Bilderberg: organisation anti-nationaliste des Rothschild
Selon le fascicule envoyé préalablement aux participants de la Conférence Bilderberg 2009 à Athènes, deux options s’articulent autour de la dépression économique en cours : Soit la situation dégénère et conduit le monde pour des décennies dans le désastre, soit la crise est utilisée pour mettre en place un nouvel ordre économique durable avec moins de souveraineté de la part des États, mais avec une plus grande efficacité. http://www.mecanopolis.org/?p=17533
“According to the pre-meeting booklet sent out to attendees, Bilderberg is looking at two options,” says the Bilderberg-watcher Daniel Estulin — “either a prolonged, agonising depression that dooms the world to decades of stagnation, decline and poverty — or an intense but shorter depression that paves the way for a new sustainable economic world order, with much less sovereignty but more efficiency.”
En réalité, la réunion de Bilderberg ne puise pas ses racines dans le "nazisme", elle n'a aucune relation au IIIe Reich, ni même avec des restants du IIIe Reich (scientifiques "nazis" ou dignitaires "nazis"). Au contraire, Bilderberg fait partie du système de contrôle instauré par le pouvoir juif sioniste.
Bilderberg est en quelque sorte un mécanisme d'influence et de gestion globale pour la dynastie Rothschild - et les Rothschild ne sont pas des nazis! Depuis les 18e siècle, Rothschild est connu comme ayant été un fervent talmudiste, c'est-à-dire un expert et dévot du Talmud, le livre sacré de la religion juive. Les Rothschild sont une famille juive de haut rang, la famille la plus riche et la plus puissante au monde, et ce depuis des siècles. Ils ont établis de nombreuses et gigantesques fortunes indépendantes - dont plusieurs sont juives, mais pas toutes. La première banque des USA a été fondée par leurs représentants.
Historiquement, les membres de Bilderberg ont agi comme représentants des plus grands intérêts bancaires, des plus grandes industries, des grands médias, quelques élites politiques de tous les horizons et même des commentateurs politiques choisis. La liste est sans fin.
Bilderberg a été fondé en 1954, après la Deuxième guerre mondiale (en conjonction avec l'OTAN), afin de prévenir l'émergence de mouvements et de régimes nationalistes comme on en a vu apparaître avant la Seconde Guerre mondiale (ex: les fascistes, les "nazis" et autres groupes nationalistes plus ou moins semblables ou liés). Cette organisation était donc forcément fondamentalement anti-"nazis". Les forces internationales de l'empire Rothschild ne peuvent tolérer ces mouvements nationalistes qui remettent en question le pouvoir des banques internationales! (Voir: La révolution européenne, Francis Delaisi, disponible en pdf.)
Bilderberg est généralement décrit comme une entreprise conjointe de Rothschild et de Rockefeller. Ces Rockefeller, dont le nom reste associé au Council on Foreign Relations (CFR), ont toujours été des laquais des Rothschild, le CFR n'étant rien de plus qu'une filiale américaine du Royal Institute for International Affairs, établi en Angleterre comme organe de contrôle de la politique et des affaires étrangères au service des intérêts Rothschild. Si les Rockefeller ont déjà été extrêmement riches et puissants, il faut souligner que l'importance des Rockefeller est en train de décliner rapidement... Alors que les fortunes familiales liées à l'empire Rothschild (organigramme - pdf) prennent de plus en plus de place.
Certains ont affirmé que les nazis n'ont jamais causé de problèmes aux Rothschild. Cela est faux. En fait, des journaux ont rapporté que des propriétés des Rothschild, notamment des châteaux, avaient été confisqués et leurs vastes terrains recyclés en parcs. Le sinistre pouvoir financier des Rothschild a fait l'objet de deux films de propagande nazie: Die Rothschilds-Aktien auf Waterloo et Der Ewige Jude (Le Juif Éternel).
Certains disent que les fascistes avaient/ont l'appui des sionistes et la franc-maçonnerie. C'est une affirmation erronée, puisque les franc-maçons italiens se plaignaient d'être persécutés par les fascistes, notamment parce que les francs-maçons italiens supportaient les communistes. La franc-maçonnerie a fait l'objet d'un film de propagande nazie, "Forces Occultes" qui la dépeint comme une puissance internationale ennemie de la nation comme de toutes les nations.
Le Jewish Chronicle rapportait en décembre 1934 les propos de Samuel Untermeyer prononcés après l'adoption d'une résolution de boycott contre l'Allemagne, soulignant que le boycott continuerait "jusqu'à ce que l'Allemagne ait rendu aux loges maçonniques leurs status et propriétés dont elles ont été dépouillées".
La connexion "nazie" derrière Bilderberg, dit-on, est que le Prince Bernhard, qui est effectivement le fondateur officiel de la réunion des Bilderberg, aurait été un "officier SS". Or, cela est faux. Si l'on regarde de près l'historique du Prince Bernhard, on constate qu'il était très anti-"nazis". La plupart des aristocrates européens ont vite pris position contre les nationaux-socialistes, car la révolution NS n'était pas du tout à leur avantage! Le Prince Bernhard a été invité par les SS (l'élite censée assurer la protection du Führer) en 1930, bien avant que les SS ne s'orientent vers la guerre, tout simplement parce qu'il faisait partie d'un club équestre fréquenté par l'aristocratie (où l'on s'adonnait à des randonnée à cheval et autres activités sociales de loisirs champêtres) qui a été absorbé par les SS sous la gouvernance nationale-socialiste. C'était pas une organisation de conspiration. C'est sur la base de l'appartenance de Bernhard à ce club que certains "truthers" et "théoriciens du complot" se permettent d'affirmer que le Prince Bernhard était un officier SS. On peut dire en fait que le Prince Bernhard était une sorte de représentant de l'agenda Bilderberg dans les milieux aristocratiques.
Rappelons que les Bilderberg ne font pas que se réunir pour prendre le thé et s'adonner à d'autres activités sociales et champêtres: ils planifient l'avenir de leur système de contrôle politique économique et médiatique. En résumé, Bilderberg n'est pas une organisation "nazie", c'est même une organisation anti-"nazis", puisqu'elle s'oppose au nationalisme et sert les intérêts Rothschild!
Le Prince Bernhard était une façade de cette organisation des Rothschild et la dynastie Rothschild suit les préceptes du Talmud et non du nazisme.
Bien que le livre de Jonathan Petropoulos, Royals and the Reich (PDF, 2006), cherche à mettre en évidence les liens entre l'aristocratie européenne et le IIIe Reich, celui-ci nous donne quand même la preuve irréfutable que le Prince Bernhard détestait le national-socialisme. En 1936, trois ans après l'accession au pouvoir de Hitler, le Prince Bernhard alla rencontrer Hitler pour lui annoncer, au cours d'un tête-à-tête particulièrement froid et tendu, qu'il renonçait à sa nationalité allemande. (Vous savez bien qu'Hitler était un fervent nationaliste allemand, n'est-ce pas?) Un mariage devait sceller l'alliance entre les Pays-Bas et l'Allemagne, mais la Reine des Pays-Bas et le Prince Bernhard se sont mis d'accord pour s'y opposer. Hitler a donc cherché à empêcher sa famille d'aller à la cérémonie. Plus tard, le Prince Bernhard alla combattre les Allemands dans la Royal Air Force (britannique). Il fut nommé commandant des Pays-Bas en 1944 et accepta la reddition de l'Allemagne.
" (...) Prince Bernhard zur Lippe-Biesterfeld (1911-2004), who had a series of titles during his lifetime, culminating in Prince of the Netherlands when he married Queen Wilhelmina's daughter Juliana in 1937, joined the SA, the National-Socialist League of Air Sports, the NSKK, and was a member of the SS. Whatever loyalties he had to Hitler clearly dissipated: in 1936 he renounced his German nationality during a "chilly meeting" with Hitler, and he agreed with Dutch Queen Wilhelmina in opposing "the Führer [who] was keen to treat the wedding as the alliance of two countries .... Hitler responded by trying to stop his relatives [from] attending the ceremony. In 1940 Prince Bernhard helped the Dutch royal family escape to Great Britain, and from 1942 to 1944 worked for the Royal Air force (on at least one occasion overcoming Queen Wilhelmina's ban on his participation in active combat by flying under an assumed name). (...) Queen Wilhelmina made him Commander of the Netherlands armed forces in 1944, and the following year, he accepted the German surrender at Wageningen." (PDF - Royals and the Reich, Jonathan Petrouloulos, 2006)
Une autre anecdote révèle l'antipathie mutuelle entre Hitler et le Prince Bernhard.
« One of the visitors who might have profited from such advice
was Bernhard, prince of Lippe-Biesterfeld, who had married Crown
Princess Juliania of the Netherlands in 1937. Although as a former party
member – and now Prince Bernhard of the Netherlands, as Hitler recounted
with disdain – he had always maintained how closely he felt the tie with
his 'Fatherland Germany'. Hitler realised when they took their leave
of each other that he had been dealing with a ‘windbag’. 'When I offered
him my hand in parting’, Hitler said, ‘I held a lazy, limp leaf.’ The
‘reorientation of the prince’s conscience and feelings 'was treason to
Volk and Fatherland’. If Hitler originally thought that, by the presence
of the prince in Amsterdam and The Hague, he could build a bastion of
the Reich there, that handshake alone had shown him that he was sadly
mistaken. » (Source: PDF - With Hitler to the End: The Memoir of Hitler's Valet, 2009, by Heinz Linge,Roger Moorehouse) Voir aussi Hitlers Table Talk (2000).
Une autre des nombreuses preuves que le Prince Bernhard n'était pas nazi est qu'il a été un proche allié du rabbin Tibor "Pinchas" Rosenbaum. Difficile d'être plus loin des nazis que rabbin Rosenbaum, un rescapé de l'holocauste qui a même aidé à sauver un grand nombre de juifs de l'Holocauste! Rosenbaum s'occupait de fournir des armes au Mossad (services secrets d'Israël) et dirigeait, pour le Mossad, le blanchiment de l'argent du réseau mafieux de Meyer Lansky, le roi de la mafia juive, via la Banque de crédit international, basé en suisse! (Lansky orchestra même des perturbations contre des ralliements "nazis" aux État-Unis). La Banque de Crédit et de Commerce International (BCCI), sous la direction de Rosenbaum, fut le principal actionnaire de Permindex, qui orchestra l'assassinat de JFK (Clay Shaw était membre du CA de Permindex). (Voir ici un documentaire du centre Simon Wiesenthal - nommé ainsi en l'honneur du fameux chasseur de nazis! - qui l'appelle "Pinchas" Rosenbaum). Cela servait non pas les nazis mais le pouvoir juif sioniste!
Eisenberg, Dan et Laudau écrivent au sujet du favoritisme exhibé par le Prince Bernhard envers Rosenbaum:
another of [Rosenbaum's] good friends in high places was Prince Bernhard, consort of the Queen of the Netherlands, who invited him to the royal Palace in Holland to lecture leading Dutch bankers on good business practices. Here too a scandal ensued, when the Prince sold a castle, the Warmelo, for 400000$ to a Lichtenstein firm, Evlyma Inc., owned by Rosenbaum [BCI]. Just why this castle was sold to the Swiss banker, for what he described a ridiculously low price has never been made clear." (Rapporté dans Final Judgment, de Michael Collins Piper.)
La thèse de Final Judgment à cet égard est principalement construite sur l'importance clé de Meyer Lansky en tant que véritable acteur d'importance dans le crime organisé américain des années 1950 et 1960, le supérieur de Giancana, Roselli, Marcello, Mickey Cohen, Mickey Weiner, Moe Dalitz, Frank Costello, et d'autres mentionnés précédemment en tant que participants au complot contre Kennedy. À son tour, le rôle de Lansky en tant que sioniste engagé et leveur de fonds pour l'État d'Israël impliquait des liens directs et palpables entre son empire criminel, ses banques de Miami et la Banque de Crédit international (BCI) à Genève, en Suisse. Cette dernière entité a été le centre européen de blanchiment d'argent pour les activités mondiales M. Lansky. BCI, à son tour, a été dirigée par un banquier israélien, le rabbin Tibor Rosenbaum, ex-directeur des Finances et de l'approvisionnement pour le Mossad israélien. Piper démontre ensuite que la BCI est un actionnaire principal dans une société basée à Rome appelée CMC/Permindex, dont le président du conseil d'administration était nul autre que Louis M. Bloomfield de Montréal (Canada), un important collecteur de fonds pour Israël et opérateur connu du renseignement israélien. CMC/Permindex, à son tour, se révèle être l'un des principaux points d'intersection qui relie le mystérieux Bloomfield directement ou indirectement àClay Shaw (la principale cible de l'enquête de Jim Garrison à New Orleans), Guy Banister, James Jesus Angleton (loyaliste pro-Israël), le chef de la section 5 du FBI William Sullivan (qui a dirigé l'enquête du FBI pour la Commission Warren et a servi comme agent de liaison du FBI et ami de Angleton), l'ex-président cubain Carlos Prio Socarras (un trafiquant d'armes avéré partenaire d'affaires de l'assassin d'Oswald Jack "Ruby" Rubenstein), Ernest Israël Japhet (directeur et président de la Banque israélienne Leumi), Shaul Eisenberg (un personnage clé dans le développement de la bombe nucléaire d'Israël et participant avec Rosenbaum dans la banque d'échange Suisse-israélienne), des éléments de l'Organisation Armée Secrète (OAS) nationaliste française, l'agent de la CIA Théodore Shackley (le chef de la station de la CIA à Miami au moment du plan de la CIA-Lansky pour assassiner Fidel Castro), et Abe Feinberg, un homme d'affaire juif de New York employé par Ben Gourion comme agent de liaison pour des réunions secrètes avec le président Kennedy dans le but de régler le différend des deux partis au sujet de Dimona. C'est donc les acteurs et les liens de BCI et CMC/Permindex que Piper met en évidence pour montrer que les joueurs, les alliances et les actifs ont été mis en place en combinant les motifs, les moyens et l'occasion dans ce complot qui a porté ses fruits à Dallas. Source: Michael Collins Piper, 45e anniversaire de l'assassinat de JFK
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Le fait est que lorsque le District Attorney (Procureur) de la Nouvelle-Orléans Jim Garrison poursuivait l'exécutif commercial Clay Shaw pour complot dans l'assassinat, Garrison a trébuché sur la connexion du Mossad. Bien que (après son acquittement) Shaw fut exposé comme collaborateur de la CIA, en 1963 Shaw siégeait au conseil d'une société basée à Rome nommée Permindex, qui était en réalité une façade pour une opération de trafic d'armes parrainée par le Mossad. L'actionnaire principal dans Permindex, la Banque de Crédit Internationale de Genève, était non seulement le fief de Tibor Rosenbaum, un haut responsable du Mossad, mais aussi le centre opératif du blanchiment d'argent pour Meyer Lansky, parrain du syndicat du crime et loyaliste israélien de longue date.L'exécutif en chef de Permindex était Louis Bloomfield de Montréal, une figure prééminente du lobby d'Israël et un opérateur de la famille Bronfman, qui furent des associés intimes de Lansky et les grands Parrains d'Israël.(...) En fait, la présence juive dans le crime organisé en Amérique est un phénomène peu connu que les médias obsédés par la "mafia" ont réussi à garder secret. Qu'en est-il de Jack Ruby (Rubenstein), l'opérateur de discothèque juif, qui a tué Lee Harvey Oswald, l'accusé assassin du président? Les connexions de Ruby au monde interlope criminalisé sont bien documentées. Cependant, ce qui est encore peu connu est le lien intégral de Ruby au Syndicat du crime de Meyer Lansky -- et non pas « la mafia » -- et aux alliés d'Israël dans la CIA. Dans Final Judgment j'ai documenté des connexions supplémentaires entre Jack Ruby et l'État d'Israël et son trafic d'armes et ses conduits financiers aux États-Unis. Des documents du FBI, longtemps étouffés, révèlent que Ruby lui-même a visité Israël en 1955 et que, lorsque Ruby était à San Francisco cette année-là, il aurait déclaré à un ami, «Après être parti d'ici, je m'en vais en Floride acheter une charge de contrebande pour l'envoyer en Israël ». En outre, notons que Lawrence Meyers, un ami de longue date de Ruby qu'il a rencontré la veille de l'assassinat de JFK, était un vendeur pour Ero Manufacturing, une entreprise liée à une corporation sous enquête pour envois illégaux d'armes à Israël. En outre, nous savons aussi que Jack Ruby était sur la liste de paie de la famille connectée au Syndicat du crime Lansky: les Bronfman (actuellement dirigée par Edgar Bronfman, président du Congrès juif mondial). Considérant les liens intimes de la famille Bronfman avec la créature du Mossad "Permindex" qui a joué un rôle central dans le complot d'assassinat de JFK, la connexion de Ruby à la famille Bronfman pointe effectivement, encore une fois, vers une autre autre connexion israélienne à l'assassinat de JFK.Source: Michael Collins Piper, L'arsenal nucléaire israélien au centre de la guerre secrète entre Israël et JFK
Three current news stories—taken together—illustrate that
things are not always as they seem. Take, for example, a new revelation about
the Bilderberg group released by Internet voice Alex Jones in the wake of last
week’s Bilderberg meeting in Virginia, where Jones joined a crowd jeering the
assembled would-be world rulers.
Although Jones has insisted Bilderberg is some sort of
remnant of the Nazi regime of Adolf Hitler devoted to a modern-day Nazi agenda,
a report on Jones’s own website effectively admits Bilderberg’s program is
distinctly anti-Nazi.
Citing the papers of former Sen. Fred Harris (D-Okla.), who
attended Bilderberg’s 1966 meeting in Wiesbaden, Germany, Jones points out that
Harris recorded the remarks of top Bilderberg figure, labor leader Walter
Reuther, who outlined Bilderberg’s underlying agenda: “Nationalism is
dangerous.”
WWII-era German National Socialism—Nazism —of course, was
very much nationalist in every sense, and the fact nationalism was denounced at
Bilderberg gives a clear picture of the real Bilderberg point of view, rumors
notwithstanding.
Jones mentions Bilderberg’s founder, Prince Bernhard of the
Netherlands, had been a Nazi Party member. But what Jones does not mention is that
Bernhard left the party in 1934, a year after Hitler came to power, and by 1940
was a top leader of the anti-Nazi resistance in Europe. So by the time Bernhard
became Bilderberg chief, he had undergone a serious political transformation.
What’s more, as careful historians know, Hitler held
Bernhard in contempt. In his recorded Table Talk* and in the memoirs of his
valet, Hitler is recalled scoffing satirically at Bernhard, and questioning his
intelligence, integrity and loyalty.
The forces leading Bilderberg are anti-Nazi, particularly the
Rothschild dynasty, whose assets were seized by the Nazis, belying a popular
myth that “the Nazis never touched the Rothschilds.”
(...)
——
*Hitler’s Table Talk is available fromTBR BOOK CLUB for $35
plus $5 S&H. Softcover, 8.5 x by 11, 320 pages, #621. Call 1-877-773-90771-877-773-9077
toll free to charge or send payment to TBR, P.O. Box 15877, Washington, D.C.
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Pierre Hillard, docteur en sciences Po, très estimé par les conspirationnistes, reprend le mythe selon lequel "le prince Bernhard était un officier SS". Une des sources préférées de Hillard est Anthony Sutton, qui a écrit notamment (dans Wall Street and the Bolshevik Revolution) que c'étaient pas des juifs qui contrôlaient le bolchévisme, ce qui est tout une entorse à la réalité. Concernant Hitler, Anthony Sutton se base sur un document frauduleux "Hitler's Secret Bankers', de 'Sydney Warburg" qui est rien de moins qu'un faux! Sutton est très répandu dans certains milieux tels la John Birch Society (une organisation pseudo-nationaliste dotée de sa propre revue et carte de membre), qui suit de près la ligne de pensée du bouc de Judas, demi-juif sioniste, Bilderberger (!!) et "ex"-agent de la CIA William F. Buckley. Les Buckley sont aussi liés à des intérêts israéliens dans le pétrole, qui était sous contrôle des Rothschild avant qu'ils soient vendus au rabbin Tibor Rosenbaum (directeur de la banque suisse BCCI - qui est comme nous l'avons vu, une façade de blanchiment d'argent pour le Mossad - et important financier lié au super-mafieux juif Lansky).
The mainstream press was compelled to report on the secretive meeting of Bilderberg this past weekend, though still trying to deny any conspiracy on the part of powerful elites. Click here to read one report from a major UK daily. To get the real story , get a copy of AFP's newly released special report on this shadowy group, click here.