa présence devant ce magasin était en lien, dit-il, avec sa lutte contre «un des lobbies les plus puissants». Le commerçant, ajoute-t-il, «fait partie d’un ensemble». Il dit à Dutrizac de ne pas se laisser «aveugler par les millions de dollars». Il loue aussi «l’intelligence» et le «courage» des militants du PAJU, dont la charte réclame un État palestinien mais ne dit rien sur le droit d’exister d’Israël. Surréaliste.
Ici encore, tous les mots-clés, toutes les tournures de phrase de la plus vieille des stigmatisations : «complot», «lobby», «argent», «manipulation», etc., le tout sous couvert de lutte vaillante contre le «sionisme».
Femme intègre et sensible, Françoise David ne peut pas ne pas être profondément troublée par trois dimensions de l’affaire. D’abord, c’est l’engagement de Khadir dans cette affaire qui lui a donné le retentissement qui a attiré l’extrême-droite. Ensuite, dès qu’il est spécifiquement question d’Israël, la petite musique de son co-chef et celle de Villemaire ont un air de famille. Enfin, des membres de son propre parti ont fait un tort immense à un commerçant de quartier qui ne méritait pas cela.
Comme l’ont montré l’historien Zeev Sternhell [NOTE: IL S'AGIT ÉVIDEMMENT D'UN NOM JUIF], notamment dans son ouvrage classique Ni droite ni gauche (Paris, Seuil, 1983), mais aussi beaucoup d’autres auteurs (P. Birnbaum, A. J. Gregor, S. Payne, etc.), l’extrême-droite et l’extrême-gauche ont toujours eu plus en commun qu’on ne le pense. Elles ont beau se détester, elles s’inscrivent, chacune, à l’intérieur d’univers mentaux qui ont des traits communs.
On a tort de les voir comme les deux points les plus éloignés d’un axe. L’image qui convient est plutôt celle du serpent qui se mord la queue. Les deux voient des complots occultes partout, cultivent le ressentiment des frustrés, rejettent radicalement la société en place, cautionnent souvent la violence, et donnent une justification idéologique à des pulsions parfaitement odieuses. Bravo, monsieur Khadir.
(...)Pendant que ces capitalistes infâmes et sans conscience sociale faisaient leur part, le député Amir Khadir faisait la sienne pour avancer sa conception très particulière du «progressisme». Il manifestait devant le 4062 St-Denis en compagnie de ses copains du Parti communiste du Canada.
On trouve à cette adresse une boutique qui vend des souliers de course. Le crime du propriétaire ? Deux pour cent (2 %) des souliers qu’il vend sont fabriqués en Israël. À n’en pas douter, cela fait de lui un agent du grand complot sioniste.
On a bien lu : un député, payé à 100 % par les fonds publics, manifeste devant un commerce situé dans son propre comté, parce qu’on y vend, en toute légalité, une infime quantité de produits d’un pays avec lequel le Canada a signé une entente de libre-échange. Après le lancer du soulier sur l’effigie de George Bush et les élucubrations sur le rôle de la CIA dans les attentats du 11 septembre 2001, Amir Khadir récidive dans l’extravagance.
C’est parce que l’État d’Israël pratique «l’apartheid» à l’endroit des Palestiniens, a-t-il expliqué. C’est évidemment risible. Palestiniens et Israéliens sont engagés dans une guerre sans merci. On peut à bon droit critiquer les politiques israéliennes et nombre d’Israéliens ne s’en privent pas. Utiliser le mot «apartheid», c’est cependant déformer le sens du mot et insulter ceux qui ont subi le vrai apartheid en Afrique du sud.
Le député n’a évidemment pas l’intention de manifester devant les commerces qui vendent des produits fabriqués dans des pays du Moyen-Orient où des dirigeants non-élus oppriment leurs propres peuples, financent le terrorisme international et tolèrent la lapidation de femmes ou que l’on coupe les mains des voleurs.
Interrogé sur les produits fabriqués en Chine, il a laborieusement expliqué que la Chine était moins oppressive. J’en conclus qu’il n’a jamais entendu parler du Tibet, du massacre de la place Tiananmen, de l’emprisonnement du prix Nobel Liu Xiabo et des exécutions sommaires.
Mais je parle pour parler. Dès qu’il est question d’Israël, les critères normaux du débat civilisé, comme les nuances ou le sens de la mesure, ne tiennent plus. Amir Khadir peut donc dormir en paix : non seulement le ridicule ne tue jamais vraiment, mais je ne doute pas qu’il aura nettement plus de défenseurs que de détracteurs.
Les «idiots utiles»
L’«idiot utile» refuse cependant de voir que l’islamisme est un cas unique pour notre époque et qu’il faut l’analyser comme tel. Plusieurs attentats terroristes ont été commis par des jeunes gens très instruits qui avaient grandi en Occident. On est loin du cliché du jeune homme élevé dans un camp de réfugiés et qui se tourne vers la violence par désespoir. Les puissances occidentales ont aussi commis des fautes graves en Amérique latine sans faire naître pour autant une idéologie violente d’asservissement du monde entier.(...)
Refuser le masochisme
Une chose est pourtant frappante : jamais ou presque, ces gens ne s’interrogent à voix haute sur le fait qu’il n’existe, dans le monde arabo-musulman, aucun régime politique, absolument aucun qui pourrait être qualifié de démocratique au sens que nous donnons à ce terme ici. Pas un seul.
Prudence et responsabilité
Notre inquiétude collective n’est cependant pas sans fondements sérieux.
Nous ne sommes pas des malades imaginaires.
Tout n’est pas, comme on voudrait souvent nous le faire croire, que tempêtes dans des verres d’eau, incidents isolés et enflure médiatique.
L’islamisme militant ne peut d’aucune manière être placé sur le même pied que les autres mouvements politiques à fondement religieux.
Y a-t-il une autre religion au nom de laquelle des États financent des organisations terroristes ?
Y a-t-il une autre religion au nom de laquelle on voudrait instaurer un système de justice parallèle au nôtre ?
Y a-t-il une autre religion au nom de laquelle des écrivains et des caricaturistes sont menacés de mort par les intégristes ?
Y a-t-il une autre religion au nom de laquelle des fanatiques tuent à coups de pierres les gens coupables d’adultère ?
Y a-t-il une autre religion qui, lorsqu’elle est majoritaire dans une société, a autant de peine à coexister avec la démocratie authentique ?
Y a-t-il une autre religion qui, lorsqu’elle devient dominante, refuse à ce point de reconnaître aux autres croyances l’espace qu’elle voudrait pour elle ici ?
Y a-t-il une autre religion au nom de laquelle l’obsession anti-israélienne agit comme un véritable opium collectif afin de justifier les faillites spectaculaires de toutes les sociétés où elle est majoritaire ?
Toutes les religions voudraient convertir le monde entier, mais y en a-t-il une autre qui s’y emploie en exprimant si nettement son rejet des fondements philosophiques de nos sociétés ?
Toutes les religions ont des franges extrémistes, mais y en a-t-il une autre où les modérés sont à ce point intimidés qu’ils ne dénoncent que du bout des lèvres ceux qui leur font tant de tort ?
Toutes les religions ont des rapports troubles avec la sexualité des femmes, mais y en a-t-il une au nom de laquelle cela s’exprime, de nos jours, de manière aussi brutalement obscurantiste ?
Madame Gagnon avance que les femmes totalement voilées ne sont qu’une poignée chez nous et qu’il est donc exagéré de leur interdire l’accès aux services publics.
À partir de quel nombre faudrait-il agir ? Quand elles seront 200, 250 ou 2000 ? Et pourquoi un seuil plutôt qu’un autre ?
Qui mène pas juste à protéger l'empire sioniste et son immense lobby
Désolé mais…
Voilà, c’est fait. J’ai encore dû sévir. La discussion lancée à l’origine par «Le péché originel» a complètement dérapée à cause des mêmes personnes que d’habitude. J’ai lu sur la communauté gaie, sur la communauté juive, sur l’Holocauste des propos que je juge absolument inacceptables et que j’ai supprimés immédiatement. Je vous jure que je n’y prends aucun plaisir, mais je ne laisserai pas ce modeste blogue devenir le déversoir de propos orduriers et semeurs de haine. Allez-y, hurlez à la censure tant que vous voudrez.
Et pour couronner le tout, le pire du pire, le prix citron - ou plutôt orange de Jaffa gorgée de sang palestinien...
La fabrique de la haine
Quand les pires dictateurs de la planète veulent faire la morale aux démocraties, on peut en effet toujours compter sur l’ONU pour leur offrir une tribune de rêve.
Les buts proclamés de l’ONU sont d’œuvrer à la sécurité, à la paix, au développement et à l’avancement des droits de l’homme. À la lumière des résultats, force est de conclure que le seul mérite de cette organisation est que les choses seraient sans doute pires si elle n’existait pas.
L’ONU est indiscutablement un monument à l’incompétence, à l’hypocrisie et à la mauvaise foi. Ceux qui la défendent doivent admettre qu’ils défendent ses idéaux et non la réalité onusienne.
Tout a été dit sur sa bureaucratie obèse et sa corruption endémique.
La liste est longue aussi des massacres et des génocides qu’elle a regardé en restant les bras croisés : Rwanda, Srebrenica, Darfour et tant d’autres.
La grande spécialité de l’ONU est cependant de renverser de façon orwellienne la réalité : les agresseurs y deviennent souvent les procureurs, et les agressés sont transformés en accusés.
Lisez jusqu’au bout les chiffres suivants.
La guerre qui a fait rage au Congo entre 1998 et 2003 aurait fait autour de 4 millions de victimes. Elle a fait l’objet de 56 motions en bonne et due forme dans les diverses instances onusiennes.
La guerre civile qui sévit au Soudan depuis 1983 a fait périr environ 1,3 millions de personnes. Mais elle n’a suscité que 14 motions à l’ONU. Les Africains peuvent se massacrer dans l’indifférence la plus complète du reste du monde.
Le conflit israélo-palestinien, lui, aurait fait environ 7000 morts entre l’an 2000 et aujourd’hui.
Israël a cependant été l’objet de…249 motions de condamnation à l’ONU. N’y a-t-il pas là comme une scandaleuse disproportion ?
Oui, je sais, c’est une sorte de comptabilité macabre. Toutes les morts sont également tragiques.
Ce que je veux illustrer, c’est que l’ONU est d’une superbe efficacité pour travailler à plein régime à condamner Israël.
Elle y consacre des ressources, des énergies et un temps si disproportionnés par rapport aux autres conflits dans le monde qu’il faut conclure à l’obsession anti-israélienne.
Cela s’explique aisément.
Les États arabes, dont pas un seul n’est une démocratie, se fichent totalement des Palestiniens, qu’ils manipulent cyniquement. Mais ils ont compris depuis longtemps qu’en faisant d’Israël le bouc émissaire de tout ce qui va mal au Moyen-Orient, ils peuvent plus facilement justifier la répression de leurs propres peuples.
Le reste des membres de l’ONU est aussi constitué d’une majorité d’États non-démocratiques. Pour eux, condamner Israël, c’est, à travers lui, condamner les États-Unis et l’Occident, et justifier ainsi leur propre turpitude.
On réunit donc sans peine une majorité parmi les 192 pays membres pour voter des condamnations.
Israël a évidemment ses torts. Certaines colonies de peuplement, par exemple, sont une pure provocation.
Il faut cependant se lever de bonne heure pour expliquer en quoi l’État hébreu est responsable de la pauvreté, de l’absence de liberté, de l’ignorance, de l’obscurantisme et du mépris des femmes qui sévissent dans les pays voisins.
Plus on fouille, plus on découvre des choses étonnantes.
Par exemple, en 2006, le Conseil des Droits humains de l’ONU vota une résolution faisant d’Israël le seul État dont le traitement des droits doit faire l’objet d’un examen permanent et d’un rapport à chaque session. Le seul.
L’absurde atteint parfois des sommets.
En 1976, des terroristes détournent un avion en route vers Tel-Aviv. Le dictateur ougandais Idi Amin Dada accepte que les terroristes atterrissent chez lui, à l’aéroport d’Entebbe.
Un commando israélien donne l’assaut, libère ses compatriotes et liquide les terroristes.
Que fait l’ONU ? Elle condamne Israël pour «violation de la souveraineté territoriale de l’Ouganda». Elle laissait cependant Idi Amin massacrer impunément son propre peuple.
Depuis plus de cinquante ans, la Chine prive de liberté politique plus d’un milliard de Chinois. Combien de résolutions la condamnant ont été adoptées par l’ONU ? Pas une. La Chine dispose évidemment d’un droit de veto.
En 1988, l’ONU laisse Yasser Arafat monter à la tribune et s’adresser au monde entier. On le légitimait du coup comme chef d’un mouvement de libération nationale. Certes, il avait commis des actes terroristes, mais on peut dire la même chose d’autres «libérateurs» de peuple, et notamment de l’ex-premier ministre israélien Begin.
L’anomalie est ailleurs.
Il existe d’autres nations conquises luttant pour leur liberté : au Tibet, au Kurdistan, et ailleurs. L’OLP est pourtant la seule organisation ayant obtenue cette reconnaissance onusienne. Pourquoi ? Parce qu’elle combat Israël…évidemment.
Les Palestiniens ont bien sûr droit à leur pays. Le débat n’est pas là.
Je note seulement qu’à chaque fois que l’État d’Israël est en cause, les critères diplomatiques et moraux changent.
En 2001, lors de la conférence organisée par l’ONU à Durban, en Afrique du Sud, les responsables n’avaient pas empêché la distribution de tracts mettant sur un pied d’égalité l’étoile de David et la croix gammée nazie.
Cette obsession anti-israélienne de l’ONU se comprendrait si les violations israéliennes des droits de la personne étaient plus lourdes et plus systématiques qu’ailleurs.
Il y en a, évidemment, et elles doivent être condamnées. Il faut cependant avoir le jugement sérieusement déformé par la haine pour conclure qu’elles sont pires que ce que l’on voit chez ses voisins, ou ailleurs dans le monde.
Qu’on ne me fasse pas dire ce que je ne dis pas. J’ai dit et répète que cet État est loin d’être sans reproches.
On notera cependant que le gouvernement israélien a lui-même démantelé les colonies de peuplement les plus controversées.
Israël a aussi fait la paix avec les voisins qui l’ont voulue : l’Égypte et la Jordanie.
Les autres États de la région ne veulent pas lui arracher des bouts de territoire, mais le rayer de la carte.
Son armée affronte des combattants dissimulés parmi les civils, ce qui rend inévitable la mort d’innocents.
Mais l’ONU n’a évidemment que faire de ces nuances.
Le général De Gaulle qualifiait l’ONU de «machin». Comme il est mort en 1970, il était donc très en dessous de la réalité d’aujourd’hui.
Dès qu’il est question d’Israël, l’ONU fait penser à un sanatorium dont les patients auraient pris le contrôle.
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