Pour le moment, cependant, nous devons faire une digression critique, en explorant la relation largement discutée entre l'Allemagne nazie et le mouvement sioniste. Cela a fait l'objet d'une telle quantité de mésinformation et de désinformation délibérée, propagée la plupart du temps par des gens bien intentionnés qui n'ont rien saisi de l' "image d'ensemble".
Tandis que certains ont souligné à juste titre que—pendant les premières années du régime nazi d'Adolf Hitler à tout le moins—le gouvernement allemand a collaboré avec des éléments du mouvement sioniste en Allemagne et ailleurs, ce point reste très mal compris, mal interprété.
Certaines personnes plus naïves et impressionnables ont déclaré que c'était la preuve que "Hitler était un sioniste" et que l'objectif central derrière la création du Troisième Reich était de conduire à la Shoah, pour qu'ensuite l'état sioniste puisse naître des cendres des morts. C'est une thèse bien vivante, mais qui résulte surtout d'une forte imagination couplée à un engrenage fantastique et fantaisiste d'une grande variété de forces et d'événements, pas nécessairement reliés entre eux, tombant en place l'un après l'autre pour réaliser l'objectif final: un État sioniste.
Bien qu'effectivement le régime national-socialiste en Allemagne ait d'abord formé des liens de collaboration ténus avec les sionistes en Europe et en Palestine, voyant cela comme un moyen idéal pour convaincre et pousser les Juifs à quitter l'Europe, ces liens se sont généralement désintégrés, pendant que les Allemands se rendaient à l'évidence, en temps de guerre, que la collaboration avec les Arabes antisionistes en Afrique du Nord et au Moyen-Orient était beaucoup plus productive et profitable aux objectifs allemands. Alors, bien qu'il soit vrai que les Allemands ont collaboré avec les sionistes, cette affaire a été largement exagérée par des gens qui ne veulent pas ou qui sont tout simplement incapables de voir l'image géopolitique d'ensemble—autrement plus importante.
Remarquons également que nombre de ceux qui ont adopté la position selon laquelle "Hitler était un sioniste" ont souvent tendance à être des individus—aussi bien intentionnés qu'ils soient—qui évoquent cet argument afin de "prouver" qu'ils ne sont pas "antisémite", comme pour dire "Eh bien, même si je suis un critique d'Israël, je ne suis pas "comme Hitler", puisque, après tout, c'est Hitler qui a contribué à créer l'État d'Israël."
Ceux qui disent cela ne parviennent pas à comprendre que l'élite du pouvoir juif et le mouvement sioniste se moquent de cette prise de position et considèrent toute personne qui ne ferait même que flirter avec cette théorie comme étant tout aussi mauvaise que ceux et celles qui sont des critiques ouverts, purs et simples, d'Israël, du sionisme et de l'agenda juif.
Les études les plus responsables sur la collaboration allemande-sioniste se trouvent dans les ouvrages de Lenni Brenner, un marxiste américain né juif orthodoxe, dont les ouvrages Zionism in the Age of Dictators et son plus tardif 51 Documents: Zionist Collaboration With The Nazis, remettent correctement la question dans son contexte. Cela n'a pas empêché les sensationnalistes de tordre la vérité.
Il y a aussi la légende selon laquelle "les banquiers juifs" ou "les banquiers sionistes" (expressions souvent utilisées interchangeablement) auraient financé Hitler. Cela n'est pas vrai.
James Pool, dans son ouvrage faisant autorité Who Financed Hitler? démontre le contraire.
Certes, un financier juif en Allemagne a donné de l'argent au parti nazi—avant la montée au pouvoir d'Adolf Hitler—mais ces fonds étaient destinés à aider l'opposition anti-Hitler à l'intérieur du parti, afin de stopper Hitler. Mais en dépit de ce fait, certains «patriotes» prétendent encore que "les Juifs ont soutenu Hitler".
Plusieurs parmi ceux qui croient en de tels non-sens citent un document qui est un fraude flagrante d'origine obscure intitulé Hitler's Secret Backers, soi-disant écrit par un certain "Sidney Warburg", l'un de ces "banquiers juifs." Mais ce document, comme nous l'avons dit, est une fraude.
Le livre Wall Street And The Rise Of Hitler, de feu Dr. Antony Sutton, fait la promotion de cette théorie basée en partie sur le canular Warburg, et contribué à établir ce mythe durablement—au plus grand mépris de la vérité.
Des banques et des sociétés américaines ont effectivement travaillé avec le régime hitlérien, le plus souvent dans la suite des arrangements financiers remontant à des décennies, mais il cela ne faisait partie d'aucune conspiration pour mettre Hitler au pouvoir. L'affirmation selon laquelle la famille Bush aurait contribué à la montée d'Hitler est un autre mythe.
Kevin Phillips—nullement un admirateur de la dynastie des Bush—examine les circonstances réelles entourant le scénario Bush-Hitler dans son livre, Americain Dynasty: Aristocracy, Fortune, And The Politics of Deceit In The House Of Bush, et les met en perspective.
Une autre affirmation insensée—selon laquelle Hitler et la plupart des dirigeants nazis étaient en fait Juifs ou en partie juifs—a son origine principale dans un travail quasi impénétrable et tout à fait bizarre intitulé Adolf Hitler: Founder of Israel.
Malheureusement, à l'âge de l'Internet, ce volume, dont la plupart de ceux qui le citent ne l'ont jamais réellement lu, a été largement vanté, même par une poignée d'âmes autrement responsables qui veulent croire, semble-t-il, que Hitler faisait partie du "complot juif."
Un écrivain de talent américain, Martin Kerr, a produit une étude faisant autorité, "Le mythe du grand-père juif d'Hitler", disponible sur Internet, qui examine toutes les théories et les méandres sur ce sujet et démolit complètement cette théorie. Mais, encore une fois, cela n'empêche pas les sensationnalistes de dire "ça doit être vrai: Hitler était un Juif et un sioniste."
Bien que tout ceci ait été une digression saillante, elle était nécessaire, précisément parce qu'il circule énormément de mésinformation et de désinformation délibérée, sur Internet et dans des ouvrages divers parus au cours du dernier demi-siècle, au sujet des relations entre les nazis d'Adolf Hitler et l'agenda sioniste et juif.
Alors, malheureusement, afin de remettre l'histoire en accord avec les faits, il est essentiel de répondre à toutes ces sornettes.
Pour mémoire—reprenons le cours de notre analyse du sionisme et du judaïsme (en lien avec ce que nous connaissons aujourd'hui comme le Nouvel Ordre Mondial). On notera d'abord ceci: la vérité est que, au fil des années, il y a eu de nombreuses personnes—dont certaines ouvertement anti-juives—qui ont vu une certaine sagesse dans le sionisme en général.
Autrement dit, ils ont vu le départ des Juifs hors de leur pays et la concentration de la population juive dans un état appartenant à tous les Juifs (mais pas nécessairement en terre palestinienne arabe) comme un moyen de résoudre enfin le conflit séculaire entre les Juifs et tous les autres.
En 1922, Théodore Fritsch, un écrivain allemand anti-juif bien connu, reconnaissait son admiration pour l'idéologie sioniste:
Nous considérons toujours les sionistes comme les plus honnêtes des Juifs, parce qu'ils admettent. . . qu'il ne peut y avoir de mélange avec les populations non-juives, que les diverses races se dérangent mutuellement dans leur développement et leur culture. Nous demandons donc avec les sionistes "une séparation claire" et la fondation d'un dominion exclusivement juif. . . .Dans la même veine, en 1921, l'auteur français Georges Batault a écrit dans Le problème juif:
Si le peuple juif reconstitué souhaite se classer en tant que nation parmi les nations, alors il est du devoir et de l'intérêt de chacun de l'aider à le faire. S'il envisage, au contraire, de s'organiser au niveau international afin de ruiner et de dominer les nations, alors il est du devoir de ces dernières de se lever et de l'en interdire.Toutefois, Batault reconnaissait que, en définitive, les enseignements juifs professent que les Juifs en viendront à gouverner la terre dans son intégralité:
Et quant au résultat final de la révolution messianique, il sera toujours le même; Dieu renversera les rois et fera triompher Israël et son roi; les nations seront converties au judaïsme et obéiront à la loi, ou bien seront détruites et les Juifs seront maîtres du monde.En France, durant la Seconde Guerre mondiale, il y avait une vaste opposition à l'influence juive, non seulement dans le régime de Vichy dans le sud de la France, un régime indépendant qui a collaboré avec l'Allemagne nazie, mais également même dans la zone occupée par les Allemands dans le Nord de la France.
(Parenthèse intéressante: beaucoup de gens aujourd'hui, en particulier des Américains mal informés, voient la France de Vichy comme les "méchants" qui étaient "antisémites" et la France occupée par les Allemands comme les "bons gars" qui "détestaient les nazis et s'opposaient à leurs vues antisémites", cependant la vérité est que l'opposition au pouvoir juif et à l'influence juive était très répandue dans toute la France et cela malgré toutes les légendes de la Seconde Guerre mondiale.)
En tout état de cause, un écrivain a parlé de ces préoccupations chez les Français, c'est Gabriel Malglaive, dont le livre Juif ou Français? publié en 1942, explique quelles ont été les mesures prises dans la France de Vichy afin de limiter le pouvoir juif. Il dit que ces mesures visaient quatre objectifs principaux:
1. Résolument exclure les Juifs du gouvernement. . . . Ce fut la première tâche et relativement la plus simple, car cela ne concernait seulement qu'un petit nombre. . . ;En fin de compte, écrit-il, ce que lui et tant d'autres ont considéré comme "le problème juif" appelle à une "solution juive." Ironie du sort, dit Malglaive, à l'avenir les grandes puissances du monde, y compris même le peuple juif, seront forcés de reconnaître "l'existence de la nation juive", et par conséquent de délimiter un territoire qui serait remis à la nation juive.
2. Combattre leur influence intellectuelle, combattre tout appui à leur intrusion dans l'État et toute extension de celle-ci, et les exclure à cette fin des professions libérales, de l'enseignement, de la presse, etc;
3. Éliminer leur suprématie "économique et financière", leur prépondérance dans tous les domaines de l'industrie, du commerce, du marché boursier et des banques, c'est-à-dire déjudaïser ce domaine qui avait été le leur. Agir de telle manière à ce qu'ils ne tiennent plus le pouvoir de l'argent, le plus redoutable, car s'ils l'avaient gardé, ils auraient conservé en pratique tous les autres pouvoirs;
4. Finalement éliminer leur pouvoir occulte en les tenant éloignés des corporations et sociétés, en purgeant. . . la presse et les agences à travers lesquelles ils ont établi une propagande rusée et [leur] censure de facto. . .
Ceci, bien sûr, correspond en fait à ce que nous connaissons aujourd'hui comme "le sionisme". Le résultat serait, dit Malglaive, que dès lors, "tous les Juifs du monde posséderont légalement et officiellement la nationalité juive que leurs cœurs ont toujours secrètement réclamé." La question, conclu-t-il, est de savoir "si souhaitant régler le problème humainement nous voulons cesser d'être provoqués par les Juifs, ou si, en continuant ainsi à prendre des demi-mesures, nous nous résignons à un règlement partiel et donc malheureux de cette question". (LIRE LE RESTE...)
VERSION ORIGINALE EN LANGUE ANGLAISE. Chapter 3 ("Zionism is Judaism: The Foundation for a Global Jewish Imperium") from the book THE NEW BABYLON: Those Who Reign Supreme, by Michael Collins Piper:
"For the moment, however, we must make a critical digression, to explore the much-discussed relationship between Nazi Germany and the Zionist movement. This has been the subject of so much misinformation and deliberate disinformation, much of it spread by well-meaning folks who don’t understand the “big picture.”While there are those who have correctly pointed out that—during the early years of the Nazi regime of Adolf Hitler—the German government actually collaborated with elements of the Zionist movement in Germany and elsewhere, this point has been largely misunderstood and misconstrued.Some more naive and excitable folks have declared this to be proof that “Hitler was a Zionist”and that the entire purpose of the creation of the Third Reich was setting in place the Holocaust so that a Zionist state could emerge from the ashes of the dead. This is quite a lively thesis, but one which essentially relies on a lot of imagination coupled with a fantastic and fanciful dependence upon a wide variety of forces and events—not necessarily connected—falling into place in order to achieve the final goal: a Zionist state.While the National Socialist regime in Germany did initially form some loose collaborative efforts with Zionists in Europe and Palestine, seeing this as an ideal way to convince and persuade Jews to leave Europe, these ties generally disintegrated as the Germans recognized, during wartime, that collaboration with the anti-Zionist Arabs in North Africa and the Middle East was far more productive for German goals. So while there is truth that the Germans did collaborate with the Zionists, the matter has been largely overstated by persons who are unwilling or simply incapable of looking at the much-larger—and far more important—geopolitical picture.Let it also be said that many of those who have adopted the stance that “Hitler was a Zionist” often tend to be individuals—however well-meaning they may be—who use that term to “prove” that they aren’t “anti-Semitic,” as if to say “Well, even though I’m a critic of Israel, I’m not ‘like Hitler’ since, after all, it was Hitler who helped bring about the state of Israel.”Those who tout this line fail to understand that the Jewish Power Elite and the Zionist movement scoff at this stance and consider anyone who even flirts with this theory to be just as bad as those others who are outright, open critics of Israel, Zionism and the Jewish agenda.The most responsible studies of German-Zionist collaboration can be found in the work of Lenni Brenner, an Orthodox Jewish-born American Marxist, whose Zionism in the Age of the Dictators and his later volume, 51 Documents: Zionist Collaboration With the Nazis, correctly put the matter in context. This has not stopped sensationalists from twisting the truth.There is also the legend that “The Jewish bankers” or “The Zionist bankers” (used often interchangeably) financed Hitler. Not true.James Pool, in his authoritative work, Who Financed Hitler? demonstrates quite the contrary.In one instance a Jewish financier in Germany did give money to the Nazi Party—prior to the rise to power of Adolf Hitler—but those funds were designed to help Hitler’s intra-party opposition, to stop Hitler. But despite this fact, some “patriots” still say that “The Jews backed Hitler.”Many of those who worship at the altar of this nonsense cite a flagrantly-fraudulent document of shadowy origins entitled Hitler’s Secret Backers, ostensibly written by one “Sidney Warburg,” one of those “Jewish bankers.” But this document, as we’ve said, is a fraud.
The late Dr. Antony Sutton’s Wall Street and the Rise of Hitler has promoted this theory, based in part on the Warburg travesty and has given further institutionalization to this mythology—the truth be damned.American banks and corporations did work with the Hitler regime, usually a continuation of previous financial arrangements going back decades, but this was not part of any grand conspiracy to bring Hitler to power. The claim that the Bush family was integral to the rise of Hitler is another myth.Kevin Phillips—no admirer of the Bush dynasty—examines the actual circumstances surrounding the Bush-Hitler scenario in his book, American Dynasty: Aristocracy, Fortune, and the Politics of Deceit in the House of Bush and puts the facts in proper perspective.Another nonsensical claim—that Hitler and most of the top Nazis were actually Jews or part Jewish—has its primary origin in a virtually impenetrable and quite bizarre work entitled Adolf Hitler: Founder of Israel.Sadly, in the age of the Internet, this volume, which most of those who quote it have never actually read, has been widely touted, even by a handful of otherwise responsible souls who want to believe, it appears, that Hitler was part of “the Jewish conspiracy.”A talented American writer, Martin Kerr, has written an authoritative study,“The Myth of Hitler’s Jewish Grandfather,” which can be found on the Internet, which examines all of the theories and meanderings on this topic and lays the theory to rest. But, again, that doesn’t stop the sensationalists from saying “it must be true: Hitler was a Jew and a Zionist.”While all of this has been a distinct digression, it’s been a necessary one, precisely because there is so much misinformation and deliberate disinformation regarding the relationship between Adolf Hitler and the Nazis and the Zionist and Jewish agenda that has littered the Internet and published works throughout the last half century.So, unfortunately, in order to bring history into accord with the facts, it is critical to address the nonsense.For the record, let us return to our course of analysis—the issue of Zionism and Judaism (vis-a-vis what we know today as the New World Order). And we shall note this: the truth is that, over the years, there have been many people—admittedly anti-Jewish—who saw some wisdom in Zionism generally.That is, they saw the departure of Jews from their lands and the concentration of the Jewish population in a state all the Jews own (although not necessarily in Arab Palestine) as a means of finally resolving the age-old conflict between the Jews and all others.In 1922, Theodore Fritsch, a well known German anti-Jewish writer, actually acknowledged his admiration for Zionist ideology:We still consider the Zionists as the most honest of Jews, because they admit that . . . there be no amalgamation with the non-Jewish people, that the diverse races moreover mutually disturb each other in their development and culture. We therefore demand together with the Zionists “a clean separation” and the settlement of a Jews-only dominion. . . .In a similar vein, in 1921, French author Georges Batault wrote in The Jewish Problem:If the reconstituted Jewish people wishes to rank itself as a nation among the nations, then it is the duty and the interest of each one to help it to do so. If it contemplates, on the contrary, organizing itself internationally in order to ruin and dominate the nations, then it is the duty of the latter to rise up and forbid it.However, Batault recognized that, ultimately, Jewish teachings taught that the Jews would come to rule the earth in its entirety:As for the final result of the Messianic revolution, it will always be the same; God will overthrow the kings and will cause Israel and its king to triumph; the nations will be converted to Judaism, and will obey the law or else they will be destroyed and the Jews will be the masters of the world.In France, during World War II, there was widespread opposition to Jewish influence, not only in the Vichy Regime in Southern France, an independent regime which collaborated with Nazi Germany, but likewise even in the German occupied area of Northern France.(Note this interesting aside: Many people today, especially un-learned Americans, perceive Vichy France to be the “bad guys” who were “anti-Semitic” and German Occupied France to be the “good guys” who “hated the Nazis and opposed their anti-Semitic point of view” but the truth is that opposition to Jewish power and influence was widespread throughout all of France, the legends of World War II notwithstanding.)In any event, one writer who spoke about these concerns among the French was Gabriel Malglaive, whose book Jewish or French? published in 1942, discussed measures taken in Vichy France designed to curtail Jewish power. He said there were four principal aims underlying these measures:1. Resolutely to separate the Jews from the government . . . . That was the first task and relatively the simplest, because it envisaged only a small number. . . ;
2. To combat their intellectual influence,support and extensionof their intrusion into the state; to separate them, to this end, from the liberal professions, from teaching, from the press, etc;
3. To eliminate their “economic and financial” supremacy, their preponderance in all branches of industry, commerce, the stock market and the banks, that is, to de-Judaize this realm which had been theirs. To act in such a manner that they would no longer retain the power of money, the most fearful one, for if they had kept it, they would have, in practice, conserved all the others;
4. To eliminate, finally, their occult power by keeping them away from corporations, by purifying . . . the press and agencies through which they established a cunning ropaganda and [their] de facto censorship . . . .In the end, he wrote, that what he and so many others considered “the Jewish Problem” would have to be given what he called a “Jewish Solution.” Ironically, Malglaive said, in the future the great powers of the world, even including the Jewish people,would be forced to recognize “the existence of the Jewish nation” and therefore assign a territory which would be turned over to the Jewish nation.This, of course, is, in fact, what we today know of as “Zionism.” The result would be, said Malglaive, that from then on, “all of the Jews of the world will possess legally, officially, the Jewish nationality which their hearts have always secretly chosen.” The issue, he concluded, was “whether wishing to settle the problem humanely we want to cease being provoked by the Jews, or whether, continuing to apply half-measures,we resign ourselves to a partial and thus poor settlement of this Question.” (READ THE REST...)
AUDIO - MP3 Jim Condit Jr, partisan of the "Hitler Zionist agent" theory, confronted regarrding his video "The Final Solution ot Adolf Hitler".
VIDEO - L'influence britannique (pas allemande!) derrière le sionisme
VIDEO - La déclaration Balfour promise en échange que les juifs poussent les USA dans la Première Guerre mondiale
Bernard Lewis implies Mufti sought "Final Solution" in the 1930s
Palestine: Britain Should Apologise for the Balfour Declaration, Not ‘Celebrate’ It
Sur ce blog:
Churchill, Rothschild et les juifs: l'histoire d'une obsession
La connexion secrète entre la Première Guerre mondiale et la Déclaration Balfour
Bush, Rockefeller, Rothschild et Hitler, par Michael Collins Piper
"The New Babylon: Those Who Reign Supreme", de Michael Collins Piper: Extraits
Wikileaks révèle que Bilderberg perçoit le nationalisme comme étant « dangereux »… mais Infowars continue de prétendre que Bilderberg a été fondé par les nazis!
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L'accord iranien est "Munich" et "Obama est Chamberlain", selon l'Organisation sioniste américaine (ZOA). Netanyahou s'époumonne désespérément, hurle au complot américano-iranien contre Israël; Obama l'invite à prendre une petite pause-santé. Netanyahou: fou dangereux qui pourrait envisager un deuxième 11 septembre nucléaire contre les États-Unis...
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