Depuis 2009, la Warner Music Group (propriété des Bronfman) a lancé une vaste opération de réclamation de droits d'auteurs et de suppression des contenus audio et vidéos violant les droits d'auteurs leur appartenant. Résultat: censure et destruction de millions de vidéos sur YouTube et ailleurs. Mon vidéo qui a été censuré par eux au nom d'une revendication de droits d'auteurs diffusait un message... anti-sioniste! Tiens donc, quel drôle de hasard! C'était surtout des vidéos avec un message politique. Pas longtemps après, YouTube entrait en partenariat étroit avec la Ligue juive anti-diffamation du B'Nai B'rith ("ADL" aux USA) afin de coopérer en "combattant la haine" et surtout en enregistrant des données personnelles sur les personnes jugées subversives (celles qui ont un message politique ou tout simplement contestataire), dans le cadre de la "guerre au terrorisme", dont l'ADL (et le Centre Simon Wiesenthal "contre la haine") s'est faite une spécialité. Ainsi sommes-nous très peu surpris de savoir que le grand manitou derrière l'ADL et B'Nai B'rith Canada (ainsi que le Congrès juif mondial et le congrès juif canadien) est nul autre que... Bronfman! ET malheureusement pour nous, l'ADL et le B'Nai B'rith sont clairement des relais et des nids de collabos au service des services secrets israéliens, le Mossad. Donc en plus de contrôler nos médias, ils les censurent au travers d'une organisation (ADL, B'nai B'rith, Centre Simon Weisenthal, etc.) que l'on croit - à tort - être indépendante et extérieure à la machine médiatique.
Autre lien intéressant impliquant les Bronfman: ils détiennent la compagnie DuPont, qui produit les poêles anti-adhésives T-Fal à base de composés fluorés. (Ces poêles viennent d'être bannies parce qu'elles émanent un dangereux composé de fluor lorsqu'elles sont chauffées.) DuPont a produit l'uranium qui fut utilisé dans le cadre du projet Manhattan (développement de la bombe A, dirigé par le juif et espion communiste Oppenheimer, avec l'aide du fameux scientifique juif communiste Albert Einstein et grâce aux financement fourni par le juif Bernard Baruch). Lorsqu'il a été constaté que les émissions polluantes de la compagnie DuPont empoisonnaient les récoltes et affectaient dangereusement la santé des humains et des animaux, le gouvernement américain s'est lancé à la rescousse de DuPont pour la blanchir de toute responsabilité dans les nombreuses poursuites judiciaires qui leur étaient intentées. Il en allait du bon déroulement du projet Manhattan, qui n'aurait pu se poursuivre advenant le cas où le fluor aurait été légalement reconnu dangereux pour la santé humaine et l'environnement. Pis encore, le fluorure fut déclaré "bon pour combattre la carie dentaire" par le même centre de recherches militaires qui travaillait sur le projet Manhattan! C'est ainsi que le fluorure et la fluoration ont été adoptés pour consommation courante, et que la compagnie des Bronfman a pu continuer à empoisonner la vie et l'environnement avec ses émissions de fluor hautement toxique.
Est-ce une coïncidence, toujours est-il que le fameux Ripper, le général paranoïque du film Dr Folamour (Dr Strangelove, de Warner Bros, propriété des Bronfman), évoque le complot "communiste" de la fluoration de l'eau, en l'associant intimement, dans son délire, à la bombe A. (De plus, il est intéressant de noter que que le seul pays possédant la fameuse "machine infernale" est en réalité non pas la Russie mais l'État juif d'Israël, qui l'a baptisée "option Samson"). Bref les Bronfman produisent le film qui expose à mots couverts la relation cachée entre fluoration et bombe A. Curieuse coïncidence ou révélation drapée de fiction?
Bien sûr, on ne pouvait s'attendre d'un film financé par les Bronfman qu'il explique en détails les liens secrets entre leur compagnie DuPont, la fluoration, le projet Manhattan dirigé par des communistes juifs et le projet Samson!
Les sages de Sion pourraient nous faire la leçon dans ce domaine: "Ce qui est vraiment bien pensé dans les complots de ce genre, c'est qu'ils sont tellement incroyables que quiconque les dénonce passe pour un fou en plein délire et se discrédite lui-même automatiquement. C'est une stratégie risquée mais aussi la plus efficace. Pousser toujours plus loin les limites de l'abomination, de sorte que tous ceux qui voient clair dans notre jeu soient marginalisés ou même ostracisés, ainsi personne ne pourra rien contre nous!"