Friday, May 30, 2008
Les USA et Israel refusent de signer la convention pour interdire les bombes à fragmentation
Une Convention pour interdire les bombes à fragmentation
Après 10 jours de débats serrés, à Dublin, capitale irlandaise, 111 pays se sont mis d'accord sur l'interdiction de la prolifération et de l'usage des bombes à fragmentation; ce qui n'est pas allé sans provoquer la réaction des médias et milieux médiatiques. Certains Etats producteurs et exportateurs des bombes à fragmentation tels que les Etats-Unis et le régime sioniste n'avaient pas participé à la réunion de Dublin et n'ont pas alors, signé l'accord précité. Le consensus de 111 pays contre l'usage et la prolifération des bombes à fragmentation, témoigne de l'unanimité mondiale sur cette affaire. La bombe à fragmentation est une arme non-conventionnelle, qui date de la Seconde Guerre mondiale. Elle a été utilisée par la suite dans d'autres guerres contre le Vietnam, le Cambodge, le Kosovo, l'Afghanistan, l'Irak et le Liban. Quant au Liban, le régime sioniste a largué, durant les 72 dernières heures de la guerre estivale en 2006, plus d'un million de bombes à fragmentation sur les régions du sud du pays. Une bombe à fragmentation explose avant d'atteindre sa cible en libérant des milliers d'éclats qui se propagent à haute vitesse dans des directions aléatoires ou précises en fonction des effets désirés. Des éclats propagés fonctionnent comme une mine et peuvent exploser, même après des années, par un petit contact de tout genre. C'est le cas aussi du Liban qui après 2 ans, connaît chaque jour, des victimes des bombes à fragmentation du régime sioniste. D'après les chiffres et bilans militaires, 34 pays fabriquent à présent, 210 sortes de bombes, air-terre, terre-terre et des bombes à fragmentation tandis qu'au moins 13 pays sont, largement, actifs dans la prolifération et l'exportation de telles bombes dans le monde dont les Etats-Unis. Les victimes des bombes à fragmentation en Irak, en Afghanistan et au Liban, sont les témoins vivant de l'usage par Washington et Tel-Aviv de telles armes prohibées. L'intéressant est qu'en dépit de toutes les interventions américaines, la Grande Bretagne et les autres alliés des Etats-Unis ainsi que les membres de l'OTAN ont adopté et signé la convention portant sur l'interdiction de la prolifération et de l'usage des bombes à fragmentation.
Bannissons les bombes à sous-munitions!
http://www.stopclustermunitions.org
La France: position ambiguë
Vers une interdiction des bombes sous-munitions
Après 10 jours de débats serrés, à Dublin, capitale irlandaise, 111 pays se sont mis d'accord sur l'interdiction de la prolifération et de l'usage des bombes à fragmentation; ce qui n'est pas allé sans provoquer la réaction des médias et milieux médiatiques. Certains Etats producteurs et exportateurs des bombes à fragmentation tels que les Etats-Unis et le régime sioniste n'avaient pas participé à la réunion de Dublin et n'ont pas alors, signé l'accord précité. Le consensus de 111 pays contre l'usage et la prolifération des bombes à fragmentation, témoigne de l'unanimité mondiale sur cette affaire. La bombe à fragmentation est une arme non-conventionnelle, qui date de la Seconde Guerre mondiale. Elle a été utilisée par la suite dans d'autres guerres contre le Vietnam, le Cambodge, le Kosovo, l'Afghanistan, l'Irak et le Liban. Quant au Liban, le régime sioniste a largué, durant les 72 dernières heures de la guerre estivale en 2006, plus d'un million de bombes à fragmentation sur les régions du sud du pays. Une bombe à fragmentation explose avant d'atteindre sa cible en libérant des milliers d'éclats qui se propagent à haute vitesse dans des directions aléatoires ou précises en fonction des effets désirés. Des éclats propagés fonctionnent comme une mine et peuvent exploser, même après des années, par un petit contact de tout genre. C'est le cas aussi du Liban qui après 2 ans, connaît chaque jour, des victimes des bombes à fragmentation du régime sioniste. D'après les chiffres et bilans militaires, 34 pays fabriquent à présent, 210 sortes de bombes, air-terre, terre-terre et des bombes à fragmentation tandis qu'au moins 13 pays sont, largement, actifs dans la prolifération et l'exportation de telles bombes dans le monde dont les Etats-Unis. Les victimes des bombes à fragmentation en Irak, en Afghanistan et au Liban, sont les témoins vivant de l'usage par Washington et Tel-Aviv de telles armes prohibées. L'intéressant est qu'en dépit de toutes les interventions américaines, la Grande Bretagne et les autres alliés des Etats-Unis ainsi que les membres de l'OTAN ont adopté et signé la convention portant sur l'interdiction de la prolifération et de l'usage des bombes à fragmentation.
Bannissons les bombes à sous-munitions!
http://www.stopclustermunitions.org
La France: position ambiguë
Vers une interdiction des bombes sous-munitions