«Personnellement, je suis antisémite»
(En confidence à son ami le Docteur Bercher vers 1934.)
books.google.com/books?isbn=2830910486..
"Les Hébreux n'ont presque fait qu'exterminer, du moins avant la destruction de Jérusalem"...
"Les Hébreux conduits par Josué, purent massacrer sans peine des populations sans défenseur"...
il faut "purger le christianisme de l'héritage d'Israël".
La pesanteur et la grâce:
"La malédiction d'Israël pèse sur la chrétienté. Les atrocités, l'Inquisition, les exterminations d'hérétiques et d'infidèles, c'était Israël. Le capitalisme, c'est Israël. Le totalitarisme, c'est Israël..."
Il n’y a pas en ce monde de race plus énigmatique, plus fatale et par conséquent plus intéressante que celle des Juifs. Tout écrivain qui, comme vous, est oppressé par l’aspect du présent et embarrassé par son angoisse devant l’avenir, doit chercher à élucider la question juive et sa portée sur notre époque. Car la question juive et son influence sur le monde ancien et moderne plonge à la racine même de toute chose et doit être discutée par tout penseur honnête, si grandes soient les difficultés qu’elle comporte, si complexe soit le sujet, aussi bien que les individus de cette race. Vous révélez, et avec une grande ferveur, les rapports qui existent entre le collectivisme de la finance internationale immensément riche- la démocratie des valeurs d’argent, comme vous l’appelez — et le collectivisme international de Karl Marx et de Trotsky. Et tous ces maux et ces misères économiques aussi bien que politiques vous en remontez la trace à une seule source une seule
Eh bien Je dois tout d’abord dire ceci : il ne s’est guère passé un événement dans l’Europe moderne sans qu’on puisse en remonter la trace jusqu’aux Juifs. Toutes les idées et tous les mouvements des temps modernes ont jailli d’une source juive et ceci pour la simple raison que l’idée sémitique a finalement conquis et entièrement asservi notre univers. Il ne fait aucun doute que, dans tout ce qu’ils font, les Juifs renchérissent en mieux ou en pire sur les Goyim et il ne fait aucun doute que leur influence aujourd’hui justifie une très soigneuse enquête et il n’est pas possible d’envisager cette influence sans sérieuses alarmes. Nous les Juifs, nous nous sommes trompés, mon Ami, nous nous sommes très gravement trompés. Il n’y a plus, aujourd’hui, que fausseté et folie. Une folie qui produira une misère encore plus grande et une anarchie encore plus profonde. Je vous le confesse ouvertement et sincèrement, avec le chagrin dont seul un ancien psalmiste pourrait mesurer la profondeur et la douleur en notre époque incendiée. Nous avons posé en sauveurs du monde, nous qui nous étions même vantés de vous avoir donné « le Sauveur », nous ne sommes plus aujourd’hui que les séducteurs du monde, ses destructeurs, ses incendiaires, ses exécuteurs. Nous avions promis de vous mener vers un paradis nouveau, et en fin de compte nous ne vous avons conduits que vers un enfer nouveau. Il n’y a pas eu de progrès, du moins moral et c’est seulement notre moralité qui a empêché tout progrès réel et, ce qui est pis, qui obstrue la voie de toute reconstruction future et naturelle dans notre monde ruiné. Je regarde ce monde et je frémis à la vue de son horreur, j’en frémis d’autant plus que je connais les auteurs spirituels de toute cette horreur. Mais ces auteurs eux-mêmes, inconscients en ceci comme dans tout ce qu’ils font, ne savent encore rien de cette étonnante révélation. Pendant que l’Europe est en flammes, pendant que ses victimes gémissent, pendant que ses chiens hurlent à la conflagration, pendant que ses fumées descendent en nappes plus épaisses et plus sombres sur notre continent, les Juifs, ou au moins certains d’entre eux, et non des moins dignes, essaient de s’échapper de l’édifice en flammes, désireux de passer d’Europe en Asie, de la sinistre scène de notre désastre, vers le coin ensoleillé de la Palestine. Leurs yeux sont fermés aux misères, leurs oreilles sont sourdes aux plaintes, leur coeur est emddurci à l’anarchie de l’Europe. Ils ne ressentent plus que leurs propres chagrins, ils ne pensent plus qu’à leur propre sort, ils ne soupirent plus que sous leur propre fardeau."