Thursday, May 7, 2009

Nous sommes influencés à notre insu - les Américains plus que les autres

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« Au XIXème siècle, la science a découvert que notre système nerveux était parcouru par des forces électriques. Elle avait raison. Mais lorsqu’elle a cru, lorsque les chercheurs croient que la force nerveuse qui fait partie de nous, qui est la base de notre vie mentale, a quoi que ce soit à voir avec des courants électriques, ils ont tort. Car les courants électriques sont des forces qui ont été déposées en nous par cet être que je viens de décrire, ils ne font pas du tout partie de notre être : nous portons effectivement aussi des courants électriques en nous, mais ils sont purement de nature ahrimanienne.

Ces entités hautement intelligentes, mais d’une intelligence purement méphistophélique, et d’une volonté plus apparentée à la nature que cela ne peut être dit de la volonté humaine, ont décidé un jour, de leur propre volonté, de ne pas vouloir vivre dans le monde auquel les dieux pleins de sagesse de la hiérarchie supérieure les avaient destinées à vivre. Pour conquérir la terre, elles ont besoin de corps ; n’ayant pas de corps propre, elles utilisent le corps humain autant qu’elles le peuvent, puisque l’âme humaine ne peut pas complètement remplir le corps humain.
(R. Steiner, Derrière le voile des événements, Paris, 1999, p. 75 sqq.)

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« Les milieux qui veulent introduire l’Antichrist en le faisant passer pour le Christ visent à exploiter ce qui peut agir notamment au moyen des forces les plus matérielles, mais qui, au moyen de ces forces les plus matérielles, agit justement de manière spirituelle. Ces mouvements visent surtout à exploiter l’électricité, et en particulier le magnétisme terrestre, pour produire des effets sur toute la terre… On lèvera le voile sur ce mystère. Les Américains détiendront le secret d’utiliser le magnétisme terrestre dans sa dualité des magnétismes nord et sud, pour envoyer sur toute la terre des forces de domination qui agissent sur un plan spirituel […] Je ne peux, sur ces questions, donner rien de plus, pour l’instant, que de légères indications : il existe une ligne du ciel le long de laquelle des entités spirituelles exercent continuellement leur action ; il suffit de mettre ces entités spirituelles au service de l’existence terrestre pour lever le voile sur ce mystère du magnétisme terrestre […]



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Installations de HAARP, Alaska


Les mystères spirituels en vertu desquels ce qui est cosmique peut, sur terre – à l’aide des forces doubles du magnétisme, le positif et le négatif – traverser ce qui est spirituel, proviennent des Gémeaux ; ce sont des forces de midi. Déjà dans l’Antiquité, on savait qu’il s’agissait là de quelque chose de cosmique, et les scientifiques savent bien, aujourd’hui, sur un plan exotérique, qu’il existe d’une manière ou d’une autre, dans le zodiaque, derrière les Gémeaux, un magnétisme positif et un magnétisme négatif. Il s’agira alors de paralyser ce qui doit être tiré du cosmos par la manifestation de la dualité, de le paralyser de manière égoïste, matérialiste, au moyen des forces qui affluent vers l’humanité depuis les Gémeaux, et qui peuvent être entièrement mises au service du Double.

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Pour d’autre confréries qui veulent surtout passer à côté du Mystère du Golgotha, il s’agira de tirer parti de la double nature de l’homme, cette double nature qui comprend, tel que l’homme est entré dans la cinquième période postatlantéenne, d’un côté l’homme, mais en l’homme aussi sa nature animale inférieure. Car l’homme est vraiment un centaure : il contient la nature animale inférieure astralement, et ne contient l’humanité qu’au-dessus, pour ainsi dire, de cette nature animale. Du fait de cette action concourante de la double nature en lui, il existe aussi un dualisme de forces – et c’est ce dualisme de forces qui sera davantage utilisé du côté oriental, indien, par certaines confréries égoïstes… et ce dualisme-là emploie les forces qui agissent depuis le Sagittaire. »
(R. Steiner, Les êtres spirituels individuels et le fondement unitaire du monde, G.A.178, Paris, 1999.)

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« Mais il y a un lieu à la surface de la terre qui présente la plus grande parenté avec ces forces [ahrimaniques]. Lorsque l’homme s’y rend, il entre dans leur domaine d’influence ; dès qu’il le quitte, il n’en est plus ainsi, car il s’agit de caractéristiques géographiques, non pas ethnographiques ou nationales, mais purement géographiques. La région où ce qui afflue depuis le bas exerce la plus grande influence sur le Double est la région de la terre où la plupart des montagnes ne sont pas orientées transversalement d’Ouest en Est, mais où les montagnes sont principalement orientées du Nord au Sud – car cela est également en lien avec ces forces – et où l’on est proche du pôle nord magnétique. C’est la région où, sous l’effet des conditions extérieures, se développe avant tout une parenté avec la nature méphistophélique ahrimanienne [satanique]. Et beaucoup, dans l’évolution de la terre qui poursuit sa marche en avant, est dû à cette parenté. L’homme n’est pas en droit, aujourd’hui, de passer par l’évolution de la terre en aveugle ; il doit percer à jour ces liens entre les choses. L'Europe ne pourra établir des rapports justes avec l’Amérique que si ces circonstances peuvent être percées à jour, que si l’on sait quelles limitations d’ordre géographique viennent de là-bas. Sinon, si l’Europe continue à rester aveugle à ce propos, il en ira de cette pauvre Europe comme il en alla de la Grèce par rapport à Rome.

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IL NE FAUT PAS QUE LE MONDE SOIT GÉOGRAPHIQUEMENT AMÉRICANISÉ […] CAR LES EFFORTS DE L’AMÉRIQUE VISENT À TOUT MÉCANISER, À TOUT FAIRE ENTRER DANS LE DOMAINE DU PUR NATURALISME, À EFFACER PEU À PEU DE LA SURFACE DE LA TERRE LA CULTURE DE L’EUROPE. »
(R. Steiner, Derrière le voile des événements – Le mystère du Double, G.A. 178, Paris, 1999, pp. 88-89).

« Les peuples anglo-américains se prolongeront comme quelque chose de figé jusque dans la sixième race-mère, de même qu’aujourd’hui les Chinois sont un reste figé de l’ère atlantéenne, la quatrième race-mère.  L'égoïsme universel émane de la race anglo-américaine. Partant de là, l'égoïsme couvrira toute la Terre. Toutes les inventions qui recouvrent la Terre d'un réseau d'égoïsme viennent d'Angleterre et d'Amérique. A partir de là-bas donc, toute la Terre sera recouverte d'une toile d'égoïsme, de mal. Mais une petite colonie se formera à l'est comme la semence d'une vie nouvelle pour l'avenir. La culture anglo-américaine consume la culture de l'Europe [...] mais la race elle-même va à sa ruine. Elle porte en elle la disposition à être la race du Mal. » (31 oct. 1905, Éléments d'ésotérisme)



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« Le matérialisme a fait sombrer notre savoir à un niveau honteux, comme cela n’était encore jamais arrivé sur la Terre. Le pire de ce qui est arrivé à notre époque est de confondre l’amour avec la sexualité. C’est là la pire expression du matérialisme, la plus diabolique de notre époque. Ce qui se fait dans ce domaine est ce dont on devra se débarrasser en premier lieu. La sexualité et l’amour n’ont rien de commun. La sexualité n’a rien à voir avec l’amour pur, originel. Notre savoir a commis une infamie en publiant toute une littérature qui s’occupe de mettre en rapport ces deux choses qui n’ont aucun rapport. » (Rudolf Steiner)


« Nous avons vu que, lorsque l’homme perce le voile de la nature et pénètre derrière ce voile, il rencontre des êtres destructeurs : les êtres ahrimaniens. Dans l’ordre du monde, ces êtres sont tout d’abord des ennemis acharnés de la nature humaine terrestre. Lorsqu’on a la faiblesse de se lier à eux – ce qui peut arriver comme je vous l’ai montré – on se lie à des ennemis de l’homme terrestre. On s’allie vraiment à des ennemis de l’homme terrestre. Et cette alliance est grandement favorisée par un certain rapport de l’homme avec le cosmos.

Les entités que l’on découvre ainsi derrière le voile de la nature sont intelligentes. Elles ont leur forme d’intelligence. Je vous ai déjà parlé de l’intelligence humaine. Eh bien, ces êtres-là pensent, eux aussi ; ils ont leur intelligence ; ils ressentent, même si, là encore, c’est autrement que les hommes. Ils accomplissent certains actes qui se manifestent extérieurement dans des phénomènes naturels, mais dont la véritable nature est derrière le voile de la nature.


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Or il existe une singulière affinité entre quelque chose en l’homme et les plus hautes facultés de ces êtres. Je voudrais essayer d’expliciter cela. Lorsque l’homme qui franchit le seuil du monde spirituel s’approche de ces êtres – qu’il ait l’impression d’entrer en enfer ou qu’il se représente cela autrement n’est pas la question ; ce qui importe, c’est de se faire de cette expérience une idée juste – cet homme doit d’abord être frappé par la haute intelligence, l’extraordinaire intelligence de ces êtres. Ils sont extrêmement sagaces et avisés. C’est ainsi que la force de leur âme se manifeste. Mais ces forces d’âme qui, chez eux, sont des forces supérieures, sont apparentées aux forces de la nature inférieure de l’homme. Ce que les pulsions sensuelles sont en l’homme, ce sont, chez ces êtres, les forces supérieures qui en imposent tellement. Il existe donc une certaine parenté entre les forces les plus basses de l’homme et les forces les plus hautes de ces êtres. Voilà pourquoi, lorsqu’on pénètre dans ce monde, ces forces cherchent à s’identifier aux forces inférieures de l’homme ; elles aiguillonnent alors ses instincts de destruction et de haine ou d’autres pulsions du même genre, parce que les esprits en question font monter vers eux ce qui est bas chez l’homme. Les forces qui sont chez eux plus élevées agissent à travers les forces inférieures de l’homme. On ne peut pas vraiment s’allier avec eux sans avilir sa propre nature en développant de violents appétits sensuels. Voilà un fait dont il faut tenir compte, car il montre bien comment nous devons nous représenter notre rapport avec le cosmos. Il y a dans notre nature humaine de bas instincts. Mais il s’agit là de forces qui ne sont de bas instincts que dans l’homme. Dès que ces êtres spirituels disposent de ces mêmes forces, ces instincts sont chez eux des forces supérieures. Mais ces êtres spirituels agissent toujours dans notre nature : ils sont toujours en nous […]
Quand nous pénétrons d’abord dans le monde sans avoir la moindre notion de tout ce que savent les initiés – c’est-à-dire qu’il existe un monde spirituel aussi bien derrière la nature que derrière la vie de l’âme – et quand nous imprégnons notre vouloir d’idéaux élevés, quand nous purifions ainsi notre vouloir en le spiritualisant, ce vouloir ennobli se lie aux facultés inférieures des êtres auxquels nous nous lions alors. Il y a, en effet, un mystérieux lien d’attraction entre les aspects les plus nobles de notre volonté et les pulsions et les besoins inférieurs de ces entités.
(R.Steiner, Les dangers d’un occultisme matérialiste, Paris, 2002, p. 175 sqq.)



Les plus puissants et anciens êtres démoniaques: les Asuras:

“Ce qui sera tombé au pouvoir des Asuras sera irrémédiablement perdu. Point n'est nécessaire que l'homme tout entier devienne leur proie, mais des morceaux de l'esprit humain seront découpés par les puissances asuriques.

A notre époque, les Asuras s'annoncent par l'état d'esprit qui sévit, état d'esprit s'attachant à la seule vie des sens, oubliant les véritables entités et les mondes spirituels. Dire actuellement que les Asuras induisent l’homme en tentation est quelque peu théorique. Pour le moment, ils font miroiter l’image trompeuse que le "Je" n'est qu'un produit du monde physique, ils lui font miroiter une sorte de matérialisme théorique. Mais ultérieurement, ils obscurciront la vue des hommes au sujet des êtres et des puissances spirituels ; ceci se manifestera de plus en plus par une débauche croissante, par une sensualité effrénée envahissant la terre. L'homme ne saura plus rien et ne voudra plus rien savoir d’un monde spirituel. Il enseignera toujours plus que les idées morales les plus élevées ne sont qu'une accommodation des pulsions animales. Il ne se contentera pas d'enseigner que la pensée humaine n'est qu'une modification d'une faculté animale, d'enseigner que l’homme, tant par sa constitution que par tout son être, descend de l'animal, mais prendra ces considérations au sérieux et vivra conformément à elles. Actuellement, personne ne vit encore en accord avec l’idée que l'homme, par essence, descend de l'animal, mais une telle conception règnera absolument, amenant les humains à vivre comme les bêtes, à s'enfoncer dans les pulsions et les passions animales. Et bien des choses qu'il n'est pas nécessaire de caractériser ici, qui se déroulent déjà dans les grandes villes sous forme d'abominables orgies de sensualité dépravée, nous font déjà entrevoir l'infernale lueur grotesque de ces esprits que nous appelons Asuras.”
(R. Steiner, Le Moi, son origine spirituelle, (16ème conf.), 1909, G.A.107)








(17 oct. 1905, Éléments d'ésotérisme)







Le culte mexicain du Taotl et la domination des masses sans âme dans un monde de machines:

Like a single central power whom all followed and obeyed, a kind of spectral spirit, a descendant of the “Great Spirit” of Atlantis, was revered. This spirit had gradually assumed an ahrimanic character because he still worked with forces that had been right in Atlantis or were already ahrimanic there.
When the Atlantean spoke of his “Great Spirit,” he expressed it, as we have seen, in a word that sounded something like the word “Tao,” which is still preserved in China. An ahrimanic, caricatured counterpart appeared in the West as opponent of the “Great Spirit Tao” but he was still connected with him. He worked in such a way that he could only be made visible through atavistic, visionary perception but whenever they desired his presence, he always showed himself to those persons connected with the widespread mysteries of this cult so they could receive his instructions and commands. This spirit was called by a name that sounded something like Taotl. Taotl was thus an ahrimanic distortion of the “Great Spirit” — a mighty being and one who did not descend to physical incarnation. A great many men were initiated into the mysteries of Taotl but the initiation was of a completely ahrimanic character. It had a quite definite purpose and goal, which was to rigidify and mechanize all earthly life, including that of humans, to such a degree that a special luciferic planet, which has already been referred to in these studies, could be founded above earthly life. The souls of men could then be drawn out to it, by force and pressure.
As we described yesterday, what the ahrimanic powers were striving for in the civilization of Rome was only a feeble echo of what those who, under the leadership of Taotl, set out to attain, and this in much fuller and wider measure by means of the most frightful magical arts. The goal they aimed to achieve was to make the whole earth a realm of death, in which everything possible would be done to kill out independence and every inner impulse of the soul. In the mysteries of Taotl the forces were to be acquired that would enable men to set up a completely mechanized earthly realm. To this end, one had, above all, to know the great cosmic secrets that relate to what works and lives in the universe and reveals its activities in earthly existence. You see, this wisdom of the cosmos is fundamentally in its wording, always the same, because truth is always the same. The point is, however, whether or not it is received in such a way that it is employed rightly.
Now this cosmic wisdom, which was intrinsically not evil but held holy secrets hidden within it, was carefully concealed by the initiates of Taotl. It was communicated to no one who had not been initiated correctly by the Taotl method. When a candidate had been initiated in the correct way, the teaching concerning the secrets of the cosmos was then imparted to him. Now, it was necessary for him to receive these secrets through initiation in a quite definite mood of soul. He had to feel in himself the inclination and desire to apply them on earth in such a way that they would set up that mechanistic rigid realm of death. It was thus that he had to receive the secrets. Nor were they communicated except on one special condition. The wisdom was imparted to no one who had not previously committed a murder in a particular manner. Moreover, only certain secrets were communicated to the candidate after the first murder, but further and higher secrets were imparted to him after he had committed others.
These murders, however, had to be committed under quite definite conditions. The one to be murdered was laid out on a structure that was reached by one or two steps running along each side. This scaffold-like structure, a kind of catafalque, was rounded off above and when the victim was laid upon it, he was bent strongly back. This special way of being bound to the scaffold forced his stomach outward so that with one cut, which the initiate had been prepared to perform, it could be cut out.
This kind of murder engendered definite feelings in the initiate. Sensations were aroused that made him capable of using the wisdom later imparted to him in the way that has been intimated above. When the stomach had been excised, it was offered to the god Taotl, again with special ceremonies. The fact that the initiates of these mysteries lived for the quite specific purpose that I have indicated to you, imparted a definite direction to their feelings. When the candidates to be initiated had matured on this path and had come to experience its inner meaning, they then learned the nature of the mutual interaction between the one who had been murdered and the one who had been initiated. Through the murder, the victim was to be prepared in his soul to strive upward to the luciferic realm, whereas the candidate for initiation was to obtain the wisdom to mould this earthly world in such a way that souls would be driven out of it. Through the fact that a connection was formed between the murdered and the initiated — one cannot say “murderer,” but “initiated” — it was made possible for the initiated to be taken with the other soul; that is, the initiated could himself forsake the earth at the right moment.
These mysteries, as you will readily admit, are of the most revolting kind. Indeed, they are only in accord with a conception that can be called ahrimanic in the fullest sense. Nevertheless, certain feelings and experiences were to be created on earth by their means. Now, naturally, the evolution of the earth would not continue if, over a considerable part of its surface, mankind and an interest in mankind should completely die out. The interest in humanity, however, did not quite die out even there because other and different mysteries were founded that were designed to counteract the excesses of the Taotl mysteries.
(…)
So, in the cultural impulses that came over from the East, there is clearly and yet to be perceived what was intended to be brought to Europe as an aftermath of the mysteries of the Great Spirit.
Another part of the mystery culture of ancient Atlantis made its way, not toward the East, but toward the West, to the lands of America discovered later on by the Europeans. There the more ahrimanic part of the irregular post-Atlantean culture lived itself out. Whereas the luciferic part lived on more in Asia, the ahrimanic part worked more in America. Within America impulses were to arise that could then percolate from the West. Just as those other impulses could work from the East, so these could infiltrate from the West in order that the ahrimanic attack might be made in the fifth post-Atlantean epoch.
Hence, in the West, the more ahrimanic side of the outlived Atlantean mystery culture was promulgated. This led to the establishment of mysteries that inevitably make a most repulsive impression upon those who have grown up in the tender culture of modern times, and do not like to hear the truth but only blessedness, as it is often called. These post-Atlantean mysteries developed especially on the soil of Mexico. Mysteries were established there, but they spread over a large part of the America the Europeans had not yet discovered. If their impulses and workings had been victorious, these mysteries would have driven souls away from the earth. By this means the service performed by Ahriman, the squeezing out of the lemons, would have become effective. The earth would gradually have become desolate, having upon it only the forces of death, whereas any living souls would have departed to found another planet under the leadership of Lucifer and Ahriman.
In order to execute the ahrimanic part of this task, it was necessary for the priests of those ahrimanic Atlantean mysteries to acquire faculties possessing the highest degrees of control and mastery over all the forces of death in earthly working. These forces would have made the earth; together with physical man — for the souls were to depart — into a purely mechanistic realm, a great dead realm in which no ego could have a place. These faculties would have had to be connected also with mastery of the mechanistic element in everything living, of the mechanistic elements in all life. For this reason these mysteries had to be instituted in a truly devilish form because such forces as would have been needed for the powerful aims of Ahriman can only arise when initiations of a special kind are attained. Such were these initiations of the ahrimanic post-Atlantean era in America. Everyone who was to attain a certain degree of knowledge was made to realize that this knowledge is acquired through certain faculties of perception that can only be engendered through an act of murder. Thus nobody whom had not committed murder was admitted to a certain degree of this initiation. The murder was performed under special circumstances. Steps led up to a kind of catafalque, a scaffold-like structure. The one to be murdered was tied to this and his body bent in such a way that his stomach could be excised with a single cut. This operation, the excision of the stomach, had to be performed with great dexterity. Certain experiences arose from the act of having cut into the living organism with such consummate skill, and under such special conditions. These experiences had to be acquired and through them a certain degree of knowledge concerning the mechanization of the earth could then be attained. Every time higher stages of initiation were to be reached, further murders had to be committed.
This cult was dedicated to the successor, the son of the Great Spirit, in the form he had assumed in America, and who was designated by a sound that approximates Taotl. Taotl is an ahrimanic distortion of the successor of Tao. This being, Taotl did not appear in a physical body but only in an etheric form. His arts, which were essentially impulses for the mechanization of earthly culture and of all earthly life, were acquired through these initiations I have described to you.
Now these initiations had a definite purpose. As has been said, the initiate acquired actual powers of black magic, the application of which would have led to the mechanization of the culture of the earth and to the expulsion of all egos, so that the bodies born would no longer have been capable of bearing an ego. But as forces in the world are in perpetual interaction, he who possessed such powers would also have become earth-bound; the initiate himself would have been permanently fettered to the earth forces. His act bound him to forces of which you will be able to learn something tomorrow at the performance of the scene from Faust, if you will follow attentively what the Lemurs represent. By these practices the initiate united himself with the earth forces and with everything that causes death on the earth. Thereby, he would himself have lost his soul. He saved himself from this fate by bringing it about that, as a result of the excision of the stomach, the soul of the one whom he murdered had lost his desire to come to the earth again and also the soul of the victim was enabled, through the intention of the murderer, to draw the murderer's soul into the realm that was to be founded beyond the earth. The soul of the initiated murderer was thus also to be drawn into the kingdom of Lucifer and Ahriman.
(…)
The problem of natural urges and impulses transforms itself into the problem of happiness or prosperity, which assumes a definite character. Hence in the fifth post-Atlantean epoch, especially in the culture of the West, you find strivings in connection with the problem of prosperity, strivings directed to the creation of prosperity in life. Such striving is influenced by the forces I have described. Investigations are made, for example, into what can be done in order that the life of human beings on earth may be as happy and prosperous as possible. The establishment of earthly prosperity becomes an ideal. I do not say that ahrimanic forces alone are at work here; the good progressive forces are also present.
Thought about happiness and prosperity is, of course, quite justified. But under the influence of Ahriman it has assumed a certain character as a result of a really devilish tenet. This tenet defines the good in such a way that the good is a said to manifest actually through happiness or prosperity, through the happiness indeed of the greatest number, and connected therewith is the misery of the minority, just as if one were to describe an organism by suggesting that it develops only to the knees and dies off from there down. In such identification of happiness with the good, with virtue, there is an ahrimanic impulse. The Greeks, as represented by their greatest individuals, were impervious to such identification of the concept of prosperity with that of the good. But ahrimanic influences produced a mentality in humanity in the fifth post-Atlantean epoch that seeks for the good in prosperity, in happiness.
(…)
In the West there is the danger of becoming enchained within the life of the senses, whereby this life would become egoless. For if prosperity alone were to be established on the earth, the ego would never dwell there. If the good could only be established by the spread of prosperity over the earth, a state of things would arise such as came to pass in old Atlantis. In the middle period of Atlantean culture, too, great impulses were given that would have led to a state of prosperity in their further course. In the form and effects of what men first felt as an impetus of the good, they perceived a vista of prosperity, and so they gave themselves up to prosperity, devoted themselves wholly to it. The earth had to be purged of Atlantean culture because men had preserved from the good the element of prosperity alone. In the post-Atlantean era, Ahriman strives by direct means to institute a culture of mere prosperity. This would mean pressing out the lemon, the doing away with it! Egos would no longer be able to live if prosperity were the only aim pursued by culture. In short, prosperity and the good, prosperity and virtue are not concepts that can be substituted for one another.
We are gazing here into profound secrets of life. A justified element in the founding of culture, an element that inevitably leads to a certain form of prosperity among men, is so distorted that prosperity per se is set up as the goal.(…)





À propos d'êtres démoniaques à l'aspect reptilien:


(26 dec 1908, Métamorphose de la conscience au cours des âges)
We have passed through very different forms before developing into what we are today. However, what we have overcome and cast forth appears in a quite distinct, external form. In order to estrange ourselves from our giant power, we had to cast forth our giant shapes and overcome them, refining our forces and raising them to the intellectual soul and the consciousness soul. There are indeed beings who have remained at the stage of the rough forces. Wherever something evil appears and has to be overcome, something that has remained stationary on the astral plane, it always appears as a “dragon” or something similar; this is none other than the grotesque form, transformed in the spiritual world, of what human beings had to change and cast forth from themselves.
(26 dec. 1908, The Poetry and Meaning of Fairy Tales)
 (28 mars 1911, L'événement du Christ)


(16 oct 1905, Éléments d'ésotérisme)

Already on the Old Moon man had some slight power of using both his front limbs for the purpose of grasping, so that now the time came for assuming the upright posture. His other living companions were, in the Lemurian Age, of the nature of reptiles; animals of grotesque shapes who have left no traces behind them. The ichthyosaurs and so on are descendants of these animals. It is a fact that at that time the earth was inhabited by beings reptilian in character; human bodies too were reptile-like. When eventually this reptilian human being assumed the upright posture, the formation of the head, quite open in front, out of which gushed a fiery cloud, became visible. This gave rise to the tales about the winged serpent, about the dragon. Such was man's grotesque form at that time, reptile-like. The Guardian of the Threshold, the lower nature of man, frequently appears in a form of this kind. It represents the lower nature with the open formation of the head. At that time, the union took place between these forms on the earth and the other beings already described. The astral body with the head formation united with the winged-serpent body with its fiery opening. It was the fructification of the maternal earth with the paternal spirit. In this way there proceeded the fructification with the Manas forces. The lower astral body merged with the higher astral body. A great part of the astral body, as it then was, fell away. One portion formed the lower parts of the human astral body, and the other newly acquired astral body, connected with the head, united with the upper parts of the human being. What was then peeled off abandoned this astral body which was bound up with the form of the winged-serpent; it could no longer have any further development on the Earth. It formed, as a conglomerate substance, the astral sphere of the moon, the so-called eighth sphere. (50) The moon actually provides shelter for astral beings which have come into existence through the fact that man has thrown something off.
(16 oct 1905 Foundations of Esotericism)



Les êtres démoniaques souterrains qui veulent conquérir notre monde et remplacer l'être humain:

Cela se passe ainsi : peu de temps avant que nous ne naissions, un autre être spirituel, nous dirions aujourd’hui selon notre terminologie, un être ahrimanien, s’introduit en nous. Il est tout autant en nous que notre propre âme. Ces entités qui vivent leur vie du fait qu’elles utilisent les hommes eux-mêmes pour pouvoir exister dans la sphère où elles veulent se trouver, ont une intelligence exceptionnellement élevée et une volonté très fortement développée, mais aucune sensibilité, aucune humanité ; elles n’ont pas les forces du cœur humain. – Et nous traversons ainsi la vie en ayant notre âme et un tel double, qui est plus intelligent, beaucoup plus intelligent que nous, mais qui a une intelligence méphistophélique, une intelligence ahrimanienne, et en plus, une volonté ahrimanienne, une volonté très forte, une volonté qui est beaucoup plus proche des forces de la nature que notre volonté humaine, laquelle est régulée par notre cœur.

Au XIXe siècle, la science a découvert que notre système nerveux était parcouru par des forces électriques. Elle avait raison. Mais lorsqu’elle a cru, lorsque les chercheurs croient que la force nerveuse qui fait partie de nous, qui est la base de notre vie mentale, a quoi que ce soit à voir avec des courants électriques, ils ont tort. Car les courants électriques sont les forces qui ont été déposées en nous par cet être que je viens de décrire, ils ne font pas du tout partie de notre être : nous portons effectivement aussi des courants électriques en nous, mais ils sont purement de nature ahrimanienne.

Ces entités hautement intelligentes, mais d’une intelligence purement méphistophélique, et d’une volonté plus apparentée à la nature que cela ne peut être dit de la volonté humaine, ont décidé un jour, de leur propre volonté, de ne pas vouloir vivre dans le monde auquel les dieux pleins de sagesse de la hiérarchie supérieure les avaient destinées à vivre. Pour conquérir la terre, elles ont besoin de corps ; n’ayant pas de corps propre, elles utilisent le corps humain autant qu’elles le peuvent, puisque l’âme humaine ne peut pas complètement remplir le corps humain.

Ces entités peuvent donc, compte tenu de la manière dont se développe le corps humain, s’introduire dans celui-ci à un moment donné avant que la personne ne naisse, et elles nous accompagnent, en restant en dessous du seuil de notre conscience. (…)

De cela aussi, dont je parle maintenant, certaines confréries sont au courant depuis longtemps ; elles connaissent très bien ces choses et n’en ont pas fait part à l’humanité – une fois de plus, nous ne voulons pas examiner de quel droit. Aujourd’hui, la situation est telle qu’il est impossible de ne pas munir peu à peu les hommes de telles notions dont ils ont besoin après avoir franchi la porte de la mort. Car tout ce que l’homme vit ici, y compris ce qu’il vit en deçà du seuil de la conscience, il en a besoin après la mort, parce qu’il doit voir rétrospectivement cette vie et que, dans sa vision rétrospective, cette vie doit lui être tout à fait compréhensible, et que c’est la pire des choses s’il ne le peut pas. Mais on n’a pas de concepts suffisants pour comprendre rétrospectivement cette vie si l’on ne peut pas jeter un éclairage sur un être qui prend une telle part à notre vie comme le fait cet être ahrimanien, qui prend possession de nous avant notre naissance, qui est toujours là, et fait son théâtre devant nous, dans le subconscient, si nous ne pouvons pas toujours et encore jeter une lumière sur lui. Car la sagesse devient lumière après la mort. Or ces êtres sont, en tout état de cause, d’une très grande importance pour la vie humaine, et la connaissance de ces êtres devra peu à peu venir aux hommes, et elle leur viendra.

Seulement, elle devra leur venir de la bonne manière ; cette connaissance ne doit pas, par exemple, être seulement répandue dans le monde par ces sociétés occultes qui en font une question de pouvoir et qui veulent, par là, accroître leur propre pouvoir, et elle ne doit surtout pas continuer à être soigneusement protégée pour accroître le pouvoir de certaines confréries qui agissent égoïstement. L’humanité aspire à un savoir universel, et ce savoir doit être diffusé. Car il ne peut plus être salutaire, à l’avenir, que des confréries occultes puissent utiliser de telles choses pour étendre leur pouvoir.

Les hommes devront de plus en plus être gagnés, dans les siècles à venir, par la connaissance de ces entités. Ils devront de plus en plus savoir, dans les siècles à venir, qu’ils portent en eux un tel double, qu’ils portent en eux un double méphistophélique, ahrimanien. Il faut que les hommes le sachent. Il est vrai qu’aujourd’hui, l’être humain développe déjà toute une multitude de concepts, mais qui au fond ne peuvent aboutir, parce que l’homme, malgré tout, ne sait encore rien en faire de juste. L’homme, dis-je, développe aujourd’hui des concepts qui ne pourront être établis sur une base juste qu’à partir du moment où ils seront rapprochés de la réalité qui leur est sous-jacente. (…)

Les tâches se répartissent donc dans l’organisme humain, il est différencié. De même, notre Terre est elle aussi différenciée. Elle n’est absolument pas un être qui rayonnerait partout la même chose sur ses habitants, mais ce sont des rayonnements très différents qui remontent vers les régions les plus diverses de la terre. Il existe là différentes forces : magnétiques, électriques, mais aussi des forces qui remontent beaucoup plus dans le domaine du vivant et qui influencent l’homme de la manière la plus diversifiée aux différents points de la Terre, c’est-à-dire qui influencent l’homme différemment selon la configuration géographique. (…)

Ce que le Russe aime dans sa terre, ce dont il s’imprègne, lui donne certaines faiblesses, mais surtout aussi une certaine capacité à surmonter la nature de ce double dont j’ai parlé tout à l’heure. C’est pourquoi le Russe sera appelé à fournir les impulsions les plus importantes à l’époque où cette nature du double devra définitivement être combattue, dans la sixième période de civilisation post-atlantéenne.

Mais il y a un lieu à la surface de la terre qui présente la plus grande parenté avec ces forces. Lorsque l’homme s’y rend, il entre dans leur domaine d’influence ; dès qu’il le quitte, il n’en est plus ainsi, car il s’agit de caractéristiques géographiques, non pas ethnographiques ou nationales, mais purement géographiques. La région où ce qui afflue depuis le bas exerce la plus grande influence sur le double, et où cela se communique donc aussi de nouveau à la terre, du fait que cela s’apparente le plus chez le double à ce qui émane de lui, est la région de la terre où la plupart des montagnes ne sont pas orientées transversalement, d’Ouest en Est, mais où les montagnes sont principalement orientées du Nord au Sud – car cela est également en lien avec ces forces – et où l’on est proche du pôle nord magnétique.

C’est la région où, sous l’effet des conditions extérieures, se développe avant tout une parenté avec la nature méphistophélique ahrimanienne. Et beaucoup, dans l’évolution de la Terre qui poursuit sa marche en avant, est dû à cette parenté. L’homme n’est pas en droit, aujourd’hui, de passer par l’évolution de la Terre en aveugle ; il doit percer à jour ces liens entre les choses. L’Europe ne pourra établir des rapports justes avec l’Amérique que si ces circonstances peuvent être percées à jour, que si l’on sait quelles limitations d’ordre géographique viennent de là-bas. Sinon, si l’Europe continue à rester aveugle à ce propos, il en ira de cette pauvre Europe comme il en alla de la Grèce par rapport à Rome. Il ne faut pas qu’il en soit ainsi ; il ne faut pas que le monde soit géographiquement américanisé.

Mais ce point demande tout d’abord à être compris. Les choses ne doivent pas être prises aussi peu au sérieux qu’elles le sont fréquemment aujourd’hui. Car voyez-vous, les choses reposent sur des fondements profonds, et il faut aujourd’hui des connaissances, et pas seulement des sympathies et des antipathies, pour pouvoir prendre position dans le contexte dans lequel l’humanité actuelle est placée d’une manière si tragique. Ce sont là les choses que nous pouvons discuter encore plus en détail ici ; dans les conférences publiques, elles ne peuvent qu’être évoquées. Hier, j’ai attiré l’attention {45} sur la nécessité que ce qui est appelé science de l’esprit pénètre vraiment aussi dans les idées sociales et politiques. Car les efforts de l’Amérique visent à tout mécaniser, à tout faire entrer dans le domaine du pur naturalisme, à effacer peu à peu de la surface de la terre la culture de l’Europe. Elle ne peut pas faire autrement. (…)


Les milieux qui veulent introduire l’Antichrist en le faisant passer pour le Christ visent à exploiter ce qui peut agir notamment au moyen des forces les plus matérielles, mais qui, au moyen de ces forces les plus matérielles, agit justement de manière spirituelle. Ces mouvements visent surtout à exploiter l’électricité, et notamment le magnétisme terrestre, pour produire des effets sur toute la terre. Je vous ai montré {194} comment, dans ce que j’ai appelé le double de l’homme, montent les forces de la terre. On lèvera le voile sur ce mystère. Les Américains détiendront le secret d’utiliser le magnétisme terrestre dans sa dualité du magnétisme nord et du magnétisme sud, pour envoyer sur toute la terre des forces de domination qui agissent sur un plan spirituel. (…)

Surtout, il faudra découvrir le mystère de la manière dont Ce qui agit depuis le cosmos comme une force solaire selon la direction venant des Poissons se relie avec ce qui agit depuis le cosmos selon la direction qui vient de la Vierge. C’est là le bien que l’on découvrira, à savoir la manière dont, depuis deux côtés du cosmos, les forces du matin et les forces du soir peuvent être mises au service de l’humanité ; d’un côté, en provenance des Poissons, et de l’autre côté, en provenance de la Vierge (voir dessin plus bas).

On ne s’occupera pas de ces forces, par contre, là où l’on essaiera de tout obtenir par le dualisme de la polarité des forces positives et négatives. Les mystères spirituels en vertu desquels ce qui est cosmique peut, sur terre – à l’aide des forces doubles du magnétisme, le positif et le négatif ― traverser ce qui est spirituel, proviennent des Gémeaux ; ce sont des forces de midi. Déjà dans l’Antiquité, on savait qu’il s’agissait là de quelque chose de cosmique, et les scientifiques savent bien, aujourd’hui, sur le plan exotérique, qu’il existe d’une manière ou d’une autre, dans le zodiaque, derrière les Gémeaux, un magnétisme positif et un magnétisme négatif. Il s’agira alors de paralyser ce qui doit être tiré du cosmos par la manifestation de la dualité, de le paralyser d’une manière égoïste, matérialiste, au moyen des forces qui affluent vers l’humanité depuis les Gémeaux, et qui peuvent être entièrement mises au service du double.




À propos des êtres prématurés du futur qui s'incarnent dans les membres des loges:







I am obliged to speak in pictures — there are also beings of a contrary nature, to whom I alluded in my last lecture in another connection. And this latter class of beings has to do with all that comes to expression in man's instinctive urges and impulses, in his desires and passions. You must not however think of them as belonging first and foremost to man. In man we can see the results of their activity. But they have their home, so to speak, right on the Earth. Only we cannot see them, for these beings too have not a body that is formed in such a way as to be visible to us. They have, in fact, a body that lives entirely in the elements of earth and water. And their deeds are to be seen in the ebb and flow of the tides, in volcanic eruptions and in earthquakes. Natural Science, as is well-known, can find no satisfactory explanation for these phenomena. One who has keen spiritual perception can however see behind them a world of sub-human beings, who are under the control of the powers to which I have always given the name of the Ahrimanic powers.
Now, these Ahrimanic powers also cherish a particular aim as regards man. With the help of their various sub-spirits, which inhabit the earth and water elements of our Earth and can, for example, be recognised even in the kobolds or brownies of fairy lore — aided by these, the Ahrimanic powers have set themselves to carry out another and a different project.
If one considers these Luciferic and Ahrimanic beings by themselves, just as they are, one cannot, you know, be angry with them. Why be angry with the Luciferic beings, for instance? They want to make man into a being who is moral entirely as a matter of course. What could be better? Man would, it is true, never under their influence be free, he would be an automaton; but what they seek and desire for him can nevertheless be truthfully described as good.
Now let us see what is the aim of these other beings, who build their strongholds immediately below the surface of the Earth, and whose activities rise up into man’s metabolism, — for the phenomena we observe in the tides and less frequently in volcanic eruptions and earthquakes are always present also in the ebb and flow in man's metabolism. Whilst the Luciferic spirits build, as we said, their strongholds in the air, in order to fight for the moral — as against the earthly — element in man, the Ahrimanic beings struggle to harden man; they want to make him like themselves. Were they to be successful, man would become extremely clever in the material realm — incredibly clever and intelligent. They cannot achieve their end directly, but they aim at doing so indirectly. And their efforts, which have actually been going on for thousands of years, have in fact succeeded in producing a whole race of sub-human beings. Their method is as follows.
Suppose a man has strong and rude instincts. These beings will clutch at his instinctive nature and seize hold of it. The man then falls victim to the Ahrimanic powers. He is completely given up to his passions and leads a wild and dissolute life. When a man has in this way become a prey, during his earthly life, to the Ahrimanic powers, then these powers will be able to hold on to his instinctive nature and tear it out of him after death. There exists already on the Earth a whole population of beings who have arisen in this way. They are there, in the elements of earth and water, a sub-human race. And then what is it the Ahrimanic powers intend with this sub-human race? As we have seen, they draw out of a human being his instinctive nature and make of it an earth-and-water being. These earth-water beings inhabit the strata immediately below the surface of the Earth; and those who go down into mines, if they are able to look with spiritual vision, are quite familiar with them. They are beings that have been snatched out of man in the moment of death. And with what ultimate aim? Ahriman is waiting. The Ahrimanic powers are waiting for the time when men will descend to incarnation and, on account of a karma that their instincts and passions have prepared for them, feel particularly drawn to certain of these beings and say to themselves: “I will not go back to the spiritual world; when I have left my physical body” — out of which, as you know, man generally goes forth to a super-sensible life — “I will incorporate myself in a subsensible being of this kind. And that will mean, I shall be able to stay on the Earth. I shall not die any more, but be permanently united with the Earth. Yes, I will choose to be a subsensible being.”
It may sound incredible — and indeed it is astonishing, considering how extraordinary clever they are, — but it is a fact that the Ahrimanic beings persist in believing they will ultimately be able in this way to entice such a vast number of human beings into their own race that the Earth will one day be peopled entirely with such Ahrimanic sub-human beings. By this means they hope to make the Earth itself immortal, so that the hour may never come for it to perish and be dispersed in cosmic space.
We have thus around us in our earthly environment two hosts of beings; one in the air, that wants to make man moral but to lift him away from the Earth, and then we have also, immediately below the surface of the Earth, the Ahrimanic beings who want to draw man down and fasten him permanently to the Earth.












 The one who knows that not more than thirty or forty people participated in Europe in the decisive events of the year 1914, and who also knows the soul condition in which most of these people were, will be confronted by this significant problem. For most of these people, as strange as it may sound today, my dear friends, most of these people had a dulled, obscured state of consciousness. During the last few years much has occurred that was caused by a dulled human consciousness. In the decisive places of the year 1914 we see everywhere that the most important decisions of the end of July and the beginning of August were reached with an obscured consciousness; and this has continued on right into our present day. This is a problem, terrifying in its nature. If we investigate it spiritual-scientifically, then we find that these obscured consciousnesses were the gateways through which precisely these will-beings were able to take possession of the consciousness of these men; they took possession of the obscured, veiled consciousness of these human beings and acted with their consciousness. And these beings who thus took possession, who are still sub-human beings, what kind of beings are they? We have to pose this question very seriously: What kind of beings are they?Well, my dear friends, we have asked about the origin of human intelligence, about the origin of human intelligent behavior which, stating it simply, has its instrument in our head organism. And we have seen that this intelligent constitution of our soul stems from that deed of the Archangel Michael which is commonly presented in the symbol of the fall, the casting down of the Dragon. This is actually a very trivial symbol. For, if we really conceive of Michael and the Dragon, we have to visualize, first, the Michael Being, and, secondly, the Dragon who, in reality, consists of all that which enters into our so-called reason, into our intelligence. Not into a hell does Michael cast his opposing hosts, but into the human heads; there this Luciferic impulse continues to live. I have characterized human intelligence as an actual Luciferic impulse. Thus we may say: if we look back into the evolution of the Earth, we find the Michael-deed, and to this Michael-deed is joined the illumination of man by his reason.
The sub-human beings whose main character consists of an impulse which strongly coincides with human willing, with the human power of will, now appear from below, as it were, whereas the hosts of forces cast down by Michael came from above; and while these latter took possession of the human power of will; they unite themselves with it and are beings produced by the realm of Ahriman. Ahrimanic influences acted through those obscured consciousnesses. Indeed, my dear friends, as long as one does not take into consideration these forces as forces objectively existing in the world just as one takes into consideration what today is called magnetism, electricity, and so forth, one will not gain an insight into that nature which, according to Goethe's prose Hymn to Nature, comprises man. For nature, as it is conceived of in today's natural science does not contain man, but merely the human physical self.
At the beginning of Earth becoming we have to do with a downfall of Luciferic beings; today we have a rise of Ahrimanic beings. The former beings influence the Luciferic power of thought, the latter the human power of will; we have to recognize the arrival of these latter beings within the evolution of mankind. We have to realize that these beings arrive and that we have to reckon with a conception of nature which, to be sure, for the time being only includes man; for the animal kingdom will only be included later on in the Earth period. Upon the animal these beings have no influences as yet. We shall not comprehend the human race without taking these beings into consideration. And these beings, who are, as it were, pushed from behind, for behind them there stands the Ahrimanic power which endows them with their strong will power, which pours into them their directive forces, — these beings who as such are sub-human beings are controlled in their totality by higher Ahrimanic spirits and thus contain something which far surpasses their own nature and being. Therefore they show something in their appearance which, if it takes the human being captive, acts much more strongly, very much more strongly than that which the weak human being can control today, if he does not strengthen it through the spirit. What is the aim of this host? Well, my dear friends, just as the hosts which Michael has pushed down have aimed at human illumination, at human permeation with reason, so these hosts aim at a certain permeation of human willing. And what do they want? They burrow, as it were, in the deepest stratum of consciousness in which the human being is still asleep today in his waking state. Man does not notice how these beings enter his soul and also his body.
(November 29, 1919. Mission of the Archangel Michael)








Les morts restent pris dans la loge, deviennent la clientèle des loges à cause du matérialisme répandu par les loges:


En franchissant la porte de la mort, dans les conditions actuelles de l’évolution, l’homme emporte avec lui les caractéristiques de sa conscience qu’il s’est lui-même forgées entre la naissance et la mort. La personne qui, dans les circonstances actuelles, s’est exclusivement occupée, de représentations, de concepts et de sensations se rapportant au monde matériel, au monde des sens, se condamne, dans les conditions actuelles, à ne vivre, après sa mort, que dans un environnement en rapport avec les idées qu’elle s’est formées pendant sa vie corporelle.

Tandis que celui qui accueille en lui des représentations spirituelles entre légitimement dans le monde spirituel, celui qui refuse d’accueillir en lui de telles représentations doit demeurer, dans un certain sens, dans des conditions terrestres, jusqu’à ce qu’il ait appris – et cela dure longtemps – à accueillir là-bas en lui assez de notions spirituelles pour qu’il puisse être porté par elles dans le monde spirituel. Donc, selon que nous accueillons ici en nous des notions spirituelles ou non, nous détermnons notre environnement là-bas.

Beaucoup de ceux – on peut seulement le dire avec compassion – qui se sont refusés à accueillir en eux des notions spirituelles durant leur vie ici-bas ou qui ont été empêchés de le faire, évoluent encore sur terre quand ils sont morts, et restent en lien avec la sphère terrestre. Et là, l’âme humaine, lorsqu’elle n’est plus protégée de l’environnement par un corps, lequel ne l’empêche plus désormais d’agir de manière destructive, là cette âme humaine, lorsqu’elle vit dans la sphère terrestre, devient alors un centre destructeur.

Considérons donc ce cas, je dirais, plus normal, où, dans les conditions actuelles, des âmes qui ne voulaient absolument pas entendre parler de concepts ou de sentiments spirituels passent dans le monde spirituel après la mort : elles deviennent des centres destructeurs, parce qu’elles sont retenues dans la sphère terrestre. Seules les âmes qui sont déjà pénétrées ici d’un certain lien avec le monde spirituel franchissent la porte de la mort de façon à être accueillies dans le monde spirituel de la bonne manière. Elles sont soustraites à la sphère terrestre et peuvent tisser en direction aussi de ceux qui sont restés sur terre les fils qui se tissent en permanence.

Les fils spirituels entre les âmes des morts et nous-mêmes, qui étions en lien avec ces âmes, ne sont pas rompus par la mort, mais demeurent, et sont même beaucoup plus forts après la mort qu’ils ne l’étaient ici. Mais ce que j’ai dit doit être compris comme une vérité sérieuse, d’une grande importance.

Le fait qu’il en est ainsi à notre époque est une fois de plus quelque chose que je ne suis pas seul à savoir, que d’autres savent aussi. Mais il existe beaucoup de gens qui exploitent cette vérité justement dans un sens très pernicieux. Il existe aujourd’hui des matérialistes induits en erreur qui pensent que la vie matérielle est la seule vie ; mais il existe aussi des initiés qui sont des matérialistes et qui font répandre des théories matérialistes par l’intermédiaire de certaines confréries. Vous ne devez pas croire, au sujet de ces initiés, qu’ils défendraient par exemple le point de vue stupide selon lequel il n’existe pas d’esprit et que l’homme ne possède pas une âme capable d’être indépendante du corps et de vivre sans lui.

Vous pouvez admettre en toute confiance que celui qui est vraiment initié au monde spirituel ne se laisse jamais aller à la stupidité de croire qu’il n’existe rien en dehors de la matière. Mais il y a beaucoup de gens qui, d’une certaine manière, ont intérêt à faire que le matérialisme se répande et qui organisent toutes sortes de manifestations pour qu’une grande partie de l’humanité croie uniquement au matérialisme et soit entièrement sous l’influence du matérialisme. Ainsi, il existe des confréries, avec à leur tête des initiés, qui trouvent justement un tel intérêt à cultiver et à répandre le matérialisme. Pour elles, il est très utile que l’on raconte continuellement que le matérialisme est en fait déjà dépassé. Car l’on peut aussi s’efforcer d’atteindre une chose en utilisant les mots qui veulent dire le contraire ; les manières de procéder sont souvent très complexes.

Que veulent donc ces initiés qui savent en fait très bien que l’âme humaine est un être purement spirituel, un être spirituel totalement indépendant par rapport au corps, et qui, malgré tout, nourrissent et cultivent cette manière de penser matérialiste ? Ces initiés veulent qu’il y ait le plus d’âmes possibles qui n’accueillent en elles, entre la naissance et la mort, que des idées matérialistes. De cette façon, ces âmes sont préparées à rester dans la sphère terrestre. Elles sont pour ainsi dire maintenues dans la sphère terrestre. Et maintenant songez que des confréries sont constituées, des confréries qui savent cela très précisément, qui connaissent bien cet état de fait. Ces confréries préparent certaines âmes humaines de façon que ces âmes demeurent après leur mort dans le règne de la matérialité.

Lorsque, ensuite, ces confréries – comme peut le permettre leur pouvoir scélérat – prennent les dispositions nécessaires pour que ces âmes entrent après la mort dans leurs sphères de pouvoir, elles voient leur puissance s’accroître considérablement. Ces matérialistes ne sont donc pas des matérialistes parce qu’ils ne croiraient pas à l’esprit – ces initiés matérialistes ne sont pas aussi insensés –, ils savent très bien ce qu’il en est de l’esprit ; mais ils font en sorte que les âmes restent dans la matière, même après leur mort, afin d’utiliser ces âmes à leurs fins. C’est ainsi que de telles confréries se créent une clientèle d’âmes de défunts qui demeurent dans la région de la terre. Ces âmes de défunts possèdent en elles des forces qui peuvent être dirigées de manières très variées, des forces au moyen desquelles on peut provoquer diverses choses et par lesquelles on peut parvenir à des déploiements de puissance très particuliers.

C’est simplement l’une des choses qu’organisent certaines confréries. Et dans cette affaire, seul voit clair celui qui ne se laisse pas conter de choses obscures et nébuleuses ; qui ne se laisse pas conter qu’il n’existe pas de telles confréries, ni que leurs activités sont inoffensives. Elles ne sont sûrement pas inoffensives ; elles sont même très nocives. Pour elles, il faut que les hommes s’enfoncent toujours davantage dans le matérialisme. Il faut, conformément aux intentions de ces initiés, que les hommes croient qu’il existe, certes, des forces spirituelles, mais que ces forces spirituelles ne sont rien d’autre que certaines forces de la nature.

À présent, je voudrais tout de même vous caractériser l’idéal que nourrissent ces confréries. Il faut se donner un peu de mal pour comprendre cette affaire. Imaginez donc un monde inoffensif d’êtres humains, un monde un peu déconcerté par les idées matérialistes qui prédominent aujourd’hui, un monde qui s’est un peu écarté des anciennes représentations religieuses éprouvées. Imaginez une telle humanité inoffensive. Peut-être pouvons-nous nous en donner une bonne représentation graphique (un dessin est esquissé) ; nous imaginons ici le domaine d’une telle humanité inoffensive (grand cercle, clair). Comme cela a été dit, cette humanité n’est pas très au fait du monde spirituel ; déconcertée par le matérialisme, elle ne sait pas très bien comment elle doit se comporter face au monde spirituel. Notamment, elle ne sait pas très bien comment se comporter vis à vis de ceux qui ont franchi la porte de la mort.



Supposons à présent que l’on ait ici le territoire d’une telle confrérie (petit cercle, vert), que cette confrérie répande la doctrine du matérialisme, qu’elle fasse tout au moins en sorte que ces hommes pensent d’une manière purement matérialiste. Par là, cette confrérie réussit à se fabriquer des âmes qui restent après la mort dans la sphère terrestre. Ces âmes deviennent une clientèle spirituelle pour cette loge (voir dessin, orange) ; c’est-à-dire que l’on s’est procuré par là des morts qui ne sortent pas de la sphère terrestre, mais restent attachés à la terre. Si on s’organise de la bonne manière, on les garde à l’intérieur des loges. On a donc créé de cette façon des loges qui contiennent des vivants et aussi des morts, mais des morts qui se sont apparentés aux forces terrestres.

Or l’on dirige les choses de telle façon que ces personnes clarté – j’ai à plusieurs reprises attiré votre attention sur le fait qu’au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, beaucoup de confréries ont introduit le spiritisme à titre d’essai, pour, à travers cet essai, avoir la conviction qu’ils en étaient déjà arrivé avec l’humanité au point où ils voulaient en venir. C’était faire des essais pour savoir où ils en étaient avec l’humanité. Dans les séances spirites – c’était là leur attente –, les gens devaient dire : Il existe des forces supérieures de la nature. Et ils furent déçus, ces Frères de la Gauche, déçus que les hommes n’aient pas dit la plupart du temps : Il existe des forces supérieures de la nature – mais qu’ils aient dit : Dans les séances les esprits des morts nous apparaissent. Ce fut pour les initiés une amère déception. C’était justement ce qu’ils ne voulaient pas ; car les initiés voulaient ôter aux hommes la croyance dans les morts. Non pas l’efficacité des morts, non pas l’efficacité des forces des morts, mais la pensée que cela vient des morts, cette véritable, cette importante pensée, voilà ce qui devait être ôté aux hommes. Vous voyez, c’est un matérialisme supérieur ; c’est un matérialisme qui ne nie pas seulement l’esprit, mais qui veut introduire de force l’esprit dans la matière. Vous voyez, le matérialisme a encore des formes qui permettent de le nier. On peut dire que le matérialisme a disparu, et que l’on parle déjà de l’esprit. Mais tous parlent de l’esprit de façon nébuleuse. On peut alors très bien rester matérialiste si l’on transforme toute la nature en esprit d’une manière telle qu’il en sort le psychisme. (…)(18 nov. 1915, Derrière le voile des événements - Le Mystère du Double)





Politiciens possédés et domination anglo-économique mondiale voulue par les loges

C'est pourquoi il est important de ne pas aborder ce que propose Woodrow Wilson uniquement avec le penser actuel inculqué aux hommes de diverses manières, mais d'avoir conscience, grâce à une connaissance plus approfondie des choses, de ce qui n'est qu'instinct, même chez des hommes comme Woodrow Wilson, de ce qui, dissimulé sous toutes formes de principes, fascine les êtres humains, mais n'émane cependant de l'âme en question que parce que celle-ci est en quelque sorte possédée par des forces subconscientes.
Les cercles occidentaux qui gardent leur savoir secret tiennent donc particulièrement à ce que certaines choses évoluent de sorte que, quoi qu'il advienne, l'Occident acquière le pouvoir sur l'est. Les gens peuvent bien dire aujourd'hui ce qu'ils veulent en leur conscience, la volonté actuelle est de fonder à l'ouest une caste de « maîtres » et à l'est, une caste économique d'esclaves, sur les territoires s'étendant du Rhin jusqu'en Asie. Non pas une caste d'esclaves au sens grec antique, mais une caste économique d'esclaves qui est censée être organisée à la manière socialiste, censée assumer toutes les impossibilités d'une structure sociale, mais dont le modèle ne doit surtout pas être appliqué aux populations anglophones, qui doivent devenir les maîtres de la Terre.
(1 dec 1918, Les exigences sociales fondamentales de notre temps)




La magie cérémonielle et ses effets, sous influence des Anges retardés d'Égypte ancienne:
Something else, too, is necessary, and that is the goodwill to resist all that untruthfulness about which we have been speaking in these lectures. All these untruthfulnesses that buzz about in the world enter into what might be called the spiritual aura and generate there a thick fog which the dead find impossible to penetrate. This thick fog contains all that black rubbish which comes, for instance — to name only one source — from today's journalism, in the form of untruths which are printed and repeated, creating an aura of untruthfulness spanning the earth. It is no exaggeration to say that it is exceedingly difficult for the dead to penetrate this black fog. Therefore, with the help of ideas such as those we have been developing concerning the absolutely concrete untruthfulness buzzing about in the world, it is necessary to endeavour to reach clarity, to really make the effort in this field to recognize the purely external truth of the physical plane in so far as this can become accessible to us, in order not to cover our soul with a dense fog through which the spiritual world simply cannot penetrate. You will understand how very necessary this is.
In conjunction with the concepts we have just been discussing, let us now touch on the question: What is the aim of those secret societies which send impulses of the kind we have been describing into the world, impulses which then live in the life of untruthfulness and which have led, out of this untruthfulness, to the painful events of today? What do these secret societies want? Among others — we cannot go into everything — there is one particular thing they want: They want to materialize materialism even further; they want to create even more materialism in the world than would come about as part of the natural evolution of mankind in the fifth post-Atlantean period. They want even more materialism. This is only one aspect of what they are aiming for, but it is the aspect we want at least to touch on here. With this aspect in mind such societies are founded and with this aspect in mind people are persuaded to join them, people who are approached during their lives because they are deemed suitable.
There are the most varied types of such societies. One type, much in evidence in the West and taking all kinds of forms, includes organizations which practise ceremonial magic. Ceremonial magic can, of course, be good magic, but we are speaking now of those societies which do not practise ceremonial magic for the good of mankind in general, but for the good of certain groups of people, or certain specific aims which are not general human aims.
Let us look first at those societies which practise ceremonial magic from this point of view. As we have said, it can be good, but in these societies it is not good. Certain kinds of ceremonial magic have definite effects on the human physical body. Everything physical is, after all, a manifestation of the spirit. Certain spiritual aspects which come into being under the influence of ceremonial magic can have an effect on the human physical body, specifically on the system of ganglia, as I described it the other day, and also on the spinal system. The cerebral system is the most difficult of all to influence by means of ceremonial magic. All this has to be done via the detour of the spiritual element, but it can be done and it can become effective.
Imagine certain secret societies carrying on a form of ceremonial magic directed towards its grey or black aspects. Imagine they influence their members in a way that affects even their physical body, even the delicate vibrations and weavings of their physical body, so that something spiritual flows into this physical body.
What is the consequence? The consequence is that something now comes about which was suitable in earlier periods of human evolution but is no longer permissible today. Such procedures make it possible for the spiritual world to influence those human beings who participate, even though they do not turn towards it along the path I have described. This means that it becomes possible for the dead, as well as other spirits, to influence the members of a circle created by ceremonial magic. In this way today's materialism can be made hyper-materialistic.
Imagine a human being — and there are countless such in the West — who is entirely materialistic, not only in his view of the world but also in all his feelings and sensations. And then imagine this materialistic disposition increasing to a high degree. Such a person must of necessity develop an urge to exercise an influence on the material world, not only while he lives in his physical body but also after he has died. He is bent on the following: When I die I want to have some abode through which I can affect the people I have left behind on the earth, or who are trained in such a way in relation to me. There are indeed certain people today whose materialistic urge is so great that they strive for means by which they can cultivate connections with the physical world even beyond death. And such means, through which a person secures for himself the possibility of affecting the material world from beyond death, are abodes of certain kinds of ceremonial magical practice.
This is something that can have immense consequences. Imagine a number of people brought together to form a certain brotherhood. These people know: Others have gone before us; their urge to exercise their power was so great that their life on earth was not enough for its gratification, so they want to go on gratifying it even after death. For them we are creating an abode, and through the acts of ceremonial magic we perform, they work into our bodies. Because of this we gain greater power than we have; because of this we are enabled to exercise a certain degree of magical power over other, weaker people who stand outside such brotherhoods. When we speak words, when we give a speech, these dead souls work in us because we have been prepared by sharing in these acts of ceremonial magic.
It is one thing if somebody who simply participates honestly in the cultural processes of our time gives a speech in parliament or writes a newspaper article. But it is something entirely different if a person who belongs to a circle of ceremonial magic, and is thus strengthened by the power urges of some who have died, gives a speech in parliament or writes an article for a newspaper.
The latter exercises an immensely greater degree of influence in the direction of his wishes than would be the case if he did not have this backing. This is one side of the matter.
The other side is that those who enter the circle of certain societies practising ceremonial magic are securing for themselves a power that reaches beyond death, a kind of ahrimanic immortality. For these people this is their main concern. For them, the society they enter provides a kind of guarantee that certain forces — which should by rights only live in them until the moment of death — will continue to live, even beyond death. More people than you might think are nowadays filled with this idea of guaranteeing for themselves an ahrimanic immortality, which consists in exercising influence not only as an individual human being, but also through the instrument of a society of this kind. Such societies exist in the most varied forms, and individuals who have attained certain degrees of advancement in these societies know: As a member of this society I shall become to some degree immortal because forces which would otherwise come to an end at my death will continue to work beyond death.
What these people then experience through this ceremonial magic makes them quite oblivious to a thought which would concern someone who takes such things truly seriously and in a genuinely dignified way. This is that the more a person gains by way of materialistic immortality, or rather ahrimanic immortality, the more he loses of the consciousness of true, genuine immortality. Yet materialism has taken such a hold on many souls today that they remain unconcerned about this and are tricked into striving for ahrimanic immortality. It could indeed be said that societies exist today which, from a spiritual or occult point of view, could be called ‘insurance companies for ahrimanic immortality’!
It is only a small number of people in each case who understand all these things. For as a rule these societies are organized in such a way that the ceremonial magic they practise influences only those who are unaware of the implications, merely desiring to make contact with the spiritual world by means of symbolic ceremonies. There are many such people. And those who have this desire are by no means necessarily the worst. They are accepted as members of the circle of ceremonial magic among whom there are then a few who simply use the rest of the members as instruments. Therefore one should beware of all secret societies administered by so-called higher grades whose aims are kept hidden from the lower grades. These administrative grades usually comprise those who have been initiated to a stage at which they only have a vague idea of what I have just been explaining to you. They comprise those who are to work positively in connection with certain goals and aims which are then realized by the wider group of those who have been merely inveigled into the circle of ceremonial magic. Everything these people do is done in such a way that it leads in the direction required by the higher grades but is strengthened by the forces which come from ceremonial magic.
Those who know how huge a number of such societies exist in the West can begin to gain an idea of what immensely effective tools such societies of ceremonial magic can be for certain far-reaching plans for the world. As you have seen, the chief aim is to prolong into our time a way of proceeding in which the spiritual world works into the sense-perceptible, physical world in a manner that was right in earlier times. For our times, however, the right procedure is for human beings to go towards the dead and meet them half-way. In the mood we have just been discussing, however, a path is sought which was appropriate in earlier, atavistic times but which today is brought about through the medium of ceremonial magic.
(…)
The lecture then goes on to describe how certain forces which had their proper place in the third post-Atlantean period are now starting to work in our time. One may now add that just as an individual quite rightly finds a connection with his proper angel, so is it also possible for him to find a connection to those retarded spirits of the Egypto-Chaldean period, those retarded angels, if he seeks those forces and impulses which, in fact, are exaggerated ahrimanic forces coming in the manner described from the realm of the dead. These retarded angels play an important role in the secret societies I have been describing to you. There they are important helpers and leading spirits. A great deal that goes on in such secret societies is aimed at bringing Egypto-Chaldean elements in the old way into the present time. When these matters are no mere tomfoolery but stand fully in occult life, this takes place under the influence of retarded beings from the hierarchy of the angels who become leaders there. These are the beings from the hierarchy next above man who are sought by these societies.
This points to something exceedingly important. When we understand how the living testaments of these societies — not written testaments left over for those still alive, but testaments which are forces going beyond death — when we understand how these work and are preserved, which is something that ought not to happen, then we understand something of the magical power wielded by such societies which often enables them to impress the stamp of truthfulness on to something untrue. And indeed, one of their important magical functions is to spread untruth in the world in such a way that it gives the effect of being the truth. For in this working of the ‘untruth in what is true’ lies one of the mighty strengths of evil. This strength of evil is then put to considerable use in all kinds of quarters.
(20 jan 1917, The Karma of Untruthfulness)
Autre allusion à l’immortalité ahrimanienne « polongation de la vie » 
25 nov 1917
De même, il s’agit pour ces milieux d’amener aussi le problème de l’immortalité dans un sillage matérialiste. Ce problème de l’immortalité peut, de la même manière, en mettant à profit la configuration du cosmos, être amené dans un sillage matérialiste. On ne parvient pas alors, en matière d’immortalité, à ce qu’on espère obtenir de multiples manières par spéculation, mais on parvient à une autre immortalité : on a une loge dans une quelconque confrérie et on se prépare, tant qu’il n’est pas encore possible d’agir sur le corps physique pour prolonger la vie artificiellement, on se prépare à vivre avec son âme les choses qui nous donnent la capacité de rester dans cette confrérie même après la mort, et de l’aider avec les forces dont on disposera alors. C’est pourquoi, dans ces milieux, l’immortalité est tout simplement appelée prolongation de la vie.
De toutes ces choses, vous percevez déjà maints signes extérieurs. Je ne sais pas si certains d’entre vous ont remarqué le livre Der Unfugdes Sterbens {193} (La farce de la mort), qui nous est aussi venu de l’ouest et qui, pendant quelque temps, a fait parler de lui. Ces choses vont toutes dans la même direction. Elles n’en sont qu’à leurs débuts, parce que ce qui va plus loin que ces débuts est encore jalousement gardé aujourd’hui pour l’égoïsme de groupe, et tenu caché. Mais ces choses deviennent effectivement possibles si on les introduit dans le sillage du matérialisme, si on fait, des idées abstraites de Dieu, de vertu et d’immortalité, des idées concrètes d’or, de santé et de prolongation de la vie, si on exploite dans le sens d’un égoïsme de groupe ce que je vous ai présenté comme étant les grands problèmes de la cinquième période postatlantéenne.
Passion déplacée envers le progrès-démocratie et aristocratie des loges:
The English Freemasons can maintain today that their lodges are entirely respectable and that any others are none of their business; yet if you look beyond the historical connections and the interplay of opposing currents, you are sure to find high-level British politics hiding in the background.
To understand the deeper meaning of these politics it is necessary to draw a little on recent history. Preparations having been under way from the sixteenth century onwards, there has been a tendency ever since the seventeenth century towards the democratization of society — in some countries more quickly, in others more slowly — by taking power away from the few and giving it to the broad masses. I am not here involved in politics and I shall not therefore express myself in favour of either democracy or anything else. I simply wish to state facts. The impulse towards democracy is having its effect in modern times at varying speeds, and so different streams are coming into being. It is a mistake, where several streams are apparent, to follow the course of only one. The way streams flow in the world is such that one always forms a complement to the others. Let us say a green and a red stream are flowing along side by side. Nothing occult is meant by these colours — it is simply to illustrate that there are two streams flowing side by side. Usually people are, let me say, hypnotized into looking at only one of the streams, while they fail to see the other flowing beside it during the same period in history. As you know, if you push a hen's beak into the ground and then draw a line leading away, the hen will always walk along this line. In the same way people today, especially university historians, see only the one side, and can therefore never really understand the historical process.
Parallel with the democratic stream there came into being the use of occult motives in the various secret societies — in isolated cases, also Masonic orders. In their purposes and aims these are not, of course, spiritual, but there developed, let us call it, a spiritual aristocracy parallel to that democratic stream which was at work in the French Revolution; the aristocracy of the lodges developed. To see clearly as a human being today, to be open to the world and to understand the world, it is necessary not to be dazzled by democratic logic — which has a place only in its own sphere — by empty phrases about democratic progress and so on; it is necessary also to point to that other stream which asserted itself with the intent of gaining power for the few by means that lie hidden within the womb of the lodge — the ritual and its suggestive influence. It is necessary to point to this also.
This has been forgotten during the age of materialism, but before the fifties of the last century people did point these things out. Study the philosophical historians prior to 1850 and you will see that they pointed to the connection between the lodges and the French Revolution with all that followed it. During the period that can be seen as preparatory for today, western historical development, the western world, never emancipated itself from the lodges. The influence of the lodges was always strongly at work. The lodges knew how to find channels through which to impress certain directions on people's thoughts. Once a web like this has been spun — of which I have shown you merely a few strands — the button need only be pressed for things to be set in motion.
Emancipation from all these situations, and the impartial embracing of humanity as such, only really came about under the influence of such great spirituality as developed in German philosophy beginning with Lessing, and developing through Herder and Goethe.
(8 jan 1917, The Karma of Untruthfulness Vol 2)