For some years now, Jeff Rense has been kind enough to host my videos and a few of my articles, and several other websites have followed Jeff's example, including Veterans Today, with whom my relations have been equally cordial, up until a few weeks ago when the notorious James Fetzer suddenly appeared out of nowhere, as a contributor, dredging up the almost-laid-to-rest No-Planes-in-New York theory.(...)
Une discussion fictive entre conspirateurs, on ne connaît que leurs initiales mais on peut les reconnaître facilement...
http://www.takeourworldback.com/fr/noplanes_fr.htm
Scène un: fin 1999, quartier général du Mossad
EH: Shalom. Notre plan est de faire sauter le World Trade Center. Nous allons
rejeter le blâme sur les musulmans, naturellement. Appelez-les "
la toilette", la "base de données" ou quelque chose du genre; le mot arabe
al-Qaïda sonnera plus effrayant. Il y a un gars qui
se meurt d'une maladie rénale et qui pourrait jouer le rôle d'
Emmanuel Goldstein, l'ultime scélérat. Son groupe a été
financé, entraîné et armé par la CIA. Sa famille
fait des affaires avec la famille B. Quelques shekels et ils vont accepter d'incarner cette légende, et après la
mort de ce personnage OBL la CIA peut payer des
acteurs pour jouer son rôle. Idéalement, les agents devraient être
achetés avec du Viagra, afin de ne pas attirer l'attention en recevant une rentrée d'argent subite ou en achetant des
bagues en or ou quelque chose comme ça. L'opération
servira de casus belli à nos soi-disant
alliés [étouffons quelques rires], tels que
les États-Unis pour entrer en guerre
pour nous. Nos ennemis tels que l'
Afghanistan et l'
Irak se
démocratisent, la politique d'occupation de
dommages collatéraux ou de
punition collective sert à
nous fournir les soi-disant terroristes et les
insurgés qui sont nécessaires pour justifier l'occupation continue et que la soi-disant guerre contre le terrorisme se poursuive, les banques centrales des anciens régimes deviennent plus
indépendantes du gouvernement, nous arrivons toujours à
tirer un bon profit de l'opium en inversant la réduction de la production par les Talibans, et nous pouvons jeter à nos marionnettes
quelques miettes après avoir pillé toute la richesse pétrolière.
EH: Bonne idée! Parlant de Zim-American Israeli Shipping, nous devons les avertir de quitter le WTC, disons,
une semaine avant l'attaque. En ce qui concerne le complexe du WTC, LS est l'
ami de BN, AS et EB. Et FL est
un ami de EO. Nous ferons en sorte que
LS et
FL reprennent le bail du WTC et
assurent les bâtiments pour
des milliards de dollars contre des attaques
terroristes,
six semaines avant que lesdits bâtiments soient détruits par des attaques terroristes. Vous direz que c'était une simple coïncidence ou quelque chose comme ça. Et nous pouvons dire la même chose à propos du fait que LS n'aura
pas déjeuné ce matin-là au restaurant
Windows on the World situé dans les étages supérieurs de la tour nord, et que ses enfants aussi ne se sont pas présentés au travail. Si quelqu'un trouve qu'il y a trop de
coïncidences, les traiter de sales menteurs
antisémites qui n'ont aucune preuve ni le moindre indice de nos méfaits.
EH: Nous enverrons quelques jeunes hommes i
nstaller leurs caméras vidéo
avant le premier impact. S'ils se font prendre en train de danser et de
célébrer en poussant des cris de joie et de moquerie, se tapant dans les mains ("
high five") ou en se filmant en
tenant un briquet allumé avec la scène de la tragédie à l'arrière-plan, nous ferons dire à leur avocat que
c'était une conduite immature et ils peuvent nier avoir ri et avoir été heureux. Nous avons déjà un très bon bouc émissaire ("patsy"): ZaJ, le
cousin de notre agent AaJ qui pose comme un partisan de la cause palestinienne depuis 1983. AaJ nous a déjà coûté des centaines de milliers de shekels pour ses services. C'est de l'argent bien dépensé - jusqu'à ce qu'il se fasse attraper! - mais nous compenserons à de nombreuses reprises. Et nous avons besoin de voler plus de
passeports pour les autres boucs émissaires. Nous avons besoin d'en obtenir suffisamment pour que Joe Sixpack puisse avaler le mythe de plusieurs Boeings détournés le même jour par les Arabes armés de cutters. La partie la plus difficile est d'en trouver qui puissent passer pour de
bons pilotes, qui ne se révèleront pas par la suite être
vivants et bien portants. Ou qui se révèleront être décédés au mauvais moment, par exemple,
exactement un an trop tôt dans une collision aérienne au-dessus de la Floride.
DY: Au moyen de la tromperie! L'hitraot.
Scène deux: quelques mois plus tard, à un dîner prestigieux de la Mafia Sioniste
EW:
Ziknei HaAm. Je lisais la revue
Popular Mechanics d
ès l'âge de quatre ans, et si nécessaire je peux les convaincre d'écrire un article de démystification sur les théories du complot. Je vais soudoyer ce
policier corrompu de New York, Kerik, l'
ami du maire, avec un soi-disant "
prêt" de 250 000$. Plutôt que de laisser des traces de transaction trop évidentes, je ferai appel à un intermédiaire - le marchand de marbre et de pierre de Brooklyn Shimon Cohen - pour payer sa femme. Et Steven Witkoff peut payer son loyer, il grimpera à plus de 200 000$ en quelques années. Nous dirons à
Kerik de prétendre qu'un
passeport d'un pirate de l'air a été trouvé. [Ils pouffent de rires] Je sais, je sais, il se séparera invraisemblablement des vêtements du pirate de l'air ou d'une valise et d'une autre
centaine de tonnes de débris provenant de l'avion y compris les passagers et les bagages, aura survécu à la boule de feu même s'il est
imbibé de kérosène, virevolté pour tomber par terre dans la rue dans un état presque vierge, pour enfin
être découvert, ayant réussi à rester au-dessus de toute cette couverture de
deux à trois pouces de cendres. Vous pouvez parier votre dernier shekel qu'on va vous croire; il y en a un de plus qui naît à chaque minute! J'espère juste qu'ils ne ruinent (F--k) pas tout et oublient sur quel vol chaque pirate est supposé être - qu'il vienne du nord ou du sud - et finissent par prétendre que le passeport a été trouvé dans
la mauvaise rue.
EH: Eitan, nous allons faire passer
Jérôme Hauer à
la télévision quelques heures après les attaques pour y déverser tous ses bobards sur la façon dont Oussama a fait le coup, et comment le World Trade Center
s'est effondré à cause de la vitesse de l'avion et parce que la chaleur intense avait aussi sans doute affaibli la structure. Et il y a un pigiste de Fox News qui va renforcer cela
en disant que les tours se sont effondrées principalement à cause d'une rupture structurelle parce que le feu était trop intense. Don Radlauer du
Centre Interdisciplinaire préparera un rapport à
publier à moins de quelques jours des attaques. Il montrera les trajectoires de vol des quatre présumés avions détournés, et prétendra que le détournement et le pilotage des avions serait entre guillemets "une tâche facile". Et Eddie Guigui Shalev
dira que Hani Hanjour était entre guillemets "un bon pilote", pour contrer les rapports honnêtes quant à
ses compétences de vol. Si
nous pouvons le corriger,
Henry, vous serez en charge de l'enquête officielle. [Rires.] Les
étudiants en art seront déjà en place, aidant à
notre opération d'extasy, et propageront l'idée desdits pirates musulmans en
fournissant à la CIA certains de ces noms présélectionnés. Pour ce qui est d'alerter les nôtres, il y a une société de messagerie instantanée dont les bureaux sont situés à
Herzliya et New York. Nous leur fournirons un
préavis de deux heures avant l'attaque. Comme je l'ai déjà dit, si quelqu'un se plaint qu'il y a trop de coïncidences, comme
l'exercice du NRO d'un avion s'écrasant sur une de leurs tours au même moment que les avions se sont écrasés dans les Twin Towers, nous pouvons les traiter d'
antisémites ou d'
haineux anti-juifs.
EW: L'acier doit être
recyclé aussi vite que possible. Nous ne voulons pas que soit découvert de l'acier
fortement sulfurisé ou
en partie évaporé. Nous ferons en sorte que
le maire restreigne l'
accès et
interdise de prendre des photos sur le site. Et nous avons un plan B, à utiliser dans le cas où un avion serait abattu et ne pourrait atteindre son objectif. C'est une possibilité qui pourrait survenir, par exemple, si
l'avion est retardé en raison de la congestion des aéroports. Les
exercices de jeux de guerre nous offrent toute une opportunité, mais l'ordre de laisser-faire ("stand down") ne pourra être maintenu indéfiniment. Dans le Plan B la détonation sera retardée de plusieurs heures, afin que nous puissions
prétendre que le gratte-ciel s'est effondré complètement en raison des
incendies de bureau. Et bien sûr, les opérateurs doivent se rappeler de faire exploser les étages inférieurs d'abord, plutôt que de la zone d'impact prévue. Nous dirons que les feux étaient hors de contrôle. Mais des années plus tard, quelqu'un devra inventer quelque sornette pour l'expliquer. Ils pourront blâmer la
dilatation thermique, ou quelque absurdité qu'ils pensent que les gens pourraient avaler. Quelque chose qui sonnerait très technique et impressionnant pour ceux qui ne connaissent rien des structures ou de l'ingénierie d'incendie, surtout si ces derniers ignorent le fait que ce phénomène qui laisse de l'
acier fondu et
de la thermite active et qui, le 11 septembre, a supposément démoli entièrement trois gratte-ciel, n'a jamais eu un tel effet dans toute l'histoire. Dans le scénario où aucun avion ne frappe le bâtiment, nous ne pouvons quand même pas invoquer
le mythe d'une ignifugation largement éliminée par un impact d'avion. Nous pourrions laisser
Silverstein concocter une histoire, comme une chute d'antenne causant des dégâts importants et sectionnant les conduits de gaz naturel. Et il y a un risque que la démolition retardée entraîne une certaine confusion sur le moment exact de celle-ci. Ce sera gênant si la
BBC ou
CNN affirme que l'édifice s'est déjà effondré, alors qu'on peut toujours le voir
debout à l'arrière-plan derrière la tête du journaliste, par exemple.
HK: Nous ferons en sorte que l'Emir du Qatar
diffuse les soi-disant vidéos d'
al-Qaïda sur
sa chaîne Al Jazira. Au moins ça sera de l'
arabe, alors que sur
CNN ça serait trop
évident. Les émissions montreront le scélérat présélectionné Oussama Ben Laden - ou l'acteur, si
Oussama décède ou
refuse de jouer son rôle et de dire qu'il a orchestré les attentats. L'émir est un vieil ami de
Dick Cheney, et nous pouvons également lui faire rencontrer
George W. Bush, Colin
Powell, Rudy
Giuliani, Paul
Wolfowitz et Richard Myers, alors il devrait être facile de l'avoir dans notre camp. Si nous ne pouvons trouver quelqu'un qui ressemble même de loin à Oussama, on peut simplement utiliser des
cassettes audio et prétendre qu'Al Qaïda ne pouvait pas se permettre une caméra.
EW: Efraim, assurez-vous d'avoir les bons noms pour les boucs émissaires ("patsies"). Si le FBI a besoin de
changer certains
noms dans les premiers jours soit parce que le gars s'est avéré être
encore en vie et que nous n'avons pas pu le buter entre temps, soit parce qu'il est mort
la mauvaise année, alors c'est un autre clou dans le cercueil de notre prétention à l'effet que les soi-disant pirates étaient tous sur la
liste des passagers. Pour tenir compte de la prétendue confusion initiale, nous devrons prétendre que certaines identités ont été volées. Et le vol d'un
nombre disproportionné d'identités de
pilotes exposerait publiquement nos tentatives de faire croire aux gens que ces boucs émissaires ont pu engloutir ces avions dans les bâtiments, car il n'y a aucune raison pour les pirates de l'air d'assumer l'identité de pilotes. Et ça ne va pas bien paraître si quelques-uns des noms modifiés sont ceux sur qui nous allons planter des preuves, comme par exemple une
Nissan Altima louée retrouvée
à Portland dans le Maine. Ça aura déjà
assez l'air louche si les pirates de l'air voyagent en voiture de Boston à Portland sans raison apparente, pour ensuite devoir
attraper un vol de correspondance pour retourner à Boston à la dernière minute, les
forçant presque à rater leur dernier vol. Les gens pourraient tiquer sur le fait que nous ayons attiré certains d'entre eux à Portland en leur promettant un emploi de pilote,
inventant alors l'histoire des pirates allant de Boston à Portland à Boston parce que nos soi-disant preuves vidéo de pirates de l'air dans un aéroport ne correspondaient pas aux heures de départ des vols détournés. Les gens pourraient se rendre compte que la théorie officielle du complot des pilotes suicidaires et des pirates de l'air avec des cutters est à ce point
débile qu'elle peut être rejetée comme
manifestement fausse.
EB: C'est une possibilité, Eitan, leurrer des boucs émissaires d'un aéroport. Si nous ne faisons pas cela, et que notre seule preuve photographique pouvant être attribuée à quelque
pirates de l'air les montre portant des
chemises à col ouvert, et l'agent de ticket qui fait les vérifications auprès des gars du
Mossad -
pardon, les
pirates - dit qu'ils portaient des
vestes et des cravates, et la caméra de sécurité derrière le bureau de l'agent de ticket se trouve à être commodément
hors d'usage, ça paraîtrait mal. Surtout si l'agent de ticket se trouve à être une source pas fiable qui propage la désinformation d'
un de ses amis au sujet d'une agente de ticket anonyme qui se serait suicidée supposément après avoir fait les vérifications auprès de ces mêmes pirates, et que l'histoire de suicide se trouverait par la suite
rejetée et traitée comme un maigre ouï-dire.
EH: Nous pouvons essayer de dissimuler les noms manquants ou incorrects sur les listes de passagers en prétendant que les médias de nouvelles n'ont publié que des "listes partielles", pour reprendre leurs mots exacts, parce qu'ils n'avaient pas reçu l'autorisation de publication de la part des familles des prétendus pirates de l'air. Mais si, par exemple, les Bukharis se trouvent à être vivants ou décédés trop tôt, et que nous essayons de dire que leurs remplaçants dans la nouvelle liste révisée des pirates de l'air - par exemple les Al-Shehris -
étaient en réalité les Bukharis, cela va nous faire passer pour des désespérés. Combien de temps cela prendrait-il à un enfant de six ans pour déduire qu'une personne qui était vivante et bien portante en Floride
entre 5:00-5:30 le matin du 12 septembre ne pouvait pas avoir été un des soi-disant pirates-suicide ayant été tué dans un écrasement d'avion le matin précédent? Trois secondes? Six secondes? Et si les flics devaient procéder à l'arrestation du soi-disant suspect, ou même aller jusqu'à évacuer des maisons voisines au cas où la maison du suspect serait truffée d'explosifs, cela manifesterait certainement un excès de zèle. Il n'y aurait rien pour étayer l'allégation que les al-Shehri étaient sur la liste jusqu'à ce que nous trouvions quelqu'un pour faire semblant. Des chercheurs honnêtes conclurons que si le moindre suspect se trouvait sur la liste, ce serait les suspects originels, par exemple les Bukharis.
JR: Notre influence est plus que suffisante pour résoudre chacun des petits problèmes que nous rencontrons dans la présentation. Maintenant, quelques bonnes nouvelles. Les finances du Pentagone sont dans un tel désarroi qu'ils ont eu à faire
6,9 billions (=milliers de milliards) de dollars d'ajustements pour concilier leurs divergences de comptabilité.
2,3 billions de dollars de ces corrections comptables n'ont pas de reçus, et l'information financière existe sur des ordinateurs autonomes et des documents de la section comptable. Avec Dov Zakheim au poste de
contrôleur des comptes du Pentagone, nous pouvons retirer une fraction de ce 2,3 billions de dollars - après tout, même dix pour cent nous laissent 230 milliards de dollars!
Thomas E. White, qui était à
Enron, devrait être en mesure d'aider, et pourrait impliquer l'administration américaine de sorte qu'ils seront obligés de dissimuler nos frappes au WTC. J'adore ça!! Nous
détruisons la section de la comptabilité du Pentagone, et inciterons Zakheim à se vanter plus tard d'avoir réussi à retrouver un peu de l'argent disparu, et ils font descendre la somme de 2,3 billions$ jusqu'à disons
700 milliards de dollars et moins. Il pourrait dire que, malheureusement, étant donné les "attaques terroristes musulmanes" [nombreux rires sinistres] contre le Pentagone, il ne sera jamais possible de rendre compte de tout l'argent - ni où il est allé. Notre opération sous faux pavillon est financée par l'argent public, c'est à dire par le contribuable américain, et les bénéfices sont déposés dans des comptes privés - principalement nos comptes à nous! Notre bénéfice sur cet investissement est infini.
EB: Brillant! Donc, nous allons engloutir un avion dans le Pentagone et le World Trade Center ...
EB: Mais n'est-il pas plus facile d'utiliser des avions? Si nous faisons en sorte qu'il n'y a
aucune image claire d'un avion percutant le Pentagone, nous avons encore l'avantage du fait que le mouvement de Vérité du 11 septembre passera
des années à débattre pour savoir si c'était le vol 77 ou un autre avion ou un missile, au lieu de
nous clouer et de
prouver comment les tours et le
bâtiment 7 ont été
démolis avec de la
nano-thermite. Des arguments de diversion sur le Pentagone aideront à protéger le
rabbin Zakheim et les
autres. Plus de temps cela prendra pour que des scientifiques publient
un article sur la controverse du Pentagone expliquant comment les données erronées d'un enregistreur de données de vol peuvent être conciliées avec les rapports de témoins oculaires d'un grand avion frappant le Pentagone, ou pour le mouvement de vérité du 11 septembre de comprendre comment les gens ont été dupés par des
spéculations diviseuses se faisant passer pour de la recherche, mieux ce sera. Et cela ne va pas paraître très crédible si nous prétendons que l
es impacts d'avions ont à eux seuls abattu immédiatement les tours. Le papier blanc de 1964 a révélé que les tours seraient
capables de tenir le coup suite à une collision de 600 mph avec un gros avion de ligne, ou un vent de 100 mph après que toutes les colonnes du périmètre d'un côté et quelques colonnes sur les côtés adjacents aient été coupés. Bien sûr, nous devons espérer que les gens oublient que John Skilling l'ingénieur en chef structurel a déclaré que la structure du bâtiment tiendrait encore debout même si un avion la frappait
et que tout le carburant se déversait à l'intérieur provoquant un incendie désastreux tuant de nombreuses personnes. Alors que dire des trous d'impact sur les côtés des bâtiments, avant qu'ils soient prétendument
abattus par des
feux de tapis de compartiments contrôlés par la ventilation, des postes de travail et de la papeterie de bureau? Comment allons-nous faire les
faux trous d'entrée d'avion?
JR: Nous allons faire en sorte que le murs soient astucieusement truffés
de charges par des experts en explosifs, et faire un si bon travail en plaçant les charges que les explosions souffleront des trous ressemblant à la silhouette d'un Boeing 767.
EB: Ça sonne trop exagéré pour moi. Et que dire du Pentagone? Si nous n'utilisons pas d'avion, allons-nous seulement utiliser des explosifs?
EH: Non, nous allons utiliser
un missile. J'avoue que cela signifie que des centaines de personnes supplémentaires devront être dans le coup, pour planter des pièces d'avion, prétendre qu'ils
ont vu un gros avion, et mentir à propos des corps et de l'ADN. Et plutôt que de se débarrasser facilement de
William Caswell,
John Yamnicky,
Charles Burlingame,
Wilson Flagg,
Stanley Hall,
Bryan Jack,
Chandler Keller,
Dong Lee,
Barbara Olson,
Ruben Ornedo,
Robert Penniger et d'autres qui ne peuvent garder le silence une fois qu'ils auront finalement réalisé ce qui est arrivé, nous allons détourner l'avion vers une base aérienne militaire, fusiller tous les passagers et l'équipage, puis fusiller les bourreaux pour les empêcher de parler, puis les bourreaux des bourreaux, etc. Ensuite, nous pouvons faire exploser l'avion, recycler l'aluminium, et fusiller ceux qui ont vu le missile et qui refusent de dire qu'ils ont vu un avion. Et ceux qui n'ont pas vu de corps, qui refusent de mentir à ce sujet. Et ceux qui ont refusé de mentir au sujet des tests ADN. Et ceux qui ont fait sauter l'avion, et recyclé l'aluminium...
HK: Ça ferait trop cher de munitions. [Rires.] Il est bien évident que nous devrions simplement utiliser des avions, plutôt que de recourir à toutes ces autres improvisations dans une tentative de parer à une prolifération d'éventualités. S'il est nécessaire que Rumsfeld
mentionne les $ 2,3 billions, ou d'avoir des rapports publiés sur la capacité du Mossad à cibler les intérêts américains en
faisant passer cela pour un coup des Arabes, alors le jour avant les attentats serait le bon moment pour
enterrer les mauvaises nouvelles, pour ainsi dire.
JR: En parlant d'enterrer, ferme-la, ou je vais m'arranger pour qu'Edgar te fasse aérer! Je suis responsable.
HK: Assez. Je ne suis pas bien avec cela. Nous avons besoin d'un complot sensé auquel nous pouvons tous convenir.
EB: C'est vrai Henry, et je ne vais pas vous envoyer dormir avec les
poissons, comme nous envisageons de faire avec ces shmucks en leur disant qu
'ils vont empocher le magot sur le bateau casino d'
Abramoff. Lord R, avec tout le respect que je vous dois, peut-être vous êtes trop vieux pour ce genre de chose. Cette technologie d'un nouveau genre n'est pas tout ce qu'on prétend à son propos. La technologie d'écran bleu? Hologrammes? (Il secoue la tête, sourit.) Et Efraim, vous ne sonnez pas comme si vous aviez beaucoup d'enthousiasme pour le truc des faux avions. Je n'ai pas invité le
rabbin Israël aujourd'hui, comme il aurait
mangé tous les bagels. Passez l'
Eau de Vie de Marc d'Aquitaine de Mouton Rothschild.
EH: Edgar - et Eitan, vous avez mentionné de leur faire la peau un peu plus tôt - nous n'avons pas besoin de recourir à toute cette théâtralité avec nos boucs émissaires. Naturellement, je ne l'exclus pas! Mais notre intelligence nous dit que
Saudi Airlines rappelera ses ingénieurs de vol des
cours de pilotage en Floride, qui est la raison même pour laquelle nous avons sélectionné des boucs émissaires Saoudiens. Ou du moins, nous avons suffisamment d'
influence auprès de Saudi Airlines pour les encourager à introduire la politique s'ils résistent. Nous avons juste besoin d'agir au bon moment, et les dits pirates suicides disparaîtront comme voulu. S'ils réapparaissent en Arabie saoudite et qu'ils en font tout un plat, ou ceux dont l'identité a été volée protestent, nous dirons que c'est une erreur d'identité. Je sais que cela n'explique pas la coïncidence de ces personnes qui
étaient toutes en Floride, avec des passeports volés ou ayant exactement les
mêmes noms, lieux de naissance, lieux de résidence et professions, et cela élude la question de l'identité réelle des prétendus pirates, etc. Mais nous allons l'ignorer. Et il est juste dommage que nous ayons à jeter le blâme sur les Saoudiens, car nous voulons que nos
marionnettes - oups, désolé, alliés - envahissent d'autres pays.
JR: Bon, je n'étais pas sérieux, et Efraim était au fait de mon petit complot. Nous devions démontrer comment le concept de "pas d'avions" nous sert si bien, un fait reconnu par le Mossad depuis le début de cette opération. Nous allons promouvoir les théories "
aucun avions dans le WTC" et "
aucun avion au Pentagone". Pour aider à alimenter la controverse, Rumsfeld peut prétendre avoir fait un lapsus en mentionnant entre guillemets le missile. Nous pouvons même pousser des agents du
MI5, de la
CIA, des
membres de l'administration Bush, etc, à faire une sortie publique en disant qu'ils sont des ex-MI5, ex-CIA, ex de l'administration Bush, et prétendre être des détracteurs qui ont eu un désaccords ou quelque chose comme ça, et puis promouvoir la théorie "pas d'avions". Ils peuvent y mélanger d'autres absurdités, comme par exemple que la Lune a
64 pour cent de la gravité de la Terre, une atmosphère respirable
dans les cratères, des lacs, des forêts et des pics de montagnes enneigées sur sa face sombre, et une
tour de capteur d'âmes sur sa face qui est proche de nous. Nous pourrions même leur
faire dire qu'ils sont le Messie! [Rires.] Après que certains de nos critiques soient tombé dans ces pièges de désinformation, ils vont être
divisés,
démystifiés, et
discrédités par
association.
Scène III: Six mois après le 11 septembre, sur la pelouse devant le Pentagone
DZ: Relier la liberté du pays
à la mémoire du Rebbe est une chose merveilleuse, surtout quand nous avons fait un billion de shekels et le chiffre monte. Notre opération a été un succès retentissant. Lorsque le
vol 990 a plongé
dans l'Atlantique, préparant le terrain à
nos médias pour qu'ils puissent
propager le concept de pilotes musulmans suicidaires à un public crédule, et tuant 33 officiers de l'armée d'Égypte, 22 mois et 11 jours
avant la date butoir, je n'ai jamais rêvé que l'occasion du Pentagone se présenterait. Le 31 octobre 1999, nous avions déjà le World Trade Center en ligne de mire
depuis des années, mais les comptables du Pentagone n'avaient pas annoncé combien de billions de dollars de corrections ont été requis pour l'année fiscale se terminant le 30 septembre 1999, ou combien de ces corrections n'avaient pas de reçu. Des renseignements suggèrent que certains fraudeurs à la petite semaine - selon nos normes [rires] - ont pris une étrange
poignée de millions par-ci par-là dans les comptes du Pentagone. Nous allons les laisser aller pendant un moment, plutôt que d'attirer l'attention sur eux immédiatement. L'Amérique est le plus grand pays au monde - pour le parasitisme, bien sûr! Il y a suffisamment de gens dupes et honnêtes qui travaillent fort qui peuvent être saignés à blanc sans en mourir. Et leurs efforts servent à financer la cause sioniste et notre Nouvel ordre mondial. Affaiblissez l'hôte, mais ne le tuez pas. Nous ne sommes pas des
parasitoïdes. Sauf lorsque
nous nous
vengeons de
ce que les
Rus nous ont fait, par exemple. Maintenant, pour la dvar Torah. [...]
AS: Nous devons être prêts car il arrive, le grand changement, la venue de Machia'h. Le Rabbi n'a pas laissé un héritage.
Il a laissé des ordres.
DZ: Je peux aussi vous dire que nous avons un plan d'urgence pour prendre le contrôle de l'Internet si le mouvement pour la vérité réussit trop bien à
démystifier nos mensonges.
Notre agent fera semblant de révéler des secrets d'une manière qui, naturellement, nous fera que du bien plutôt que du mal. Nous allons appeler cela des fuites ("leaks"), ou quelque chose comme ça ... Fuitopedia
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La niaiserie des "pas d'avion" fait penser à une conversation entre un "Créateur" et son assistant ...
Les Faux "cerveaux" des "Aucun avion au WTC"
Créateur: Israël, avec le soutien de ses marionnettes, qui va attaquer le World Trade Center et du Pentagone le 11 septembre 2001 en faisant s'écraser des avions dans les édifices.
Assistant: Oh grand maître, après l'attaque, n'y aura-t-il pas toute une panopolie de cinglés qui proposeront toutes sortes de théories du complot sur des avions truqués et des inanités semblables?
Créateur: Certainement, et j'étais au courant de ce nouveau Pearl Harbor longtemps avant le premier Pearl Harbor, mais j'ai déjà créé le cerveau de ces soi-disant enquêteurs. J'ai pris trois livres de sciure, je l'ai répandu dans un cercle, savamment placé quelques charges pour une coupe à angle en dehors du cercle et les ai déclenchés de manière à pousser la sciure de bois en un tas dans le centre du cercle.
Assistant: Pourquoi n'avez-vous pas seulement mis la sciure de bois dans un tas dès le départ, sans vous embêter avec des charges à coupe à angle?
Créateur: Pourquoi laisser la simplicité entraver une petit idée brillante d'ingénierie créative?
Toutes les références à des personnes vivantes ou mortes dans les discussions hypothétiques rapportées ci-dessus sont tout autant des «coïncidences» que:
- les exercices de jeux de guerre du 11 septembre
- l'exercice du NRO simulant un avion s'écrasant sur une de ses tours au moment exact où les avions du 11 septembre s'écrasaient dans les tours
- l'exercice de Reed Elsevier qui simulait l'explosion d'engins incendiaires sur trois trains à 9h00 le 7 juillet 2005 à trois stations de métro qui ont été le théâtre dans des attentats du 7/7 à Londres ce jour là
- l'avertissement d'Odigo contre une attaque sur le World Trade Center deux heures avant que le WTC soit attaqué
- les attaques à l'anthrax ciblant des bureaux des médias de nouvelles et des sénateurs démocrates une semaine après le 11 septembre
- la reprise du bail du WTC six semaines avant le 11 septembre par des amis des quatre premiers ministres d'un pays qui avait déjà une réputation bien méritée de mettre en scène et d'avoir la capacité de mettre en scène des attaques terroristes sous faux pavillon
- l'un de ces premiers ministres bénéficiait d'une connaissance préalable des attentats du 7/7 à Londres, et a déclaré que le 11 septembre était «très bon» pour Israël
- l'effondrement complet et sans précédent de trois grattes-ciels à charpente d'acier des suites des incendies et/ou de l'impact des avions, alors que l'un d'eux n'a même pas été frappé par un avion
- les étages du WTC affectés étant corrélés avec ceux qui avaient bénéficié d'une "mise à niveau" d'ignifugation
- l'un des présumés "pirates" du 11 septembre qui se révèle être le cousin d'un agent d'Israël qui a reçu plus de 300 000 $ pour ses services comme un faux antisioniste
- le maire de San Francisco Willie Brown qui reçoit un avertissement le 10 septembre de ne pas prendre l'avion le jour du 11 septembre
- un témoin oculaire, dont le témoignage explicite d'explosions précoces dans le WTC7 avant l'effondrement de la première des deux tours contredit la version officielle des événements, meurt tout à coup deux jours avant la publication du brouillon du rapport du NIST sur le WTC7
- la fille du pilote allégué du vol 77 qui meurt dans un incendie d'appartement suspect
- le taux d'occupation anormalement bas des quatre avions du 11 septembre, avec parmi les passagers d'un des avion deux personnes qui avaient travaillé sur des projets noir top-secrets pour la marine américaine, un ancien amiral de la marine et un pilote d'American Airlines, deux ingénieurs de propulsion de Boeing, un ingénieur de Boeing qui a travaillé pour leurs systèmes de défense intégrée et qui avait travaillé pour la National Security Agency (NSA) depuis 14 ans, un ingénieur électrique pour les BAE Systems, un expert en technologie anti-radar et un directeur de la gestion du programme à Raytheon, un cadre supérieur et un analyste de budget de haut niveau qui a travaillé au Pentagone, un commentateur de CNN et l'épouse du Solliciteur général américain qui a affirmé avoir reçu des appels de téléphone cellulaire provenant de l'avion, etc
À propos de ces conspirationnistes qui ont les yeux rivés sur des technicalités... chez les Truthers du 11 septembre!
While the researchers have preoccupied themselves with how the assassination was accomplished, there has been almost no systematic thinking on why President Kennedy was killed."
--Vincent J. Salandria, Attorney Philadelphia, Pa. Based on an address at the conference of the New
England Branch of the Women's International League for Peace and
Freedom, Cambridge,
À
propos du conspirationnisme débile, qui évite de trop insister sur
l'identité des commanditaires en focalisant le plus souvent sur des
technicalités (ces fameuses "incohérences de la version
officielles"!), se propageant partout et très rapidement sur le Net,
polluant, intoxiquant le mouvement de vérité, tout ça pour que les
contrôleurs de l'info puissent continuer à contrôler l'info tout en nous
faisant passer pour des twits crédules (Ex: acteurs de crise à Boston
et
Sandy Hook, vidéos et images truquées, etc.), voire même potentiellement
dangereux (Breivik-Oslo, Tsarnaev-Boston, etc.), ça ils adorent!
AUDIO - The Piper Report - Monday, Aug. 26, 2013
Piper lit quelques
extraits d'un livre anti-conspiro ("Among the Truthers" de Jonathan Kay) qui a malheureusement trop raison:
"All of the tiny little islands of paranoia suddenly were linked up by virtual causeways. One result is that elaborate
conspiracy theories now can be cobbled together literally overnight
through the efforts of hundreds of scattered dilettante conspiracists. Another result is that conspiracists
all around the world now tend to focus on the same few dozen talking
points that figure prominently on the top websites.
The Internet has produced a radical democratization of the
conspiracist marketplace of ideas. No longer does one have to spend
years researching and writing a book to attract attention: One can
simply set up a blog, or chime in on someone else’s, with some
refinement of the existing collective lore. In fact, today’s
conspiracists don’t even have to read books — they can pick up all their
talking points from Truther websites, or, better yet, from Truther
propaganda videos. (...)
This dumbing-down effect explains the downward shift in the age
profile of conspiracists: While influential JFK conspiracy theorists
tended to be bookish middle-aged eccentrics, many of the Internet’s
noisiest Truthers are barely old enough to shave: Conspiracism is
something they fit in between video gaming and Facebook surfing.
Published in Canada by HarperCollins Publishers Ltd. All rights reserved.
"As this positive social feedback becomes addictive, the conspiracist's
network of enablers grows often to such a point that it crowds out the
conspiracy theorist's nonbelieving friends. The process resembles the
formation of an electronic cocoon that envelops a conspiracist with codependents."
-"Among the Truthers", Jonathan Kay
À propos du 9/11 et d'Israël:
"THE 9/11 EFFECT
If the Holocaust and the
creation of the Jewish state jointly marked the first great turning
point in the modern history of Anti-Semitism, 9/11 marked the second. Following
the attacks, supporters of Israel spoke of a silver lining: The war
against militant Islam suddenly was a global one. Now, the whole world
would see and understand the sort of nihilistic hatred that Israelis
confronted everyday."
"America's fight became Israel's fight. Over the
last decade, a period during which Republicans and Democrats have fought
over every other subject imaginable, support for Israel has remained
one of the few issues to attract virtually unanimous bipartisan
support."
"Among warhawks on the Right in particular, the sudden
identification of militant Islam as America's greatest enemy cast a
startling transformation in the perception of the American Jewish
community. Whereas Jews might once have treathened the American Right in
their roles as Communists, Anarchists, Trade Unioners, Civil Rights
leaders and Ivy League intellectuals, no Jew could ever be an islamist.
Just the opposite: the Jew was the perfect anti-Islamist, whose zeal and
reliability in the war on terrorism was hard-wired into his political
DNA, thanks to six decades of israeli warfare against islamic terrorists
in the Middle East. For the first time in the history of western
civilisation, the Jews' 'foreignness' and mixed-loyalties -- to the
United States, Israel and world Jewry -- became a source of respect and trust rather than suspicion."
"The September 11th attacks
changed America in a thousand different ways. Perhaps the most ironic,
given the terrorists' intensely Anti-Semitic ideology, was that it
cemented the long process leading to the Jews' full-fledged ascension
into the America establishment. "
-- "Among the Truthers", Jonathan Kay
by Michael Collins Piper
CHAPTER TWENTY-EIGHT:
9-11 and the New
Internet Paradigm:
The Necessity for
High-Level Manipulation and
Control of the
Dissemination of Information
Canadian
Zionist conservative Jonathan Kay has been among the foremost critics of the
growing number of people in the United States and around the globe who have
questioned the official version of what really happened on September 11.
First
referenced in Chapter 17, Kay’s recent book—Among
the Truthers: A Journey Through America’s Growing Conspiracist Underground—outlines
Kay’s concerns about a variety of conspiracy theories, but makes clear his
foremost worry is the blossoming of 9-11 conspiracies in particular and that an
inordinate number of 9-11 “truthers” point the finger at Israel for that crime.
However, of
course, the truth is that most 9-11 dissidents are still largely determined to
direct the blame for 9-11 at George W. Bush or the CIA or “the military-industrial
complex” or the Illuminati or some combination thereof. Many who do suspect
Israeli complicity would just simply not even mention it.
And then,
naturally—and this must be said—there are also considerable numbers of agents provocateurs who have infiltrated
the 9-11 truth movement (just as they infiltrated the JFK assassination and Oklahoma
City truth seekers) who are consciously (and often quite successfully) muddying
the waters of research through their insertion of distractions and distortions
that redirect focus away from the real conspirators responsible for those
terrorist tragedies.
And this is
something that is critical to remember: at the time of the JFK assassination
there was no Internet. And at the time of the Oklahoma City bombing, the Internet
was in its infancy.
The growing
public awareness that something was wrong with the official explanation of the
JFK assassination was largely stimulated through books, magazine articles, and
lectures at small gatherings around the country by pioneer researchers such as
Mark Lane and Penn Jones and others whose efforts were supplemented
considerably by New Orleans District Attorney Jim Garrison’s journey into the
realm.
Literally,
word-of-mouth became—during the mid-1960s and beyond—one of the primarily means
of broadening discussion about the Warren Commission cover-up.
And
needless to say, during this time—and we now know this for a fact—the CIA was
in the front-line (although largely operating behind the scenes)—along with the
FBI—in doing a great deal of mischief designed to confuse research into the JFK
assassination.
And, I
think, it’s also fair to say that the Mossad’s own fine hand—through its assets
in the mainstream media, in particular—also played a major part in providing
vital support to the intrigues of the CIA and the FBI in this regard.
Essentially
the same scenario came in the wake of the Oklahoma City bombing. This time,
with the rise of desktop publishing and desktop video production, those who
were dissenting against the official version of events had, in some respects,
even greater outreach than the JFK researchers who were giving headaches to
those responsible for the official cover-up.
And the
advent of the Internet—though, as we said, still in its earliest days of
development—added another dimension that gave considerable outreach to the
critics of the government’s lies surrounding the Oklahoma tragedy.
But by the
time of the 9-11 disaster, the Internet was already holding sway, and it proved
to be a valuable asset in so many ways for those who were seeking to research
the story behind the story of 9-11 and to communicate their findings to the
American people and to the world.
As a direct
consequence, the powers-that-be—whomever you choose to identify as
such—realized that the Internet could prove to be a very real danger to their
continuing domination of the mass print and broadcast media in the United
States and around the globe.
As such,
the powers-that-be realized they simply had to find ways to be able to
circumvent the growing truth movement—a veritable tsunami that was piling up
and preparing to swamp the conspirators and the lies about 9-11 purveyed upon
the American people.
In addition
to this, another (very negative) aspect of the Internet must be considered.
While the
Internet has indeed been a major venue for truth—about 9-11 and so many other
matters—the Internet has also set the stage for a growing amount of
disinformation (both deliberate and unintentional that has had the effect of
negating the very good research on 9-11 and other issues that has been achieved
by sincere truth-seekers.
Ironically,
in this regard, the aforementioned Zionist propagandist, Jonathan Kay, has
summarized the matter well:
Elaborate conspiracy theories now can be
cobbled together literally overnight through the efforts of hundreds of scattered
dilettante conspiracists.
Another result is that conspiracists all around
the world now tend to focus on the same few dozen talking points that figure
prominently on the top websites.
While Kay
doesn’t say it (and he is essentially celebrating this point) the truth is that
what Kay calls, in this regard, the “intellectual balkanization,” that has
resulted means that if some bad information—that is, disinformation (deliberate
or otherwise)—has been inserted into the debate, that disinformation manages to
become an article of faith.
And the
result is that serious, fact-focused researchers—those who pay strict attention
to detail and try to correct the mistakes—often end up being accused of being
the disinformation specialists when, in fact, they are the real truth seekers
trying to discredit the disinformation!
Kay
assesses the situation in all-too-accurate terms:
The Internet has produced a radical
democratization of the conspiracist marketplace of ideas.
No longer does one have to spend years
researching and writing a book to attract attention: One can simply set up a blog,
or chime in on someone else’s, with some refinement of the existing collective
lore.
In fact, today’s conspiracists don’t even have
to read books—they can pick up all their talking points from Truther websites,
or, better yet, from Truther propaganda videos.
And the
problem is, as we’ve said, that these websites and videos that Kay refers to
sarcastically as the work of those whom he dismisses as “Truther” sources are
not always—in fact, often are not—very reliable sources at all, either as a
consequence of slip-shod research or simply the result of just bad writing that
conveys false ideas as fact.
What has
happened is that—just as Kay has said—many people have been propelled into what
Kay calls “paranoid echo chambers,” in which people repeat back to one
another—via email, via websites, in books and articles based on that
material—an array of misinformation and disinformation that adds nothing to
serious conspiracy inquiry and certainly does it a disservice (which is
something that Kay and others of similar mindset certainly like to see
happening).
Again, Kay
is all-too-unfortunately on the mark when he writes:
The
conspiracist’s network of enablers grows—often to such a point that it crowds
out the conspiracy theorist’s nonbelieving friends. The process resembles the
formation of an electronic cocoon that envelops a conspiracist with codependents.
Surrounded by an enabling group of the like-minded, he gradually embraces the
delusion that his movement has gained critical mass . . . .
The
consequence is that Kay is absolutely correct when he refers to the “dumbing
down effect” that is arising as a result of the growing world of Internet
conspiracy dabbling and he is very much again on target—all too much so—when he
suggests that modern-day conspiracy theorizing is something that many people
“fit in between video gaming and Facebook.”
In other
words, what Kay calls “conspiracism” is emerging, in many respects, as simply a
hobby, a new form of entertainment!
Many
people—and these are good people—just don’t realize that the world of
conspiracy research is not some game, but a deadly serious realm that
intersects with the very real world of high-level conspiracies shaping the
course of our future.
So the
bottom line truth is that while the Internet has been a valuable tool for
genuine truth-seekers, the Internet—by its very nature—has also become
(particularly in the wake of 9-11) as a considerable and important resource in
the dangerous high-tech arsenal of those who seek to manipulate and misinform
the public, most especially those who rely on the Internet as a source of
information about the very conspiracies that the real conspirators are engaged
in.
The 9-11
experience, so to speak, thus proved to be a very real lesson for those
responsible for 9-11 and its cover-up, for they were able to observe (and quite
carefully) the manner in which information relating to 9-11 emerged and then
circulated via email and other means of Internet communication, including
YouTube and other new formats known as “social media.”
And, for
the record, it has long been an article of faith—and a reasonable one—that in
actual preparation for the orchestration of 9-11, the conspirators had already
set in place more than a handful of individuals, websites and other means
charged with the evil task of “infiltrating” and manipulating and distorting
legitimate efforts to uncover the real truth about 9-11.
In fact, after
9-11, there emerged more than a few people who might be called “instant
internet celebrities” who became known as “9-11 truthers” but who were—from the
beginning—bought-and-paid-for assets of the high-level forces responsible for
9-11 in the first place.
An entire book
could be written about some of these characters, but that’s another matter for
another time. But suffice it to say, they made their influence felt (in one way
or another) and had a considerable impact in shaping not only the 9-11 truth
movement itself, but also by offering up opinions about other matters (various
and sundry) that also had the effect of delegitimizing very real research (some
of it based on years of study) that countered the intrigues of the global
elite.
Many of
these operatives spent much of their time putting out what could only be
described as downright “crazy” theories about 9-11 that redirected attention
away from sober, responsible research.
In other
instances, they specialized in cranking out often-reckless theories that were
quite easily refutable, therefore giving credence to the oft-heard claim from
the mainstream media that any and all other dissident 9-11 research was just as
silly and unreliable.
And in a
number of instances, there were several 9-11 “truthers” who, while pointing the
finger of blame at Israel, were (at the same time) engaging in other activity
that led many observers to believe that these individuals were “black
propaganda” operatives trying to bring discredit to those who believed Israel
was indeed responsible for 9-11.
Two such
individuals, Christopher Bollyn and Eric Hufschmid—whom many believe were
“ringers” inserted into the 9-11 truth movement from the beginning—ingratiated
themselves with American Free Press (having pretended to be enthusiastic about
my book Final Judgment) and, over a period of time, engaged in a concerted
effort to influence AFP’s coverage of 9-11—and not in a positive way.
Ultimately
AFP discovered that while Bollyn and Hufschmid supplied a lot of “good”
information, that data was mixed in with a variety of “bad” data, the
consequence of which was that many of the stories the two generated (working
hand-in-hand on a daily basis behind the scenes for well over a year) proved to
be of rather dubious value.
At one
juncture, Bollyn and Hufschmid tried to convince the editors of AFP that
outspoken 9-11 survivor, William Rodriguez—who had been honored by 9-11 truth
seekers all over the United States and around the world for his integrity—was
some sort of “Zionist agent.”
And despite
the fact that independently wealthy American philanthropist Jimmy Walter had
bankrolled speaking engagements by both Bollyn and Hufschmid, the dynamic duo
also spread the word that Walter—who spent millions of dollars of his own money
seeking to alert the public to 9-11 truth—was also a stooge for Israeli
interests.
For my own
part, I spent an entire week in Malaysia in the company of both Rodriguez and Walter
and I never saw any sign that they were working to advance Zionist interests in
any way, shape or form.
However,
considering the record of Bollyn and Hufschmid, I think it’s safe to say that
the same thing cannot be said about them.
Considering
all of this, more than a handful of 9-11 dissidents (including many who
believed Israel was behind 9-11) ultimately came to conclude Bollyn was
actually a disinformation agent using a perverse back-handed way of
discrediting AFP and those who believed the Mossad was responsible for 9-11.
Bollyn’s
critics correctly pointed out that Bollyn had a pattern of misquoting sources,
misinterpreting scientific information, and making assertions about certain
matters without any foundational authority.
The
consequence was that Bollyn’s disinformation gave ammunition to critics of
AFP’s contention that the Mossad was behind 9-11 and as such was
enthusiastically bandied about by Zionist propagandists seeking to undermine
AFP’s thesis even though the questionable material by Bollyn focused on
scientific data that had nothing whatsoever to do with the specific matter of
Mossad involvement in 9-11.
In the end,
after their deception was unmasked, Bollyn and Hufschmid launched a smear
campaign against AFP alleging that we were, too, were really “Zionist agents” trying
to cover up Mossad involvement in 9-11, an allegation preposterous on its face
to anyone familiar with AFP’s work. Bollyn even claimed that Mark Lane—the
anti-Zionist Jewish critic of Israel who pinpointed the CIA’s role in the JFK
assassination conspiracy—was a Zionist and a secret asset of the CIA!
Unfortunately—and
not unpredictably—a few naive folks actually believed these liars, especially
people new to the 9-11 truth movement who didn’t have access to the big
picture. However, when all was said and done, the romance between Bollyn and
Hufschmid came to a bitter end and the two began accusing one another of being
Zionist agents!
And the
strange outside possibility was that both of them could actually have been
right. After all, not all Zionist agents necessarily know the identities of the
others. That’s how complex the world of intelligence intrigue happens to be.
Hufschmid’s
own website devolved into a mish-mash of weird commentary (often referencing
sexual matters, especially human interaction with animals) and once even
included a nude photograph of Hufschmid, taken from the rear, ostensibly for
the purpose of explaining some “health” matter Hufschmid felt would interest
his readers.
That
Bollyn, an American, had spent time on an Israeli kibbutz and later married an
Israeli woman—who worked for Shin Bet, Israel’s domestic intelligence
agency—was a point many found telling. That his own sister was also married to
a Jew and had taken up residence in Israel was also considered somewhat
suspicious.
It’s always
been my suspicion (based on a variety of data too complicated to delve into
here) that Bollyn was a long-standing international free-lance intelligence
operative who, for at least a substantial part of his career, was working for
the Church of England, which—although many people don’t realize it—has always
been an arm of British intelligence, active in global intrigue. In fact, Bollyn
and his family have multiple “British” connections which also point toward that
conclusion.
And,
needless to say, the British Empire—which has long been under the control of
the Rothschild Dynasty—has always played a peculiar role in advancing Jewish
and Zionist interests, even going back to the days when the woman whom Bollyn
claims as an ancestor, Anne Boleyn, was a central player in a grand design that
disrupted the traditional role of the Roman Catholic Church in Britain and set
the stage for the rise of Jewish financial power in Britain in years to come.
(And that is a story in and of itself—worthy of a book that has yet to be
written.)
But for
those who are interested, an English patriot and critic of the New World order
with an abiding interest in 9-11 truth—and who does believe Israel was a key
player in that tragedy—has put together a remarkably detailed website (complete
with a fascinating variety of links and other valuable information) which
delves into the bizarre story of Bollyn and his erstwhile friend Hufschmid. See
http://www.takeourworldback.com for more.
In any
event, all of this having been said, it’s quite clear that the circumstances surrounding
9-11 gave Israel—along with other power players on the world stage—a new
understanding of how the Internet worked and how its resources could be
utilized (for better or for worse) in manipulating global opinion.
And as a
consequence, people in high places began working to lay forth a plan to ensure
that, in the future, the Internet could be used for their own benefit and to
undercut those—such as the 9-11 dissidents and other truth-seekers who
questioned “official” stories about such matters as the JFK assassination and
the Oklahoma bombing and other matters—who stood in opposition to the New World
Order agenda.
As we shall
see, this carefully-crafted endeavor had even further consequences when the
plan was skillfully put into actual working order in the wake of the Sandy Hook
shooting in Newtown, Connecticut and the Boston Marathon bombing that followed
not long afterward.
The
Internet, as a consequence, was no longer simply a venue for truth seekers to “get
the word out” about high-level cover-ups. Instead, it became a vehicle used by
the high-level conspirators to not only confuse the work of the truth seekers
but also to combat them by discrediting them through some of the most
manipulative means possible.
It’s a
story that has never been told before, but it is a story that must be told, if
real truth seekers are going to be able to deal with the big challenges that
lie ahead, particularly when confronted with propaganda and disinformation
designed to frustrate their efforts to combat the very real forces of Evil that
lie behind the New World Order.
Let us then
move forward and examine this extraordinary conspiracy in a way that it has
never before been dissected. It’s a shocker . . .