Saturday, October 9, 2010

Le dernier des trois juifs les plus influents de l'administration Obama vient de quitter son poste

Notez que pour les juifs intégristes, le fait qu'Obama porte aussi le nom "Hussein" doit être vu comme un signe qu'ils ont affaire à leur ennemi immémorial -- Haman le chef des Amalékites -- qu'ils ont dû confronter récemment en la personne de Saddam Hussein. (Plus de détails, voir Reckless Rites: Purim and the Legacy of Jewish Violence)










L’exode des conseillers juifs de la Maison Blanche obamienne n’est sans doute pas de bon augure
vu sur alterinfo.net
par Mark Glenn

Rahm Emmanuel et Barack Obama

(...) Ce qui rend ce dernier développement particulièrement inquiétant, c’est le fait que Rahm Emanuel n’est pas le seul VIP [Very Important Person] au sein des intérêts sionistes organisés à partir ainsi. Peu après l’annonce d’Emmanuel, le monde politique a été secoué d’entendre coup sur coup – littéralement à moins de deux jours d’intervalle – que deux collègues d’Emmanuel, à savoir David Axelrod (principal conseiller politique d’Obama) et Larry Summers (premier conseiller en matière économique) annoncer qu’ils quittaient eux aussi l’exécutif. Le fait que ces annonces soient intervenues à un tel rythme indique non seulement une coordination entre tous les acteurs concernés, mais aussi la forme de coordination la plus détestable qui soit, à savoir la collusion. Il faut aussi ajouter que tant Axelrod que Summers, bien que se trouvant assurément à des positions ne leur assurant certainement pas une « vue d’aigle » aussi avantageuse pour Israël que celle d’Emanuel, étaient à des postes d’écoute importants vis-à-vis des travaux internes de la Maison Blanche d’Obama et que, partant, leur absence doit représenter, elle aussi, une grande perte pour l’Etat juif en termes de renseignement humain.

A cela, il faut ajouter l’absence remarquée d’Israël dans le discours prononcé par Obama à l’Assemblée générale de l’Onu au cours de la troisième semaine de septembre – un événement sans précédent en tant que tel – ainsi que le message, envoyé à Obama, si fortement que même un sourd, dans un concert de Led Zeppelin, aurait pu l’entendre se faire reprocher que « Nous, peuple juif, nous vous tournons le dos, M. le Président, et nous nous en allons ».

Sauf qu’étant donné le harcèlement qu’Obama a dû endurer ces deux dernières années en ce qui concerne Israël et ses partisans de tous poils en matière de colonies et de ses cris de guerre incessants contre l’Iran, il n’est pas douteux que le Président américain accueillerait avec satisfaction un tel développement promettant la grande paix intérieure qu’un tel abandon représente, ou plus exactement aurait représenté s’il s’était agi d’un événement de one-man-show dénué de répercussions.

Toutefois, comme tous ceux qui ont étudié cette question ne le savent que trop bien, dès lors qu’il est question d’Israël, des intérêts juifs et de la politique du pouvoir, les « non-répercussions » sont inconnues au bataillon. S’agissant d’un peuple dont le leitmotiv est « n’oublie jamais » et qui insiste toujours pour avoir le dernier mot dans n’importe quel discussion, nous pouvons supposer que cette « rebuffade » et ce « traitement silencieux » en train d’être dirigé directement vers la présidence Obama valent une déclaration de guerre. Énoncée dans un dialecte particulier du gangstérien visant à éviter la clarté là où la clarté représente une gêne, ce à quoi visent les parties intéressées dans cet exode, c’est cette forme de subtilité qui en dit des tonnes instantanément, comme une tête de cheval placée sous les couvertures du lit ou un poisson mort emballé dans un gilet pare-balles.

Au mieux, cet « exode » à partir de la Maison Blanche d’Obama indique que les mêmes intérêts juifs qui voient en Obama « leur homme » sont en train de planifier d’ouvrir les portes du placard laissées jusqu’ici stratégiquement closes et d’ouvrir les vannes du flot bien préparé de squelettes embarrassants (voire potentiellement accusateurs) devant les yeux du monde entier, quelques semaines seulement avant les élections de mi-mandat au Congrès. De la même manière que Bill Clinton avait dû faire face à un tsunami de bruit médiatique embarrassant au sujet de sa gaudriole avec la juive déjà citée Monica Lewinsky (un bruit médiatique conçu afin de le contraindre à céder aux exigences israéliennes), Obama risque lui aussi d’avoir à faire face à ses propres problèmes dès lors qu’Israël lui mettrait la pression afin de tenter de l’amener à dire « OK » au sujet d’une guerre contre l’Iran.

Au pire, toutefois, et nous ne saurions écarter cette hypothèse ne serait-ce qu’une minute, étant donné la propension d’Israël à la violence sous toutes ses formes – réelles ou théoriques – ce que tout cela pourrait indiquer serait le fait que les mêmes intérêts juifs qui ont été responsables depuis un demi-siècle d’une myriade d’attentats attribués à d’autres, d’assassinats et d’actes de terrorisme contre les États-Unis pourraient être en train de planifier quelque chose d’encore plus dramatique. En tête de liste figurerait la démolition contrôlée de l’économie américaine en des temps où le pays des hommes libres et la patrie des hommes courageux respire à-peine et se trouve sous perfusion financière à la suite de l’effondrement financier de septembre 2008, une démolition dont les hommes bien placés dans le District of Columbia et à New York connaissent les détails, mais dont ils ne parlent jamais. Pire encore, toutefois, pourrait être le fait qu’un nouvel attentat terroriste contre l’Amérique, voire un assassinat présidentiel, risque d’être déjà dans les tuyaux.

Les observateurs quelque peu curieux de ce film de gangsters contemporain mettant en scène Israël se souviendront que dans les derniers jours de la présidence de Bush, celui-ci avait été reçu très froidement lors d’une visite en Israël par des rabbins étroitement liés à des éléments ultraviolents de la droite israélienne, qui lui avaient soumis une liste d’exigences. Ces dix commandements d’un genre nouveau baptisés du nom hébreu de « Megillat Bush » avaient été rédigés sur un parchemin spécial conçu de manière à le faire apparaître écrit personnellement par quelque prophète tout feu et cendres tout droit sorti de l’Ancien Testament. Aussi typique du ton exigeant, menaçant, obséquieux et condescendant universellement connu pour être aussi intrinsèque à l’Etat juif que les pâtes et la sauce tomate le sont à la cuisine italienne, ce décret commençait ainsi :

« A George Bush… venu à Jérusalem, capitale éternelle de notre pays, joie de la Terre entière…

(…) Si vous désirez sincèrement la paix et si vous souhaitez être compté au nombre des authentiques Justes, nous vous exhortons à déclarer au monde entier ce qui suit:

« Moi, George Bush, je déclare que la Terre d’Israël a été promise à la nation d’Israël par le Créateur du monde, c’est Lui qui a donné cette terre à Son peuple, Israël, le peuple éternel. C’est pourquoi j’appelle toutes les nations à se sauver d’une perdition certaine et à reconnaître que cette terre est l’héritage légitime exclusif du peuple d’Israël. Quiconque nie cette vérité met en danger toute vie sur terre.»

Cette proclamation, qui n’est pas sans évoquer d’identiques menaces de damnation et de destruction proférées par Moïse mettant la pression sur Pharaon il y a de cela pas mal d’années, continuait ainsi:
« Sinon, ce qu’à Dieu ne plaise, vous pouvez choisir la deuxième possibilité… c’est-à-dire contribuer de votre plein gré à votre destruction… Vous savez certainement ce que le Dieu d’Israël fit à l’Egypte et à tous les ennemis d’Israël, depuis des temps immémoriaux. Pensez-vous que vous pourrez échapperez à des guerres en cours en Iran, au Pakistan, en Arabie saoudite, en Syrie, en Egypte et au Liban simplement en sacrifiant les juifs qui sont quotidiennement massacrés par leurs ennemis ? Rappelez-vous notre aïeul Abraham, qui poursuivit les quatre plus grands souverains du monde afin de sauver son neveu de l’esclavage. Nous ne pouvons oublier les hauts-faits de nos patriarches, dont l’exemple nous guide génération après génération…

... Il faut que vous compreniez bien ceci : Dieu a stipulé que le rôle de toutes les nations du monde consiste à renforcer la nation d’Israël. Par conséquent, il vous incombe de déclarer : « Moi, George Bush, commandant en chef des armées des Etats-Unis d’Amérique, je donne l’ordre à toutes mes armées de protéger les droits divins de la nation d’Israël, et d’en écarter toute menace ». Vous avez le choix : soit vous méritez la vie éternelle, soit vous êtes marqué pour la disgrâce éternelle. Votre destin et celui de tous ceux qui sont avec vous est lié au destin de notre terre… » Source: Gog, Magog et le Scroll of Bush


(...)Il est par conséquent plus plausible que les mêmes intérêts juifs salivant sur une nouvelle guerre au Moyen-Orient impliquant l’Iran risquent de recourir à des mesures plus désespérées en obtenant que la grosse boule de la roulette continue à tourner, quelque chose plus dans la ligne de ce qui était arrivé, à Dallas, en 1963, au président américain d’alors, JF Kennedy.

Qu’il y ait eu des ruminations allant dans ce sens est hors de doute. Des informations consensuelles émanant d’Israël, des Etats-Unis et d’Europe véhiculent le relent non équivoque de menaces contre la vie du Président en raison de sa prise de position vis-à-vis de la question des colonies israéliennes et de sa réticence à élargir l’implication américaine dans une guerre d’ores et déjà désastreuse dans la région [du Moyen-Orient]. En Israël, des protestations puissantes et coléreuses, parfois devant la résidence de Netanyahu, ont lieu, des foules brûlant des effigies d’Obama, qu’elles qualifient de « Pharaon noir ». D’autres récits, citant des ministres israéliens de haut rang, font référence à Obama en tant que « descendant d’esclaves » qui ne sait pas se tenir à sa place et mérite une bonne correction. Il ne se passe guère de semaine où Netanyahu ne prédise un futur apocalyptique au cas où l’Amérique ne s’affairerait pas incontinent à envoyer des GIs sur le terrain.

La question qui est posée est de savoir si Israël irait jusqu’à assassiner un président américain à seule fin de gagner certains avantages politiques ? D’après l’ex-agent du Mossad Victor Ostrovsky, la réponse à une telle question est connue d’avance, car, comme il l’explique dans son ouvrage « The Other Side of Deception » (L’autre face de la tromperie), Israël avait planifié d’assassiner le Président George H.W. Bush lors de la conférence de paix de Madrid, en octobre 1991, afin de pouvoir faire retomber la responsabilité de son assassinat sur des « extrémistes arabes ».
« Dès lors que le Mossad avait en main toutes les dispositions en matière de sécurité, amener les assassins aussi près qu’ils le désiraient du Président Bush, puis mettre en scène l’assassinat de ce dernier aurait été pour lui du gâteau ; les Israéliens auraient engrangé une victoire de plus, voilà tout. Grâce à la complicité des assassins, il aurait été difficile de découvrir où la 'faille sécuritaire' aurait bien pu se trouver, d’autant que plusieurs pays impliqués dans cette conférence, comme (au hasard…) la Syrie, étaient considérés comme des pays apportant leur assistance aux terroristes ».

D’autres indices de la manière dont une telle opération aurait pu être ourdie sont donnés pour partie dans un article paru dans le New York Times sous le titre « President Apostate », sous la plume de l’ultra-sioniste patenté Edward Lutwak, dont voici un extrait :

« En tant que fils de son père musulman, le Sénateur Obama est né musulman d’après la loi musulmane telle qu’on la comprend dans le monde entier. Le fait que, comme le Sénateur Obama a pu l’écrire, son père ait dit qu’il avait renoncé à sa religion, n’y change rien. De la même manière, selon la loi musulmane fondée sur le Coran, l’éducation chrétienne de sa mère n’a aucune importance. Bien entendu, comme la plupart des Américains le pensent, le Sénateur Obama n’est pas musulman ; il a choisi de devenir chrétien et il a, de fait, écrit de manière convaincante une explication de la manière dont il en est venu à faire ce choix et à quel point sa foi chrétienne est importante pour lui. Sa conversion, toutefois, était un crime, aux yeux des musulmans ; il s’agit d’un ’irtidâd ou de riddah, un terme arabe signifiant « apostasie », mais avec certaines connotations de rébellion et de trahison. De fait, c’est le pire de tous les crimes qu’un musulman puisse commettre ; l’apostasie est considérée pire qu’un crime.

A de rares exceptions près, les juristes de toutes les écoles musulmanes tant sunnites que chiites prescrivent l’exécution de tous les adultes qui abandonnent la foi (musulmane) sans y être contraints par la torture ; le châtiment recommandé est la décapitation effectuée par un clerc religieux. Etant donné qu’aucun gouvernement n’est prêt à autoriser la persécution du Président Obama, une autre prescription de la loi musulmane est sans doute plus pertinente : elle interdit que soit châtié un musulman ayant tué un apostat et elle prohibe, de fait, toute interférence avec tout assassinat de cette nature. A tout le moins, cela risquerait de compliquer les disposition sécuritaires lors de visites d’Etat du Président Obama dans des pays musulmans, car le simple fait pour les gardes de sécurité musulmans [d’assurer la sécurité de cet apostat] pourrait être considéré comme peccamineux ».

Autrement dit, l’idée qu’Israël est en train de communiquer à El Presidente est celle-ci : s’il sort du rang, il sera assassiné et son assassinat sera mis sur le dos d’un « extrémiste musulman » en colère conter l’ « apostasie » d’Obama.

Histoire de faire comprendre à Obama qu’Israël parle sérieusement et qu’il n’est que trop capable de franchir tous les barrages de sécurité et toutes les mesures défensives mises sur pied afin d’assurer la protection de l’homme le plus puissant du monde en amenant quelqu’un dans la proximité immédiate tant de sa personne que des membres de sa famille, le 24 novembre 2009, dans un événement qui fit les gros titres des journaux et occupa la nation des semaines durant, Tareq Salahi (présenté comme un Palestinien né en Israël) s’est introduit dans un dîner officiel organisé à la Maison Blanche en l’honneur du Premier ministre indien et s’est suffisamment approché du Président pour pouvoir être pris en photo à son côté, les photos étant affichées par la suite sur Facebook. A cette fin, Salahi avait dû franchir deux checkpoints de sécurité des services secrets, dont tous les deux auraient dû vérifier que son nom figurait bien sur la liste des invités (ce que ni l’un ni l’autre ne fit) et lui demander une photo d’identité. La brèche sécuritaire était tellement grave qu’elle entraîna des enquêtes criminelles tant du Congrès que du parquet, qui impliquèrent tous les services fédéraux chargés d’assurer la protection personnelle du Président.

Qu’il puisse ou non être démontré qu’il s’agissait là d’une opération ourdie par Israël, le fait est que les médias consensuels américains détenus et/ou gérés par les juifs en tirèrent un profit maximal en faisant passer à Obama le message selon lequel « personne n’est intouchable, M. le Président ! » Les similarités impossibles à ne pas déceler entre cet événement et l’assassinat de Robert F. Kennedy par le Palestinien né en Israël Sirhan Sirhan, le 5 juin 1968 en relation avec la situation politique au Moyen-Orient furent aussi subtiles que cette tête de cheval dissimulée sous les couvertures du lit, dans le film Le Parrain.

Toute la dramaturgie de l’exode du pouvoir juif de la Maison Blanche sous Obama rappelle point pour point ces informations infâmantes parues immédiatement après les attentats du 11 septembre (2001) où l’on apprenait que très peu d’Israéliens figuraient parmi les morts ce jour-là. Dans le cas du 11 septembre, le monde a découvert après coup que les Israéliens avaient été avertis de se tenir à l’écart via le centre du système de messagerie instantanée Odigo sis en Israël, alors que, dans le cas présent, le monde découvre la vérité avant la date de l’événement planifié. Israël et ses partisans ne veulent manifestement pas que leurs hommes de main soient « là-bas » au moment où une quelconque bombe à retardement explosera.

S’il est une chose dont on puisse être sûr, c’est que pour des individus de l’acabit des Emmanul, Axelrod et autre Summers, quitter des postes aussi prestigieux et importants non seulement pour eux, personnellement, mais aussi pour la continuation du bien-être de leur home sweet home Israël est comparable à quelqu’un qui s’éloignerait d’un sac de fric qu’il aurait trouvé par hasard, de six pieds de haut et six de large, en renonçant, ce faisant, à tout le pouvoir, aux privilèges et au prestige qu’une telle trouvaille laisse présager. En sus de la perte personnelle, il faut prendre en considération aussi le « poids de l’histoire ». En ce moment-même, Israël a besoin d’autant d’yeux et d’oreilles que possible à la Maison Blanche, car il en va de sa propre survie. Avec des modèles bibliques tels que ceux de Joseph et d’Esther, qui se rongèrent leur galerie jusqu’aux plus hautes places du pouvoir à leur époque respective et dans leur pays respectif, le fait que trois rats de taille XXL quittent le navire de l’Etat américain en ce moment particulièrement critique de l’histoire ne peut signifier qu’une seule chose, à savoir qu’à travers certains moyens extraordinaires, ils savent qu’une torpille est en train de foncer sur le navire et que celui-ci ne va pas tarder à couler.

Traduction : Marcel Charbonnier

Samedi 9 Octobre 2010

http://www.ism-france.org/news/article.php?id=14459&type=analyse http://www.ism-france.org/news/article.php?id=14459&type=analyse

Flashback (by Mark Glenn)
High-Level Assassination–The Staged Event To Bring About War With Iran?



lu sur texemarrs.com:
Exclusive Intelligence Examiner Report
Texe Marrs

The President Finally Stands Up to the World’s Tormentors—Will All Hell Now Break Loose?
Obama Tells Jews, No More

"I only regret that I have but one life to give for my country."
Nathan Hale, during the American Revolution,
just before he was hanged by the British

“Ask not what your country can do for you, ask what you can do for your country.”
President John F. Kennedy
Inaugural Address, 1962
Barack Obama was from the start a creation and puppet of the Jews. Now, he is making war against his creators. He’s had enough and isn’t going to take it any longer. Sparks are flying in our nation’s capital. The Jews are angry and they intend to smash this runaway President and his “smart-aleck” black wife, Michelle. The gloves are off and they're plotting some very, very sinister “payback.” Might it all end with President Obama being assassinated by Israel’s ruthless Mossad?

The Battle Lines Are Drawn


Benjamin Netanyahu, Barack Obama, and Mahmoud Abbas at the recent peace talks.
Already, the battle lines are drawn. It started with Obama telling Israel’s Benjamin Netanyahu that the Israelis must play fair with the oppressed Palestinians and come to peace terms in the Middle East. Obama next instructed General Petraeus to wrap things up in Afghanistan, that he, the President, intended to keep his campaign promise to the American people to be out of Afghanistan by the end of 2011.
The Jews were furious. They want blood, war and territory, not peace. My sources tell me that Jew Rahm Emanuel, White House Chief of Staff, accompanied by Obama’s 2008 campaign chief and now top political advisor David Axelrod, stormed into the Oval Office. Rahm screamed and Axelrod threatened, but Obama held his ground and came back with a shocking proposal: “Rahm, David, I thank you for your past support; now it’s time for us to go our separate ways. I’ll give you til November 1st to pack your bags!”

Taking on the Chicago "Dons"

The two one-time puppet handlers were flabbergasted. The next day, Obama got calls from Chicago's top Jewish “Dons”—the billionaire who had raised him up from obscurity and made Barack a star. The Crowns, Pritzkeny, Mikvahs, Solows began to put the screws on Obama. It didn’t work!
Then, the President directed Jew Treasury Secretary Timothy Geithner to warn the Red Chinese communists that America would no longer permit the Jews and China to deconstruct the U.S.A. and build China into the New World Order Colossus.
“Tell the Chinese to quit playing with their currency, the Yuan, to let it float upward in accordance with the market,” the President instructed Geithner. “Stop their manipulation, too, of gold and oil markets.”
Geithner nearly fell off his chair.
He stammered and went out the door a mental wreck. Barack Obama, taking up for the American workers and economy, defying the Jew masters who were behind Beijing’s artificial economic success. This was unbelievable.

Just Saying No to Homosexual Perverts and Illegal Aliens

Obama fired his White House budget director, the Jew Peter Orszag. He phoned Nancy Pelosi and Harry Reid and told them he wasn’t going to support the “Dream Act” legislation, the Jews’ plan to give amnesty to millions of illegal aliens.
He next appointed a new Commandant for the Marine Corps, a General who opposed the homosexual agenda and is against ending the military’s “Don’t Ask, Don’t Tell” policy of Bush and Clinton.
Then Obama did another bold thing: He ordered his Attorney-General, Eric Holder, the sole black in the Administration with any real authority, to go to the federal appeals court and try to void a lower court’s nullification of the “Don’t Ask, Don’t Tell” policy. Obama is now making war on the satanic Jews who are the movers and shakers behind the perverted homosexual freaks! What a turnabout.

Keeping Campaign Promises—Tax Breaks for Middle Class

And there’s more. His Jewish handlers had instructed Obama to throw out his campaign promise to give the middle class tax breaks. “Do not extend Bush’s tax breaks for the middle class,” they had commanded.
In defiance, in mid-September Obama fired Larry Summers, his Jewish Chairman of the White House’s Council of Economic Advisors and replaced him with an old friend, Austan Goolsbee, Obama then announced he would move to extend the Bush tax cuts for the middle class. The Jewish elite are furious.

Taking on the Jewish-Owned Healthcare Insurers

Another Jewish plan was to have “ObamaCare” passed and then, once the government, under the new law, required all employers and workers to have healthcare insurance, the healthcare insurance corporations—whose stock is owned by wealthy Jewish investors—would jack the price of insurance up to astronomical levels. Indeed, the companies did exactly that. Even before the law goes into effect in 2011, prices for healthcare insurance went up a staggering 27% nationwide—in just three months. The Jews were gleeful and deliriously happy, counting their profits.
But—watch out! Obama got his Secretary of Health and Human Services to write a letter to all the insurance companies threatening them with White House action (IRS audits, Justice Department investigation?) if they so arrogantly continued to shaft American workers by unjustifiably raising prices.
Reportedly, Obama intends to go after Big Pharma, too. He, Attorney-General Holder, and Obama’s FDA are already telling the pharmaceutical giants that their price increases for prescription drugs are outrageous and won't be tolerated. The corporations are also being warned to stop peddling defective drugs that are killing people.
The Jews, once again, went nuts and Obama's phone was almost melted with blistering threats from his former “friends.”

The Jews Retaliate

In retaliation, the Jewish media, previously admirers and supporters of everything Obama did—turned sour. The “Messiah” image for Obama in just the last two months has gone out the window.
The Jew-owned newspaper The Washington Post, the same yellow rag that had been used to upend Richard Nixon’s presidency, employed their same journalist Bob Woodward, of Watergate and “Deep Throat” fame, now an associate editor, to write a new book entitled Obama’s Wars, blasting Obama’s White House leadership as inept and fumbling.
In response, Obama, to stay ahead in the PR battle, is coming out with his own book in a few months, a book that will have a favorable picture of Barack, Michelle, and the kids on the front cover.
Meanwhile, Bill O'Reilly, of the Zionist-owned Fox News TV channel, has just released his smear book, Pinheads and Patriots, with a picture of Obama on the cover as a “pinhead.”
So, liberal Democrats, neocon Republicans, and the media, urged on by their Jewish bosses, are all on the attack. The Jews didn’t bargain for an Obama with a spine. What happened to their puppet, the old “Stepan Fetchit village idiot?”

Obama Tired of Being Their “Nigger”


Michelle Obama and Carla Bruni
What had happened? For one thing, Obama was sick and tired of repeating, “Yassa, yassa” to his Jewish masters. Michelle Obama had enough of Rahm Emanuel’s contemptuous attitude toward her and Barack, too. She complained to her husband, Barack: “The Jews treat us and all blacks like we are plantation slaves. They hate us!”
Getting wind of this, the Jews’ lashed out at Michelle with a book published in France, in which France’s First Lady, the prostitute Carla Bruni, says that Michelle told her that living in the White House is “hell.” “I can’t stand it,” Ms. Obama reportedly told Carla Bruni. Bruni, of course, is married to France’s President Sarkozy, a fanatical Zionist Jew born in Hungary, like his Jew pal, George Soros.
The First Lady, Michelle, had been forced by the Jews to replace her black assistant with Susan Cher, a hard-nose Zionist taskmaster. Even her black appointments and social director had been ousted by White House Jewish controllers. Michelle was fed up.

Jewish Lie: “Obama is a Moslem”


Poster in Israel depicting Obama with a Palestinian head-dress.
The media went to work to take Barack and Michelle down a few notches. They put out new trash that Obama was “secretly” a Moslem. The Los Angeles Times, Jew-owned as is all the media, threatened to put up a video on YouTube they had previously shelved of Obama years ago speaking to a pro-Palestinian group blasting Israeli treatment of Arabs.
The Jewish elite has also contacted their friends, John Hagee and other Judaizer and Zionists in the Christian evangelical community. Expect harsh, increasing criticism of Obama in coming months and possibly even a huge protest rally by these pseudo-Christians in Washington, D.C., to demonstrate against Obama’s “anti-Semitism” and support for the Palestinians. Hagee and his lying ilk will trumpet: “God is angry at you, Obama, for opposing His Chosen People, Israel!”
Expect Senator John McCain and homos Lindsey Graham and Joseph Lieberman to viciously attack the President, to support Israel and their Jewish overlords. Sarah Palin, too, will join in the unseemly attack. She is 100% a Jewish puppet.
The Obamas countered this week by attending a Christian church in Washington, D.C.—the first time they had done so in months. Michelle now has to put up with the media, which once touted her as a fashion model, suggesting to magazine readers and TV viewers that the First Lady is “frumpy, out of touch, fat, and stupid.”

Pastor Wright and Farrakhan Spill the Beans About the Jews

Barack Obama had been personally hurt when his former pastor, Chicago’s Jeremiah Wright, publicly complained that he couldn’t so much as get in a phone call to the President. “The Jews in the White House—they control Barack; they won’t let him talk to me,” said Wright.
Another old associate, Louie Farrakhan, surprised everyone when, on a national TV program, he revealed that the Jews had “created” Obama and that Chicago billionaire Jews had bragged that “Barack Obama will be America’s first Jewish President.”
“Do you realize,” Farrakhan solemnly told a shocked interviewer, “that before Barack Obama was elected, he was selected?”

Blacks Disappointed in Obama

Moreover, Barack Obama knew of my own video, Rothschild’s Choice: Barack Obama and the Hidden Cabal Behind the Plot to Murder America (Available on DVD), which exposed the Jews’ plans to use Obama as their weapon to communize America and destroy the Constitution. Obama’s ego took a blow when he realized that more and more people saw him as nothing more than a Jewish mouth, a yes-man.
Even most blacks around the nation were beginning to get the message that Obama was owned by rich Jews hostile to American—and black—economic interests. They bristled at the high unemployment rates of blacks and the billions of dollars for bankers and pennies for ordinary Americans. Blacks had begun to abandon Obama in droves, and Barack was heartsick and chafed to think he would go down in history as a traitor both to his own race and to average Americans, white or black.

Obama Joins Other Courageous Presidents

Barack Obama is not the first President to rebel against his Jewish creators and masters. Eisenhower did it and gave his brilliant farewell address warning of the profit-loving, war-mongering “Military-Industrial Complex.” Richard M. Nixon and John F. Kennedy, too, declared private wars against the Jews, the CIA, and the corrupt bankers. Truman before them did the same.
Truman did everything the Jews told him for years, then he got mad and disgusted and kicked Jewish financier Bernard Baruch out of his office and began to turn the screws against the Communists, whom he knew were the creation and secret-loves of the Jews. That was the birth of the successful Truman Doctrine, which was a warning to the Communist Jews in the Kremlin to back-off their plan for more world conquest.
The Jews, in turn, cursed Harry and told him they wouldn’t give him a dime to run for another term as President. They told him that as an ex-President, he would get no lucrative corporate board appointments, and no high-paid speaking gigs either and would have to go back to Independence, Missouri a poor man.
Harry Truman’s response: “Fine—and go to hell!”
Ike, who in 1956 ordered Israel to withdraw its troops from the Sinai, after retirement became a small college President. No big bucks for him after leaving the White House.
JFK was assassinated because the Jews saw he and his brother, Bobby (also murdered), as threats to their whole scheme for global domination. JFK had ordred Israel to give up its nuclear arsenal, and that drove them crazy.
Clinton and both Bushs generally played ball with the Jews, though George, Sr. was forced out of office because he once threatened to cut off foreign aid money to Israel. Clinton did the same and the Jews punished him with the Lewinsky scandal and impeachment.
George W. Bush, however, kissed the soles of the Jews’ shoes. He sent American troops to die in futile Middle Eastern wars for Israel, and co-operated with the Mossad in the 9/11 atrocity. In return, the Jews gave him two terms as President, made him a multimillionaire many time over, and today are publishing he and Laura’s hokey, baloney “memoirs.”

What Will Happen to Obama?

So, what will happen to the brave Barack Obama? Can he win against these beasts who have such a firm grip on the scalps of ordinary American citizens and are even now painting an imaginary target on Obama’s forehead? We shall see. It seems as if Obama is going to try and ally himself closer to what he perceives to be the everyday American. He’ll probably dump a lot of his pro-Wall Street swindler schemes—which his Jewish handlers favored. He’ll support the American workers, and take on Red China’s unfair trade policies. He will fight the bankers, the insurance crooks, and the globalist corporate traitors on Wall Street. He wants to actually become the President of the People, not the special interests. However, he will likely continue to be a left-wing radical, but no longer will Obama be in the hindpocket of the Illuminati Jews.

The Jews Will Kill Him...Or Depose Him

But, can he hold out against the many weapons the Jews have accumulated over the years? The Jewish lobby is going to pull out all stops to destroy the President. If they don’t kill him, they’ll try to embarrass and shame him through fake media stories and so forth. It will be open season against the Jews’ enemy, Barack Obama. If he’s lucky, he’ll be able to stick around until 2012 and be replaced by a more loyal servant of the Jews. If not, he’ll be eliminated—that is, assassinated; he’ll be another JFK.
Even if you and I do not agree with President Obama’s socialist policies, I urge you: Please pray for him, that God would protect him. It would be a disaster if he were to be assassinated. What we should pray for is for good health for the President and that he would abandon his long-held socialist ideas. That would be the best of all things.

Does He Have the Guts to Continue the Battle?

We shall soon see if this man has the guts, the gumption, to be a real man and stand up against such a formidable, sinister combination. We’ll know in a few short months whether President Obama will cave in or continue the battle against these monsters.
The Jews and their cohorts have Satan as their everyday companion and guide and he is crafty, cunning, and an able opponent. My advice to Barack Obama: Humble yourself before God, seek Him and give your life totally over to Jesus. Through Him, the weak are made strong, the desert shall see an abundant rain. You can deserve that Nobel Peace Prize. You can have a lasting legacy. You can defeat the evil force that has so oppressed America and the world. You can overcome.
“And he that overcometh, and keepeth my works unto the end, to him will I give power over the nations.” (Revelation 2:26)

POSTNOTE: Rahm Emanuel is already gone, having resigned October 1st. As unbelievable as it is, his White House associates gave Rahm Emanuel a dead fish as a going away gift. This is, of course, a death sign of the Chicago mafia (Click here to read article). David Axelrod has publicly announced that he, too, is leaving the White House. Larry Summers, also, is departing. Peter Orszag resigned as Budget Director. The other Jews on my Swindler's List are afraid that they are next. The war heats up.
Texe Marrs



Mercredi 6 janvier 2010 | Mise en ligne à 16h48 | Commenter Commentaires (216)
Y en a marre des Israéliens et des Palestiniens!
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Le directeur de cabinet de la Maison-Blanche, Rahm Emanuel, a récemment confié au consul d’Israël à Los Angeles que l’administration Obama «en a marre» des Israéliens et des Palestiniens. C’est du moins ce qu’a affirmé aujourd’hui la radio de l’armée israélienne, selon cet article du quotidien Haaretz. Emanuel aurait déclaré que les Américains sont excédés par la propension des Israéliens à adopter des idées plusieurs mois après que celles-ci eurent perdu leur utilité, et par l’habitude des Palestiniens de ne jamais perdre une occasion de perdre une occasion.
Comme le souligne Jeffrey Goldberg dans ce billet, la Maison-Blanche nie qu’Emanuel a tenu les propos qu’on lui prête.
(Photo AP)
 
 
 


VIDEO - Israel Anti Obama Protest


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