La scène se passe au D8. La conférence annuelle organisée par le Wall Street Journal, invite à débattre les personnes les plus influentes dans le milieu des médias et des nouvelles technologies.
Mark Zuckerberg, le fondateur du réseau social Facebook, en pleine interview, passe un sale moment. Cuisiné par deux pointures du journalisme, Walt Mossberg et Kara Swisher, Zuckerberg doit répondre aux questions visant les récents déboires rencontrés par Facebook, au sujet du traitement de la vie privée de ses utilisateurs. On le voit bafouiller, transpirer, tenter de noyer le poisson. Rien n'y fait.
Il a beau assurer que "la vie privée est très important pour Facebook", ses arguments ne tiennent pas.
Devant le malaise de son interlocuteur, Kara Swisher propose à Zuckerberg de retirer son fameux "hoodie", sorte de sweat-shirt à capuche. Moment historique s'il en est, car Zuckerberg affirme ne jamais quitter ce vêtement en public. En se déshabillant, la doublure intérieure du hoodie dévoile une sorte de dessin ésotérique, et devant l'insistance des journalistes il en explique le sens : "c'est un hoodie de notre compagnie, nous avons imprimé notre mission à l'intérieur - rendre le monde plus ouvert et connecté". Et la journaliste de s'exclamer : "Oh mon dieu, c'est comme un culte secret !". Elle n'est vraiment pas loin d'avoir tord.
Qui est Zuckerberg ?
Né à New York en 1984, Zuckerberg grandit au sein d'une famille juive américaine. Même s'il se proclame athée [1], le judaïsme est une composante essentielle de son éducation, et cela restera constant jusqu'à l'université. Pour preuve son adhésion à d'une fraternité étudiante juive nommée Alpha Epsilon Pi (AEPi). Cette fraternité est d'ailleurs connue pour avoir accueilli un grand nombre de personnalités américaines gravitant à présent dans les milieux politiques, économiques et législatifs [2]. Quelques années plus tard, Zuckerberg n'hésite pas à afficher ses sympathies sionistes, en participant en 2008 à la célébration des 60 ans de la création de l'état d'Israël [3], aux cotés de Sergei Brin, co-fondateur de Google, et de Bernard-Henry Levy, éminent philosophe français, spécialiste du botulisme.
Cet attachement de Zuckerberg à l'état d'Israël n'a d'ailleurs pas été omis par l'ancien président de l'état hébreux. Shimon Peres, peu de temps après avoir rencontré Zuckerberg à Davos en 2008, s'exclama lors d'un congrès étudiant, qu'il fallait utiliser Facebook "pour combattre l'antisémitisme" : "vous avez l'opportunité d'enseigner à vos amis au sujet de la mémoire de l'Holocauste, pour que ces horreurs ne soient jamais oubliées et ne soient pas répétées" [4].
Facebook, une entreprise communautaire
On peut dire que le schéma "corporate" trouvé dans le hoodie de Zuckerberg suscite quelques interrogations. Que signifient ces éléments cabalistiques ? Il est difficile de n'y voir qu'une simple théorie humaniste, tel que Zuckerberg tente de l'expliquer lors de l'interview. Certains y trouvent une vague ressemblance avec la symbolique des Illuminati, piste à creuser s'il est est, mais tout cela reste difficile à prouver....
Un élément y est pourtant bien visible, c'est l'étoile de David qui apparaît ostensiblement au centre de la figure.
Mysticisme trivial ou conspirationniste réel ?
Une chose est sure, certaines entités dirigeantes de Facebook affirment un judaïsme sans complexes. C'est ainsi que l'un des porte paroles de la firme, Barry Schnitt, n'hésita pas à déclarer au New York Times le 13 mai 2009, que "beaucoup d'entre nous ont des connexions directes avec l'Holocauste"[5]. La phrase, qui ne laisse que peu de place à l'ambiguïté, explique la suppression massive de groupes Facebook contestant l'Holocauste. Implicitement, Schnitt dévoile qu'un nombre important d'employés travaillant chez Facebook, appartient à la communauté juive. Effectivement, parmi les compagnons de route de Zuckerberg, nous pouvons citer les personnalités suivantes :
Dustin Moskovitz : cofondateur de Facebook, ami d'université de Zuckerberg, participa à l'extention de Facebook vers d'autres campus américains. Détient 6% du capital de Facebook.
Justin Rosenstein : ancien responsable produit chez Google. Fut embauché par Zuckerberg et Moskovitz comme responsable technique (pour développer notamment le fameux bouton "Like" que l'on retrouve sur certains sites, et le très controversé projet Facebook Beacon abandonné après avoir été la cible d'un procès en recours collectif - class action aux États-Unis).
Peter Thiel : d'origine allemande, cet entrepreneur juif de 40 ans fut le premier à investir des fonds dans Facebook ($500.000 en 2004, soit environ 10% du capital de la compagnie à cette époque). Cofondateur de Paypal avec le juif ukrainien Max Rafael, Thiel est surtout connu pour avoir participé financièrement à la création de startups Internet telles que Slide (Max Levchin), LinkedIn (Reid Hoffman), Yelp (Jeremy Stoppelman), Geni.com et Yammer (David Sacks ).[6]
James Breyer et Jim Swarz : deux leaders juifs d'Accel Partners, entreprise spécialisée dans l'investissement de Capital Risque. En 2005, Accel Partners participe à une augmentation substantielle du capital de Facebook, (à la hauteur de 12.7 millions de dollars)[7]. Avant de participer financièrement à "l'aventure Facebook", James Breyer siéga en 1999 au conseil de direction de In-Q-Tel, un fond d'investissement américain géré par la CIA. L'objectif de cette société est de financer et d'accompagner les entreprises spécialisées dans les systèmes liés au renseignement. Même si Facebook n'a pas de lien officiel avec In-Q-Tel (et par extension, la CIA), difficile d'occulter le très fort intérêt de Breyer pour la collecte et le traitement de l'information [8].
Facebook et le datamining.
La collecte d'information est le cœur même de Facebook. Pour cela, les spécialistes utilisent le terme de "datamining". A partir des données récoltées, des systèmes peuvent analyser puis prédire le comportement d'un groupe d'individu (ou d'un individu isolé) : par l'analyse croisée d'informations contenues dans Facebook, un expert peut déduire vos orientations politiques, religieuses, culturelles et même sexuelles. Même si vous avez pris le soin de ne pas enregistrer ces informations sur votre profil.
Il est ainsi possible d'extrapoler en fonction des données de fréquentation de votre page et tirer certaines conclusions, rien qu'en analysant les profils personnels de vos contacts ; gardez donc à l'esprit que amis ne partagent probablement pas les mêmes notions de discrétion. Si parmi vos 100 contacts, 80 sont inscrits au groupe "Amateurs de chips à la moutarde", les analystes n'auront aucune difficulté à déduire vos habitudes alimentaires douteuses.
Quoi de mieux qu'un annuaire mondial de personnes interconnectées entre elles. Nous l'avons vu dans la section précédente, Facebook dispose de liens "culturels" - pour ne pas dire communautaires - avec d'autres responsables de réseaux sociaux ; Facebook pourrait donc être en mesure d'échanger et de consolider ses informations avec les autres réseaux (professionnels ou personnels) tels que LinkedIn, Slide, Yelp...
"L'age de la vie privée est révolu"
C'est ce qu'a déclaré Mark Zuckerberg, en réponse à un blogueur américain, spécialisé dans les startups Internet [9]. Il est de notoriété publique, que le fondateur de Facebook ne porte que peu d'intérêt la vie privée des utilisateurs de son réseau social. D'ailleurs, quand Zuckerberg dut s'expliquer sur cette fameuse "erreur de jeunesse" qui évoqua lors de cette fameuse interview du D8, c'était en référence d'une conversation électronique qu'il eu avec un ami, c'était en 2003 [10] :
Quote:
Zuckerberg : Ouais donc si jamais tu as besoin d'informations sur n'importe qui à Harvard. Zuckerberg : J'ai plus de 4.000 e-mail, photos, adresses Ami: Quoi? Comment t'as réussi à obtenir ça? Zuckerberg : Ils l'ont juste donné Zuckerberg : Je ne sais pas pourquoi Zuckerberg : Ils me "font confiance" Zuckerberg : Putain d'abrutis
La conversation est volontairement provocatrice, mais reflète l'état d'esprit dans lequel sont gérés les données personnelles des membres de Facebook. Ainsi, nous avons pu constater que les clauses de confidentialité explicitées dans les conditions générales du réseau, peuvent changer sans avis. Il a été régulièrement constaté que les données des profils personnels peuvent passer du statut "privé" au statut "public", exposant au "tout venant", certaines informations initialement confidentielles.
Cette gestion chaotique des données privées a mis récemment Facebook dans une situation délicate. En effet, un informaticien américain s'est appliqué à rassembler un ensemble d'informations publiques tirées des profil Facebook, par le biais d'un simple crawler (robot d'indexation comme ceux de Google ou de Yahoo). Le robot a pu naviguer de profil en profil, en récoltant toutes les données disponibles sur chaque page ; il en a résulté une grosse basse de données de 100 millions de profils Facebook.
Cet informaticien talentueux a dévoilé cette opération sur le site Skull Security[11], et pour prouver sa bonne foi, n'a pas hésité à laisser à disposition cette volumineuse base de données sous forme de Torrent (protocole de téléchargement). 2.8 Go de profils Facebook se promènent sur la toile. Détail intéressant, le site Gizmodo a enregistré les IP des internautes ayant téléchargé ce fameux torrent ; il en résulte qu'un bon nombre de ces identifiants de connexion appartiennent à des organisations publiques ou privées (parmi celles-ci : Apple, l'Eglise de Scientologie, Deutsche Telekom, Nations Unies, Pepsi Cola, Oracle Corp...) [12].
Supprimer son profil Facebook ?
Supprimer sa page Facebook, c'est difficile mais possible. Il existe même un site Internet permettant de répertorier les membres qui ont ou désirent supprimer leur profil Facebook : QuitFacebookDay.com.
En supprimant votre page, rien ne prouve que ces données sont réellement supprimées. Ainsi, Facebook fut une nouvelle fois au centre d'une polémique en 2009, quand le réseau décida que même après suppression volontaire de votre profil, les informations que vous avez précédemment enregistrées peuvent persister dans un système d'archivage : "You may remove your User Content from the Site at any time. If you choose to remove your User Content, the license granted above will automatically expire, however you acknowledge that the Company may retain archived copies of your User Content". Cette clause fut retirée in extremis pour calmer les esprits...et continuer de séduire les utilisateurs qui n'ont pas encore fait le grand pas.
Donc, si vous n'avez pas encore créé de profil Facebook, je souhaite que cet article sera une base de réflexion sur ce choix dangereux. Facebook est le système idéal pour tracer vos habitudes, vos convictions et réduire peu à peu votre espace de liberté. N'oubliez pas que derrière Facebook subsistent des réseaux opaques basés sur le communautarisme sioniste, que nous devons en tout point combattre.
Facebook and other popular social media networks can be powerful tools for staying connected to friends and family. But they also provide a con- venient cover for official spy rings. Read the special report by clicking here.
Behind Facebook—A New World Order Agenda? If you have wondered why Facebook, Twitter, Google, Dell, and Paypal dominate the internet, researching the founder and their JEWISH relations may answer the question:
Mark Zuckerberg Facebook
Christopher Isaac “Biz” Stone co-founder of Twitter. Most sources give Jack Dorsey credit as the founder of Twitter, however Jack Dorsey is a co-founder.
Larry Page and Sergey Brin, founders of Google Google also owns “Blogger” and YouTube
Peter Thiel Founder of Paypal, and original founder for Facebook
Faites vous partie des 50 Juifs les plus influents de la planète ? Une liste des Juifs les plus influents dans le monde vient d’être publiée par le Jérusalem Post…
Selon le quotidien israélien, Mark Zuckerberg, le propriétaire de
Facebook, serait le numéro 1, grâce à son site qui a permis le printemps
arabe. Zuckerberg, qui se définit comme « un Juif athée », aurait donc plus d’influence que le premier ministre de l’État d’Israël Benjamin Netanyahu…