Tuesday, July 5, 2016

Mise au point sur les accomplissements de feu Mark Lane (1927-2016), avocat propalestinien et pro-révisionniste (selon Debbie Lipstadt), ami de feu Michael Collins Piper, et sur les mensonges des Chris Bollyn et Mark Weber qui, bien que totalement discrédités, continuent leur honteuse campagne de salissage contre Mark Lane, Michael Collins Piper et American Free Press. De la nullité des prétendus chercheurs qui compliquent les choses en enterrant le peu de bon travail qu'ils font sous des montagnes de niaiseries, ou qui suggèrent qu'on peut en même temps défendre Piper et ses ennemis discrédités que sont Bollyn, Fetzer, etc.


Gyuénot est un des rares soi-disant diseurs de vérité qui ne cherche pas à rejeter la responsabilité du 11 septembre sur une autre entité qu'Israël. Mais il finit par rendre les choses tellement compliquées qu'il noie le poisson, avec tout son blabla inutile et nuisible sur les mininukes, les faux avions dans les tours jumelles, etc. Il omet aussi certains éléments les plus essentiels démontrant la centralité de l'implication israélienne: pas un mot sur le juif Dov Zakheim, ni sur le juif Mike Mukasey qui a été le juge des attentats du WTC en 1993 et en 2001, ni sur le logiciel Promis (l'Affaire Inslaw) par lequel le Mossad épie toutes les agences de renseignement, ni sur le terroriste du WTC-1993 Ahmad Ajaj dont l'identité d'agent double du Mossad est pourtant établie dans des médias mainstream... (Pour une mise au point de ces éléments cruciaux qui manquent dans les conclusions de Bollyn et Gyuénot sur le 11 septembre, voir les chapitres suivants du livre False Flags de Michael Collins Piper, chapitre 18 The Mossad Link(s) to the First WTC Attack (in 1993) ; chapitre 21: Iron-Clad Evidence of Israeli Foreknowledge:  The 9-11 Commission Cover-Up of  the Mossad’s Capacity to Monitor the  Activities of Osama bin Laden, chapitre 25: Israel’s Agents Inside Al-Qaeda:  A Critical Element of the Mossad’s  Template for Terror in the 9-11 Conspiracy, ainsi que l'Addendum à la toute fin de la page.)  Gyuénot et Bollyn ont exactement la même façon de nous distraire de preuves importantes telles que: Urban Moving Systems, Dov Zakheim, la connexion Daniel Lewin – Netanyahou, la connexion Silverstein – Netanyahu, la connexion Bernard Kerik – Eitan Wertheimer, l'ignifugation mise à niveau aux étages 94-98 du WTC1, etc... (autant de sujets abordés en détails par le site takewourworldback.com). Même si Guyénot a l'air de faire le boulot, il enterre tout ce "bon travail" sous une montagne de considérations portant sur des détails insignifiants qui ne font qu'embrouiller le portrait d'ensemble. Bref, en ce qui concerne les preuves de la responsabilité d'Israël pour les attentats du 11 septembre, le moins qu'on puisse dire est que la liste des ratées de Bollyn et Guyénot est longue!

Guyénot prétend apprécier Bollyn aussi bien que Piper, malgré le fait que ces derniers se vouent une haine mutuellement et se regardent avec le plus grand mépris. On pourrait voir là un bel exemple de sagesse et d'impartialité de la recherche. Or ce n'est pas exactement le point de vue de Gyuénot, car ce dernier se méfie, exactement comme Bollyn mais tout à fait "indépendamment" de lui, soutient Gyuénot. Nous verrons plus loin en quoi il ne peut tenir cette position sans se tirer dans le pied (puisque Gyuénot a cité Lane comme source fiable surtout dans son livre sur JFK et le 11 septembre) et sans contredire ses sources les plus chères (JFK and the Unspeakable réfère à Mark Lane à plusieurs reprises et affiche son endossement).

Gyuénot: "Certaines accusations de Bollyn me semblent raisonnables, en particulier concernant Mark Lane, que je suis venu indépendamment à soupçonner de couvrir sciemment Israël dans son enquête sur JFK (voir mon article sur la question)."
http://www.agoravox.tv/actualites/international/article/les-sionistes-sont-bien-derriere-53412


Tout d'abord, Gyuénot donne du crédit aux attaques de Bollyn contre Lane sans se rendre compte que ces attaques sont toutes également portées contre Piper, car dans la théorie du complot imaginée par Bollyn, Piper travaille pour Lane! Pis encore, Bollyn répète sans cesse que c'est non pas le couple Carto qui contrôlerait AFP, mais bien Mark Lane! Selon cette théorie, Lane serait un agent de la CIA et servirait à cacher la vérité sur le pouvoir juif et à attaquer de vrais chercheurs comme Bollyn. Cette théorie est intenable du fait que Lane a été l'un des avocats juifs à travailler le plus en faveur des victoires du révisionnisme aux États-Unis, même qu'il est personnellement responsable de plusieurs victoires judiciaires des antisionistes et des révisionnistes aux États-Unis. Gyuénot serait apparemment trop stupide pour se rendre compte que tout le crédit qu'il accorde aux thèses de Bollyn contre Lane (dont il dit se méfier "indépendamment" de Bollyn) est en même temps un appui aux thèses de Bollyn contre Piper, car la critique de Bollyn visant Lane est indissociable de sa critique visant Piper! Dans le discours de Bollyn il est impossible de dissocier les attaques contre Lane des attaques contre Piper. Donc Gyuénot se contredit lorsqu'il prétend prendre au sérieux Piper et Bollyn en même temps surtout lorsqu'il admet qu'il croit Bollyn quand ce dernier s'en prend à Lane. Gyuénot ne se rend apparemment pas compte de servir la soupe aux propagateurs de mensonges qui menacent le nom et l'héritage de Michael Collins Piper. C'est encore ce que fait Gyuénot lorsqu'il prend Fetzer pour "le plus fin chercheur", alors que ce Fetzer est l'un de ceux qui ont le plus violemment attaqué Piper dans les dernières années de sa courte vie, notamment au sujet de Sandy Hook.



(Rappelons au passage que Fetzer - cet ancien de la Marine rompu aux techniques de persuasion des sciences cognitives -  propage également les théories du complot les plus débiles sur JFK, comme quoi par exemple sa femme Jackie O l'aurait tué, et comme Barrett il croit que LBJ est aussi important que Israël dans le complot pour tuer JFK, chose qui consiste en fait à diluer la responsabilité d'Israël dans une mare de conjectures vaseuses, ne s'appuyant sur rien de probant à part de prétendues confessions de E. Howard Hunt... Ne manquez pas la mise au point de Michael Collins Piper dans cet article dans lequel il explique que d'importants liens avec le Mossad sont ignorés par les "chercheurs de vérité", alors que ces chercheurs se préoccupent moins du rôle du Mossad que sur celui de LBJ: Patriots:  "LBJ Killed JFK" -- Ignored are Mossad’s numerous connections to assassination By Michael Collins Piper.

Fetzer s'était déjà discrédité en tant que chercheur même avant le 11 septembre, à cause de son livre sur JFK qui donne du crédit à quantité de théories invraisemblables en plus de s'éterniser sur des détails techniques distrayants, le tout en ne disant pas le moindre mot sur la connexion israélienne. Pour plus de détails sur Fetzer, consulter l'article précédent consacré à lui et à ses alliés désinformateurs.)

Gyuénot se contredit aussi en citant tous ces individus pêle-mêle: Lane, Piper, Bollyn, Fetzer, autant d'auteurs qui se rejettent entre eux (pour rappel: Bollyn VS Fetzer, Bollyn VS Lane et Piper, etc.). Piper a démontré dans ses livres comment Lane a fait un travail admirable qui a grandement contribué à faire avancer le révisionnisme aux USA. Lane a de son côté écrit Rush to Judgment, le premier livre démontrant le rôle de la CIA dans l'assassinat de JFK, ainsi que Plausible Denial, le premier livre à avoir définitivement prouvé la responsabilité de la CIA (James Jesus Angleton) dans le complot contre JFK. Il a aussi défendu en justice les révisionnistes de Liberty Lobby face à un survivant de l'Holocauste. La liste des accomplissements de Lane est tout à fait impressionnante, d'autant plus qu'on ne s'y attendrait pas de la part d'un individu né juif!
Lane Mark - Rush to Judgment  
By Balder, Saturday 18 August 2012.
 
The assassination of President Kennedy during a visit to Dallas, Texas, on November 22, 1963, sent a shock through the whole world. The known policies of the President, and the known politics of many in the city of Dallas, had made some of his friends doubt the prudence of his visit, which was, in some sense, a gesture of defiance or at least of confidence. The tragic result naturally provoked a flood of rumors and speculation; and this speculation was multiplied beyond control when, only two days later, on November 24, the alleged assassin, Lee Harvey Oswald—who had stoutly denied the charge—was shot dead in front of the television cameras by an intruder into the jealously guarded Dallas gaol. (...)


Une prestigieuse liste d'ouvrages creusant la vérité sur l'assassinat de JFK réfère à trois ouvrages de Lane et met en valeur son apport, notamment en ce qui concerne la réouverture de l'enquête et la défense d'Oswald comme simple "patsy": "They included pioneering authors Mark Lane, who visibly advocated for Oswald's legal rights and new investigations in 1967, and Sylvia Meagher, who indexed and systematically debunked the Warren report's 26 volumes of exhibits in another pioneering book first published also in 1967."

Rappelons que feu Mark Lane a aussi remporté une victoire judiciaire pour les Neturei Karta et a longtemps été un proche associé du militant antisioniste Haviv Schieber, un allié de Liberty Lobby et de son directeur Willis Carto. C'est ce même Haviv Schieber qui a proposé que Mark Lane, déjà reconnu à l'époque pour avoir sonné l'alarme sur le rôle de la CIA dans le meurtre de JFK, soit engagé comme avocat pour défendre Liberty Lobby dans ses démêlés avec le survivant de l'Holocauste Mel Mermelstein (voir à ce sujet BEST WITNESS de Michael Collins Piper). Demandez à Deborah Lipstadt, la militante anti-négationnistes, ce qu'elle pense de Mark Lane: elle vous dira que c'est un des pires révisionnistes et l'un de ses pires ennemis, ne serait-ce que pour ses victoires judiciaires en faveur des négateurs de l'Holocauste. Pour plus de détails à ce sujet, lire l'article de Michael Collins Piper complètement au bas de cette page.

Lane a même sauvé The Spotlight d'un complot visant à l'impliquer faussement dans les attentats d'Oklahoma City en reliant Tim McVeigh à une annonce placée dans le journal The Spotlight:  
RAPPEL: L'ADL supervisait la manipulation de McVeigh par le biais du faux néo-nazi et informateur du FBI Straussmeir (d'origine allemande mais parlant hébreu et acoquiné à une israélienne travaillant pour le Shin Bet et vivant dans un kibboutz!). Ce Straussmeir travaillait vraisemblablement pour le Southern Poverty Law Center, une organisation semblable à l'ADL, et était lié à Kurk Lyon, un agent du FBI infiltré dans les groupes de droite extrême. L'ADL a même averti les autorités fédérales que McVeigh avait publié des annonces classées dans le journal The Spotlight. Cette information a même été révélée dans un article du Washington Post, avant que l'ADL exige que la phrase soit retirée, puisque cela démontrait hors de tout doute que l'ADL surveillait de près les activités de McVeigh, via des informateurs (tels que Strassmeir). Pire encore, cette annonce devait servir à compromettre le journal The Spotlight. La mise en scène exigeait de faire acheter à McVeigh une carte d'appel vendue par une compagnie qui annonçait dans le journal The Spotlight. Fait des plus intéressants: cette compagnie s'est révélée, plus tard, être une propriété de l'Église de Scientologie! (Rappelons que depuis sa subversion par des avocats juifs (financés selon certains par le parrain de la mafia et milliardaire juif Bronfman) cette organisation est sous le contrôle du Mossad et collabore de près avec l'ADL. Ces mêmes avocats juifs qui ont pris le contrôle de l'Église sous la direction de Lawrence Heller, avaient tenté de ruiner Liberty Lobby en leur intentant une poursuite. Ce fut l'avocat juif antisioniste Mark Lane qui fit remporter à Liberty Lobby la bataille judiciaire.) Pour plus de détails, cliquer ici. Voir aussi le chapitre 36 ("Timothy McVeigh and the ADL: The Untold Story) de The Judas Goats-The Enemy Within de Michael Collins Piper.


Bollyn est-il un ennemi de ces victoires?? Il faut vraiment se poser la question! Bollyn l'attaque surtout parce qu'il est juif, accusation débile car l'homme qui a permis à Bollyn d'être embauché à AFP est lui-même un Khazar autoproclamé (le douteux Jerry Myers).

L'exemple du pseudo chercheur Bollyn semble taillé sur mesure exprès pour servir d'argument aux ennemis du mouvement de vérité qui aimeraient prouver une fois pour toute que les gens du mouvement de vérité ne méritent pas d'être écoutés. Gyuénot est un fan de cette épave nommée Bollyn, ce menteur notoire qui a accusé quantité de véritables chercheurs, tel le génial Michael Collins Piper et le journal American Free Press (anciennement The Spotlight), d'être contrôlés par l'Anti-Defamation League (ADL) et d'être en partie responsable, avec l'ADL et la CIA, de son altercation avec la police devant chez lui (alors qu'il était visiblement intoxiqué par l'alcool et qu'il avait lui-même appelé pour faire venir la police!).  Bollyn croit que Mark Lane serait un agent sioniste alors que dans le cas précis de Mark Lane nous avons des tonnes de preuves que cet homme a mis des bâtons dans les roues des sionistes d'une manière qu'aucun autre avocat ne l'a jamais fait dans l'histoire, non pas dans l'histoire des États-Unis mais dans l'histoire de l'humanité récente!

Donc ce qui fait presque peur ici c'est que Gyuénot fait de la pub à tous les ennemis de Piper, c'est-à-dire Bollyn et Fetzer. Le fait qu'il reprend insidieusement les attaques contre Lane, sans toutefois insister là-dessus, montre qu'il n'a rien compris au combat des antisionistes et des révisionnistes aux États-Unis. Il manque plus rien que Malachi Martin qui sera examiné dans un prochain article, car Gyuénot est lui aussi relié à ce sulfureux et fumeux personnage.

Gyuénot dit ne rien avoir contre American Free Press, mais il dit qu'il apprécie grandement le travail de Bollyn ("rien à reprocher") qui pourtant attaque AFP comme si c'était le grand Judas-traître qui menacerait le mouvement de vérité, alors que AFP avait parfaitement raison de le lâcher et lui de son côté il n'a absolument rien de solide à leur reprocher donc il doit inventer des calomnies. Gyuénot n'a apparemment rien fouillé et s'en lave complètement les mains. Il croit pouvoir faire de la pub à des gens hautement douteux et qui attaquent injustement les autres, et il croit que faire cela n'implique pas la moindre responsabilité de sa part. On a toujours beau jeu de jouer les imbéciles, ça attire la sympathie des imbéciles. Gyuénot ne s'est apparemment pas informé non plus de ce que dont Bollyn accuse Piper, il verrait alors que ces raisons sont des plus risibles et délirantes: il accuse par exemple Piper d'avoir un gardien de l'ADL pour veiller sur lui, et que cet agent de l'ADL serait son amant homosexuel, même que les deux se promèneraient dans la rue main dans la main, affirmait Bollyn! 

Aussi, il est un fait qui aura sûrement échappé à l'attention de la plupart des chercheurs: Bollyn prend au sérieux les accusations de Mark Weber contre Liberty Lobby, The Spotlight, American Free Press, et en particulier leurs éditeurs le couple Carto et l'un de leurs anciens auteurs principaux Michael Collins Piper. Mais le cas de Mark Weber sera abordé plus en détail dans un prochain article.

En fait toute notre enquête pourrait s'arrêter ici-même en soulevant un seul et unique point, révélation unique de l'état mental absolument incroyable de ce Chris Bollyn. Pour tout dire, Bollyn soutient que Piper n'a peut-être jamais existé, dans ses propres mots (puisque je n'invente rien) Bollyn "questionne l'idée-même qu'un homme du nom de Michael Collins Piper écrive des livres'. ainsi peut-on lire de sa plume sur son site: "I question whether a man named Michael Collins Piper [real name Michael Bernard Piper] actually wrote "books" per se." ('' Je remets en question l'idée qu'un homme nommé Michael Collins Piper [de son nom Michael Bernard Piper] écrive en tant que tel des "livres".'')

Pour une personne sensée et rigoureuse dans ses démarches, cette seule affirmation frisant la folie discréditerait d'entrée de jeu un interlocuteur tel que Bollyn. Mais il faut aller plus loin pour mettre en lumière l'étendue de la fraude et de la corruption morale de Bollyn.

En tout cas, Bollyn peut difficilement attaquer Piper en lui faisant porter le chapeau d'un complot contre lui aux côtés d'AFP et l'ADL, car dès la publication de son livre High Priests of War en 2004, Piper soutenait Bollyn au point de le présenter comme l'un des pionniers et principal chercheur crédible dans l'affaire du 11 septembre et notamment dans la connexion israélienne dans le 11 septembre. Voyez pour preuve l'une des pages de photographies commentées à la fin du livre:



On connaît les liens de l'empire Murdoch avec les néocons (décrits en détails dans The Judas Goats et dans des émissions de radio de Piper). Mais il est une chose beaucoup moins évidente, ce sont les liens étranges de Murdoch et Fox avec la théorie du complot (mis à part les plus grossiers agents de propagande sioniste auxquels Fox a donné la parole tels que Ann Coulter, Glenn Beck, etc.), c'est-à-dire avec certains prétendus chercheurs de vérité, en particulier les personnages très louches que sont Eric Hufschmid et Chris Bollyn.


YOUTUBE - The Bollyn - Hufschmid - Murdoch ''Coincidence''

Hufschmid et Bollyn se sont très vite faits passer pour les experts de la vérité du complot sioniste du 11 septembre mais se sont brûlés aussi très vite en cumulant chacun séparément un certain nombre de frasques monumentales qui les ont complètement discrédités. L'intérêt pour un Murdoch à promouvoir de tels énergumènes tient peut-être au fait que ceux-ci, dès lors qu'ils sont totalement discrédités, salissent littéralement tout ce qu'ils touchent. Ainsi, ils ne se discréditent pas seulement eux-mêmes, ils discréditent aussi aux yeux du public toutes ces vérités qu'ils prétendent défendre. Et c'est cela qui est grave. En se discréditant et en mêlant à leur fatras quelques vérités cachées, ils fournissent du matériel aux Taguieff et aux Reichstadt qui vont ensuite se faire un plaisir de "démonter" ce fatras pour le faire passer pour de la folie ou de la crédulité, afin de "prouver définitivement" l'inanité de la théorie du complot. Même une personne intelligente qui vérifie rigoureusement ses sources ne sera pas facilement en mesure de départager ce qu'il y a de vrai et de faux dans le discours des désinformateurs, que ce soit du côté de Bollyn ou de Taguieff. Cela fait partie du travail de brouillage des pistes qui incombe à des canaux de désinformation tels que Fox News de Rupert Murdoch, incluant non seulement leurs agents évidents mais aussi leurs agents plus "secrets", infiltrés dans le mouvement. Cela dit, Michael Collins Piper ne croyait pas que Bollyn et Hufschmid travaillaient pour les sionistes directement, il croyait plutôt que Bollyn travaillait à son compte comme indépendant à contrat engagé par le service de désinformation du renseignement britannique relié à l'église épiscopale, une branche de l'église anglicane (dont la Reine d'Angleterre est la papesse). Selon Piper, Alex Jones aussi travaille probablement pour le service de désinformation du renseignement britannique, mais comme toujours les preuves sont cruellement absentes lorsqu'il est question d'agents secrets.
And in a number of instances, there were several 9-11 “truthers” who, while pointing the finger of blame at Israel, were (at the same time) engaging in other activity that led many observers to believe that these individuals were “black propaganda” operatives trying to bring discredit to those who believed Israel was indeed responsible for 9-11.
Two such individuals, Christopher Bollyn and Eric Hufschmid—whom many believe were “ringers” inserted into the 9-11 truth movement from the beginning—ingratiated themselves with American Free Press (having pretended to be enthusiastic about my book Final Judgment) and, over a period of time, engaged in a concerted effort to influence AFP’s coverage of 9-11—and not in a positive way.
Ultimately AFP discovered that while Bollyn and Hufschmid supplied a lot of “good” information, that data was mixed in with a variety of “bad” data, the consequence of which was that many of the stories the two generated (working hand-in-hand on a daily basis behind the scenes for well over a year) proved to be of rather dubious value.
At one juncture, Bollyn and Hufschmid tried to convince the editors of AFP that outspoken 9-11 survivor, William Rodriguez—who had been honored by 9-11 truth seekers all over the United States and around the world for his integrity—was some sort of “Zionist agent.”
And despite the fact that independently wealthy American philanthropist Jimmy Walter had bankrolled speaking engagements by both Bollyn and Hufschmid, the dynamic duo also spread the word that Walter—who spent millions of dollars of his own money seeking to alert the public to 9-11 truth—was also a stooge for Israeli interests.
For my own part, I spent an entire week in Malaysia in the company of both Rodriguez and Walter and I never saw any sign that they were working to advance Zionist interests in any way, shape or form.
However, considering the record of Bollyn and Hufschmid, I think it’s safe to say that the same thing cannot be said about them.
Considering all of this, more than a handful of 9-11 dissidents (including many who believed Israel was behind 9-11) ultimately came to conclude Bollyn was actually a disinformation agent using a perverse back-handed way of discrediting AFP and those who believed the Mossad was responsible for 9-11.
Bollyn’s critics correctly pointed out that Bollyn had a pattern of misquoting sources, misinterpreting scientific information, and making assertions about certain matters without any foundational authority.
The consequence was that Bollyn’s disinformation gave ammunition to critics of AFP’s contention that the Mossad was behind 9-11 and as such was enthusiastically bandied about by Zionist propagandists seeking to undermine AFP’s thesis even though the questionable material by Bollyn focused on scientific data that had nothing whatsoever to do with the specific matter of Mossad involvement in 9-11.
In the end, after their deception was unmasked, Bollyn and Hufschmid launched a smear campaign against AFP alleging that we were, too, were really “Zionist agents” trying to cover up Mossad involvement in 9-11, an allegation preposterous on its face to anyone familiar with AFP’s work. Bollyn even claimed that Mark Lane—the anti-Zionist Jewish critic of Israel who pinpointed the CIA’s role in the JFK assassination conspiracy—was a Zionist and a secret asset of the CIA!
Unfortunately—and not unpredictably—a few naive folks actually believed these liars, especially people new to the 9-11 truth movement who didn’t have access to the big picture. However, when all was said and done, the romance between Bollyn and Hufschmid came to a bitter end and the two began accusing one another of being Zionist agents!
And the strange outside possibility was that both of them could actually have been right. After all, not all Zionist agents necessarily know the identities of the others. That’s how complex the world of intelligence intrigue happens to be.
Hufschmid’s own website devolved into a mish-mash of weird commentary (often referencing sexual matters, especially human interaction with animals) and once even included a nude photograph of Hufschmid, taken from the rear, ostensibly for the purpose of explaining some “health” matter Hufschmid felt would interest his readers.
That Bollyn, an American, had spent time on an Israeli kibbutz and later married an Israeli woman—who worked for Shin Bet, Israel’s domestic intelligence agency—was a point many found telling. That his own sister was also married to a Jew and had taken up residence in Israel was also considered somewhat suspicious.
It’s always been my suspicion (based on a variety of data too complicated to delve into here) that Bollyn was a long-standing international free-lance intelligence operative who, for at least a substantial part of his career, was working for the Church of England, which—although many people don’t realize it—has always been an arm of British intelligence, active in global intrigue. In fact, Bollyn and his family have multiple “British” connections which also point toward that conclusion.
And, needless to say, the British Empire—which has long been under the control of the Rothschild Dynasty—has always played a peculiar role in advancing Jewish and Zionist interests, even going back to the days when the woman whom Bollyn claims as an ancestor, Anne Boleyn, was a central player in a grand design that disrupted the traditional role of the Roman Catholic Church in Britain and set the stage for the rise of Jewish financial power in Britain in years to come. (And that is a story in and of itself—worthy of a book that has yet to be written.)
But for those who are interested, an English patriot and critic of the New World order with an abiding interest in 9-11 truth—and who does believe Israel was a key player in that tragedy—has put together a remarkably detailed website (complete with a fascinating variety of links and other valuable information) which delves into the bizarre story of Bollyn and his erstwhile friend Hufschmid. See http://www.takeourworldback.com for more. (Source: Michael Collins Piper, FALSE FLAGS -- TEMPLATE FOR TERROR, Chapter 28: "9-11 and the New Internet Paradigm: The Necessity for High-Level Manipulation and Control of the Dissemination of Information".)
On peut demander: "pourquoi parler autant de Bollyn et Hufschmid? Quelle est leur importance dans le mouvement?" S'ils n'ont effectivement presque plus d'influence, ils ont tout de même accomplis de grands dommages: Bollyn s'est mis dans le pétrin dans une altercation avec des policiers devant sa propre maison après avoir lui-même appelé les policiers. En fait, il semble avoir lui-même causé la confrontation en tentant de rentrer chez lui alors qu'il était en train de se faire questionner par une unité de policiers surveillant le quartier. Il s'est pris un coup de Taser électrique et a eu un bras fracturé lorsque les policiers ont tenté de l'immobiliser alors qu'il opposait de la résistance. Bien sûr on a tout de suite pensé qu'il s'agissait d'une tentative de le faire taire et son entourage au journal American Free Press a tout de suite pris sa défense. Mais Hufschmid s'est mis à attaquer AFP en les faisant passer pour des agents du sionisme dont le travail consiste à cacher la vérité sur le sionisme (accusation qui n'a aucun sens pour quiconque connaît un tant soit peu AFP). Quand AFP a demandé à Bollyn de se distancier de ce fêlé d'Hufschmid les accusant d'être au service du sionisme, Bollyn a non seulement refusé de critiquer Hufschmid, il s'est carrément mis à inventer une histoire comme quoi AFP serait impliqué dans ce qui lui est arrivé devant chez lui avec les policiers. Puis il s'est mis à dire que AFP et Michael Collins Piper ont conspiré avec les sionistes pour lui tendre le piège de l'intervention policière musclée (alors que c'est lui au départ qui avait appelé les policiers). Bollyn s'est mis à raconter ensuite une multitude de mensonges calomnieux contre Piper: comme quoi il était homosexuel et que son amant homosexuel était aussi son manipulateur de l'Anti-Defamation League (l'ADL est une importante institution sioniste américaine de propagande et d'espionnage). Le fait est que l'embauche de Bollyn comme journaliste à AFP a été faite à l'instigation d'un juif "Khazar" autoproclamé (!!): Jerry Meyer, qui aimait visiter les bureaux d'AFP, qui a fait des pieds et des mains pour que Piper et Willis Carto (qui était patron d'AFP, alors connu sous le nom The Spotlight) considère d'engager Bollyn comme journaliste.  C'est Jerry Meyer, un juif se disant lui-même "Khazar", qui a rendu possible l'embauche de Bollyn par AFP! Là où cette "connexion khazare" devient encore plus intéressante, c'est quand on juxtapose cela avec la recherche généalogique concernant le nom de famille anglais Bollyn.  Chris Bollyn se réclame de la descendance d'Ann Boleyn et comme l'indique le site takeourworldback.com Bollyn a des liens familiaux (de par sa mère notamment) toujours actuels avec de riches et puissantes familles royales et aristocratiques. L'origine de Bollyn renvoie peut-être, selon certains chercheurs, au nom juif Balin, qui est le nom du gardien du bain rituel dans le judaïsme. On ne sait pas si le nom Bollyn est lié à l'ancien Balin. Le nom Balin renvoie à Bull, le taureau qui était dans le Temple. Le taureau est un élément de l'héraldique des Bollyn. Puisque le nom du premier roi Khazar convertis est Bulan, et connaissant la montée de l'influence juive à l'ère élisabétaine et en particulier sous Ann Boleyn (elle-même possiblement juive), il y a lieu de se demander si Chris Bollyn n'est pas en réalité fier de ses potentielles origines khazares! Écouter à ce sujet Michael Collins Piper (8 février 2011, 10 février 2011 et 17 mars 2011) qui malheureusement n'a pas été en mesure de faire aboutir ses recherches à ce sujet. Cela reste donc hypothétique. Mais ce qui est sûr, c'est l'infiltration et le mélange des juifs dans l'aristocratie, la finance et la politique du Royaume-Uni
British peerage with Jewish ancestry
How Jewry Turned England into a Plutocratic State - World Service

De nombreux indices semblent démontrer que Bollyn servirait de courrier (mule) dans certaines opérations louches impliquant des comptes secrets dans des banques suisses. La Suisse et ses comptes bancaires secrets sont presque une signature des opération des services secrets et/ou du crime organisé. (D'où le nombre de comptes bancaires suisses détenus par des juifs avant d'être saisis par les nazis.)
Dans le talk-show The Piper Report du 8 mars 2007, disponible ici, il a des choses intéressantes à dire sur une enquête menée par un patriote qui est un détective privé, qui a été engagé par AFP pour examiner de plus près leur ancien employé. Dans cet extrait de 5 minutes, Piper dit que l'enquête a révélé que Bollyn avait "reçu de l'argent de l'étranger" et "a apparemment été régulièrement visités par un ou des individu(s) dont les plaques d'immatriculation ne peuvent être retracées". Dans sa note préliminaire, l'enquêteur a déclaré qu'il était "risqué d'enquêter sur Christopher Bollyn" puisqu'il a "découvert la possibilité distincte de l'implication de personnes liées aux renseignements d'un ordre supérieur". Il a constaté que "la cible (Bollyn) dépense plus d'argent que ce qu'elle est capable de gagner". Dans ce clip plus long, Piper révèle également que l'AFP a été informé par une source très fiable que Bollyn ne "payait pas ses taxes" et ne déposait aucune déclaration de revenus fédérale. Ainsi, bien que Bollyn ait prétendu être une cible de l'élite au pouvoir, il est en fait protégé au plus haut niveau. Piper suggère que le travail de Bollyn, plutôt que d'enquêter sur le 11 septembre, était de produire des rapports à ses manipulateurs sur le mouvement de vérité du 11 septembre, en posant comme un «journaliste» afin de pouvoir infiltrer les milieux de recherche de vérité.
Bollyn a tendance à visiter la Suisse, conduisant à des soupçons selon quoi une partie de son travail serait de servir de courrier pour des clients de banques suisses. Cela pourrait expliquer la source de son "argent de l'étranger" - avant de fuir les Etats-Unis après sa condamnation pour délit. (version anglaise - The Bollyn - Hufschmid- Murdoch Coincidence, takeourworldback.com - vers la fin de la page)

Les mensonges de Chris Bollyn

Chris Bollyn a été engagé à American Free Press à l'insistance d'un certain Khazar autoproclamé nommé Jerry Myers. Piper sentit dès le part que Bollyn et son épouse trempaient dans quelque chose de louche -- les services secrets -- mais il a eu la naïveté de croire qu'ils étaient peut-être avec une partie franche des services secrets opposée aux sionistes. Bollyn a foutu la pagaille dans l'organisation d'AFP après un incident qu'il a provoqué lui-même impliquant la police à son domicile, incident pour lequel il tient responsable l'Anti-Defamation League en collaboration avec Michael Collins Piper du journal AFP.  Pour expliquer ce prétendu complot de Piper en lien avec l'ADL, Bollyn accusa Piper d'être l'amant homosexuel et l'agent d'un prétendu maître-espion de l'ADL. Tout ce délire contribua fortement à la notoriété de Bollyn, tout en révélant aux chercheurs les plus perspicaces sa véritable nature de menteur pathologique, travaillant probablement dans le cadre d'une opération de désinformation et de salissage du mouvement pour la vérité.

The Piper Report Feb 8, 2011

The Secret Family Link Between a Legendary Tribe and the Rise of the International Money Power:
In this first-ever special broadcast, dedicated exclusively to a single topic—and a controversial one, to be sure—Michael Collins Piper explores a wide variety of material (coming from multiple un-related sources) which points toward uncovering what may well be one of the biggest political (and religious) secrets of the all-too-often distorted history of Western Civilization.
Piper focuses on some surprising details regarding the little-noted (but quite apparent) ethnic and philosophical origins of one well-known and much-publicized family (the subject of endless popular literature and Hollywood hoopla) and demonstrates that this family has never before been fully recognized or acknowledged for its peculiar and particular role in this aspect of the "hidden history" of the West—and of the British Empire in particular. And no, we're NOT talking about the Rothschilds.
Although informed people worldwide are well-versed in the history of the criminal intrigues of the international money power of the Rothschild Dynasty which came to dominate a global octopus based out of its center of operations in the so-called City of London—beginning in the closing years of the 18th Century—Piper demonstrates in this broadcast that the rise of the Rothschilds and the inter-related families and financial groups with which they collaborate was made possible, first and foremost, by the religious battles of the so-called "reformation" in Britain.
Piper identifies the one family that played such a central part in this upheaval that changed the course of English civilization—and that of the West—forever. And as it turns out, this family's origins appear to go back to the ancient kingdom of Khazaria—the stuff of legend and much debate.
And it is no coincidence that the impact of their corruption and debauchery reverberates even today, for the Federal Reserve gangster monopoly of America's money system can be traced back to this family's machinations in Britain during the 15th Century—long before the rise of even the Rothschilds!
All of this is indeed history—hidden history—at its best (or its worst).
Before going public with his own assembly of the diverse (and eye-opening) information that he uncovered, Piper outlined his research with a number of individuals whom Piper freely admits are far more well-versed in a number of historical, cultural and religious realms than he has ever been, and all of them—to a man—concluded that Piper was indeed "on to something."
Piper has pointed out that although he initially began on this realm of research almost as a whim—and he describes his process of research in this broadcast—he recognizes that many people will dismiss his thesis out of hand, perhaps "explaining" that Piper "has an axe to grind."
But Piper says, in preliminary response: "Don't dismiss what I've put forth until you've listened to the entirety of the broadcast—and listened to it carefully."
Piper urges those who ARE able to find holes in his research to point them out publicly on this website, using facts—not opinions. "If you have some particular expertise in one or more of the areas that I've discussed, by all means then," he says, "please show me where I'm wrong."
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The Piper Report Feb 10, 2011

MCP continues with his discussion of the possible Khazar origins of the Boleyn family as well as a round up of the day's important news.



The Piper Report Special Broadcast March 17th, 2011


A Note from Michael Collins Piper about this SPECIAL "blast from the past" . . . Thanks for all of the excellent input surrounding the 2 hour visit with Victor Thorn on the last podcast.

In light of the interest on the part of many new listeners (and many new listeners there are) regarding the shocking fact that I periodically report negative data about Christopher Bollyn and his consort, Helje Brand Kaskel, I thought our listeners might be intrigued in hearing the radio broadcast that touched off Bollyn's campaign to destroy and defame me and American Free Press, the newspaper that helped bring him international acclaim (which we now know was far from deserved). In fact, the aforementioned Victor Thorn—along with Bollyn—was a guest on this broadcast.

Concerned that there was an unfortunate rift between one of AFP's writers (Bollyn) and one of AFP's best supporters (Thorn), I invited both of them on the program to discuss Thorn's (now obviously quite correct) questions about the circumstances surrounding a police arrest of Bollyn in his front yard in Schaumburg, Illinois. I assumed this would be an opportunity to set things straight and reach a friendly public accord and give Bollyn the opportunity to answer Thorn's criticisms.

I think that any HONEST person listening to this broadcast can see that this was no "ADL setup" as Bollyn told many people publicly and privately, alleging that I--along with an assortment of others, including Victor Thorn--had collaborated with the ADL and Homeland Security and God Knows Who Else to arrange for Bollyn to get arrested and then later "smear" him by inviting him on my program.

As far as the police attack on Bollyn (however unwarranted) please remember that it was Bollyn himself who CALLED the police in the first place. The police just didn't show up and start tasering him!

Also, for your information, in the opening minutes of the show, Bollyn desperately tries to defame AFP (for whom he was still working!) by saying that he saw evidence of two possible "plants" or "infiltrators." One of them was Jack Ross, a stout Jewish gentleman (referred to as such by Bollyn) who was, in fact, a peripheral figure who had written several articles for AFP and who only ever visited the AFP office on perhaps two occasions, maybe three at most! And Ross is an outspoken ANTI-ZIONIST Jew.

Bollyn also refers to another person (who was at The SPOTLIGHT--the paper that preceded AFP). She was NEVER at AFP itself, having left long before. Bollyn claims that she is Jewish. No, she was NOT Jewish and the reason why she spoke a bit of Hebrew was because she had once been in love with a Jewish man and had tried to "learn his culture," but she had been rejected by him. (Contrast that with Bollyn who speaks Hebrew because he married a Jewish woman in Israel who worked for Israeli intelligence!)

Listeners will note that, at the end of the program, I speak glowingly of some material that I felt vindicated Bollyn. If I were out to "get" him as he claims, that's hardly something that I would do.

At that point little did I know that Bollyn--as a direct result of this program---would suddenly claim I was an ADL operative. This came after I had personally spent YEARS promoting Bollyn, calling him "the best journalist in America--bar none," glorifying him with a picture and praise in my book THE HIGH PRIESTS OF WAR and, before that, in my book FINAL JUDGMENT.

And this came AFTER I had personally asked Bollyn to fill my time slot for a month on another network when I was traveling overseas as the guest of, among others, former Malaysian Prime Minister Dr. Mahathir Mohamed, one of the world's foremost critics of Zionism! (If I were trying to undermine Bollyn and deny him what he perceives to be his due fame and fortune, it seems unlikely---doesn't it--that I would ask him to enjoy the opportunity to be heard?!?)

Bollyn's tone and attitude speaks for itself.

And note that Bollyn spends time trying to defame Victor Thorn (who has always been the first to acknowledge that his real name is Scott Makufka and that Victor Thorn is his pen name) and also slamming Victor because Victor was a cab driver---as though cab drivers are somehow the lowest of the low and incapable of research and writing (and if you've read Victor's multiple writings and books, you know that he has produced quite a bit of solid work over the years).

Bollyn now claims that I had been attacking him for years, citing the fact that he received nasty, vulgar emails using my email address just shortly before he was scheduled to come to speak (along with me and David Duke and numerous others) at a conference organized by the famed Jurgen Graf in conjunction with THE BARNES REVIEW. In fact, Bollyn knew full well--as Graf and others can confirm--that all of the key speakers (including me) were receiving such emails, ostensibly from the other participants! I myself received one that was attributed to Jurgen Graf. Yet, Bollyn still continues to tell this lie over and over again, even though he knows he has been refuted!

All of this LACK of credibility on the part of Bollyn, including his childish, self-centered behavior, is demonstrated clearly on this recording of the old radio broadcast that first revealed Bollyn's insanity and inanity.

And I would add, for the record, that subsequent to this, Daryl Bradford Smith and I patched things up, recognizing that we had BOTH been taken to the cleaners by Bollyn and Eric Hufschmid. And don't forget, too, that even now Bollyn is attacking Hufschmid, whom he consulted with via telephone on a daily basis for years!

Oh, there's so much more to the story . . . But I thought you might enjoy a reprise of this bizarre broadcast and get an introduction to the Weird World of Kinky Balloon and his brazen exhibitionist of a wife, Helje Brand Kaskel.



The Piper Report March 12, 2012 RBN

Ron Paul supporters do not necessarily support the Tea Party movement; nor any other particular parties and organizations. Mike also explores nefarious bank scam connections held by Christopher Bollyn.
Reports from a delegate meeting in Nevada show Ron Paul leading the count for representatives in the electoral college.
Download Here



Faut-il mettre ça sur le compte de sa manie du mensonge pathologique ou de son alcoolisme, toujours est-il que Bollyn a soumis au conseil des éditeurs d'AFP un tas d'articles très mal foutus, pleins d'erreurs factuelles et de syntaxe, certains même étaient de vulgaires plagiats d'articles parodiques directement de The Onion! Bollyn a accusé AFP de garder certains articles non-publiés, or selon Piper c'était en raison du fait que ces articles étaient trop mal écrits pour être publiés. Les articles de Bollyn demandaient tous un sérieux travail d'éditeur, c'est pourquoi certains étaient rejetés dès leur soumission - car ils étaient trop plein d'erreurs et trop mal foutus. Ce n'est pas tout à fait ce qu'n peut appeler de la censure, car si AFP avait publié cela il aurait non seulement aidé à discréditer plus vite Bollyn, mais il se serait en plus discrédité lui-même. Chose que Bollyn a réussi à faire malgré tout, car certains articles de Bollyn ont été publiés par AFP, au grand regret de AFP qui a réalisé souvent trop tard leur erreur. C'est ainsi que AFP se mit à ne plus faire confiance à Bollyn, et il faut considérer cela à l'aune de ce qui se passait avec Hufschmid, le proche confident et coéquipier de Bollyn, qui les attaquait sans cesse mais que Bollyn refusait de critiquer, encore moins de condamner pour ses propos hautement dommageables envers AFP qui était alors l'employeur de Bollyn. 

Piper a lui-même été témoin du fait que Bollyn a un jour soumis un article parodique de The Onion comme étant le sien. Dans son travail d'éditeur à AFP, Piper a souvent participé à la réécriture des articles de Bollyn, et il a été témoin à quel point les articles de Bollyn étaient lourdement remplis d'erreurs et de mauvaises formulations syntaxiques. Si ces articles avaient été publiés, AFP en aurait été blâmé et Bollyn n'aurait pas pu crier à la censure, quoique on sait jamais dans son cas... Dans ses émissions de 2006 à 2008, Piper raconte comment Bollyn a passé tout son temps au Vénézuela ivre à la plage alors que AFP lui avait expressément payé son voyage pour aller rencontre Hugo Chavez... En fait, Bollyn a amplement abusé des voyages journalistiques payés par son employeur AFP, alors que souvent il ne faisait rien de journalistique.
 
Bollyn a aussi affirmé que l'émission-débat entre lui et Victor Thorn aurait été organisé par la Homeland Security avec l'aide de Piper! Dans cette entrevue, Bollyn a accusé Victor Thorn d'être un "crypto-juif" ce qui est vraiment risible comme argument. Il aurait dû regarder de plus près son collègue Hufschmid avant de chercher des crypto-juifs chez autrui! Selon la version de Bollyn, il serait la victime d'un complot dans lequel Carto, Piper et Thorn ont collaboré avec l'ADL pour llui mettre la main au collet!En fait, Bollyn et Hufschmid ont dirigé une campagne de salissage visant Michael Collins Piper, Willis Carto et Mark Lane. S'ils sont visés par des salauds comme Bollyn et Hufschmid, alors il faut prendre au sérieux ce que disent ces Piper, Carto et Lane. Hufschmid n'arrêtait pas de proclamer que AFP est une organisation de menteurs sionistes. Bollyn ne faisait rien pour le contredire et refusait catégoriquement de s'en distancier, même des années plus tard. 

Extrait du débat:
Bollyn: "Scott Makufka, I must say you sound more and more like an Israeli every time. What are you putting down, pre-conditions? I’m not going to denounce anybody. We’re not … Eric Hufschmid is not the subject of this discussion. And Eric Hufschmid is an excellent 9-11 researcher and he’s got a very logical mind and a good sense of humor."
Bollyn : "I just got done saying, I think Eric Hufschmid is a very good researcher, he’s got the best book on 9-11, Painful Questions, the best book on the subject … and that’s it."

Letter of the week: about Chris Bollyn and AFP, by patriot Joe Fields-


Piper a eu l'occasion de voir dans cette âme très noire qu'est Bollyn en 2005-2006, car les deux travaillaient à l'époque pour AFP. À cette époque, Bollyn a vite cru que AFP conspirait pour l'éjecter (en réalité, il faisait face au déplaisir de son employeur AFP du fait qu'il refusait toujours de condamner les accusations ridicules de son compère Hufschmid accusant son employeur AFP d'être sous le contrôle des sionistes). La version de Bollyn est que Piper, Thorn et Carto on conspiré avec l'ADL pour l'avoir! Piper a raconté une anecdote curieuse à l'effet que Bollyn et sa femme Helje Brand-Kaskel http://www.imdb.com/name/nm1742924 auraient un jour invité Mike à leur domicile pour lui montrer des photos très sexy voire carrément porno de sa femme (assurément très sexy: c'est une actrice de cinéma qui a joué avec son fils dans un film estonien sur le Lusitania). Bollyn a un associé Khazar lié à la scientologie: Jerry Myers. Il a été impliqué dans l'édition d'un livre sur les produits pharmaceutiques écrits par une dame qui tient une organisation façade de la scientologie. (Piper a montré dans son livre The Judas Goats, que l'Église de Scientologie a été subvertie par des avocats juifs quand le fondateur est mort, de sorte que l'organisation sert maintenant de proxy pour le Mossad, par exemple : des scientologues ont été lourdement impliqués dans la campagne de l'ADL pour saboter l'IHR et l'arracher aux mains de Carto!) Piper a un jour rapporté le résultat d'ue enquête payée par son employeur d'alors, AFP, pour connaître les sources de revenu de Bollyn, bref savoir pour qui il travaille. Car on soupçonnait les services secrets d'être son employeur. Le résulat a été que: il y a un GRAND DANGER à poursuivre cete enquête plus loi, cet homme bénéficie d'une protection au plus haut niveau!



Bollyn et sa famille son censés vivre en Estonie. Si les juifs ou les pouvoirs en place étaient après lui,  ils pourraient l'extrader. L'IRS a déjà questioné AFP pour savoir s'il savent où Bollyn se cache, mais il suffit d'aller sur son site web pour le savoir...  Bollyn et sa famille ont même été interviewés par la télé estonienne! Il a visité l'Allemagne, et a posté les photos qu'il a prises en Allemagne avec sa famille. S'il peut voyager librement en Allemagne, où les révisionnistes sont méthodiquement pourchassés et arrêtés, alors il faut se demander d'où lui vient sa liberté de mouvement. Les vrais chercheurs pourchassés ne se promènent pas librement en Allemagne.  Bollyn ne peut pas dire qu'il n'a jamais touché au révisionnisme car il a publié un article sur le révisionniste allemand Manfred Roeder dans The Barnes Review. Pour un "fugitif" c'est à out le moins surprenant.
Pour ces raisons et d'autres élaborées par Piper, il est raisonnable de penser que Bollyn est effectivement *protégé*. À cause de ses liens avec l'Église épiscopale, il est possible que ce soit un opérant de l'Église anglicane. Ses liens avec la scientologie sont connus. Piper a généralement évité de mentionner clairement le nom de cette organisation au cours de son émision sur les ondes de RBN afin d'éviter les poursuites, car la Scientologie recourt de manière systématique aux tribunaux pour faire taire ses critiques.  La dame reliée à la scientologie pour laquelle il a édité un livre est la Dr Ann Blake Tracy PhD. Il a été payé par la scientologie via cette dame, juste après avoir été congédié d'AFP.  Piper se demandait si Bollyn travaillait pour eux tout le temps ou s'il a travaillé pour eux juste momentanément.


Compte-rendu de Piper:
And as many people know Bollyn was recently assaulted in his own front yard in Hoffman Estates Illinois by heavily-armed police officers in circumstances that Bollyn believes based on his own inquiries suggest that Bollyn was a target of Zionist elements in the office of Homeland Security run by devout pro-Israel Jewish figure Michael Chertoff the son of a rabbi and whose own wife is a former figure in the ADL. "Fishbait" and Smith have actually suggested that Bollyn's own friend and colleague from AFP Michael Collins Piper was actually involved in a "plot" with Homeland Security and the ADL to stage the attack on Bollyn -- a bizarre claim to be surebut one which some naive cult followers of the two troublemakers have actually come to believe and which they have circulated widely on the Internet! "Fishbait" and Smith even worked against famed civil libertarian and anti-Zionist attorney Mark Lane attacking the longtime associte of Piper and American Free Press (and of Liberty Lobby before that) smearing Lane so as to disinterest him in taking up Bollyn's legal case against the police in Hoffman Estates Illinois. This alone demonstrates the divisive operations of the Hufschmid-Smith wrecking crew. The details taken together not only raise serious questions about the intentions and motivations of "Fishbait" and Smith but also answer the questions as well: These two are trouble. They need to be ignored. They need to be isolated. And as Piper said. They need to be chopped up and made into fishbait and fed to the sharks, which are much more lovely creatures than either Hufschmid or Smith.

Là où Hufschmid a vraiment fait mal c'est quand il a accusé Mark Lane et Willis Carto d'être des agents. Mark Lane est un avocat juif mais c'est aussi celui qui a pondu le premier livre (1964) démontrant hors de tout doute raisonnable que la CIA est responsable ou impliquée dans l'assassinat de JFK. C'est un grand ami de Mike Piper. Voyez par exemple à quel point le travail de Mark Lane est un élément essentiel dans le chef d'oeuvre de Piper, Final Judgment, qui reste le premier et l'unique ouvrage démontrant le rôle central du Mossad à tous les échelons et à tous les niveaux du complot pour assassiner JFK:

Piper Michael Collins - Final Judgment


Final Judgment is, beyond question, the most “controversial”—and certainly the most widely denounced—book on what is perhaps the most writtenabout subject in American history... Yet, most of those who have so hysterically condemned this book have never even read it... Critics viciously attack the author, but they refuse to debate him... This is the one book on the JFK assassination that no major publisher dared print... Despite all this, those open-minded individuals who have dared to read Final Judgment—including some very well-known names—have concluded that this book is the one book that most completely outlines the entirety of the conspiracy that took the life of John F. Kennedy. Final Judgment presents what the author, Michael Collins Piper, calls “the other side of the jigsaw puzzle”—the long-ignored, but otherwise freely available details (all found in “mainstream” literature), which present a stark new light on the circumstances surrounding JFK’s assassination. This book demonstrates the strong likelihood Israel’s intelligence service, the Mossad, collaborated alongside the CIA and the Meyer Lansky Crime Syndicate in the JFK assassination because President Kennedy was working to prevent Israel from acquiring nuclear weapons of mass destruction, a fact that remained a dark secret for decades. However, because it was not until the mid-1980’s that the truth about President Kennedy’s behind-the-scenes war with Israel emerged, many otherwise diligent JFK assassination researchers never considered the possibility Israel did have good reason to align with other powerful forces that wanted to remove JFK from the White House. Once you’ve read Final Judgment you will see the evidence of likely Israeli involvement is there. Although first published in 1994, only one newspaper, a small Washington-based weekly, even mentioned the book. Despite that, Final Judgment has now sold more than 40,000 copies, achieving he proverbial status of “underground” bestseller. Yet most Americans never heard of this groundbreaking historical bombshell or of its controversial thesis. ...
Dans ce livre Piper a même pris la peine d'avertir le lecteur au sujet des attaques visant Mark Lane, qui ont commencé il y a longtemps:


Voir cet extrait de Final Judgment (livre qui a grandement impressionné Bollyn dans les années 1997) concernant le chercheur de vérité Mark Lane:
Mark Lane : choisi par la mère de Lee Harvey Oswald pour représenter les intérêts de son fils devant la Commission Warren, le livre de Lane Rush to Judgment a été la première critique importante du rapport de la Commission Warren. Dans un procès en diffamation intenté contre le journal The Spotlight par l'ancien agent de la CIA E. Howard Hunt, Lane a prouvé à la satisfaction d'un jury que la CIA avait en effet été impliquée dans l'assassinat de JFK. Son best-seller Plausible Denial décrit les circonstances de ce procès en diffamation ainsi que son ultime dénouement.
[NOTE: Le livre Final Judgment explique en détails le procès opposant E.Howard Hunt à l'avocat Mark Lane représentant The Spotlight. Plus de détails suivront dans un prochain article concernant Mark Weber, William F. Buckley et Malachi Martin.]

Une des personnes à l'origine des attaques de longue date contre "l'agent de la CIA Mark Lane" est une conspirationniste juive antinazie Mae Brussell, dont la théorie du complot d'assassinat de JFK consiste à blâmer les nazis... aussi délirant que cela puisse sembler. Et l'une des premières personnes à attaquer Piper pour son apppui et son admiration envers Mark Lane est l'héritière de la pensée de Brussell... Que le monde est petit!

p.577 de Final Judgment:  The much-touted Grande Dame of Conspiracy Theorists, Mae Brussell, helped popularize the Skeleton Key and she had a type of cult following. Mrs. Brussell seemed to find a Nazi under every rock and that has an appeal in some circles. One of her disciples is a character named Dave Emory. I discussed her theory that "The Nazis Killed JFK" in Chapter 15. One of the recent elaborations on the Gemstone Files included the patently ridiculous allegation that Mark Lane is, in reality, a CIA operative who was attempting to thwart an honest investigation into the murder of JFK, even though, of course, it was Lane who first brought widespread public attention to the fact that the Warren Commission Report was a fraud and therefore publicly dismantled the CIA-assisted cover-up. This false claim about Lane (since withdrawn and repudiated by the publisher) was based on disinformation (much of it generated by the CIA itself) that has been deliberately circulated over the years to muddy the waters into JFK assassination research further.
p.595 de Final Judgment: One Virginia McCullough who bills herself as "the custodian and curator of the Mae Brussell Collection" took issue with my description of Miss Brussell as being "eccentric" and declared in an Internet posting on Dec. 17, 1999 that "Piper had his own agenda and part of that agenda was to discredit any researcher or any author but himself' but then went on to admit, contradictorily, that "simultaneously Piper shows his undying admiration for the likes of Mark Lane, Seymour Hersh, Andrew and Leslie Cockburn, Stephen Green, etc." Then, after describing my "undying admiration" for those other authors, McCullough once again contradicted herself by saying that in the pages of Final Judgment, "the only author who comes out smelling like roses and is pure and clean is, of course, Mr. Piper." (Figure that one out, if you can.) McCullough also expressed concern that, according to her, I "refer constantly" to myself as "the author." (How else should I do it? If anyone has any suggestions, please let me know!) She also adds that she considers my book "written for the purpose of self-promotion and disinformation." But McCullough has yet to refute anything that appears in Final Judgment. McCullough's heroine, Miss Brussell, claimed that ex-Nazis had a hand in the JFK assassination and that a likely villain was former Nazi general Reinhard Gehlen who was drafted into the service of the West against the Soviets after World War II.



Willis Carto est aussi un grand ami de Mike Piper. Il a fait publier des milliers d'ouvrages à l'époque où il dirigeait l'Institute for Historical Review et Liberty Lobby. Aujourd'hui l'agent saboteur Mark Weber (le "Von Stauffenberg" de l'IHR ) a tout vendu ce stock de livres (valeur de 3 millions$) pour des cacahuètes... Aujourd'hui , Carto dirige l'American Free Press et The Barnes Review, deux excellentes sources. Hufschmid s'est arrangé pour que son coéquipier Daryl Smith fasse dire à Eustace Mullins que Willis Carto était "suspect", etc. Eustace a été embobiné et il juge aujourd'hui avoir été utilisé par Smith-Hufschmid pour détruire la réputation de Carto.

Bref, Willis Carto est un brave type, un éditeur de matériel révisionniste, mais il est victime depuis longtemps d'une campagne de sabotage et diffamation par l'ennemi traditionnel...

Victor Thorn, l'auteur du "Procès du 11 septembre" (traduit en français aux éditions Demi-Lune), a publié plein de livres sur le 11 septembre. Bollyn aucun. Thorn a publié 911 Evil, le premier livre à exposer la responsabilité du Mossad et des sionistes dans le 11 septembre. Bollyn n'a jamais rien publié en dehors d'Internet.

Lorsque Hufschmid s'est mis à raconter des salades concernant la supposée infiltration sioniste de l'AFP, Bollyn n'a jamais voulu condamner ses propos, répétant incessamment que Hufschmid a écrit le meilleur livre sur le sujet et qu'il ne veut pas parler contre lui et que de toute façon c'est hors sujet... Mantra qu'il répétera allègrement...

Pire que ça, Bollyn a accusé Victor Thorn d'être un "crypto-Juif" (une très vieille accusation typique des désinformateurs). Il a même déclaré que son débat contre Victor Thorn sur les ondes de l'émission de Piper (The Piper Report) avait été orchestrée par -- tenez-vous bien! -- la Homeland Security (sécurité intérieure) avec l'aide de Mike Piper!





1.





Extrait de l'excellent article de takeourworldback.com
La connexion Bollyn-Hufschmid-Murdoch
Version originale anglaise: The Bollyn - Hufschmid - Murdoch "Coincidence"

[Eric Hufschmid]
 (...)
* A l'habitude de mentir, par exemple, a proclamé que l'American Free Press a "censuré" le travail de Bollyn avant d'être forcé d'admettre qu'il n'a même pas d'abonnement en cours lui permettant de lire AFP; a affirmé que John Stadtmiller et son Republic Broadcasting Network font partie du «réseau criminel» avant de nier l'avoir dit par la suite; et répète que Bollyn et sa famille ont été «enlevés» par «les Juifs» alors qu'il n'avait pas un iota de preuve.
* A fait la promotion de fausses théories du complot telles que "Paul McCartney a été tué et remplacé par un imposteur", ce qui ternit la réputation de ceux qui fournissent des informations sur les complots réels.
* A créé et distribué, autour de juillet 2007, un CD-ROM contenant des images pornographiques.
* À partir de 2010, a écrit au sujet de ses expériences et ses «recherches» sur les "pets liquides", devenant ainsi un lourd handicap et une grave source d'embarras pour le mouvement de vérité antisioniste du 11.09.

Christopher Bollyn:


* Est le fils d'une femme qui a travaillé comme gouvernante de la famille Farish et pris soin du jeune William S. Farish III, un membre de la Pilgrims Society et ami de la famille Bush et de la famille royale britannique avec une foule de contacts exotiques dans le monde du renseignement.
* A été enfant de chœur dans l'église épiscopale, s'est rendu au Moyen-Orient en 1975, a vécu entre autre dans un kibboutz en Israël au moment de la restructuration de 1976 de l'Eglise épiscopale de Jérusalem.
* A épousé un officier de renseignement militaire israélien dans un arrangement qui lui allait lui donner la citoyenneté américaine en 1983, à l'époque où elle voulait vivre à Santa Monica à moins de trois miles de la Rand Corporation,, et ce la même année que le lobbyiste pro-Israël Steven J. Rosen a obtenu une autorisation de sécurité industrielle de niveau "secret" pour des contrats de la CIA à la Rand Corporation, et donc probablement à un moment où d'autres agents d'Israël ont eu accès à des documents classifiés ou ont tenté d'y accéder.
* A rencontré le milliardaire sioniste magnat des médias Rupert Murdoch et sa famille autour de 1988, skié avec eux pendant une demi-heure, du temps qu'il était avec sa seconde épouse (1967-1999), Anna (Maria) Torv (Murdoch Mann), qui est la mère de James Murdoch et dont le père de Jacob vient de l'Estonie.
* Se remaria en 1995 à la suite du mariage de convenance de 1983 - 1985 ; sa seconde épouse est Helje Kaskel , née et élevée en Estonie.
* A filé l'auteur du journal The Spotlight antisioniste et nationaliste Michael Collins Piper, en 1994 et 1997, en tandem avec Helje Kaskel, la première fois près de deux mois avant que le premier mari de Kaskel - la star du rock Urmas Alender - ne soit tué dans une catastrophe de bateau-traversier.
* A travaillé pour IBM Global Network Services qui a formé des pirates informatiques et employé des gens pour obtenir l'accès (physique) aux bâtiments en usant de tromperie, tout comme l'empire médiatique de Murdoch a employé des hackeurs de messagerie vocale et soudoyé la police pour obtenir des renseignements.
* A été introduit au journal The Spotlight en 2000 par Jerry Myers, qui se décrit comme Khazar (la tribu caucasoïde-néandertale dont les Ashkénazes soi-disant «juifs» sont les descendants).
* Était à New York le jour fatidique du 11.09, après à peine un an de travail dans sa nouvelle carrière de "journaliste".
* A collaboré pendant des années - 2002 à 2007 - avec Eric Hufschmid, dont la demi-soeur Kathryn, une responsable des relations publiques et Directrice de la Stratégie And Communications à la fondation de Clinton "Clinton Climate Initiative", qui est aussi l'épouse (depuis 2000) de James Murdoch, le fils de Rupert Murdoch et son héritier présumé qui a rejoint News Corporation en 1996 pour s'occuper de ses activités internet.
* Est de toute évidence "protégé au plus haut niveau" et était "régulièrement visité par une ou plusieurs voitures portant des plaques d'immatriculation ne pouvant être retracées".
* A composé le 9-1-1 en août 2006 pour faire venir la police à son domicile sous prétexte d'une voiture «suspecte», puis est devenu belliqueux et s'est enfui chez lui en laissant entendre qu'il allait saisir une arme, le motif étant de se faire arrêter et, éventuellement, de se faire électrocuter au pistolet Taser pour qu'il puisse se présenter lui-même comme une «cible» de l'élite pervertie, qui, en réalité, en fait la promotion et le protège.
* Ment fréquemment, par exemple, lorsqu'il a prétendu s'être fait dire de "boire dans la toilette" après s'être fait arrêter et mettre en cellule, ou encore que "Liberty Lobby" (éditeur de The Spotlight, précurseur de l'American Free Press) "est en fait détenu et contrôlé par un sioniste Juif nommé Mark Lane", ou que Michael Piper l'"attaque" "depuis décembre 2001".
* Fait des allégations et mène une campagne de peur et de dénigrement basée sur ce qui s'est avéré être des mensonges délibérés contre les antisionistes (voir lien ci-dessus à propos de Mark Lane, qui est décrit comme un "antisioniste" dans un livre de 1983 co-écrit par le juif sioniste Steven J. Rosen. )
* A la réputation de rédiger des articles sur le 11 septembre
qui s'avèrent souvent être des navets.
* A une tendance à visiter la Suisse qui fait plus penser à un travail de mule (courrier) pour des clients de banques suisses qu'à un travail de chercheur, notamment lorsqu'il voyage de Bruxelles vers l'ouest-centre de la France, pour ensuite écrire à propos de "chemtrails au-dessus de la Suisse"
* A été financé par une façade de la Scientologie qui l'a payé pour avoir "édité" son livre

(...)


Certains des mensonges les plus effrontés de Bollyn incluent "Mark Lane travaille pour la CIA", "Liberty Lobby" (éditeur de The Spotlight et précurseur de American Free Press) "est réellement détenu et contrôlé par un Juif sioniste nommé Mark Lane", et Michael Piper s'est mis à "attaquer" Bollyn "dès décembre 2001". Ainsi, en plus de son «travail» de sabotage de la vérité du 11 septembre en gâchant les preuves de démolitions contrôlées en propageant des théories du complot servant d'hommes de paille pouvant facilement être réfutées, il aidait l'opération COINTELPRO d'Eric Hufschmid destinée à semer la méfiance et la division en salissant la réputation de véritables activistes en les accusant d'être des agents.
Source: Bollyn.com

Christopher J. Petherick, un sataniste auto-avoué, était le rédacteur en chef d'American Free Press et de l'ancien Spotlight, des publications de Liberty Lobby de Washington DC. Cela ne fait aucun sens qu'un sataniste soit rédacteur en chef d'un journal qui est prétendument écrit pour des chrétiens américains patriotiques, à moins qu'on comprenne que le Liberty Lobby est réellement détenu et contrôlée par un Juif sioniste nommé Mark Lane. Le journal est une opposition contrôlée qui agit comme attrape-mouches pour créer une liste de patriotes actifs - pour l'organisation des renseignements juive pour laquelle Lane travaille.

Petherick m'a congédié après qu'une équipe de trois hommes lourdement armés de la police secrète m'aient cassé le bras et infligé des décharges de Taser sous les yeux de ma famille, mais seulement après avoir recueilli plusieurs milliers de dollars des lecteurs pour le "fonds de défense juridique de Bollyn", qui ont été conservés par le soi-disant journal à propriété partagée entre employés. J'ai découvert plus tard que le journal et l'organisation derrière elle, Liberty Lobby, sont en fait détenus par l'avocat juif de gauche, Mark Lane, et qu'ils le sont depuis le début des années 1990 lorsqu'il a acheté les actifs de Liberty Lobby avec quelque 5 millions de dollars qui avaient été payés par Willis Carto A. en frais juridiques.
Les allégations à l'effet que Mark Lane serait un "sioniste" et agent de la "CIA", comme avec le canular du "Global Hawk" de Sam Danner, ont été propagées conjointement par les partenaires en tromperie Eric Hufschmid et Christopher Bollyn. Le court article de Mark Lane - A Zionist Lawyer in control of patriot groups, en date du 4 janvier 2007, indique Bollyn comme auteur, et pourtant ceux qui sont familiers avec l'écriture des deux Bollyn et Hufschmid verront que l'article a de toute évidence été écrit par Hufschmid. Un des éléments de «preuves» de Hufschmid et Bollyn pour ces allégation est que Mark Lane a été une fois dans un avion avec Jane Fonda en 1970. Pendant la guerre du Vietnam, Lane a conseillé Jane Fonda sur son point de vue anti-guerre. Plus tard, à la fin des années 1970 / début 1980, il a essayé de convaincre Jane Fonda de se joindre à lui publiquement dans sa critique d'Israël, mais elle n'a pas voulu. Fonda n'est ni juive, ni sioniste. Hufschmid et Bollyn citent également le fait que Mark Lane était dans le renseignement militaire pendant la Seconde Guerre mondiale. Lane est le 24 février 1927, et la Seconde Guerre mondiale a pris fin en 1945, alors que Lane n'avait que 18 ans, l'âge minimum pour un officier du renseignement. En 1949, il était dans sa deuxième année à l'école de droit. Ainsi, dans le scénario de Bollyn, la carrière de ce "sioniste" dans le renseignement aurait été précoce, d'abord assez brève, mais couvrant finalement 65 ans.

Mark Lane avait déjà une réputation de Juif antisioniste dès 1982. Il a été décrit comme tel dans la publication de l'AIPAC The Campaign to Discredit Israel, par Amy Kaufman Goott et Steven J. Rosen, publié le premier janvier 1983.

Une publicité pour cette conférence qui est apparue dans le Third World News était signée par Elmer Berger, un ancien ambassadeur au Qatar et le président de l'American Educational Trust Andrew Killgore, et un autre juif antisioniste Mark Lane. (37) Tous excepté Killgore ont prononcé une allocution à la conférence; le porte-parole du banquet était Clovis Maksoud, l'Observateur de la ligue arabe à l'Onu (...)
Pour vérifier cela, allez dans Google Books à http://books.google.com et faites cette recherche "Steven Rosen J" + "The Campaign to Discredit Israel". Select the book (sélectionnez le livre) The Campaign To Discredit Israel, puis recherchez "Mark Lane" en utilisant la fonction de recherche "From Inside the book" (de l'intérieur du livre).

Ecoutez ce clip de trois minutes de l'émission The Piper Report du 29 octobre 2010 pour entendre parler Ralph Forbes au sujet de si oui ou non Mark Lane est un «sioniste» qui «contrôle» American Free Press. Ralph Forbes, qui se décrit comme un "activiste pro-blanc", était lieutenant dans le Parti nazi américain et directeur de campagne de David Duke au cours de sa candidature de 1988 à la présidence sur le ticket Populiste. Piper dit que l'activiste noir Dick Gregory a soulevé des questions sur le 11 septembre, et qu'il allait faire une grève de la faim jusqu'à ce que la vérité sorte (Gregory a annoncé cela le 10 septembre 2010). Et Gregory était étroitement associé à Martin Luther King, et s'est retrouvé par là à devenir un ami très proche de Mark Lane, un avocat de longue date de Liberty Lobby. Gregory et Lane ont écrit un livre sur l'assassinat du Dr King, et Lane a été le colistier de Gregory dans certains états quand il s'est présenté à la présidence sur le ticket du Freedom and Peace Party en 1968. Piper dit qu'il ne pense pas que Dick Gregory, un critique virulent de la CIA, ou le regretté Jim Garrison, un autre critique important de la CIA, aurait été amis avec Mark Lane s'il avaient pensé que Lane était un "agent de la CIA". Ralph Forbes affirme que Mark Lane n'est «absolument pas en contrôle» d'American Free Press (contrairement aux allégations de Bollyn), et que Lane est "très antisioniste".

L'article de Bollyn intitulé Pourquoi sommes-nous incapables de résister? - Mettant en vedette ses allégations extraordinaires contre American Free Press - a été publié à la fin de septembre 2009. À l'émission de RJ Hender du mardi 6 octobre 2009, diffusée par Republic Broadcasting Network, Bollyn a repris ces affirmations sans fondement, telles que le «sioniste Juif» Mark Lane travaille pour une «organisation du renseignement juif» et «propriétaire» d'AFP, AFP est une "opposition contrôlée", une «opération attrape-mouches», «un loup déguisé en brebis, vêtu comme un agneau», un «traître au mouvement patriote américain", et a gardé des "dizaines de milliers de dollars" du fonds de défense juridique de Bollyn, .Voir ici pour une transcription partielle de Bollyn à l'émission de Hender, et une analyse plus poussée. Les allégations ont été examinées en détail par Michael Collins Piper sur sa propre émission des 6-7-8 octobre.

L'émission du 6 octobre a traité de plusieurs preuves indiquant que Mark Lane a toujours été antisioniste, et non sioniste, et qu'il s'associe avec des antisionistes, et non des sionistes. Par exemple, Lane a été rédacteur en chef adjoint du bulletin Zionist Watch, plus tard intitulé Nouvelle Vue Américaine. Son co-rédacteur dans ce travail était l'ancien fonctionnaire de la CIA Victor Marchetti. L'entrée de Wikipedia sur Marchetti le décrit comme un "éminent paleoconservateur critique de la communauté du renseignement étatsunienne et le lobby pro-israélien aux Etats-Unis".

En tant qu'avocat, Lane a représenté l'OLP et Yasser Arafat, et aussi les antisionistes Neturei Karta (en anglais Jews Against Zionism, en français Juifs Unis contre le sionisme) pour leur groupe de Jérusalem, par exemple, forçant Menachem Begin à libérer le fils du rabbin Hirsch après qu'il ait été capturé par l'armée israélienne. Neturei Karta est classée par l'Anti Defamation League (ADL) comme «extrémistes»; ses membres refusent de reconnaître l'Etat d'Israël et refusent de servir dans son armée. Certains d'entre eux refusent de payer des taxes à l'État d'Israël.

Mark Lane, qui a même été décrit comme un "négationniste de l'Holocauste" par la propagandiste sioniste et androgyne bizarre Deborah Lipstadt, a également été associée à feu Schieber Haviv, ancien maire de Ber Sheeba, Israël. Schieber est devenu un célèbre antisioniste, converti au christianisme, et se retrouve dans la liste des
Victimes of Zion. (...) Mis à part le fou confirmé Eric Hufschmid, personne ne songerait à considérer ces gens comme faisant partie d'un "réseau criminel sioniste". C'est Haviv Schieber qui a introduit Mark Lane à Willis Carto, fondateur du Liberty Lobby qui a été décrit comme «sans doute la figure la plus influente américaine à l'extrême droite dans l'ère post-Deuxième Guerre mondiale».

Dans l'étrange réalité tordue que Bollyn tente de colporter, Piper, Forbes, Duke, Lane, King, Gregory, Garrison, Marchetti, Hirsch, Schieber, Carto, etc., sont tous des «agents sionistes/CIA» ou des gens trompés par des agents, ces agents faisant en plus partie d'un complot qui remonte à la Seconde Guerre mondiale. Ainsi, 65 ans plus tard, après la venue du Grand Bollyn qui n'était même pas né quand Lane était dans les renseignements militaires, les conspirateurs auraient pu utiliser Lane pour qu'il dirige American Free Press comme une opposition contrôlée et une "opération attrape-mouches" pour fournir au gouvernement et aux Juifs les noms et adresses des patriotes. Ils pourraient avoir des gens tels que Carto et Piper se faisant passer pour les opposants au contrôle juif de l'Amérique, alors qu'ils travailleraient secrètement comme agents de la CIA ou de la juiverie internationale. Et la description que fait Mark Lane de Menachem Begin comme étant un «ancien terroriste» ou encore d'Israël comme un "Etat terroriste" dont "l'occupation" de la Palestine est «illégale», tout cela aurait fait partie de ses 65 ans de tromperie. Dans cet univers parallèle, Steven Rosen et Amy Kaufman Goott auraient également été dans le complot, feignaient d'être dupés par Lane faisant semblant d'être un antisioniste, qu'ils l'ont même décrit comme un «antisioniste Juif»
dans leur livre en 1983.

Ceux qui ont embarqué dans le culte Hufschmidesque de Bollyn, lorsque confrontés à des phénomènes tels que Mark Lane ayant représenté le fils du Rabbi Moshe Hirsch dans une tentative réussie pour obtenir sa libération des autorités israéliennes, pourrait en tous les cas faire valoir que le rabbin Hirsch, qui est décédé le 2 mai 2010, faisait tout simplement semblant d'être antisioniste depuis des décennies. Son leadership du groupe antisioniste Neturei Karta, diraient-ils, faisait partie de la tromperie, l'attaque à l'acide qu'il a subie à la mi-1990 et dans laquelle il a perdu un oeil a été truquée, son œil de verre était un faux outrancier, et le New York Times a trempé dans le complot en le décrivant comme un "adversaire d'Israël". Ou peut-être ne feraient-ils qu'ignorer, tout simplement, les faits désagréables au sujet de leur héro, préférant "vivre le rêve".

Le promoteur de l' "Holocauste" Mel Mermelstein a intenté un procès pour 11 millions de dollars contre quatre accusés: la Legion for the Survival of Freedom (une société sans but lucratif à travers laquelle IHR a fonctionné); Liberty Lobby, une institution de lobbying nationaliste et populiste basée à Washington, DC; Willis Carto, fondateur à la fois de l'IHR et de Liberty Lobby, et une firme légale du sud californien qui avait défendu Liberty Lobby et avait déposé une plainte contre Mermelstein. Mark Lane était l'avocat de Liberty Lobby. Lors du procès, Mermelstein a prétendu avoir donné autant de conférences que "les doigts de mes mains". Toutefois, Ted O'Keefe, éditeur du Journal of Historical Review de l'IHR, avait trouvé une déposition de 1985, dans laquelle Mermelstein avait déclaré avoir donné une moyenne de vingt conférences par an sur Auschwitz depuis 1967. Dans la salle d'audience, Lane a utilisé un crayon et papier pour calculer 18 x 20 = 360, et a demandé à Mermelstein s'il ne venait pas tout juste de dire au tribunal qu'il avait donné à peine autant de conférences qu'il y a de doigts sur ses mains. De manière amusante, un Mermelstein vexé s'est alors exclamé: "Je voulais dire les doigts de mes mains et mes pieds!" Lane avait réussi à ce que la cause soit rejetée.

Lane a également gagné la cause de Liberty Lobby (de Willis Carto) contre l'ancien agent de la CIA et cambrioleur du Watergate E. Howard Hunt. En 1981, Hunt a gagné 650 000 $ dans un procès en diffamation contre Liberty Lobby relativement à un article de 1978 publié dans The Spotlight qui reliait Hunt à l'assassinat de JFK. Dans un second procès en 1985, Lane a défendu avec succès Liberty Lobby, renversant le jugement initial de libelle diffamatoire. 

À l'émission de RJ Hender du 6 octobre 2009, Bollyn dit à propos de Mark Lane, American Free Press et Liberty Lobby:

Et j'ai appris, vous savez, au cours de la période de six ans, que American Free Press est en réalité la propriété de Mark Lane. Il est l'avocat juif qui détient les actifs. Il a repris les actifs d'American Free Press en 1993, quand le Liberty Lobby a fait faillite. Et il travaillait, après la guerre, il était dans l'OSS, il était dans les renseignements de l'armée en Allemagne, qui est devenue la CIA. Et, euh, voilà comment tout cela est arrivé, vous voyez. [...] J'ai travaillé à ce journal pendant six ans et demi. Je connais personnellement les gens dont je parle. Je connais Michael Piper. Je connais Mark Lane. Je connais Willis Carto. Je connais Chris Petherick. Je connais ces gens. J'ai travaillé avec eux intimement pendant six ans et demi ans. J'ai, vous le savez, on m'a dit dès le début, quand j'ai rejoint American Free Press par le biais du gars qui m'a amené à travailler pour la compagnie, nous marchions sur Independence Avenue, il a pointé du doigt une maison qui autrefois ... où, où Mark Lane avait un bureau ou vivait, juste à côté de notre bureau, il dit que Liberty Lobby a donné à Mark Lane cinq millions de dollars en frais juridiques parce que, vous le savez, c'est justement de ça qu'il en ressort - il est propriétaire du journal, il a repris le journal, il contrôle le journal ...
La source de Bollyn pour ces allégations - "le gars qui [l']a amené dans la compagnie" - est le Khazar auto-proclamé Jerry Myers, reconnu pour raconter des histoires invraisemblables. Bollyn est censé être assez brillant pour comprendre qu'Israël et la mafia juive ou Mishpucka étaient derrière le 11 septembre, et pourtant dans le même temps, il est censé être assez stupide pour tomber dans les tromperies de Myers. (Voir la section Les manigances de Bollyn pour en savoir plus sur la manière dont Bollyn a été intégré à l'équipe de The Spotlight en 2000 par Myers, alors que le 11 septembre était imminent.) Mike Piper souligne à ses émissions du 6 et 7 octobre que Lane, en tant qu'avocat de la compagnie, a été payé autour de $ 90.000 par an pour environ dix à quinze ans, plus quelques bonus. Il n'a jamais reçu le moindre "5 $ millions". Il n'y avait jamais aucun frais de retour légal pour Mark Lane. Lorsque Liberty Lobby s'est mis en faillite, Lane a continué à recevoir son salaire régulier. Après que Liberty Lobby a dû fermer, Lane a conseillé aux employés de Liberty Lobby de fonder une nouvelle compagnie, mais a dit qu'il ne pouvait servir d'avocat pour American Free Press, car il serait en conflit d'intérêts. AFP serait une société entièrement nouvelle, et lui, Lane, allait continuer à représenter Willis Carto et Liberty Lobby. Mark Lane a écrit plusieurs commentaires de l'AFP, mais il était seulement dans le bureau d'AFP à cinq ou six reprises - encore moins que Christopher Bollyn. 

Liberty Lobby n'a pas fait faillite en 1993, et il n'y a aucune preuve de la "récupération des actifs" par Lane que ce soit en 1993, en 2001 ou à tout autre moment. En 2001, les opérations de Liberty Lobby ont pris fin à Washington, DC. Le 2 août 2002, tous les droits et actifs de Liberty Lobby ont été affectés à la Legion for the Survival of Freedom, Inc (LSF). Ainsi la théorie du complot de Bollyn exige que Mark Lane ait repris les actifs de Liberty Lobby, ce qu'il n'a en fait jamais fait, que Lane était de mèche en quelque sorte avec les nouveaux contrôleurs de la LSF et de l'IHR, qu'ils avaient convenu avec Lane qu'ils lui repaieraient "ses" actifs inexistants, et ils ont gardé leur part du contrat et remis les actifs que Lane n'a jamais eu. C'est presque aussi vraisemblable que la Lune soit faite de fromage.

La LSF a été fondée par un groupe de patriotes du Texas en 1952. Elle était sur le bord de la faillite en 1966, quand Willis Carto a racheté le contrôle de la société et de son magazine American Mercury. Lorsque Carto a fondé l'IHR en 1979, il a été fondé comme une filiale de la LSF. En 1993, l'IHR avait environ 12 000 abonnés, deux grands entrepôts plein de livres, et un historique de publication
presque ininterrompu du Journal for Historical Review. Il y avait un couple de personnes âgées siégeant au conseil d'administration de la LSF qui n'étaient pas en bonne santé, et avaient déjà quelques problèmes financiers. Les rebelles de l'IHR ont commencé en leur disant que Willis Carto "opérait illégalement", qu'ils pourraient faire face à des problèmes fiscaux, et pourrait même finir en prison - à moins qu'ils démissionnent du conseil et permettent aux «bonnes personnes» de prendre le relais. C'était un ramassis de mensonges, mais malheureusement cela a fonctionné pour les rebelles.

Les quelques années après que Carto se soit fait évincer, l'IHR est tombé à quelque 500 abonnés et seulement une dizaine de magazines ont été publiés. Le nouveau porte-parole de l'IHR devint Mark Weber, dont la sœur a vécu dans un kibboutz en Israël. Quant à une "opération attrape-mouches", il y a une forte possibilité que l'IHR post-Carto soit une façade du Mossad et un «trust» du style KBG opérant dans le but de recueillir des noms et de surveiller les activités des membres du mouvement révisionniste. Si oui, il y aurait ironiquement un élément de vérité aux allégations de Bollyn, en ce que les anciens actifs de Willis Carto sont dirigés comme moyen de fournir au gouvernement et aux organisations sionistes des informations sur les patriotes. Mais les gens faussement accusés par Bollyn - tels que Willis Carto, Mike Piper, et Mark Lane - n'ont jamais participé à tout cela.

L'allégation de Bollyn selon laquelle Lane ait repris les actifs de Liberty Lobby en 1993 et qu'il "possède" et «contrôle» maintenant American Free Press comme une "opération attrape-mouches", en plus d'être fausse, implique nécessairement que Willis Carto et Mike Piper d'AFP ont été volontairement au service d'agents sionistes et de laquais du gouvernement pendant au moins dix-sept ans. Carto et Piper ont un long passé de lutte contre le sionisme et l'internationalisme sur une période de plusieurs décennies. Bien que Carto soit considéré
comme "controversé", parfois même "effrayant", sa mise en place et sa gestion d'organisations pro-liberté, pro-nationalistes et pro-vérité -- telles que la LSF, Liberty Lobby, l'IHR, etc. -- a combattu les mensonges des médias et des gouvernements ne laisse aucun doute quant à sa sincérité et son dévouement à la cause qu'il défend. Il est connu que lors d'un dîner organisé par la famille Bronfman, les participants discutaient si oui ou non ils doivent "se débarrasser de" Carto. Un rapport de 1994 du Centre Simon Wiesenthal décrit Carto comme «l'antisémite professionnels les plus influents aux États-Unis». Selon l'ADL, Carto est "l'un des propagandistes antisémites américains les plus influents de ces 50 dernières années". Piper a écrit de nombreux livres percutants tels que Final Judgment sur le rôle du Mossad dans l'assassinat de JFK; il a écrit pour The Spotlight et collabore aujourd'hui à l'American Free Press; il tient un forum radiophonique The Piper Report et participe à des conférences internationales. Il a acquis la réputation (chez les ignorants qui gobent la propagande) d'avoir des «vues haineuses» et «des liens professionnels de longue date avec des gens abominables» et des "néo-nazis".

En 1984, l'IHR et le bureau de Noontide Press (de Willis Carto) ont été incendiés et réduits à néant par des agents de la LDJ travaillant en liaison avec des agents du Mossad basés en Israël. Les dommages ont été estimés à $400 000. Les attaques terroristes sionistes contre l'IHR et les révisionnistes arrivaient fréquemment. Incapables de gagner le débat parce que la vérité n'est pas de leur côté, les Sionistes ont réalisé qu'il leur est nécessaire d'employer la force.

Compte tenu de leurs antécédents, si Carto et Piper avaient un jour constaté qu'ils travaillaient pour une organisation sioniste, ils auraient sûrement quitté le bateau pour fonder leur propre maison de publication. Le théoricien de la conspiration délirant et supporteur de Bollyn pourrait dire que Carto et Piper étaient déjà "des agents sionistes" travaillant avec la LDJ et le Mossad en 1984, et que la bombe incendiaire faisait partie du complot visant à les présenter comme de vrais «antisionistes», afin qu'ils puissent être démasqués comme étant des "imposteurs" par Hufschmid et Bollyn vingt-cinq ans plus tard. L'observateur avisé rejettera les adeptes de Bollyn comme étant des imbéciles, des menteurs ou des agents. Contrairement à Carto, Piper et Lane, Bollyn n'a jamais écrit ou publié aucun livre. Mais il a édité un livre, une seule fois, pour une personne soupçonnée d'être Scientologue.

À l'émission de Hender, Bollyn a prétendu connaître Michael Piper, Mark Lane, Willis Carto, et Chris Petherick, et qu'il a «travaillé étroitement avec eux pendant six ans et demi". Non, il ne les connaît pas et n'a pas travaillé avec eux pendant 6 ans et demi. Piper indique que Bollyn a probablement fait une dizaine d'apparitions à peine à Washington à l'intérieur de plusieurs années. (Mark Lane est passé au bureau à cinq ou six occasions.) Bollyn ne s'est pas impliqué dans les opérations quotidiennes d'AFP, tels que le publipostage pour promouvoir AFP et RBN. Et fait, AFP voulait que Bollyn s'installe plus près de Washington pour qu'il puisse mener des enquêtes aux États-Unis, mais il était souvent parti en voyage ailleurs dans le monde - particulièrement en Europe - pour différents projets. Bollyn demandait des remboursement pour beaucoup de déplacements mystérieux, ostensiblement liées à son travail "journalistique". Toutefois, la plupart du temps, ces projets n'étaient pas assignés par AFP. Éventuellement, AFP a décidé qu'il fallait couper dans les dépenses, après qu'ils aient trouvé qu'il prenait ses articles sur le Web et récupérait ses frais de dépenses pour financer d'autres activités.

Si Mark Lane venait faire un tour au bureau une fois par an et que Bollyn le faisait environ deux fois par an, en présumant qu'il y a environ 250 jours de travail par an, les chances que Lane puisse renconter Bollyn au bureau d'AFP est de l'ordre d'environ 1/125 par an. Il y aurait environ 124 fois plus de "jours sans Bollyn" que de "jours avec Bollyn". Ainsi, considérant la moyenne de Lane d'un jour par an au bureau, la probabilité que Bollyn soit là le même jour que Lane est de une sur 125. Même sur une période de six ans, il serait plus probable qu'ils ne se soient jamais rencontrés, et même s'ils s'étaient rencontrés. Les allégations de Bollyn à l'effet qu'il a travaillé "intimement" avec Lane ne pourrait pas être plus éloignées de la vérité.

Et les écrits de Bollyn produits peu après qu'il ait été congédié en octobre 2006 sont en totale contradiction avec la version qu'il a racontée à Hender comme quoi il a «travaillé intimement avec eux». Il a écrit:
Bollyn: Je suis désolé, mais contrairement à ce que dit l'AFP, je suis un étranger et je ne peux me porter garant de l'intégrité et de la crédibilité de chaque personne travaillant pour l'AFP. Comme je l'ai dit plus haut, il y a des personnages très suspects et douteux dans les plus hauts niveaux d'American Free Press, dont Michael Piper, Scott Makufka et Lisa Guliani.

Comment pourrais-je faire une déclaration et généraliser en disant qu'AFP n'est pas compromis quand je ne sais tout simplement pas qui sont vraiment ces gens ou envers qui sont-ils loyaux?

Bollyn a déclaré qu'il s'était fait couper son salaire parce qu'il "s'était trop approché de la vérité". En fait, d'autres à AFP ont vu leur salaire réduit eux aussi. Le salaire de Piper a été réduit - à deux reprises. En fait, à un moment donné, Piper a pensé qu'il serait incapable de se permettre de continuer à vivre à Washington. Les coupures étaient dues à la dure réalité du marché économique, et non pas à quelque sinistre "complot Sioniste" visant à évincer Bollyn. Sur plus de six ans entre 2000 et 2006, Bollyn a réclamé environ 60 000$ de dépenses à AFP / Liberty Lobby, en plus d'être payé 266 000$ - un total de 300 000$ tel que révélé par Mike Piper à son émission du 6 avril 2007 [4:26] .

Comme exemple d'avoir "été trop près de la vérité", Bollyn cite ses conclusions selon lesquelles l'Afghanistan a été envahi parce que le Mossad voulait contrôler un oléoduc. Cependant, la théorie de l'oléoduc a été proposée dès octobre 2001 par des gens comme John Pilger, et a ensuite été amplement développée, par exemple par Nafeez Mosaddeq Ahmed. En postulant une telle connexion au "Mossad" sans fournir de preuve à l'appui des allégations, Bollyn a servi de parfait homme de paille "théoricien de la conspiration antisémite", livrant ainsi des arguments supplémentaires aux adversaires de la vérité. Curieusement, d'autres -- par exemple en Australie occidentale -- présentent le même modus operandi.

L'affirmation selon laquelle Michael Piper a commencé à "attaquer" Bollyn "dès décembre 2001" et tente de l'empêcher de s'exprimer, est facilement démontré comme un vulgaire mensonge si l'on jette un coup d'oeil à l'historique. Dans les archives de 2006 de The Piper Report, on peut voir que durant la majeure partie de cette année, Piper et Bollyn étaient en bons termes. Piper a reçu Bollyn comme invité à son émission à plusieurs reprises, et a même permis à Bollyn de le remplacer à au moins treize reprises en juin lorsque Piper a fait un voyage en Malaisie. Les invités de Bollyn incluent Eric Hufschmid, Helje Kaskel, et le "Dr" Ann Blake Tracy (deux fois).

 

Le "Ph.D." douteux de Tracy lui a été accordé à partir d'un moulin à diplômes d'«expériences de vie», plus spécifiquement pour son livre Prozac: panacée ou boîte de Pandore? qui est criblé de fautes orthographiques, de ponctuation, et de nombreuses phrases incomplètes. Ann Blake Tracy et son organisation Coalition for Drug Awareness (Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues) sont soupçonnées d'être une façade pour une "organisation de développement personnel", une «Église» qui a été subvertie par des avocats juifs et, à son tour, est devenu une façade pour le Mossad israélien. Après que Bollyn ait été congédié d'AFP en octobre 2006, il a accepté la charge d'éditer le livre de Tracy sur le Prozac, ce qui éveille le soupçon comme quoi Bollyn aurait été financée par la Scientologie, et donc le Mossad. Bollyn prétend qu'il n'a jamais été payé pour son travail d'édition sur le livre de Tracy. Toutefois, Bollyn est plutôt économe avec la vérité, et il cite en réalité des "travaux d'édition" comme une de ses sources de revenus sur lesquelles ils devait s'appuyer après avoir été congédié d'AFP. Donc, s'il n'a jamais été payé pour l'édition de Tracy Prozac livre, quels autres "travaux d'édition" a-t-il fait?

Lawrence E. Heller est l'un des avocats de l'Église de Scientologie, qui a été décrite avec justesse comme «une école pour les psychopathes». Heller fut l’avocat du « survivant de l’Holocauste » Mel Mermelstein lorsque ce dernier a intenté une poursuite infructueuse pour 11 millions $ contre quatre entités incluant Liberty Lobby, Willis Carto et Mark Lane - celui que Bollyn accuse d'être un « sioniste » et « opérateur de la CIA » - qui est l’avocat de Liberty Lobby, tel que mentionné ci-dessus. Le pseudo-révisionniste et scientologue Tom Marcellus et l'avocat Andrew Evered Allen ont pris le contrôle de l'IHR en octobre 1993, après avoir arraché son contrôle à Willis Carto à la faveur d'un coup d'Etat interne. Allen, un millionnaire californien soupçonné d'être un agent de l'ADL travaillant sous infiltration, a été impliqué dans des magouilles de la CIA et du Mossad en Afghanistan et en Birmanie. Après le coup de l'IHR, l'ADL a été en mesure de le présenter comme une scission entre "des bigots en guerre les uns contre les autres". (...)

Les manigances de Bollyn
Autour de 1981, Christopher Bollyn vivait en Californie. Il a eu deux condamnations pour vol en Californie, et une accusation d'agression. En 1983, Bollyn a épousé une espionne israélienne qui a travaillé dans le renseignement militaire israélien à Herzliya, en Israël. Il a été confirmé par Jay, le frère de Christopher, que Bosmat voulait épouser un Américain pour pouvoir vivre aux Etats-Unis, à Los Angeles (et obtenir la citoyenneté américaine). Une recherche du nom de jeune fille montre que Merimsky était associée à une adresse de Santa Monica, à moins de trois milles de Rand Corporation, et à moins d'un mille d'une synagogue Chabad Lubavitch. Le mariage a duré deux ans et Bollyn l'a décrit dans une interview avec David Duke comme un «mariage de convenance». Pour entendre un extrait audio de trois minutes dans lequel Christopher Bollyn parle de sa première femme Bosmat, cliquez ici. Et dans ce clip d'une minute et demie tiré de l'émission de RJ Hender du 6 avril 2010, Bollyn a dit qu'elle était «secrétaire». Oui, et les hommes ont été décrits comme des "diplomates" ou des "attachés militaires". Ils l'ont d'abord rencontrée quand elle avait seulement 16 ou 17 ans (à la fin des années 1970, quand Bollyn a travaillé comme sauveteur dans un kibboutz). Bollyn dit que même qu'avant qu'elle soit entré dans l'armée, le Mossad est venu au kibboutz où il vivait dans la vallée du Jourdain pour faire des vérifications d'antécédents sur elle pour en savoir plus sur Bollyn, son petit ami américain. Dans ce clip d'une minute et demie, Bollyn dit que quand Bosmat est venue en Amérique et a commencé à s'associer avec d'autres Israéliens, il a vu que leurs pratiques d'affaires étaient «à la limite du légal», les opérations frauduleuses qui étaient parfois légales, parfois même illégales. Donc il se serait dit "Je ne peux pas être impliqué avec des gens comme ça", et ceci fut sa raison pour le divorce.
Tel qu'indiqué sur son acte d'accusation sous des chefs d'espionnage en aout 2005 avec Larry Franklin et Keith Weissman, co-auteur de The Campaign To Discredit Israel, Steven J. Rosen était un "chercheur en sciences sociales" à la Rand Corporation à Santa Monica, où il avait obtenu le droit d'accès sécuritaire aux contrats de la CIA, avant d'être embauché par l'AIPAC autour de juillet 1982. Ainsi, Israël avait un agent - ou des agents - au Rand, au moins jusqu'à la mi-1982. De 1982 à 1983, il est donc possible que d'autres agents d'Israël aient déjà eu accès à des documents classifiés entre ces murs ou tentaient d'y accéder. L'adresse de la Rand Corporation est 1776, rue Main, à Santa Monica en Californie.
Ainsi, en 1983, quand Israël avait probablement des agents à la Rand Corporation ou cherchait à remplacer Rosen, Bollyn a aidé un espion israélien à obtenir sa citoyenneté américaine et à s'installer à peine quelques miles près de la Rand Corporation.
Dans une tournure intéressante des événements, alors que la première édition de The Campaign To Discredit Israel venait d'être publié (1er janvier 1983), décrivant Mark Lane comme un "antisioniste Juif", Bollyn vivait et voyageait à travers le continent américain avec un officier du renseignement militaire israélien de Herzliya qu'il allait ensuite épouser plus tard cette année. Plus de 25 ans plus tard, Bollyn allait prétendre que Mark Lane est un «sioniste Juif».
La première femme israélienne de Bollyn est maintenant associée avec une société juive d'affacturage financier détenue par Eyal Levy, qui se spécialise dans le "financement et la restructuration de transactions non conventionnelles dans le monde entier et a travaillé pendant plus de 25 ans pour des contrats du gouvernement et des organismes, y compris des contrats de financement des gouvernements, des contrats d'analyses de crédit et de ventes pour les forces armées américaines, la NASA, le FBI et la CIA." La compagnie de Levy, Platinum Funding Group, est financée par JPMorgan Chase et NM Rothschild and Sons. Platinum Funding Group a été créé en 1992, et a son siège social à la Tour de Bush, Manhattan, depuis 2002. Lorsque Bosmat Merimsky, son partenaire de Jacob "Cobi" Babchuk et Eyal Levy est allé sur un récent voyage en Asie, Levy a fait une impression assez bien d'un loup hurlant montrant ses dents. Et Merimsky et Babchuk sont récemment allés en vacances à Césarée, la seule ville en Israël à être gérée par une entreprise, la Edmond Benjamin de Rothschild Caesarea Development Corporation, qui a fait don de plus de 100 millions de shekels au cours des dernières années à des organisations comme le Centre interdisciplinaire d'Herzliya. Deux des résidents de Césarée les plus notables sont Eitan Wertheimer et Benjamin Netanyahou.

Christopher Bollyn a épousé sa seconde femme, Helje Kaskel, une ancienne actrice et modèle de nu, en 1995. Dans les années 1990, Bollyn et Kaskel travaillaient de toute évidence comme une équipe d'agents du renseignement, filant l'auteur nationaliste et antisioniste Michael Collins Piper. Cela remonte au moins à juillet 1994, soit peu de temps après la première publication de Final Judgment au début de 1994. La preuve documentée a fait surface en 2009 alors que Anne Cronin, qui avait travaillé à Liberty Lobby depuis 1964 avant le lancement de The Spotlight, est tombée sur des informations intéressantes en feuilletant les vieux livres d'or. En date du 11 juillet 11 1994, il y avait juste deux visiteurs au bureau de Liberty Lobby, à Washington DC qui avaient inscrit leur nom dans le livre correspondant à cette date, avec les noms précédents et suivants tombant en date du 13 juin et du 18 juillet respectivement. Le premier nom du 11 juillet 1994 était Christopher Bollyn, 220 Kingman Lane, Hoffman Estates, Illinois 60194. Et directement en-dessous, sur la ligne suivante se trouvait Helje Kaskel, Estonie. Toutefois, lorsque Bollyn est venu travailler pour The Spotlight et par la suite pour American Free Press, il n'a jamais mentionné une seule fois qu'il avait déjà mis les pieds à l'intérieur du bâtiment.
Bollyn a révélé en 2004 que son travail à IBM Global Network Services était dans le département de l' "accès à distance".
Un réseau non sécurisé est tout réseau qui peut être atteint de l'extérieur.
Quand nos machines à voter dans le comté de Cook peuvent être contactées par quiconque connaît l'adresse de protocole Internet (IP) pour n'importe quelle machine du réseau, c'est un réseau non sécurisé. (J'avais l'habitude de travailler dans le département d'accès à distance d'IBM Global Network Services. A l'époque, c'était le meilleur et le plus sûr fournisseur d'internet de l'Amérique.)

Charles C. Palmer, Directeur de l'Institut d'IBM pour la sécurité avancée et un membre du comité consultatif sur l'intégrité et la confidentialité des données pour la Homeland Security, a travaillé avec IBM Global Services pour démarrer leur soi-disant "pratique de piratage éthique". Un candidat au Pirate Certifié Éthique (CEH) n'a qu'à signer un accord préalable à sa formation, s'engageant à ne pas utiliser ses compétences pour des attaques illégales ou malveillantes.
IBM Global Services a également employé des "hackers éthiques" dans une autre capacité, afin de prouver aux clients d'IBM qu'ils avaient besoin de resserrer leur sécurité afin de prévenir que des personnages sans scrupules ne puissent copier ou voler des documents et entrer dans la salle des serveurs informatiques. Plutôt que d'accéder à distance à des ordinateurs, les pirates auraient un accès physique aux bâtiments de bureaux en posant comme un membre du personnel ou en tant que visiteur légitime, par exemple un technicien. Le faux «confrère de travail» ou «technicien» emploierait des accessoires comme un casque, une combinaison ou un presse-papiers, mais une capacité à suivre le script était une qualification importante. Un "hacker éthique" du nom de Paul, qui a effectué ce travail pour la branche britannique de IBM Global Services avant le 11 septembre, a décrit comment il avait développé un talent pour le jeu de rôle, et a souvent travaillé avec un partenaire pour que la ruse ait l'air authentique.
Donc, nous avons Christopher Bollyn et un partenaire qui visite le bureau de Liberty Lobby en 1994; le père de Bollyn Elbert, qui se trouve être un acteur accompli durant ses temps libres qui était président de la guilde de théâtre de Hoffman Estates et avait fréquemment joué dans leurs productions; la rencontre de Bollyn avec les Murdoch vers 1988; Bollyn qui travaille pour IBM Global Network Services au département de l' "accès à distance" et son intérêt pour la fraude électorale et la possibilité de piratage des machines à voter, les "pirates éthiques" de IBM Global Services qui auraient accès à distance à des ordinateurs ou blufferaient leur chemin dans le bureau local (dans les années 1990); le fait que les sionistes comme Murdoch auraient aimé voler des données telles que des listes de diffusion à partir d'une organisation populiste, pro-nationaliste, antisioniste telle que Liberty Lobby avec une vision du monde prétendument antisémite, le fait que Bollyn n'avait aucune raison de ne pas mentionner sa visite de 1994 dans les bureaux de Liberty Lobby, après qu'il en soit venu à travailler pour eux en 2000 si la visite de 1994 avait été entièrement innocente, le scandale d'écoute électronique de l'empire médiatique Murdoch qui remonterait présumémment à 2001 au moins étant donné que le FBI prend au sérieux les allégations selon lesquelles les téléphones des victimes du 11 septembre auraient été piratés, et les publications de Murdoch donnant des pot-de-vin à la police afin d'obtenir des informations pour leurs scoops. Bollyn et Kaskel n'auraient pas pris la peine de signer avec de faux noms en 1994, car ils n'auraient pas pu savoir alors que Bollyn viendrait travailler pour Liberty Lobby six ans plus tard. La tendance se maintient...


En avril 1997, Mike Piper est filé par le couple Bollyn-Kaskel à Cancun, au Mexique. Piper se trouvait dans un magasin de tabac, accroupi en train de regarder un étui à cigares, lorsqu'il entendit une voix grinçante américaine dire: «Hé, des cigares!». Elle sonnait comme "Hey, siii-garz". Piper se retourne et aperçoit un couple percutant -- un beau grand mec avec sa femme merveilleusement belle, ressemblant à des touristes américains. Ils ne parlaient pas à Piper, mais se tenaient à proximité de lui. Puis, en mai 2000, lorsque Piper a rencontré les Bollyn à Chicago et que Christopher a mentionné qu'il fumait des cigares, Piper s'est soudainement souvenu du "Hey, siiii-garz" qu'il avait entendu trois ans auparavant, et réalisa que ce couple était les mêmes deux personnes qu'il a vu précédemment au Mexique.

Environ six mois avant le premier contact officiel de Piper avec Bollyn (par courriel) au début de 2000, il avait été contacté par un monsieur suédois qui avait exprimé un intérêt à faire un documentaire sur
Final Judgment. Il a raconté à Piper une histoire sur l'une de ses expériences au Moyen-Orient en compagnie d'un autre individu. Quand Piper a visité les Bollyn à leur domicile de Chicago en mai 2000, Christopher Bollyn a raconté la même histoire racontée par le monsieur suédois. C'était à propos du même incident à la frontière israélienne, et pourtant ni Bollyn ni le monsieur suédois n'ont dit qu'ils se connaissaient. La reconnaissance que les Bollyn étaient le couple du "Hé, siii-gaarrz", l'expérience partagée par deux messieurs qui ont omis de mentionner qu'ils se connaissaient, et un incident bizarre dans lequel Helje a montré à Piper de ses photos de nu alors que son mari Christopher le regardait, a conduit Piper à se demander s'il n'avait pas été pris dans une opération de renseignement impliquant le couple Bollyn. Ce fut neuf ans avant la découverte de preuves documentées de la visite des Bollyn à Liberty Lobby en 1994.

Par une intéressante «coïncidence», Bollyn et Kaskel étaient à New York le jour du 11 septembre, un an après que le Khazar auto-proclamé Jerry Myers ait permis à Bollyn de trouver du travail comme «journaliste».

Depuis avril 2005, Hufschmid maintenait une page intitulée Bollyn's Secret Agents ("Les agents secrets de Bollyn") sur son site. La page comporte une photo d'Helje Kaskel empoignant un fusil et posant comme un agent secret de style 007.


Autour de novembre 2006, Christopher Bollyn a fait circuler un e-mail sous son pseudonyme de "Sam Brand" avec cette photo en pièce jointe, dans lequel il demandait à son critique Scott Makufka (alias Victor Thorn) s'il était «homosexuel», suivi de la déclaration "Je ne suis pas gay. Ma femme est dans la photo." Et Bollyn est censé être un chercheur du 11 septembre, pas un garçon de huit ans! L'utilisation du nom "Brand Sam" par Bollyn découle du fait que son grand-père maternel était Samuel Brand.

Christopher Bollyn et Eric Hufschmid ont collaboré de 2002 à 2007 au moins; Christopher et Helje filaient Mike Piper dans les années 1990; et Hufschmid a choisi Les agents secrets de Bollyn comme titre pour sa page portant la photo de Helje, il est clair que le duo d'imposteurs - et très probablement le trio de traîtres dont Helje Kaskel - se révèlent avoir fantasmé à se voir comme un trio d' "agents secrets".

Le couple Bollyn-Kaskel opérait déjà aux Etats-Unis avant que le premier mari de Helje Kaskel, Urmas Alender, chanteur du groupe rock progressif estonien Ruja, ne meure dans la catastrophe du traversier MS Estonia lorsque le navire a coulé dans la mer Baltique en se rendant de Tallinn vers Stockholm, tuant 852 personnes. La star du rock Alender est morte le 28 septembre 1994, plus de deux mois après que sa femme Helje ait visité
le bureau Liberty Lobby à Washington DC, en compagnie de son futur mari Christopher Bollyn de Hoffman Estates, le 11 juillet.

Selon le rapport officiel, les serrures de la porte d'étrave "ont cédé sous la pression des vagues". Le gouvernement suédois a engagé des plongeurs de Rockwater, une filiale de Halliburton, qui était dirigée dans les années 1990 par Dick Cheney. Une enquête officieuse a récupéré des morceaux de métal de près de la porte d'étrave, et les avait examinés dans des laboratoires aux Etats-Unis et en Allemagne. Les tests ont montré des preuves d'une explosion, avec "des transformations du métal semblables à celles causées par la détonation à haute-vitesse". Cela pourrait expliquer la forte détonation qui a été entendue dans la nuit de la catastrophe. Par ailleurs, de l'équipement militaire russe volé est reconnu comme ayant été transporté clandestinement sur l'Estonia les 14 et le 20 septembre 1994, et est soupçonné d'avoir été à bord lors de la nuit fatidique du naufrage le 28 septembre. Dans certains récits, le MI6 transportait clandestinement du matériel pour le compte de la CIA, d'autres citent le KSI - renseignement militaire suédois - comme étant à les commanditaires de la contrebande. Une théorie affirme que la mafia russe-estonienne (ou les juifs) aurait placé une mine patelle sur la coque, avertissant la société de transport qu'ils devraient payer de l'argent de protection. Une autre théorie est que le gouvernement russe a découvert le vol et la contrebande de leurs équipements et que leurs agents avaient placés une mine afin d'endommager le navire et le forcer à rentrer au port, stoppant la livraison et envoyant un avertissement aux agences de renseignement occidentales. Dans chaque cas, le dommage a été plus important que prévu, et le navire a coulé.

Bollyn a été pris comme employé au journal The Spotlight dans des circonstances étranges au cours de l'année précédant le 11 septembre. En janvier 200, Christopher Bollyn s'implique dans un conflit avec sa bibliothèque locale lorsque celle-ci refuse de mettre sur ses tablettes le livre Final Judgment de Michael Collins Piper. Il affirmait avoir entendu parler du livre de Piper sur l'Internet, et la controverse lui fournit un prétexte pour quitter son emploi au réseau IBM Global Services, pour rencontrer Piper et s'implique dans le journal The Spotlight, un journal critique vis-à-vis d'Israël et du sionisme. Bollyn et sa première épouse Helje ont rencontré Michael Piper "officiellement" quelques mois plus tard, en mai 2000. 

Jerry Myers, qui se décrit comme Khazar, avait travaillé à Liberty Lobby il y a longtemps, dans les années 1960. Il avait la réputation d'être un fauteur de troubles, un conteur de balivernes, et était considéré un peu étrange mais sincère et largement inoffensif. Myers a été congédié de Liberty Lobby, mais personne ne pouvait se rappeler de ce pourquoi il avait été congédié. Il est réapparu à la fin des années 1990, en disant qu'il aimerait être bénévole. Alors Carto a accepté. À l'été 2000, Myers est allé à une conférence dans l'Indiana sur les fraudes électorales, et c'est là que Bollyn l'aurait apparemment rencontré. Myers est retourné à Washington et a commencé à dire à tout le monde que "Bollyn! Bollyn vient travailler pour Liberty Lobby!" Myers a dit que Willis Carto l'avait envoyé à la conférence pour "embaucher Bollyn". Mais Piper savait que Carto n'at jamais fait cela.

Incidemment, durant la conférence, Myers s'est présenté à Jim Condit comme un Khazar. Condit a pensé: «Qu'est-ce que Liberty Lobby fait avec un Khazar comme employé?" On pourrait dire la même chose de Bollyn, avec la distinction importante qu'il a non seulement gobé sans discernement tout ce que Myers lui a dit, mais il a agi de plus comme un pantin entre les mains de Myers -- au point même de renoncer à son emploi chez IBM Global Network Services (réseau global de service IBM), alors que les sionistes avaient justement besoin de quelques "journalistes" contrôlés pour leurs imminents attentats terroristes sous faux pavillon.
Bollyn est arrivé à Washington pour une entrevue, et Piper avait l'impression que Bollyn était un peu déconcerté par la situation et ne savait pas trop ce qui se passait. Carto a demandé Piper, "C'est quoi cette histoire avec ce gars Bollyn?" Piper a expliqué que "Jerry est fou de lui", et Bollyn est l'homme qui s'est engagé dans la controverse de la bibliothèque de Schaumburg. Carto demandé: "Est-ce qu'il souhaite avoir un emploi ici?" Alors Carto eu une entrevue avec Bollyn et l'a engagé.

Par conséquent, les événements de 2000 expliquent l'intérêt de Bollyn pour Mike Piper et Liberty Lobby remontant à 1994, soit trois ans après que des responsables de sécurité israéliens aient inspecté le garage de
Zim American Israeli Shipping au World Trade Center, et a conclu que le garage du WTC était vulnérable à une voiture piégée. 1994 était également une année après que le garage du WTC ait été atteint par un attentat à la voiture piégée qui a tué six personnes et en blessant plus d'un millier dans les incendies qui suivirent après que le plan consistant à substituer de la poudre inoffensive à la place de l'explosif ait été annulé par un superviseur du FBI, et un an avant que Benjamin Netanyahou écrive sur "l'islam militant" faisant tomber le World Trade Center. Netanyahou prétend qu'il s'agit d'une prédiction faite par son père Benzion au début des années 1990, et que son père a aussi prédit l'«Holocauste» en 1937.

Avant que la preuve ait émergé que Christopher Bollyn et Helje Kaskel avaient rendu visite à Liberty Lobby à Washington, DC, en 1994, plus de deux mois avant la mort de l'époux d'alors de Helje, Urmas Alender, Mike Piper a laissé entendre le 30 septembre 2008 pourquoi il croit que Christopher Bollyn "fait partie d'une opération de renseignement de longue date". Cliquez ici pour écouter le clip 2:09 minutes.

J'espère que certains d'entre vous auront eu la chance d'écouter l'émission que j'ai faite avec Daryl Bradford Smith sur iamthewitness.com. L'émission bien sûr a été enregistrée samedi et était disponible sur le site la dernière fois que j'ai regardé. Incidemment, vous savez, au départ, ça n'était pas dans l'émission elle-même, mais quand Daryl et moi avons eu la chance de discuter hors d'ondes, j'ai dit à Daryl certaines choses dont je n'avais jamais parlé à l'antenne. Eh bien, je dois dire que j'en ai parlé en ondes mais sans donner de noms. J'en ai en fait parlé sur cette émission à un moment donné sans mentionner aucun nom.

Mais inutile de dire que je dis à Daryl que je référais en fait à Christopher Bollyn, le célèbre Christopher Bollyn. Et Daryl et moi comparions quelques notes sur Bollyn, et nous sommes parvenus à des conclusions très semblables sur Bollyn et ses antécédents pour ainsi dire. Quoi qu'il en soit, un moment donné je vais raconter l'histoire en détail sur les ondes. Deux ou trois histoires plutôt révélatrice indiquant que Christopher Bollyn m'avait ciblé personnellement il y a très, très longtemps avant qu'il ne surgisse sur l'écran radar d'American Free Press. Que toute son approche visant à se rapprocher de moi en promouvant mon livre Final Judgment et en militant publiquement pour celui-ci faisait partie d'une opération de renseignement de longue date puisque, étant donné que tous ces événements qui sont arrivés, et en regardant certaines connexions de Bollyn et certains de ses activités, je peux comprendre maintenant, vous savez, c'est drôle quand vous êtes en plein milieu de quelque chose vous ne le comprenez pas tout à fait ou ne reconnaissez pas tous les détails à l'oeuvre, mais quand vous pouvez prendre du recul et de regarder la grande image vous comprenez. Eh bien, j'en ai assez dit sur le caractère répréhensible de Bollyn.
Bollyn avait ciblé Piper, afin que Bollyn puisse établir sa réputation d' "antisioniste / journaliste du 11 septembre", et plus tard poignarder dans le dos Piper. Ainsi, Bollyn établirait son propre culte de chercheurs de vérité du Web, en introduisant en même temps de la désinformation / homme de paille destinée à endommager la réputation du mouvement pour la vérité telle que perçue par les étrangers. Ceci est similaire à la tactique de Hufschmid de s'accrocher à Daryl Bradford Smith pour un certain temps afin de renforcer la réputation de Hufschmid au détriment de Smith. La différence dans le cas de Hufschmid est qu'il a été mis en place comme l'un des premiers leaders du mouvement de vérité du 11 septembre en étant muni d'un livre et d'un vidéo qui ont été produits par un comité. L'association avec Smith a permis à Hufschmid de prolonger sa durée de vie de deux ou trois années supplémentaires. Une tâche commune à Bollyn et Hufschmid aura été de diviser le mouvement, de manière à provoquer des affrontements entre ceux qui auront pu voir à travers leurs mensonges et ceux qui auront avalé l'hameçon, la ligne et le plomb.

En novembre 2000, quelques mois après avoir commencé à écrire pour The Spotlight, Bollyn a prétendu avoir reçu une menace de mort d'un monsieur russe, Alex Kantarovich de la Vikont Corporation située en Illinois, suite à l'article de Bollyn sur les nouvelles machines de vote électronique et la fraude électorale. Et le 13 octobre 2006, six jours après avoir été congédié d'American Free Press, Bollyn a prétendu avoir reçu une menace de mort de la part d'un «homme d'American Free Press et ami de longue date de Willis A. Carto". Il prétend qu'on lui aurait dit qu'il serait tué s'il révélait ce qu'il sait à propos d'American Free Press. Il n'existe aucune preuve que Bollyn ait reçu la moindre menace de mort de quelqu'un, et il est toujours vivant et bien portant à ce jour.

Une autre personne qui prétend avoir été "menacée" est le milliardaire Jimmy Walter, un promoteur de la désinfo "les avions du WTC ont été truqués". En mai-juin 2005, Walter, Hufschmid et Bollyn était en tournée de conférences en Europe pour promouvoir la vérité sur le 11 septembre, grâce au financement de Walter. La réunion de Londres a mis en vedette un autre imposteur, David «fils de Dieu" Shayler.

Bollyn prétend avoir rencontré Helje à Oslo. Dans une petite coïncidence intéressante, Helje Kaskel est né et a été éduqué en Estonie, et la femme de Rupert Murdoch à l'époque (de 1967 à 1999), Anna Torv, maintenant Anna Maria Torv Murdoch Mann, est aussi d'origine estonienne. Anna Murdoch Mann est née en fait en Ecosse dans un village près de Glasgow. Sa mère Sylvia Braida est écossaise, mais son père marins marchand ingénieur Jacob Torv vient d'Estonie. Également de la famille estonienne Torv, on retrouve l'actrice australienne Anna Torv (né en 1978), dont le père Hans Torv est d'origine estonienne. L'actrice est née à Stirling, en Écosse, et Anna Murdoch Mann est sa tante paternelle. James et Lachlan Murdoch sont les enfants d'Anna Murdoch Mann, ce qui fait d'eux des 1/4 estoniens via Jacob, leur père. La population féminine estonienne en 1960, en supposant que le partenaire de longue date le plus probable de Christopher Bollyn serait un peu plus jeune que lui, cela donne 682 000. La population mondiale était d'un peu plus de 3 milliards. (Le lien précédent pourrait avoir besoin d'être rafraîchi pour que le tableau s'affiche.) Ainsi, en supposant 1,5 milliard pour la population féminine mondiale en 1960, les femmes estoniennes représentaient environ 1 sur 2200 du total. Bien sûr, les Murdoch auraient beaucoup de contacts à part des Estoniens. Mais étant donné que Bollyn a rencontré les Murdoch en 1988 et a rencontré Helje Kaskel autour de 1994 (ou éventuellement plus tôt), il y a une forte possibilité qu'un membre de la famille Murdoch a présenté Helje Kaskel à Christopher Bollyn. 


La famille de Christopher Bollyn a des liens de parenté avec Sir Thomas Boleyn, le père d'Anne Boleyn, qui était la reine d'Angleterre comme la seconde épouse du roi Henry VIII. Anne Boleyn était aussi la mère de la reine Elizabeth I qui a gouverné l'Angleterre ainsi qu'une portion variable de l'Irlande pendant plus de 44 ans. L'arbre généalogique de la famille Tudor du côté d'Henry VIII se termine avec Elizabeth I, mais la reine Elizabeth II descend de la sœur d'Henry VIII Margaret Tudor.
La mère de Christopher Bollyn, Charlotte, née le 6 février 1919, a été gouvernante pour la famille Farish et a pris soin du jeune William Timbres Farish III, né le 17 mars 1939, Houston, TX, qui était ambassadeur américain au Royaume-Uni en date du 11 septembre 2001. La fortune de la famille Farish provient de Humble Oil, qui a été progressivement absorbée par la Standard Oil et éventuellement rebaptisée Exxon. John D. Rockefeller a été fondateur et président de la Standard Oil. Humble Oil a été co-fondé par le grand-père de Farish III, William Stamps Farish II, le petit-neveu de Jefferson Davis.

William S. Farish III est:
* Un proche ami de George H.W. Bush (depuis plus de 50 ans); il a offert aux Bush leur épagneul spinger Millie, tient une partie de chasse à la caille pour Bush chaque année dans son ranch, et a géré au début des années 80 les actifs du vice-président d'alors en bénéficiant d'une confiance aveugle.
* doté d' "une foule de contacts exotiques chevauchant le monde du renseignement et le monde des finances - en particulier en Grande-Bretagne".
* Un bon ami de la reine Elizabeth II, qui a été un invité au moins quatre fois au ranch Farish dans le Kentucky et dont plusieurs de ses chevaux sont entraînés par Farish.
* Un membre de la Pilgrim Society, comme le sont tous les membres supérieurs de la famille royale britannique; d'autres Pilgrims passés et présents incluent Henry Kissinger, Winston Churchill, Otto Kahn de Kuhn Loeb and Co, Henry S. Morgan de Morgan Stanley, J . Pierpoint Morgan de JR Morgan, David Rockefeller, John D. Rockefeller, Edmond de Rothschild, Jacob Schiff, Paul Volcker, etc.
Les rangs des Pilgrims sont remplis de membres de l'Église épiscopale, dans laquelle Chris Bollyn été un enfant de choeur et a remporté le prix God and Country. IBM et la famille Watson sont fortement représentés dans la société Pilgrim. Bollyn travaillé pour le réseau global de services d'IBM (IBM Global Network Services) jusqu'en 2000 lorsque, suite à l'intervention d'un Khazar bizarre tel que décrit ci-dessus, il commença à travailler pour The Spotlight. Il a aussi admis avoir habité avec une Comtesse suédoise. Parmi les membres de la Pilgrim liés à l'Illinois, on compte George Wildman Ball, David Waddell Barr, William Averell Harriman (connecté à George Herbert Walker et son gendre, Prescott Bush), Lillian Craig Harris (un instructeur d'anglais et de journalisme au Wheaton [Illinois] College, 1966-68, qui s'est également rendu à Beyrouth, au Caire, etc.), Robert Louis Payton, James Robert Peterson, Sturgis Lee Riddle, Robert Armstrong Robinson, etc.

La soeur de Christopher Bollyn Karin a épousé un Juif, Michael Epstein, et élève sa fille Ivy Charlotte dans la foi juive. Les grands-parents maternels d'Ivy Charlotte étaient feu Charlotte et Elbert Bollyn, les parents de Karin et Christopher Bollyn. Une preuve supplémentaire de l'association entre les familles Bollyn et Epstein est démontrée par le fait que "Epstein, Karin Bollyn", "Bollyn, Christopher Lee" et d'autres sont nommés comme bénéficiaires sur une concession de pétrole et de gaz. Michael et Karin Epstein et Karin sont étroitement associés à la synagogue Temple Solel de Paradise Valley, Arizona, dont la mission comprend "promouvoir l'amour d'Israël". En mai 2001, Karin Epstein a été installé comme l'un des fiduciaires de la synagogue.

Alors, un peu comme Eric Hufschmid qui était supposé être un adversaire des tromperies du Nouvel Ordre Mondial (NOM) telles que le "réchauffement global" au même moment que sa soeur Kathryn fait de son mieux pour promouvoir cela pour la Clinton Climate Initiative, nous avons aussi le spectacle de Christopher Bollyn l'«opposant» d'Israël et le frère de Karin dont le travail comprend «la promotion de l'amour d'Israël».

En juin 2010 le bulletin d'information de Temple de Solel annonçait l'anniversaire de mariage de Michael et Karin Epstein en indiquant que celui-ci célébrait 27 ans de vie commune, sous la rubrique "anniversaires de juin". Le bulletin de juin 2009 montrait 26 ans sous la rubrique "anniversaires de mai". Ils se sont donc mariés en 1983, soit la même année que Christopher Bollyn a épousé un officier des renseignements militaires israéliens, Bosmat Merimsky, à Porto Rico.

Le goût de la famille Bollyn pour le judaïsme et Israël proviendrait au moins partiellement du Beth Tikvah Temple, qui a été mis en place en 1957 et est rapidement devenu une force puissante à Hoffman Estates, sous la direction de Rabbi Hillel Gamoran. Le site Internet de Beth Tikvah énonce:
Depuis plus de 50 ans, Beth Tikvah a accueilli des individus et des familles dans notre communauté juive réformée à Hoffman Estates, Illinois, situé au cœur de la banlieue nord-ouest de Chicago.

La Congrégation Beth Tikvah est dédiée aux idéaux juifs de Avoda (Culte), à la Torah du Talmud (Apprentissage d'Une Vie), et Tikkun Olam (Action Sociale), le tout dans l'optique de construire un monde meilleur.

Les activités locales de la mère de Bollyn Charlotte incluaient la prise en charge de la "Blue Wrens" / Groupe Bluebird durant les événements du Camp Fire Girls, et elle a été active dans le groupe des femmes de l'église épiscopale Holy Innocents. Le rabbin Gamoran a été l'hôte de certains des événements du Camp Fire Girls au Beth Tikvah Temple, a donné les bénédicités aux scouts, et a dirigé un «programme de musique inter-religieuse", qui a rapproché Beth Tikvah et d'autres congrégations, comme l'église épiscopale Holy Innocents.

Le 14 novembre 1959, Charlotte Bollyn a été photographiée au bazar du groupe des femmes de Holy Innocents. En janvier 1964, Charlotte a amené deux invités au festin de Camp Fire Girls qui s'est tenu au Temple Beth Tikvah le 15e jour du même mois. Le Daily Herald de Chicago daté du 19 mars 1964 a rapporté l'événement le dimanche 15 mars.

Un "programme de musique inter-religieuse" a été parrainé par le comité aux relations humaines de Hoffman - Schaumburg. Les remerciements ont été prononcés par le rabbin Hillel Gamoran du Temple Beth Tikvah, président des projets du comité. Le but de la rencontre a été expliqué plus en détails par le révérend Raymond Dalton de l'église épiscopale Holy Innocents ...

Le 19 février 1966, le rabbin Gamoran a prononcé la bénédicité lors du dîner-potluck Blue and Gold du Cub Scout Pack 193, qui comprenait 37 louveteaux et leurs familles à Fairview School, Hoffman Estates. Des années plus tard, à l'âge de 15 ans, Christopher Bollyn était un Eagle Scout ("éclaireur").

Christopher Bollyn, anciennement d'Hoffman Estates près de Schaumburg, travaillait auparavant pour IBM Global Network Services, où il a été amené à écrire pour The Spotlight.
(...)

Le 23 janvier 2007, Christopher Bollyn a été interviewé par Deborah Feyerick à la Bibliothèque de district du canton de Schaumburg pour l'émission de CNN Paula Zahn Now. L'émission correspondante a été diffusée une semaine plus tard, quand son rôle consistant à faire passer les chercheurs du 11 septembre conscients du sionisme pour des "antisémites" a été confirmé. Après que Bollyn a nié être un antisémite, cela a ouvert la voie à CNN pour faire intervenir Deborah Lauter de l'ADL disant: "C'est une technique très courante chez les antisémites. Ils tordent les choses. Je ne suis pas un anti-sémite. Je crois seulement XYZ." Et Mark Potok du Southern Poverty Law Center a dit, "Je pense que les théories du complot en général ont vraiment tendance à fonctionner un peu comme un jeu de téléphone. Elles sont dites et redites et ont tendance à aller de plus en plus loin dans le récit." Bollyn acceptant d'être interviewé a fourni à CNN le matériel qu'il leur fallait pour mener à bien leur tromperie, tout en échouant d'obtenir une quelconque contrepartie pour le mouvement pour la vérité telle que la révélation généralisée des preuves du rôle central d'Israël dans le 11 septembre.

Écoutez ce clip de deux minutes et demie extrait de l'entrevue inédite, dans laquelle Bollyn est interrogé sur qui était derrière le 11 septembre. Il répond: "J'aimerais bien savoir qui l'a fait". Au cours des deux prochaines minutes, bien qu'il ait eu toutes les chances et les encouragements incluant des questions telles "Qui avait le plus à gagner?" et "Qui a eu les ressources nécessaires pour réaliser cela?", il refuse obstinément de parler d'Israël, mais il parle d'un "nouveau Pearl Harbor" et d' "agences de renseignement parrainées par l'État" et d' «acteurs étatiques». Il mentionne «notre gouvernement», et Bush et Cheney, mais ne parvient pas à mentioner Larry Silverstein, Frank Lowy, Benjamin Netanyahu, le rabbin Dov Zakheim, les «Israéliens dansants» ou quelque autre acteur juif dans cette affaire que plus tard dans l'entrevue, après avoir été interrogé spécifiquement à propos de ses écrits sur l'implication sioniste et israélienne.

Dans le talk-show The Piper Report du 8 mars 2007, disponible ici, il a des choses intéressantes à dire sur une enquête menée par un patriote qui est un détective privé, qui a été engagé par AFP pour examiner de plus près leur ancien employé. Dans cet extrait de 5 minutes, Piper dit que l'enquête a révélé que Bollyn avait "reçu de l'argent de l'étranger" et "a apparemment été régulièrement visités par un ou des individu(s) dont les plaques d'immatriculation ne peuvent être retracées". Dans sa note préliminaire, l'enquêteur a déclaré qu'il était "risqué d'enquêter sur Christopher Bollyn" puisque "j'ai découvert la possibilité distincte de l'implication de personnes liées aux renseignements d'un ordre supérieur". Il a constaté que "la cible (Bollyn) dépense plus d'argent que ce qu'elle est capable de gagner". Dans ce clip plus long, Piper révèle également que l'AFP a été informé par une source très fiable que Bollyn ne "payait pas ses taxes" et ne déposait aucune déclaration de revenus fédérale. Ainsi, bien que Bollyn ait prétendu être une cible de l'élite au pouvoir, il est en fait protégé au plus haut niveau. Piper suggère que le travail de Bollyn, plutôt que d'enquêter sur le 11 septembre, était de produire des rapports à ses manipulateurs sur le mouvement de vérité du 11 septembre, en posant comme un «journaliste» afin de pouvoir infiltrer les milieux de recherche de vérité.

Bollyn a tendance à visiter la Suisse, conduisant à des soupçons selon quoi une partie de son travail serait de servir de courrier pour des clients de banques suisses. Cela pourrait expliquer la source de son "argent de l'étranger" - avant de fuir les Etats-Unis après sa condamnation pour délit. Par exemple, Bollyn a quitté la conférence Axis for Peace du 17-18 novembre 2005, à Bruxelles (les participants qui comprenait David "fils de Dieu" Shayler, Thierry Meyssan et Phil Berg) pour rendre visite à Daryl Bradford Smith au centre de la France le jour de Thanksgiving, le 24 novembre 2005. La maison de Smith est considérée comme étant à l'Ouest plutôt qu'à l'Est de la France centrale, bien que l'emplacement n'ait pas été médiatisé. Toutefois, Bollyn a voyagé via Genève, fournissant une faible «explication» selon quoi il avait un laissez-passer de 30 $ pour voyager sur les trains allemands. Son histoire ne tient pas la route, car il avait encore à conduire vers l'ouest à travers les montagnes. La route la plus directe aurait été de conduire en direction sud-ouest vers Paris (seulement 315 km ou 196 miles de Bruxelles), puis continuer au sud-sud-ouest vers sa destination, un voyage d'environ 698 km (434 miles) au total. Bruxelles et Genève sont séparées par 793 km par la route la plus courte via le Luxembourg et la France - ou plus via l'Allemagne, puis Bollyn eu à voyager vers l'ouest plus de 500 km.


Bollyn était en Suisse le dimanche 19 janvier 2003, juste avant qu'il poste un article "Chemtrails over Switzerland" ("Des tracés chimiques dans le ciel de Suisse"), se décrivant comme un "journaliste américain basé en Europe".
Bollyn dit que ses ancêtres sont venus en Amérique en provenance de Suisse, et qu'il s'agit par conséquent d'une partie importante de son histoire familiale. Effectivement, la famille Brand étaient suisse, et les documents d'archives montrent que la plupart d'entre eux ont été baptisés. Et Jean Bartholoman Patt Sr. est né en Suisse en 1842. Eric Hufschmid, le compère imposteur et saboteur de Bollyn, tous deux protégés de Murdoch, est également d'origine suisse de par son père, Edward. La première banque mondiale Rothschild, la Banque des règlements internationaux (BRI), a été établie à Bâle dans la célèbre Suisse «neutre» en 1930. Bâle a été le théâtre de six des sept premiers Congrès sionistes du tournant du siècle. Tout comme William S. Farish III et les membres de la famille Watson (IBM), l'agent des Rothschild Charles G. Dawes, le fondateur de la BRI, était un membre de la Pilgrims Society.

Ecoutez ce clip de douze minutes de l'émission The Piper Report du 19 avril 2010, sur comment un sosie de Christopher Bollyn s'est retrouvé à une conférence d'American Free Press en 2006, autour du moment où Bollyn a commencé à rompre avec AFP. Piper était présent à la conférence, mais Bollyn n'y a pas assisté. Un monsieur à la conférence de Washington est venu voir Piper et lui a dit qu'il avait parlé à Bollyn. Piper dit que dans les cas où les agences de renseignement utilisent des sosies, les deux d'entre eux savent généralement qu'ils sont des agents de renseignement, mais ne sont pas au courant de leurs sosies. Plus tard, le sosie a approché Piper et a commencé à parler avec lui. Il avait une ressemblance remarquable avec le vrai Bollyn, et ceux qui ne connaissaient pas personnellement Christopher Bollyn auraient pensé que c'était vraiment la même personne. Il avait le même teint de la peau, les mêmes cheveux / coiffure, les mêmes tics et la même voix. Lorsque Piper a fait remarquer au sosie qu'il ressemblait à Bollyn, le sosie a ri et a indiqué qu'il ne savait pas vraiment qui était Bollyn.

La protection de Bollyn "au plus haut niveau" est une donnée entièrement compatible avec les contacts "au plus haut niveau" de Bollyn. Les preuves de liens possibles avec des gens au plus haut niveau est corroborée par des preuves de liens réels avec des personnes au plus haut niveau. Et cela est doublement corroborées par des actions de Bollyn comme agent provocateur, agent de désinformation et homme de paille. Compte tenu de toutes les preuves contre lui, sa constante sollicitation pour qu'on lui envoie des "dons" est également susceptible d'être une opération attrape-mouches destinée à compiler les noms et adresses pour les services de renseignements et le gouvernement.

Tout chercheur de vérité est à même de comprendre l'absurdité de la théorie voulant qu'Oussama ben Laden ait travaillé pour la CIA jusqu'au 11 septembre avant de soudainement se retourner contre eux; ou que la famille Ben Laden ait été partenaire d'affaire de la famille Bush alors qu'Oussama le prétendu «mouton noir» de la famille se serait retourné contre eux, ou qu'Adam Pearlman se serait supposément rebellé contre sa famille juive et son grand-père paternel de l'ADL pour devenir un antisioniste pro-terroriste membre de la prétendue organisation d' "Al-Qaïda". Nous devons alors nous demander si l'idée selon laquelle Christopher Bollyn, la personnalité de l'establishment avec des connexions en haut lieu, se serait rebellé et serait devenu un dénonciateur dévoilant les crimes des ploutocrates, n'est pas plus crédible que celle d'Adam Pearlman comme un "ex'"-juif devenu membre d' "Al Qaïda", ou Oussama Ben Laden "ex"-agent de la CIA mais «mouton noir» de la famille Ben Laden. Ou l'idée selon laquelle Eric Hufschmid, le proche parent et protégé présumé de Rupert Murdoch, se serait rebellé et aurait dévoilé les crimes de Murdoch et ses copains sionistes. Ou le scénario du partisan de la théorie "pas d'avions" Morgan Reynolds comme un sonneur d'alarme et "ex"-membre de l'administration Bush. Ou la possibilité que John Lear en tant qu' "ex" agent de la CIA essaie vraiment d'aider le mouvement pour la vérité en proclamant qu'il n'y a eu "aucun avion au WTC", des "extraterrestres sur mars", et que la Lune serait doté d'un "réacteur à fission" nucléaire , de"64%" de la gravité terrestre et d'une "atmosphère" dans les cratères qui est assez dense pour y respirer, etc
.

CONCLUSION
 
Premièrement, il y a la connexion Hufschmid - Murdoch qui n'était pas vraiment censée être une connexion mais une simple "coïncidence". Puis nous avons la connexion Bollyn - Murdoch, une autre connexion qui est censée ne pas en être une. Des preuves corroborantes que ces deux "coïncidences" sont des connexions plutôt que des coïncidences sont fournies par une troisième "coïncidence", ou ensemble de "coïncidences". Les deux personnes impliquées dans ces connexions Murdoch qui sont censées être des non-connexions "en arrivent" à collaborer ensemble pendant au moins 5 ans, peu après le 11 septembre de 2002 à 2007, les deux ont été à l'oeuvre comme effectifs réels de Murdoch en se révélant être de sérieux handicaps pour le mouvement de vérité du 11 septembre, et les deux utilisent une tactique connue de COINTELPRO des années 1960 consistant à accuser les authentiques activistes d'être des «agents»

Alternativement, deux individus soupçonnées d'être des agents d'infiltration sionistes collaborant pendant des années après le 11 septembre, utilisent tous les deux une tactique connue de COINTELPRO des années 1960, en accusant les authentiques activistes d'être des «agents», et les deux sont un handicap et un embarras pour le mouvement de vérité du 11 septembre. Le premier, comme le beau-frère de James Murdoch, a des liens très étroits avec la famille de Rupert Murdoch. La probabilité qu'un tel lien ne soit que pure coïncidence est comparable à la chance de gagner à la loterie. Ainsi, nous examinons le deuxième suspect pour voir s'il y a une connexion Murdoch, et bien sûr, il y a effectivement une connexion à la famille Murdoch. Par ailleurs, la probabilité que cette connexion ne soit qu'une simple «coïncidence» est plus petite que la probabilité d'être frappé par la foudre. 

Ironiquement, Hufschmid recommande (.mp3) que nous cherchions des "coïncidences bizarres". Ceux qui ont examiné les faits et continuent tout de même à croire à l'intégrité de Hufschmid ou de Bollyn ont besoin d'avoir une foi inébranlable et irrationnelle en la théorie de la coïncidence, et en la bonne foi de menteurs, saboteurs et provocateurs avérés. (...)





Toujours sur takeourworldback.com: 



Un agent infiltré des services secrets se révèle être un menteur relié à des gens très intéressants.

Revisé le 18 janvier 2010
Mise à jour: Les déclarations de Bollyn qualifiant Mark Lane de "Juif Sioniste" démolies par un livre de 1983.


Pour vérifier cela, allez sur Google Books à http://books.google.com et cherchez les mots "Steven J Rosen" + "The Campaign To Discredit Israel". Sélectionnez le livre The Campaign To Discredit Israel, puis cherchez les mots "Mark Lane" en utilisant la fonction "Cherchez dans ce livre". Le co-auteur Steven J. Rosen était un haut responsable de l'AIPAC pour 23 ans à partir de juillet 1982, et a été inculpé sous des chefs d'accusations d'espionnage avec Larry Franklin en août 2005. Dans une intéressante tournure d'événements, voir ici, plus bas, nous apprenons que Bollyn a épousé une agente des renseignements militaires israéliens en 1983, la même année que le livre The Campaign To Discredit Israel a été publié (1er janvier, 1983). Donc, lorsque la première édition était publiée, Bollyn vivait et voyageait sur le continent américain en compagnie d'une agente du renseignement militaire israélien de Herzliya. (Écoutez-le en parler ici.) Lui et sa deuxième femme se trouvent avoir visité les bureaux de Liberty Lobby l'année même où le livre Final Judgment a été publié.

Tel qu'indiqué dans ses chefs d'accusations de août 2005 pour espionnage avec Larry Franklin et Keith Weissman, Steven J Rosen était un "scientifique social" pour Rand Corporation à Santa Monica, où il a obtenu des passes de sécurité de contrats de la CIA, avant d'être engagé par l'AIPAC autour de juillet 1982. L'adresse de Rand Corporation est le 1776 Main Street, Santa Monica, Californie. Autour de 1981, Christopher Bollyn s'est installé en Californie. Il avait deux inculpations pour vol en Californie, et une accusation de voies de fait. Il a été confirmé par le frère de Christopher, Jay, que Bosmat Merimsky, l'officier des renseignements militaires israéliens de Herzliya, voulait épouser un Américain pour s'établir aux États-Unis, à Los Angeles (et obtenir la citoyenneté étatsunienne). Une recherche du nom de jeune fille montre que Merimsky était associée à une adresse de Santa Monica, à moins de trois milles de Rand Corporation, et à moins d'un mille d'une synagogue Chabad Lubavitch.
Mise à jour: L'émission de RJ Hender du 3 novembre 2009.

À l'émission de radio de R.J. Hender du mardi 6 octobre 2009, diffusée par Republic Broadcasting Network, Christopher Bollyn a prononcé des allégations extraordinaires contre American Free Press. La plupart de ces déclarations, qui ont déjà été abordées en détail par Michael Collins Piper à sa propre émission des 6, 7 et 8 octobre, apparaissent également dans l'écriture du plus récent article de Bollyn intitulé Why are we unable to resist? ("Pourquoi sommes-nous incapables de résister?") Celles-ci incluent notamment: le "Juif sioniste" Mark Lane "travaille pour une organisation juive de renseignements" et "détient" AFP; AFP est une "opposition contrôlée", une opération "attrape-mouches", un "loup déguisé en brebis, vêtu comme un agneau", un "traître envers le mouvement patriote américain", et a gardé des «dizaines de milliers de dollars» du fonds de défense juridique de Bollyn, etc. Une retranscription partielle de l'émission de RJ Hender est incluse ci-dessous, afin que les lecteurs puissent voir ce qui Bollyn a effectivement dit. Après avoir examiné les allégations de Bollyn, nous pouvons considérer les motivations, pour chacune des différentes parties, qui les pousseraient à mentir.

Tout d'abord, Mark Lane a toujours été antisioniste, et non pas un Sioniste. Cela a été en grande partie expliqué à l'émission de Piper du 6 octobre. En tant qu'avocat, Lane a représenté l'OLP et Yasser Arafat, et aussi les antisionistes de Neturei Karta (en anglais, connus sous le nom de "Juifs unis contre le sionisme") de Jérusalem, par exemple, en obligeant Menachem Begin à libérer le fils du rabbin Hirsch après qu'il ait été capturé par l'IDF. Neturei Karta est catalogué par la Ligue Anti Diffamation (ADL) comme étant des «extrémistes»; ses membres refusent de reconnaître l'Etat d'Israël et refusent de servir dans ses forces armées. Certains d'entre eux refusent de payer des taxes à Israël. Un théoricien de la conspiration endurcis pourrait spéculer que les différences entre Neturei Karta et les sionistes sont «truquées», et que Lane est "vraiment" un agent Sioniste posant comme un «antisioniste», de sorte que les Sionistes puissent contrôler les résultats de batailles juridiques importantes. Mais les Juifs ne forment pas un «ensemble uni». Beaucoup de victimes du fraudeur Bernie Madoff étaient aussi des Juifs. Plus récemment, Nicholas "Beano" Levene, un autre escroc juif qui a essayé de singer Madoff, a volé à d'autres Juifs plus de 100 millions de dollars. Une partie de l'argent a servi à payer une villa à Herzliya décoré d'oeuvre d'art précieuses, des maisons pour les membres de sa famille ainsi qu'une loge privée à l'hippodrome d'Ascot. Jetez aussi un œil à l'affaire de Mel Mermelstein contre l'Institute for Historical Review (IHR).

L'IHR a été fondé par Willis Carto en 1979 et resta sous son contrôle jusqu'en octobre 1993, lorsqu'il fut renversé par un coup d'Etat interne. En 1981, le "survivant de l'Holocauste" auto-proclamé et homme d'affaire du sud de la Californie Mel Mermelstein a réussi à obtenir une lettre d'excuses et 90 000 dollars dans un règlement hors cour de l'IHR. Ce règlement faisait suite à une poursuite de 17 millions $ par Mermelstein contre l'IHR, après qu'il eut revendiqué l'offre de récompense de 50 000 $ que l'IHR devait donner à la première personne pouvant prouver que les Juifs ont été «gazés» à Auschwitz. Sans surprise, l'IHR ne pouvait accepter le témoignage du témoin et parti comme une «preuve».

Encouragé par son succès, Mermelstein a déposé une autre poursuite pour 11 millions de dollars contre quatre accusés: la Legion for the Survival of Freedom (une société sans but lucratif à travers laquelle l'IHR opérait); Liberty Lobby, une institution-lobby nationaliste-populiste basée à Washington DC; Willis Carto, fondateur à la fois de l'IHR et de Liberty Lobby; et un cabinet d'avocats du sud de la Californie qui avait défendu Liberty Lobby et déposé une poursuite contre Mermelstein. Le procureur de Liberty Lobby était Mark Lane, décrit par Théodore J. O'Keefe (qui était rédacteur en chef du Journal for Historical Review de l'IHR) comme un "Juif antisioniste" qui "fut le principal avocat des accusés". Le théoricien de la conspiration pourrait rétorquer que O'Keefe faisait partie d'un complot couvrant plusieurs décennies dont le but était de dépeindre le «crypto-sioniste» Mark Lane comme un antisioniste, de sorte que Lane soit exposé plus de vingt ans plus tard par les "authentiques rapporteurs de vérité" et "chercheurs" Christopher Bollyn et Eric Hufschmid.

Lors du procès, Mermelstein a affirmé avoir donné seulement le même nombre de conférences que «les doigts de mes mains». Toutefois, O'Keefe a trouvé une déposition de 1985, dans laquelle Mermelstein a dit qu'il avait donné depuis 1967 en moyenne vingt conférences par an sur Auschwitz. Dans la salle d'audience, Lane a pris un crayon et un carnet pour calculer 18 x 20 = 360, et a demandé Mermelstein s'il ne venait pas juste de dire au tribunal qu'il avait donné pas plus de conférences qu'il y a de doigts sur ses mains. Avec humour, un Mermelstein vexé a alors lancé: «Je voulais dire les doigts de mes mains et mes pieds!" (Le lecteur peut tenter une recherche Google des expressions "mathématiques juives" ("jewish mathematics") et "six millions" lorsque ça lui plaira. Cependant, les Juifs ne recourent pas tous au mensonge et à la tromperie. Mark Lane est Juif, mais il désapprouve la guerre et le racisme. Stephen Lachs, le juge du procès dans cette affaire, est juif, mais il réussit à demeurer impartial.)

Après six jours de procédure qui ont démontré le manque de fiabilité de Mermelstein comme témoin, Mermelstein et ses avocats ont déjanté. L'avocat principal de Mermelstein était Lawrence E. Heller, et Peter Bersin était un avocat débutant. Lane a été dire à ses clients que l'affaire était en fait déjà gagné, et Heller a répondu en disant qu'il était "certain" qu'il y aurait davantage de preuves. À cela Lane a répliqué: «Nous sommes moins intéressés par les prédictions que par les preuves», Heller s'écria: "Va te faire $*!#". Cela a été répété par Bersin, qui commença à mettre Lane au défi "d'aller à l'extérieur pour régler ça maintenant». Heller s'était vanté à l'extérieur de la salle d'audience de ses aptitudes en arts martiaux, et le jeune et athlétique Bersin était bien conscient que Lane, qui était alors âgé de 64 ans, avait subi une intervention chirurgicale à coeur ouvert plusieurs années auparavant. Le 19 septembre 1991, le septième jour de la procédure, l'équipe de Mermelstein a finalement jeté l'éponge après que Lane ait déclaré à la cour qu'un partisan de l'IHR avait entendu Mermelstein murmurer à son avocat après avoir quitté la salle d'audience: «Je ne veux plus de cette cause». Le juge Stephen Lachs a déclaré: «La cause est donc, dans son intégralité, rejetée».

Un fait intéressant à propos de Lawrence E. Heller est qu'il est l'avocat d'une certaine «organisation de croissance personnelle» ("self-help organization") laquelle, tel qu'indiqué ci-dessous, a financé Christopher Bollyn. L'Eglise de Scientologie, décrit avec justesse comme «une école pour les psychopathes», a été subvertie par des avocats juifs. Le pseudo-révisionniste et scientologue Tom Marcellus et l'avocat Andrew Evered Allen ont pris le contrôle de l'IHR en octobre 1993, après avoir arraché son contrôle à Willis Carto à la faveur d'un coup d'Etat interne. Allen, un millionnaire de Californie soupçonné d'être un agent de l'ADL travaillant sous infiltration, a été impliqué dans les intrigues de la CIA et du Mossad en Afghanistan et en Birmanie. Après le coup de l'IHR, l'ADL a été en mesure de le présenter comme une scission entre "des bigots en guerre les uns contre les autres".

Mark Lane s'est associé avec des antisionistes, pas avec des Sionistes. Par exemple, Lane a été rédacteur en chef adjoint du bulletin d'info Zionist Watch, plus tard intitulé New American View. Son co-rédacteur était l'ancien officiel de la CIA Victor Marchetti. L'entrée de Wikipedia sur Marchetti le décrit comme un «éminent critique paléoconservateur de la communauté du renseignement des États-Unis et du lobby israélien aux Etats-Unis".

«Eh bien», le théoricien de la conspiration pourrait rétorquer, présentant encore plus de postulats ad hoc spéculatifs, «peut-être Marchetti et Lane sont tous deux des crypto-Sionistes se faisant passer pour des antisionistes, et l'auteur de Wikipédia est aussi dans le complot, ou a été trompé par Marchetti et Lane. Alors que Christopher Bollyn, ce journaliste d'investigation exceptionnel et vrai patriote, a été en mesure de voir à travers leur tromperie". Le théoricien de la conspiration ne fait pas qu'imaginer des choses pour lesquelles il n'existe aucune preuve et "oublie" commodément comment Mark Lane a contribué à sauver de la banqueroute l'IHR de Willis Carto, mais aussi comment Lane a gagné la cause du Liberty Lobby de Carto versus l'ancien agent de la CIA et cambrioleur de l'affaire Watergate E. Howard Hunt. En 1981, Hunt a remporté $ 650 000 dans un procès en diffamation contre le Liberty Lobby concernant un article publié en 1978 dans The Spotlight liant Hunt à l'assassinat de JFK. Dans un second procès en 1985, Lane a défendu avec succès Liberty Lobby, renversant la sentence de libelle initiale.

Lane, qui a même été décrit comme un négationniste de l'"Holocauste" par la propagandiste sioniste et androgyne bizarroïde Deborah Lipstadt, a également été associée avec le regretté Schieber Haviv, ancien maire de Ber Sheeba, Israël. Schieber est devenu un célèbre antisioniste, converti au christianisme, et se trouve dans la liste Victims of Zion du Zundelsite aux côtés d'autres comme Fredrick Toben, Paul Rassinier, Robert Faurisson, professeur Arthur Butz, François Duprat, Fred Leuchter, David Irving, Walter Lüftl, John Demjanjuk, Germar Rudolf, Jürgen Rieger, David Cole, Jürgen Graf, Ingrid Rimland, etc. Aucune personne saine d'esprit n'estimerait que ce sont des Sionistes, mais le duo de désinformation de Hufschmid et Bollyn prétendrait sans doute que M. Faurisson est probablement le seul sur cette liste à ne pas être un agent sioniste, ce qui revient à prétendre qu'ils sont sains d'esprit alors que tout le monde en dehors de l'asile est fou. C'est Haviv Schieber qui a présenté Mark Lane à Willis Carto.

Pendant la guerre du Vietnam, Lane a conseillé Jane Fonda sur ses positions en opposition à la guerre. Lane a dit à Piper qu'à la fin des années 1970 et au début des années 1980, il a essayé de faire en sorte que Jane Fonda se joigne à lui dans sa critique d'Israël et l'exprime publiquement, mais elle ne voulait pas. Bollyn omet aussi de mentionner qu'il voulait Mark Lane, son soi-disant «Juif Sioniste», pour le représenter dans sa bataille contre le Département de police de Hoffman Estates qu'il accusait de faire partie d'un vaste complot des Juifs sionistes destiné à lui mettre le grappin dessus. Lane s'était initialement préparé à représenter Bollyn dans cette affaire, jusqu'à ce qu'il apprenne que l'ami intime de Bollyn Eric Hufschmid remettait en question l'intégrité de Lane.

Deuxièmement, Mark Lane, n'a jamais reçu "5 millions d'euros" comme Bollyn le prétend, pour acheter les actifs de Liberty Lobby. Mike Piper souligne dans ses émissions du 6 et du 7 octobre que Lane, à titre d'avocat de la compagnie, était payé environ 90 000$ par an pendant environ dix à quinze ans, plus quelques bonus. Il n'y a jamais eu aucun frais légaux cachés destinés à Mark Lane. Lorsque Liberty Lobby a rempli une demande de faillite, Lane a continué de recevoir son salaire régulier. Après que Liberty Lobby ait disparu, Lane a fourni des conseils aux employés Liberty Lobby sur comment mettre sur pied une nouvelle compagnie, mais a déclaré qu'il ne pourrait être procureur pour American Free Press, car il se trouverait en situation de conflit d'intérêt. AFP serait une corporation entièrement nouvelle, et lui, Lane, continuerait à représenter Willis Carto et Liberty Lobby. Mark Lane a écrit plusieurs commentaires pour l'AFP, mais il est venu dans les bureau de l'AFP à seulement cinq ou six occasions - encore moins que Christopher Bollyn.

Liberty Lobby n'a pas fait faillite en 1993, et il n'y a aucune preuve comme quoi Lane aurait pris "possession des actifs", ni en 1993, ni en 2001 ni à tout autre moment. En 2001, les opérations de Liberty Lobby ont pris fin à Washington DC. Le 2 août 2002, tous les droits et actifs de Liberty Lobby ont été assignés à la Legion for the Survival of Freedom Inc (LSF). Donc, la théorie du complot de Bollyn exige que Mark Lane ait repris les actifs de Liberty Lobby, alors qu'en fait il ne les a pas pris, l'idée que Lane était dans une sorte de complot avec les nouveaux contrôleurs de la LSF et l'IHR, qu'ils avaient convenu avec Lane qu'ils lui paierait "ses" actifs inexistants, et qu'ils auraient gardé leur part du contrat en remettant les actifs que Lane n'a jamais eu. C'est aussi plausible que la Lune soit faite en fromage.

La LSF a été fondée en 1952 par un groupe de patriotes au Texas. Elle était sur le bord de la faillite en 1966, quand Willis Carto a acheté le contrôle de la corporation et son magazine The American Mercury. Lorsque Carto a fondée l'IHR en 1979, cela fut créé comme une filiale de la LSF. En 1993, l'IHR avait environ 12 000 abonnés, deux grands entrepôts remplis de livres, et un historique de publication presque ininterrompu du Journal for Historical Review. Il y avait quelques personnes âgées pas très en santé qui siégeaient au conseil d'administration de la LSF et qui avaient déjà des problèmes financiers. Les rebelles à l'origine de la mutinerie de l'IHR ont commencé à leur dire que Willis Carto «opérait illégalement», qu'ils pourraient faire face à des problèmes avec l'impôt, et pourraient même finir en prison - à moins qu'ils ne démissionnent du conseil pour permettre à des "gens biens" de prendre la relève. C'était un tissu de mensonges, mais malheureusement ce plan de rébellion a fonctionné.

À peine quelques années après que Carto ait été chassé, l'IHR est retombé à quelque 500 abonnés et seulement une dizaine de magazines ont été publiés. Mark Weber, dont la soeur a vécu dans un kibboutz en Israël, est devenu le nouveau représentant de l'IHR. Mais c'est une autre histoire, le fait est que des avocats juifs ont travaillé pendant des années pour mettre la main sur des millions de dollars qui étaient supposés être allés à Willis Carto et à des causes populistes. Bizarrement, un certain "anti-judaïque" d'Australie-Occidentale a déjà publié sur le forum NOLAJBS que sa sœur a déjà travaillé dans un kibboutz en Israël, mais ses déclarations ne sont pas plus fiables que celles des Bollyn ...

Troisièmement, les déclarations de Bollyn voulant que Lane a repris les actifs de Liberty Lobby en 1993 et qu'il «possède» et «contrôle» American Free Press comme une opération "attrape-mouches" implique nécessairement que Willis Carto et Michael Piper d'AFP ont servi volontairement en tant qu'agents sionistes et agents du gouvernement pendant au moins seize ans. Carto et Piper, ont une longue expérience (des décennies) de lutte contre le sionisme et contre l'internationalisme. Bien que Carto soit considéré comme "controversé", parfois même "effrayant", sa mise en place et sa gestion d'organisations pro-liberté, pro-nationalistes et pro-vérité -- telles que la LSF, Liberty Lobby, l'IHR, etc -- a combattu les mensonges des médias et des gouvernements ne laisse aucun doute quant à sa sincérité et son dévouement à la cause qu'il défend. Il est connu que lors d'un dîner organisé par la famille Bronfman, les participants discutaient si oui ou non ils doivent "se débarrasser de" Carto. Un rapport de 1994 du Centre Simon Wiesenthal décrit Carto comme «l'antisémite professionnels les plus influents aux États-Unis». Selon l'ADL, Carto est "l'un des propagandistes antisémites américains les plus influents de ces 50 dernières années". Piper a écrit de nombreux livres percutants tels que Final Judgment sur le rôle du Mossad dans l'assassinat de JFK; il a écrit pour The Spotlight et collabore aujourd'hui à l'American Free Press; il tient un forum radiophonique The Piper Report et participe à des conférences internationales. Il a acquis la réputation (chez les ignorants qui gobent la propagande) d'avoir des «positions haineuses» et «des liens professionnels de longue date avec des gens abominables» et des "néo-nazis".

En 1984, l'IHR et le bureau de Noontide Press (de Willis Carto) ont été incendiés et réduits à néant par des agents de la LDJ travaillant en liaison avec des agents du Mossad basés en Israël. Les dommages ont été estimés à $400 000. Les attaques terroristes sionistes contre l'IHR et les révisionnistes arrivaient fréquemment. Incapables de gagner le débat parce que la vérité n'est pas de leur côté, les Sionistes ont réalisé qu'il leur est nécessaire d'employer la force.

Compte tenu de leurs antécédents, si Carto et Piper avaient un jour constaté qu'ils travaillaient pour une organisation sioniste, ils auraient sûrement quitté le bateau pour fonder leur propre éditeur de publications. Le théoricien de la conspiration délirant et supporteur de Bollyn pourrait dire que Carto et Piper étaient déjà "des agents sionistes" travaillant avec la LDJ et le Mossad en 1984, et que la bombe incendiaire faisait partie du complot visant à les présenter comme de vrais «antisionistes», afin qu'ils puissent être démasqués en tant que "fraudes" par Hufschmid et Bollyn vingt-cinq ans plus tard. L'observateur éclairé (informé) rejettera les adeptes de Bollyn comme étant des imbéciles, des menteurs ou des agents. Contrairement à Carto, Piper et Lane, Bollyn n'a jamais écrit ou publié aucun livre. Mais il a édité un livre, une seule fois, pour un Scientologue.

Quatrièmement, à l'émission de Hender, Bollyn a prétendu connaître Michael Piper, Mark Lane, Willis Carto, et Chris Petherick, et qu'il a «travaillé étroitement avec eux pendant six ans et demi". Non, il ne les connaît pas et n'a pas travaillé avec pendant 6 ans et demi. Piper indique que Bollyn a probablement fait une dizaine d'apparitions à peine à Washington à l'intérieur de plusieurs années. Bollyn ne s'est pas impliqué dans les opérations quotidiennes d'AFP, tels que le publipostage pour promouvoir AFP et RBN. Et fait, AFP voulait que Bollyn s'installe plus près de Washington pour qu'il puisse mener des enquêtes aux États-Unis, mais il était souvent parti en voyage ailleurs dans le monde, particulièrement en Europe, pour différents projets non reliés à AFP. Bollyn demandait des remboursement pour beaucoup de déplacements mystérieux qui, souvent, n'avaient pas été assignés par AFP, et c'est pourquoi ses remboursements ont été coupées.

Si Mark Lane venait faire un tour au bureau une fois par an et que Bollyn le faisait environ deux fois par an, en présumant qu'il y a environ 250 jours de travail par an, les chances que Lane puisse rencontrer Bollyn au bureau d'AFP est de l'ordre d'environ 1/125 par an. Il y aurait environ 124 fois plus de "jours sans Bollyn" que de "jours avec Bollyn".

Et les écrits de Bollyn produits peu après qu'il ait été congédié en octobre 2006 sont en totale contradiction avec sa version racontée à Hender comme quoi il a «travaillé étroitement avec eux». Il a écrit:

Bollyn: Je suis désolé, mais contrairement à ce que dit l'AFP, je suis un étranger et je ne peux me porter garant de l'intégrité et de la crédibilité de chaque personne travaillant pour l'AFP. Comme je l'ai dit plus haut, il y a des personnages très suspects et douteux dans les plus hauts niveaux d'American Free Press, dont Michael Piper, Scott Makufka et Lisa Guliani.

Comment pourrais-je faire une déclaration et généraliser en disant qu'AFP n'est pas compromis quand je ne sais tout simplement pas qui sont vraiment ces gens ou envers qui sont-ils loyaux?

Cinquièmement, Bollyn a déclaré qu'il s'était fait couper son salaire parce qu'il "s'était trop approché de la vérité". En fait, d'autres à AFP ont vu leur salaire réduit eux aussi. Le salaire de Piper a été réduit - à deux reprises. En fait, à un moment donné, Piper a pensé qu'il serait incapable de se permettre de continuer à vivre à Washington. Les coupures étaient dues à la dure réalité du marché économique, et non pas à quelque sinistre "complot Sioniste" visant à évincer Bollyn. A titre d'exemple d'avoir "été trop près de la vérité", Bollyn cite ses conclusions selon lesquelles l'Afghanistan a été envahi parce que le Mossad voulait contrôler un oléoduc. Cependant, la théorie de l'oléoduc a été proposée dès octobre 2001 par des gens comme John Pilger, et a ensuite été amplement développée, par exemple par Nafeez Mosaddeq Ahmed. En postulant une telle connexion au "Mossad" sans fournir de preuve à l'appui des allégations, Bollyn a servi de parfait homme de paille "théoricien de la conspiration antisémite", livrant ainsi des arguments supplémentaires aux adversaires de la vérité. Curieusement, d'autres -- par exemple en Australie occidentale -- présentent le même modus operandi.

Il aurait été beaucoup mieux de démontrer un motif d'invasion de l'Afghanistan pour lequel il existe une abondance de preuves: la CIA/Mossad avaient un motif pour empêcher les Talibans de continuer à décimer le commerce d'opium afghan. Et il n'est même pas nécessaire de proposer que les services secrets tirent profit du trafic illicite (bien qu'il aurait été surprenant que des éléments voyous ne le fassent pas!). Osama Ben Laden a suggéré, le 28 septembre 2001, que les services secrets américains ne voulaient pas que le trafic de stupéfiants soit décimé (comme les Talibans l'ont fait en 2001) puisque la puissance et le financement des agences de renseignements aurait été diminuée, ce qui leur donne un motif pour renverser le régime. Cela s'inscrit parfaitement dans la ligne du temps des auteurs du 11 septembre.

Sixièmement, Bollyn a affirmé qu'American Free Press avait gardé l'argent recueilli pour son fonds de défense juridique. Une partie des fonds a été versée à Bollyn, mais il ne l'a pas mentionné. AFP soupçonne que l'argent qu'il a reçu n'a pas été utilisé pour les frais juridiques, mais pour publier un livre pour enfants sur lequel lui et sa femme avaient travaillé pendant un long moment. Cependant, il y a eu encore des fonds qui ont été recueillis. AFP a envoyé une lettre à chaque contributeur pouvant être retracé, en expliquant les circonstances pour lesquelles ils ont dû se séparer de Bollyn, notamment le fait qu'il avait choisi de s'aligner avec Eric Hufschmid qui menait une campagne de peur et de diffamation contre AFP. Les contributeurs ont été informés que leur argent leur serait retourné sur demande, ou, s'ils le souhaitent, que l'argent serait fusionné dans le compte général d'AFP. Certains ont répondu en disant de garder le montant d'argent, d'autres ont demandé que l'argent leur soit retourné. Il y avait seulement une dame Ecossaise qui n'avait pas laissé d'adresse, mais AFP a obtenu l'adresse et lui a éventuellement retourné son argent. Quelqu'un a appelé à l'émission de Piper pour confirmer qu'il avait reçu une lettre concernant son don pour le fonds de défense juridique de Bollyn.

Non seulement les accusations de Bollyn ne sont fondées sur aucune vérité, mais de plus les preuves accumulées au cours des trois dernières années indiquent que Bollyn est lui-même un agent infiltré travaillant pour les services secrets, une opposition contrôlée et une opération "attrape-mouches". Comme nous le verrons plus loin, on peut retracer les liens de Bollyn avec la famille royale britannique, la famille Bush, Rupert Murdoch, Henry Kissinger, David Rockefeller, Edmond de Rothschild, les banquiers juifs internationaux, le renseignement militaire israélien, etc. Quant à savoir pourquoi Robert J. Hender promeut et soutient un agent des services de renseignements, le fait qu'il s'associe à une personne soupçonnée d'être un paravent de la Scientologie et qu'il participe à une organisation de chasseurs d'OVNIS donne un bref aperçu de son approche pour le moins peu objective.

Robert J. Hender a reçu Ann Blake Tracy comme invitée à son émission. Le "Ph.D." douteux de Tracy lui a été accordée à partir d'un moulin à diplômes d'«expériences de vie», plus spécifiquement pour son livre Prozac: panacée ou boîte de Pandore? qui est criblé de fautes orthographiques, de ponctuation, sans parler des nombreuses phrases incomplètes. Ann Blake Tracy et son organisation Coalition for Drug Awareness (Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues) sont soupçonnées d'être une façade pour une "organisation de développement personnel", une «Église» qui a été subvertie par des avocats juifs et, à son tour, est devenu une façade pour le Mossad israélien. Bollyn a lui-même trahit le fait que Tracy l'a financé pendant plus d'un an après qu'il a été congédié par l'American Free Press, lorsqu'il a admis que Tracy l'a engagé pour l'"édition" de son livre. Dans les archives RBN de l'émission d'Hender:

MARDI, 7 JUILLET 2009
Fichiers MP3: 1re heure, 2e heure
Fichiers jouables: PLS M3U

Entretien avec Ann Blake Tracy drugawareness.org 1-800-280-0730 Prozac: panacée ou boîte de Pandore ... Le Prozac est du LSC et le Ritalin est de la meth (methamphétamine) Ces compagnies de produits chimiques mènent une guerre contre les familles américaines - même Michael Jackson est mort d'un Syndrome de sérotonine. Même le Mountain Dew cause des psychoses ...

Robert J. Hender a travaillé sur K-Talk Radio (KTKK, 630 AM Radio) à partir de 1998 jusqu'à environ 2001 ou 2002. L'adresse de KTKK n'est qu'à environ trois miles ou six minutes de voiture du lieu de résidence d'Ann Blake Tracy à West Jordan, UT.

Le lieu de résidence de Hender est aussi dans la région de Salt Lake City. Il a utilisé l'adresse de South Jordan de K-Talk, mais à compter de novembre 2001 il a également utilisé une boîte postale à Riverton, qui est à environ six miles au sud de la résidence d'Ann Blake Tracy à West Jordan, UT. Hender dit en novembre 2001:

"Je fais de la radio depuis 17 ans, et j'ai été l'hôte d'une émission de variété à K-Talk pendant 3 ans ..."
Il a interviewé des gens comme Bill Cooper, amplement promu par le duo pro-Bollyn/pro-Hufschmid Jim Kerr et Michael Stewart, de FugaziQuo.com, lesquels reçoivent l'aide du propagateur de la théorie «pas d'avions au WTC» et expert en Photoshop qui poste des messages sous le pseudonyme Quasimodo. À son émission du 6 octobre 2009, Hender a déclaré qu'il a cessé de faire de la radio pendant plusieurs années. Et il y a un vide d'environ sept ans dans sa carrière radiophonique, période au cours de laquelle il s'est consacré au sujet des ovnis et des "extraterrestres". La victime potentielle de contrôle de l'esprit Judy Woods qui propagea l'idée du "rayon spatial" serait supposément dans le coma depuis six ans.

En mars 2002, Hender a déclaré avoir décidé "l'automne dernier" (à savoir, à l'époque du 11 septembre) de se pencher sur la question des ovnis et des extraterrestres.

Sur la page correspondant au lien ci-dessus, qui est tenue par l'ami d'Hender "Alien Dave" qui est en fait Dave Rosenfeld, le directeur de la Utah UFO Hunters (UUFOH ; littéralement "Chasseurs d'OVNIs de l'Utah"), Hender prétend avoir été informé du fait que les OVNI sont pilotés par des êtres "des 10 tribus perdues". Il dit que "le côté sombre" a perpétré les attaques du 11 septembre au WTC; il prétend avoir vu des "lumières" qui se déplaçaient dans le ciel y compris une qui le suivait et affirme avoir rencontré des gens censés avoir été enlevés par des «extraterrestres».

Mais voici une intéressante «coïncidence» au sujet d'une date précise. Robert Hender a mis sur pied le site web rjradio.org pour se faire de la promotion et vendre des marchandises, un site dont le nom de domaine a été créé le 12 septembre 2001. Le site met en vedette les oeuvres d'individus tels que Carl Sanders (qui a également été favorisé par Greg Szymanski), Bill Koerner et Leonard Horowitz. Rosenfeld a créé son domaine aliendave.com le 22 mai 2001. Hender fait la promotion d'un autre site, natoindiannation.com, créé le 13 février 2002.

Il n'y a pas de preuve d'une quelconque intention malveillante de la part de R.J. Hender, qui pouvait tout simplement ignorer le fait que Michael Piper et d'autres hôtes de RBN travaillent à l'AFP. La plupart du temps, Bollyn parlait de Mark Lane et d'AFP plutôt que de Piper. Piper a dit durant son émission qu'il avait reçu un très joli e-mail d'excuse de la part d'Hender. Les auditeurs seront probablement intéressés de voir ce qui arrivera lorsque Bollyn sera à nouveau invité à l'émission de RJ Hender, le premier mardi de novembre.

Il est de plus en plus évident qu'il y a lieu d'avoir de sérieux doutes sur la véracité des déclarations de Bollyn suite à un incident survenu en août 2006, au cours duquel Bollyn a appelé la police pour qu'elle vienne à son domicile avant de devenir belliqueux à leur arrivée (comme preuve, sa petite fille l'a averti: "Papa, ils pourraient t'arrêter! "); puis il s'est dirigé vers la maison en criant qu'il allait chercher des renforts. Bollyn a affirmé avoir été «surpris» lorsque la police s'est présentée à son domicile (après avoir composé le 9-1-1 à partir d'une boutique de vins pour demander à la police de venir à son domicile!!!), et il était «surpris» lorsqu'il a été abordé, "tasé" puis arrêté. Bollyn écrit:

"J'avais terminé tous mes appels et regardé la première partie de l'émission de nouvelles de Lou Dobb sur CNN et j'étais en chemin vers le magasin, lorsque je suis sorti sur le perron et que j'ai vu tout à coup cette voiture menaçante de couleur sombre, pleine d'individus ressemblant à des agents. J'ai immédiatement averti ma femme et mes enfants et j'enfourchai mon vélo pour aller au magasin. Quelque chose ne va pas, me suis-je dit, et je me suis arrêté au magasin de vin du coin en demandant d'utiliser le téléphone. J'ai appelé le 9-1-1 et je leur a dit qu'une voiture étrange avec des hommes armés arpente les rues de mon quartier sans raison apparente. On m'a dit qu'une voiture de police viendrait me rencontrer chez moi, dans 20 minutes. J'étais dans ma maison depuis quelques minutes lorsque la même voiture suspecte s'arrêta devant ma maison et trois hommes vêtus de veste pare-balle ont envahi mon entrée de garage. Je venais juste de raccrocher le téléphone après avoir parlé au service de police. J'étais encore plus surpris de voir ces voyous habillés d'une veste pare-balle dans mon entrée. Mon épouse et ma fille de 8 ans étaient déjà là et j'ai demandé à ces hommes de s'identifier et pourquoi ils rôdaient dans ma rue. "

Notez que Bollyn avait déjà posté un article sur les pistolets paralysants (sur un site Internet qui présente des sujets tels que les «sylphes» et les «extraterrestres») le 9 avril 2006, quatre mois avant son appel au 9-1-1 au "marchand de vin du coin" (commerçant d'alcool) le 15 août 2006 pour faire venir la police à son domicile avant de devenir belliqueux et de leur dire qu'il allait à l'intérieur pour "chercher des renforts" dans le but de se faire "taser" et arrêter pour ensuite se présenter comme un "martyr" devant les vrais croyants pendant que l'ADL pourrait facilement l'identifier comme un fou et un "théoricien de la conspiration" paranoïaque. De même, certains projets de loi du Patriot Act avaient été enregistrés avant les événements du 11 septembre.

Bollyn se mit à prétendre qu'il y avait eu une conspiration pour «le coincer» impliquant l'ADL, le Department of Homeland Security (Ministère de la Sécurité Intérieure), l'ensemble des forces de police de Hoffman Estates, le service d'ambulance, les services d'incendie, la "totalité de l'appareillage municipal d'Hoffman Estates" (voir la transcription de l'émission d'Hender ci-dessous), des procureurs juifs, des juges juifs, différentes personnes liées à American Free Press, etc. S'il y avait vraiment eu un grand complot pour «coincer» Bollyn comme il le prétend, ils auraient eu besoin de perfectionner le contrôle d'esprit au point d'être en mesure de pousser Bollyn à appeler le 9-1-1 pour faire venir la police, lui fournissant ainsi le prétexte dont ils avaient besoin pour lui rendre visite à son domicile. Si Bollyn s'était vraiment senti menacé, il n'aurait pas abandonné sa femme et ses enfants à la maison pour aller à la rencontre des "voyous vêtus de veste pare-balle", et il n'aurait pas pédalé plusieurs miles pour aller au magasin de vins, se rendant ainsi vulnérable aux agresseurs potentiels qui arpentaient les mêmes rues dans une voiture «suspecte» qui ont pu ainsi facilement mettre en scène un «accident». S'il y avait une conspiration pour coincer Bollyn, il aurait été "suicidé" ou aurait trouvé la mort dans des circonstances étranges.

Christopher Bollyn se gratifie de l'appui des chercheurs de vérité antisionistes les plus crédules en inventant des théories du complot et en leur disant ce qu'ils veulent entendre, en s'assurant que ses exposés contiennent assez d' "erreurs", de demi-vérités, d'exagérations, d'allégations non fondées et de pures fabrications faciles à démystifier, de sorte qu'elles puissent servir à dévaloriser la vérité et à identifier les authentiques chercheurs de vérité comme étant des "antisémites", des "croyants de la terre plate" et des "délirants conspirationnistes du 11 septembre" ("Twoofers", déformation de "Truther", c-à-d chercheur de vérité). Il sort ensuite les violons et plaide la pauvreté, sollicitant des dons dans le cadre de son opération "attrape-mouches", afin de saisir les noms et adresses des dupes. Voir ici, ici et ici pour des faits et des analyses sur Bollyn.

Des exemples de désinformation de Bollyn incluent ses citations déformées des propos de Mark Loizeaux sur l'endroit où l'acier fondu a été trouvé, sa citation déformée d'Arthur Lerner-Lam sur de prétendues "pics sismiques", le rapport du «Global Hawk» de Sam Danner (que Russell Pickering avait identifié comme hautement suspect dès le premier jour), la diversion de la thermite "déguisée en batteries" que tout démolisseur digne de ce nom aurait reconnu comme un non-sens, un article satirique de The Onion soumis comme un "œuvre originale de Bollyn", un article suspect que Bollyn tenté de publier dans le Barnes Review, un article disant que William Rodriguez a été un «agent sioniste» qui "protège Israël en cachant des faits" que Bollyn essayait de publier dans American Free Press, un article de fausse piste suggérant que le "vol 93 n'a pas été abattu, mais a atterri à Cleveland", l'allégation non étayée et facilement démystifiée comme quoi Benjamin Chertoff est un cousin de Michael Chertoff, etc. La désinformation des "batteries remplies de thermite dans la salle informatique" a été conçue pour saboter les hypothèses de démolition contrôlée, encourageant les "déboulonneurs" ("debunkers") à prétendre que le flux jaune-orange s'écoulant du WTC2 était du plomb -- alors que ce liquide prouve en fait la puissante réaction de la thermite qui produit de la fonte riche en fer. Peu importe que la couleur soit totalement incompatible avec la propagande de l'effondrement dû aux incendies, certaines personnes tomberaient inévitablement dans le panneau. Et la citation faussée Loizeaux répandue par Bollyn était destinée à jeter le doute sur la validité des nombreux rapports de présence d'acier en fusion. Bollyn prétend même que la photo de la déflagration du carburant d'avion est une "preuve de thermate".

C'est la chose la plus facile au monde de dire que le Mossad a fait ceci, le Mossad a fait cela, que des tonnes d'acier fondu ont été trouvées dans le sous-sol du World Trade Center, que de la thermite était dissimulée dans des batteries, etc. Mais quand les allégations et les spéculations sont affirmés sans preuve, elles entravent la cause de la vérité et la justice. Les travaux de Christopher Bollyn ont acquis la réputation peu enviable de "fiabilité douteuse", aidant ainsi la cause des défenseurs de la version officielle du 11 septembre.

De 2002 à 2007, Bollyn a travaillé en étroite collaboration avec Eric Hufschmid, le soi-disant «antisioniste» qui se trouve être le demi-frère de l'une des héritières d'un empire médiatique sioniste valant plus de neuf milliards de dollars. Hufschmid a tenté de détruire la cohésion du mouvement antisioniste en diffusant des affirmations absurdes telles que "99% des chercheurs de vérité du 11 septembre" font partie d'un "réseau criminel" et en accusant Germar Rudolf, Ernst Zundel, Fredrick Toben, Mark Glenn, Mark Farrell, David Irving, David Duke, Mike Piper, Jack Blood, Mike Berger, Phil Berg, Victor Thorn aka Scott Makufka, Jim Hoffman, Wayne Madsen, Kurt Nimmo, Webster Tarpley, Frank Whalen, Willis Carto, Christopher Petherick, John Stadtmiller, Alex Jones, Jeff Rense, Andrew Hitchcock, William Rodriguez, Mike Rivero, Ellen Mariani, Rebecca Cerese, Frank Weltner, Steven Jones, Kevin Ryan, Ingrid Rimland, Chris Jon Bjerknes, Hesham Tillawi, Rick Adams, Edgar Steele, Laura Knight-Jadczyk, Jim Marrs, Fred Burks, Lisa Pease, Jenna Orkin, Marsha McClelland, William Lewis, Ted Pike, Carlos Porter, Peter Kawaja, Peter Shank, Leuren Moret, Daryl Bradford Smith, David Ray Griffin, Bob Bowman, Mark Fuhrman, Gerald Posner, Vincent Bugliosi, Ron Paul, Suzette Bates, Cindy Sheehan, Gerhard Frey, Rosie O’Donnell, Sofia Smallstorm, John Kaminski, Alex Floum, Ry Dawson, Charlie Sheen, Arthur Silber, Justin Raimondo, le président Mahmoud Ahmadinejad, etc. de travailler pour les Sionistes. Dès octobre 2005, Hufschmid a tenté de salir Ernst Zundel et affirmait que la plupart des chercheurs de vérité sont ou bien des agents contribuant à l'étouffement de la vérité ("cover-up") ou bien des criminels rivaux.

Un ou deux mois avant l'incident de l'arrestation de Bollyn, Hufschmid et Bollyn étaient impliqués dans la promotion de la mystification dans laquelle Sam Danner a affirmé avoir vu un objet ressemblant à un Global Hawk frapper le Pentagone. Russell Pickering, un authentique chercheur de vérité expert sur les événements du 11 septembre au Pentagone, a dès le premier jour identifié le "rapport" Hufschmid-Bollyn comme étant "éminemment suspect". Danner a admis par la suite que son histoire était seulement à "65% vrai" et "contient un peu de mensonge", plaidant qu'il devrait être autorisé à avoir sa "parcelle de gloire".

En août 2007, Bollyn a ostensiblement rompu les liens avec Eric Hufschmid, l'accusant de "propager des fausses nouvelles" et faire des «allégations sans fondement contre autrui» - ce qui, bien entendu, est exactement ce que Hufschmid a fait, et continue de faire. Bollyn a donné le prétexte que Hufschmid prônait la violence. Pourtant Bollyn lui-même avait déjà été condamné pour voies de fait - et vol - avant même ses démêlés avec la justice en août 2006! De plus, le fait que Bollyn régurgite les déclarations fausses de Hufschmid telles que "Mark Lane est un sioniste" a montré que la "séparation" de Bollyn-Hufschmid était un trompe-l'oeil et que Bollyn n'avait aucun scrupule à utiliser la désinformation d'Hufschmid si cela lui convient. Il y a un article publié sous le nom de Bollyn, qui prétend "prouver" que Mark Lane est un «agent sioniste». Toutefois, quiconque est familier avec l'écriture de Hufschmid se rendra compte qu'Hufschmid en est l'auteur. Des expressions telles que "personnes suspectes", des "événements suspects", et des "comportements suspects" sont des plus Hufschmidesques. Hufschmid espérait sûrement tirer profit de l'ancienne réputation de chercheur de vérité dont jouissait Bollyn.

En 1983, Bollyn a épousé une espionne israélienne qui a travaillé dans le renseignement militaire israélien à Herzliya, en Israël. L'espionne avait besoin d'épouser un Américain pour avoir accès aux États-Unis. Bollyn a ouvertement admis dans une interview avec David Duke que le mariage, qui a duré deux ans, était un «mariage de convenance». Pour entendre un extrait audio de trois minutes dans lequel Christopher Bollyn parle de sa première femme Bosmat, cliquez ici. L'Israélienne est maintenant associée avec une société juive d'affacturage financier détenue par Eyal Levy, qui se spécialise dans le "financement et la restructuration de transactions non conventionnelles dans le monde entier et a travaillé pendant plus de 25 ans pour des contrats du gouvernement et des organismes, y compris des contrats de financement des gouvernements, des contrats d'analyses de crédit et de ventes pour les forces armées américaines, la NASA, le FBI et la CIA." La compagnie de Levy, Platinum Funding Group, est financée par JPMorgan Chase et NM Rothschild and Sons.

Notez que le 3 mars 2000, il a été signalé que les finances du Pentagone étaient "en plein désarroi", et qu'en 1999 les comptables du département de la Défense ont dû faire près de 7 billions de dollars d' "ajustements" pour tenter de compenser les différences dans la comptabilité. Ils ne pouvaient pas montrer de reçu pour plus de 2,3 billions de dollars de corrections ou de transactions. Il y avait des centaines de systèmes d'ordinateur opérant divers comptes militaires, mais ils ne sont pas intégrés, et les dossiers financiers ne sont pas conformes aux normes comptables, ni même aptes à subir une vérification. Il s'ensuit que le Pentagone serait vulnérable à une combinaison de fraude comptable et d'une attaque "terroriste" -- impliquant par exemple des avions télécommandés et/ou des missiles -- qui détruiraient les ordinateurs et documents pertinents, tuant également des douzaines d'experts-comptables, registraires et analystes de budget. Un pourcentage de 2,3 billions de dollars est encore une quantité excessive de liquidités, et si une partie a disparu, le contrôleur du Pentagone serait capable de dire: «Nous avons essayé de notre mieux, mais malheureusement, en raison des attaques terroristes, nous ne saurons jamais exactement comment beaucoup d'argent est manquant ni où celui-ci est allé ".

Puis, le 4 mai 2001 précisément, le rabbin Dov Zakheim a été assermenté à titre de contrôleur de la comptabilité du Pentagone et chef des finances pour le ministère de la Défense. Zakheim a été le PDG de SPC International - un chef de file mondial dans la technologie de contrôle des aéronefs à distance intégrant un "Système de terminaison de vol" ("Flight Termination System") capable de prendre le contrôle simultané d'un certain nombre d'avions en vol et de leur envoyer des commandes via un système de transmission de commandes ("Command Transmission System"). Le 31 mai, Thomas E. White - qui est allé en voyage avec la JINSA en Israël et qui en tant qu'ancien PDG d'Enron est lié à la fraude comptable massive d'Enron - est assermenté à titre de secrétaire de l'armée, trente jours après avoir été nommé par George W. Bush. Il n'est pas surprenant qu'un agent de désinformation et son allié "antisioniste" tout aussi bidon cache les faits concernant Zakheim et White -- et l'équipe de démolition WTC -- en postant un paquet de balivernes à propos des avions qui se seraient dirigés vers les "salles informatiques" du WTC équipées d'un "dispositif à tête chercheuse" et de thermite déguisée en batteries.

Christopher Bollyn et sa femme Helje Kaskel ont pris Michael Piper en filature peu de temps après la publication de la première édition du livre Final Judgment, au début de 1994. Le 11 juillet 1994, il n'y avait que deux visiteurs au bureau de Lobby Liberty qui avaient inscrit leurs noms au registre des visiteurs à cette date précise, avec les noms précédentes et suivants dans les entrées correspondant au 13 juin et au 18 juillet respectivement. Le premier nom pour le 11 juillet 1994 était Christopher Bollyn, 220 Kingman Lane, Hoffman Estates, Illinois 60194, et directement en-dessous, sur la ligne suivante se trouvait Helje Kaskel, d'Estonie (ils se sont mariés seulement l'année suivante). Toutefois, lorsque Bollyn est venu travailler pour The Spotlight et par la suite pour l'AFP, il n'a jamais mentionné avoir déjà mis les pieds dans le bâtiment.

En avril 1997, Mike Piper est filé par le couple Bollyn-Kaskel à Cancun, au Mexique. Piper se trouvait dans un magasin de tabac, accroupi en train de regarder un étui à cigares, lorsqu'il entendit une voix grinçante américaine dire: «Hé, des cigares!». Elle sonnait comme "Hey, siii-garz". Piper se retourne et aperçoit un couple percutant -- un beau grand mec avec sa femme merveilleusement belle, ressemblant à des touristes américains. Ils ne parlaient pas à Piper, mais se tenaient à proximité de lui. Puis, en mai 2000, lorsque Piper a rencontré les Bollyn à Chicago et que Christopher a mentionné qu'il fumait des cigares, Piper s'est soudainement souvenu du "Hey, siiii-garz" qu'il avait entendu trois ans auparavant, et réalisa que ce couple était les mêmes deux personnes qu'il a vu précédemment au Mexique.

Bollyn été engagé au journal The Spotlight dans des circonstances bizarres. Lorsque Bollyn et sa femme Helje Kaskel ont rencontré Michael Piper pour la première fois "officiellement" en mai 2000, cela faisait suite à cette histoire peu convaincante (qui relève plutôt d'une couverture) selon laquelle il s'est buté à de l'opposition de la part d'intérêts juifs lorsqu'il a demandé à sa bibliothèque locale à Schaumburg, Illinois, de prendre dans leur réserve le livre de Piper Final Judgment.

Jerry Myers, qui se décrit comme Khazar, avait travaillé à Liberty Lobby il y a longtemps, dans les années 1960. Il avait la réputation d'être un fauteur de troubles, un conteur de balivernes, et était considéré un peu étrange mais sincère et largement inoffensif. Myers a été congédié de Liberty Lobby, mais personne ne pouvait se rappeler de ce pourquoi il avait été congédié. Il est réapparu à la fin des années 1990, en disant qu'il aimerait être bénévole. Alors Carto a accepté. À l'été 2000, Myers est allé à une conférence dans l'Indiana sur les fraudes électorales, et c'est là que Bollyn l'aurait apparemment rencontré. Myers est retourné à Washington et a commencé à dire à tout le monde que "Bollyn! Bollyn vient travailler pour Liberty Lobby!" Myers a dit que Willis Carto l'avait envoyé à la conférence pour "embaucher Bollyn". Mais Piper savait que Carto n'at jamais fait cela.

Incidemment, durant la conférence, Myers s'est présenté à Jim Condit comme un Khazar. Condit a pensé: «Qu'est-ce que Liberty Lobby fait avec un Khazar comme employé?" On pourrait dire la même chose de Bollyn, avec la distinction importante qu'il a non seulement gobé sans discernement tout ce que Myers lui a dit, mais il a agi de plus comme un pantin entre les mains de Myers -- au point même de renoncer à son emploi chez IBM Global Network Services (réseau global de service IBM), alors que les sionistes avaient justement besoin de quelques "journalistes" contrôlés pour leurs imminents attentats terroristes sous faux pavillon.

Bollyn est arrivé à Washington pour une entrevue, et Piper avait l'impression que Bollyn a été un peu déconcerté par la situation et ne savait pas trop ce qui se passait. Carto a demandé Piper, "C'est quoi cette histoire avec ce gars Bollyn?" Piper a expliqué que "Jerry est fou de lui", et Bollyn est l'homme qui s'est engagé dans la controverse de la bibliothèque de Schaumburg. Carto demandé: "Est-ce qu'il souhaite avoir un emploi ici?" Alors Carto eu une entrevue avec Bollyn et l'a engagé.

Peu de temps après, en novembre de l'année 2000, Christopher Bollyn a prétendu avoir reçu des menaces de mort d'un gentilhomme russe concernant les articles de Bollyn au sujet des nouvelles machines de vote électroniques et de la fraude électorale. Le 13 octobre 2006, six jours après avoir été congédié de l'American Free Press, Bollyn a prétendu avoir reçu des menaces de mort d'un «insider de l'American Free Press et ami de longue date de Willis A. Carto». Il a dit avoir été averti que s'il révélait ce qu'il sait vraiment sur American Free Press, il serait tué. Il n'y a aucune preuve que Bollyn ait reçu des menaces de mort de quelqu'un, et il est encore bien vivant et en santé à ce jour.

La famille de Christopher Bollyn a des liens de parenté avec Sir Thomas Boleyn, le père d'Anne Boleyn, qui était la reine d'Angleterre comme la seconde épouse du roi Henry VIII. Anne Boleyn était aussi la mère de la reine Elizabeth I qui a gouverné l'Angleterre ainsi qu'une portion variable de l'Irlande pendant plus de 44 ans. L'arbre généalogique de la famille Tudor du côté d'Henry VIII se termine avec Elizabeth I, mais la reine Elizabeth II descend de la sœur d'Henry VIII Margaret Tudor.

La mère de Christoper Bollyn, Charlotte, née le 6 février 1919, a été gouvernante pour la famille Farish et a pris soin du jeune William Timbres Farish III, né le 17 mars 1939, Houston, TX, qui était ambassadeur américain au Royaume-Uni en date du 11 septembre 2001. La fortune de la famille Farish provient de Humble Oil, qui a été progressivement absorbée par la Standard Oil et éventuellement rebaptisée Exxon. John D. Rockefeller a été fondateur et président de la Standard Oil. Humble Oil a été co-fondé par le grand-père de Farish III, William Stamps Farish II, le petit-neveu de Jefferson Davis.

William S. Farish III est:

* Un proche ami de George H.W. Bush (depuis plus de 50 ans); il a offert aux Bush leur épagneul spinger Millie, tient une partie de chasse à la caille pour Bush chaque année dans son ranch, et a géré au début des années 80 les actifs du vice-président d'alors en bénéficiant d'une confiance aveugle.
* doté d' "une foule de contacts exotiques chevauchant le monde du renseignement et le monde des finances - en particulier en Grande-Bretagne".
* Un bon ami de la reine Elizabeth II, qui a été un invité au moins quatre fois au ranch Farish dans le Kentucky et dont plusieurs de ses chevaux sont entraînés par Farish.
* Un membre de la Pilgrim Society, comme le sont tous les membres supérieurs de la famille royale britannique; d'autres Pilgrims passés et présents incluent Henry Kissinger, Winston Churchill, Otto Kahn de Kuhn Loeb and Co, Henry S. Morgan de Morgan Stanley, J . Pierpoint Morgan de JR Morgan, David Rockefeller, John D. Rockefeller, Edmond de Rothschild, Jacob Schiff, Paul Volcker, etc
Les rangs des Pilgrims sont remplis de membres de l'Église épiscopale, dans laquelle Chris Bollyn été un enfant de choeur et a remporté le prix God and Country. IBM et la famille Watson sont fortement représentés dans la société Pilgrim. Bollyn travaillé pour le réseau global de services d'IBM (IBM Global Network Services) jusqu'en 2000 lorsque, suite à l'intervention d'un Khazar bizarre tel que décrit ci-dessus, il commença à travailler pour The Spotlight. Il a aussi admis avoir habité avec une Comtesse suédoise. Parmi les membres de la Pilgrim liés à l'Illinois, on compte George Wildman Ball, David Waddell Barr, William Averell Harriman (connecté à George Herbert Walker et son gendre, Prescott Bush), Lillian Craig Harris (un instructeur d'anglais et de journalisme au Wheaton [Illinois] College, 1966-68, qui s'est également rendu à Beyrouth, au Caire, etc.), Robert Louis Payton, James Robert Peterson, Sturgis Lee Riddle, Robert Armstrong Robinson, etc.

Dans son forum radiophonique The Piper Report du 8 mars 2007, disponible ici, Piper a des choses intéressantes à dire sur une petite enquête menée par un patriote qui est aussi un grand détective privé, qui a été dépêché par l'AFP pour fouiller le passé de leur ancien employé. Dans cet extrait de 5 minutes, Piper dit que l'enquête a montré que Bollyn "recevait de l'argent de l'étranger" et "a apparemment été visité régulièrement par un ou des individus portant des plaques d'immatriculation ne pouvant être retracées". Dans sa note préliminaire, l'enquêteur a déclaré qu'il était "risqué d'enquêter sur Christopher Bollyn" puisque "j'ai découvert la réelle possibilité de participation des services de renseignements de niveau supérieur". Il a conclu que "la cible (Bollyn), dépense plus d'argent qu'elle n'est capable de gagner". Dans ce clip plus long, Piper révèle aussi que l'AFP a été informée par une source très fiable qui Bollyn était un «hors la loi de l'impôt» qui ne fait pas de déclaration fédérale de revenus. Ainsi, bien que Bollyn ait prétendu être une "cible" de l'élite au pouvoir, il était effectivement protégé. Piper suggère que l'emploi de Bollyn, plutôt que de rapporter les faits sur le 11 septembre, consistait à cumuler des renseignements sur les chercheurs de vérité du 11 septembre en posant comme un "journaliste" pour mieux infiltrer les milieux de recherche de vérité.

L'assertion selon laquelle Bollyn serait protégé "au plus haut niveau" est entièrement compatible avec l'assertion selon laquelle Bollyn aurait des contacts "au plus haut niveau". La preuve de liens potentiels avec des gens au plus haut niveau est corroborée par les preuves de liens réels à des gens du plus haut niveau. Et cela est doublement corroboré par les actions de Bollyn comme agent provocateur, agent de désinformation et homme de paille. Compte tenu de tous les éléments de preuve contre lui, sa constante sollicitation pour des «dons» est également susceptible d'être une opération attrape-mouche servant à compiler des noms et des adresses pour les services de renseignements et le gouvernement. Son site est probablement utilisé pour noter les adresses IP, y compris lorsque les membres de son équipe de soutien collent ses articles sur des forums Internet, incluant délibérément des images tirées du site web de Bollyn.

Tout demandeur de vérité comprendra qu'il est absurde de penser qu'Osama Ben Laden ait travaillé pour la CIA jusqu'au 11 septembre pour ensuite brusquement se retourner contre eux, ou que la famille Ben Laden était partenaire commercial de la famille Bush alors qu'Osama serait un prétendu «mouton noir» de la famille qui s'est retourné contre elle; ou qu'Adam Pearlman se serait prétendument rebellé contre sa famille juive et son grand-père paternel lié à l'ADL en devenant un antisioniste pro-terroristes membre du prétendu "Al-Qaïda". Nous devons alors nous demander si l'idée selon quoi Chris Bollyn, cette personnalité de l'establishment avec des connexions en haut lieu, se rebellant et devenant un "rapporteur de vérité" exposant les crimes des ploutocrates, n'est pas plus crédible que celle d'Adam Pearlman en tant qu' "ex-juif" membre d' "Al-Qaïda", ou encore Osama bin Laden en tant qu' "ancien agent de la CIA" et "mouton noir" de la famille Ben Laden. Ou l'idée selon laquelle Eric Hufschmid, le protégé de Rupert Murdoch, se rebellerait en dénonçant les crimes des Murdoch et de ses sbires Sionistes. Ou le scénario du partisan de la théorie "pas d'avion" Morgan Reynolds comme un dénonciateur et "ex"-membre de l'administration Bush.

L'avocat allemand Dr. Friedrich Grimm, dans un de ses livres, décrit une rencontre accidentelle peu après la fin de la Seconde Guerre mondiale avec une personne qui au cours de la conversation s'est révélée être un agent d'une agence de propagande alliée. Le Dr. Grimm a fait remarquer qu'il était temps de mettre fin à la propagande et de permettre la coexistence pacifique de tous les peuples du monde sur la base de la vérité. L'agent secret allié a répondu: «Non, la propagande des atrocités est le moyen par lequel nous avons gagné la guerre totale. [...] Et nous ne faisons que commencer! Nous allons l'intensifier, jusqu'à ce que la dernière étincelle de sympathie pour les Allemands ait été éradiquée et que le peuple allemand soit lui-même si confus qu'ils ne sache même plus qui il est et ce qu'il fait. "

Les mensonges et la désinformation avérée de Christopher Bollyn ont détruit les derniers vestiges de crédibilité qu'il aurait pu avoir, et fait passer ses partisans, au mieux, pour des insignifiants à l'extrême. Afin de sauver un tant soit peu son ancienne réputation il faudrait qu'il rétracte ses accusations contre Mark Lane, Willis Carto, Michael Piper, AFP, etc., qu'il présente des excuses, et qu'il commence à extirper les «erreurs» dans son travail. Il pourrait même aller plus loin et passer de traître à héros, en devenant sans tache et en révélant tout ce qu'il sait, par exemple à qui Jerry Myers est connecté, si lui ou Myers ou encore des contacts de Myers savaient d'avance que le 11 septembre allait arriver, si la provocation de son arrestation par la police d'Hoffman Estates était sa propre idée ou celle d'Hufschmid, etc. Bien sûr, ça n'arrivera jamais.

En fin de compte, on n'a pas besoin d'une haute mystique pour distinguer les vrais des faux chercheurs de vérité. Si ça marche comme un antisioniste, parle comme un antisioniste et se comporte comme un antisioniste, alors c'est un antisioniste. Si ça marche comme un agent des renseignements, parle comme un menteur, et se comporte comme un faux chercheur et un vrai Sioniste, alors c'est un menteur, un faux, un agent sioniste Cointelpro. Considérez aussi la qualité et la quantité des preuves avancées pour appuyer ces allégations. Si X prétend que Y est un Juif et un faux chercheur parce que CNN a montré rapidement l'adresse du site de Y en guise d'exemple de site identifiant l'implication d'Israël dans le 11 septembre, ou parce que des images truquées de la tête de Y la font paraître comme si Y avait un "petit crâne court" parce que le ratio de l'image a été augmenté de 22%, alors cela en révèle davantage au sujet de X que de Y.

C'est un triste état de fait lorsque ceux qui combattent la propagande communiste habillée comme des «faits», qui combattent le Sionisme Criminel, le suprématisme Juif, les traîtres fauteurs de guerre et les attaques incessantes des gouvernements contre les libertés civiles sont décrits comme étant des "fanatiques", des "négationnistes" et des "extrémistes de droite". Les vrais extrémistes placent des appâts tels que Christopher Bollyn pour servir d' "opposition" contrôlée, d'homme de paille et d'informateurs attrape-mouches, maintenant ainsi leur perversion de la boussole morale de la société et servant à confondre des patriotes bien intentionnés.

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Émission de R.J. Hender du 6 octobre 2009

À la 47e minutes de la première heure, Daniel du Canada appelle à l'émission du 6 octobre de Hender, questionnant au sujet d'Oussama Ben Laden et Adam Pearlman. Il souligne l'absurdité de la propagande sioniste qui prétend que l'ancien agent de la CIA" Oussama se retournerait subitement contre la CIA, devenant tout à coup un «mouton noir» de la famille Ben Laden, qui sont des partenaires d'affaires de George W. Bush; et de l'histoire d'Adam Pearlman qui se serait supposément rebellé contre sa famille juive et son grand-père paternel travaillant pour l'ADL en s'impliquant dans l'organisation fictive et prétendument terroriste antisioniste nommée «Al Qaïda». Daniel poursuit en insistant à quel point il est ridicule de penser que le protégé de Rupert Murdoch Eric Hufschmid se retournerait contre le beau-père milliardaire de sa demi-soeur.

Aux alentours de 50:30, l'appelant demande à Bollyn s'il maintient toujours que Piper a participé avec l'ADL et la sécurité intérieure (Homeland Security) à un complot (pour «coincer» Bollyn), tout juste avant la pause publicitaire. Bollyn a dit qu'il aborde cette question dans son récent article, qui s'est avéré être populaire: "Why are we unable to resist?"

Bollyn dit: ("Pourquoi sommes-nous incapables de résister?"). Liberty Lobby est en réalité possédé et contrôlé par un Juif Sioniste du nom de Mark Lane. Le journal est une opposition contrôlée qui se comporte comme une opération attrape-mouches pour dresser une liste de patriotes actifs - pour l'organisation juive de renseignements pour laquelle Lane travaille.

Une incohérence est que, dans son article, Bollyn dit avoir appris "plus tard" (après avoir été viré de l'AFP) que le journal était détenu par Mark Lane, et qu'il a appris cela de LT Patterson. Pourtant, à l'émission de RJ Hender, Bollyn a dit qu'il «a été averti dès le début» (en 2000) «Quand j'ai rejoint American Free Press" (en fait The Spotlight) "par le gars" (le Khazar Jerry Myers) "qui m'a amené à travailler à cette compagnie [...] il a dit [...] Mark Lane [...] est propriétaire du journal, il a subverti le journal, il contrôle le journal." Comme dans la citation ci-dessus, Bollyn dit dans son article que Mark Lane travaille pour une "organisation juive de renseignements", et insère une photo de Lane avec Jane Fonda dans un avion en guise de «preuve» contre lui.

Vers la fin de la première heure de l'émission de RJ Hender, Bollyn dit que Chris Petherick lui confié être un sataniste. Bollyn utilise plusieurs versions de cette histoire. Parfois, il dit qu'une autre personne lui a dit que Petherick était un sataniste. R.J. demande à Chris et au Canadien au bout du fil de rester en ligne jusqu'au retour de la pause.

Au début de la deuxième heure, Bollyn dit avoir «travaillé sur ce genre de questions sur lesquelles j'ai écrit depuis le début des années quatre-vingt-dix, mais j'ai enquêté et étudié les affaires du Moyen-Orient depuis le milieu des années soixante-dix et ils étaient intéressés d'apprendre ce que je savais sur le sionisme et Israël et ils étaient assez impressionnés par mes connaissances, et ils m'ont donc offert un emploi, ce Willis Carto, et Michael Piper, et les gens d'American Free Press. Et dès le début, à The Spotlight, qui s'appelait ainsi à l'époque, j'ai entendu toutes ces histoires, je veux dire, mon Dieu, les récits que j'ai entendus étaient vraiment, vous savez, assez effrayant, mais je voulais juste écrire pour le journal comme je le faisais à l'époque, diffuser l'information. Et j'ai appris, vous savez, au cours de cette période de six ans, qu'American Free Press est détenue par Mark Lane. Il est l'avocat juif qui détient les actifs. Il a repris les actifs d'American Free Press en 1993 lorsque le Liberty Lobby a fait faillite. Et il travaillait autrefois, après la guerre, dans l'OSS, il était dans les renseignements militaires en Allemagne, qui est devenue la CIA. Et puis, euh, c'est comme ça que tout cela est arrivé, vous voyez. "

"Et, et, vous le savez, beaucoup de ces magazines patriotiques ou soi-disant patriotiques sont en fait utilisés comme une instance d'opposition contrôlée qui sert également de liste. Ils créent une liste d'abonnés et de commandes et de donateurs, et de cette façon, le gouvernement sait exactement qui sont les patriotes actifs dans le pays. Qui sont les «antisémites», qui sont les personnes opposées à, vous savez, au système de la Réserve fédérale. Etc., etc. Il y a donc quelque chose de sinistre dans ce qui se passe ici également."

Daniel: "D'accord. Puis-je peux poser une ...?"

Bollyn: «Et j'ai appris cela après que j'ai été, vous savez, lorsque j'ai été arrêté, roué de coups et tasé dans ma cour sur la pelouse, ils m'ont cassé mon bras, la police a fait, et qu'est-ce qu'il ont pas fait, le, euh, c'était en août 2006, quand Willis Carto et American Free Press ont dit, "Oh, nous allons créer un fonds de défense juridique pour vous". Et ils l'ont fait et amassé des dizaines de milliers de dollars, qu'ils ont conservés. Et puis ils m'ont congédié, en octobre 2006. Et, vous savez, ces gens qui travaillent pour ce journal, certains d'entre eux sont probablement bien. Mais, le journal, je n'ai absolument aucun respect pour lui, parce que c'est un traître au mouvement patriote américain. C'est un loup dans des habits de mouton, vêtu comme un agneau. [...?] aussi en Allemagne, c'est très dangereux. "

Daniel répond en disant qu'il a vérifié les allégations de Bollyn concernant Mark Lane qui contrôlerait l'AFP, et qu'en fait Mark Lane n'a presque rien à voir avec l'AFP.

Bollyn: "J'ai travaillé à ce journal pendant six ans et demi. Je connais personnellement les gens dont je parle. Je connais Michael Piper. Je connais Mark Lane. Je connais Willis Carto. Je connais Chris Petherick. Je connais ces gens. J'ai travaillé avec eux intimement pendant six ans et demi. Je, tu sais, j'ai été averti dès le début, quand j'ai rejoint American Free Press, par le gars qui m'a amené à cette compagnie, nous marchons sur Independance Avenue, il me signale une maison qui autrefois ... où, où Mark Lane avait autrefois un bureau ou vivait, tout près de notre bureau, il a dit que Liberty Lobby avait donné à Mark Lane cinq millions de dollars en frais juridiques parce que, vous savez, c'est de cela qu'il d'agit - il est propriétaire du journal, il a subverti le journal, il contrôle le journal ... "

Daniel: "Ce n'est pas vrai."

Bollyn: «Bien sûr, Mark Lane est aujourd'hui un octogénaire avancé. Willis Carto est un octogénaire avancé. Mais qui détient les actifs de Liberty Lobby, c'est cela que je demande."
Daniel: «Quand tu racontes des mensonges gros comme ça, c'est la technique du gros mensonge."

Bollyn: «Ecoute à nouveau. Ecoute. Daniel. Au milieu des années quatre-vingt-dix, vous pouvez consulter ce dossier, Mark Lane a poursuivi LT Patterson pour "politique criminelle" à Cincinnati, en Ohio. M. Patterson a un journal mensuel." [Pause]

R.J. Hender a dit être d'accord avec Bollyn concernant les organisations qui ont l'air patriotique, mais qu'il y a certaines personnes qui prennent possession de leurs listes.

Bollyn: «D'accord. Eh bien, vous savez, je comprends la question de l'appelant, vous savez, mais cette notion même d'opposition contrôlée et d'opérations "attrape-mouches" est, euh, sophistiquée, et il est probable que la plupart des Américains ne la comprennent pas vraiment. Vous savez, c'est un vieux truc, c'est un truc franc-maçon, une astuce maçonnique, c'est, les Skull and Bones le font eux aussi, si les gens lisent sur les Skull and Bones, comme [dans] le livre d'Anthony Sutton, [note, Sutton prétend que la famille Bush et d'autres membres des Skull and Bones ont financé Hitler] c'est quand vous contrôlez les deux parties d'un débat, quand vous êtes la thèse et l'antithèse ... " Bollyn donne quelques exemples, comme Bush vs Kerry dans les élections de 2004, et les Israéliens créant le terrorisme et menant une guerre contre elle.
Bollyn prétend que l'invasion et l'occupation de l'Afghanistan visaient à laisser le Mossad construire un oléoduc, et suggère que sa "révélation" est la raison pour laquelle la police "lui est tombée dessus" [l'a attaqué'] et pour laquelle l'AFP a réduit son salaire et l'a viré. En d'autres termes, Bollyn garde le silence sur des faits facilement prouvés tels que la façon dont la production d'opium en Afghanistan a quasiment été anéantie sous le régime Taliban en 2001, puis monté en flèche après le changement de régime. Au lieu de cela, il colporte la thèse de l'oléoduc, sur laquelle, par exemple Nafeez Mosaddeq Ahmed avait déjà écrit en 2002. Et Bollyn rend tout cela encore plus facile à attaquer comme une "théorie du complot antisémite» en incluant la connexion du Mossad, qui lui garantit également un certain soutien antisioniste pour ses efforts, tout en exacerbant les différences entre les sceptiques et ceux qui croient aveuglément quelqu'un qui semble être de leur côté.

Bollyn: [16:24]: "Ouais, environ sept semaines plus tard [après son arrestation], j'ai été viré. Mais dans ce laps de temps, ils [AFP] ont amassé beaucoup d'argent via le fonds du journal pour la défense juridique de Bollyn, qu'ils ont gardé pour eux. Ils ont gardé l'argent! Et ainsi j'ai été laissé sans argent, sans avocat, le bras cassé, et électrocuté au Taser. Et, vous savez, ensuite j'ai combattu les accusations pendant un an, euh, un supporter très gentil de l'Utah m'a aidé à trouver un avocat. Mais mon avocat, vous savez, faisait partie du palais de justice du comté et je veux dire, il ne peut aller à l'encontre d'un juge Sioniste et de toute la routine... "

"J'ai découvert que la police avait conspiré sur le chemin de ma maison pour me faire du mal..." Bollyn dit qu'il y avait une ambulance et un camion d'incendie dans sa rue juste avant l'arrivée des policiers. "L'appareillage municipal d'Hoffman Estates au grand complet avait menti.

Bollyn dit plus tard: [34:31] «Je voudrais juste dire une chose. Vous savez, une personne a appelé, et il n'était pas content de mon point de vue sur l'American Free Press. C'est comme, au sujet des médias, vous savez, je lis le New York Times, j'ai le Times ouvert sur le plancher, je lis l'International Herald Tribune, je lis le Financial Times. Peu importe ce qui fait flotter votre bateau. Si vous, si American Free Press est le magazine que vous voulez, si c'est le journal auquel vous souhaitez vous abonner, alors allez-y faites-le. J'ai écrit, pour ce journal pendant six ans, j'ai, certains de mes meilleurs articles ont été imprimés dans ce magazine, et ils m'ont payé pour écrire et rechercher sur le 11 septembre. Bénissez-les." Mais il conseille aux gens d'être sceptiques.(...)





Toujours via takeourworldback.com: l'affrontement avec les policiers, rien ne tient la route dans le récit de Bollyn:

Hufschmid tentait de diviser le mouvement avec des affirmations absurdes telles que "American Free Press est contrôlé par les sionistes", "L'AFP censure des articles de Bollyn", et "John Stadtmiller de Republic Broadcasting Network (RBN) fait partie d'un réseau criminel sioniste". Bollyn, en tant qu'invité de The Piper Report du 24 août 2006, (disponible à partir de notre mémoire cache locale; certains de ces fichiers sont manquants sur RBN) s'est fait demander plusieurs fois s'il dénonce les mensonges d'Eric Hufschmid, et à chaque fois Bollyn a refusé de répondre. Il a refusé de défendre son employeur, American Free Press, contre les allégations infondées d'Hufschmid. Mais il a dit que Hufschmid était un "excellent chercheur du 11 septembre", et référait les gens vers le site de Hufschmid. En octobre 2006, Bollyn a été congédié d'AFP, dont le conseil administratif ne pouvait plus faire confiance à Bollyn pour qu'il soumette des histoires vraies après qu'il se soit aligné sur Eric Hufschmid et commencé à attaquer la crédibilité d'AFP. Il n'y avait aucune justification économique à AFP de payer Christopher Bollyn et d'avoir à payer de nouveau pour une vérification indépendante de ses dires , alors que ça semblait plus logique d'employer des journalistes en qui ils pouvaient avoir confiance en premier lieu.

Au cours des deux premières semaines d'août 2006, Sam Danner a admis à plusieurs reprises que son histoire était un mensonge, par exemple dans une entrevue pour Wingtv datant du 10 août. Dans la foulée de l'échec du canular de Hufschmid et Bollyn, Bollyn a appelé le 9-1-1 pour signaler un véhicule "suspect" dans la soirée du mardi 15 août 2006. Lorsque les policiers sont arrivés, il est devenu belliqueux, a déclaré qu'il allait chercher des "renforts", et s'est dirigé vers l'intérieur de sa maison, comme s'il allait prendre une arme. Sans surprise, il a été projeté par terre, s'est fait infliger une décharge de Taser et arrêté. En quelques heures, le récit de
Christopher Bollyn de la séquence des événements - une conspiration visant à le faire taire à cause de son travail; une conspiration impliquant l'ADL, la Homeland Security, les "agences de soupe à l'alphabet" (c'est-à-dire dont les noms sont des acronymes), l'ensemble des forces policières d'Hoffman Estates "formées par l'ADL", les procureurs juifs, etc - sentait faux.

La voiture «suspecte» est exactement le genre d'idée qui émane de l'esprit d'Eric "Murdoch" Hufschmid. Selon Hufschmid, presque tout est "suspect". (Écoutez-le ici) Hufschmid a probablement persuadé Bollyn de monter cette mise en scène de cascadeur, lui disant que d'être considéré comme une «victime» et une «cible» des sionistes serait rehausserait grandement sa popularité auprès des chercheurs de vérité, après l'effondrement du canular du Global Hawk de Hufschmid-Bollyn-Danner. Hufschmid serait bien conscient que cela ferait passer Bollyn pour un dingue paranoïaque et qu'il serait la risée des croyants de l'histoire officielle du 11 septembre, qui en sont même à inventer un nouveau verbe: "bollyner" (" to 'bollyn' "). Et Hufschmid savait qu'en plus de ternir la réputation du mouvement pour la vérité, la mise en scène aiderait également à créer des divisions au sein même du mouvement de vérité qui bouillonnait de plus en plus depuis la dernière année.

Un des problèmes les plus accablants avec le récit de Bollyn, est que c'est Bollyn lui-même, de son propre aveu, qui a composé le 9-1-1 et appelé la police. Ils ne se sont pas invité eux-mêmes à son domicile.

Le même soir, le même véhicule avec trois hommes est lentement passé devant la maison des Bollyn où jouaient les enfants des voisins.
"Hello, FBI" ai-je appelé de mon entrée et j'ai envoyé la main.
L'homme sur le siège passager avant m'a envoyé la main. J'ai immédiatement alerté ma femme et mes enfants au sujet du véhicule suspect. Ma femme a suggéré de leur demander ce qu'ils voulaient.
Je venais juste de finir plusieurs téléphones avec l'ambassade israélienne, la Commission de la sécurité et des échanges, et le bureau du procureur américain du district Est de New York. un appel était avec un Israélien âgé qui est relié à l'armée de l'air américaine et qui est président de Bedek, la compagnie mère des Industries Aériennes Israéliennes.
J'ai été troublé par la présence d'une voiture noire alors que je m'en allais au magasin. Inquiet pour ma famille, j'ai appel le 9-1-1 du magasin pour signaler une voiture suspecte avec des hommes armés flânant dans mon voisinage. On m'a dit qu'un officier de police me rencontrerait à la maison dans 20 minutes.
Quelques minutes plus tard, j'ai été surpris de voir la voiture suspecte s'arrêter en face de ma maison, et trois hommes armés en veste anti-balles se tenant debout dans mon entrée.
Avec ma femme et ma fille de 8 ans à côté de moi, j'ai demandé à ces hommes où et pourquoi ils se promenaient autour de ma maison. "Pourquoi donc conduisez-vous dans les parages dans une voiture non-identifiée et venez-vous menacer ma maison." J'ai demandé "qui êtes-vous?"
Les agents non-informés ne voulaient pas s'identifier et devenaient agressifs.
Je suis allé appeler mon frère dans la maison lorsque les trois hommes m'ont plaqué sur le sol par derrière et électrifié au Taser alors qu'ils s'asseyaient sur moi. Après avoir déployé tant de force pour me soumettre, un officier a enfoncé son genou sur ma tête alors que les autres me passaient les menottes.
Lorsque vous appelez la police à votre domicile, c'est la raison pour laquelle ils apparaissent quelque vingt minutes plus tard, non pas parce qu'il y a une grande conspiration pour vous attraper. Et si vous devenez belliqueux, criez que vous allez chercher des renforts, et courez dans votre maison comme si vous alliez chercher une arme, c'est à cause de ça que la police risque de vous attaquer, de vous électrifier au Taser éventuellement, et de vous arrêter, non pas à cause d'une conspiration sioniste . C'est tout simplement le bon sens. Dans la version originale postée par Bollyn sur Rumor Mill News, il a admis qu'il "a couru vers sa porte".

Je venais de finir tous mes appels et de regarder la première partie de l'émission de Lou Dobbs sur CNN et j'étais en route pour aller au magasin, lorsque, en sortant du magasin, je vis cette voiture noire menaçante pleine d'une sorte d'agents bien visibles. J'ai immédiatement averti ma femme et conduit la bicyclette jusqu'au magasin.
Il y a quelque chose qui ne va pas, me dis-je et je me suis arrêté au marchand de vin et j'ai demandé d'utiliser le téléphone. J'ai appelé le 9-1-1 et leur ai dit qu'une voiture étrange avec des hommes armés circulait dans mon voisinage sans raison apparente. On m'a dit qu'une voiture de police viendrait chez moi dans 20 minutes.
J'étais rentré à la maison depuis quelques minutes
Lorsque la même voiture suspecte s'est arrêtée devant chez moi et trois hommes portant des vestes anti-balles se tenaient dans l'entrée. Je venais juste d'appeler le bureau de police et de raccrocher le téléphone. J'étais plus qu'un peu surpris de voir ces trois hommes en vestes anti-balles dans mon entrée.
Ma femme et ma fille de 8 ans étaient déjà là et j'ai demandé à ces hommes qui ils étaient et pourquoi ils harcelaient ma rue. Pourquoi conduisez-vous autour de ma maison avec des voitures non-identifiées, ai-je demandé. Qui êtes-vous, au fait? Ils ne voulaient pas du tout s'identifier et étaient très agressifs, pour dire le moins.
Je suis rentré chez moi en courant pour appeler mon frère lorsque les trois m'ont agrippé et électrifié avec un fusil paralysant. Les trois hommes se sont ensuite assis sur moi et ont poussé mon visage par terre, m'ont passé les menottes et m'ont embarqué dans leur voiture.
Souvenez-vous j'avais appelé le 911 à cause d'une voiture suspecte dans mon voisinage, un voisinage que je connaissais depuis 1957, lorsque mes parents ont contribué à fonder cette ville.

Aussi dans la version originale, il admet qu'il a roulé en vélo à la boutique de vins en laissant sa femme et ses enfants à la maison. Il conduisait un vélo, laissant sa femme et ses enfants derrière lui, alors qu'il croyait que ces trois "gros-bras en veste anti-balles" au volant d'une voiture "suspectes" étaient menaçants? N'a-t-il jamais entendu parler d'ennemis du Mossad qui ont été tués dans de douteux "accidents"? Pourquoi était-il si important d'aller au magasin de vin au point qu'il ne pouvait reporter cela à plus tard après que cette menace ait été neutralisée?
Bollyn a dit: «J'ai été jeté dans une cellule sans eau. J'ai demandé un verre d'eau et on m'a dit «Buvez dans la toilette». Les cellules du poste de police de Hoffman Estates ont une toilette-lavabo intégrée avec une fontaine d'eau, comme on peut le voir sur la photo pertinente ici intitulée "cellule adulte". En d'autres termes, ils n'ont pas servi de verre d'eau à Bollyn lorsqu'il était dans la cellule, et quand il demanda de l'eau on lui a dit de boire à la fontaine au-dessus des toilettes. Et puisque la police ne savait même pas qui il était jusqu'à ce qu'ils regardent sur Internet après l'incident, il n'y avait aucune raison pour que Bollyn reçoive un quelconque traitement spécial - à moins qu'il ait été particulièrement belliqueux.


Ceux qui ont fait une analyse dépassionnée de l'affaire ont été très rapides à voir à travers l'histoire pleine de trous que Christopher Bollyn tentait de vendre sur l'existence d'un grand "complot" lié à ses écrits ...


Chris Bollyn: Il y a quelque chose qui ne va pas, me dis-je, et je me suis arrêté au marchand de vin et j'ai demandé d'utiliser le téléphone. J'ai appelé le 9-1-1 et leur ai dit qu'une voiture étrange avec des hommes armés circule dans mon voisinage sans raison apparente. On m'a dit qu'une voiture de police viendrait chez moi dans 20 minutes.

FORUM CASSIOPAEA: Mais attendez une seconde. C'est un homme qui vient de nous dire qu'il passe sa vie en fuite, restant temporairement dans des "refuges pour sa sécurité" (avec deux "jeunes enfants" rien de moins) et qu'il est au téléphone avec "l'ambassade d'Israël, le S.E.C., le bureau du procureur américain du District Est de NY, et à un vieil Israélien vivant à NY que je soupçonne d'avoir joué un rôle majeur dans le 911" toute la journée, a référé aux policiers comme étant "entraînés par l'ADL" et il appelle le 9-1-1? Plus que ça, avec cette "voiture suspecte" remplie de "gros bras" avec des "veste anti-balles" rôdant autour de sa maison. il s'en va au magasin EN BICYCLETTE? Plus que ça, il laisse sa femme et ses "deux jeunes enfants" seuls à la maison... ???

Bien, aussi improbable que ce soit, il revient à la maison.


CB: J'étais rentré à la maison depuis quelques minutes lorsque la même voiture suspecte s'est arrêtée devant chez moi et trois hommes portant des vestes anti-balles se tenaient dans l'entrée. Je venais juste d'appeler le bureau de police et de raccrocher le téléphone. J'étais plus qu'un peu surpris de voir ces trois hommes en vestes anti-balles dans mon entrée.
FC: Là est-ce qu'il a appelé la police une seconde fois ou bien s'est-il mêlé dans son histoire? A-t-il appelé la police du magasin de vin ou bien à la maison, ou les deux? Et s'il les a appelés ensuite une fois revenu à la maison, après qu'il ait déjà arrangé leur venue chez lui, pourquoi?
Ce qui advient ensuite est très révélateur. Notez qu'il dit qu'il semonce les gros bras et qu'ils sont "très agressifs" . Est-ce que cela signifie, peut-être, qu'il était agressif et rude et qu'ils répondent du tac au tac? Tellement de petits détails ignorés ici. Mais quand même, au milieu de toute sa CONFRONTATION avec les policiers allégués, voici ce que le génie Bollyn fait:

CB: J'ai couru jusqu'à la porte de ma maison...
FC: Maintenant juste une minute, Nellie!


C'est un homme qui vit en fuite, dans des refuges pour sa sécurité (avec deux jeunes enfants, n'oubliez pas), pense qu'il a découvert le pot-aux-roses du 9.11 et il a une confrontation avec des gros bras en veste anti-balles dans son entrée, et il coupe sec en s'enfuyant??!!

Bien, il dit que c'était pour "appeler mon frère".

Oh là là, se cacher derrière sa femme et ses enfants n'est pas suffisant... il doit amener son frère dans le décor? Et souvenez-vous que c'est lui qui a appelé la police à propos de la police en premier lieu. Et il est surpris de ce qui arrive ENSUITE???

CB: ...Les trois hommes se sont ensuite assis sur moi et ont poussé mon visage par terre, m'ont passé les menottes et m'ont embarqué dans leur voiture.

... tout comme le jury l'a compris, qui a pris moins de deux heures à convenir que Bollyn était coupable des chefs d'accusation d'agression aggravée et délit de résistance à l'arrestation. Dans cette version, Bollyn dit clairement qu'il a été "électrifié" avec le Taser avant d'être menotté. Dans d'autres récits, il prétend que le pistolet Taser a été utilisé sur lui après avoir été menotté. Comme le lieutenant Russo explique ci-dessous, Bollyn luttait à un point tel qu'ils ont dû utiliser le Taser afin de pouvoir lui passer les menottes. Alors qu'ils utilisaient le Taser sur lui, ils ont sans doute réussi à menotter sa main gauche mais pas son sa droite, car il l'avait placé en dessous de lui dans une tentative de déjouer leurs plans. Ainsi, ce n'était pas une situation dans laquelle le Taser a été utilisé pour agresser un individu déjà menotté, et Bollyn a révisé son histoire et "joué du violon".
Tiré de la "ligne du temps" de Bollyn, ce qui suit est sans doute vrai:
Barber demande: "Où est son bras droit?"
«Il est au-dessous de moi», répond Bollyn, qui dit à Helje d'aller chercher son frère Jay (dans la maison) et Dale, le voisin.
Bollyn a tenté de "prouver" une conspiration contre lui en fournissant un compte rendu trompeur de la ligne du temps. Il affirme que l'horodatage du Taser 20:00:36 indique environ quatre minutes de différence avec l'heure réelle. Cependant, considérons les données:


  • 20:00:36 temps Taser
  • Appel au service des incendies 20:01:03 (entrée) 20:01:06 (envoyé) 20:02:12 (en chemin) 20:03:57 (sur scène)
  • Unité tactique en civil (sur scène) 20:03:56
Il y a de toute évidence quelque chose qui cloche ici. L'unité tactique de trois hommes a dû arriver sur les lieux avant que Bollyn soit électrifié au Taser. Le scénario de Bollyn relate bizarrement que l'unité tactique a appelé des unités paramédicales d'incendie trois minutes avant qu'ils arrivent à son domicile dans le cadre d'un complot visant à l'attaquer. Y a-t-il jamais eu un seul exemple dans l'histoire humaine où les flics corrompus ont prévu d'attaquer quelqu'un et gentiment appelé d'avance les ambulanciers pour qu'ils viennent à l'aide de leur victime - ce qui revient à fournir volontairement des preuves qui les auto-incrimine et pourraient être utilisées pour prouver l'innocence de leur victime dans une cour de justice? Si les flics avaient l'intention de battre quelqu'un et de le piéger avec de fausses accusations de résister à leur arrestation, ils le frapperaient d'abord et appelleraient ensuite les ambulanciers - non pas qu'il y ait une quelconque preuve comme quoi Bollyn a été ciblé et piégé dans le cas présent.


Au lieu que ce soit l'heure du Taser qui était incorrecte, le rasoir d'Occam et le bon sens nous dictent que l'heure de la scène a été enregistrée après l'arrivée de l'unité tactique. Cette interprétation a des avantages tels que:

  • La séquence de l'appel à l'équipe paramédicale des incendies suit naturellement l'incident du Taser, à T + 27 secondes, 30 secondes, 96 secondes et 201 secondes
  • Il n'y aucune coïncidence inexplicable par laquelle une horloge de Taser se trouve être inexacte de quelques minutes pour que ça corresponde exactement à l'appel au service d'incendie
  • Le rapport de "lutte en cours" à 20:01:03 n'est pas truqué
  • Il n'y a aucune contradiction dans laquelle des flics corrompus conspirent à faire du mal à un journaliste tout en organisant à l'avance la présence d'ambulanciers sur les lieux de l'attaque
  • Il n'y a aucune contradiction dans laquelle des flics corrompus auraient conspiré secrètement pour attaquer un journaliste pour ensuite aider à fournir des preuves contre eux-mêmes qui seraient utiles pour la défendre de leur cible en cour contre des accusations de résistance à l'arrestation
  • Il n'y a aucune contradiction dans laquelle une maléfique unité tactique "formée par l'ADL" serait impatiente d'arriver sur les lieux avant l'officier en uniforme Fitzgerald afin qu'ils puissent attaquer leur cible, et pourtant, même s'ils sont déjà dans le quartier, ils prennent mystérieusement vingt minutes à arriver chez leur cible qui a utilement composé le 9-1-1 à 19h43 et leur a fourni le prétexte dont ils ont besoin pour passer lui rendre visite
  • Il n'est pas nécessaire de postuler que la police ou l'ADL ou le Mossad ait eu des «pouvoirs psychiques» ou une certaine capacité à manipuler le comportement de Bollyn, par exemple par "contrôle mental", afin de l'inciter à composer le 9-1-1 et leur fournir le prétexte nécessaire que la police passe lui rendre visite
  • Il n'est pas nécessaire d'expliquer la coïncidence de l'arrestation de Bollyn survenant à peine cinq jours après que Sam Danner ait admis à l'émission de Wingtv que son histoire de «Global Hawk» - propagée par Bollyn et Hufschmid - était un mensonge
  • Il est plus raisonnable que l'événement a été enregistré trop tard plutôt que quelques minutes avant qu'il ne se soit réellement passé
  • Il n'y a pas de grande conspiration impliquant l'ADL, l'ensemble du Service de police de Hoffman Estates, le Department of Homeland Security, les procureurs juif, American Free Press, etc - il n'y en a pas pour nuire gravement à Christopher Bollyn, mais plutôt pour lui donner un avantage de propagande lui permettant de se présenter comme un «martyr» à ses disciples
  • Il n'y a aucune contradiction de policiers "formés par l'ADL" qui auraient réussi à dissimuler la preuve de leur «formation par l'ADL» à tout le monde sauf Christopher Bollyn
  • Il n'y a aucune contradiction de sionistes orchestrant une attaque contre un homme qui accomplit un excellent travail comme atout pour les sionistes, par son colportage de désinformation au sujet d'un «Global Hawk» au Pentagone, voir beaucoup plus de détails ci-dessous
  • L'estimation originale de Bollyn de "environ 6h20" plus "30-35 minutes" pour l'heure d'arrivée de la police est inexacte d'environ quatre minutes, non pas neuf minutes (c'est après avoir tenu compte de son erreur en écrivant 06h20 alors qu'il s'agissait clairement de 07h20, tel qu'indiqué ci-dessous)

Dans l'article de Bollyn Establishing the facts of the Police Assault on Christopher Bollyn (sic), il affirme qu'il a vu le "véhicule suspect" à "environ 18h20", et ajoute "environ 30-35 minutes après j'ai vu ce véhicule suspect passent devant ma maison, ces mêmes hommes sont venus sur ma propriété ".





Établir les faits sur l'assaut policier contre Christopher Bollyn

La transmission des enregistrements de la police révèle des activités suspectes

par Christopher Bollyn
26 février 2007

Le 1er août 2006, après avoir remarqué des activités suspectes près de chez moi impliquant trois hommes vêtus de gilets anti-balles, j'ai appelé le 9-1-1, le numéro indiqué pour rejoindre la police de Hoffman Estates, Illinois.

J'ai décidé d'appeler la police après avoir vu ce véhicule deux soirs de suite rôder autour de la maison.

Le 15 août, je suis sorti par la porte avant de ma maison à environ 6h20 pm et j'ai vu un véhicule suspect, dont les occupants portant des vestes anti-balles, passer devant chez moi très lentement. Ces trois hommes flânaient dans mon quartier et semblaient très étranges.

Environ 30-35 minutes après que j'aie vu ce véhicule suspect passer devant chez moi, ces trois hommes sont ensuite entrés sur ma propriété. Pas un, mais les trois hommes se sont avancés dans l'entrée avec une attitude de confrontation.




Remarque:
Bollyn a fait une erreur avec l'heure dans son article ci-dessus. Il est évident qu'il signifiait 7:20 pm et non pas 6:20 pm comme l'a confirmé dans l'article subséquent du 17 mars 2007, ci-dessous. Ajustant l'heure d'une d'heure, et en tenant compte de son estimé d' "environ 30-35 minutes", qui situerait l'heure de la scène à 7:50-7:55. C'est plus cohérent avec le temps enregistré sur le Taser 20:00:36 et l'unité tactique qui a dû arriver avant 20h00, plutôt qu'à 20:03:56. Evidemment, quand Bollyn a écrit sa chronologie en février, il a oublié de réviser cette partie de son histoire de manière à ce qu'elle coïncide avec son interprétation fantaisiste des données.


Ligne du temps des événements entourant l'attaque contre Bollyn
17 mars 2007

Ligne du temps entourant l'attaque et la décharge de Taser à l'endroit de Christopher Bollyn, journaliste.

Lieu: La résidence des Bollyn, un coin de banlieue de Hoffman Estates, Illinois.
Date: 15 août 2006
Heure: soirée, à partir de 7:20 PM
Durée de l'opération: environ 4 minutes
Délai entre l'arrivée de l'unité tactique de la police et l'attaque contre Bollyn: 50 secondes

Agences impliquées: Système de transfert des appels du 9-1-1 du Nord-Ouest (NWCDS), Service de police de Hoffman Estates (HEPD), Service des incendies (HEFD)

Temps suivi de la description des événements

19:20: (estimation) Christopher Bollyn voit une voiture suspecte avec à son bord 3 hommes portant des vestes anti-balles, en train de circuler dans la rue la deuxième journée de suite. Inquiet, il en parle à sa femme Helje et prend la bicyclette pour se rendre au magasin.

19:43:34 : appel reçu au 9-1-1 - du magasin, Bollyn appelle la police (9-1-1) concernant un véhicule suspect avec trois hommes armés qui circule autour de sa maison. Le service du 9-1-1- accepte d'envoyer une patrouille chez Bollyn dans 20 minutes. (enregistrement de la police)

Dans la version de mars de la chronologie de Bollyn, le temps incorrect de 6:20pm a été révisé pour 7h20 (19h20). Le "environ 30-35 minutes" a été commodément oublié, évitant ainsi la nécessité d'un incriminant cinq minutes d'ajustement.
Bollyn écrit: «La mémoire de Helje était bonne. La réponse du chef Herdegen était un mensonge". Non. La mémoire du Chef Herdegen était correcte. Les questions de Helje étaient fourbes.
Pendant l'incident, même la jeune fille de Bollyn avait reconnu son agressivité quand elle l'a prévenu: "Papa, ils vont t'arrêter!" Et Bollyn demande: «Pourquoi le TASER a-t-il été utilisé alors que j'étais déjà soumis et retenu?" Parce que, étant donné qu'il n'était pas encore menotté (les deux poignets) à ce moment, il aurait été soumis et retenu pour aussi longtemps que les policiers ait eu à maintenir leur emprise sur lui. Et ils n'allaient pas rester là toute la nuit.
Les allégations de Bollyn selon lesquelles la police "n'était pas du tout disposée à s'identifier" s'est effondré lorsque son épouse Helje a témoigné en cour que l'un des officiers avait montré son badge brillant.


Bollyn, qui a écrit pour plusieurs sites Web et a affirmé que des agents israéliens étaient impliqués dans les attentats du World Trade Center le 11 septembre 2001, a appelé la police le 15 août pour rapporter une voiture suspecte dans son quartier. La voiture était une escouade banalisée avec trois officiers de l'unité tactique, et les autorités ont dit que les officiers se sont arrêtés dans l'entrée de Bollyn dans le bloc du 200 de Kingman Lane pour s'identifier.

Les agents ont témoigné que Bollyn est devenu belliqueux, qu'ils l'ont agrippé et ont utilisé un pistolet paralysant pour le maîtriser après qu'il leur a dit qu'il allait entrer dans sa maison pour chercher des «renforts».

Bollyn, qui fut déjà candidat à la mairie de Hoffman Estates, disait que les officiers ne se sont jamais identifiés.

Pendant la plaidoirie, l'avocat de la défense Paul Moreschi a dit qu'il était difficile de savoir avec certitude ce qui s'est passé, mais a dit aux jurés que «l'aspect militaire» des officiers a perturbé Bollyn.

«Affirmer que ces officiers - armés de fusils, gilets pare-balles, pistolet Taser, cannette de poivre de cayenne et matraques - qu'ils avaient en quelque sorte peur de ce gars dans une chemise hawaïenne, debout à côté de sa femme et sa fille, est ridicule," Moreschi dit.

Mais les procureurs ont fait valoir que les trois hommes ont montré leurs badges et portaient un survêtement qui les identifiaient clairement comme des agents de police de Hoffman Estates.

"Cette défense est ridicule", a déclaré James Pontrelli, adjoint du procureur. "Même l'épouse du défendeur a témoigné que l'un des officiers a montré un petit badge brillant. "

Pontrelli a déclaré après le verdict que les allégations de Bollyn quant à l'existence d'un complot lié à ses écrits "était une histoire trop difficile à vendre au jury."


Source: Daily Herald
Un ancien candidat à la mairie coupable d'agression

Par Ashok Selvam
aselvam@dailyherald.com
Posted Wednesday, 06 Juin, 2007


Les jurés ont entendu deux histoires radicalement différentes au cours du procès de quatre jours à savoir si Christopher Lee Bollyn a agressé des agents de police de Hoffman Estates l'année dernière.

Les jurés ont dit qu'ils avaient vu des trous dans le récit de brutalité policière de Bollyn. Mardi, ils ont trouvé l'ex-candidat à la mairie de Hoffman Estates coupable de rébellion et de voies de fait graves.

Il encourt jusqu'à un an de prison et doit comparaître devant le juge Hyman Riebman pour recevoir sa sentence le 25 juin.

"Je ne peux pas en parler maintenant", a déclaré un Bollyn découragé quelques minutes après le verdict.

La police a arrêté Bollyn le 15 août après que le directeur Michael Barber a utilisé un Taser pour le paralyser. Trois officiers ont poussé Bollyn dans l'herbe en face de sa maison de Kingman Lane après que les procureurs aient dit Bollyn qu'il leur avait crié qu'il allait à l'intérieur pour "aller chercher la milice pour les avoir."

Bollyn a dit que la police lui a cassé le coude. Les procureurs ont nié l'ampleur de sa blessure et dit qu'il a menacé la police - qui voulait mettre fin à l'incident avant qu'il n'escalade - et qu'il a ignoré leurs ordres.

"Il ne parlait pas dans un ton calme et civil", a déclaré le procureur Cossette Stacy.

L'incident bizarre a commencé quand une voiture de police banalisée passait près de la maison de Bollyn. Il a appelé le 9-1-1 et dit que la voiture était suspecte. La voiture est revenue, et trois policiers sont sortis pour expliquer à Bollyn qu'ils ne lui voulaient aucun mal. Au lieu de cela, un match de catch a suivi.

La police a déclaré plus tard qu'ils étaient en patrouille en raison de possibles activités de drogue à proximité.
 
Bollyn a fui les Etats-Unis pour l'Europe - avant la date à laquelle il devait se présenter au tribunal pour recevoir sa sentence.
Le dossier de carrière des trois policiers impliqués démontre que leur rôle était lié à des patrouilles de police régulières telles que celles qui s'occupent de la circulation, arrêtent les conducteurs sous l'influence de l'alcool, les utilisateurs et les vendeurs de drogue, etc, ce qui n'est pas compatible avec l'affirmation selon laquelle ils étaient une escouade fédérale sinistre contrôlée par les sionistes. Ils n'étaient pas du FBI, ils n'étaient pas de l'ADL, ils n'étaient pas du Mossad, et ils n'étaient pas liés à Israël. L'officier Tim Stoy avait reçu une récompense pour plus de 25 arrestations pour conduite sous influence (CSI), et les agents Michael Barber et Darin Felgenhauer avaient reçu un prix "Mention Honorable" relatifs aux CSI. Ils étaient des officiers tactiques patrouillant le quartier. Bollyn a créé une tempête dans un verre d'eau, affirmant qu'il croyait qu'ils étaient des agents fédéraux en train de le traquer.
Une des raisons invoquées pour l'augmentation des patrouilles de police - soupçons d'activités de drogue - a été confirmée plus tard, discréditant encore l'histoire de Bollyn.



Source: CBS Chicago

Eric Hufschmid, qui prétend que ceux qui sont en désaccord avec lui sont des "Crypto Juifs" ou des "agents de désinformation", a tenté de réfuter cela, avec une déclaration trompeuse à l'effet que le présumé utilisateur de drogue qui s'était échappés de l'hôpital avait été capturé quelques heures avant l'arrestation de Bollyn . La police tenait le suspect en garde à vue après l'avoir arrêté dans une pharmacie le lundi soir, il a été emmené à l'hôpital le mardi matin (15 août) après s'être plaint de malaise, il a fui l'hôpital, la police a lancé un avis de recherche autour de 14 heures dans l'après-midi, l'appel au 9-1-1 de Bollyn a été fait du magasin de vin à 19:43:34 ce soir-là, et le suspect de drogue était "toujours en fuite le mercredi matin", soit le jour suivant. Le suspect n'était pas considéré comme une menace, et si la police ne peut pas l'attraper dans un temps donné, ils ne vont pas continuer infiniment leurs recherches à grande échelle. C'est juste une raison pour maintenir des patrouilles régulières. Hufschmid affirme également que le suspect a été vu dix miles de la maison de Bollyn, mais c'était près de dix heures avant que Bollyn ait vu ce qu'il disait être une voiture «suspecte». Hufschmid sous-entend que sa propre vérification des faits est supérieure, mais il cite Bollyn comme source pour son affirmation sur les «dix miles». La distance réelle est inférieure à cinq miles de trajet indirect par la route. Et le suspect a pris un raccourci en courant à travers le parcours de golf. Le suspect courait dans une direction sud-est vers la maison de Bollyn, et serait à l'évidence capable de marcher cinq ou même dix miles en près de dix heures.

En tout cas, c'est le travail de la police de maintenir une présence et de prévenir la criminalité locale, et une voiture de police patrouillant dans la rue n'est guère une preuve de conspiration. Si Bollyn avait été attaqué par un groupe de Juifs, il aurait probablement été le premier à se demander pourquoi il n'y avait pas de police quand il en avait besoin.

Évidemment, il y avait aussi une femme qui utilisait de l'héroïne, juste en bas de la rue de la maison de Bollyn.



La police a témoigné que les agents d'infiltration ne faisaient que des "patrouilles de routine" plusieurs nuits de suite, et qu'il y avait une femme qui utilisait de l'héroïne dans cette rue.

Le procureur (malgré que le directeur adjoint du 9-1-1 ait déclaré que les enregistrements de police et d'incendie ont été pris en temps réel et son exacts) a déclaré en terminant que les enregistrements ne sont pas exacts, car le personnel du 9-1-1 n'a pas nécessairement écrit ce qui a été dit, quand cela a été dit.



Bien sûr, les enregistrements ne sont pas toujours entièrement exacts, cependant les chefs de police et les administrateurs aimeraient probablement exagérer la précision des heures enregistrés. Cependant, bien qu'il soit raisonnable de penser qu'ils auront parfois quelques minutes de retard dans l'enregistrement des événements, il serait étonnant que le personnel du 9-1-1 enregistre tous les événements à chaque minutes avant qu'ils arrivent - sans être détenteurs de pouvoirs psychiques de précognition.

Le communiqué de la police aux médias est compatible avec les faits connus. Et, contrairement à Bollyn, la police était cohérente avec sa version des événements.




Écoutez ce fichier audio [5:40] pour entendre le lieutenant Richard Russo interviewé par Lisa Guliani de Wingtv. Russo dit il n'y avait pas d'agents du FBI impliqués, et ils ne maintenaient aucune surveillance sur Christopher Bollyn. Leurs officiers tactiques, une unité de répression des gangs, une unité semi-marquée, faisait des patrouilles de routine dans le quartier. Ils sont passés devant la maison de Bollyn, mais ce n'est qu'après l'incident qu'ils ont su qui il était. Ils ont reçu un appel 9-1-1 de Christopher Bollyn affirmant qu'il y avait un véhicule «suspect» dans son quartier (ou des personnes) se comportant comme des agents de police ou du FBI. Connaissant (ou en supposant) que "une erreur ait été commise", Russo a dit que les officiers se sont identifiés et ont expliqué qu'ils n'étaient pas du FBI et qu'ils menaient en fait une patrouille de routine. Ils lui ont montré leurs badges qu'ils portaient autour de leur cou. Bollyn est devenu très belliqueux, furieux, menaçant les policiers de par son langage corporel ainsi que par ses paroles. Il a indiqué en autant de mots qu'il allait rentrer à la maison en courant, amenant ainsi les officiers à penser qu'il pourrait tenter de prendre une arme. Craignant pour leur sécurité, les policiers l'ont abordé pour éviter qu'il rentre à la maison, parce qu'ils ne savaient pas ce qu'il y avait dans cette maison. Une lutte s'ensuivit alors qu'ils tentaient de le maîtriser, et un Taser a dû être utilisés pour lui passer les menottes. L'unité de répression des gangs comprend trois ou quatre officiers, semi-identifiés, circulant dans le quartier à la recherche d'un gang ou d'une activité de drogue. Russo est d'accord avec la suggestion de Guliani selon laquelle cela n'aurait pas été une situation tendue si Bollyn n'avait pas créé une situation tendue. Cette version des événements s'accorde avec les faits; pas les affirmations de Bollyn.

La randonnée à vélo de vingt minutes de Bollyn pour revenir de
la «boutique de vin» à la maison lui aurait fourni un certain temps pour que l'alcool prenne effet, ce qui pourrait servir de "courage hollandais" et comme anesthésique au cas où ils utiliseraient le pistolet Taser lors de sa scène de cascade. D'un autre côté, si Hufschmid et lui ont estimé qu'un Bollyn en état d'ébriété pourrait faire tout rater et risquerait de rendre l'altercation encore plus artificielle, Bollyn pourrait tout recracher dans la rue sans que sa famille le voit, et l'alcool dans son haleine aiderait à vendre à la police le concept de "Bollyn le belliqueux, fou furieux théoricien de la conspiration".

Même le propre frère de Christopher Bollyn, Jay, ne croyait pas son allégation de conspiration contre lui liée à ses écrits. Ni non plus son conseiller juridique, ses élus locaux, le personnel de l'American Free Press, la police, ou toute personne ayant plus d'une once de bon sens et qui n'a pas été aveuglés par l'idéologie et ont pris le temps d'examiner les faits.

Je dois dire que, c'est pas juste le processus qui m'a fait tomber, on m'a laissé tomber et j'ai été trahi par mes élus de mon village et de mon État, mon ancien employé et les gens d'American Free Press, mon conseiller légal, et même mon frère, qui a choisi de soutenir la police locale corrompue plutôt que son propre frère.

En novembre 2010, la journaliste russe Oleg Kashin avait les deux jambes brisées, sa mâchoire fracturée en deux endroits, son crâne endommagé, ses mains brisées, ses doigts cassés et un doigt coupé, après avoir été prise en embuscade dans un passage souterrain à Moscou. C'était pour avoir "tenté de dévoiler la vérité". En 2008, l'éditeur de journaux russe Mikhaïl Beketov a été violemment battu et laissé pour mort dans la neige, après une tentative ratée pour le tuer en 2007 lorsque sa voiture a explosé. Il a survécu avec des lésions cérébrales, est incapable de parler, et a dû avoir une jambe et trois doigts amputés. Pour ajouter l'insulte à l'injure, il a ensuite été reconnu coupable de "diffamation". La journaliste d'investigation russe Anna Politkovskaïa a été abattue en 2006. Et les opposants de la mafia sioniste dont le crime a été de dire la vérité, comme Ernst Zundel (emprisonné depuis des années après avoir subi des tentatives de meurtre par incendie criminel et par bombe artisanale), Robert Faurisson (hospitalisée pendant plusieurs semaines, la mâchoire cassée, dents cassées, etc, et ce à plusieurs reprises), François Duprat (assassiné dans un attentat à la voiture piégée), Frank Walus (presque tué dans une attaque à l'acide) et Jürgen Rieger (explosion de sa voiture, attaqué et battu) ne s'en sont pas tirés avec simplement une visite de la police pour ensuite être immobilisés avec un Taser. Et, contrairement à Christopher Bollyn, ils n'ont pas instigué la confrontation en premier lieu, dégénérant en lutte physique, pour ensuite envoyer des pourriels sur tout l'internet avec des photos d'eux-mêmes avec leurs bras en écharpe pour tirer un maximum de cette histoire et en faire de la pub, pour le peu que ça vaut. Si le crime organisé juif avait vraiment voulu faire taire Bollyn, ils auraient lancé une attaque contre lui, et ils ne l'auraient pas traité avec des gants blancs. Il n'aurait pas été capable de marcher plusieurs miles du poste de police jusque chez lui. Mais la mafia juive n'aurait pas voulu attaquer un agent de désinformation qui propage des canulars comme "Danner a vu un Global Hawk", en plus des autres histoires fausses telles que détaillé ci-dessous.

Frank Walus, par exemple, a dû payer 60 000 $ pour se défendre contre les fausses accusations d'être un «ancien officier de la Gestapo» et un "meurtrier de masse". Les accusations provenaient du fameux menteur Simon Wiesenthal, qui a été dévoilé comme l'auteur de faux documents montrant de la fausse fumée rajoutée sur une photo d'Auschwitz. Walus (né 29 juillet 1922) aurait été entre 17 et 21 ans un "agent de la Gestapo" lorsqu'il aurait prétendument commis des atrocités durant la période 1939-1943, et alors qu'il mesurait seulement cinq pieds quatre comparativement à la grandeur de six pieds rapportée par des témoins. En tant que Polonais, Walus n'aurait pas été autorisé à rejoindre la Gestapo. Neuf des témoins de Wiesenthal ont affirmé être nés et avoir vécu en Pologne, or ils mentaient. Après que Walus ait été blanchi de toute accusation, Wiesenthal a eu le cran de poursuivre Walus d'avoir atteint à sa réputation! Bollyn, en revanche, a été ingrat vis-à-vis d'American Free Press qui avait recueilli des milliers de dollars pour sa défense juridique, et a accusé à tort AFP d'avoir «volé» l'argent. Il s'est avéré qu'AFP avait fait tous les efforts pour contacter les bailleurs de fonds, pour leur demander s'ils voulaient que l'argent leur soit retourné ou qu'ils soient affectés aux fonds généraux de l'AFP, et AFP a renvoyé ou gardé l'argent comme convenu. AFP a envoyé environ 5000 $ à Bollyn, et a rendu presque tous les 15 000 $ restants, à l'exception d'une contribution écossaises dont ils n'ont pas l'adresse, selon Mike Piper. (Reportez-vous à ses émissions du 9 janvier 2007, à partir de 34:45.) Piper dit qu'il insistait que tout l'argent aurait dû être envoyé à Bollyn, mais que le reste du personnel d'AFP était tellement outré par le "comportement bizarre" de Bollyn, sous l'influence
d'Hufschmid, qu'ils ont pris la décision de renvoyer l'argent à ses expéditeurs. Et en tout cas, un juge juif a laissé Bollyn fuir le pays après avoir été condamné. Son «fonds de défense juridique» a été utilisé à des fins commerciales, pour la production de livres pour enfants.



10 octobre 2006
[Notes du site de RBN:] L'émission de fin de soirée, ligne ouverte et forum de ce soir le 10 octobre diffusé sur les ondes de Republic Broadcasting Network à rbnlive.com, Michael Collins Piper a relaté la triste décision d'American Free Press de couper ses liens avec son correspondant de longue date Christopher Bollyn. Piper a précisé que la raison pourquoi Bollyn a été exclu est que Bollyn a continué à prêter sa crédibilité personnelle à des attaques contre American Free Press répandues par Eric Hufschmid et Daryl Bradford Smith qui dit que American Free Press -- de même que plusieurs groupes et individus antisionistes -- sous en fait sous le contrôle des sionistes ou d'infiltrateurs sionistes. Pourquoi Bollyn a continué ainsi à soutenir Hufschmid et Smith demeurait une question troublante pour le personnel d'American Free Press qui n'avait rien fait à part défendre Bollyn pendant les dernières 6 années, l'envoyant de par le monde pour des reportages spéciaux et publiant quelque mille articles de Bollyn, la plupart (peut-être les meilleurs d'entre eux) attaquait de front des sujets tels que le sionisme et des manigances du réseau israélien, difficile à croire que ce serait l'oeuvre d'une publication travaillant secrètement pour les sionistes et d'Israël. De plus, Piper a signalé que American Free Press a déjà donné à Bollyn 4500$ qui avaient été envoyés à American Free Press pour le fond de défense juridique de Bollyn qui avait été instigué après que Bollyn ait été attaqué devant chez lui par la police locale. De plus, AFP est sur le point d'envoyer 4000$ de plus qui ont été amassés pour lui. De plus -- jusqu'à ses plus récentes attaques contre AFP facilités par Bollyn en postant ces attaques sur internet -- AFP a tenté d'arranger un additionnel 5500$ offert à Bollyn par la "Foundation to Defend the First Amendment". (Ces fonds n'ont pas été donnés expressément pour Bollyn, mais lui auraient été rendus disponibles néanmoins.) Piper indique que c'était un absolu non-sens que lui-même (Piper) se soit secrètement arrangé avec la Homeland Security et l'ADL pour commanditer un piège pour que Victor Thorn attaque Bollyn alors que Thorn et Bollyn sont apparus à l'émission le 24 août (émission accessible dans les archives du site rbnlive.com sous "The Piper Report"). En fait à l'émission, Piper a dédié plus de 20-25 minutes à un appel de Mark Bilk de Californie qui aurait fait une analyse de stress du porte-parole du département de police et dit que Bollyn disait la vérité alors que le policier ne disait pas la vérité. Piper a aussi été très critique envers Victor Thorn et Lisa Giuliani d'avoir critiqué le rapport initial de Bollyn concernant les attaques de la police conter Bollyn. C'est évident pour quiconque qui écoute cette émission du 24 août. Ce qui est aussi évident est que Bollyn n'a même pas répudié - à la demande de Thorn - les attaques portées par Hufschmid contre American Free Press. Pourquoi Bollyn continue de s'allier à cet individu qui attaquait American Free Press au lieu de se porter à la défense de son employeur est une question qui n'a pas manqué de surprendre et confondre les auditeurs qui (...)

Remarque: certaines émissions de 2006 de Piper sont archivés dans le cache de Take Our World Back. Voir au haut de cette page à ce lien pour une liste de fichiers qui sont accessibles.
Bollyn a affirmé que la police avait «cassé» son coude et il avait une «fracture cachée» qui a été probablement causée lorsque Michael Barber s'agenouilla sur son coude. Ce type de fracture ne se présente pas dans les rayons X, et le rapport médical a déclaré que Bollyn avait une «effusion au coude droit, fracture cachée possible». Même en cas d'effusion du coude, la probabilité la plus raisonnable est qu'il n'a pas de fracture cachée du tout. L'incidence de la fracture cachée, étant donné une effusion traumatique, est d'environ 30% (Morewood, 1987).
L'appel de Christopher Bollyn au bureau de police était une partie essentielle de la chaîne causale des événements, sans lequel ils n'auraient eu aucun prétexte pour venir à son domicile. Les "conspirateurs" contre Bollyn n'aurait pas été capables de l'amener à composer le 9-1-1 à moins qu'ils aient des pouvoirs «psychiques», ou que Bollyn soit victime de contrôle mental par lavage de cerveau. Cependant, même dans le cas peu probable que Bollyn ait été soumis à certaines des techniques MKULTRA, telles que:


  • Des substances qui favorisent la pensée illogique et l'impulsivité au point où le destinataire serait discrédité en public
  • Des matériaux qui favoriseraient l'effet enivrant de l'alcool
  • Des matériaux qui feraient de lui un sujet apte à être hypnotisé ou qui accroîtraient l'utilité de l'hypnose
  • Des substances qui modifient la structure de personnalité de telle manière que la tendance du destinataire de devenir dépendant d'une autre personne est renforcée
... Alors le scénario de Bollyn ayant été manipulé par Eric Hufschmid pour lui faire appeler le 9-1-1 l'amenant ainsi à se discréditer lui-même en se comportant illogiquement est tout aussi incompatible avec la fable du "journaliste honnête attaqué par des policiers formés par l'ADL pour avoir été trop proche de la vérité", considérant que l'alternative beaucoup plus envisageable est que Bollyn était pleinement conscient de l'arnaque, qui lui a probablement été suggérée par Eric Hufschmid. Il fut dévoilé par la suite que Bollyn avait "reçu de l'argent de l'étranger" et avait apparemment été "régulièrement visité par une ou des personnes dont les plaques d'immatriculation ne peuvent être retracées".
Et l'idée que la police était déjà en route vers le domicile de Bollyn pour l'attaquer, et que c'était juste une coïncidence que Bollyn les ait appelés quelques minutes avant leur arrivée, c'est une autre coïncidence qu'il pousse vraiment trop loin. Le plan des sionistes était de semer la division au sein du mouvement pour la vérité entre d'un côté ceux qui peuvent voir à travers la tromperie et de l'autre côté les "vrais croyants" qui restent tellement aveuglés par l'idéologie qu'ils ne peuvent pas voir à travers les tromperies de quelqu'un qui était censé être de leur côté. Ceux qui ont planifié la scène de cascade étaient bien conscients que la présentation de Bollyn de lui-même comme un "antisioniste" et un «chercheur de vérité» lui gagnerait la sympathies et le bénéfice du doute de tous ceux dans le mouvement pour la vérité qui ne pouvaient pas, ou ne voudraient pas, poser un regard impartial sur les faits. Lancez quelques idées telles que «la police corrompue» et "l'ADL" dans le mélange, et il vous serait plus facile de vendre aux "vrais croyants" les moins exigeants dans le mouvement pour la vérité, qui jugent tous les cas sur des bases idéologiques plutôt que sur le mérite.
Certains dans le mouvement pour la vérité, comme ceux du Forum Cassiopée, auront disséqué le cas et seront arrivés à la conclusion correcte en quelques heures ou quelques jours. D'autres prendront des semaines ou des mois avant d'arriver au bout de cette affaire. Et certains - les «vrais croyants» - maintiendront leurs illusions indéfiniment quant à leur "Christopher Bollyn, journaliste indépendant et honnête", parce qu'ils n'auront ni le temps, ni le désir, ni la durée d'attention ni les capacités pour mener une enquête objective. De même, l'incident visait à accroître la division entre ces vrais croyants et ceux en dehors du mouvement, qui ont perçu Christopher Bollyn et par extension les "twoofers" ou "troofers" ("truthers"= zélateurs de la vérité du 11 septembre) comme des anti-sémites et des paranoïaques devenus la risée générale. Maintes et maintes fois, il a pu être constaté que les écrits et les opérations de Bollyn ont été conçus pour attirer les «théoriciens du complot» en leur donnant ce qu'ils voulaient lire tout en discréditant en même temps le mouvement pour la vérité aux yeux de ceux qui connaissaient pas grand chose à ce sujet.
Plus précisément, les sionistes étaient conscients que certains au sein du mouvement pour la vérité iraient jusqu'à commettre l'erreur logique de post hoc ergo propter hoc (après cela donc à cause de cela) qui confond corrélation et causalité.
1. Bollyn, un journaliste antisioniste et chercheur, creuse et dévoile l'implication sioniste dans le 11 septembre
2. Bollyn a eu des ennuis avec la loi
3. Bollyn a eu des ennuis à cause de son militantisme antisioniste
Cela a été pas mal la même tactique qu'ils ont utilisé le 11 septembre, sachant que ceux qui seront incapables ou refuseront de faire des recherches sur la question pourront imaginer:
1. Des avions ont frappé les tours
2. Les tours se sont effondrées
3. Les tours se sont effondrées en raison des impacts d'avion et des incendies qui ont suivi
Cependant, bien que l'erreur de logique soit la même dans les deux cas, et génère une fausse conclusion, les deux prémisses (1) et (2) sont correctes dans le cas du 11 septembre. Dans le cas de l'arrestation de Bollyn, le mythe de la prémisse (1) est requise pour la conclusion légendaire (3).


Also on takourworldback.com (English only):

Bollyn Admits First Wife Worked for Israeli Military Intelligence

Christopher Bollyn: Agent saboteur







2.




Gyuénot époustouflant d'ignorance dans son positionnement face aux accusation de Bollyn et face à la mise au point de Piper :
Chacun accuse l’autre d’être un agent sioniste. J’avoue ne savoir quel parti prendre. Certaines accusations de Bollyn me semblent raisonnables[on se fout de l'opinion délibérément non-informée et sous-informée de Gyuénot dans ce cas-ci qu'il n'a même pas pris la peine d'étudier, nous ce qu'on voudrait savoir, c’est ce sur quoi il se base pour juger ainsi à priori que l'affirmation de Bollyn est "raisonnable"], en particulier concernant Mark Lane, que je suis venu indépendamment à soupçonner de couvrir sciemment Israël dans son enquête sur JFK (voir mon article sur la question) (On ne voit pas sur quoi il se base non plus, il élude la question en toute vitesse) . En revanche, mettre en cause Piper, l’auteur du seul livre incriminant Israël dans l’assassinat de Kennedy, me semble insupportable (Gyuénot devrait ici normalement admettre que sa position est complètement incohérente et justifiée par rien!). Et les anti-Bollyn ont beau jeu de rappeler que Bollyn fut marié à une agent du Mossad (ils ont pas seulement beau jeu, ils ont raison! Et Gyuénot tente de suggérer que ça ne veut rien dire). Plus récemment, dans un échange par e-mail qui a fini par faire l’objet d’un débat public, Bollyn a aussi accusé l’équipe de Veterans Today, le plus influent des sites Internet américains de réinformation antisionistes (avec Veterans News Now) de relayer des théories destinées à contaminer et discréditer la recherche. (…)
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Resoudre-le-11-Septembre-Conference-de-Christopher-Bollyn-34896.html.
Quoi qu’il en soit, cette conférence de Bollyn me semble irréprochable (mais vu que Gyuénot ne connaît rien aux arrière-plans de Bollyn, il ne comprend pas qu'il ne sait pas du tout de quoi il parle et que dans son cas il ferait mieux de ne surtout pas lui faire de pub).
http://www.egaliteetreconciliation.fr/Resoudre-le-11-Septembre-Conference-de-Christopher-Bollyn-34896.html.
Mais Gyuénot cite pourtant Mark Lane dans son livre et dans ses articles!



Gyuénot décrète: "Je pense que, ceci, cela, point." (Et ainsi j’écrase sous le poids de ma banale opinion ce que Piper a prouvé avec force arguments. Je présente ma propre opinion légère comme faisant contrepoids à un fait démontré dans un chef d'oeuvre de plus de mille pages...)
Gyuénot: "Michael Collins Piper estime que la volonté de Kennedy de faire avorter la bombe israélienne fut la raison principale de son assassinat [19]. Je pense que sa volonté de désamorcer la Guerre froide fut plus déterminante encore."




Nous nous excusons d'avance auprès de Mark Lane de poster ici les invectives et les calomnies empoisonnées de Bollyn. Notre objectif est de montrer à quel point Bollyn a une langue sale. En s'attaquant à Mark Lane, il s'attaque à un véritable héros qui a combattu les sionistes et aidé les révisionnistes de mille et une manières, contrairement à Bollyn qui ne leur a fait que du mal en bout de ligne.  Le plus scandaleux est que malgré ses bassesses, Bollyn reste un héros aux yeux de ses lecteurs impressionnables et ignares.

En fait Bollyn accuse Mark Lane de n'avoir pas voulu le défendre alors qu'en réalité Mark Lane aurait été prêt à le défendre si ce dernier n'avait pas tenu à défendre le diffamateur et menteur pathologique Eric Hufschmid, qui est à l'origine de toutes les accusations délirantes colportées contre Mark Lane sur internet! Ainsi Bollyn blâme Lane pour sa défaite judiciaire. Notez que Bollyn fuit toujours la justice américaine (des suites de son altercation policière) et est toujours recherché par l'IRS pour ne pas avoir payé ses impôts - or tout le monde peut voir qu'il se promène libre comme l'air en Europe (Estonie) et même en Allemagne, aucune extradition en vue pour lui et sa famille qu'il est pourtant facile de contacter. Si ça c'est pas la preuve que cet homme est protégé...





Un correspondant de Bollyn (dans un commentaire posté sur le site de Bollyn) croit que l’auteur Michael Collins Piper n’est qu’une façade, un faux auteur, mais Bollyn ne sourcille même pas, il n'essaie pas de contredire ce propos délirant!
Sadly, but not surprisingly, many of the "big names" in so-called alternative media have been co-opted by Jewish money (call them the Meyer Lansky Gang if you want).  Predictably and right on time.
All you gotta do is crack, if you can weather the slog, any of Mike Piper's books to see what's happening at the American Free Press (AFP) and Barnes Review.  Piper plugs their Jewish lawyer-owner, Mark Lane, throughout his texts, singing his praises.  I question whether a man named Michael Collins Piper [real name Michael Bernard Piper] actually wrote "books" per se.  He claims to be a journalist, but nothing attributed to his by-lines reads like one.  His books appear to me like a patch-work of assorted ghost-writers.  There is no definitive thread of writer's voice that runs through them and ties them together.  His books lack a signature.  They lack a feel that attributes text to its author.
Bollyn se dit d’accord avec le correspondant, il n’adresse même pas la montagne de conneries énumérées par son correspondant. Il enchaîne sur le compte de Mark Lane et Piper en disant que Piper serait juif (il aurait supposément vanté ses liens familiaux juifs, affirmation douteuse) et en affirmant que Mark Lane serait le propriétaire d’AFP et de Barnes Review, ce qui est totalement faux et facile à vérifier. Bollyn accuse Mark Lane d’avoir été impliqué en tant qu’agent de la CIA dans l’affaire Jonestown. Il poursuit:
Mike Piper even brags about his Jewish relatives and carries a portfolio from AIPAC.  Ask yourself, why would a patriotic American do that?
The owner of AFP is Mark Lane, whose original family name was Levin.  His father was a Jewish accountant named Harry Arnold Levin.  Mark Lane is former U.S. Army Intelligence from post-war Germany, where there is a similar controlled opposition newspaper called National Zeitung.  It should be noted that Mark Lane was the primary psy-ops agent/handler who instigated the horrific massacre at Jonestown in Guyana. 
Mark Lane (center), the lawyer who reportedly owns the Liberty Lobby and American Free Press (…)
Now, why would a high-level psy-ops agent like Mark Lane be interested in running American Free Press



Bollyn accuse trois sources, incluant bien sûr Piper, d’être à l’origine de certaines allégations le concernant mais dans lesquelles Piper n’a pourtant aucune responsabilité. Piper ne l’accuse pas d’être un agent des sionistes.

Bollyn: "Most of it actually comes from three detractors whose names are known within the “9-11 truth” movement: Eric Hufschmid, Daryl Bradford Smith (a.k.a. Daryl B. Setters), and Michael Collins Piper (a.k.a. Michael Bernard Piper) from American Free Press. These three detractors have obviously been ordered and paid to spread slanderous lies about me: first Smith in 2005, then Piper in 2006, and finally Hufschmid in 2007."

Encore une fois il accuse à tort Piper d’avoir écrit un article sur le site takeourworldback.com. Il est facile de prouve que Piper n’est pas l’auteur de ces articles mais qu’il est pris comme référence dans l'article. Cela démontre que Bollyn peut affirmer des choses qu'il sait pertinemment être fausses, car il sait très bien que cet article n'est pas de Piper.

http://www.takeourworldback.com/bollynfalseflag.htm
Bollyn Responds:  I have not read the whole article but can clearly see by the style and content that it is written by Michael Bernard Piper (a.k.a. Michael Collins Piper) of American Free Press.  This is obviously more of his nonsensical lies and slander.  One needs to understand that Piper is paid to attack me on behalf of the Zionist Jew Mark Lane and the controlled opposition/flypaper outfit Lane runs out of the Liberty Lobby.


Bollyn répète à tort que Piper l’accuse d’être un agent sioniste.
Bollyn: "Piper and Hufschmid attack me relentlessly saying I am a Zionist agent, because they know that my potential supporters are people who are critical of Israel and Zionism who are naturally skeptical and might entertain the notion that I am a disinformation agent. . This is the thrust of the slander coming from Michael Piper of American Free Press and Eric Hufschmid…"


Prétend connaître Liberty Lobby alors qu’il n'était presque jamais présent sur place dans les locaux. Même qu'il est venu seulement à quelques reprises, comme un visiteur…
Bollyn.com: "These questions pertain to my former employer, the Liberty Lobby, and its publications, American Free Press (the erstwhile Spotlight) and the Barnes Review. Having worked for the Liberty Lobby from June 2000 until October 2006, I have some insight into the organization and the people behind it."


Il prétend avoir été attaqué alors qu’il s’est montré fortement non-coopératif avec des policiers qu’il avait pourtant fait venir en les appelant de sa résidence quelques minutes auparavant.
Bollyn.com: "I was assaulted by undercover police and ousted from American Free Press because my 9/11 research was revealing too much about who had carried out the false-flag terror attacks - and how they had done it." 

Il accuse même Piper, Victor Thorn et Lisa Guiliani d’être co-responsables du complot sioniste à l’origine de l’attaque policière, des accusations judiciaires et du questionnement de sa crédibilité dont il a été l’objet. En fait c’est que sa version ne colle pas et est excessivement conspirationniste et paranoïaque, et quiconque remettrait sa parole en doute fait partie du complot contre lui. Il accuse enfin AFP de l’avoir repoussé alors que c’est lui qui a refusé de condamner les attaques gratuites de son plus intime collaborateur et confident d’alors Eric Hufschmid.

Bollyn.com: "Makufka and his girlfriend Lisa Giuliani teamed up with Michael Piper after I was attacked by undercover police.  They sought to impugn my credibility and claim my research as their own in a concerted Zionist effort to marginalize my work, and have me prosecuted and thrown in jail. Scott Makufka and Lisa Giuliani were part of the anti-Bollyn disinfo hit squad, along with Michael Piper.  Why would AFP turn on its own reporter after 6 years of good reporting?"

Bollyn ne mentionne pas que la raison pour laquelle Lane a refusé de le défense est que Bollyn à ce moment là refusait de condamner les accusations formulées par son délirant collègue et plus proche conseiller Eric Hufschmid 

Bollyn.com: "In mid-August 2006 I was assaulted at my home (on private property) by a heavily armed three-man squad of undercover police who TASERed me (while I was handcuffed and held down by two armed men) and broke my right elbow. Willis A. Carto of American Free Press began collecting money for a “legal defense fund” and encouraged me to take Mark Lane as my lawyer. When I spoke to Lane on the phone, he told me that I would have to trust him completely and admitted that he was a Zionist. I decided to look for another lawyer."


Bollyn ne mentionne pas que c’était son collègue Eric Hufschmid, dont il refusait de se désolidariser, qui menait des attaques depuis longtemps contre AFP et Barnes Review, Mike Piper, etc.
Bollyn.com: "After undercover police assaulted me at my home AFP raised money for my legal defense, but they fired me and kept the money instead.  Instead of making a case out of the outrageous fact that a working journalist had been attacked at his home in America, AFP ousted me and began a campaign of slander against me."


Une des fausses histoires est que Piper aurait un agent de l’ADL comme superviseur et amant homosexuel et que ceux-ci se promenaient dans la rue Pennsylvanie… Un mensonge complet que Bollyn s’est chargé de monter et de propager, sans que ça prenne vraiment, c’est pourquoi il s’est mis à tout mettre sur le compte de Mark Lane, disant que Piper était payé par Mark Lane et que Mark Lane contrôlait l’AFP, ce qui est totalement faux. Mark Lane n’a pas parlé aux gens d’AFP pendant des années, parfois 3 ou 5 ans. Bollyn fait des affirmations délirantes qui doivent nous faire questionner ou bien sa santé mentale ou bien sa sincérité.
Bollyn.com: "Shortly after the attack, Mike Piper of AFP began attacking me and insisted that I not be allowed to speak at the Labor Day conference in Washington. In early October 2006 I was fired from AFP by Chris Petherick who claimed that I had been disloyal to the paper and filed false stories."


Il s’empêtre toujours plus dans ses délires en attaqua tout le temps Mark Lane comme propriétaire de l’AFP

Bollyn.com :"After being fired from American Free Press in October 2006, I learned that Mark Lane is the real owner of the Liberty Lobby and its assets, and has been since 1994. This information came from L.T. Patterson of Cincinnati, owner of the newsletter Criminal Politics. Patterson had been sued by Mark Lane in an attempt to shut down his newspaper and discovered that Lane owned the Liberty Lobby during the legal process. Mark Lane served in U.S. Army intelligence in Germany at the end of the war.  Army intelligence became the CIA after the war.  Lane played a key role in the Jonestown massacre by pushing the fear button on Jim Jones, which instigated the massacre.  Lane is the controlling agent of American Free Press, which pushes the fear button of patriotic Americans every week. Lane was also involved in the anti-war movement during the Vietnam War, where he worked closely with Jane Fonda.  Later, Fonda married Ted Turner and convinced him to sell CNN to Zionist Jews in New York.  This completed the Zionist monopoly of the mass media in the United States.
The point of Zionists owning media is to control how people think about things.  Lane owns AFP in order to control the patriotic movement that is attached to it.  His control is meant to keep it from being effective as a political organizer.  It's that simple.  The books by Lane and Piper are meant to give them credibility.  In order to attract bees you have to offer honey.  If Carto, Lane, and Piper are serious about taking on the Anti-Defamation League of the B'nai B'rith why don't they sue the ADL for branding AFP as an anti-Semitic newspaper?"


Il se fie aux infos de Jerry Myers – un Khazar autoproclamé! – concernant Willis Carto. Or c’est ce même Khazar autoproclamé Jerry Myers qui est responsable d’avoir à ce point vanté Bollyn auprès de Carto que l’embauche de Bollyn par The Spotlight (et ensuite AFP) fut quasi automatique. Il prétend que Myers est un habitué de longue date à l’AFP, or il était plutôt à l’extérieur de celui-ci, plutôt un visiteur qui se liait d’amitié avec le personnel. Et c'est plutôt Bollyn qui a des liens (comme coursier) avec des comptes secrets dans des banques suisses...
Bollyn.com: "Jerry Myers told me that the Cartos had secret bank accounts in Switzerland and Austria.
There were certainly many shell companies controlled by Willis Carto. My paychecks, for example, came from an entity called the Committee to Expose Bunk. None of this was ever explained. Myers, an old hand at the lobby, told me a lot of the sordid history about the lobby and I knew it was a very secretive and dodgy operation, but I was glad to be able to write articles about things that mattered and see them in print in the nation's capital."


Bollyn affirme à tort que le livre de Victor Thorn sur le 911 repose sur ses recherches à lui. Il blâme AFP de ne pas lui avoir demandé de publier son livre sur le 911. Le fait est que l’AFP ne pouvait pas deviner les pensées de Bollyn et de toute manière, Bollyn prenait fait et cause pour son coéquipier de longue date Eric Hufschmid qui accusait sans arrêt AFP d’être un agent sioniste. Aux yeux de Bollyn, la distanciation d’AFP vis-à-vis de lui est une preuve que l’AFP est bel et bien un agent sioniste. C’est une logique délirante, paranoïaque.
Bollyn.com: "Scott Makufka (a.k.a. Thorn) wrote a book about Israel’s role in the 9-11 attacks (that I have not read), which must contain a great deal of my research. Thorn’s book was published by American Free Press, where I worked from 2000 until October 2006.
Although I was the first journalist to write about the Israeli role in the 9-11 attacks and have done far more research (for eight years) than any other writer on the subject, AFP was never interested in doing a book about 9-11 with me. This is an intelligence tactic called “stealing the thunder.” If AFP were truly interested in exposing the Israeli role in 9-11, why have they not asked to publish my ground-breaking book, Solving 9-11 – The Deception that Changed the World?"



Il répète en boucle les mêmes mensonges sur Mark Lane :
"Bollyn.com: The person who is the mastermind of the shell game involving the assets of the Liberty Lobby is Mark Lane, the Jewish lawyer who played a crucial role in the massacre at Jonestown, Guyana.
Mark Lane (center) was present at Jonestown during the massacre.  He is considered to have played a key role in provoking the massacre by playing on the fears of Jim Jones.  This photo with Jones (left) was taken shortly before the mass suicide/massacre.  How odd that Lane became the lawyer, and then owner of the Liberty Lobby several years later."



Et le voilà reparti avec ses accusations infondées comme quoi Mark Lane serait le proprio de AFP :
Bollyn.com: "The newspaper is run by Willis Carto and his lawyer friend Mark Lane.  According to information gleaned during a lawsuit in which Lane was suing L.T. Patterson of Criminal Politics, Mark Lane acquired the assets of the Liberty Lobby in 1994.  This indicates that AFP is nothing but an asset of the C.I.A., which runs it as a controlled opposition mouthpiece.
Mark Lane is an old Army intelligence agent from WWII in Germany.  Lane played a key role in the Jonestown massacre, which he witnessed and is said to have instigated by using fear tactics on the paranoid Rev. Jim Jones.  This is similar to what AFP does to its readers.
Lane’s relationship with AFP explains the paper’s bizarre actions I observed as I got closer to the truth about 9/11."

Il accuse Lane de travailler pour la CIA alors que c’est lui  qui a permis de prouver l’implication de la CIA dans l’assassinat de JFK! C’est à se demander pour qui Bollyn travaille ainsi en attaquant aussi farouchement un sonneur d’alerte anti-CIA?
Bollyn.com: "Who does Lane work for?
Lane must work for the C.I.A. Having worked for Army Intelligence in the mid-1940s, it stands to reason that Lane became one of the head honchos in the Jewish intelligence cabal in Army Intelligence that became the C.I.A. in 1949. This would explain Lane’s role in his writings on the Warren Report, the anti-war movement during the Vietnam War, Jonestown, and the so-called patriot movement at the Liberty Lobby."



Il accuse à tort AFP de ne pas vouloir toucher au sujet des médicaments pharmaceutiques de prescription alors que la preuve est facile à faire que The Spotlight et AFP publie depuis longtemps des articles sur le sujet!

Bollyn.com: "This explains why American Free Press was so strongly opposed to my articles about the dangerous effects of Prozac and similar drugs. When Ellen Mariani, a 9-11 widow, told me that the grieving relatives had been sent to Red Cross doctors who had prescribed Prozac – the editor at AFP cut it out of the story. My subsequent articles about serotonin-affecting drugs and school shootings were rejected out-of-hand. This was clearly a subject that the American Free Press did not want to take up."

Bollyn nie avoir été ami de Piper alors que ce dernier lui a laissé sa place à l’émission sur les ondes de RBN en 2006 pendant plusieurs semaines, durant son voyage en Iran pour la conférence sur l’Holocauste! Bollyn ment tellement que c’est à en crever de rire. Quant au méchant email, c’était de toute évidence, comme l’a souligné Piper, un cas de piratage de groupe, car plusieurs adresses courrielles ont été ainsi utilisées par quelqu’un qui tentait apparemment de saboter le moral des conférenciers et des invités juste avant une conférence sur le 9/11 à Moscou, en leur envoyant à tous un paquet d’insultes ridicules, délibérément pour semer le chaos.
Bollyn.com: "It should be noted that Piper sent me a very nasty email in December 2001 as we prepared to go to Moscow for a 9-11 conference.  I thought at the time that it couldn’t possibly be from Piper and that someone must have hacked into his mailbox, but I now realize that this is exactly how he operates.  He acts like he has a license to lie.  He has never been a friend of mine."

Texte plus ancien de Bollyn contre Lane:

“To understand the true nature and real mission of American Free Press we need to examine Mark Lane’s key role in running the Liberty Lobby. When we realize that Lane holds the key position as owner of the lobby and its assets, the strange actions of Michael Piper become understandable. This explains Piper’s bizarre attacks on me and his strange relationship with Willis A. Carto and his German-born wife, Elisabeth. Piper is working for Mark Lane, not Willis Carto.”
“Mark Lane took over the assets of the Liberty Lobby in or around 1993, when the lobby was on the verge of bankruptcy. This information came directly from L.T. Patterson, the publisher of Criminal Politics, who was sued by Lane in 1994 for some $10 million. Patterson was able to fend off Lane, a Zionist wolf in sheep’s clothing, and during the legal process learned that Lane owned the Liberty Lobby. When I asked Willis A. Carto if this was true, he swore at me on the phone and slammed down the receiver. Since my office at the lobby/newspaper was connected to Willis Carto’s (from the summer of 2000) and having seen Lane, Carto, and Piper together on many occasions, I don’t doubt for a minute that Patterson’s information is true. I have never seen anything that would contradict it. This would mean that the so-called right-wing patriotic and anti-Semitic publications of the Liberty Lobby, such as The Spotlight and American Free Press, are actually controlled-opposition outfits controlled by the Zionist Jew, Mark Lane. This explains all the bizarre behavior I observed at the paper during my six years of working with the lobby and its publications.(...)
Three years after I was fired from American Free Press where I had submitted articles for six years as an independent contractor, Piper, who is one of that paper’s key figures, is still attacking me. Why would Piper, who works for a newspaper that purports to be a publication for patriotic Americans, spend so much time attacking me and my 9-11 research? Who is paying him and ordering him to do this? To understand why Piper acts like a rabid dog requires a better understanding of what American Free Press really is — and who is behind it.”
“It should be noted that Michael Piper, who brags about his Jewish ancestors and carries a portfolio from AIPAC, the Israeli lobby in Washington, lies a great deal and does so as a representative of Mark Lane and American Free Press. This behaviour is typical of people who have the backing of an agency like the C.I.A. behind them. Piper lies and slanders with impunity because he has what we call “a license to lie.” Piper has been attacking me since December 2001 when I was invited to speak about 9-11 in Moscow. He continues his vicious attacks to this day. He is obviously being paid to do so. Why would a person like Piper be attacking me for my research on 9-11? Why did Piper work to keep me from speaking in Moscow in December 2001 and again at the American Free Press conference held in Washington two weeks after I was attacked and tortured with a TASER by a three-man undercover tactical squad at my home near Chicago?”
http://www.bollyn.com/the-liberty-lobbys-mark-lane-and-the-jonestown-massacre/






3.



À propos de Mark Lane qui a permis la victoire de Liberty Lobby dans l'affaire E. Howard Hunt

Piper Michael Collins - Final Judgment

Extrait des remerciements de Final Judgment
Aknowledgements--and Intrigue...
(...)What's more, as you'll see in Final Judgment, Liberty Lobby became embroiled in a heated libel trial after ex-CIA figure E. Howard Hunt brought a lawsuit against Liberty Lobby for publishing an article alleging the CIA intended to frame Hunt for involvement in the JFK assassination. Handling The Spotlight's successful defense, appropriately enough, was Mark Lane, dean of the Warren Commission critics. Lane put aside presumed ideological differences with Liberty Lobby and skillfully used the Hunt case to explore the JFK assassination in a legal forum—the first such opportunity since Jim Garrison's ill-fated prosecution of Clay Shaw. Thus, following the Hunt case from the "inside"—and later studying Lane's account of the affair in Plausible Denial—gave me a unique vantage point others haven't had. I thank Mark Lane—and Willis Carto, the founder of Liberty Lobby—for this opportunity. Willis Carto's encouragement and enthusiasm were most important in making this book possible. The title for Final Judgment was his suggestion and right on target. As for Mark Lane, let it be noted that had he not written one word after Rush to Judgment—the book that proved the Warren Commission Report a fraud—we would still be indebted to Mark for that alone. Although many books from others came later, Mark's singular crusade convinced the world there was much more to the story. Mark and his one-of-a-kind wife, Trish, are tremendous human beings and valued friends.(...)
p.114-118:
THE CIA PREVAILS
In his book Plausible Denial, Mark Lane summarizes the events which occurred: "Just four days after the death of President Kennedy, Lyndon Johnson signed NSAM 273 that began to reverse the policy of withdrawal from Vietnam and signified the beginning of the escalation of the conflict. The CIA had prevailed. The effort in Southeast Asia was to become a massive land-based war." 
"During March, 1964, Johnson signed NSAM 288 that repudiated Kennedy's plan to end the U.S. military participation in the war that year. In the months that followed, Johnson increased the military commitment from under 20,000 troops to approximately a quarter of a million." (311)
"Years later . . . after the deaths of more than 50,000 Americans and more than a million Vietnamese, Laotians, and Cambodians, the war finally ended with the military defeat of the United States."(312)
However, as we have seen in Chapter 6, the war in Vietnam proved a boon to the CIA's allies in Israel, allowing the Middle East state to flex its muscles in the region. And in Chapter 12 we shall see that a joint CIA-Meyer Lansky Crime Syndicate venture in the international drug racket out of Southeast Asia proved so very profitable, conducted under military cover in the midst of U.S. involvement in Vietnam.

THE CIA AND THE JFK ASSASSINATION 
It was not until the release of Plausible Denial that the extent of the CIA's involvement in the JFK assassination was fully outlined. Suspicion of the CIA's complicity was commonplace over the years, but Lane's book proved the matter once and for all. And, significantly, his book was a written summation of a libel trial in Miami some years previously in which the jury had concluded that the CIA had indeed been involved in the JFK assassination conspiracy and cover-up. 
The circumstances of how the trial came about are interesting. It was in 1978, that a Washington-based weekly newspaper, The Spotlight, published an article by former high-ranking CIA official Victor Marchetti which alleged the CIA intended to frame longtime CIA operative E. Howard Hunt for involvement in the Kennedy assassination. 
Hunt, of course, was the CIA's chief political liaison with the anti-Castro Cuban community during the period leading up to the JFK assassination and who had, subsequently, over the years, been mentioned as a suspect in the assassination conspiracy. 
(Hunt had organized, on the CIA's behalf, several anti-Castro Cuban groups, including the Revolutionary Democratic Front. Hunt's Cuban point man in the RDF, Antonio de Varona, in fact, personally received funding for the RDF from Meyer Lansky himself.) (313) 
Marchetti's article suggested that there was then so much growing suspicion that the CIA had been involved in the JFK assassination that the CIA had decided that it would sacrifice Hunt and say that Hunt was a "renegade" operative involved in the president's assassination.

HUNT A FREE-LANCE OPERATIVE? 
However, according to Marchetti, the CIA intended to say that Hunt and his co-conspirators had been operating independently—that the CIA as an institution had not been part of the conspiracy. 
Although the editors of The Spotlight felt Marchetti's article served, if anything, as an advance warning to Hunt about what his former employers had in mind, the ex-CIA man decided to sue, even though he ultimately admitted under oath that he believed The Spotlight's story seemed plausible. When the case finally went to trial in federal court in Miami, the newspaper suffered a devastating loss. The jury found in favor of Hunt and ordered The Spotlight to pay $650,000 in damages. 
Fortunately—for The Spotlight—an error in the trial judge's instructions to the jury gave the populist weekly grounds for an appeal. When the case was successfully appealed and ordered for retrial, Mark Lane—an attorney—stepped in for the defense. 
Among the big names deposed during the Hunt case were: former CIA Director Richard Helms; former CIA Director Stansfield Turner; former CIA chief for the Western Hemisphere David Phillips; and former CIA and FBI man (and Watergate celebrity) G. Gordon Liddy. The most damning evidence against Hunt came, however, when attorney Lane presented the deposition of former CIA operative Marita Lorenz. 

HUNT, STURGIS AND RUBY IN DALLAS 
Miss Lorenz testified that one day prior to the president's assassination she arrived in Dallas (traveling from a CIA "safe house" in Miami) in a twocar caravan. Accompanying Miss Lorenz on what she described as a secret mission were several CIA operatives, led by Miss Lorenz' CIA "handler," Frank Sturgis, armed with telescopic rifles. According to Miss Lorenz she had not been apprised of the purpose of the mission. Upon arrival in Dallas, according to Miss Lorenz, they met with not only E. Howard Hunt, who was functioning as the CIA operatives' paymaster, but also nightclub operator Jack Ruby who later executed the president's alleged assassin, Lee Harvey Oswald. When Hunt himself took the stand, attorney Lane, while questioning Hunt, pointed out numerous inconsistencies in Hunt's testimony. Hunt himself had told several stories, over the years, about where he had been on the day the president was assassinated. It was Miss Lorenz' testimony, however, that convinced the jury that the CIA had been involved in the Kennedy assassination. The jury found in favor of The Spotlight and dismissed Hunt's claim. Leslie Armstrong, a Miami resident who was jury forewoman in the case, issued a statement in conjunction with the release of Lane's written account of the trial: "Mr. Lane was asking us [the jury] to do something very difficult. He was asking us to believe John Kennedy had been killed by our own government. Yet when we examined the evidence closely, we were compelled to conclude that the CIA had indeed killed President Kennedy." (314) In his best-selling Plausible Denial Lane recounted this exciting trial and demonstrated other compelling evidence that he uncovered which proves that the CIA did indeed have a hand in the president's assassination But in Chapter 16 of Final Judgment we will look more closely at the activities of both E. Howard Hunt and Frank Sturgis, examining remarkable evidence which points further toward the involvement of the Mossad—alongside the CIA—in the JFK assassination conspiracy. 

THE NOVO BROTHERS 
But there are other interesting connections, in the meantime, that should be explored. Lane has described how Miss Lorenz had gone even further in her testimony, naming other CIA operatives who had been in the two-car caravan organized by Frank Sturgis in which Lorenz traveled from Miami to Dallas. According to Lane, "Before Miss Lorenz testified, I asked her, Will you tell me the names of the people who traveled with you in that two-car caravan?'
"She said that she wouldn't name names. 'That could get me killed,' she said. 'Don't ask me that question. I want you to promise me that you won't ask me that question.' However, " according to Lane, "Mr. Hunt's lawyer asked her that question and she answered it, to my surprise. She said that it was the Novo brothers." 
According to Lane, "The Novo brothers—Guillermo and Ignacio—are very interesting characters. I've done some research on them. I can assure you," said Lane, "that the first time I heard their name connected with the Kennedy assassination was when Miss Lorenz gave their names to Hunt's lawyer. She had not told me anything before that. 
"After her testimony to Hunt's lawyer, I asked Miss Lorenz, 'Why did you tell them?' She said—referring to Hunt, the CIA and his lawyers—`If they are so dumb as to ask me that question, then it is not my fault if I give them the answer. It's on their heads,’ said Miss Lorenz. `If you had asked me, it would have been a different story. However, if the CIA—through Hunt and his lawyers—asked that question, then it's on the record and it's their fault, not mine.’" 

THE HUNT-BUCKLEY CONNECTION 
"These Novo brothers that Miss Lorenz named have been involved in a series of intelligence related crimes. They were involved in the murder in Washington, D.C. in 1976 of former Chilean government official Orlando Letelier and Ronnie Moffit, a woman who was with him. A man named Michael Townley who was connected with the Chilean secret police was involved in planning the Letelier murder with the Novo brothers. When Townley was indicted, he testified against the Novos. 
"Townley was questioned by the FBI who asked Townley to show them where in New York City he had his first meeting with the Novos. Townley pointed out a building at 500 Fifth Avenue and showed the FBI the office on the 41st floor where the first meeting was held." (315)
According to Lane, research indicated that the meeting was held in the office of then-U.S. Sen. James Buckley (C-N.Y.). Now a federal judge on the U.S. District Court of Appeals for the District of Columbia, Buckley is the brother of former CIA operative and conservative fortnightly National Review founder William F. Buckley, Jr. 
(E. Howard Hunt was William F. Buckley's immediate superior in the CIA during the period that the two served together in the CIA in Mexico for nine months in the period of 1951-52.) 
According to Lane, "The testimony by Townley made reference to a William Sampol who worked in James Buckley's office. Sampol was a cousin of the Novo brothers."(316) 
Lane points out that the murder of Letelier took place during the time that George Bush was director of the CIA: "There is evidence that Bush was given information that indicated that the Chilean government was responsible for the murder of Letelier. However, Bush gave information to selected friends in the news media the story that Letelier was killed by his own supporters who wanted to make him [Letelier] a martyr. According to Lane, "It was William F. Buckley, Jr. who took that story from Bush and ran with it. The media followed Buckley's lead, but the story turned out not to be true." 
(In Chapter 20, as we shall see, it was George Bush who, in many ways, had very close connections to a number of the key players in the strange netherworld of international intelligence as it is linked to the JFK assassination.) 
As Lane points out: "The Novos were both convicted of the Letelier murder and sentenced to prison. These are the brothers that Marita Lorenz testified were in the two-car caravan of killers traveling from Miami to Dallas for the purpose of assassinating President Kennedy." (317)(...)

Chapter Sixteen
Double Cross in Dallas? What Really Happened in Dealey Plaza ?
James Jesus Angleton, E. Howard Hunt and the JFK Assassination.
The Truth About the "French Connection" It was in a little publicized libel trial conducted in Miami in 1985 that veteran Kennedy assassination investigator Mark Lane proved to the satisfaction of a jury that the CIA played a part in the assassination of John F. Kennedy. Lane's groundbreaking best seller, Plausible Denial, published in 1991, told the whole incredible story. Evidence from that trial also points toward Israel's connect ion to the assassination through the off ices of Israel's CIA ally, James Jesus Angleton. It was Angleton who assisted in the cover-up of his favorite foreign nation's central role alongside the CIA in the murder of JFK. There is also strange new evidence that there was much more happening in Dealey Plaza in Dallas than even many o f those involved in the events surrounding the JFK assassination really knew.
Mark Lane's Plausible Denial proved conclusively that the CIA had a hand in the assassination of President John F. Kennedy. As we saw in Chapter 9, Lane's book told how the Washington-based Spotlight newspaper's libel trial with ex-CIA man E. Howard Hunt brought into a Florida courtroom the first hard evidence linking the CIA to the Kennedy assassination. As noted previously, Lane agreed to serve as The Spotlight's defense attorney after Hunt won a $650,000 libel judgment against the populist weekly. It was Lane who successfully handled The Spotlight's defense after the case again went to trial after the initial libel verdict was overturned. The libel action stemmed from an article published in the pages of The Spotlight in 1978. The article was written by Victor Marchetti, an ex-CIA executive officer who had become internationally famous after he published his best-selling critique, The CIA and the Cult of Intelligence, the first book ever censored prior to publication by the CIA. After leaving the CIA, Marchetti became a journalist, specializing in matters relating to the CIA and the intelligence community in general. As such he was a recognized authority in his field and had done a number of intelligence-related articles for The Spotlight, among numerous other publications, both here in the United States and abroad. As a consequence, when Marchetti approached The Spotlight with a rather intriguing article which gave an interesting new slant on the JFK assassination furor (in the midst of the House Assassinations Committee investigation), the editors of the weekly newspaper were interested.
CIA TO FRAME HUNT?
Marchetti's article suggested that upper echelon executives of the CIA had decided to frame E. Howard Hunt for involvement in the Kennedy assassination. Not that Hunt was involved in the crime—simply that the CIA had decided to frame Hunt for the deed. This distinction is important. Over the years, several assassination buffs had claimed that the famous photographs taken in Dealey Plaza of three so-called "tramps" being led away from the scene by police officers revealed Hunt as one of those tramps. This story was picked up the tabloids and given wide play.
A CIA-MOSSAD CONCOCTION?
However, there are those who believe that the "Hunt as a tramp" story was, in fact, deliberately trumped up as part of the CIA's scheme to frame Hunt for involvement in the assassination. It was the CIA's plan to implicate Hunt that Victor Marchetti exposed in The Spotlight. The leading promoter of the theory that Hunt was one of the "tramps" in Dallas is A. J. Weberman who maintains very close ties to the Jewish Defense League. Weberman has also been closely associated with Mordechai Levi, a known agent provocateur of the Israeli Mossad's propaganda and intelligence arm, the Anti-Defamation League of B'nai B'rith, which we examine in further detail in Chapter 17.
(Levi was also active in the Jewish Defense League (JDL), created by militant Rabbi Meir Kahane. In Chapter 8 we saw that Kahane was a CIA asset and protégé of Jay Lovestone who handled CIA liaison with the Meyer Lansky-linked French Corsican and Sicilian Mafias. Lovestone's operation was directed out of James J. Angleton's Israeli desk at the CIA.)
It may very well be that the "Hunt as a tramp" story being touted by Weberman was indeed a CIA-Mossad concoction to further muddy the waters. What is interesting is that in 1975—precisely at the time when Weberman was publishing and promoting a book that named Hunt as one of the tramps—a strange letter appeared, anonymously, in the mailbox of another (and more reliable) assassination researcher, Penn Jones, Jr. The letter was written in Spanish and its envelope earned a Mexico City postmark. The letter accompanied another letter which read as follows: "
Dear Mr. Hunt, 
I would like information concerding [sic] my position. 
I am asking only for information. 
I am suggest ing that we discuss the matter fully before any steps are taken by me or anyone else.
Thank you,
Lee Harvey Oswald
Subsequent analyses suggested that the letter may or may not have been Oswald's handwriting (although he was known to misspell even his own middle name as it was misspelled in the letter. When word of the letter's existence gained circulation, the reference to a "Mr. Hunt" created immediate speculation that the Hunt in question was either Texas oilman H. L. Hunt or, more than likely, E. Howard Hunt.
In light of the then-current rumors about Hunt's alleged role in the JFK affair, coupled with his known connections to the CIA and, in particular, Mexico City, where he had been active during his CIA career, the suspicions about E. Howard Hunt were quite natural.
It is interesting, though, that the letter was sent from Mexico City, Hunt's former base of operations. Whether the letter was real or not, it is obvious that someone wanted to throw further suspicion on E. Howard Hunt—and succeeded.
That the Weberman story of "Hunt as a tramp" and the "Dear Mr. Hunt" letter appeared at the same time are particularly intriguing in light of another matter we are about to consider.
Both the "Hunt as a tramp" story and the "Dear Mr. Hunt" letter appear to be part and parcel of a CIA black propaganda operation run by the Mossad's man at the CIA, James J. Angleton.

HUNT WAS IN DALLAS
Ironically, as we shall see, the evidence suggests that E. Howard Hunt was indeed in Dallas—on, at the very least, November 21, 1963—and very much involved in strange activities in league with key players in the JFK assassination scenario.
According to Marchetti, widespread public suspicion of CIA involvement in the president's murder was forcing the CIA to play its hand and "admit" that, in fact, one of its more notorious longtime operatives, Hunt, had indeed been in Dallas on the day that Kennedy was killed.
Obviously, Hunt—with his well-known ties to the anti-Castro Cubans, often considered prime suspects in the JFK assassination—would have a difficult time explaining why he had been in Big D on that fateful day—if indeed he had been.
Interesting, Marchetti's article never said that Hunt had, in fact, been involved in the assassination conspiracy.
Marchetti's article said only that top-ranking CIA officials had decided to frame Hunt for the crime. Hunt, according to Marchetti's sources, was deemed expendable. Marchetti's article r eported that a strange in-house CIA memo—allegedly written some years previously—had somehow ended up in the hands of investigators for the House Assassinations Committee and that Hunt, as a consequence, would ultimately be forced to explain his reported presence in Dallas (as described in the memo) on November 22, 1963.
The editors of The Spotlight felt Marchetti's article served, if anything, as an advance warning to Hunt of what his former employers had in mind. The Spotlight's editors didn't, in fact, feel that the article implicated Hunt in the president's murder.
Inexplicably, however, the ex-CIA man decided to sue, even though he ultimately admitted under oath that when he first read The Spotlight's story that Marchetti's contentions seemed plausible indeed. In short, that Hunt did believe that his former colleagues would be willing to throw him to the wolves—for their own nefarious reasons.
Hunt's lawsuit against The Spotlight did go to trial. However, The Spotlight's management did not take the lawsuit seriously. They did not believe either that the article damaged Hunt's reputation or that Hunt's attorneys could prove that the newspaper had published the article maliciously.
(In fact, The Spotlight had invited Hunt to visit the newspaper's editorial offices for an interview to rebut the claims made in Marchetti's article or to even write an article rebutting Marchetti's article.)
During that trial, The Spotlight's attorney unexpectedly stipulated that the newspaper did not believe that Hunt had been in Dallas on November 22, 1963. The trial, however, resulted in a massive $650,000 libel judgment against the newspaper. The Spotlight appealed the judgment and the appeals court granted a new trial on the basis that the trial judge's instructions to the jury had been faulty .

LANE ENTERS THE CASE
It was at this point that famed JFK assassination investigator Mark Lane, an attorney, entered into the case—almost purely by chance, having been introduced to the publisher of The Spotlight by a mutual acquaintance shortly before the case was heard on appeal.
Based upon his own decades of intensive research, Lane had long been convinced that the CIA had been instrumental in orchestrating the JFK assassination, but he had never had a legal forum in which to conduct an investigation of this sort.
The new trial—which took place in 1985 (some seven years after the controversial article had first been published) gave him that opportunity. Lane launched The Spotlight's defense with a very different approach.
He contended that Hunt had indeed been in Dallas just prior to the president's murder and that he would be able to prove it. This took Hunt's lawyers by surprise, to say the least, but despite their efforts to derail Lane's new approach, they were unsuccessful.
The key witness in the second libel trial (conducted in Miami) was Marita Lorenz, a former CIA operative who had testified before the House Assassinations Committee in 1978, relating what information she had in connection with the president's assassination.
Yet, despite the inflammatory nature of what Miss Lorenz had told the committee, her testimony was discounted by the House Committee director G. Robert Blakey (about whose own connections with the CIA and the Meyer Lansky Organized Crime Syndicate we learned in Chapter 10). Miss Lorenz, a German-born beauty, had, in fact, been the one-time mistress of Cuban dictator Fidel Castro, but she had ultimately turned on the Cuban leader and had become involved in anti-Castro activities under the CIA's tutelage. Among her key contacts in the CIA during this period was the CIA's chief liaison with the anti-Castro Cuban operatives, E. Howard Hunt, as well as veteran CIA contract agent Frank Sturgis who essentially functioned as her handler. Mark Lane asked Miss Lorenz to testify in the Hunt trial in The Spotlight's defense, restating—again under oath—what she had told the House Assassinations Committee and what she had told Lane himself years previously.

HUNT & RUBY IN DALLAS
So it was that during the Hunt libel trial, Miss Lorenz testified in a deposition that just one day prior to Kennedy's assassination, she, along with Sturgis and several anti-Castro Cuban exiles, met in Dallas with not only E. Howard Hunt, but also nightclub operator Jack Ruby who later killed Lee Harvey Oswald, the president's alleged assassin. According to Miss Lorenz, Hunt was the CIA paymaster for a top-secret operation, the purpose of which she did not know. Miss Lorenz said that she had been told by Sturgis that she was to serve as a "decoy." However, feeling uneasy, Miss Lorenz left Dallas on November 22 and never participated in the operation. It was later she learned that President Kennedy had been assassinated and that, of course Jack Ruby had killed Lee Harvey Oswald, the president's alleged assassin. (589) As for Hunt himself, his contradictory stories about where he was situated both the day before the Kennedy assassination and the day of the assassination itself were suspicious. Lane took excellent advantage of Hunt's sworn statements (in deposition and during the two trials, as well as several other forums) to show those contradictions. These contradictions alone could have spelled Hunt's courtroom demise. What's more, the witnesses called in Hunt's defense by the ex-CIA man's attorneys only ended up suggesting Hunt had more to hide than he had to admit. Many of these witnesses, in fact, were an assortment of Hunt's former CIA colleagues, a number of whom were represented during their testimony in deposition by CIA-dispatched lawyers. However, it was the testimony of Marita Lorenz that convinced the jury, once and for all, that The Spotlight (and Lane himself) had a much more plausible story than Hunt. Thus, the stunning courtroom victory for The Spotlight, vanquishing Hunt's libel action. Leslie Armstrong, a Miami resident who was jury forewoman in the case, issued a statement in conjunction with the release of Lane's written account of the trial: "Mr. Lane was asking us [the jury] to do something very difficult. He was asking us to believe John Kennedy had been killed by our own government. Yet when we examined the evidence closely, we were compelled to conclude that the CIA had indeed killed President Kennedy." (590) Despite this stunning conclusion, the media remained silent. Very little about Hunt's courtroom defeat appeared in the media, particularly the sum and substance of Miss Lorenz's amazing allegations. This, of course, was real news in every sense but the media chose to ignore what had taken place in that Miami courtroom. Interestingly, however, as we shall see, there was yet another newspaper report (similar in content to that of Victor Marchetti's disputed article) which—like Marchetti's—suggests that there was a lot more to the story than meets the eye.

THE ANGLETON CONNECTION
In fact, the in-house CIA memorandum linking Hunt to the JFK assassination was the work of Israel's ally at the CIA, James Jesus Angleton, whose own history we examined in Chapter 8 and whom we have met repeatedly throughout these pages. This is not to suggest, though, that Hunt was not in Dallas on either November 21 or November 22, 1963. On the contrary, the evidence we are about to relate suggests that Hunt's presence in Dallas—for whatever purpose—was indeed linked in some fashion to the circumstances surrounding the JFK assassination conspiracy. This evidence suggests, as we shall see, that it was Angleton—who was also responsible for leaking the memo he drafted that linked Hunt to the JFK assassination. Before proceeding further with our exploration of Angleton's deeds and misdeeds, particularly in relation to Hunt, it is important to review Victor Marchetti's article (printed in The Spotlight on August 14, 1978) which is published here in pertinent part:
A few months ago, in March, there was a meeting at CIA headquarters in Langley, Va., the plush home of America's super spooks overlooking the Potomac River. It was attended by several high-level clandestine officers and some former top officials of the agency. The topic of the discussion was: What to do about recent revelations associating President Kennedy's accused assassin, Lee Harvey Oswald, with the spy game played between the U.S. and the USSR? A decision was made, and a course o f action determined. They were calculated to both fascinate and confuse the public by staging a clever 'limited hangout' when the House Special Committee on Assassinations (HSCA) holds its open hearings, beginning later this month. A "limit ed hangout" is spy jargon for a favorit e and frequently used gimmick of the clandestine professionals.
When their veil of secrecy is shredded and they can no longer rely on a phony cover story to misinform the public, they resort to admitting—sometimes even volunteering—some of the truth while still managing to withhold the key and damaging facts in the case. The public, however, is usually so intrigued by the new information that it never thinks to pursue the matter further. We will probably never find out who mast erminded the assassination of JFK—or why. There are too many powerful special interests connected with the conspiracy for the truth to come out even now, 15 years after the murder. But during the next two months, according to sensitive sources in the CIA and on HSCA, we are going to learn much more about the crime. The new disclosures will be sensat ional, but only superficially so. A f ew of the lesser villains involved in the conspiracy and it s subsequent cover-up will be identified for the first time—and allowed to twist slowly in the wind on live network TV. Most of the others to be fingered are already dead. But once again, the good folks of middle America will be hoodwinked by the government and its allies in the establishment news media. In fact, we are being set up to witness yet another cover-up, albeit a sophisticated one, designed by the CIA with the assistance of the FBI and the blessing of the Carter administration. A classic example of a limited hangout I show the CIA has handled and manipulated the Church Committee's invest igat ion [of the CIA] two years ago. The committee learned nothing more about the assassinations of foreign leaders, illicit drug programs, or the penetration of the news media than the CIA allowed it to discover. And this is precisely what the CIA is out to accomplish through HSCA with regard to JFK's murder. Chief among those to be exposed by the new investigation will be E. Howard Hunt, of Watergate fame. His luck has run out, and the CIA has decided to sacrifice him to protect its clandestine services. The agency is furious with Hunt for having dragged it publicly into the Nixon mess and for having blackmailed it after he was arrested. Besides, Hunt is vulnerable—an easy target as they say in the spy business. His reputat ion and int egrity have been destroyed. The death of his wife, Dorothy, in a mysterious plane crash in Chicago still disturbs many people, especially since there were rumors from informed sources that she was about to leave him and perhaps even turn on him. In addition it is well known that Hunt hated JFK and blamed him for the Bay of Pigs disaster. And now, in recent months, his alibi for his whereabout s on the day of the shooting has come unstuck. In the public hearings, the CIA will 'admit' that Hunt was involved in the conspiracy to kill Kennedy. The CIA may go so far as to 'admit' that there were three gunmen shooting at Kennedy. The FBI, while publicly embracing the Warren Commission's 'one man acting alone' conclusion, has always privately known that there were three gunmen. The conspiracy involved many more people than the ones who actually fired at Kennedy, both agencies may now admit . . . Now, the CIA moved to finger Hunt and tie him to the JFK assassination. HSCA unexpectedly received an internal CIA memorandum a few weeks ago that the agency just happened to stumble across in its old files. It was dated 1966 and said in essence: Some day we will have to explain Hunt's presence in Dallas on November 22, 1963—the day President Kennedy was killed. Hunt is going to be hard put to explain this memo, and other things, before the TV cameras at the HSCA hearings. Hunt's reputation as a strident fanatical anti-communist will count against him. So will his long and close relationship with the anti-Castro Cubans, as well as his penchant for clandestine dirty tricks and his various capers while one of Nixon's plumbers. E. Howard Hunt will be implicated in the conspiracy and he will not dare to speak out— the CIA will see to that. [Marchetti noted, at this juncture, that Fidel Castro's former mistress, Marita Lorenz had alleged that Hunt was part of a CIA hit squad aiming for President Kennedy.] Who else will be identified as having been part of the conspiracy and/or cover-up remains to be seen. But a disturbing pattern is already beginning to emerge. All the villains ha ve be en prev ious ly di sg ra ced in one wa y or another. They all have 'right wing' reputations. Or they will have after the hearings. The fact that some may have had connections with organized crime will prove to be only incidental in the long run. Those with provable ties to the CIA or FBI will be pres ent ed as renegade s who act ed on their own without approval or knowledge of their superiors. As for covering up the deed, that will be blamed on past Presidents, either dead or disgraced. Thus, Carter will emerge as a truth seeker, and the CIA and FBI will have neatly covered their institutional behinds. (591)

Marchetti's article is very interesting in many respects. First of all, as noted previously, Hunt himself initially admitted that he believed that the story had a basis in truth—that it was plausible, that indeed his former colleagues in the CIA did consider framing him for involvement in the JFK assassination. The origin of the memorandum linking Hunt to the JFK assassination is interesting as it is presented by Marchetti. He describes it as a memorandum that “the agency just happened to stumble across in its old files." In other words, one might presume from Marchetti's flippant reference, the CIA had, instead, perhaps concocted the memo. That the agency "just happened to stumble across" the memo at a time when public suspicion of CIA involvement in the JFK assassination was growing is, of course, interesting, to say the least. If Hunt were indeed in Dallas either on the day JFK was killed—or even the day prior—it would look suspicious. Hunt's long-standing involvement with anti-Castro Cubans through the aegis of his CIA activities—would make Hunt a likely suspect were he, in fact, proved to have been in Dallas at the critical time. As Marchetti points out, linking Hunt to the JFK assassination would be a cover story that the public would easily accept. The CIA, as an institution, would absolve itself of any responsibility, having thrown Hunt to the wolves as an independent operator out of the CIA's control. Indeed, the CIA could then lay claim to having "solved" the JFK assassination at last. Hunt's alleged involvement would also draw in a number of other false flags—not only the anti-Castro Cubans, but also "right wingers" in general. What's more, considering Hunt's involvement in Watergate (and with Richard Nixon having left the presidency in shame), Nixon himself may have taken some of the heat with many of the public suspecting the very worst—that perhaps Nixon might have had a hand in arranging the JFK assassination. Not only had Nixon been involved in the earliest high-level anti-Castro planning, alongside Hunt and the CIA, but Nixon himself had been vanquished in the 1960 presidential campaign by Kennedy. That one of Nixon's Watergate burglars was being implicated in the JFK assassination would do no service to Nixon's already tarnished image. Marchetti also pointed out that "The fact that some [of Hunt's to-bealleged co-conspirators] may have had connections with organized crime will prove to be only incidental in the long run." This "limited hangout" by the CIA would have, as a consequence, covered up the role of the Israeli-linked Meyer Lansky Organized Crime Syndicate. To delve too deeply into the real origins and linkage of the crime network would have dragged the Israeli connection into the open—if pursued to its logical conclusion. Now, obviously, the scenario presented in Marchetti's article—the framing of Hunt by the CIA—never, in fact, took place. That it had a basis in truth—that Hunt was being pondered as a "fall guy"—however, seems apparent.

 This is supported by the fact that a similar article, based on relatively the same fact situation, appeared during the same period in another newspaper. While the claims made in the second article are somewhat different than those which appeared in Marchetti's article, it is clear that the similarities, in general, are what are most significant. The article appeared in the Wilmington, Delaware Sunday News Journal on August 20, 1978. The authors were Joe Trento and Jacquie Powers. The article reads [in pertinent part] as follows:
 WASHINGTON—A secret CIA memorandum says that E. Howard Hunt was in Dallas the day President John F. Kennedy was murdered and that top agency officials plotted to cover up Hunt's presence there. 
Some CIA sources speculate that Hunt thought he was assigned by higher-ups to arrange the murder of Lee Harvey Oswald. 
Sources say Hunt, convicted in the Watergate conspiracy in 1974, was act ing chief of the CIA stat ion in Mexico City in the weeks prior to the Kennedy assassination. Oswald was in Mexico City, and met with two Soviet KGB agents at the Russian Embassy there immediately before leaving for Dallas, according to the official Warren Commission report. 
The 1966 secret memo, now in the hands of the House assassinat ion committee, places Hunt in Dallas Nov. 22, 1963. 
Richard M. Helms, former CIA director, and James J. Angleton, former count erintelligence chief , init ialed the memo according to investigators who made the information available to the Sunday News Journal. 
According to sources close to the Select Committee on Assassinations, the document reveals:  *Three years after Kennedy's murder, and shortly after Helms and Angleton were elevated to their highest positions in the CIA, they discussed the fact that Hunt was in Dallas on the day of the assassination and that his presence there had to be kept secret. 
* Helms and Angleton thought that news of Hunt's presence in Dallas would be damaging to the agency should it leak out.  
*Helms and Angleton felt that a cover story, giving Hunt an alibi for being elsewhere the day of the assassination "ought to be considered." . . .
. . . Helms could not be reached for comment. A secretary said that he was out of town and would not be available. When Angleton was questioned by committee staffers, he was "evasive," according to a source who was present. Angleton could not be reached for comment. Asked to explain why a potentially damaging cover-up plot would be put out on paper, one high-level CIA source said, "The memo is very odd. It was almost as if Angleton was informing Helms , who had just be come director , that there was a skeleton in the family closet that had to be taken care of and this was his response." One committee source says the memo "shows the CIA involvement in the Kennedy case could run into the CIA hierarchy. We are trying not to get ahead of ourselves but the mind boggles." . . . . . . Hunt's appearance on the scene in Dallas and Mexico City at the time of the murder adds strength to a theory shared by some int ernal CIA investigators. They believe Oswa ld was working for U.S. intelligence, tha the wa s ordered to infiltrate the KGB, and that this explains his life in Russ ia. They al so believe that Oswald proved to be so unstable that he was "handled" by the KGB into becoming a triple agent, and assigned for the Dallas job. The same invest igators theorize that Hunt was in Dallas that day on the orders of a high-level CIA official who in reality was a KGB mole. Hunt allegedly thought he was to arrange that Oswald be murdered because he had turned traitor. Actually he was to kill Oswald to prevent him from ever testifying and revealing the Russians had ordered him to kill Kennedy, the CIA sources speculate. CIA investigators are most concerned that either Helms or Angleton might be that mole. Hunt first detailed the existence of a small CIA assassination team in an interview with the New York Times while in prison in December 1975 for his role in Watergate. The assassination squad, allegedly headed by Col. Boris Pash, was ordered to eliminate suspected double agent s and lowranking officials. Pash's assassination unit was assigned to Angleton, other CIA sources say . . . It was also learned from CIA and committee sources that during the time that the Warren Commission was investigating the Kennedy assassination, Angleton met regularly with a member of the commission—the late Allen Dulles, then head of the CIA and Angleton's boss. Dulles, on a weekly basis, briefed Angleton about the direction of the investigation. Angleton, according to sources, in turn briefed Raymond Rocca, his closest aide and the CIA’s official liaison with the commission. (592)

This article is interesting in many ways. First of all, one of the coauthors, Joseph Trento, admitted under oath during the E. Howard Hunt-Spotlight libel trial that he had actually seen the controversial memo in question. Trento also noted that he knew James Jesus Angleton of the CIA and had utilized him as a source on occasion. In fact, we know, as a consequence of the Hunt libel case against The Spotlight that intelligence writer, William R. Corson—a longtime Angleton asset in the media—was actually the immediate source of both the Marchetti and Trento stories. Corson was obviously working as Angleton's "cutout" passing on the information that appeared in the two stories.
(And it's probably no accident that one of Corson's associates, in later years before Corson died, engaged in a longtime and determined covert effort to undermine the distribution of Final Judgment and to personally destroy this writer, but to also undermine Mark Lane, whose courtroom victory over Hunt [and effectively over Angleton and Corson] left the intelligence community reeling. But that's another story for another time—but significant still indeed.)
That Angleton was the author of the memo addressed to his CIA superior (and longtime patron) Richard Helms is also of interest, considering Angleton's close working relationship with Israel's Mossad (documented in Chapter 8).
While the Trento story claims that the CIA memo was ostensibly drafted in 1966, the actual date the memo first appeared is subject, of course, to question, as is the actual intent of the memo itself. The article itself notes that a "high-level CIA source" considered the memo to be "very odd" in that it recorded—in writing—the alleged presence in Dallas of longtime CIA operative, Hunt, at the time of JFK's murder. The evidence suggests that the reason why Angleton's memo was put on paper—and then subsequently released—was that Angleton wanted the story to be leaked to the press—as part of a continuing cover-up of the real origins of the JFK assassination. Hunt—a lower level CIA operative (already tarnished by Watergate)—was being hung out to dry and the real conspirators at the top were washing their hands of the matter.

WAS THE MEMO LEAKED DELIBERATELY?
Did Angleton and Helms really worry, as the article suggests, that the agency would be damaged by the revelations, or did they, instead, arrange for the memo to be leaked so that there would be, as Victor Marchetti's aforementioned article suggested, a "limited hangout" which would absolve the CIA as an institution of any involvement in the crime? Joe Trento has subsequently revealed that Angleton did in fact leak the memo to the House Assassinations Committee. However, according to Trento, ''It was all handled in such a way that Angleton was not the source.”(593)
 That the Trento article suggests that Hunt was in fact in Dallas and that he was there on an assignment involving Lee Harvey Oswald is significant as well.

WAS HUNT ORDERED TO DALLAS?
Could it be that Hunt had somehow been manipulated into involvement in the JFK assassination conspiracy, not knowing that there were bigger and more insidious things going on in the strange world of Lee Harvey Oswald? Was Hunt indeed sent to Dallas on a CIA-sponsored pretext, orchestrated by one of his superiors—namely James Jesus Angleton—only to discover, after the fact, that the assassination of John F. Kennedy was in the works? According to Trento, Angleton told him that Hunt had been sent to Dallas by a high-level Soviet KGB mole working in the CIA. However, says Trento, "I later came to conclude that the mole-sent-Hunt idea was, to use his phrase, disinformation; that Angleton was trying to protect his own connections to Hunt's being in Dallas . . . My guess is, it was Angleton himself who sent Hunt to Dallas, because he didn't want to use anybody from his own shop."594 All of this is interesting, to say the least, and pinpoints Angleton as a key player in the events linking the CIA and Hunt to Dallas. Yet, as we shall see, there is much more to the story of the role played by the CIA's Mossad ally James J. Angleton in the JFK assassination and cover-up. In fact, Angleton had a hand in the very part of the assassination conspiracy that involved the frame-up of Lee Harvey Oswald as a "pro- Castro agitator" guilty of associating with the Soviet KGB.

THE CIA & THE MEXICO CITY SCENARIO
 The Trento article accepts, as its basis, the story that Lee Harvey Oswald had been in Mexico City meeting with the Soviets and the Castro Cubans. However, as Mark Lane demonstrated in Plausible Denial, the story that Oswald had been in Mexico City meeting with the communists was an outright fraud—a concoction of the CIA itself. Lane summarized the situation: "At the outset it should be understood that almost all of the information regarding Oswald's alleged visit to Mexico and his contact with the Soviets and Cubans while there had been fabricated by the Central Intelligence Agency. In its report, the [Warren] commission cited the CIA as the primary source for the Mexico City scenario, declining to seek independent corroboration for the CIA's version of events. "Nevertheless, the Mexico City scenario constitutes the conventional wisdom as promulgated by the CIA and accepted by the Warren Commission. It remains an article of faith for those who subsequently endorsed theWarren Report, including journalists and official investigating committees. One of the central tenets of the lone assassin theory is Lee Harvey Oswald's presence in Mexico City. "Soon after the commission was created, the CIA informed Earl Warren that Oswald had been in Mexico from September 26 to October 3, 1963 and that he had spent most of that time in Mexico City. "According to the CIA, Oswald had visited the Cuban Embassy in Mexico City on September 27 and the Soviet Embassy on October 1. Proof that Oswald had been in the Cuban Embassy, the CIA reported, came from Senora Silvia Duran, a Mexican employed at the Cuban Embassy. Proof that Oswald had been to the Soviet Embassy, the CIA claimed, came from the observations of its own agents."(595)

OSWALD AND THE KGB?
The CIA told the Warren Commission that Oswald had met with a Soviet KGB officer named Valeriy Kostikov who was a specialist in assassination and sabotage; that Kostikov was in charge of Sovietorchestrated assassinations in the United States. Clearly, the CIA's implication was that Oswald had been meeting with the KGB officer to plan JFK's murder. However, even the Warren Commission was suspicious and asked for evidence of Oswald's activities in Mexico City. Some four months went by before the CIA could provide anything other than the testimony of the aforementioned Miss Duran. Yet, as the evidence shows, Miss Duran only identified Oswald as a visitor to the Cuban Embassy after she had been arrested by the Mexican police at the direction (unknown to her) of the CIA. She was forced into making the statement that the CIA wanted: that Oswald had been to the Cuban Embassy. After she was released from custody, she spoke out about her experience and the CIA cabled the Mexican police to re-arrest the young lady, but cautioned the police to make sure that Miss Duran knew nothing about the CIA's involvement in her imbroglio. Finally, under pressure to provide further corroboration of Oswald's activities, the CIA managed to come up with recordings of a telephone conversation between someone alleged to be Lee Harvey Oswald and someone at the Soviet Embassy. However, even the FBI, having reviewed the recording, concluded that its agents were of the opinion, that it "was NOT Lee Harvey Oswald."596 Despite this provocative conclusion, the FBI report never reached the Warren Commission. Warren and company had only to rely upon the reports from the CIA. (The FBI report only became public some years later when Mark Lane obtained it through the Freedom of Information Act.) In 1977 David Atlee Phillips, former head of the Western Hemisphere for the CIA, admitted publicly that Oswald had not been to the Soviet Embassy in Mexico City.
Phillips, if anybody, should have known inasmuch as he had been CIA station chief in Mexico City at the time of Oswald's alleged visit. (There have been allegations also, incidentally, that Oswald may have been spotted in Dallas with a CIA operative known as "Maurice Bishop" whom many believe, in fact, was Phillips.) In a rather fierce debate with Mark Lane at the University of Southern California, a somewhat distressed Phillips confessed: "I am not in a position today to talk to you about the inner workings of the CIA station in Mexico City . . . but I will tell you this, that when the record comes out, we will find that there . . . is no evidence to show that Lee Harvey Oswald visited the Soviet Embassy."(597)

WARREN 'HELD HOSTAGE'
According to Mark Lane: The magnitude of this CIA misconduct can be fully understood only when its conspiracy to cover up is traced to its origin. For the CIA charade, which evidently included employing an imposter for Oswald, began no later than October 1, 1963. "One month and twenty-two days before President Kennedy was assassinated, the CIA had set into motion a series of events apparently designed to prevent any American institution from ever daring to learn the truth about the assassination, an assassination that had not yet taken place. "More than seven weeks before President Kennedy was murdered, the CIA was dramatically and falsely establishing a link between Lee Harvey Oswald and a Soviet diplomat, whom the CIA would later designate as the KGB authority on assassinations in the United States." 598 As a consequence, the Warren Commission, confronted by the CIA with what appeared to be possible Soviet involvement in the Kennedy assassination, moved to suppress what it mistakenly believed to be "the truth." The fate of the world was in the hands of Chief Justice Earl Warren and his fellow commission members. If the public learned that Oswald was a pawn of the Soviets, a nuclear war could break out. As Mark Lane commented, Warren was "held hostage"599 by the CIA's provocative lie. During his debate with David Atlee Phillips, Mark Lane exposed all of this before the audience. When confronted and following his confession that Oswald had not been at the Soviet Embassy, Phillips suggested essentially that he didn't want either the CIA or himself to be held responsible for "some CIA guy that I never saw [who] did something that I never heard of.” 600 Now while Phillips was being disingenuous at best, the fact is that it was indeed someone whom he certainly knew who was behind the Mexico City scenario. It was none other than his CIA colleague, James J. Angleton.
(...)

http://www.amfirstbooks.com/IntroPages/Book_Preview_Pages/piper-michael_collins/Final_Judgment/FJ-14-PhotoSection.04.html

MARK LANE
Obviously, Rush to Judgment, by Mark Lane, was the first major book to expose the Warren Report's claim that Lee Harvey Oswald was a lone assassin for the outrageous fraud that it was. And although the book is now nearly 30 years old, it still remains the single book that anyone must read if they wish to understand why people began to doubt the Warren Report. This book sparked the explosion of research into the JFK assassination that led, in the end, to my own writing of Final Judgment. It was, after all, Rush to Judgment, that led Jim Garrison into his monumental investigation that I believe that came as close to anything in revealing the truth about the JFK assassination. Mark Lane also wrote a book called A Citizen's Dissent that appeared in 1975—several years after Rush to Judgment—but unfortunately this volume is not one that many people are familiar with. I've told Mark myself that I think this book is even better than Rush to Judgment, for several reasons. First of all, because it came out later and incorporates many of Mark's new findings in the wake of Rush to Judgment. Secondly, and more importantly, it's highly significant in that in this second book Mark delves into the aspect of how the media treated his inquiries into the JFK assassination and how the FBI and the CIA and the rest of the Establishment responded. Although the book is hard to find, I would suggest that anyone who wants a startling perspective on how the government responded to what Mark called "a citizen's dissent" read this volume. Mark Lane's final volume on the JFK assassination, Plausible Denial, which I've already discussed at length in these pages, represents in many ways Mark's own unique long-term perspective and sets the stage, I believe, for Final Judgment. In many ways, Final Judgment is perhaps a sequel to Plausible Denial—or so it has been suggested.(...)

How did you first come up with the theory that the Israeli intelligence service, the Mossad, had a hand in the assassination of President Kennedy? That's a highly controversial allegation considering all of the other theories that have been presented. How did you come about researching and writing this book?
(...) At any rate, it was essentially, however, around the time of 1992 that my interest in the assassination was beginning to develop more extensively, largely because of the fact that The Spotlight, the newspaper by which I had been employed for a decade, had been involved in the E. Howard Hunt libel trial. In 1991 Mark Lane's book, Plausible Denial, had been released and that was the book that outlined the circumstances of the Hunt libel case involving The Spotlight and this was also the time that Oliver Stone's film, JFK, was in the process of being made and released. Consequently there was a newly revived and reinvigorated interest in the JFK assassination.
As I read Mark Lane's book, which focuses on the CIA's role in the assassination of President Kennedy, it became clear to me that one of the primary high-level CIA players behind the scenes in manipulating events which made it appear that the president's alleged assassin, Lee Harvey Oswald, was perhaps some sort of "pro-Castro agitator" with ties to the Soviets, was James Jesus Angleton, the CIA's director of counterintelligence.
Angleton was not only the number three man in the CIA and one of its veterans, but he was, more importantly, in our context, very close to the Israeli Mossad as a consequence of his role as the very jealous guardian of the CIA's Mossad desk. This is information that has long been in the public domain. Angleton's ties to the Mossad were no real surprise.
However, the very fact that Angleton was the central player in the CIA's relationship to the circumstances surrounding the JFK assassination was interesting to me, inasmuch as over the years although there has been a lot of research and inquiry into what one might call "who's who in the JFK assassination?" and the conspiracy and cover-up, Angleton's prominent role had never been given the scrutiny it certainly deserved. He is mentioned in some (but not all) of the books on the subject, but generally only in passing. In fact, Angleton is only looked upon as some sort of "right wing anticommunist" who was involved in the CIA.
Parenthetically, I might note that a lot of the JFK assassination researchers who have looked into the CIA's intrigue in relation to the assassination seem to have this desire to deny any institutional involvement by the CIA and present those conspirators from the CIA or who were linked to the CIA and who were involved in the assassination, as somehow being "rogue elements."
However, as Lane showed in Plausible Denial and as I think I firmly amplified upon in Final Judgment, these CIA figures were working institutionally. They weren't "rogue elements" but were working on behalf of the CIA itself, in collaboration with the Israeli Mossad and elements of organized crime, to both of which they had long been intimately tied. In any case, Plausible Denial cemented in my own mind the fact that the CIA player—in this instance, Angleton—who was involved in the assassination conspiracy was, in fact, the Mossad's key man at the CIA.(...)
To the best of my knowledge the one and only author (other than myself, of course) to say that the CIA had an institutional role in the affair was Mark Lane, writing in Plausible Denial. So, for whatever reason or reasons, there have been many "researchers" who have been unwilling or unable to acknowledge the depths of detail that have been unearthed in Plausible Denial that pinpoint institutional CIA involvement in the president's murder.(...)
As an aside, I have to say that after Mark Lane came out with Rush to Judgment, most of the books on the JFK assassination (with a few notable exceptions) have essentially rehashed the initial material that Mark uncovered. He laid the groundwork for and publicized and popularized the national and international body of opinion that there was another story that needed to be told: that the Warren Commission Report was a fraud and that Lee Harvey Oswald was not "one lone nut," by any means.
Suffice it to say that Rush to Judgment laid the groundwork for all future efforts. However, if future "researchers" had investigated further, a book similar to Final Judgment might have been written a year or two after Rush to Judgment came forth. As it stands, that wasn't the case and the whole controversial project had to land in my lap.(...)

What did Mark Lane have to say about Final Judgment
I did not indicate to Mark during the writing of Final Judgment that I was writing the book. As I've pointed out, I actually told very few people that I was writing the book. I didn't want Mark—or anybody else—to judge the book prior to its completion based on a sketchy overview. I wanted Mark (and others) to read the book in its entirety. I presented the completed first draft to him and said, "Well, let me know what you think."
Mark's response was heartening. He said that the book did make a "strong case" for Mossad involvement and he did not believe that the book conflicted in any way with his own book, Plausible Denial, which pinpointed the CIA's role in the assassination of President Kennedy.
Whether the actual idea for the assassination first originated at the CIA or at the Mossad, the fact remains that those at the CIA who were the prime CIA players in the assassination conspiracy were intimately tied to the Mossad and were operating in its spheres of influence, even including in the so-called "French Connection." So in the JFK assassination the CIA and the Mossad were essentially two sides of one coin.
As far as Mark Lane's opinion of Final Judgment is concerned, it was suggested to me prior to publication that I ask him to write an introduction to the book. I rejected this suggestion out of hand. Not that it wouldn't have been an honor and a privilege to have Mark write the introduction. However, the fact is that Mark has stirred up a hornet's nest with his own books on the JFK assassination and on other subjects for that matter.
Mark had not researched the Mossad aspect as I had, so I didn't feel it would be appropriate to expect him to put his name in defense or endorsement of a thesis—quite a revolutionary one, I suppose—that he himself had not originated. Additionally, because of the very fact that Final Judgment tied Israel to the JFK assassination I did not think it would be appropriate for Mark to have his name appended to an introduction to the book, precisely because of the fact that Mark himself had become involved in the Middle East controversy and had been a critic of Israel.
I recognized that the thesis of Final Judgment was inflammatory on its own and I didn't want to put Mark in the position of having to defend my work. He's been busy enough as it is fighting off the efforts of the CIA and the FBI and the media to ignore or suppress or distort his own efforts.
Doesn't Final Judgment conflict with Mark Lane's book, Plausible Denial, which contends the CIA was responsible for the JFK assassination?
There is no conflict whatsoever. Plausible Denial is first and foremost an account of Mark Lane's defense of The Spotlight newspaper against E. Howard Hunt's libel suit. Final Judgment, in my view, amplifies many of the findings in Plausible Denial and further confirms the conclusions of Plausible Denial and adds further details that prove that the CIA was indeed involved in the assassination. The greatest strength of Mark's book, I believe, is that it demolishes the myth that there were "rogue elements" of the CIA involved in the president's murder. These were not "rogue elements." The assassination was an act that involved the CIA at its highest levels—and specifically James Angleton, the Mossad's ally at the CIA.
Someone once described Final Judgment as a "sequel" to Plausible Denial and I would like to think that this is an accurate description. But you can't make a serious study of the JFK assassination without having read Plausible Denial.




Piper Michael Collins - False Flags: Template for Terror




Author : Piper Michael Collins Title : False flags Template for terror Year : 2013 Link download : Piper_Michael_Collins_-_False_flags.zip An analytical critique of the covert model utilized by the conspirators who orchestred 9-11, the Oklahoma bombing, the JFK assassination, Sandy Hook and Boston.
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The "how" and "why" as never explained before... Michael Collins Piper's controversial writing have been translated into multiple languages and distributed all over the world. False Flags may well be his most extraordinary work yet - a final judgment on the reality of modern terrorism... ...
Extraits du livre impliquant Mark Lane:
||p.68-70:
It was not until the release in 1991 of Mark Lane’s best-selling book, Plausible Denial, that the extent of the CIA's involvement in the JFK assassination was fully outlined. Suspicion of the CIA's complicity had been growing over the years,but, in the minds of most observers, Lane's book proved the matter once and for all.
While primarily a written summation of a libel trial in Miami in 1985 in which the jury had concluded that the CIA had indeed been involved in the JFK assassination conspiracy and cover-up, Lane’s book was also a wide-ranging reflection by Lane on his own singular role as one of the earliest and most effective critics of the Warren Commission.
The circumstances of how the trial came about are interesting. It was on August 14, 1978, that the Washington-based weekly newspaper, The Spotlight, published an article by former high-ranking CIA official Victor Marchetti, then best-known as the author of the controversial 1973 best-seller, The CIA and the Cult of Intelligence, which was the first book ever censored prior to publication by the CIA.
In essence, Marchetti’s article for The Spotlight alleged the CIA intended to frame or otherwise implicate E.Howard Hunt with involvement in the Kennedy assassination.
The article suggested there was then so much growing suspicion the CIA had been involved in the JFK assassination that the CIA had decided to sacrifice Hunt and say that Hunt was a "renegade" operative involved in the president's assassination, that the CIA as an institution had not been part of the conspiracy.
The article, of course, came in the contentious years following the Watergate scandal in which Hunt had been a major player, and in the wake of the highly-publicized Senate hearings of 1975 in which the CIA came under focus for its involvement in a variety of misdeeds, ranging from foreign assassination plots to bizarre mind control experiments to illegal activities on American soil.
And while subsequent media commentary suggested The Spotlight article was based on the theory that Hunt was one of the famous “tramps” (discussed earlier) that was never, in any way, a foundation of the article by Marchetti.
Although the editors of The Spotlight felt Marchetti's article served, if anything, as an advance warning to Hunt about what his former employers had in mind, the ex-CIA man decided to sue The Spotlight, even though Hunt himself initially admitted under oath in the earliest stages of his libel suit that he believed that Marchetti’s story had a basis in truth—that it was plausible, that his former colleagues in the CIA did indeed consider framing him for involvement in the JFK assassination.
Now what is particularly interesting, in light of Hunt’s lawsuit against The Spotlight, is that Hunt did not bring suit against another newspaper, the Wilmington, Delaware-based Sunday News Journal that, on August 20, 1978, had published an article remarkably similar in most respects to the article that had just been published in The Spotlight.* We’ll come back to that second article shortly.
*note on The Spotlight (p. 70): Because The Spotlight was “controversial”—often accused of “anti-Semitism,” and attacked for its stand against the influence of the Israeli lobby—the populist newspaper, quite naturally,was viewed by Hunt and his attorneys as an easy target and this is basic explanation as to why that newspaper was targeted whereas the Wilmington Sunday News Journal was not.
But there was also another factor at work. At the very time Hunt moved against The Spotlight, Hunt’s longtime close friend, William F. Buckley, Jr.— owner/editor of the conservative journal, National Review—was himself engaged in a contentious, long-standing war of words with the publisher of The Spotlight going back nearly a decade. It was subsequently revealed that Buckley—who had served under Hunt in the CIA in Mexico in the 1950s and who was the godfather of one of Hunt’s children—had actually provided Hunt the financial resources to pursue his libel suit against The Spotlight.
Buckley himself ultimately brought his own libel suit against The Spotlight and in 1985—not long after the Hunt case came to a close—Buckley and his attorneys were dealt a devastating courtroom defeat by no less than Mark Lane, the attorney and JFK assassination investigator who had spearheaded The Spotlight’s defense against Hunt.
But for the present, we’ll take a look at Marchetti’s article, which was most intriguing, by any estimation.
The origin of the memorandum linking Hunt to the JFK assassination, as outlined by Marchetti, is especially interesting.He described the memorandum as one that “the agency just happened to stumble across in its old files."
In other words, one might presume from Marchetti's flippant reference, the CIA had, instead, perhaps concocted the memo.
That the agency "just happened to stumble across" the memo at a time when suspicion of CIA involvement in the assassination was growing is, of course, interesting, to say the least.
Had Hunt been in Dallas the day JFK was killed, it would look suspicious. His intimate involvement with the anti-Castro Cubans would have made Hunt “a likely suspect,” and as Marchetti pointed out, linking the controversial Hunt to the assassination would be a cover story the public would easily accept.
The CIA, as an institution,would absolve itself of any responsibility, having thrown Hunt to the wolves, calling him as a“rogue” operator out of the CIA's control. The CIA could lay claim to having "solved" the JFK assassination at last. An additional benefit: Hunt's alleged involvement would also draw in a number of other false flags—not only the anti-Castro Cubans, but also "right wing” critics of JFK in general.(…)

*note on Robert Corson (p. 73): It’s probably no accident that one of Corson's associates, in later years before Corson died, engaged in a longtime and determined covert effort to undermine the distribution of Final Judgment and to personally destroy this writer, Michael Collins Piper, and to also undermine Mark Lane,whose courtroom victory over Hunt [and effectively over Angleton and Corson] left the intelligence community reeling. The Corson-connected “black operation” against Lane and Piper involved distribution of disinformation documents (ostensibly from CIA files) purporting to “admit”CIA and Israeli involvement in the JFK affair.The phony documents were released with the expectation that they would be easily discredited, as indeed they were. Now the CIA and the Israelis proclaim: “The theory of CIA and/or Israel collaborated in the JFK assassination was based on fraudulent documents, so the work of both Lane and Piper is therefore discredited.” However,what the critics do not mention is this: neither Lane nor Piper relied on those obviously forged documents.  But that's another story for another time—but significant still indeed.
(…)
||p.74 :
In any case, when the Hunt libel case against The Spotlight finally went to trial in federal court in Miami in 1981, the newspaper suffered a devastating loss. The jury found in favor of Hunt and ordered The Spotlight to pay $650,000 in damages. Fortunately, however, for The Spotlight an error in the trial judge's instructions to the jury gave the populist weekly grounds for an appeal.
When the case was successfully appealed in 1983 and ordered for retrial, attorney Mark Lane stepped in for the defense and the case finally once again went to trial in federal court in Miami on January 28,1985.
Among the big names deposed by Lane during the Hunt case were: former CIA Director Richard Helms; former CIA Director Stansfield Turner; former CIA chief for theWestern Hemisphere David Phillips; and former CIA and FBI man (andWatergate celebrity) G.Gordon Liddy.
This time, rather than pointing out that its article had only accused the CIA with attempting to frame Hunt for involvement in the assassination, The Spotlight went on the offensive and charged—flat out—that Hunt and the CIA had actually been involved in the assassination, a tactical move that put Hunt (and the CIA) on the defensive. Mark Lane—a skilled trial attorney who pulled no punches—adopted a combative “take-no-prisoners” approach and effectively put the CIA itself on trial.
In the end, the most damning evidence against Hunt and the CIA came during the second trial when Lane presented the deposition of former CIA operative Marita Lorenz, a German-born beauty who had been Castro’s mistress but who, upon breaking with Castro, was lured by Hunt’s associate—American mercenary Frank Sturgis—into the web of the CIA’s anti-Castro operations.
Miss Lorenz testified that one day prior to the president's assassination she arrived in Dallas (traveling from a CIA "safe house" in Miami) in a two-car caravan on what she described as a secret mission, the purpose of which she had not been apprised. Accompanying her were several anti-Castro Cuban exiles and her CIA "handler," the aforementioned Sturgis.The group was armed with telescopic rifles.(…)
||p.75 :
When Hunt took the stand,Mark Lane pointed out numerous inconsistencies in Hunt's testimony regarding his whereabouts on the day of the JFK assassination.Over the years, Hunt had told several stories about where he had been on the day the president was assassinated.
In this trial, however, Hunt insisted he was in theWashington, D.C. area—at home in the suburbs or at the office or downtown shopping at one or more points during the day—on November 22.
Hunt's answers, while under sharp cross-examination by Lane, were inconclusive at best and left Hunt looking as though he had something to hide relating to where he happened to be that day.(…)
||p.76 :
Although media accounts at the time desperately tried to dismiss the idea that the jury had rejected any thought of CIA involvement in the assassination, Leslie Armstrong, jury forewoman in the case, later issued a statement that settled the matter once and for all. She said:
Mr. Lane was asking us [the jury] to do something very difficult. He was asking us to believe John Kennedy had been killed by our own government. Yet when we examined the evidence closely, we were compelled to conclude that the CIA had indeed killed President Kennedy.

||p.96 :
it is my contention here—and always has been, as carefully delineated in Final Judgment— that if there was anybody on the face of the planet who did have inside information (or at least an inkling thereof) about the details surrounding the events in Dealey Plaza, it was E. Howard Hunt.
That conclusion was based on: (a) what Mark Lane had uncovered in his defense of The Spotlight in the Hunt libel trial; (b) what Lane had written about that case in his book, Plausible Denial; and (c) my own subsequent research, including that founded on the revelations of Gary Wean and other data that seemed to provide a foundation for what Wean had alleged.(…)
||p.97 :
Now, today,many years later I can reveal that I made that assertion regarding a possible impending “confession” by Hunt based upon some very real inside information revealed personally to me by Mark Lane.
During the late 1990s—probably around 1999-2000—I learned from Mark Lane (quite confidentially at the time) that Canadian journalist David Giammarco was engaged in a lengthy series of interviews with E. Howard Hunt.
During that time, Giammarco—who was very much interested in Hunt’s possible role in the JFK assassination—was quietly and regularly consulting via telephone with Lane, asking Lane for possible questions to address to Hunt.
Ultimately, it seems, Hunt finally figured out what Giammarco’s real interest was and Hunt said to the journalist (as related by Giammarco to Lane) in words to this effect: “Look, I know what you’re really interested in. If you want to know what really went down with the JFK assassination and what I know about it, I’ll tell you. But I’ll need $14 million dollars before I’ll do it.”*
*note on St. John Hunt’s book (p.97) : In his book Bonds of Secrecy, St. John Hunt reported that his father, while working as a consultant to Oliver Stone on his film, Nixon, had been grilled by Stone as to his (Hunt’s) knowledge about the JFK assassination. At that time, the younger Hunt reports, his father told Stone that he would tell him what he knew for the sum of $5,000,000—a substantially lower figure than the $14 million Giammarco described to Mark Lane.
||p.114 :
The basic research by independent critics of the Warren Commission cover-up—led by Mark Lane’s pioneering work, Rush to Judgment—established early on that Oswald was indeed the “patsy”—a classic “false flag.”
||p.115 :
In addition, of course, coming from the very highest level of the CIA—specifically, James Angleton’s desk at that agency—there was also orchestrated a scenario suggesting that Oswald had met in Mexico City with the Soviet KGB. Mark Lane’s Plausible Denial provides the best over-all summary assessment of how that specific conspiracy against Oswald was enacted.
||p.147-148 Mark Lane sauve le Spotlight d’une fause accusation d’implication dans OKC :
On April 20, 1995—the day after the OKC bombing—The Spotlight’s mail room opened an envelope postmarked “Oklahoma City.”
The envelope had been mailed to The Spotlight on April 17—two days before the bombing. It was hand-addressed in script, but we now know that the writing is very clearly not McVeigh’s.
Inside the envelope was a postcard featuring a Depression-era photograph depicting a dust storm over Oklahoma.This famous picture is ominously entitled “Black Sunday” (which, incidentally, was also the name of a Hollywood film about terrorism).The postcard also bears the printed legend,“Dust Storm Approaching at 60 mi. per hr. April 14,‘35.”
Also enclosed alongside the postcard was a photocopy of a twelve year-old article from The Spotlight about the government murder of IRS and Federal Reserve critic Gordon Kahl.There was no name or return address anywhere on the envelope or on any of the contents.
When the staff of The Spotlight saw this postcard (just one day after the bombing) they knew something was up and called in The Spotlight’s attorney, Mark Lane, who immediately turned the original card and envelope over to Attorney General Janet Reno and the FBI.
Although this strange postcard strongly points to foreknowledge (by somebody) about the impending bombing, the FBI subsequently told Lane that they had “lost” the postcard! Fortunately, however, The Spotlight had made a copy.(…)
Are we to conclude it was simply a bizarre coincidence that such an ominous postcard was mailed from Oklahoma City just two days before the bombing?
Or, in the alternative, is it possible that McVeigh himself had no knowledge that this postcard was being mailed to The Spotlight and had no part in so doing—that a third party orchestrated the mailing as part of some covert plot to implicate The Spotlight in the bombing? (And this, of course, seems likely.)
Had The Spotlight thrown the postcard away or if our attorney had not turned the material over to the FBI, there’s no doubt what would have happened: The FBI would have been told about the postcard from a “source” and FBI agents would have stormed The Spotlight’s offices, accusing the staff of “obstructing justice” by destroying evidence, etc.
There’s no question that somebody other than Timothy McVeigh addressed this suspicious envelope and mailed the material within to The Spotlight—two days before the bombing. That person had advance knowledge of the impending bombing and, by enclosing The Spotlight article, was implicitly linking the death of Gordon Kahl (and The Spotlight’s account of his tragic story) to the bombing.
The mystery surrounding this postcard demonstrates, beyond any question, that there’s much more to the Oklahoma City bombing than either McVeigh or the FBI is willing to admit. (…)
||p. 173 :
[John] Judge is not particularly reliable either. In the early 1990s he asserted that Mark Lane—the longtime critic of the CIA who was among the first to point the finger directly at the CIA in the assassination of President Kennedy—had always avoided mentioning CIA involvement in the assassination, despite the easily-documentable fact that as far back as August 7, 1970 Lane had written an article for The Los Angeles Free Press (LAFP) entitled “CIA Killed JFK to Keep War Going,” a point that Lane underscored in far greater detail in a full-length LAFP special report headlined “JFK Murder Solved: Killing Coordinated by CIA.”
||p. 272  :
The growing public awareness that something was wrong with the official explanation of the JFK assassination was largely stimulated through books, magazine articles, and lectures at small gatherings around the country by pioneer researchers such as Mark Lane and Penn Jones and others whose efforts were supplemented considerably by New Orleans District Attorney Jim Garrison’s journey into the realm.
Literally, word-of-mouth became—during the mid-1960s and beyond— one of the primarily means of broadening discussion about the Warren Commission cover-up.(…)
In the end, after their deception was unmasked, Bollyn and Hufschmid launched a smear campaign against AFP alleging that we were, too, were really “Zionist agents” trying to cover up Mossad involvement in 9-11, an allegation preposterous on its face to anyone familiar with AFP’s work. Bollyn even claimed that Mark Lane—the anti-Zionist Jewish critic of Israel who pinpointed the CIA’s role in the JFK assassination conspiracy—was a Zionist and a secret asset of the CIA!
||p.307:
We know, for example, following the JFK assassination, that it was Mark Lane who largely popularized the term“grassy knoll”—relating to the likely positioning in Dealey Plaza of one of the gunmen who fired on President Kennedy.
But Lane himself is the first to admit that he first heard the term “grassy knoll” used by one of the assassination witnesses, Jean Hill, who used that term in an interview. And Hill herself has said that this just happened to be the particular phraseology that popped into her head in seeking a way to describe that geographic location in Dealey Plaza.
And that’s how the term “grassy knoll” ultimately came into widespread parlance, not only in reference to the JFK assassination but also in reference to “conspiracy theories” in general.
But there is absolutely nobody who can explain just who it was who “figured out” that Crisis Actors had been utilized as part of the Sandy Hook (and later the Boston Marathon) conspiracy.






Liberty Lobby, Willis Carto, Michael Collins Piper et Mark Lane contre la militante antinégationniste Deborah Lipstadt:

Piper Michael Collins - The Confessions of an Anti-Semite

By Balder, Tuesday 3 December 2013. EnglishPPiper Michael Collins

Author : Piper Michael Collins Title : The confessions of an anti-semite The first-ever critical analysis of the linguistic Legerdemain underlying the propaganda techniques of the new world order Year : 2011 Link download : Piper_Michael_Collins_-_The_confessions_of_an_anti-semite.zip The […]
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The temptation is to extend a variety of kudos and acknowledgements to numbers of people who have crossed my paths in the course of my career and contributed to my work, including a few who have become very good friends. And I've also accumulated some remarkable enemies who have, in their own way, also contributed to my efforts. I have already saluted many of those people in my previous published works. ...







Piper Michael Collins - Best witness




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This edition was pieced together from the odds and ends remaining in the possession of the three authors, Mark Lane, Michael Collins Piper and Willis Carto, and is substantially the same book suppressed by the perfidious employees of the Institute for Historical Review.

Introduction
by Mark Lane
For almost five decades I have attempted to set the record straight in any number of matters and thus I have become entangled in controversy. Some of those efforts have had international ramifications; responding to the false assertion by the United States government beginning in 1963 that its president had been murdered by a solitary madman. Some had but local consequences; exposing the unjust imprisonment and brutal treatment imposed upon children by the state at a "school" for "mental defectives" at a place called Wassaic, New York, a decade earlier.
Not being prescient I was never armed before tilting at each windmill of the state with knowledge as to my chance for success, even measuring victory by the minimal standard of convincing a few that there might be some substance in my argument worthy of examination – or at least that although I said those things I was almost certainly certifiably sane. In early 1964 a happy ending predicated upon even so cleverly biased a barometer, seemed illusory. There I stood alone proclaiming the troubling facts, shouting the mandatory questions almost silently into a government and media created windstorm of abuse, ridicule and disinformation. Some years later almost everyone agreed with me and added that they always had.
For some many years publishers would not print my books, colleges canceled contracts for me to lecture, radio and television stations excluded me from their interview programs, some issued an edict "barring" me "for life." In time those loyal executives have left, some voluntarily seeking the good life elsewhere, some have been ousted in a coup others in a less violent manner simply died. I have surfaced once again on their stations and programs with still more inconvenient matters to place on the agenda resulting in further executive proclamations of fealty to the throne and my subsequent, but almost immediate, dismissal from the debate.
Therefore, wounded, scarred, a little tired, but neither exhausted nor discouraged and still eager both to see things as they are and dream of how they might be changed, I learned to approach with some care each new potential conflict against an enemy possessing the seemingly mutually exclusive attributes of quasi-omnipotence and invisibility.
This latest chapter begins in 1945 when Willis Carto and I both worked in an organization committed to the overthrow of governments by the use of force and violence. It was the United States Army, World War II was raging, and Willis and I were not to meet, or even know of each other until four more decades had passed. We each served honorably in the military, each were discharged honorably; Willis having served with a bit more distinction, was awarded the Purple Heart, a decoration originating with George Washington. He was in the Far East theater, while I served in the European theater. How entertaining our euphemistically inclined generals made it all seem at the time.
During 1946 on furlough from the Army of Occupation while stationed near Hitler's hometown, Linz, Austria, I drove to Dachau. The curator of the establishment showed me some cells, pointed to the gas chambers where hundreds of thousands had been executed, and xplained that a debt was owed by the democracies to the few Jews who had survived.
I brought no engineering degree to the concentration camp. I was still a teenager who had entered the army immediately after having been graduated from high school and my skepticism regarding official pronouncements in general had not as yet been finely honed upon the stone of repeated government falsification.
I left Germany to return to my headquarters outfit in Austria, a pilgrim, one more witness to the fact that hundreds of thousands of prisoners had been gassed to death in Dachau.
Through the time machine known as the writer's prerogative we move swiftly forward into the mid 1980's. Do not scoff at this device; if applied appropriately it can save you countless hours of tiresome plodding.
Readers of Plausible Denial will know the details surrounding my meeting with Willis Carto and Liberty Lobby. It will suffice for others to know that I was retained to represent that organization when E. Howard Hunt brought an action against it for defamation. It seemed he denied that he had been involved in the assassination of President Kennedy and thought the allegation written by a former CIA official and printed in The Spotlight, published by Liberty Lobby, might be demeaning. We won the case before a jury which tried the issue in the United States District Court for the Southern District of Florida in Miami.
At about that time a lawyer named Fleming Lee was working for Liberty Lobby. He told me that a man named Mel Mermelstein was suing the Institute for Historical Review (IHR), a group of which I had never heard, and also Liberty Lobby. As Mr. Lee explained it, Mr. Mermelstein was a concentration camp survivor who was alleging that the holocaust had occurred, that he could prove it and that those who denied it had occurred, such as the IHR and Liberty Lobby, were both incorrect and villains.
I had met Mr. Mermelstein at a party in Orange County, California, some time before. Before the social event had ended I knew him well enough to call him Mel. As you may observe I now call him Mr. Mermelstein. I now know him even better.
The night I met Mr. Mermelstein, I remember it well. I had recently returned from my first visit to Beirut and a journey through the displaced person's camps in southern Lebanon where Palestinians, barred from returning to their homeland by the Israeli government, were concentrated in substandard conditions but surviving due to the efforts of the Palestine Liberation Organization.
I spent hours with Yasir Arafat hearing positions presented on behalf of the PLO with which most Americans were unfamiliar. Upon my return I spoke with Rabbi Elmer Berger, Alfred Lilienthal, Haviv Schieber and others in an attempt to aid in the process of encouraging a peaceful solution before the U. S. supported settlements on the West Bank created a fait accompli and the conditions for war without a foreseeable end.
Mr. Arafat showed me a sculpture which he kept on his desk. He said, "Mr. Lane, this is a Red Indian. Do you know why I have it on my desk?"
The question seemed rhetorical. I remained silent. He continued. "To remind us that we Palestinians must never become the Red Indians of America. We must resist. Only then can we survive. We will resist against every odd, like the Jews in the – what is the word – ghetto – yes, the ghetto in Warsaw."
I recounted that exchange to Mr. Mermelstein. He seemed to be listening intently –awaiting the proposal that was certain to arrive.
I suggested that he, a survivor of a concentration camp, together with a leader of the American Indian Movement, accompany me to Beirut, meet with Arafat, observe the conditions under which the Palestinian refugees were compelled to exist, and then perhaps feel called upon to enter the peace process as honest brokers and new voices to and for America.
Mr. Mermelstein seemed genuinely interested. I did not know then if he was motivated by the desire to do a good work or his eye was upon the public relations aspect of the proposed enterprise. In either event he was on the verge of committing himself to the first stage of the process when his wife, hearing of the conversation, walked over and told him that the idea was preposterous, out of the question. She then indignantly led him away from me. I next saw him years later when I took his deposition, portions of which are presented in this book.
When Mr. Lee told me a little about the Mermelstein case he also asked if I would like to get involved on behalf of Liberty Lobby. My response was no less firm than had Mrs. Mermelstein's been to the suggestion, as she appraised it, that her husband consort with the enemy.
I said that I knew Mel slightly, was not antagonistic toward him, indeed was sympathetic in view of his suffering, that I also knew there had been a holocaust, and that Mel had survived it. I added, as a historic touch, that I had seen the gas chambers at Dachau some forty years before.
Although Mr. Lee suggested a substantial fee to defend Liberty Lobby against the Mermelstein suit, I demonstrated, I thought as I rejected that offer that there are some things lawyers should not do.
The result of that first contest between Mr. Mermelstein and Liberty Lobby is set forth in this book. I played no part in it.
I was never informed as to how the matter progressed. I did not even know who was representing Liberty Lobby at the time.
The final contest began much later. For me it started when I realized that the charge that Liberty Lobby denied that the holocaust had occurred was a myth. By that time almost every Jewish organization established to document the details of the holocaust had agreed, albeit reluctantly and belatedly, that there had been two types of camps – concentration camps and death camps. The death camps had been equipped with gas chambers. They agreed as well that there never had been any gas chambers in any camps located in Germany – a position which Liberty Lobby had proffered years before it was acceptable to do so, years before the truth became the conventional wisdom. Dachau was located in Germany. My eyewitness testimony was revealed for what it had been all along – hearsay at best, the result of cleverly manipulated political propaganda at worst.
It was only after Mr. Mermelstein had brought another lawsuit, this time for defamation against the IHR and Willis Carto, that I became interested. The article, published by the IHR, which formed the basis for the action, acknowledged that the holocaust had occurred, that Mr. Mermelstein had likely survived it and that he personally exaggerated what he had seen and experienced in an ever-growing series of articles, lectures, books and interviews which more than superseded each other and in some instances repudiated claims he had previously asserted. The IHR article concluded that exaggerated stories tended to discredit the truthful accounts of other holocaust survivors.
Since the article had not been defamatory, was in fact truthful, and since Mr. Mermelstein and his high-powered Los Angeles law firms added Liberty Lobby as a defendant, an organization which played no part in the publication of the article, I decided to look into the matter. When it became clear that Mr. Mermelstein and his by then numerous giant law firms were predicating their defamation suit upon the prejudice they might engender by claiming that the defendants had insisted that the holocaust had never taken place (although the evidence upon which they relied for proof of defamation found the IHR saying just the opposite) I began to view the lawsuit and the demands for huge sums of money from Liberty Lobby, an organization in no way responsible for publishing the non-defamatory article, – as little more than attempted extortion.
It was at that point that I advised my client, Liberty Lobby, not to settle the case, to offer no money to Mr. Mermelstein and his law firms and instead to aggressively defend against the false claims. I then agreed to represent Liberty Lobby in what became the last battle of the Mermelstein war.
For me the truth, the First Amendment and the appropriate response of our judicial system to a difficult case were considerations which overcame my distaste for grappling with out-of-control Zionists who considered their cause so worthy that it might best be served by falsification of the record, deceit and character assassination.
After the discovery period, documented in this book, had been completed, I entered into a courtroom presided over by Hon. Stephen Lachs, a judge of the Superior Court of the State of California.
In a more perfect society it would be irrelevant to disclose that Judge Lachs is of the Jewish faith and that Mr. Mermelstein's Jewish lawyers almost openly threatened him with unspoken consequences flowing from the Jewish community in Los Angeles if he failed to find for Mr. Mermelstein. Indeed it is irrelevant because Judge Lachs turned his courtroom into a perfect judicial chamber over which he presided with fairness, candor and resources of patience rarely seen since the passing of Job.
He made it clear that he did not like the defendants and that he despised some of their earlier writings. Having said that he made it even more apparent that justice was to prevail and that Mr. Mermelstein's lawyers would not be permitted to lie to the jury in his courtroom. You will not, he asserted to them, tell the jurors that the defendants ever denied that the holocaust had occurred, simply because they have never said that.
In the end, after Mr. Mermelstein testified and the law had been argued, digested, reargued and summarized, Judge Lachs threw the case out, leaving but a few crumbs to be litigated. Mr. Mermelstein's lawyers then voluntarily dismissed what little was left of the case.
Mr. Mermelstein appealed and the California Court of Appeals unanimously affirmed the wisdom of Judge Lachs' rulings. That ruling together with the decision by Mr. Mermelstein and his many lawyers that it would be useless to attempt to seek further review by a court concluded the legal contest.
And that was the end of the matter as far as I was concerned. I had prepared a case, taken depositions, argued the matter and together with a California lawyer, William Hulsy, who represented the IHR, had won the case.
Even if Liberty Lobby had published the article in question, which it did not, and even if the article had been defamatory, which it was not, and even if the defendants had argued that the holocaust had not occurred, which they did not, I was counsel, not a defendant, and my work was accomplished in the courtroom, not elsewhere. In that courtroom I assured Judge Lachs that Liberty Lobby had never denied the existence of the holocaust, invited him to read the thousands of pages of evidence on the question, which he did with almost unprecedented judicial dedication and I asserted for myself that if Liberty Lobby had ever denied the existence of the holocaust I would not have represented it in that trial.
In spite of my meticulous efforts in this case I learned in 1993 that Deborah Lipstadt, who calls herself a historian, listed me as a "holocaust denier" due to my participation at the
trial.
That Ms. Lipstadt has no respect for the truth is abundantly evident in her book Denying the Holocaust. Her cavalier attitude toward the facts is also apparent as she attempts to publicize her book through false and defamatory claims. Since she claims that Mr. Carto and Liberty Lobby are the leading holocaust deniers in the United States in her book, it is instructive to discover how she deals with Judge Lachs, the only jurist ever to issue a finding on the question. This "historian" never mentions him. How does she approach the Mermelstein v. Liberty Lobby trial? With equal honesty. She pretends that there was no ruling, no decision, no dismissal of all charges, no legal victory for Mr. Carto and Liberty Lobby and no opinion by the California Court of Appeals. She writes only:
Mermelstein has subsequently filed action against the IHR and Carto for malicious prosecution. That case remains in litigation. Despite the financial loss and public ridicule the Mermelstein case caused the IHR, there were those in the organization's leadership who continued to maintain that, given the press coverage generated by the contest, it succeeded. (1)
Since it is apparent that Ms. Lipstadt cannot be trusted to recount with any degree of accuracy the facts which comprise a recent judicial proceeding held in the United States, for which there exists a verbatim transcript which comprises an unquestioned record of what transpired, it is clear that she cannot be trusted to present the truth about the disputed details surrounding events which occurred more than half a century ago, thousands of miles from here for which no certified record is available.
However, even Ms. Lipstadt, in presenting the current conventional wisdom of those "experts" and organizations upon which she relies for the "actual truth" about the holocaust, concedes that there were no death camps and no gas chambers located anywhere in Germany, before, during or after World War II. Had revisionists made the same claims before the "authorities" were constrained by the undeniable facts to reach the same conclusion, they would have been pilloried, abused and ridiculed. They did and they were.
Now Ms. Lipstadt concedes, in relying upon her authorized historians, "there had been no homicidal gas chambers in German concentration camps." (2)
She writes:
After the war there had been persistent confusion about the difference between concentration camps and death camps. The latter, located outside Germany, had facilities for the express purpose of murdering people, primarily Jews. While there were no death camps in Germany, there were many concentration camps, in which multitudes died from overwork, disease, starvation, beatings, and severe mistreatment. Much of the confusion centered around the idea that there was a functioning homicidal gas chamber in Dachau." (3)
Ms. Lipstadt complains that "[e]very time historians who study the Holocaust correct a mistake in the record, deniers immediately claim that they do so because their previous lies were about to be exposed." (4) To demonstrate the accuracy of her assertion she publishes a footnote which reads :
"This is what they have done in relation to the charge that Nazis used Jewish cadavers for the production of soap. When scholars of the Holocaust corrected this notion, the deniers were quick to charge they did so in order to avoid being exposed as willful liars." (5)
Based exclusively upon her recently published false allegations Ms. Lipstadt has become a minor media celebrity, a source for America to took to when the truth is sought in difficult and related matters. For example, USA Today consulted her regarding the misconduct of U.S. and Israeli government zealots who suppressed evidence in an effort to convict John Demjanjuk.
Mr. Demjanjuk is innocent; the facts, the law and finally the Supreme Court of Israel have so decreed. A United States Circuit Court of Appeals, just one step from the U.S. Supreme Court, held that U.S. government officials hid the evidence from it and from Mr. Demjanjuk's attorneys and may have deliberately attempted to deceive the court. That matter is now under investigation.
What sense of outrage does Ms. Lipstadt express against the officials who framed Mr. Demjanjuk, what does compassion dictate must be done to compensate him for his agony?
She says, "the Demjanjuk case was apparently bungled." (6) She laments the "chilling effect" (7) which may prevent the prosecution of other Demjanjuks. As for her approach, "I'd prosecute them if they had to be wheeled into the courtroom on a stretcher." (8) So much for compassion to say nothing of the presumption of innocence which in the past in other matters has been thought of as the cornerstone of our judicial system.
The Demjanjuk case, contrived by Neal Sher, director of the Office of Special Investigations of the Department of Justice and his colleagues, was offered as a gift to Israel to prove that the holocaust occurred. In fact both Israeli and U.S. officials stated before the shameful show trial began that the prosecution and a conviction were necessary to demonstrate the existence of the holocaust. Mr. Demjanjuk's acquittal cannot alter a rational view of history any more than his conviction and execution might have. It does demonstrate, however, that unworthy politicians, prosecutors, reporters and historians continue to avoid the truth regarding this matter while they dominate the American news media.
The statement published in The New York Times attributed to a leader of the Likud Party and a member of the Israeli parliament perhaps put it most succinctly and blatantly:
"The judges [the Supreme Court of Israel] may have acted according to the way of the law, but they have not done historical justice." (9) Never, he warns us, should the facts be permitted to shape or modify our view of events.
You should read Mike Piper's account of the Mermelstein-Liberty Lobby wars. You certainly will find neither the details nor the truth published elsewhere as Ms. Lipstadt has so eloquently demonstrated.
As for me this introduction will serve as sufficient proof by those insufficiently concerned with the truth that I too have become a "denier." Please Ms. Lipstadt, The New York Times, The Washington Post, National Public Radio, and The Washington Times, please – do not throw me into the briar patch.
Notes:
1 / Deborah Lipstadt, Denying the Holocaust (New York: The Free Press, 1993) p. 141.
2 / Ibid., p. 78.
3 / Ibid.
4 / Ibid.
5 / Ibid.
6 / USA Today, August 18, 1993.
7 / Ibid.
8 / Ibid.
9 / The New York Times, August 19, 1993.





Sur ce blog:

Les chèvres de Judas mènent le mouvement de vérité à l'abattoir

L'auteur populiste antijuif Michael Collins Piper a-t-il été assassiné par ses ennemis liés à la Scientologie sous contrôle du Mossad? Ou a-t-il succombé aux persécutions infligées par ses ennemis au sein du "mouvement" nationaliste alors qu'il était affligé par la maladie? Peut-être ne le saurons-nous jamais. Mais l'histoire de sa vie et son oeuvre sont particulièrement révélateurs de l'état catastrophique du "mouvement" nationaliste et de ce que les chercheurs sérieux ont à subir non seulement de la part des ennemis déclarés du nationalisme mais aussi de la part de certains éléments problématiques à l'intérieur du mouvement nationaliste lui-même. Examinons ses mésaventures ô combien révélatrices avec des éléments malhonnêtes du mouvement tels que John Judge, Peter Dale Scott, Alex Jones, Jim Marrs, Robert Groden, Mark Weber, Andrew E. Allen, Jared Taylor, Eric Jon Phelps, Chris Bollyn, Eric Hufschmid, Mike Delaney, John Stadtmiller, Jim Condit Jr., Carolyn Yeager, James Fetzer, John Friend, Pete Papaherakles, sans oublier ses anciens employeurs le couple Willis et Elisabeth Carto.

L'EFFET BOOMERANG: LE CONTRE-COUP (BLOWBACK)

11 septembre: les détails techniques de la destruction des tours du WTC ne sont que des détails, il importe bien plus de savoir qui sont les ultimes responsables et pourquoi ils l'ont fait.
 
"Le terroriste de Boston un extrémiste de droite qui lisait des journaux conspirationnistes, négationnistes et anti-juifs", révèle un journal de NewsCorp appartenant à Rupert Murdoch. Psychiatrisation et criminalisation du journalisme d'enquête et des théories du complot: bientôt des campagnes dans les écoles pour détecter les cas-problèmes et "sensibiliser" les jeunes au problème du conspirationnisme et autres "maladies mentales"... Vos idées et votre santé mentale sous haute surveillance

Les nouveaux "nationalistes": néo-FN, Finkielkraut, Zemmour, Taguieff et... Murdoch! Guillaume Weill-Raynal avait sonné l'alarme dès 2005. Ils sont la preuve que si le sionisme a longtemps préféré la gauche libérale antiraciste, elle préfère aujourd'hui la droite ostensiblement "nationaliste"! C'est l'essence même de la révolution néoconservatrice. Fox News, le 11 septembre et la mouvance anti-islam: cooptation, canalisation et récupération du nationalisme par le sionisme international sous couvert de lutte nationaliste...

Eric Hufschmid, chèvre de Judas

On the Subject of 9/11 Shills and Disinfo: the case of Bollyn and Hufschmid

La connexion Chris Bollyn - Eric Hufschmid - Rupert Murdoch (à suivre...)

Décès du légendaire journaliste Walter Cronkite qui s'interrogeait sur le fait que le Mossad soit pratiquement la seule entité à ne jamais avoir être pointée du doigt pour l'assassinat de JFK