VIDEO - BILL STILL EXPLAINS WHY JFK DID NOT GO AFTER THE FED
VIDEO - BILL STILL (MAKER OF THE DOCUMENTARY MONEY MASTERS, ETC.) AGAINST THE "JFK VS THE FED" MYTH
des 'billets verts de JFK'
By Michael Collins Piper
Premièrement, le contexte: en 1994, le livre de cet auteur, Final Judgment documentait un plan de la famille Kennedy en vue d'agir contre la Fed, tel que décrit par le père de JFK, l'Ambassadeur Joe Kennedy, a cours d'une réunion privée en 1957 entre l'ambassadeur et un de mes amis, homme d'affaires international DeWest Hooker, un critique virulent de la Fed.
Lorsqu'ils discutaient des plans de la famille, Kennedy envisageait cela à long terme, sachant qu'il serait impossible de détrôner la Fed du jour au lendemain. C'est pourquoi l'objectif de la dynastie des Kennedy était de consolider leur pouvoir pour ensuite se retourner contre l'élite mondiale. Les Kennedy étaient assez astucieux pour savoir que JFK ne pouvait pas prendre de mesures sérieuses contre la Fed au cours de son premier mandat en faisant face à une réélection difficile.
En dépit de ces révélations, immédiatement après la sortie de Final Jugement cet auteur a reçu plusieurs lettres disant en substance ceci:
Pourquoi n'annoncez-vous pas que JFK a émis un décret par lequel il a inséré de l'argent sans intérêt (parfois appelé "billets verts") dans l'économie américaine, contournant ainsi le monopole inconstitutionnel de la réserve fédérale contrôlée par des banquiers internationaux? Ce faisant JFK a vraiment taillé une encoche profonde dans l'armure de la Fed. C'est certainement la principale raison pour laquelle il a été assassiné, mais vous ne mentionnez la Fed qu'en passant. Même Jim Marrs mentionne cela dans son livre Crossfire.
Avec ces préoccupations en tête, nous répétons ici ce que dit Marrs pour ensuite expliquer «l'histoire derrière l'histoire» de ce sur quoi Marrs avait incorrectement écrit. Marrs a écrit:
Un autre aspect souvent négligé de la tentative de Kennedy de réformer la société américaine concerne l'argent. Kennedy a apparemment réalisé que par le retour à la Constitution, qui stipule que seul le Congrès peut émettre la monnaie et réglementer l'argent, l'énorme dette nationale pourrait être réduite en ne payant aucun intérêt aux banquiers de la Réserve fédérale, qui impriment le papier-monnaie [et] le prêtent au gouvernement à intérêt.
Il a fait son premier pas dans ce sens le 4 juin 1963, en signant le décret 11110, qui a appelé à l'émission de 4,292,893,815 $ de billets des États-Unis par l'intermédiaire du Trésor des États-Unis plutôt que par le système traditionnel de la Réserve fédérale. Le même jour, Kennedy a signé un projet de loi changeant les provisions des billets de un et deux dollars de l'argent à l'or, renforçant ainsi le dollar américain affaibli. . . Un certain nombre de "projets de loi Kennedy" ont effectivement été délivrés -- l'auteur a un billet de cinq dollars en sa possession avec comme en-tête "Billet des États-Unis" -- mais ils ont été rapidement été retirés après la mort de Kennedy.
Les lecteurs attentifs constaterons que Marrs a cité le numéro du 31 octobre 1988 du respecté journal populiste, The Spotlight, comme la source de ses données.
Toutefois, ce que Marrs ne ignore apparemment, c'est que dans le numéro suivant, notre journal a publié une correction, expliquant qu'un employé subalterne avait trouvé cet article dans un autre bulletin d'information -- la rumeur circulant dans la presse populiste depuis des années -- et l'avait ensuite glissé dans une colonne présentant un assortiment de nouvelles brèves. Pourtant, comme notre rédacteur en chef l'a indiqué, cette histoire a été étudiée et prouvée fausse.
Mais Marrs a raté la correction et a cité l'histoire originale dans son best seller du New York Times et, en conséquence, des milliers -- peut-être des millions -- l'ont accepté comme un fait, et Marrs a été maintes fois cité par d'autres auteurs. Maintenant, avec Internet et les émissions de radio alternative, cette fausse histoire a littéralement pris vie. Le personnel du Spotlight a mené une enquête sur la légende et a constaté les faits suivants:
La question était de savoir si le décret (EO) 11110 -- signé par JFK le 4 juin 1963 et censément abrogé par LBJ quelques heures de l'assassinat de JFK a approuvé plus de 4 milliards de dollars de billets des États-Unis, délivrés directement par le Trésor, à la place des billets de la Réserve fédérale qui rapportent des intérêts aux banques de la Réserve fédérale.
En fait, EO 11110 concernait l'octroi au secrétaire du Trésor du pouvoir d'édicter des règles et règlements relatifs à la compétence du secrétaire d'agir sans l'approbation du président sur les ventes de lingots d'argent. En tant que président, JFK a révoqué ces deux éléments avec EO 11110.
Qui plus est, ce fut l'administration Reagan -- et non pas LBJ -- qui a finalement abrogé EO 11110. Et ce EO concernait des certificats d'argent -- pas des billets verts -- quand Reagan a signé EO 12608, qui a révoqué plusieurs décrets dépassés, y compris celui dont il est ici question. Je le répète, l'émission de billets US n'était même pas l'objet du EO 11110 de JFK.
En outre -- et cala est très important -- les prétendus "billets verts de JFK" ont été émis conformément à la très ancienne législation fédérale exigeant qu'un certain nombre de billets US soient toujours en circulation par le Trésor. Cela n'avait rien à voir avec un quelconque décret (ordre exécutif) ou secret mesure particulière de la part de JFK.
En d'autres termes, les "billets verts de JFK" émis en 1963 seraient entrés en circulation de toute manière, peu importe qui était dans la Maison Blanche à ce moment-là.
Le fait est qu'une loi du Congrès qui a été adoptée le 31 mai 1878 déclarait que le Trésor américain est tenu de conserver 322 539 016 $ de billets américains en circulation à tout moment.
Ainsi, l'émission des billets US de JFK a été fait en vertu d'une loi existant depuis longtemps dans les livres.
Ceux qui citent un décret de JFK, qui fait plutôt référence à tout autre chose, font une erreur, et rendent un mauvais service à des chercheurs sérieux.
Un dernier point: dans la dernière édition de Final Judgment, on trouve une illustration d'un billet US de 1966. Il est authentique, en la possession d'un critique vétéran de la Fed. Les négociants en devises américaines vendent fréquemment des billets US de l'ère post-JFK.
Ils peuvent vérifier l'authenticité de ces billets des États-Unis. Le fait que ce billet des États-Unis de 1966 existe est la preuve que c'est un mythe qu'aucun billet des États-Unis n'a été émis après 1963, que LBJ a retiré les billets US de la circulation au moment d'assumer la présidence après la mort de JFK.
.American Free Press | |
.Vol VIII .#52 December 29, 2008americanfreepress.net | |
Page 15, AMERICAN FREE PRESS * December 29, 2008 * Issue 52 AFP ON THE "PAY-TO-PLAY" SCANDAL
Shown above is a 1966 United States Note. Its existence proves, beyond question, that it is an absolute myth that no U.S. Notes were issued after the JFK assassination and refutes the theory that JFK was killed because he ordered U.S. Notes taken out of circulation and that, upon his death, his successor, Lyndon Johnson, reversed JFK's order. Final Judgment demonstrates that JFK's order had nothing to do with U.S. Notes whatsoever. Although the Kennedy family did oppose the Federal Reserve and ultimately intended to challenge that monopoly, the myth about “JFK's Greenbacks” has muddied the waters in the debate over the JFK conspiracy and it is a myth (in which so many have vested so much wishful thinking) that simply refuses to go away, the facts notwithstanding.
.The legend that John F. Kennedy defied the Federal Reserve and the international bankers who control it by issuing U.S. Notes into the American economy in 1963—and thus paid with his life—is a myth that won’t go away. Although it’s true that non-interest bearing U.S. Notes were issued during the JFK administration—no question about it— but there’s much more to the story.
First, some background: in 1994 this author’s book, Final Judgment documented—for the first time—a Kennedy family plan to move against the Fed, outlined by JFK’s father, Ambassador Joe Kennedy, in a private meeting in 1957 between the ambassador and a friend of mine, international businessman DeWest Hooker, an outspoken critic of the Fed.
When discussing the family’s plans, Kennedy was talking long term, knowing it would be impossible to dethrone the Fed overnight. That’s why the goal of the Kennedy dynasty was to consolidate their power and then move against the global elite. The Kennedys were astute enough to know that JFK couldn’t make any serious moves against the Fed during his first term while facing a tough reelection.
Despite these revelations, immediately after the release of Final Judgment this author received multiple letters saying essentially this:Why don’t you report that JFK issued an executive order that inserted interest-free money (sometimes called “greenbacks”) into the American economy, thereby circumventing the unconstitutional, international banker-controlled Federal Reserve money monopoly? By doing so JFK put a real chink in the Fed’s armor. This is certainly the primary reason he was assassinated, but you only mention the Fed in passing. Even Jim Marrs mentions this in his book Crossfire.With these concerns in mind, we repeat here what Marrs said and then explain the “story behind the story” of what Marrs had incorrectly written. Marrs wrote:Another overlooked aspect of Kennedy’s attempt to reform American society involves money. Kennedy apparently reasoned that by returning to the Constitution, which states that only Congress shall coin and regulate money, the soaring national debt could be reduced by not paying interest to the bankers of the Federal Reserve System, who print paper money [and] then loan it to the government at interest.
He moved in this area on June 4, 1963, by signing executive order 11,110 which called for the issuance of $4,292,893,815 in United States Notes through the U.S. Treasury rather than the traditional Federal Reserve System. That same day, Kennedy signed a bill changing the backing of one-and two-dollar bills from silver to gold, adding strength to the weakened U.S. currency . . . A number of “Kennedy bills” were indeed issued—the author has a five-dollar bill in his possession with the heading “United States Note”—but were quickly withdrawn after Kennedy’s death.Careful readers would find that Marrs cited the Oct. 31, 1988 issue of the respected populist newspaper, The Spotlight, as the source of his data.
However, what Marrs apparently didn’t know was that in its next issue, our newspaper published a correction, explaining that a junior staffer had found this item in another newsletter—the rumor had been circulating in the populist press for years—and slipped it into a column containing an assortment of brief news notes. Yet, as our editor indicated, this item had been investigated and proven erroneous.
But Marrs missed the correction and cited the original story in his New York Times best-seller and as a consequence, thousands—perhaps millions—accepted it as fact, and Marrs has been repeatedly cited by others. Now, with the Internet and alternative talk radio, this false story has taken on a life of its own. The Spotlight staff conducted an inquiry into the legend and found these facts:At issue was whether executive order (EO) 11,110—signed by JFK on June 4, 1963 and supposedly repealed by LBJ within hours of JFK’s death—approved more than $4 billion in U.S. Notes, issued directly by the treasury, in place of Federal Reserve Notes which earn interest for the Federal Reserve banks.
In fact, EO 11,110 dealt with granting the secretary of the treasury the authority to issue rules and regulations pertaining to freeing the secretary to act without presidential approval on silver bullion sales. As president, JFK revoked both of these with EO 11,110.
What’s more, it was the Reagan administration— not LBJ—that finally repealed EO 1,110. And this EO dealt with silver certificates—not greenbacks— when Reagan signed EO 12,608, which revoked several outdated executive orders, including the one in question. To repeat, the issuance of United States Notes was not even the subject of JFK’s EO 11,110.
In addition—and this is important—the purported “JFK greenbacks” were issued pursuant to longstanding federal legislation mandating that a certain number of U.S. Notes always be in circulation by the Treasury. It had nothing to do with any executive order or secret special measure by JFK.
In other words, the “JFK Greenbacks” issued in 1963 would have gone into circulation no matter who was in theWhite House.
The fact is an act of Congress passed on May 31, 1878 declared that the U.S. Treasury is required to keep $322,539,016 in U.S. Notes in circulation at all times.So the issuance of U.S. Notes by JFK was done in pursuance of a law long on the books.
Those who cite an executive order by JFK that, in fact, refers to something else altogether, are making a mistake, doing a disservice to serious research.
One last item: illustrated in the latest edition of Final Judgment is a 1966 United States Note. It is genuine, in the possession of a veteran critic of the Fed. Dealers in U.S. currency frequently sell post-JFK era U.S. Notes.
They can verify the authenticity of these U.S. Notes. The fact this 1966 U.S. Note exists is proof that it is a myth no U.S. Notes were issued after 1963, that LBJ withdrew U.S. Notes from circulation upon assuming the presidency after the death of JFK.
|
Pour une courte introduction en français, visionner cet extrait en français (@2:33) d'un important reportage de la BBC "Israel, Vanunu and the Bomb" (à voir en entier en version française).
45e anniversaire de l'assassinat de JFK
Excerpts from the book Final Judgment: The missing link in the JFK assassination conspiracy
Michael Collins Piper contre la mafia juive
The New Babylon: A Panoramic Overview of the Historical, Religous and Economic Origins of the New World Order (2009), by Michel Collins Piper
Judas Goats -- The Enemy Within: The Shocking Story of the Infiltration and Subversion of the American Nationalist Movement (2005), Michael Collins Piper