VIDEO - OIL SPILL IN GULF - Hand of God? Connection to Israel?
Je résume: des chrétiens sionistes américains disent que l'accident de BP dans le Golfe du Mexique est une punition divine en réaction au changement dans la politique d'Obama vis-à-vis d'Israël!
La coïncidence est telle: le 19 avril (suivant la date calculée à chaque année selon leur calendrier lunaire), Israël célébrait sa fête de l'Indépendance. Le soir même, Fox annonçait que l'administration Obama a déclaré qu'elle ne supporterait plus inconditionnellement Israel! Puis, le lendemain, le 20 avril, subitement, la catastrophe de BP s'est produite!
Ça devient encore plus plausible quand on sait qui contrôle vraiment BP (Rothschild)!!
Notons au passage quelques coïncidences reliées à la date: le 20 avril est la date de l'anniversaire d'Adolf Hitler et de la tuerie de l'école Columbine (USA). Le 19 avril est la date de la tragédie de Waco et de l'attentat d'Oklahoma City. C'est aussi la fête juive de Pessa'h - Passover. (Voir le livre Blood Passover - Pasqua Di Sangue - d'Ariel Toaff, fils du grand rabbin d'Italie, qui a été forcé de se rétracter après la publication de son livre.)
VIDEO - Israel warns Obama to keep Israel safe or America will not be safe
"La famille Rothschild profite du désastre -- La catastrophe du Golfe mènera-t-elle à la prise du pouvoir par la famille Rothschild?"
Victor Thorn explique d'abord que la direction était au courant des défaillances très graves telles que le bris de joints d'étanchéité, la contamination du ciment entourant l'embouchure du puits, etc. Mais le plus intéressant, est dans la seconde partie de l'article:
"Goldman Sachs a vendu 44 pour cent de ses parts dans BP dans le premier trimestre de 2010 et le PDG de BP Tony Hayward a. de même. vendu un tiers de ses parts de BP avant le désastre.(...)
Un plan grandiose
Au fil du temps, le déplacement de millions de gallons de pétrole sous le lit de la mer conduira à la création d'une cavité massive, causant possiblement une contraction et un mouvement des plaques tectoniques. Si un tel événement se produit, le résultat pourrait être des tremblements de terre au minimum, et un tsunami gigantesque dans le pire des cas. Cette dévastation causerait sans aucun doute la faillite BP et aurait des conséquences désastreuses pour une économie américaine déjà fragile.
Le 8 juin, le présent auteur a interviewé un ancien membre de l'agence de communication de la Défense, qui a demandé l'anonymat. Il a insisté que l'effondrement financier mondial tel que décrit ci-dessus fait partie d'une conspiration beaucoup plus grande.
"En 1987, Edmond de Rothschild a créé la Banque mondiale pour la conservation [rebaptisée pour Fonds pour l'environnement mondial en 1991]. Cette institution a été créée pour ramasser les morceaux après l'effondrement de toutes les grandes banques. "
Il a fourni plus de détails.
"Pour continuer à obtenir des prêts, les pays utilisent leurs terres comme garantie, dit-il." Puis, quand leurs banques s'effondrent, cette super-banque Rothschild émerge pour prendre possession des terres dans le monde entier. Il s'agit d'un plan intergénérationnel d'appropriation juridique de la planète. "
Son raisonnement a finalement conduit à l'objectif ultime.
"Par la constriction du crédit pendant que les économies mondiales se détériorent, les entreprises et les pays seront acculés à la faillite", a-t-il dit. "Leurs actifs papiers sans valeur seront manipulés et détruits afin de saisir les avoir tangibles d'un pays: sa terre et son sous-sol."
L'analyste financier George Hunt a démasqué pour la première fois la Banque mondiale pour la conservation il y a deux décennies. Selon lui, les banques centrales peuvent prêter de l'argent imprimé à partir de rien par le Fonds monétaire international (FMI). L'historien des Rothschild Andrew Hitchcock a ajouté que les responsables du FMI ont le pouvoir d'émettre la monnaie fiduciaire en vertu de ce qu'on appelle des "droits d'émission spéciaux."
Si un effondrement de l'économie mondiale s'ensuit, et ces pays manquent à rembourser leurs prêts, la Banque mondiale pour la conservation va engloutir les autres banques et saisir les parcs nationaux, les ressources naturelles, les terres agricoles et les forêts du monde.
Si une telle institution peut s'accaparer environ 30 pour cent de l'immobilier à travers la planète -- et en prendre possession dans la même période que l'effondrement financier massif -- ils contrôleront effectivement le monde.
Considérant que la famille Rothschild a plaidé pour le mouvement de lutte contre le réchauffement de la planète pendant des décennies -- et que le déversement de pétrole du Golfe est la pire catastrophe écologique que ce pays ait connu -- BP, une filiale de la famille Rothschild, a-t-elle pu orchestrer ce cataclysme pour faire avancer leur agenda de façon monumentale?"
http://www.amfirstbooks.com/IntroPages/ToolBarTopics/Articles/Featured_Authors/Thorn,_Victor/Articles_Archive/AFP_2010-2011/Victor_Thorn_AFP20100628_Will_Gulf_Calamity_Lead_to_Rothschild_Financial_Takeover.html
Could the world’s most powerful banking interests exploit the catastrophe in the Gulf of Mexico brought about as a result of the massive oil spill to further the creation of world government? AFP has the details behind a story that ties the environmental crisis and the U.S. economic collapse to the powerful Rothschild family, as incredible as it may sound.
Lead to Rothschild
Financial Takeover?
Is the non-stop BP “oil volcano” a deliberately engineered act designed to help collapse the global economic system so that a Rothschild-controlled bank can step in and pick up the pieces? Prior to addressing the specifics of such a plot, a few variables need to be provided.
It’s now been proven that Goldman Sachs dumped 44 percent of its BP shares in the first quarter of 2010 and that BP CEO Tony Hayward likewise sold one-third of his BP stock prior to the disaster.
Odder still, BP’s oil spill began on April 19 and April 20—the same day as the Waco massacre, the Oklahoma City Murrah Building bombing and the high school massacre at Columbine in Colorado. Coincidence?
Deepwater Horizon’s oilrig had tapped into a high-pressure subterranean oil vein, with pressure estimated at between 30,000 to 70,000 pounds per square inch, deep within the Earth’s strata some 32,000 feet below the surface of the Gulf of Mexico.
A survivor of the explosion on the oil platform— which actually took place on April 20, but had been brewing for at least a day—remarked: “Everyone had an ominous feeling. We were messing with Mother Nature.”
Pushing the limits of human technology, every single aspect of the drilling process required perfection to avert catastrophe. But can this disaster be explained away as simple incompetence, or is it something more sinister?
Weeks before this calamity, chunks of rubber from a gasket surrounding the drill pipe’s blowout preventer had broken loose. BP neglected to have it replaced, so the single most important safety feature had been compromised. Executives at BP were aware of this faulty situation.
Robin Pagnamenta, energy editor for the Times in London, described in a May 26 article how the cement used by Halliburton to plug the wellhead had been contaminated with mud. Even though an adequate seal had not been established, again BP directed operators to begin removing heavy drilling fluid and replace it with lighter seawater.
In a May 27 report, The Wall Street Journal’s Miguel Bustillo wrote of a skirmish between Transocean chief mechanic Douglas Brown and an unknown BP “company man.”
Despite enormous pressure increases beneath the sea, BP’s suspected saboteur gave direct orders to remove the heavy drilling mud, which acted as the primary key to maintain safety.
At that point, the already damaged blowout preventer served as the final failsafe. Because Halliburton’s cement plug didn’t have the proper time to set, gasses and fluids under tremendous pressure burst upward toward the rig, causing an incredible explosion.
A GRANDIOSE PLAN
Over time, displacing millions of gallons of oil beneath the sea bed will lead to the creation of a massive cavity, possibly causing tectonic plates to contract and shift. If such an event occurs, the result could be earthquakes at a minimum, and a massive tsunami as a worst-case scenario. Such devastation would undoubtedly bankrupt BP and be disastrous to an already fragile U.S. economy.
On June 8, this writer interviewed a former member of the Defense Communications Agency, who requested anonymity. He insisted that a global financial collapse as described above is part of a much larger conspiracy.
“In 1987, Edmund de Rothschild created the World Conservation Bank [later renamed the Global Environment Facility in 1991]. This institution was designed to pick up the pieces after all the major banks collapse.”
He provided more details.
“To keep getting loans, countries use land as collateral,” he said. “Then, when their banks fail, this Rothschild super-bank will emerge to obtain title for lands all around the world. It’s a generational plan for legal ownership of the planet.”
His reasoning eventually led to the ultimate goal.
“By constricting credit as global economies deteriorate, companies and countries will be forced into bankruptcy,” he said. “Their worthless paper assets will be manipulated and destroyed in order to gain a country’s tangible assets: their land and what’s underneath it.”
Financial analyst George Hunt first exposed theWorld Conservation Bank over two decades ago. According to him, central bankers can lend money printed out of thin air by the International Monetary Fund (IMF). Rothschild historian Andrew Hitchcock added that IMF officials have the authority to issue fiat money under what is known as “special drawing rights.”
If a global economic collapse ensues, and these countries default on their loans, theWorld Conservation Bank will engulf the other banks to seize the world’s national parks, natural resources, farmland and forests.
If such an institution can collateralize approximately 30 percent of the globe’s prime real estate—and then assumes ownership of it during a time of mass financial collapse—they will effectively control the world.
Since the Rothschild family has advocated for the global warming movement for decades—and the gulf oil spill is this country’s worst ecological disaster on record—could the Rothschild family’s subsidiary, BP, have orchestrated this cataclysm to push forward their agenda in a monumental fashion?
IsreAl Gore
Eric Granger sur le G20 de Toronto et les manifs sous la coupe du mouvement réchauffiste Rockfeller-Rothschild
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