Le patriote américain Charles Lindbergh, leader de l'America First Committee, avait identifié trois grands fauteurs de guerre : les Juifs, les Britanniques (Churchill) et l'administration Roosevelt (qui était conseillé et influencé par des Juifs et qui avait moins peur des Soviets que des nazis). Lindbergh était sur la même ligne que Henry Ford et Joseph Kennedy.
VIDEO - The War Party - Zionist Influence on Neocon Foreign Policy (BBC)
Voir Le lobby israélien et son influence sur la politique étrangère américaine
Du trotskisme au néoconservatisme
Les journaux néo-conservateurs prééminents sont Commentary et The Weekly Standard. Il existe aussi des think-tanks néo-conservateurs sur la politique étrangère dont notamment American Enterprise Institute (AEI), Project for the New American Century (PNAC), The Heritage Foundation et le Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA).(...)
Le néo-conservatisme apparaît véritablement dans les années 1980, quoique l'on puisse trouver des éléments précoces de ce qui peut apparaître comme une école de pensée politique dans les années 1960, autour de personnalités comme Irving Kristol, Norman Podhoretz, Wilmoore Kendall, John M. Olin, James Burnham, Francis Fukuyama, ou Charles Krauthammer. (...) Ses adeptes sont souvent d'anciens démocrates, voire d'anciens trotskistes, déçus par l'évolution culturelle et intellectuelle depuis les années 1960. C'est le cas d'Irving Kristol, ou de Martin Diamond, spécialiste de la Constitution américaine. (...) Si de nombreux néoconservateurs sont de confession juive et catholique (Gerson, Mark: 1987 : 285), il serait faux de réduire cette vision politique à une approche communautaire. Il est plus juste de dire que les néoconservateurs sont le plus souvent des pro-israéliens proches du Likoud, la droite israélienne (...)
Mais qu'est-ce que le trotskisme? Pour le comprendre, il nous faut faire un bref retour sur l'idéologie communiste et la révolution bolchévique en Russie.
Les trotskistes ont vite compris qu'il valait mieux rejoindre l'empire américain contre les staliniens et l'Union soviétique. Au centre du complot pour assassiner Staline (tué en 1953 le jour de le fête juive de Pourim, exactement comme le légendaire ennemi des juifs, Haman, dans le Livre d'Esther) se trouvaient des médecins juifs (voir "le complot des blouses blanches") et des agents liés à des organisations antifascistes, que Staline avait reconnues comme étant en réalité des façades des sionistes. Dès 1939, Staline a lancé des purges anti-juives et surtout antisionistes, en raison des liens évidents entre les capitalistes et les sionistes. C'est surtout à partir de ce moment que l'Union soviétique a été dépeinte dans les médias comme l'incarnation du mal et Staline comme le plus effrayant croque-mitaine après Adolf Hitler. Voici une citation surprenante de Staline, prononcée en août 1939: "Le Sionisme veut dominer le monde. Il se vengera de nos succès et accomplissements. Le Sionisme international, avec toute sa puissance, s'efforcera à détruire notre Union de sorte que notre pays ne puisse jamais se rétablir."("Zionism strives for world domination. It will take revenge for all our successes and achievements. International Zionism with all its power will strive to destroy our Union, so that our country would never recover.") Il apparaît clairement que, à l'inverse des staliniens qui ont rejeté les sionistes, les trotskistes ont rallié les sionistes et l'empire mondialiste américain qui les ont accueilli à bras ouvert d'autant plus facilement qu'ils avaient en fait jamais été très loin l'un de l'autre.
Le néo-conservateur Nathan Sharansky fait partie de ces juifs qui ont dû fuir l'Union soviétique sous Staline et qui se sont vus refuser par Staline le "droit" de plier bagage pour aller s'établir en Israël (d'où le nom de "refuzniks"). Staline avait plutôt créé le Birobijan, le premier état juif autonome, au Nord de la Chine, en 1934, bien avant la création d'Israël par l'ONU en 1948. Rappelons que Bronfman a joué un rôle de premier plan dans l'aide et le lobbying en faveur des juifs d'Union soviétique. La haine des trotskistes et des futurs néo-conservateurs vis-à-vis Staline et l'Union soviétique n'a cessé de croître depuis. Dès lors, les néo-conservateurs, ces anciens communistes trotskistes, se sont lancés dans une grande croisade contre l'Union soviétique et, hypocritement, contre le communisme. C'est la période de la guerre froide. L'influence anti-soviet de ces néo-conservateurs se fera sentir plus spécialement dans l'administration Reagan. Plus tard, les médias de Bronfman donnaient la tribune aux néoconservateurs.
Il est hautement significatif que le président George W. Bush a déjà dit que le livre sur lequel se fonde sa pensée est le livre de Nathan Sharansky The Case for Democracy (The Power of Freedom To Overcome Tyranny and Terror). Dans ce livre, Sharansky explique que c'est la mission consacrée des États-Unis de faire la guerre aux régimes tyranniques afin de porter le flambeau de "la démocratie et la liberté" aux quatre coins de la planète. Sharansky fut en fait le mentor intellectuel et conseiller secret de Bush.
Mais qui sont ces étudiants revendicateurs et quelle est leur utopie ? Selon le politologue Ehud Shprinchek, la plupart viennent de bonnes familles bourgeoises, plutôt socialisantes. Et surtout, beaucoup de Juifs. Tous sont des acteurs politiques. (...)
Les Juifs et la révolution
En 1988, le quotidien Le Monde publie un article intitulé : ‘’Le mouvement de mai 68 fut-il une "révolution juive" ? En effet, la proportion de Juifs dans les mouvements révolutionnaires, que ce soit en 1917 ou en 1968, est importante. Est-ce une tradition juive que de vouloir changer le monde et de s’y engager ? Est-ce que le messianisme révolutionnaire fait écho (laïque) au messianisme juif dans sa version émancipatrice ? (...) Ces enfants d’après la Shoah exorcisent leur lourd héritage familial en devenant membres de groupes trotskistes, maoïstes ou anarchisants. Ils fondent et militent dans des mouvements révolutionnaires d’extrême gauche (Gauche prolétarienne, Jeunesse Communiste Révolutionnaire trotskyste (actuelle LCR), Organisation communiste internationaliste trotskyste) peut-être pour faire le pendant de l’extrême droite. Il est d’ailleurs intéressant de noter que les meneurs sont principalement ashkénazes. Tous ces intellectuels de la gauche radicale aujourd'hui reconvertis en député européen, maître de conférences, professeur d’histoire, philosophe (Daniel Cohn-Bendit, Daniel Schulmann, Yves Fleischl, André Glucksmann, Robert Linhardt, Henri Weber, Alain Krivine, Daniel Gluckstein, Alain Finkielkraut) ont en commun d'avoir grandi dans des familles profondément marquées par le drame de la Shoah.(...)
Même laïcisés, les Juifs gardent ancrés en eux cette mission qui incombe à Israël de mener l'humanité à son accomplissement (...) Il y a un écho entre le déterminisme historique marxiste et le Judaïsme vecteur de l'histoire de l'humanité. Comme l'a formulé Benny Lévy, philosophe ancien soixante-huitard revenu aux sources de la pensée juive, le Juif est un passeur. Il est le vecteur de l'Histoire jusqu'à l'accomplissement de l'humanité dans le projet divin ".
Moise, Marx et Trotski
Mai 68 fait appel aux deux grands théoriciens de la gauche révolutionnaire : Marx et Trotski. Eux-mêmes Juifs, ils cherchent à travers le communisme une réponse au "problème juif ". Le marxisme et le trotskisme dans sa version plus radicale de mouvement permanent et mondial seraient donc en quelque sorte sa solution globale.
C'est de cette matrice révolutionnaire trotskiste qu'émergent les néocons.
Qui sont les néo-conservateurs?
Le premier grand néo-conservateur à avoir adopté ce mot et qui est considéré comme le fondateur de cette idéologie est Irving Kristol, un Américain juif né dans une famille juive orthodoxe et père de William Kristol, fondateur du think-tank néo-conservateur Project for the New American Century. Irving Kristol a été un militant trotskyste actif pendant sa jeunesse et a exposé ses vues néoconservatrices en 1979 dans l'article "Confessions of a True, Self-Confessed 'Neoconservative.'" Les idées de Kristol sont influentes depuis les années 50 quand il a cofondé et édité le magazine Encounter. Un autre idéologue de ce mouvement était Norman Podhoretz, éditeur au magazine Commentary de 1960 à 1995. (...)
Les journaux néo-conservateurs prééminents sont Commentary et The Weekly Standard. Il existe aussi des think-tanks néo-conservateurs sur la politique étrangère dont notamment American Enterprise Institute (AEI), Project for the New American Century (PNAC), The Heritage Foundation et le Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA).(...)
Le néo-conservatisme apparaît véritablement dans les années 1980, quoique l'on puisse trouver des éléments précoces de ce qui peut apparaître comme une école de pensée politique dans les années 1960, autour de personnalités comme Irving Kristol, Norman Podhoretz, Wilmoore Kendall, John M. Olin, James Burnham, Francis Fukuyama, ou Charles Krauthammer. (...) Ses adeptes sont souvent d'anciens démocrates, voire d'anciens trotskistes, déçus par l'évolution culturelle et intellectuelle depuis les années 1960. C'est le cas d'Irving Kristol, ou de Martin Diamond, spécialiste de la Constitution américaine. (...) Si de nombreux néoconservateurs sont de confession juive et catholique (Gerson, Mark: 1987 : 285), il serait faux de réduire cette vision politique à une approche communautaire. Il est plus juste de dire que les néoconservateurs sont le plus souvent des pro-israéliens proches du Likoud, la droite israélienne (...)
Paul Wofowitz lors d'une conférence de l'AIPAC devant le Capitole
Perle et Cheney, tous deux membres du Council on Foreign Relations (CFR), ont été tour à tour directeur du Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA), un puissant lobby sioniste similaire à l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) et tout aussi partisan de la guerre au terrorisme, de la guerre en Irak et de la prochaine guerre contre l’Iran. Perle est un ancien lobbyiste pour des vendeurs d'armes israéliens et il est très proche des juifs sionistes Michael Ledeen (le théoricien de la "destruction créatrice" du Moyen-Orient) et Elliott Abrams (le gendre du gourou belliciste néo-con Norman Podhoretz). Les liens un peu trop étroits de Perle avec Israël lui ont valu de faire l'objet d'une enquête en 1970 pour avoir passé des secrets à Israël, comme Wolfowitz l’a été en 1978.
Voici une liste un peu plus longue des principaux signataires du PNAC, tous néo-conservateurs, impliqués dans la politique américaine ou dans les médias américains. Les noms juifs sont marqués d'une astérisque.
Il n'est donc pas surprenant que les promoteurs du "surge" (remontée en force, déferlante) aient été pratiquement tous juifs, comme le signalait l'édition du 24 août 2007 du journal israélien JTA: "Pro-'surge' group is almost all Jewish : Four of five members of the board of a campaign promoting President Bush's policies in the Iraq war are Republican Jews".
Le PNAC est, grosso modo, une réitération d'un document antérieur, intitulé "Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm", écrit par Richard Perle, Douglas Feith et James Wurmser (tous juifs) et inspiré par la clique d'extrémistes de Benjamin Netanyahou, à la tête du Likoud (le parti israélien d'extrême-droite). Le document appelait les États-Unis à se rapprocher d'Israël et à envahir et détruire l'Irak pour le bien d'Israël, puisqu'il était forcément, selon eux, dans l'intérêt des États-Unis de se débarrasser de Saddam Hussein. Et le document Clean Break suivait la même ligne pensée que le plan de l'Organisation sioniste mondiale intitulé A Strategy for Israel in the 1980's.
Le PNAC préparait donc la guerre en Irak. À la tête d'un pays très fort économiquement et politiquement, Saddam Hussein, un nationaliste qui soutenait activement la cause palestinienne et nouait des alliances économiques avec des puissances des quatre coins du monde, représentait une grande menace aux yeux des sionistes. Les néo-conservateurs et les sionistes ont même tenté de blâmer l'attentat d'Oklahoma City sur les Irakiens, mais le président Clinton s'y est fortement opposé, ce qui l'amena à privilégier la thèse du "fou solitaire" Tim McVeigh. (Un geste d'obstruction que les néo-conservateurs lui ont fait payer cher: Bill Kristol a "révélé" le premier aux médias les détails de l'affaire Lewinsky, une affaire qui allait entraîner la destitution de Clinton. Hillary Clinton parlait d'un "grand complot de la droite" contre son mari; peut-être voulait-elle parler de la droite israélienne?)
C'est dans le PNAC que les faucons de la guerre en Irak révèlent avoir besoin d’un événement révolutionnaire, un «nouveau Pearl Harbor», pour catalyser l’expansion hégémonique américaine et plus spécifiquement au Moyen-Orient: «Le processus de transformation, même s’il apporte un changement révolutionnaire, est susceptible d’être long, en l’absence d’un événement catastrophique catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor». Le 11 septembre fut précisément ce «nouveau Pearl Harbor». L’analogie est d’autant plus pertinente que le traître Roosevelt savait pertinemment que le Japon allait attaquer la base de Pearl Harbor, mais il n’a rien fait l'empêcher, car l'objectif était de convaincre les Américains d'entrer en guerre.
À quand leur procès pour crimes de guerre?
Les juifs néocons qui ont tiré les ficelles pour faire la guerre en Irak:
William Kristol, Richard Perle, Paul Wolfowitz, Elliott Abrams, Douglas Feith
Mis à part Abrams, ils ont tous déjà été invités à la réunion de Bilderberg.
L'union maudite du fascisme sioniste et de l'anti-fascisme des ex-trotskistes
Les trotskistes étaient les champions du mouvement et de la posture "anti-fasciste". Historiquement, nul ne conteste que "l'anti-fascisme" est né du trotskisme. Mais avant de traiter d'anti-fascisme, il faut clarifier le sens du mot "fascisme". Alors que les trotskistes épousaient la pensée libérale et promouvait démocratie comme vecteur de révolution internationale, en réaction au libéralisme - qu'il soit communiste ou capitaliste - s'est érigé une opposition: le fascisme. Le mouvement fasciste prônait le nationalisme, le patriotisme, la religion, les valeurs morales et un État fort qui prenne en main non seulement l'État de droit mais aussi la culture et surtout l'économie. Le nationalisme fasciste se voulait un rejet brutal, d'une part, de l'internationale libérale-capitaliste, c'est-à-dire la droite, et, d'autre part, de l'internationale communiste, c'est-à-dire la gauche. Plus tard, le terme "fasciste" servira à désigner globalement l'extrême-droite et servira aux trotskistes pour salir leurs ennemis. Toujours est-il que l'anti-fascisme des trotskistes a à ce point pénétré la psyché populaire que très peu de gens se souviennent de ses origines trotskistes.
Wikipedia rappelle que les néo-conservateurs sont juifs anti-fascistes et anti-nazis à la sauce "Plus Jamais Auschwitz": " Le néo-conservatisme se distingue du conservatisme traditionnel et du néolibéralisme. Anticommuniste et antifasciste, le néo-conservatisme est né sur le principe de « plus jamais Auschwitz ». " (Rappelons ici que cet anti-communisme était en réalité un anti-soviétisme d'inspiration trotskiste et non pas seulement capitaliste.)
En France, on dénombre aussi une bonne quantité de néo-conservateurs à la solde de l'atlanto-sionisme. Prenons par exemple Bernard Henri Lévy qui s'époumone à dénoncer le "fascislamisme" (voir les vidéos suivants: "Fascislamism" by Bernard-Henri Lévy et BHL contre le fascisme) C'est une constante évidente chez les néo-conservateurs: tous pro-fascistes en ce qui concerne Israël, mais anti-fascistes lorsque vient le temps de réclamer des guerres pour abattre "les bourreaux de la liberté et de la démocratie", c'est-à-dire tous ceux qui osent leur tenir tête!
Ouverture
Pour plus de documentation sur les origines juives, trotskistes et sionistes des néo-conservateurs, voir:
Michael Collins Piper, The High Priests of War: How America’s “Neo-Conservative” Trotskyites Came to Power and Orchestrated the War Against Iraq as the First Step in Their Drive for Global Empire (section photo)
Michael Collins Piper, 'The New Babylon - Those Who Reign Supreme : A Panoramic Overview of the Historical, Religous and Economic Origins of the New World Order. Inside the Rothschild Empire - The New Pharisees' (2009)
Michael Collins Piper, 'The Judas Goats -- The Enemy Within: The Shocking Story of the Infiltration and Subversion of the American Nationalist Movement'
****Dr. Stephen Sniegoski: The Sanitized Version of Neoconservatism****
Derrière Northwoods: Israël et "l'équipe B" (néocons)
James Petras lève le voile sur les agents sionistes responsables de la guerre en Irak et du scandale d'espionnage à l'AIPAC
The Source of America’s Wars – Kristol Clear [VIDEO] (Richard Cohen called the war in Iraq: "Kristol's War")
takeourworldback.com Ligne du temps du 11 septembre
takeourworldback.com Sionistes, psychopathes et 11 septembre
takeourworldback.com A Comprehensive History of Zionist Crimes
takeourworldback.com How to Achieve Total World Domination - over 1,250 to 6,000 Years / Concise version
VIDEO - Willis Carto explique la ploutocratie médiatique des Bronfman
VIDEO - War Made Easy: propagande guerrière
AUDIO - Michael Collins Piper explique la nouvelle Babylone
AUDIO - Les dessous de l'empire Rothschild, les nouveaux pharisiens. Entrevue avec Michael Collins Piper
STALIN THE ENDURING LEGACY
- Paperback: 164 pages
- Publisher: Black House Publishing Ltd (September 21, 2012)
- Language: English
- ISBN-10: 1908476427
- ISBN-13: 978-1908476425
- Product Dimensions: 8.5 x 5.5 x 0.4 inches
- Shipping Weight: 1.1 pounds (View shipping rates and policies)
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- Amazon Best Sellers Rank: #1,782,993 in Books (See Top 100 in Books)
Stalin: The Enduring Legacy considers the 'Man of Steel' in a manner that will outrage dogmatists of both Left and Right. Stalinist Russia is reassessed as a state that transcended Marxism, and proceeded on a nationalist and imperial path rather than as the citadel of 'world revolution'. Stalin reversed many early Bolshevik policies re-instituting, for example, the traditional family. He abolished the Communist International, championed 'realism' in the arts and rejected post-1945 US plans for a 'new world order'. Despite so-called 'de-Stalinization' after his death, the Soviet bloc continued to oppose globalism, as does Putin's Russia. Stalin: The Enduring Legacy, examines the anti-Marxist character of Stalinism, the legitimacy of the Moscow Trials against the 'Old Bolsheviks', the origins of the Cold War, the development of Trotskyism as a tool of US foreign policy, the question of Stalin's murder, and the relevance of Russia to the future of world power politics. 'Dr. Bolton's book Stalin: The Enduring Legacy is a major contribution to the proper understanding of Russian, as well as American, politics and society in the twentieth century. It brushes aside the anti-Stalinist biases of the Trotskyist American chroniclers of this historical period to reveal the unquestionable integrity of Stalin as a nationalist leader. At the same time, it highlights the vital differences between the Russian national character rooted in the soil and history of Russia, and its opposite,the rootless Jewish cosmopolitanism that Trotskyist Marxism sought to impose on the Russians - as well as on the rest of the world'. - Dr Alexander Jacob
Zyuganov Communists Continue Stalin’s Fight Against “Rootless Cosmopolitanism” By Kerry R. Bolton
America’s ‘World Revolution’: Neo-Trotskyist Foundations of U.S. Foreign Policy By Kerry R. Bolton
Modern art was CIA 'weapon' in Cold War?
Zyuganov Communists Continue Stalin’s Fight Against “Rootless Cosmopolitanism” by Dr Kerry Bolton
Le conflit de Staline avec les juifs par Kerry Bolton
Václav Havel: The “Inner Enemy” by Kerry Bolton
Stalin: The Enduring Legacy
1,420 words
Kerry Bolton
Stalin: The Enduring Legacy
London: Black House Publishing, 2012
This is the first chapter of Kerry Bolton’s new book Stalin: The Enduring Legacy (London: Black House Publishing, 2012). The chapter is being reprinted as formatted in the book. Counter-Currents will also run a review of the book, which I highly recommend.
(...)
Stalin Correct in Fundamental Accusations Against Trotskyites
What is significant is that Khrushchev did concede that Stalin was correct in his fundamental allegation that the Trotskyists, Bukharinites et al represented a faction that sought the ‘restoration of capitalism and capitulation to the world bourgeoisie’. (...)
Le conflit de Staline avec les Juifs
par Kerry R. Bolton
Histoire :: Europe de l'Est
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La scission entre Trotski et Staline il y a quelque 80 ans continue à avoir des conséquences cruciales pour la politique mondiale. Certains ont vu cela comme une brouille entre criminels, certains comme rien de plus qu’une dispute tactique entre des bolcheviks qui partageaient néanmoins un but commun, certains comme une querelle familiale juive de plus.
Il y a des historiens qui pensent que Staline était un antisémite, ou qu’en fait il avait toujours été contrôlé par les Juifs. Certains pensent que Staline était lui-même juif et qu’il a apporté à l’URSS et à ses satellites autant de bienfaits juifs que l’ont fait Trotski, Bela Kun et les autres.
Parmi les auteurs non-orthodoxes et qualifiés d’« antisémites », une faction pense que le conflit de Staline avec Trotski et la purge des trotskistes et des autres Vieux Bolcheviks, juifs pour la plupart, montre que Staline suivait une voie qui n’était pas seulement opposée aux Juifs mais aussi à de nombreux égards opposée au bolchevisme.
Le bolchevisme inversé de Staline
Staline étant bien installé comme dictateur de l’URSS, il inversa beaucoup des préceptes bolcheviks. La maternité fut honorée, avec un « Ordre de la gloire maternelle » dans le style nazi [1]. Des lois anti-avortement et anti-divorce furent passées en 1936, et l’homosexualité fut mise hors la loi. Le réalisme socialiste devint l’art officiel. Staline poursuivit des objectifs panslavistes à la place de celui de la « révolution mondiale » défendu par Trotski. L’Association des Vieux Bolcheviks fut dissoute, tout comme le Komintern. Il n’y aurait pas de « révolution mondiale », il y aurait une expansion territoriale soviétique. Les partis communistes du monde entier serviraient la politique étrangère soviétique. Dans le cas de la Chine, Staline ne reconnut pas les maoïstes avant qu’ils n’aient vraiment expulsé de Chine Tchang Kaï Tchek. Son ambassadeur resta avec les Nationalistes jusqu’à la fin. Le Département d’Etat américain fit plus que Staline pour promouvoir le communisme en Chine.
(...) Les troupes américaines, bien loin d’aider les armées anti-soviétiques, entrèrent en Sibérie sous le commandement du général Graves et tinrent la ligne du Transsibérien jusqu’au retrait de l’Armée Blanche et jusqu’à la victoire de l’Armée Rouge. L’administration bolchevik salua chaleureusement les troupes US comme de « vrais amis et alliés », d’après un reportage contemporain du New York Times (15 février 1920).
Guerre froide
Avec la montée de l’Allemagne nazie, Roosevelt maintint une politique pro-Staline, ce qui pourrait expliquer le refus des USA d’autoriser l’entrée de la dépouille de Trotski aux USA en 1940. Après la seconde guerre mondiale, les USA espéraient pouvoir créer un Nouvel Ordre Mondial (comme Wilson avait tenté de le faire après la première guerre mondiale avec la Société des Nations) à travers l’ONU et avec Staline comme partenaire subalterne.
Pour sa part, Staline anéantit ces espoirs en s’assurant que l’ONU soit rendue inutile en tant que Parlement Mondial embryonnaire sous contrôle US. Au lieu de laisser le pouvoir être investi dans l’Assemblée générale (où les votes des nations à la fois criblées de dettes et fatiguées de la guerre comme la Grande-Bretagne et des pays du Tiers Monde émergeant pouvaient être achetés), Staline maintint inflexiblement qu’il ne rejoindrait l’ONU que si le Conseil de Sécurité avait un droit de veto.
Le Plan Baruch (ainsi nommé d’après le nom du banquier international et « vieil homme d’Etat américain » Bernard Baruch) pour l’« internationalisation de l’énergie atomique » (encore une façade pour le contrôle US, comme le remarqua à juste titre l’URSS) fut également rejeté par Staline.
Le rejet par Staline de ces plans mondialistes entraîna la « guerre froide ». Certains théoriciens de la conspiration ont prétendu que cette animosité était une supercherie par laquelle toutes les nations seraient attirées dans l’orbite US ou soviétique alors que toutes deux seraient secrètement d’accord. Les USA n’étaient pas prêts pour une guerre chaude ; ils visaient à un contrôle au moyen de la dette et de la subversion (en grande partie culturelle).
Concernant cette époque, le philosophe américain Yockey écrit :
« Cela commença au début de 1947 avec le refus des Russes d’abandonner une partie de leur souveraineté aux dénommées ‘Nations Unies’ dans un but de ‘contrôle’ de l’industrie des armes atomiques. (…) Ce refus russe dérangea les plans de la direction juive (…) La politique suivante de la direction juive fut de persuader le régime de Staline, par l’encerclement et par la pression de la ‘guerre froide’, que toute résistance était sans espoir… »
(F.P. Yockey, Qu’y a-t-il derrière la pendaison des onze Juifs de Prague ?, 1952)
Les trotskistes se pressèrent sous les bannières des USA, et la CIA fonda le Congrès pour la Liberté Culturelle, une tentative pour enrôler les intellectuels et les artistes dans une offensive de propagande contre l’URSS. Les fondateurs comprenaient les dirigeants trotskistes Sidney Hook, James Burnham, Melvin Lasky, et d’éminents socialistes anti-soviétiques comme Arthur Koestler, Bertrand Russell et le poète Stephen Spender. L’un des patrons britanniques était Frederic Warburg de la famille de banquiers Warburg, Frederic étant propriétaire de Secker & Warburg, qui publiait des livres trotskistes et d’autres livres socialistes anti-staliniens.
Origines des néo-conservateurs actuels
Cet arrière-plan est important pour notre compréhension de la politique étrangère et militaire américaine d’aujourd’hui. Les trotskistes qui s’alignèrent avec les USA dans une croisade contre une Russie débarrassée de Trotski devinrent les mentors et les pères des néo-cons qui dirigent aujourd’hui à Washington. Irving Kristol (père de l’actuel néo-con et directeur de l’influent Weekly Standard), William Kristol, Jean Kirkpatrick (ex-ambassadeur US à l’ONU), Wolfowitz du Département de la Défense, commencèrent comme trotskistes. La stratégie militaire et diplomatique fondamentale de l’après-guerre fut conçue par des intellectuels ex-trotskistes comme James Burnham. Il fut décoré de la Médaille de la Liberté par Reagan, tout comme le vieux « menchevik », le Prof. Sidney Hook. Les politiques trotskistes de la guerre froide furent intégrées dans l’actuel programme mondialiste US et la dénommée « guerre contre le terrorisme ».
Ce que nous voyons aujourd’hui comme de la politique étrangère US est fondamentalement du trotskisme. Le président Bush déclare que les USA sont le centre d’un « mouvement démocratique mondial ». La conception US de la démocratie est considérée comme un système universellement applicable et le monde entier doit s’y conformer. Les stratèges politiques comme Michael Ledeen écrivent que les USA sont le centre d’une révolution mondiale ; que les USA ont une mission messianique de « destruction créatrice ». C’est ainsi que le trotskisme s’est transformé en doctrine actuelle des USA, et qu’il a ses origines dans la rupture Staline-Trotski.
L’origine ethnique de Staline
Quant à Staline, le mythe de ses origines juives continue. Un article de R.N. Terrall dans le numéro de mai/juin 2003 de la revue révisionniste Barnes Review tente de montrer les origines juives de Staline. Des traits supposément juifs incluent l’opposition à l’establishment, un talent pour les pamphlets et des capacités organisationnelles, et un intérêt pour les langues étrangères.
Il est aussi affirmé que Joseph est un nom typiquement juif, ce qui aurait été impensable pour un non-Juif dans la Russie tsariste. Pourtant Joseph fut baptisé dans l’Eglise orthodoxe et fut placé au séminaire par une mère dévote.
La principale affirmation concernant l’origine juive de Staline est que son nom patrilinéaire Djugachvili signifie « fils d’un Juif » en géorgien. « Dju » est supposé signifier « juif ». Pourtant, si c’est un nom juif si transparent, il n’y eut pas d’effort particulier pour le cacher, en dépit de l’adoption du pseudonyme de parti « Staline » en 1912. Les Djugachvili continuent à être bien connus en Russie et ils ne sont pas particulièrement bien disposés envers les Juifs, même aujourd’hui. En fait, le petit-fils de Staline fut candidat au Parlement russe il y a quelques années avec un programme nationaliste et anti-sioniste. Staline jouit aujourd’hui d’un regain de popularité chez les nationalistes de tendance dure qui ne sont pas bien disposés envers les sionistes et les oligarques juifs et qui seraient sûrement au courant si Djugachvili signifiait vraiment « fils d’un Juif ». L’arrière-petit-fils de Staline, Jacob Djugachvili, écrit :
« Mon père Evgueni Djugachvili fut cofondateur de l’Union des Officiers (Soyouz Officierov) et de la Société de Staline. En 2000, il fut candidat aux élections parlementaires en Russie (la Douma). Il n’appela pas à la ‘restauration du communisme’, mais à traduire en justice ceux qui envahirent la Russie en 1917, mais échappèrent à un jugement, ceux qui vendirent notre pays au sionisme mondial : Gorbatchev, Eltsine, Chevardnadze… »
(cité sur le site de Peter Myers : http://users.cyberone.com.au/myers/)
Mr. Terrall dit aussi que le premier-né de Staline fut prénommé Yakov, pour sûr un nom juif, et que les trois enfants de Staline épousèrent tous des conjoints juifs, et que ses trois épouses étaient juives.
Pas d’épouses juives
L’arrière-petit-fils Jacob Djugachvili, en réponse à la question du chercheur australien Peter Myers, déclare à propos des soi-disant « trois femmes juives » de Staline :
« Oui, vous pouvez ajouter mes commentaires sur ces conneries concernant J. Staline et Rosa Kaganovitch… Je pense que vous devriez corriger et signaler que ni Ekaterine Svanidze ni Nadezhda Allilueva n’étaient juives… Avant tout, vous devez savoir que Staline fut marié deux fois : sa première femme fut Ekaterine Svanidze, une Géorgienne avec laquelle il eut un fils, Yakov. Il n’y a pas la moindre trace de sang juif. La seconde femme fut Nadezhda Allilueva, une Russe du Sud avec du sang gitan, avec laquelle il eut Svetlana et Vassili… Pour l’arbre généalogique, veuillez jeter un coup d’œil sur : www.jugashvili.com »
Lazar Kaganovtich, le bras droit de Staline qui réussit à survivre aux purges contre ses compagnons juifs, avait une sœur et une nièce toutes deux prénommées Rosa. Aucune des deux ne fut jamais la femme ou la maîtresse de Staline.
Mr. Terrall et d’autres semblent conclure trop facilement à une origine juive sur la base d’un prénom ou d’un second prénom juifs, alors que bien sûr l’utilisation de tels prénoms est une coutume chrétienne.
Signification de Djugachvili
Concernant le nom « Djugachvili » lui-même, signifiant soi-disant « fils d’un juif », d’une évidence accablante, Jacob Djugachvili écrit :
« J’espère que vous avez vu l’arbre généalogique sur mon site web, de sorte que je n’aie pas besoin d’expliquer mes origines.
Je commencerai par la fin de votre message. Avant tout, vous devez savoir que dans l’alphabet géorgien il y a deux consonnes ‘G’, un qui se prononce comme la première lettre de ‘Great’ et un autre ‘G’ qui se prononce comme le ‘R’ français, donc notre nom se prononce ‘Dju’ ‘r’ ‘achvili’. D’habitude notre nom s’écrit Dzhugashvili, parce qu’il n’y a pas de ‘J’ dans l’alphabet russe, donc les Russes utilisent deux lettres, ‘D’ et ‘ZH’ … J’ai donc décidé de l’écrire JUGASHVILI parce que l’alphabet anglais me permet d’utiliser un ‘J’ à la place des trois lettres ‘D’, ‘Z’ et ‘H’… Maintenant, la chose principale concernant l’origine du nom : il y a un village dans l’est de la Géorgie (la Kakhetia – une région vinicole, vous en avez probablement entendu parler) appelé Ju ‘r’ aani… »
Jacob Djugachvili ajoute :
« …Il n’existe pas de mot JUIF pour désigner les Juifs en langue géorgienne… Juif en géorgien se dit ‘EBRAELI’, donc la théorie du ‘fils de juif’ (qui est très tentante si l’on examine notre nom à la lumière de sa prononciation anglaise) est simplement erronée… »
La signification du nom n’est donc pas l’évident « fils de juif », mais une référence à un village de l’est de la Géorgie.
Si l’on considère le mal que Staline et les dirigeants ultérieurs se sont donné pour dissimuler les origines juives de Lénine, il semble évident que Staline aurait cherché encore plus complètement à cacher son nom de famille s’il avait vraiment sonné comme : « Hé les Russes, je suis le fils d’un Juif ! ».
Sang khevsure et ossète
L’écrivain John Jewell, qui publia pendant les années 80 un bulletin très bien informé, Direct Action, qui traitait souvent des questions russes, dit concernant les origines ethniques de Staline :
« Père – Vissarion Ivoanovitch Djugachvili : cordonnier géorgien de la féroce tribu Khevsure. Racialement de la race tauride des caucasoïdes : spécifiquement du type Mtebid, qui est transitif entre les grands Dinariques europoïdes et les petits Arménoïdes asiatiques de la région.
Mère : Ekaterina Georgievna Geladze, paysanne du village de Gambareuil. Elle avait du sang ossète, sa famille venant des proches montagnes d’Ossétie du Sud, une région chrétienne incorporée à la Géorgie. Les Ossètes sont des Indo-Européens : grands, blonds à 30%, avec des yeux clairs. Ossète vient de ‘Asas’ (« astral »), un nom tribal aryen… venant des anciens Alains, un peuple sauromate-scythe qui dominait la steppe et le Caucase du Nord… »
C’est ce sang qui coulait dans ses veines lorsque Joseph Djugachvili, un sabre à la main, accomplissait l’ancienne danse de la tribu guerrière Khevsure lors de son mariage en 1904, dans la maison du révolutionnaire nationaliste géorgien, le prince Budu Mdivani.
Purges contre les Juifs et les sionistes
Quant aux Juifs parmi les révolutionnaires, Staline rejoignit les Bolcheviks parce qu’il trouvait qu’ils comptaient moins de Juifs que les Mencheviks, et dit au révolutionnaire Razdem Arsenidze que les Mencheviks (dont Trotski fit partie jusqu’à la veille de la prise de contrôle bolchevik) n’étaient que des Juifs non-circoncis … des couards et des boutiquiers ».
S’étant débarrassé de la faction trotskiste avant la guerre, Staline put ensuite revenir à la question juive. Dans la Région Autonome Juive du Birobidjan, il ordonna une purge de la direction communiste et interdit le seul journal yiddish de l’URSS. En 1947 commença une purge contre les Juifs dans les domaines culturel et politique. Les théâtres juifs furent fermés. Le dirigeant juif, Solomon Mikhoels, renommé comme acteur et directeur, mais associé aux causes sioniste et juive, fut écrasé par un camion et son corps laissé dans la rue. En 1949, les Juifs furent purgés des postes militaires et diplomatiques. Entre 1949 et 1952, 30.000 Juifs furent déportés au Birobidjan où ils furent obligés de demeurer. Ils étaient traités de « cosmopolites sans racines ». Les purges furent conduites par Jdanov qui mourut soudainement en 1948. En 1952, une purge commença contre les Juifs dans les postes administratifs et de direction. La presse soviétique affirma que ces Juifs étaient liés au sionisme.
Staline utilisa plus tard la mort de Jdanov pour accuser des docteurs juifs de l’avoir tué – le dénommé « complot des blouses blanches » –, et de préparer le meurtre d’autres dirigeants soviétiques incluant lui-même.
En 1951, le chef du part communiste tchèque, Rudolf Slansky, fut limogé pour « activités contre l’Etat ». L’année suivante, lui et treize autres furent jugés comme trotskistes et sionistes. Onze furent pendus. Les Juifs d’outre-mer furent aussi impliqués dans une conspiration sioniste de grande ampleur avec Israël et les USA au centre – incluant « le nationaliste juif » et ministre français des Colonies, Georges Mandel [2] ; et Moshe Pijade, l’« idéologue juif titiste » en Yougoslavie. Slansky fut décrit par la presse stalinienne comme étant « un sioniste par sa nature même ». De telles actions dans l’appareil soviétique contre les Juifs en tant qu’agents sionistes continuèrent jusque dans les années 60, particulièrement en Tchécoslovaquie et en Pologne (Paul Lendvai, Anti-Semitism in Eastern Europe, 1971).
En février 1953, Staline autorisa la construction de camps de concentration au Kazakhstan, en Sibérie et dans le Nord arctique. Les Juifs soviétiques devaient y être déportés. Considérant les sionistes et les USA comme étroitement liés, Staline envisageait aussi une offensive atomique contre l’Amérique.
Staline assassiné par Beria
Pourtant, en mars 1953, seulement quelques semaines avant le procès des docteurs accusés dans le « complot des blouses blanches », Staline s’effondra juste après avoir dîné avec Beria, Khrouchtchev et deux autres membres du Politburo. Sa mort fut annoncée quatre jours plus tard, comme étant due à une hémorragie du cerveau. Pourtant le rapport des docteurs, qui n’a été révélé que récemment, atteste que la cause fut une hémorragie de l’estomac, suggérant un empoisonnement.
Le chef juif de la police secrète de Staline, Beria, semble avoir été la figure centrale dans la mort de Staline. Les gardes de Staline avaient été renvoyés par l’un des hommes de Beria. Quand Staline fut finalement découvert gisant sur le plancher, Beria fut appelé et maintint que Staline était seulement endormi. Vingt-quatre heures plus tard, Khrouchtchev fit venir les docteurs. Même à ce moment, Beria avait encore peur de Staline, vomissant sa haine puis restant prostré suivant l’état de conscience de Staline. Beria resta à le veiller et quand Staline mourut quelques jours plus tard, Beria ressortit rayonnant de joie.
Sergo Beria, le fils de Lavrenti Beria, déclare dans une biographie que son père avait toujours détesté Staline. Il raconte que son père faisait allusion à un assassinat.
Beria craignait de faire partie de la prochaine purge ; un de plus dans une longue série des chefs juifs successifs de la police secrète.
Molotov rappela qu’alors que lui et Beria se tenaient sur la Place Rouge pour faire l’éloge funèbre de Staline, Beria se tourna vers Molotov et dit : « Je l’ai supprimé ».
Après la mort de Staline, Beria qui était le chef de l’énorme appareil policier tout comme celui de l’énergie atomique, préparait une prise du pouvoir. L’armée soviétique sous le commandement du maréchal Joukov l’exécuta.
Quant aux rumeurs continuelles concernant Staline, son arrière-petit-fils commente :
« …De telles histoires (il y en a beaucoup ; vous devriez regarder les journaux de la période de la ‘perestroïka’ !) furent inventées pour une raison : pour discréditer son nom et distraire l’attention du peuple loin du sujet principal : le combat de Staline contre l’invasion sioniste de la Russie et des autres nations unies à elle. »
notes |
[1] Sous le IIIe Reich, les
mères de famille « méritantes » étaient honorées par une décoration, que
l’humour populaire qualifia de « Kaninchen Order » (« Ordre du lapin
»). (NDT) [2] Il s’agit visiblement d’une erreur de l’auteur. Georges Mandel fut ministre des Colonies de 1938 à 1940, et était effectivement le chef de file de la tendance belliciste dans l’état français ; il fut exécuté par la Milice vichyste en 1944. Les commentaires précités de la presse soviétique peuvent avoir été faits après le Pacte germano-soviétique (août 1939). Ou bien l’auteur de cet article parle bien de l’année 1952, mais a confondu Mandel avec quelqu’un d’autre. (NDT) |
1953, la chute d'un Haman moderne (le "tyran antisémite" Staline)
http://books.google.com/books?id=uLdNQi2-j9EC
Soviet Jews Saved From Stalin’s Genocidal Plans on Purim
United With Israel
The Lubavitch Rebbe at a gathering with his Chasidim. (chabad.org) |
This special interview was dedicated in loving memory of: Tzvi Yechetzkel Ben Eliezer Gordon
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“America would be destroyed along with the Jews”
If your paper is to continue its excellent work of opposing the policy of the Jew, please do not fight Russia also, for we in Europe look upon it as the only hope to prevent Jewish world domination by means of its stupid, willing, technically clever American slaves, the destroyers of Europe’s cities, the hate-mongers of the vile occupation and the hangmen of Nuremberg.
—European correspondent to Common Sense (a newspaper published in the US between 1947 and 1972)
L'erreur de la plupart des anti-communistes est de croire que le coeur du complot communiste international serait en Russie et donc que la Russie "crypto-communiste" serait sur le point de ressusciter l'URSS. En fait le coeur du communisme international était aux États-Unis. Les anti-communistes croient pour la plupart que le courant conservateur américain a toujours été à l'avant-garde de l'anti-communisme. Ils ignorent que le conservatisme américain a été infiltré et instrumentalisé par des Trotskistes et que ce sont précisément ces Trotskistes (juifs pour la plupart) qui sont derrière la guerre froide, cette paranoïa et cette haine contre l'URSS et contre les Russes eux-mêmes. C'est de ce terreau trotskiste pseudo-conservateur qu'a émergé le "néo-conservatisme". Le discours de la John Birch Society et du National Review (du demi-juif William F. Buckley) est identique à la propagande anti-Poutine et anti-Russie qu'on nous sert aujourd'hui du côté puissances sionistes et américaines-occidentales! Et le pire c'est que le camp des soi-disant patriotes anti-mondialistes est aussi infiltré par les trotskistes devenus néocons.
N'oublions pas que la Tchéka, ancêtre du KGB, et le Goulag n'ont pas été inventés par Staline mais par la première génération de révolutionnaires juifs bolchéviques, soit précisément ceux que Staline a fait éliminer...
Putin on Jews in the first Soviet Government
Jewish Groups Remember 'Jewish Anti-Fascist Committee' at Gravesite in Moscow's Donskoy Cemetery
Preludes to 12 August 1952 and the Jewish Anti-Fascist Committee
Birobaidzan and stalin and the jews: 12 August 1952 and the Doctor's Plot in the Soviet Union
Texe Marrs: Stalin and the Jews
FREE EBOOK: Bolton Kerry - Stalin The enduring legacy
English › B › Bolton Kerry
Bolchevik - Communism - Jew - Russia - Second World War
Author : Bolton Kerry
Title : Stalin The enduring legacy
Year : 2012
Link download : Bolton_Kerry_-_Stalin_The_enduring_legacy.zip
Introduction. Joseph Stalin’s legacy continues to haunt geopolitical developments across the world. Stalin (‘Man of Steel’) ruled the USSR and later Soviet-Russian Empire with an iron fist from 1928 until his death in 1953. His individual resolve placed Russia on a course to national greatness by reversing the Bolshevik-Marxist psychosis that would have reduced Russia to chaos and destroyed the very soul of the Russian people. In foreign policy Stalin assured Russia’s place as a world power and maintained the national and cultural freedom of Russia by rejecting the post-1945 international policy that the USA aimed at creating a one-world government. In the arts Stalinism repudiated ‘rootless cosmopolitanism’ in favour of a Soviet culture based on a synthesis of Russian traditions. ...
Stalin's Last Crime: The Plot Against the Jewish Doctors 1948-1953
Stalin's 1937 Counter-Revolution Against Trotskyism
Dan Michaels
Soviet general Victor Filatov summed it up as such:
Glorious 1937! In that year Stalin finally came to understand that it was Zionism, not Communism, that was being built in the USSR and he destroyed it. After 1937, Suvorov and Kutuzov, Nakhimov and Ushakov, Bogdan Khmelnitsky and the “Knight in Tiger Skin” became the national symbols. And the Russians, Ukrainians, Belorussians – all those whom the Zionists had destroyed and left to rot in prisons, labeled “nationalists” or “anti-Semites – returned. General Viktor Filatov [“Glorious 1937!”, Zavtra, 9 September 1997. The Russian national heroes are: General Aleksandr Suvorov, General Mikhail Kutuzov, Admiral Pavel Nakhimov, and Admiral Fyodor Ushakov. The Knight in the Tiger’s skin is Prince Tariel of India, from the famous Georgian poem Vephkhviskhaosani.]
We shall wipe everything from the face of the Earth,
We shall extinguish the old Sun,
We shall ignite a new Sun. (p. 155)
recognizing that the aim of the Communist International, known as the Comintern [Trotsky’s organization] is to disintegrate and subdue existing states by all means at its command; convinced that the toleration of interference by the Communist International in the internal affairs of the nations not only endangers their internal peace and social well-being, but is also a menace to the peace of the world desirous of co-operating in the defense against Communist subversive activities.
Of course Stalin’s regime was awful! But in politics it is very often necessary to choose, not between the good and the better, but between the bad and the worse. The alternatives to Stalin would have been even worse nightmares.…The entire history of the USSR may be seen as an attempt to establish a utopia, and the civil war as the rejection of the utopia by the people.… Like Mandelshtam and Ginzburg, the “children of the Arbat” had not the slightest reason to repent; nor the slightest interest in whom they destroyed…. It is a pity that Stalin did not have another 10 years of life in which to say, like Napoleon, “the revolution is over”, but we can be especially grateful that Stalin killed the revolutionary bastards, the foul-smelling fungi that accumulated on Arbat Street and that he prevented the fungus from spreading to the rest of Russia and the world. That which has gone down in history as “1937” was in fact the most brilliant and glorious event in the Stalin era. Farewell Comrade Stalin! Thank you! (Burovsky, pp. 280, 284–285)
Extrait de The Judas Goats — The Enemy Within par Michael Collins Piper (p.148-154):
On September 15, 1969, writing in the popular American nationalist newspaper, Common Sense, which had, over the years, frequently featured the works of outspoken Jewish-born American anti-Zionist spokesman Benjamin Freedman, one Morris Horton (under his pen name “Fred Farrell”) wrote a fascinating assessment of the reality of Trotskyite Communism. Horton wrote in part:Originally “Communism” was nothing but a tool of the wealthy American Jews of New York. In the United States, and in much of the rest of the world, it is still just that. Let us now address ourselves to a question important to anyone who really wants to understand Communism: “What is the difference between a Stalinist and a Trotskyite? Some people will tell you:“All Communists are alike.”
This is a dangerous piece of shallow misinformation. It is acceptable only if you are willing to substitute shallow sloganeering for real knowledge. A Stalinist represents primordial Russian nationalism. A Trotskyite represents the Jewish interests of New York City. The Jewish interests of New York suffered a terrific setback one day many years ago, when a taciturn hood planted an ax in Leon Trotsky’s skull in a villa in Mexico.
The world Communist conspiracy is not a Russian conspiracy; it is an American Jewish conspiracy. Today it is falling into great disrepute around the world. America is being blamed for supporting communism around the world.
Unhappily, the charge is true. New York is the real hub of the conspiracy. If some of our Anti-Communists would stand up four square and tell this plain truth, we might possibly yet be liberated from Jewish misrule.
Few of them ever do. Most of the Communists and many of the Anti-Communists are on the same payroll, the Jewish payroll. They carry on a sham battle with each other. The first basic rule of this sham battle is:“Never drag any real truth into the matter on either side; tell anything else you want to tell, but never tell the truth.” This is the basic background of most of the phony “experts” on Communism who have been “experting” about it for forty years and haven’t made a dent in it.Horton was particularly adamant in pointing out that the American “anti-Communist” movement was increasingly falling into the hands of very real Communists—the Trotskyites—who in the guise of “fighting Communism” were actually working to introduce it into the American system. This is a point that few anti-communists understood then and even today they find it difficult to digest. Horton wrote:These people generate the literature on Communism that is generally available to the American public. They have
no interest in providing any genuinely valid information. Their aim is to manipulate public opinion.
Therefore, they seek to divide the Gentile. They seek to make the middle class believe that the working class is allied to Red Russia; All of this is, and always was, pure hallucination, generated by Jewish intellectual quacks in order to promote a minority tyranny over the American Majority.In his essay, Horton emphasized that the age-old labels of “Right” and “Left” no longer had any real meaning—a point that even many legitimate and self-styled modern-day American “conservatives” of the 21st century have yet to realize:There is no genuine validity in either the “Right” or “Left” positions in politics.These are artificial, Jew-invented positions. Jewish control of communications is absolutely essential to the success of this power system. Jewish political quackery would not long survive exposure.
The Right-Left Age is the Jewish Age, and it is an age which, on the world stage, is now receding into the past. If America continues to live in this Jewish past, then America has no future.Horton’s words—written nearly 50 years ago—continue to reverberate. But to drive home the point further, it is worth reviewing a translation of an analysis of Zionism published in Spanish in the November 4, 1979 edition of Granma, the official newspaper voice of the communist regime of Cuba’s Fidel Castro.
(Similar versions of this had previously appeared in the Soviet Union, at a time when there were increasing public noises against Zionism, much to the dismay of the American Trotskyites who were then reinventing themselves as “the neo-conservatives.”)
While this analysis from the communist point of view has been superceded by the collapse of the Soviet empire as it existed when this document was first published, it contains fascinating insights into the sources of tension between Zionism and Communism.The Zionist movement, created by the Jewish big bourgeoisie at the end of the 19th century, was born with a decidedly counterrevolutionary purpose. From the founding of the World Zionist Organization in 1897 to the present, Zionism, as ideology and political practice, has opposed the world revolutionary process.(END OF THE GRANMA ARTICLE)
Zionism is counterrevolutionary in a global sense in that it acts the world over against the three major forces of revolution: the socialist community, the working class movement in capitalist countries and the movement for national liberation.
Zionist counterrevolution began by making inroads in the European working class movement. In the early years, when the growth of monopoly capitalism and the expansion of reactionary tendencies that accompanied the establishment of the imperialist phase of capitalism demanded the unity and solidarity of the proletariat, the Zionists focused on dividing the working class.
They propagated the thesis that all non-Jews were, and would always be, anti-Semites; asserted that the only possibility for the Jewish masses’ well-being and justice was to emigrate to the “promised land”; and defended class collaboration, thus diverting the Jewish proletariat away from the struggle for their real emancipation and dividing and weakening the working class movement. It’s not fortuitous that in czarist police archives one finds documents calling for support for the Zionist movement as a way of stemming the tide of proletarian revolution.
Theodore Herzl, the founder of Zionism, wrote at the time in his diary:“All our youth; all those who are from 20 to 30 years old, will abandon their obscure socialist tendencies and come over to me.”
However, the efforts of Zionist counter-revolution could not hold back the wheels of history.The victory of the Great October Socialist Revolution in Russia ushered in a period of transition from capitalism to socialism on a world scale. The first victory of the proletariat, the premise of future victories, was a heavy blow to Zionism.
Most of the money that filled Zionist coffers came from Russia, where czarism had humiliated and oppressed the Jews for centuries. Russia provided a million immigrants for the Zionist colonization of Palestine. When the Russian Revolution liquidated the exploitation of man by man, it also destroyed the basis for Zionism in the Soviet Union.
Leninist policy on the national question toppled all Zionist myths that the Jews could not be fully incorporated, with equal rights, into society and destroyed all the racist claims on the inevitability of anti-Semitism. The Zionists never did, and never will, forgive the Soviet state and its Leninist Party, not so much for cutting off the money flow from Russia and for the loss of workers for the colonization effort, but because the Bolsheviks implemented a correct policy that incorporated the talents and efforts of the Soviet Jews into the tasks of building a new society and thus demonstrated the class origins of discrimination and anti-Semitism, breaking with the past and providing a genuine solution to the Jewish problem, a solution which was not and could never be a massive exodus to Palestine.
Zionist counterrevolution took on an anti-Soviet thrust. Before October 1917 the Zionists collaborated with Kerensky. Later they supported all the attempts at counter-revolution and enthusiastically participated in the different white “governments” set up in different parts of the country during the Civil War [in Russia].They were active in all the moves against the Soviet Union from abroad, and their powerful propaganda machine spread a spate of lies about the first workers’ and peasants’ state in the world.
Not even the Soviet victory over German fascism, which saved so many Jewish lives, made the Zionists change their anti-Soviet stand.
With the outbreak of the cold war the Zionists collaborated in all the subversive and diversionary activities against the USSR and other socialist countries. The secret services of the Zionist state of Israel coordinated their spy activities with the CIA. Zionist agents played an active role in the counter-revolutionary attempts in Hungary and Czechoslovakia.
Today Zionism seconds the hypocritical anti-Soviet campaign on presumed violations of the human rights of Jews in the Soviet Union and does all it can to put pressure on Soviet citizens of Jewish origin so they will leave their true homeland and go to Israel.This effort by Zionist counter-revolution can only lead to new failures. And to complete the picture there is the Zionist counter-revolutionary action against the national liberation movements.
Soon after World War I, Zionist settlers penetrated into Palestinian territory, acting as the spearhead of British imperialist interests in opposition to the Arab peoples’ hopes for independence. Their role was clearly spelled out by the prominent Zionist leader Max Nordau in a statement to the British authorities:
“We know what you want from us: that we defend the Suez Canal.We must defend your route to India which passes through the Middle East.We are ready to take on that difficult task. But you must allow us to become powerful enough to carry out that task.”
And, as a matter of fact, the Zionists became a power and succeeded in establishing their own state in 1948: the Zionist state of Israel. Now their task is to defend oil routes, protect all the interests of U.S. imperialism and block the advance of the Arab revolution.
Backed by tremendous amounts of imperialist economic and military aid, the Zionists are constantly acting against national liberation movements.
At one time it was their mission to penetrate African and Asian independence movements, guarantee that the newly independent states followed paths acceptable to imperialism, that they not stray from the confines of neo-colonialism. Israel offered courses, advisers, all sorts of aid.
But the ploy wasn’t very successful. Israel’s increasing role as imperialism’s policeman in the Middle East, its racism and avowed expansionism made the young African and Asian nations see the dangers of Israeli “aid,”the treachery of Israeli foreign policy.
Nevertheless, the Zionist state took up a new role in the struggle of world reaction against progress. It went beyond the geographical confines of the Middle East, established friendly ties with all reactionary regimes and began to supply arms, equipment and advisers to those who were trying to suppress national liberation struggles.
The Israeli armaments industry specialized in designing and producing all sorts of weapons for urban and rural anti-guerrilla warfare.
The South African racist regime, the dictatorships of Guatemala and El Salvador, and the fascist Pinochet are among the best clients of the Israeli armaments industry.
Israeli arms sales in 1978 were estimated at $400 million.
One of their best clients was the Nicaraguan dictator Anastasio Somoza.
Zionist counter-revolution was present in Somoza’s Nicaragua in the form of Galil guns and Pull-push planes, but they couldn’t stop the victory of the Sandinista revolutionaries.
This is a symbol of our times: neither the machinations of Zionist counterrevolution, nor Israeli arms, can hold back the victorious march of the peoples of the world.
THE ENEMY WITHIN
Michael Collins Piper
Judas Goat Number One: George W. Bush—
Shill for Zionist Theoretician Natan Sharansky:
Planning for Global War in the Name of “Democracy”
However, the truth is that Bush’s messianic call for a worldwide “democratic revolution” (enunciated in his second inaugural address and sounding much like the rhetoric of the global Trotskyite Bolshevik movement) was not really of his own making. His words were written by others far more intelligent than Young Bush.And the origins of Bush’s newfound philosophy are very telling indeed. Perhaps what is most frightening is that the rhetoric of the American president—prodded by his behind-the-scenes “advisors”—points toward more and more military action around the globe in the years to come.
Although a documentary, Bush’s Brain, suggested that Karl Rove, purportedly the president’s chief political tactician, is the mastermind who tells the president what to think, it is now clear—based on solid evidence—that Soviet-born Israeli cabinet minister Anatoly “Natan” Sharansky is the one who actually has bragging rights to that title. Despite the fact that he gained worldwide attention in the 1970s as a Soviet dissident, make no mistake in thinking that Sharansky was ever any kind of Western-style free-market conservative or anti-communist.
Instead, Sharansky was a traditional old-line communist who—like many others in the Soviet Union—simply ran afoul of the ruling regime.
But thanks to an adoring international media, Sharansky capitalized on his imprisonment by the Soviets—who accused him of being a CIA spy—and emerged as a much-touted “human rights activist.”
Later, after his release from prison, Sharansky emigrated to Israel and soon established himself as one of Israel’s most outspoken extremist leaders who damned even Israel’s heavy-handed Prime Minister Ariel Sharon—known as “the Israeli Caesar”—as being “too soft” on the Palestinian Christians and Muslims.
The role of Sharansky in guiding Bush’s thinking is no “conspiracy theory.” Instead, disclosures from the White House itself—published, although not prominently, in the mainstream media—demonstrated that not only did Sharansky personally consult with the president in drafting the now-controversial inaugural address, but also that at least two of Sharansky’s key American publicists were among those brought in to compose Bush’s revolutionary proclamation.
Bush himself told The Washington Times in an interview published on January 12, 2005—even prior to his inauguration: “If you want a glimpse of how I think about foreign policy, read Natan Sharansky’s book, The Case for Democracy. It’s a great book.”
Buried in the very last paragraph of a very lengthy article published on January 22, 2005 The New York Times reported that “The president was given [Sharansky’s] book and asked Mr. Sharansky to meet with him
in the Oval Office . . . Mr. Bush also gave the book to several aides, urging them to read it as well. Mr. Sharansky visited the White House last November.” The Times did not say who gave the book to the president in the first place, but to find out who actually pressed the book upon the president might be very telling indeed.
Affirming the Times’ disclosure, The Washington Post likewise revealed on January 22, 2005 (although, again, in the closing paragraphs of an extended analysis) that an administration official said that planning for Bush’s address began immediately after the November election and that Bush himself had invited Sharansky to the White House to consult with him and that, in the Post’s words,“Sharansky also helped shape the speech with his book.”
It was the Post which revealed that two well-known hard-line “neoconservative” supporters of Israel—William Kristol, publisher of billionaire Rupert Murdoch’s Weekly Standard magazine, and psychiatristturned-pundit Charles Krauthammer, a strident advocate for harsh U.S. military and economic warfare against the Arab and Muslim worlds—were also among those brought in to help draft the president’s address.
Kristol—in particular—and Krauthammer are generally acknowledged even in the mainstream media in America as being among those we’ve dubbed as “the high priests of war” who were instrumental in orchestrating the U.S.war against Iraq,was a measure high-up on Israel’s “want list” for the Bush administration.
It is no coincidence that the individual on the White House staff whom the Post said helped set up the planning conferences to direct Bush’s thinking was one Peter Wehner, director of the White House Office of Strategic Initiatives.Wehner—it happens—is a Kristol protégé, having been his deputy when Kristol was serving as chief of staff for former Reagan administration Education Secretary William Bennett himself a protégé of Kristol’s very influential father, famed “ex-Trotskyite” communist-turned-neo-conservative, Irving Kristol.
So, considering Kristol’s wide-ranging input, shaping Bush’s mindset, it is really no surprise that, as the Post put it,“Bush’s grand ambitions excited his neoconservative supporters who see his call to put the United States in the forefront of the battle to spread democracy as noble and necessary.”
Meanwhile, for his own part,William Kristol chimed in with an editorial in The Weekly Standard on January 24, 2005 declaring “it’s good news that the president is so enthusiastic about Sharansky’s work. It suggests that, despite all the criticism, and the difficulties, the president remains determined to continue to lead the nation along the basic foreign policy lines he laid down in his first term.”
The BBC News noted on January 22, 2005 that Sharansky “has in fact been moving in American conservative circles for some time.”
As far back as July 2002—just prior to the time Bush delivered a hotly-debated speech calling for “democratization” of the Arab world—neo-conservative Deputy Defense Secretary Paul Wolfowitz was in attendance at a conference addressed by Sharansky during which the Israeli leader put forth the same demand.
Shortly thereafter, when Bush gave his own speech, echoing Sharansky, the Israeli hard-liner “provided an important bit of last minute affirmation,” according to American neo-conservative Richard Perle, who—between stints in government, during which time he was suspected of espionage on behalf of Israel—peddled weapons for an Israeli arms manufacturer.
Although the news of Sharansky’s profound influence was not widely known among grassroots Americans, it was big news in Israel where The Jerusalem Post headlined a story declaring “White House takes a page out of Sharansky’s democracy playbook.” In fact, the Israeli newspaper actually went so far as to say that Bush is “doing [Sharansky’s book] promotion free of charge,” pointing out that the president hyped Sharansky’s book in an interview on CNN.
But it’s not only Bush who is relying on Sharansky. On January 20, 2005, Scotland’s independent-minded newspaper, The Scotsman, noted that “Mr. Sharansky’s influence on the way Washington now sees the world was clear this week when Condoleeza Rice quoted him during her Senate confirmation hearings,” confirming that the Israeli hard-liner is very much the brains behind Bush policy.
The fact that Sharansky happened to be in charge of “diaspora affairs” in the Israeli cabinet was significant indeed.The term “diaspora” refers to all Jews living outside the borders of Israel and the “mission statement” of Sharansky’s cabinet office says it places its “emphasis on Israel, Zionism, Jerusalem and the interdependence of Jews worldwide.
In essence, this translates into a single, general aim: securing the existence and the future of the Jewish people wherever they are.” In short, Sharansky is no less than a powerful spokesman for the worldwide Zionist movement.And now, beyond any question, his views are directing George Bush’s worldview.
Considering all of this, it is no wonder that on January 22, South Korea’s English-language media voice, Chosun Ilbo, went so far as to describe Sharansky’s philosophy as outlined in his book The Case for Democracy—now being touted by Bush—as “a blueprint for U.S. foreign policy.”
The propaganda line of Israeli hard-liner Natan Sharansky upon which the president’s inaugural address was based was virtually a complete turn-about from Bush’s rhetoric in the 2000 presidential campaign.
This contradiction is a point that—theoretically—should have given pause to many Republicans who voted for Bush the first time he ran for the presidency.
Enthusiastically proclaiming in a front-page analysis on January 21, 2005 that Bush’s address laid the “groundwork for [a] global freedom mission,” The Washington Times—a leading “neo-conservative” voice which advocates a hard-line globalist foreign policy in sync with Israel’s security demands—stated flat out that:
President Bush’s inaugural address sends the United States on a new, expansionist and far more aggressive global mission to free oppressed countries from dictators—a sharp departure from his 2000 campaign that warned against becoming the world’s policeman . . . an ambitious, perhaps unprecedented internationalist doctrine that could deploy U.S. military power far beyond America’s present commitments . . . .For its own part, the Times’s daily “liberal” counterpart, The Washington Post, declared editorially on January 21, 2005 that Bush’s address was “more Wilsonian than conservative”—that is, recalling the messianic internationalism of former U.S. President Woodrow Wilson, hardly a hero of American nationalists or traditional conservatives.
Effectively endorsing Bush’s turnabout, the Post acknowledged.
that Bush’s pronouncement “promised an aggressive internationalism, one that if seriously pursued would transform relations with many nations around the world,”saying that if Bush is serious,U.S. policy “is on the verge of a historic change.”
James Steinberg, the former deputy national security advisor in the Clinton administration, found Bush’s emergence as the voice of globalism quite intriguing, inasmuch as it is a determined betrayal of what had been traditional Republican opposition to international meddling.
Steinberg told The New York Times on January 21, 2005 that it is “quite remarkable that one of the notions that’s been so resisted by Republicans is the idea of a deep interdependence in the world, and now [Bush has] essentially adopted the notion that tyranny anywhere threatens freedom anywhere.”
In the same vein, hard-line American-based Zionist Robert Kagan, one of the most aggressive neo-conservative media voices, echoed American Free Press (AFP) when he wrote in the Post on January 23, 2005 that Bush’s “goals are now the antithesis of conservatism.”
According to Kagan,“They are revolutionary.”
In its January 31, 2005 editorial, AFP called Bush a “revolutionary,” and this came very much to the dismay of many traditional conservatives who—inexplicably—still viewed the president as the voice of American patriotism.
These folks are evidently unaware that what is called “neo-conservatism” is anything but what Americans long viewed to be “conservative” in the traditional American nationalist sense of the word.
However, Zionist Robert Kagan understands this distinction and that’s precisely why he said that “Bush may lose the support of most old-fashioned conservatives” once they realize what his new internationalist policy is all about. In short, conservatives have been “had.”And that’s why AFP reminded its readers not to forget what Jesus said: “Beware wolves in sheep’s clothing” or, rather,“Beware the Judas Goats.”
In the meantime, however, Sharansky’s influence on American Republicanism—under George Bush and in the years ahead—remains substantial. In fact, there’s a new brand of Republicanism, at least according to Ken Mehlman, whom President George W. Bush personally hand picked, following the 2004 election, to serve as chairman of the Republican National Committee.
In a March 14, 2005 speech in Washington to the American Israel Public Affairs Committee (AIPAC), the lobby for Israel, the GOP’s national chairman candidly and enthusiastically described himself as a “Sharansky Republican.”
What was so striking is that this appeared to be the first time in American history that the chairman of one of the national parties used the name and ideology of a political leader from a foreign nation—one known as an “extremist” at that—to describe his own ideology.
In the past, there were self-described “Taft Republicans,” who supported the presidential ambitions of the nationalistic and traditionally conservative Sen. Robert Taft of Ohio—popularly known as “Mr. Republican”—who was the undisputed leader of the America First bloc in Congress from 1936 until his untimely (and some say “suspicious”) death in 1953.
Later, there were the conservative “Goldwater Republicans”who—under the leadership of Sen. Barry Goldwater (Ariz.)—set the stage for the ascendancy of the “Reagan Republicans” who came to power in 1980 under the popular two-term president, Ronald Reagan.
At the same time, in opposition to the Taft and Goldwater Republicans, there were the more liberal and internationalist-minded Republicans who rallied behind New York Governor Thomas E. Dewey and Wall Street lawyer Wendell Willkie, dubbing themselves—naturally—“Dewey Republicans” and “Willkie Republicans.”
And later, of course,many of those same party leaders evolved into “Rockefeller Republicans” following New York Governor Nelson Rockefeller. And there were even a few folks, for a time, who called themselves “Eisenhower Republicans,” stressing their so-called “mainstream, moderate” point of view (however defined) in the spirit of America’s 35th president, Dwight D. Eisenhower.
Now, however, the new GOP national chairman is not calling himself a “Reagan Republican” or even a “Bush Republican” (after the reigning GOP president who is wildly popular among grass-roots members of his party), but, instead, is hailing a foreign leader—a known extremist—as the role model for what 21st century Republicanism is all about.
And this is a direct legacy of George W. Bush who so proudly installed Sharansky as one of the GOP’s ideological dictators, betraying the historic legacy of the GOP. Sharansky’s policy of promoting “global democracy”is hardly in the American tradition, but it’s now part and parcel of what the “modern” Republican Party is all about.
Yes, the war is for the Jews. But it is also for all decent, peace-loving and freedom-loving people. Just as when the Jews were saved from Egyptian slavery, liberated, given the Torah at Mt. Sinai, and brought into the Holy Land, the world now has a great opportunity to rid itself of the Hamans, Hitlers, and Pharaohs who want to kill or enslave them today. (lire la suite...)
Rabbis: Purim, Iraq war linkedby Joe Berkofsky · March 18, 2003(...) Blu Greenberg, an Orthodox feminist leader based in New York, supports the Bush administration’s campaign against Iraq as a “preventive war,” much as the ancient Jews defended themselves against Haman’s plot to destroy them.(...)Rabbi Martin Weiner of San Francisco, outgoing president of the Reform movement’s rabbinical union, the Central Conference of American Rabbis, used Shabbat Zachor to draw a line from Amalek to Hitler to Saddam. A modern-day Amalek, Saddam has attacked four of his neighbors, gassed tens of thousands of his own people and pays stipends to suicide bombers, Weiner said, so “it’s terribly important to remove him.” Last September, Weiner was among those who backed a resolution from the Reform movement’s Union of American Hebrew Congregations urging a pre-emptive strike against Iraq, if Congress supported it and U.N. backing was sought. But for Reform Rabbi Don Rossoff, of Temple B’nai Or in Morristown, N.J., Amalek casts a very different shadow. Rossoff said he has refrained from publicly sermonizing this Purim about the war, which he opposes, because he is “haunted by Baruch Goldstein, who called the Arabs Amalek.” Goldstein, a doctor in an Israeli settlement near the West Bank city of Hebron, shot to death 29 Palestinians praying in Hebron’s Tomb of the Patriarch on Purim Day in 1994. Saddam is “a tyrannical, murderous dictator” who “ would probably wipe out Israel if he could,” Rossoff added. “But he’s not the only one around. His name just starts with ‘H,’ ” like Haman.(...)
Pendaison de Saddam "Haman" Hussein
Elle [la vidéo] commence par exposer une évidence, c’est-à-dire que la Perse est l’Iran actuel ; parmi les images qui clignotent à certains moments quand le nom d’Haman est mentionné, on voit non seulement Ahmadinejad mais aussi Nasrallah le chef du Hezbollah ainsi que, à plusieurs reprises, Hitler et, oui, Jésus Christ qui fait une brève apparition.Dans une réécriture sans fondement de la légende, qui vise à clairement les palestiniens d’aujourd’hui, Haman et ses fils sont présentés comme ayant vécu dans la terre d’Israël où ils prêchaient la haine contre les Juifs et exigeaient l’arrêt de la construction à Jérusalem (!) avant de partir s’installer en Perse qui est le lieu de l’action du Livre d’Esther.En d’autres termes, la vidéo “éducative” de l’armée trace un continuum de Haman à Jésus puis à l’Allemagne nazie et à l’Iran actuel et au Hezbollah ainsi qu’aux palestiniens contemporains. Et Haman, ce que la vidéo ne s’embarrasse même pas à rappeler à son public, est Amalek, l’ennemi éternel des Juifs : «tu effaceras la mémoire d’Amalek de dessous les cieux, n’oublie pas.»