John Kerry de nouveau vivement critiqué en Israël (18 octobre 2014)
Le chef de la diplomatie américaine a estimé que le conflit israélo-palestinien alimentait la colère de la rue dans le monde arabe et que tous les dirigeants de la région avec lesquels les Américains avaient discuté sur la coalition contre le groupe Etat islamique avaient exprimé la nécessité de la paix entre Palestiniens et Israéliens. Les gens doivent comprendre la connexion. Cela a quelque chose à voir avec de l’humiliation, du déni et une absence de dignité, a-t-il dit. « L’absence de dignité », c’est ça qui provoque la montée de l’Etat islamique ?, a demandé M. Erdan, membre du parti de droite Likoud du Premier ministre Benjamin Netanyahu. 200.000 personnes assassinées en Syrie, des Britanniques et des Américains à qui on coupe la tête, c’est la faute de la colonie de Maaleh Adumim peut-être? Il se trouvera toujours quelqu’un pour accuser les juifs, même quand c’est un musulman britannique qui décapite un chrétien britannique, a déclaré de son côté le ministre de l’Economie Naftali Bennett, leader du Foyer juif, parti nationaliste religieux. Washington a répliqué aux admonestations israéliennes
U.S. accuses Bennett of distorting Kerry's words for political gain State Department hits back after Israeli ministers criticize state secretary for linking rise of Islamic State to Israeli-Palestinian conflict.
juif.org - Pour Kerry, la persistance du conflit entre Israël et l'AP nourrit le recrutement djihadiste de l'Etat Islamique'!!!.
Kerry's comments serving radical propaganda Op-ed: US secretary of state is caught in the post-colonialist conception which blames Israel for all the troubles of the world.
False links in the Middle East Op-ed: Netanyahu's Hamas-ISIS equation and Kerry's link between ISIS and Israeli-Palestinian conflict are both unfounded and only serve as a way to avoid dealing with the real challenges.
Pourtant Kerry a raison: si les musulmans du mpoyen-orient deviennent fanatiques contre nous c'est à cause de nos abus répétés qui les font souffrir depuis des décennies!
Fév 2914:
"Kerry a déclaré la guerre à Dieu!" Comme Haman autrefois, Kerry verra la fureur divine s'abattre sur lui, menacent des rabbins partisans de la colonisation illégale...
Le chef de la diplomatie américaine a estimé que le conflit israélo-palestinien alimentait la colère de la rue dans le monde arabe et que tous les dirigeants de la région avec lesquels les Américains avaient discuté sur la coalition contre le groupe Etat islamique avaient exprimé la nécessité de la paix entre Palestiniens et Israéliens. Les gens doivent comprendre la connexion. Cela a quelque chose à voir avec de l’humiliation, du déni et une absence de dignité, a-t-il dit. « L’absence de dignité », c’est ça qui provoque la montée de l’Etat islamique ?, a demandé M. Erdan, membre du parti de droite Likoud du Premier ministre Benjamin Netanyahu. 200.000 personnes assassinées en Syrie, des Britanniques et des Américains à qui on coupe la tête, c’est la faute de la colonie de Maaleh Adumim peut-être? Il se trouvera toujours quelqu’un pour accuser les juifs, même quand c’est un musulman britannique qui décapite un chrétien britannique, a déclaré de son côté le ministre de l’Economie Naftali Bennett, leader du Foyer juif, parti nationaliste religieux. Washington a répliqué aux admonestations israéliennes
U.S. accuses Bennett of distorting Kerry's words for political gain State Department hits back after Israeli ministers criticize state secretary for linking rise of Islamic State to Israeli-Palestinian conflict.
juif.org - Pour Kerry, la persistance du conflit entre Israël et l'AP nourrit le recrutement djihadiste de l'Etat Islamique'!!!.
Kerry's comments serving radical propaganda Op-ed: US secretary of state is caught in the post-colonialist conception which blames Israel for all the troubles of the world.
False links in the Middle East Op-ed: Netanyahu's Hamas-ISIS equation and Kerry's link between ISIS and Israeli-Palestinian conflict are both unfounded and only serve as a way to avoid dealing with the real challenges.
Pourtant Kerry a raison: si les musulmans du mpoyen-orient deviennent fanatiques contre nous c'est à cause de nos abus répétés qui les font souffrir depuis des décennies!
Fév 2914:
"Kerry a déclaré la guerre à Dieu!" Comme Haman autrefois, Kerry verra la fureur divine s'abattre sur lui, menacent des rabbins partisans de la colonisation illégale...
John Kerry (Kohn) est critiqué pour avoir mis en garde Israël sur le risque d'isolation qu'ils courent en s'entêtant à empêcher l'établissement d'une paix juste au Moyen-Orient, signalant que leur isolation ne pourra que renforcer le mouvement de boycott (BDS).
(N'oublions pas que l'assassin du président israélien Yitzakh Rabin, qui était sur le point de signer l'accord de paix d'Oslo) faisait partie du mouvement des colons juifs)
Même les médiats juifs sont très gênés par ces menaces et dénoncent le danger extrême que représente ce mouvement des colons, prêts à tuer pour que "la Terre Promise revienne aux juifs et seulement aux juifs".
Même les États-Unis commencent à se sentir très gênés par le comportement de son allié éternel Israel. C'est dire!
February 5, 2014, 11:45am
John Kerry, Modern-Day Haman?
By Nathan Guttman, for The Forward
Secretary of State John Kerry and Haman / GettyImages/HipsterJew.com
First he was described as “obsessive” and “messianic” by Israel’s defense minister Moshe Yaalon. Then he was accused by Israel’s intelligence minister Yuval Steinitz of “holding a gun to Israel’s head”. And now, Secretary of State John Kerry faces a new barrage of criticism coming from the holy land. This time from a group of rabbis going all biblical on his peace plan.A letter signed by five Israeli rabbis, all known for their hard-line opposition to any compromise with the Palestinians, compares Obama’s top diplomat to two of Israel’s worst enemies in history. “If you continue on this destructive path, you will ensure your everlasting disgrace in Jewish history for bringing calamity upon the Jewish people — like Nebuchadnezzar and Titus who destroyed, respectively, the first and second great Temples and the entire Holy City of Jerusalem, and who, by heavenly punishment, brought eventual disaster upon themselves, too,” the open letter to Kerry states.Nebuchadnezzar ruled the Babylonian empire in the 6th century B.C. and led the siege of Jerusalem and the subsequent destruction of the first temple in 587 B.C., bringing about the exile of the Jewish people from their land. Titus was the first century Roman emperor who destroyed the Second Temple in 70 A.D.In an open letter, Israeli rabbis warned John Kerry that his peacemaking efforts will earn him ‘everlasting disgrace in Jewish history,’ on a par with Nebuchadnezzar, Titus and Haman.The letterhead carries the name of the Committee to Save the Land and People of Israel, a relatively unknown organization. But some of the rabbis who signed it are considered big names in Israel’s religious right.Two of them were affiliated with political activists who worked with the late Meir Kahana: Rabbi Shalom Dov Wolpo, who was one of the leading rabbinical voices opposing Israel’s disengagement from Gaza and who in the past was a supporter of a political party consisting of Kahana followers, and Rabbi Yisrael Ariel, who now heads the Temple Institute and in the past ran for the Knesset as a member of Kahana’s Kach party. Other signatories are Rabbi Gedalya Axelrod, the former head of Haifa’s rabbinical court, a civil service position; Ben Tziyon Grossman, a Chabad Rabbi from Migdal Haemek; and Rabbi Yigal Pizam, also from Chabad.And just in case the historical references provided to Kerry by these rabbis were not enough, the letter goes on to tie the expected unveiling of his new peace framework with the upcoming Jewish holiday of Purim. Kerry, not surprisingly, will play the role of Haman — the Persian vizier who hatched a plan to kill all the Jews — in the rabbis’ modern-day story of Esther. And if Kerry missed this lesson in Sunday school, the rabbis’ letter provides him with a reminder about Haman’s fate: “Tellingly, he and his sons eventually were hung on the very same gallows he had prepared for Mordechai, the Jew.”
'Kerry has declared war on God,' say hardline rabbis; warn of divine punishment
Rabbis warn Kerry to stop negotiations "in order to avoid severe Heavenly punishment for everyone involved."
Rabbis to Kerry: Cease mediation or face ‘God’s wrath’
Rabbis calling themselves Committee to Save the Land and People of Israel write secretary of state warning that his actions were ‘a declaration of war against the Creator and Ruler of the universe.’
John Kerry labelled 'anti Semite' for warning of possible boycott of Israel
Kerry slammed by right for 'encouraging' Israel boycott US Secretary of State says status-quo between Israelis, Palestinians is unsustainable, warns of de-legitimization of Israel.
John Kerry en guerre contre le Dieu des rabbins? Trad. fr. de l'article du JPOST.
par Jeremy Sharon, Jerusalem Post (Sionistan)5 février 2014traduit de l’anglais par DjazaïriDes rabbins avertissent Kerry de stopper les négociations « afin d’éviter une punition divine pour tous ceux qui s’y impliquent».Un groupe de rabbins nationalistes tenants d’une ligne dure a écrit dans une lettre ouverte qu Secrétaire d’Etat US John Kerry que par le truchement de ses efforts de médiation entre les négociateurs palestiniens et israéliens il avait déclaré une guerre contre Dieu.Les rabbins ont prévenu le Secrétaire d’Etat qu’il devait cesser ce genre d’activités pour éviter le châtiment divin.La lettre a été envoyée par le Comité pour la Sauvegarde de la Terre et du Peuple d’Israël – une organisation militante opposée à tout accord politique avec les Palestiniens qui comprendraient des concessions territoriales – fondé par le rabbin Shalom Dov Wolpo qui est aussi le fondateur du parti d’extrême droite Notre Terre d’Israël.« Vos efforts incessants pour exproprier des parties intégrantes de notre Terre Sainte et les livrer à la bande terroriste de Abbas, reviennent à une déclaration de guerre contre le Créateur et Maître de l’univers ! Parce que D..u a donné toute la Terre d’Israël à nos ancêtres, Abraham, Isaac et Jacob, afin qu’ils la transmettent, comme héritage perpétuel, à leurs descendants, le peuple Juif, jusqu’à la fin des temps, » lit-on dans la lettre.Les rabbins soutiennent que le plan de Kerry met en danger les Juifs israéliens en les mettant à portée immédiate des tirs potentiels de roquettes et de missiles depuis la Cisjordanie si elles [les terres] étaient cédées par Israël aux Palestiniens.« Si vous persistez dans cette voie destructrice, soyez assuré de votre disgrâce éternelle dans l’histoire juive pour avoir apporté la calamité sur le peuple juif, » poursuivent les rabbins qui comparent Kerry au souverain babylonien Nabuchodonosor II et l’officier romain et futur empereur Titus, deux ennemis des anciens royaumes juifs qui détruisirent les temples de Jérusalem et en même temps la souveraineté juive sur la Terre d’Israël.«Par la puissance de notre Torah Sacrée, nous vous exhortons à cesser immédiatement toutes les démarches pour aboutir à ces accords désastreux – afin d’éviter un sévère châtiment divin pour toutes les personnes impliquées, » menacent-ils.La lettre a été signée par le rabbin Wolpo ainsi que par quatre autres rabbins dont le rabbin Yisrael Ariel, fondateur et président du Temple Institute, le rabbin Yigal Pizam, doyen d’une yeshiva [école religieuse] et chef de la la communauté hassidique du quartier Kiryat Shmuel à Haïfa, et le rabbin Ben Tziyon Grossman de la ville de Migdal Ha’emek.
Susan Rice tweets– ‘Israel, we’re mad as hell and not going to take it anymore’
Stream of insults hurled at Kerry reflects peace process jitters, but also five years of bad chemistry between Netanyahu and Obama.
By Chemi Shalev | Feb. 5, 2014 | 12:22 AM | 70
Judith Martin, the popular American columnist better known as “Miss Manners”, advocates restraint when responding to insults: “I don't believe in answering rudeness with rudeness”, she once said in an interview. In extreme circumstances, however, – such as when a man asks a woman whether she’s expecting – Martin does permit to “defend one’s own honor.”
“That means registering that one knows when one has been insulted, and refuses to tolerate it,” she wrote in a column.
The admonishing tweets sent out over the past 24 hours by National Security Adviser Susan Rice in the wake of Israel’s recent verbal offensive against Secretary of State John Kerry are meant to convey a similar sentiment: that his Israeli insulters have crossed the red line of diplomatic etiquette – a word for which there is no Hebrew translation.
The U.S. Administration, to quote the sterner Howard Beale from the movie Network, is “mad as hell and not going to take it anymore”.
Because recently, the steady trickle of insults and invective from Jerusalem seems be evolving into a tempestuous torrent. Tempers had hardly calmed down after Defense Minister Moshe Yaalon described Kerry as “obsessive” and “messianic”, when Bayit Yehudi MK Motti Yogev – from the ruling coalition – described Kerry as an anti-Semite; and only a few hours after Yogev asserted that the epithet was “not personal”, Kerry spoke in Munich about the dangers of boycott and the entire Israeli leadership subjected him to a sustained and indignant barrage, accusing him of “trying to pressure us with threats”, “holding a gun to our heads” and serving as “trumpet (shofar, actually) for the anti-Semitic boycott.”
Now, abusing U.S. presidents and their ministers is hardly a new concept, especially at times when the peace process seems to be going forward. From the days that Gush Emunim stood outside the King David Hotel in Jerusalem in 1974 and shouted “Jew boy” at Secretary of State Henry Kissinger all the way to the title “anti-Semitic Pharaoh” that the settlers affixed to Obama before the settlement freeze of 2010, the Israeli right wing has always reacted with unbridled ferocity to what it considers to be U.S. efforts to seize its God-given estate.
The difference now is in the frequency of the flare-ups, in the seniority of the Israeli disparagers – from the prime minister on down – and mainly in the deep mutual resentment from which the altercations stem. Prime Minister Benjamin Netanyahu believes that in securing the interim nuclear agreement with Tehran, Kerry and the Administration operated behind his back and stuck a knife in it while they were there. Obama and Administration officials were subsequently astounded by what they saw as Bibi’s brazen enlistment of the Jewish establishment in support of the now-stalled Senate sanctions bill, which they view as an overt attempt to undercut Obama’s foreign policy.
And the intensity of the bilateral clashes is further fueled by the suspicions and bad chemistry that have characterized the relations between Obama and Netanyahu from the day they both took office in 2009. In the eyes of the White House, one Administration insider told me this week, a direct line connects Netanyahu’s public reprimand of Obama at their White House meeting in May 2011 to his barely disguised support for Mitt Romney in 2012 to his “over the top” reactions to the Iran accord to the current campaign against Kerry.
But in Netanyahu’s favor, he added with a smile, stands the fact that he usually distances himself from his own insults even before he’s finished dishing them out.
The Americans are well aware, of course, of the coarse, confrontational and in-your-face nature of Israeli political discourse – they just don’t think it should be levelled at them. True, Obama and Kerry are often subjected to the same kind of vilification by their political rivals, but that’s the whole point: for some reason, the Administration does not expect Israeli ministers to sound like Ted Cruz or Rush Limbaugh, especially when the U.S. remains, by all accounts, Israel’s biggest and perhaps only international ally.
Israel used to complain about the disingenuousness of Arab leaders who “speak to their own people in one language and to international audiences in another.” Now they are finding out that it’s not always such a great idea to speak to your friends abroad with the diatribe usually reserved for your enemies and rivals at home.
Small wonder that the Administration would like nothing better than to revert to the diplomatic niceties of yesteryear, with Washington old-timers fondly recalling the days when the only face of Israel on the international stage belonged to a sophisticated and urbane foreign minister named Abba Eban.
Settler advocacy group posts video mocking Kerry
Kerry : Plan B ? déposséder Israël de ses terres et nettoyage ethnique en faveur des Arabes
US condemns east Jerusalem building plan as Kerry downplays Israeli critics
Are you a closet anti-Semite? If you support the two-state solution, you're already at risk; take the settlers' new 'John Kerry Self-Test' and find out.
Israeli security minister slams Kerry over boycott threat, warns IDF may invade Gaza
Netanyahu Slams Kerry for Comment on Israeli Boycotts
Kerry’s piece process Op-ed: So-called 'peace process' is an attempt to bully into making risky concessions
Lapid could be assassinated like Rabin, rabbi warns
Pourquoi dit-il cela? Serait-ce parce que ce rabbin a déjà préparé ses petits fanatiques juifs à abattre Lapid? (Kerry a dit qu'il aimait Lapid et Kerry est vu comme le "nouveau Haman"--Haman étant l'éternel ennemi des juifs--alors Lapid est potentiellement en danger lui aussi...)
A Kippah on the Head of Israel’s Intelligence Chief One by One, Top Spooks Replaced by Orthodox
Hypersensibilité épidermique et crise de paranoïa sévère du côté d'Israël...
Kerry a pour la deuxième fois de sa "carrière" menacé l'état juif de
sanctions si les "négociations de paix" échouent. Et même si elles
échouent à cause de l'autorité palestinienne. Négocier sous la menace ? (...)
The Times of Israel | ADL chief chides Kerry for boycott comments In open letter, Abraham Foxman says that warning of consequences of talks’ failure raises likelihood of negotiations not succeedingRead more: ADL chief chides Kerry for boycott comments
Abe Foxman Photo: SAM SOKOLThe Anti-Defamation League, one of the US's most powerful Jewish organizations known for its advocacy on behalf of Israel, criticized Secretary of State John Kerry on Tuesday for comments he made in Munich regarding the negative consequences that Israel can expect if efforts to achieve a two-state solution break down.In a letter to Kerry, ADL chief Abe Foxman said that while he appreciated Kerry's efforts to move the peace process forward, the remarks about Israel's likely ostracism in the event that no deal is reached will only spur the pro-boycott elements and the Palestinians to become further entrenched in their positions while being less likely to compromise."In speaking about the price Israel will pay if the peace talks break down and Israel is blamed, you may have thought you were merely describing reality," Foxman said. "But as the key player in the process, the impact of your comments was to create a reality of its own.""Describing the potential for expanded boycotts of Israel makes it more, not less, likely that the talks will not succeed; makes it more, not less, likely that Israel will be blamed if the talks fail; and more, not less, likely that boycotts will ensue," Foxman wrote. "Your comments, irrespective of your intentions, will inevitably be seen by Palestinians and anti-Israel activists as an incentive not to reach an agreement; as an indicator that if things fall apart, Israel will be blamed; and as legitimizing boycott activity."Kerry's comments, which also drew sharp reaction from Israeli politicians, including cabinet ministers in Prime Minister Binyamin Netanyahu's government, were initially made during his appearance at last week's Munich Security Conference."You see, for Israel there’s an increasing delegitimization campaign that has been building up,” Kerry said. “People are very sensitive to it. There are talk of boycotts and other kinds of things. Are we all going to be better with all of that?”Israeli politicians’ sharp criticism of Kerry led to the State Department issuing an unusual statement Sunday imploring Kerry’s critics not to distort his words.“Secretary Kerry has a proud record of over three decades of steadfast support for Israel’s security and well-being, including staunch opposition to boycotts,” State Department spokeswoman Jen Psaki wrote.
US National Security Advisor Susan Rice came to Kerry's defense on Tuesday after he was roundly criticized by a number of Israeli government officials over comments that he made on the weekend about the Israeli Palestinian peace talks.
Knesset member implies Kerry guided by ‘anti-Semitism’
Bayit Yehudi MK: Kerry pressure on Israel has anti-Semitic undertones
Kerry's Brother: John's Not Anti-Semitic, We're Jewish
Newfound Jewish roots gave Kerry a ‘deep’ bond with Israel Ça leur arrive tout le temps à ces politiciens américains! C'est arrivé à Madeleine Albright... à Hillary Clinton aussi, sauf qu'elle est pas juive, le mari juif de sa grand-mère n'est pas son grand-père biologique! Hillary est rusée, elle sait comment s'attirer la faveur des juifs "libéraux", qui ont toujours voté Démocrate en bloc, en dépit du fait qu'elle soit connue pour tenird es propos hautement antisémites en privé...
Les origines juives de John “Kerry” Cohen, le chef de la diplomatie US
Netanyahu issues ultimatum ot Bennett: The prime minister and the Habayit Hayehudi leader have been at one other's throats since PMO said settlers should be allowed to stay in future Palestinian state. Now the rift has reached new heights, with PMO branding Bennett 'insolent', demanding apology.(...) Netanyahu spoke with senior Likud members Wednesday, telling those gathered that he expected Economy Minister Naftali Bennett to apologize for the remarks he made at a security conference earlier in the week, when the economy minister insisted that "Israelis can't live under Palestinian rule... because the Palestinians would kill them."
Bennett attacks Kerry over boycott warning
Kerry places blame on Israel for crisis in peace talks U.S. officials later try to play down Kerry's comments, saying he did not engage in a blame game and that both sides took 'unhelpful steps.'
Kerry says ‘Jewish state’ recognition will have to wait
The evil of banality - when blaming Israel becomes commonplace
Netanyahu's office: Israel 'deeply disappointed' by Kerry's accusations
'Kerry says didn't blame Israel for crisis in talks'
Netanyahu Orders Israeli Ministers To Stop Meeting Palestinian Counterparts
Israeli Jews praying for failure of peace talks with the Palestinians and yet, we are told it is the Palestinians who don’t want ‘peace’…
Hardline Israelis hold mass prayer against peace talks
Supporters of Israel Go All Out to Block Its Financial Isolation Le boycott leur fait TRÈS TRÈS peur. Le boycott c'est toujours bon contre les antisémites, mais quand c'est les juifs ou Israel qu'on boycotte, c'est TRÈS TRÈS mal parce que c'est de la haine!
Quand
on les avertit qu'ils sont en train de s'isoler de la communauté
internationale et que ceci renforce la campagne de boycott, ils nous
accusent d'être antisémites et d'utiliser la menace de boycott pour
faire pression sur eux! Et c'est nous les paranoïaques?
La Jordanie dit NON à la « Conspiration » de John Kerry Selon cette déclaration [statement],
«La Jordanie traverse un moment historique dangereux». «C’est un
complot américano-sioniste pour liquider la cause ‘palestinienne’ au
détriment de la Jordanie.»
(Un
complot est purement imaginaire et paranoïaque si c'est pas les juifs
qui en sont victimes! Un complot existe pour vrai si et seulement si ce
sont les juifs qui en sont victimes. C'est pourquoi Europe-Israel est
très sérieux lorsqu'il condamne le "complot de Kerry" l'antisémite
contre Israel, mais quand c'est les Jordaniens qui dénoncent le "complot
de Kerry", Europe-Israel trouve ça ridicule et probablement
antisémite!)
The tide turns against Israel - The delegitimisation of Israel is truly under way!
European parliament chief slams Israeli critics in Knesset as ‘extremists’
Netanyahu wants EU to outlaw boycott of Israel
Netanyahu mentions ‘BDS’ 18 times in denouncing movement and its ‘gullible fellow travelers’
On croirait entendre Alex Jones dénonçant la "secte religieuse" des obsédés anti-Israël!
La guerre d’Obama contre Israël
juif.org Obama considère Israël comme « une Puissance Hostile »
Le silence du Judaïsme américain et la conspiration des médias libéraux dans le sacro-saint du Parti Démocrate sont assourdissants et choquants de pure hypocrisie, manque de conscience et absence d’intégrité intellectuelle.
Au milieu de tout le battage médiatique et d’une campagne de désinformation contre Israël, beaucoup de Juifs américains – pour des raisons difficiles à expliquer – sont soit furieux, soit indifférents, ou tout simplement antisionistes, voire antisémites !
Obama: US won’t be able to defend Israel if peace talks fail
Obama warns peace failure would harm Israel’s world standing
Obama giving Netanyahu one last chance
Dernière chance, vraiment? Trop beau pour être vrai!
Influential Jewish Group Pushes New York Bill: Cut Funds to Academic Institutions Supporting Israel Boycott
‘NYT’ Reporter Treats Israeli Boycott as Immoral and Anti-Semitic, Reminiscent of Nazis
Israeli government implosion over peace process opens door to international isolation
Panique à Jérusalem
Growing concern over BDS With calls to boycott Israel on the rise, reports say Israel considering hiring PR company
Israeli ministers discuss using lawyers and Mossad to fight BDS
Steinitz: Abbas 'most anti-Semitic' leader in world
Pour un ministre israélien, Abbas est l'antisémite "n°1"
Netanyahu: « ceux qui boycottent Israël sont antisémites. »
Netanyahu: Boycott supporters are modern anti-Semites
Netanyahu: BDS advocates are classical anti-Semites in modern garb
BDS founders are 'anti-Semites,' Netanyahu tells US Jewish leaders
U.S. Jewish leader: BDS is ’21st century form of 20th century anti-Semitism’
US rep: Netanyahu the ‘next King David’ Tea Party Republican Louie Gohmert believes the Israeli PM should use prayer gatherings to solve Israel’s many problems
Israeli PM Netanyahu backtracks on West Bank settlement comments Prime minister suffers backlash after suggesting settlers could live in future Palestinian state - Guardian
Transfer of funds for settlements stopped over allegations of misuse
Cracks in the Alliance: Is There Finally Daylight Between Israel and the US?
White House reportedly uneasy with Jewish lobbying in Congress
Au moins le gouvernement américain comprend qu'il y a un problème. Le Canada de Stephen Harper, lui, n'y voit pas le moindre petit problème.
“Special Relationship is a One-Way Street” in Favor of Israel: Jewish Dissenter Professor
“America’s Strategic Ally Bill”: But Which Americans Voted for This?
AIPAC’s open revolt against White House: Report
AIPAC GOES AFTER TOP DEM A recent letter attacking Democratic National Committee Chairwoman Debbie Wasserman Schultz is causing an internal brouhaha at the American Israel Public Affairs Committee, The Cable has learned. (...) That AIPAC was driving hard for new Iran sanctions legislation surprised no one. But its use of a right-wing blog to target a well-connected Jewish Democrat with a long history of support for Israel raised eyebrows among some current and former AIPAC officials. It also raised concerns that AIPAC's open revolt against the White House's Iran diplomacy could fray its relations with liberal Democrats on the Hill.
AIPAC conference to focus more on Iran than US peace efforts between Israel, PA L'AIPAC démontre que c'est pas la résolution du conflit entre Israel et la Palestine qui les préoccupe, c'est l'Iran et tous les autres prétendus "ennemis des juifs". Le lobby sioniste se préoccupe moins de la "menace palestinienne" que de la prétendue "menace iranienne," de la "menace islamique antisémite", etc.
Can AIPAC Get Its Groove Back?
For years, Israeli leaders visiting Washington have been boosted by America’s main pro-Israel lobby, its influence on U.S. Middle East policy long accepted as a matter of conventional wisdom.
But when Prime Minister Benjamin Netanyahu addresses an annual convention of Israel’s U.S. supporters next week, he will find the group trying to show it has not lost its touch after the White House blocked its push for Congress to impose new Iran sanctions.
L'AIPAC est en train de perdre son autorité morale...
Senator McCain at AIPAC "This Regime In Iran Is The World's Leading Sponsor Of Terror!"
McCain to US administration: Israel needs you US senator addresses AIPAC annual policy conference in DC; calls for Senate to pass new Iran sanctions in case nuclear talks fail.
AIPAC Dictates Terms on Future Iran Deal
“No war on Iran” shouted outside AIPAC meeting
Move afoot to form 'right-wing' pro-Israel lobby in US
Israel faces Int’l Sanctions over “Permanent Occupation of West Bank”
Israël : “dans sa bulle de négations de la réalité”
AIPAC's Peace Problem AIPAC has long avoided taking a clear stand on the substance of an Israeli-Palestinian peace deal. But with John Kerry about to unveil his plan, those days may be coming to an end.Getty ImagesAIPAC has long avoided taking a clear stand on the substance of an Israeli-Palestinian peace deal. But with John Kerry about to unveil his plan, those days may be coming to an end
At AIPAC, Mideast Peace Process Is Way Down the Agenda
Israel faces Int’l Sanctions over “Permanent Occupation of West Bank”
Israël : “dans sa bulle de négations de la réalité”
AIPAC's Peace Problem AIPAC has long avoided taking a clear stand on the substance of an Israeli-Palestinian peace deal. But with John Kerry about to unveil his plan, those days may be coming to an end.Getty ImagesAIPAC has long avoided taking a clear stand on the substance of an Israeli-Palestinian peace deal. But with John Kerry about to unveil his plan, those days may be coming to an end
At AIPAC, Mideast Peace Process Is Way Down the Agenda
'Obama is most hostile U.S. president to Israel' In Haaretz interview, controversial Senator Ted Cruz lambasts president’s 'appeasement' of Iran and Vladimir Putin, and has an unkind word for AIPAC.
Obama to Bloomberg: It's Israel's responsibility to advance peace talks with Palestinians
Kerry Rails Against ‘New Isolationism’ Among Americans
Kerry: Israel's security is 'illusionary', boycott around the corner
Un échec cinglant de l’Aipac Le lobby pro-israélien a-t-il présumé de ses forces ?
Israel: A significant shift in U.S. public opinion…? And what if the answer is “Yes”?
Israel is losing its grip on evangelical Christians
Op-Ed: Beating back the assault on Israel’s legitimacy
The Jewish community is mobilizing a coordinated response to the BDS threat, write Jerry Silverman of the Jewish Federations of North America and Steve Gutow of the Jewish Council for Public Affairs.
BDS AND THE AMERICAN JEWISH COMMUNITY
The use of name-calling like “anti-Semites” and “delegtimizers” is problematic for a number of reasons, not only because its claims are untrue, but also because it takes the focus off the real issue at hand – whether and how Israel is, in fact, violating international law and basic human rights principles – and, instead, recklessly impugns the characters of those advocating for Israel to be held accountable.
Author Warns of Racist Movement in Israel Looking for ‘Right to Kill Non-Jewish Children’
RABBINICAL SATANIC VERSES
According to a weekly Hebrew magazine, several rabbis, including the
rabbi of Safad, Shmuel Eliyahu, recently proposed the establishment of
death camps for the Palestinians.
KOSHER THEFT?
Racist supremacist Jew Lieberman planning to transfer Arab-Israelis, seeking secret legal advice on how to do it
Hardline rabbi named Shas spiritual leader
Shas appoints outspoken spiritual leader Israel’s Orthodox Sephardi Shas Party, which holds 11 of the 120 seats in the Knesset, has appointed a controversial rabbi to be its new spiritual leader.
"Outspoken" c'est plus qu'un euphémisme, c'est carrément un mensonge, cela minimise la réalité en la niant presque. Raciste haineux serait plus juste et même pas exagéré, c'est les médias dominants qui le disent en Israël.
Why is the US Honoring a Racist Rabbi?
Law of Return: Rabbi Lau turns against 'the other' Lau is right about the need to change the Law of Return, but his proposals laid out in a recent Haaretz interview smack of xenophobia.
Shalom Cohen, a rabbi known for his hostility toward modern Orthodox and secular Israeli Jews, was appointed spiritual leader of the Orthodox, Sephardi Shas Party.
Israeli spy minister warns Kerry over ‘surrender’ to Iran
Shas party’s new spiritual leader: Deputy religious services minister is 'crazy’ Rabbi Shalom Cohen fires the latest salvo in the battle between ultra-Orthodox and religious-Zionist leaders.
Les forces israéliennes d’occupation envahissent al-Aqsa et blessent des dizaines de fidèles palestiniens
Les forces israéliennes lancent des grenades sur la mosquée Al Aqsa
The Jerusalem question: Will a U.S. court case trigger WWIII? If the U.S. decides to list 'Israel’ as the country of birth of an American born in Jerusalem, the consequences are potentially huge.
The New York Times wrestles with Israel's gag orders Two senior editors at the newspaper say they were unaware of The Times ever agreeing to abide by gag orders in Israel.
New York Times Admits It Agreed to ‘Gag Orders’ in Israel
US fears mounting Israeli espionage
U.S. intelligence objects to visa waiver for Israelis
PRESSTV - US officials oppose admission of Israeli spies to Visa Waiver program
Why Snowden hasn't harmed Israel's intelligence services There was an expectation that the Snowden documents would yield details on Israel's electronic surveillance capabilities, yet Glenn Greenwald has barely reported on Israel.
Israel Flagged as Top Spy Threat to U.S. in New Snowden/NSA Document
VIDEO - Former Israeli Ambassador Suddenly Can't Hear MSNBC When Asked About Spying On John Kerry
VIDEO - Espionnage de John Kerry : Quand l’ancien ambassadeur israélien "n’entend pas" la question Interviewé par une journaliste américaine, Michael Oren, ancien ambassadeur israélien auprès des États-Unis, n’a "pas entendu" la question portant sur de possibles écoutes israéliennes sur John Kerry.
ÇA COUPE....? LE MOSSAD À L'ÉCOUTE?
Kerry-Netanyahu call abruptly terminated Prime minister, secretary of state spoke on Sunday, but the conversation was ended due to 'communications issue' according to State Department; Kerry not planning to attend Cairo talks
ÇA COUPE...? LE MOSSAD À L'ÉCOUTE?
In Israel “the Only Democracy in the Middle East”, Not All Citizens Are Created Equal
KOSHER THEFT?
It is the abhorrent “theft” which
Richard Falk, United Nations special rapporteur on human rights in the
Palestinian territories described on March 21 as “unacceptable
characteristics of colonialism, apartheid and ethnic cleansing”.
Racist supremacist Jew Lieberman planning to transfer Arab-Israelis, seeking secret legal advice on how to do it
Hardline rabbi named Shas spiritual leader
Shas appoints outspoken spiritual leader Israel’s Orthodox Sephardi Shas Party, which holds 11 of the 120 seats in the Knesset, has appointed a controversial rabbi to be its new spiritual leader.
"Outspoken" c'est plus qu'un euphémisme, c'est carrément un mensonge, cela minimise la réalité en la niant presque. Raciste haineux serait plus juste et même pas exagéré, c'est les médias dominants qui le disent en Israël.
Why is the US Honoring a Racist Rabbi?
Law of Return: Rabbi Lau turns against 'the other' Lau is right about the need to change the Law of Return, but his proposals laid out in a recent Haaretz interview smack of xenophobia.
Shalom Cohen, a rabbi known for his hostility toward modern Orthodox and secular Israeli Jews, was appointed spiritual leader of the Orthodox, Sephardi Shas Party.
Israeli spy minister warns Kerry over ‘surrender’ to Iran
Shas party’s new spiritual leader: Deputy religious services minister is 'crazy’ Rabbi Shalom Cohen fires the latest salvo in the battle between ultra-Orthodox and religious-Zionist leaders.
Les forces israéliennes d’occupation envahissent al-Aqsa et blessent des dizaines de fidèles palestiniens
Les forces israéliennes lancent des grenades sur la mosquée Al Aqsa
The Jerusalem question: Will a U.S. court case trigger WWIII? If the U.S. decides to list 'Israel’ as the country of birth of an American born in Jerusalem, the consequences are potentially huge.
The New York Times wrestles with Israel's gag orders Two senior editors at the newspaper say they were unaware of The Times ever agreeing to abide by gag orders in Israel.
New York Times Admits It Agreed to ‘Gag Orders’ in Israel
US fears mounting Israeli espionage
U.S. intelligence objects to visa waiver for Israelis
PRESSTV - US officials oppose admission of Israeli spies to Visa Waiver program
Why Snowden hasn't harmed Israel's intelligence services There was an expectation that the Snowden documents would yield details on Israel's electronic surveillance capabilities, yet Glenn Greenwald has barely reported on Israel.
Israel Flagged as Top Spy Threat to U.S. in New Snowden/NSA Document
VIDEO - Former Israeli Ambassador Suddenly Can't Hear MSNBC When Asked About Spying On John Kerry
VIDEO - Espionnage de John Kerry : Quand l’ancien ambassadeur israélien "n’entend pas" la question Interviewé par une journaliste américaine, Michael Oren, ancien ambassadeur israélien auprès des États-Unis, n’a "pas entendu" la question portant sur de possibles écoutes israéliennes sur John Kerry.
ÇA COUPE....? LE MOSSAD À L'ÉCOUTE?
Kerry-Netanyahu call abruptly terminated Prime minister, secretary of state spoke on Sunday, but the conversation was ended due to 'communications issue' according to State Department; Kerry not planning to attend Cairo talks
ÇA COUPE...? LE MOSSAD À L'ÉCOUTE?
In Israel “the Only Democracy in the Middle East”, Not All Citizens Are Created Equal
FM: ‘Price tag’ vandals ‘harm Israel’s image’
Israel strikes Gaza targets in response to rockets Sderot hit as seven rockets fired into southern Israel; no injuries reported.
Le porte-parole du Fatah accuse le chef d’Al-Qaïda de « sionisme »
Netanyahu: Hamas is trying to start another Holocaust
How the Holocaust tripped up Kerry's peace process
Kerry: Israel risks turning into an 'apartheid state'
US State Department does not deny Kerry's Israel 'apartheid' warning
Kerry’s A-bomb makes clear: the apartheid label just won’t go away
AIPAC calls Kerry’s apartheid warning on Israel troubling, offensive
MKs pan Kerry for saying Israel could become ‘apartheid’
AIPAC: Kerry’s comments ‘offensive, inappropriate’
In unusually blunt rebuke, pro-Israel group blasts top diplomat, calls Israel the region’s ‘lone stable democracy’
ISRAEL TO BECOME AN APARTHEID STATE Kerry does not seem to realise that it already is one ...
“Apartheid,” John Kerry-Cohen and Subservience to Israel
"Apartheid" en Israël ? John Kerry revient sur ses propos
Kerry's humiliation elates opponents of peace talks Secretary of State forgot that 19th century off-the-record rules don’t apply in the 21st century, creating an 'apartheid storm.'
Sen. Cruz Calls for Kerry’s Resignation Over Israel 'Apartheid' Remark
[neocon jew from MTL] Krauthammer: Cruz Is Right - Kerry Should Step Down After Apartheid Comments
ANOTHER ‘POOF’ FROM KERRY ~~ “I DID NOT CALL ISRAEL AN APARTHEID STATE”
John Kerry apologizes for Israel ‘apartheid’ remarks
Kerry backs off Israel 'apartheid' remarks amid firestorm on Hill
Right Wing Call Kerry And Obama Anti-Semites Over Israeli ‘Apartheid’ Comment
Israeli official: Kerry's apartheid comment calls U.S. role as honest broker into question
Les Palestiniens ont refusé le débat sur « l’Etat juif » Les USA (Kerry) aussi ne veulent pas d'un État juif.
Anonymous interview airs U.S. frustration with Israel after talks’ collapseNow that negotiations have screeched to a halt, U.S. officials are apportioning blame, and a big share is going to Israel.
In the West Bank, apartheid is already here Defending Kerry’s statement by citing similar statements made by pro-Israel Jews perpetuates the myth that no one else is allowed to criticize.
Netanyahu is shaping Israel in his own dark image Even though many Israelis are willing to explore new options, their wary prime minister is deepening the country’s isolation.
Comme je dis souvent, les juifs sionistes commencent à se rendre compte que Netanyahou n'est pas bon pour la survie à long terme de l'État juif d'Israël...
Israel to use tax collected for Palestinian Authority
VIDEO - Israel's war on Africans, by David Sheen nouvelle vidéo du 25 avril 2014
Rand Paul: Cut aid to Palestinians unless they recognize Israel as Jewish state
Israeli Ministers Call for West Bank Annexation to Spite Palestinians
Israel halts peace talks over Palestinian reconciliation deal
Palestinian’s Unity Agreement Evokes Israeli-U.S. Threats
A ‘New Israel’… in Eastern Texas?
Si les Texans aiment tellement Israel et les juifs, si les chrétiens sionistes y sont si nombreux, alors ils doivent accueillir sur leurs terres sans plus attendre tous les juifs du Moyen-orient et de se partager le territoire du Texas. Ça serait le seul sionisme qui aurait du sens
Israel occupied by the settlement lobby / Nahum Barnea
Israël utilise les réfugiés comme “devise” dans le commerce des armes avec l’Afrique
Dissimuler un crime aux yeux de tous : la double fonction de l’industrie de l’eau en Israël
Netanyahu wants law defining Israel as Jewish state
Netanyahu proposera une loi à la Knesset sur la judéité de l’État d’Israël
Netanyahu veut «ancrer» l'Etat juif dans la loi
US officials say ‘Even if Israel doesn’t like it, Palestinians will get state’
Former Security chiefs say Israel doesn’t want to stop hate crimes
Hate crime culprits are terrorists, says public security minister Yitzhak Aharonovitch says most of of the vandals in recent attacks are from the far right in the West Bank, and the state knows who most of them are.
Jewish extremists trying to provoke 'intifada'
U.S. report: ‘Price tag’ attacks spread into Israel, go unpunished
NYU falsely accused of anti-Semitism for educating their fellow students about Israeli demolitions of Palestinian homes
U.K member of parliament quits after 'bloody Jew' remark Former MP Patrick Mercer also accepted a bribe from a lobbyist and insulted a colleague, according to parliamentary report.
Winnipeg shul drops speaker who allowed campus ‘apartheid’ week
Pink Floyd members urge Rolling Stones to cancel Israel concert
Israel angered by Methodist report on boycott movement Though report does not recommend joining the boycott, it was attacked by Israel's London embassy for 'legitimizing' BDS.
Remembering the Nakba: Israeli group puts 1948 Palestine back on the map
Make Israel truly Jewish, right-wing MK urges
Poll: 68% of Israeli Jews Support End to Peace Talks
Israel fears Jewish terrorists might carry out massive hate crime during papal visit
L'église catholique romaine demande à
Israël de prendre des mesures après qu'un graffiti en hébreu disant
"mort aux arabes et aux chrétiens et à tous les ennemis d'Israël" ait
été écrit sur une église de Jérusalem.
"Simple coïncidence ?" demande...
Israel: Anti-Christian Graffiti and "Price Tag" attacks rise before Papal visit
Catholic Church rips Israeli pols for silence on Jerusalem property ‘price tag’ attacks
Ariel: Price Tag Isn’t Terrorism, Rocks and Firebombs Are Housing Minister criticizes Livni and Aharonovitch for equating “price tag” vandalism attacks with terrorism.
Hate crimes in north Israel: ‘Death to Arabs’ scrawled on window, car tires punctured
Security sources: 100 followers of racist rabbi are behind hate crimes
Israel's anti-Semitism Op-ed: There are more hate incidents against Arabs in Israel than against Jews in France.
Teaching Kids To Hate When photos of weapon-wielding kids flooded out of the West Bank, most Jewish media outlets ignored them for one reason: they showed Israeli, not Palestinian, glorification of violence.
Radical settlers discuss legitimacy of killing soldiers C'est quelque chose!
Yitzhar resident arrested after posting suspected threat to soldiers
Netanyahu Promises Talmud Will Be Israeli Law
How the Israeli gov't rewards land thieves
Don't dismiss Yitzhar settlers as 'errant weeds'
Amos Oz calls perpetrators of hate crimes 'Hebrew neo-Nazis' Writer and Israel Prize laureate says 'hilltop youth' and 'price tag' are whitewashed terms 'for a monster that should be called by its name.'
Vatican responds to Jewish extremists attacks against Christians ahead of Pope’s visit
“Jesus is Garbage”—Anti-Christian Hate Attacks in Israel Covered up by ZioMedia
VIDEO - Israeli Persecution of Christians in the Holy Land - 60 Minutes
Palestinians to U.S., EU: Add Israeli hate crimes to terror lists
Israël: les actes antichrétiens "empoisonnent l'atmosphère" avant la venue du pape (Patriarche catholique)
Jewish squatter colony of Beitar Illit attacks Palestinian Wadi Fuqeen with sewage despite court order
Israeli president’s plane refused entry to Swedish airspace en route to Norway
Trying to be apolitical, Israeli architects wall themselves into boycott
Liberal Jews angry with N.Y. mayor over secret AIPAC talk
GOLIATH UNLEASHED IN BROOKLYN Max Blumenthal spoke in Brooklyn last Thursday, at the Friends Meeting House. Photos below by Bud Korotzer.
US State Department does not deny reports of ‘unrivaled’ Israeli spying
How Martin Indyk Went From AIPAC Man To Blaming Israel for Talk's Failure
Israel’s old “worn-out whore” met with anger and protests in Norway
Israel suspends soldier suspected of shooting dead Palestinian teens
Israeli troops ‘intentionally’ misuse ammo to cause more harm to Arabs
BDS backers rejoice after Gates sells shares of UK security firm with ties to Israel
Révisionnisme. Des contre-manifestants israéliens distribuent des tracts censés prouver que l’expulsion de la moitié des habitants arabes de la Palestine en 1948, était une fiction.
West Bank Settlements: Zionist Supremacist Media Lets the Mask Slip "Netanyahu to settlers: I'm with you, but there are international constraints."
Même le journal Haaretz pourtant complaisant avec l'Europe décrit Bruxelles comme une énorme pétaudière pour être poli
(Abonnés seulement) HAARETZ-Netanyahu playing into anti-Semites’ hands Prime Minister Benjamin Netanyahu thinks he's the leader of world Jewry and it's us against the Western world.
The Racists of Jerusalem Day Leanne Gale thought she knew what to expect from the right-wing marches, racist chants and police violence on Jerusalem Day. But what she saw this week shocked even her.
I walked on, trying to remain calm in a threatening environment. A group of Jewish teenagers surrounded me. “So, are Jewish men not enough for you? You need to fuck Arab men instead?” And, “Go to hell, you leftist.” Another blew the sparks of his cigarette directly into my face.(...)
A mother carrying her child handed him a large poster, instructing him to hold it in front of my camera so as to obstruct my view. Anywhere I turned, the child turned his poster, until it became impossible for me to film. When I finally turned the camera off, another woman walked straight up to me. Her face inches from mine, she practically spat, “Shame on you. People died for this land. This is Jewish land. If you don’t like it, go to Syria. Go die in Syria.”
The “One Billionth Anti-Semite”—Rabbi Inadvertently Confirms ADL “Canards” as Truth
Israel’s Netanyahu boasts about making fools of Americans Editor Israeli Prime Minister Binyamin Netanyahu has boasted about how he has defied the United States by building Jewish squatter colonies “in a smart way, in a quiet way”, +972 Magazine’s Noam Sheizaf reports.
‘Extreme Left’ high school teacher Adam Verta fired from ORT High School
Israel is Considering the Annexation of the West Bank Territories
DePaul University students vote for Israel Divestment
Lieberman: US has no right to tell Israel to investigate deaths of Palestinians
Memo to Netanyahu: Read ADL survey, and stop equating Israel criticism with anti-Semitism!
The end of a beautiful friendship? Ever since Menachem Begin became PM four decades ago, American Jewry has been captivated by Likud pathos, symbolism and sense of victimhood, but things are beginning to change.
Israël-bashing: Vous avez déjà ouvert le huffingtonpost.fr d'Anne...
“Straight Out of the Protocols” Fmr Australian Prime Minister Malcolm Fraser Exposes Zio Power!
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PM: Don't recognize Palestinian unity gov't
États-Unis : un projet de loi pour interdire l’aide à la Palestine
États-Unis : un projet de loi pour interdire l’aide à la Palestine
Plus de 1.500 prisonniers palestiniens entament une grève de la faim C'est Israel qui va être trop content de les voir tomber comme ds mouches.
Israel won’t let nuclear whistle-blower leave country The government is refusing to let Mordechai Vanunu leave the country for three days to speak at a conference in London and...
The Racists of Jerusalem Day Leanne Gale thought she knew what to expect from the right-wing marches, racist chants and police violence on Jerusalem Day. But what she saw this week shocked even her.
I walked on, trying to remain calm in a threatening environment. A group of Jewish teenagers surrounded me. “So, are Jewish men not enough for you? You need to fuck Arab men instead?” And, “Go to hell, you leftist.” Another blew the sparks of his cigarette directly into my face.(...)
A mother carrying her child handed him a large poster, instructing him to hold it in front of my camera so as to obstruct my view. Anywhere I turned, the child turned his poster, until it became impossible for me to film. When I finally turned the camera off, another woman walked straight up to me. Her face inches from mine, she practically spat, “Shame on you. People died for this land. This is Jewish land. If you don’t like it, go to Syria. Go die in Syria.”
Budget-strapped Israeli military banks on future US aid Future funding for IDF purchases of American weaponry to be discussed next week during Secretary of Defense Chuck Hagel’s visit to Israel.
Israel’s Bitter Splits Boil Over into the Open
Mofaz: Israel Can’t Handle Iran Alone
Conflit israélo-palestinien et antisémitisme : Enderlin accuse ses confrères d’autocensure
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:82AAHVxnloIJ:www.haaretz.com/news/diplomacy-defense/.premium-1.595937
Netanyahu to settlers: I'm fighting for you, but there are international constraints
Netanyahu tells settler leaders he is their 'greatest defender,' but his hands are tied by 'international' considerations.
Leaders of the Yesha Council of settlements met Wednesday evening
with Prime Minister Benjamin Netanyahu and asked him to bring an end to
the months-long freeze on planning, construction, and marketing of West
Bank and East Jerusalem housing.
According
to sources that were present for the meeting, Netanyahu told the
settlerment leaders that he has in fact been advancing their cause in
recent months. "You have no shield greater than I," he said. "I fight
for you."
Netanyahu tells settler leaders he is their 'greatest defender,' but his hands are tied by 'international' considerations.
"But there are international constraints and you know them," he said, according to a source present at the meeting. "Everyone tells me all the time that the peace process is stuck because of the settlements. I reply to them that that's not true and that the real reason is the [Palestinian] refusal to recognize Israel as a Jewish state."
Yesha heads told Netanyahu, according to sources at the meeting, that the last time tenders for construction in the settlements were published happened after the third round of releasing Palestinian prisoners in January. They added that the planning and construction committee of the West Bank civil administration has not convened in more than three months to discuss projects that are in different phases of completion. They said they have not been able to push forward plans to build public institutions such as schools or kindergartens.
"I was not aware of the damage and suffering it has caused," Netanyahu said according to the source. Netanyahu tried to show sympathy with the Yesha leaders but he did not promise a thing except that he would look into the matter more deeply and consider possible solutions with Defense Minister Moshe Ya'alon and Cabinet Secretary Avichai Mandelblit.
The facts presented to Netanyahu did not come as news. After all, it was the prime minister who decided to place a freeze on planning and construction in an attempt to prolong the Israeli-Palestinian peace talks – and to maintain the freeze after the talks failed to avoid international condemnation, which could involve economic and political sanctions.
Martin Indyk, the U.S. envoy to the peace talks, said in a speech several weeks ago following the collapse of the talks, that that massive construction in the settlements during the time of negotiations was a central cause for the collapse. Indyk's words together with briefings from White House to the same effect created the sense internationally that Israel was to blame for the collapse.
One of the first consequences was a decision by the German government not to grant Israel hundreds of millions of dollars to purchase German-made missile boats meant to defend Israel's natural gas interests in the Mediterranean. The Germans told Israel that their parliament would not approve such a move in wake of the collapse of the talks.
About 12 regional council heads were present at the meeting including Avi Roe of the Benyamin regional council, Davidi Pearl of Gush Etzion, Gershon Mesika of Shomron, Yohai Damari of Har Hevron, Malachi Levinger of Kiryat Arba, Oded Ravivi of Efrat, Yogal Lahav of Karnei Shomron, Hananel Dorani of Kedumim, and two senior Yesha officials, Ze'ev Hever and Dani Dayan.
Also present at the meeting were Meir Rubenstein, the Haredi mayor of Beitar Illit and regional council heads of Alfei Menashe, Beit El, Har Adar, Givat Ze'ev, and proxy for the mayor of Ariel.
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:vgGn0QWTREUJ:www.haaretz.com/opinion/.premium-1.595880
Netanyahu playing into anti-Semites’ hands
Prime Minister Benjamin Netanyahu thinks he's the leader of world Jewry and it's us against the Western world.
Emperor Netanyahu, head of the Jewish empire with its capital the State of Israel, has announced the diversion of the economic armies from west to east. Netanyahu has abandoned our interests in the sinking continent of Europe, the newspapers heralded, and marked our new interests in the east. “I come here now from signing an agreement with the deputy prime minister of China, and last week I signed similar agreements with the prime minister of Japan. I had a talk with the President of Nigeria, who asked me to send Israeli aid to the struggle against Islamic terrorism. Yesterday, I spoke to the president of Serbia, who asked me to send Israeli aid against the floods in his state,” Netanyahu boasted at the Likud Knesset faction meeting.
He summed up: “This is our answer to those who want to isolate us.” The West repudiates us? Let’s recreate ourselves in the East (at least until they realize who we are).
The fear of losing the Jewish majority in Israel, which is a modern reincarnation of the Jews’ primeval fear of being annihilated, is of the utmost importance to the leader of the Jews. Obviously, neither peace nor democracy will help the struggle against the demographic threat, inasmuch as it is seen as a threat. The only effective ammunition in this war is Jews — and the “Jewish identity” bill is the weapon.
We are witnessing a move to nationalize the Diaspora Jews. The bill aims to identify Jewish with Israeli and convert all Diaspora Jews into Israelis de facto. It’s only a matter of time until Jews, wherever they are, get the right to vote. This is a bid for numerical fortification, similar to the statistical manipulations that serve as a substitute for the struggle against poverty. The Diaspora Jews will be counted together with the Jews in Israel, without having to immigrate. This is an implementation of the right of return, without Jews having to actually return.
Such a move could be disastrous. It is not inevitable that Jews in Diaspora will have to deal with anti-Semitism again. If they are Israelis whether they want to be or not, they will no longer be able to ask to distinguish between protest against Israel’s policy and Jew hating. They may be blamed again for dual loyalty — to the state they live in and the Jewish state.
Perhaps such a situation is not against Israel’s interests. Zionism in its current incarnation has created a distorted dependency on anti-Semitism — the ideological migration to Israel has been exhausted, as has the migration of persecuted and poor Jews. We are left with millions of obstinate Jews, who regardless of how many Birthright trips Sheldon Adelson gives them at his expense, still prefer life outside Israel to partaking in the project of the Jewish state.
Ultimately, the only way to bring them here and harness them to the demographic struggle is to make them understand that no matter how bad things are here, they are even worse over there.
Netanyahu and Foreign Minister Avigdor Lieberman are on a dangerous course. They want to harness the struggle against anti-Semitism to the struggle against moves against Israel’s policy. But they don’t realize, or do realize and turn a blind eye, that the move will backfire. It will merely inflame the rage and anger further, because it portrays Israel and the Jews as a body without borders that wants to expand beyond its state. In this sense, Netanyahu is playing into the anti-Semites’ hands by implementing their wildest fantasy about the Jews.
America’s Jews have been trying for some time to distinguish between the Jews and Israel and convey the message that they will not be able to defend Israel as an extension of their identity, unless it starts going straight. But Netanyahu and Lieberman don’t believe in responsibility and friendship in the world, only economic interests and anti-Semitism — and world order as simply their reorganization. They are like Russian President Vladimir Putin’s people, who pooh-poohed American sanctions over the invasion to Ukraine, remarking that at worst they won’t be able to go to Disneyland.
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:NrcC6r3W_KwJ:www.haaretz.com/opinion/.premium-1.596222
When Nicole Krauss was bullied in Jerusalem for being a U.S. Jew
What passes through
Israel's head when it lets the likes of author A.B. Yehoshua to
represent it, taunting and insulting and pushing away any remaining
friends in an increasingly alienated world?
A.B. Yehoshua
Photo by Moti Milrod
Last week I had the privilege and pleasure of participating in the International Writers Festival, held in Mishkenot Sha’ananim in Jerusalem. The festival was enriching and exciting, but overhanging it was a cloud that dampened the enjoyment, in the form of the international boycott that is slowly solidifying around Israel’s cultural life. Several of the international participants related to the boycott as an established fact that everyone except us, the targets of the boycott, is aware of and accepts as part of the new global reality.
Among the numerous pleasant encounters between Israeli writers and their overseas counterparts, an ugly interaction stood out. This was a conversation between A.B. Yehoshua and the young and successful American Jewish writer Nicole Krauss. Yehoshua let loose, without any provocation from the smiling and mild-mannered Krauss, with a blustering and surprisingly rude frontal assault on his interlocutor. Krauss is a thoughtful and interesting writer who, despite a busy schedule, made time to attend and assist the festival, in addition to her vigorous efforts to counter the international boycott that threatens us.
Yehoshua’s attack was confused and his arguments unfounded, and I cannot restate them in full here. He totally rejected the possibility of leading an authentic and significant Jewish life outside the borders of this country and the Ben Gurionist-Zionist paradigm which he espouses. He rejected in one sweep any non-Israeli Jewish literature, taking particular aim at the giants of American Jewish literature of the previous generation, such as Bernard Malamud, Philip Roth and Saul Bellow. Yehoshua claimed that he was “unimpressed” by them since they failed the test by not comprehending the grandeur of political Zionism by not opting for it as the sole path for a continued Jewish historical existence.
Yehoshua’s strange behavior demonstrated an unpleasant mix of a threatened and weak yet overblown ego, of provincial feelings of inferiority together with an unjustified sense of superiority, also provincial in nature. To Krauss’ credit she was not drawn in by this ugly and needless provocation, made by the Israeli writer she admires most (it was said at the festival that she initiated this dialogue out of respect for his work). She insisted on talking about other topics, making interesting and complex arguments while maintaining her dignified pose, which stood in increasingly stark contrast to the tasteless aggressiveness of her partner in dialogue, which only became worse as the conversation continued.
I was shocked. I had never witnessed such behavior on a public stage. Israelis around me giggled forgivingly. They are used to this kind of behavior by Yehoshua, whom they insist on calling by his childhood nickname “Buli.” Unfortunately, this sounds close to the English word bully, the neighborhood thug who bothers helpless children during school recess and on the playground, threatening and striking them for no reason. Apparently his behavior is a well known phenomenon. Jewish organizations in the United States invite him to conferences and events supporting Israel and he attacks and slanders his hosts, declaring their Jewish lives incomplete and inauthentic, negating their efforts to live a significant Jewish life and to maintain the increasingly eroding affinity they have with Israel.
The masochism that makes these organizations continue inviting the neighborhood bully to their identity-searching playground is a topic for another article, but one must question what passes through Israel’s head when it allows him to represent it abroad, taunting and insulting and pushing away any remaining friends in an increasingly alienated world? Perhaps the problem is larger and more worrisome than that of the irrational lashing out of this unmannered writer? Maybe the show put on by Yehoshua truly reflects the new face of Israel, whose complacent and thuggish insensitivity has caused its long-standing friends to express reservations, to distance themselves and finally to boycott it?
TUT Broadcast March 5, 2014
March 5, 2014
It is Purim
season, 2014 and Putin is this year's Haman. Israel and Netanyahu are
in full court press to see Putin--who is standing in the way of
the New World Order--destroyed, even if it means war with the United States.
We are joined by the one and only Michael Collins Piper to discuss this.
Listen Now:
Subscribe to premium content nowThe Piper Report March 6, 2014
The demonization of Vladimir Putin—What are the real reasons for organized Jewish interests comparing today’s Russian president to Stalin? Was Stalin really the dictator as portrayed by today’s Zionist mouthpieces or was he yet another leader working against the Synagogue and who paid the price for it?
listen here
Qui est HAMAN?
1953, la chute d'un Haman moderne (le "tyran antisémite" Staline)
Soviet Jews Saved From Stalin’s Genocidal Plans on Purim
United With Israel
This special interview was dedicated in loving memory of: Tzvi Yechetzkel Ben Eliezer Gordon
To view click play
VIDEO - Rav D.ynovisz: Qui est Amalek aujourd’hui? - Schmouel 35 – 14 Septembre 2011
Données de base sur le livre d'Esther (d'après Univers de la Bible)
1953, la chute d'un Haman moderne (le "tyran antisémite" Staline)
Pendant le Farbrengen du repas de Pourim de 5713 (1953), il est survenu
quelque chose de tout à fait exceptionnel : au début du Farbrengen, le
Rabbi avait prononcé un Maamar, précédé des minutes de préparations
habituelles. Puis, quelques heures plus tard, à la fin de la nuit, le
visage du Rabbi a pâli puis s’est enflammé dans une expression de
dévotion extrême.(...)Quelque temps plus tard, tous comprirent quand il fut dévoilé que
Staline, le tyran antisémite, avait eu une embolie cérébrale cette
nuit-là. Il est mort quelques jours plus tard, le 5 mars 1953...
Soviet Jews Saved From Stalin’s Genocidal Plans on Purim
United With Israel
Soviet dictator Joseph Stalin has in actuality murdered
more people than Adolph Hitler. Stalin, like Hitler, was an anti-Semite
and the Jews of the Soviet Union suffered immensely under his rule. Many
Jews, such as Genya Reichman, were forced to engage in slave labor
under Stalin upon fleeing Nazis-controlled areas. In fact, even Jewish
refugee children, such as Annia Segal, grew up under horrendous
conditions in the Soviet Gulag. Yet, by 1953, the status of Soviet Jewry had deteriorated even further and Soviet Jews were facing a possible genocide.
But on Purim about 60 years ago, Soviet dictator Joseph Stalin
collapsed. Soon afterwards, he died, thus sparing the Jewish people
another Holocaust. It was a miracle!
Stalin’s plan to annihilate
the Jews of the Soviet Union which he had formulated immediately prior
to his death is one of the lesser known facts of history. Yet, not
even ten years after the conclusion of the Holocaust, there was a
full-scale attack upon Soviet Jews, complete with purges, executions,
imprisonments, and the imposed exile of tens of thousands of Jews.
In early 1953, the Soviet media was alleging that Jewish doctors had a
conspiracy to poison top-level Soviet officials, thus increasing the
level of hostility directed towards Soviet Jews. The Jews of the Soviet
Union were living in terror under Stalin, especially in the early
1950’s. And then, in the midst of the so-called doctor’s plot, Stalin
had started to plan for the deportation of 2 to 4 million Jews to
Siberia and Central Asia, where they would be annihilated, as a
collective punishment for a conspiracy invented by the Stalin-controlled
Soviet media.
During
a meeting with top-level Soviet officials, there were other Soviet
government members who did oppose Stalin’s plans against the Jewish
people. Vyacheslav Molotov, who was married to a Jewish woman, staunchly
objected to Stalin’s plans against the Jewish people and had the
audacity to tell the dictator that such a move would be horrendous for
public relations. Kliment Yefremovich Voroshilov, who also had a
Jewish wife, actually went as far as chasing away Soviet agents from
his home using a rifle in order to protect his Jewish wife. He
then had the audacity to tell Stalin that he no longer wished to be a
member of the Communist Party. An enraged Stalin responded that only he
had the right to determine who will be in the Communist Party. Soon
after that, on that Purim day about 60 years ago, Stalin collapsed on the floor and he would die not long after that.
Interestingly,
on the same day that Joseph Stalin collapsed, the Lubavich Rebbe was
leading a Purim gathering. Members of the Jewish community had asked for
him to pray for the Soviet Jewish community. However, instead of doing
this, the Lubavich Rebbe told a story. He proclaimed, “After the czar
fell in Russia, it was announced that the government would be holding
elections. The Rebbe Rashab, fifth to Chabad dynasty, sent word to the
Chasidim that they were to participate in the voting process. There was
one particular Chasid who was completely removed from the affairs of the
world; to him the political arena was foreign territory. Nonetheless,
having received an explicit instruction from the Rebbe, he set out to
fulfill his command. With a sense of awe and reverence he immersed
himself in a mikvah, donned his gartel (belt for prayer) and set out for
the polling booth. Of course, when he got there, he had no idea what he
was expected to do, but some of the more worldly Chasidim helped him
cast his vote. Adjusting his gartel, the Chasid did what everyone else
was doing. When the votes were cast, everyone cried out ‘Hurrah!’ Taking
his cue from those around him he likewise cried out, ‘Hurrah! Hurrah!
Hurrah!’”
Yet in this mans heart, he meant to cry this out in Hebrew, which is Hu-Ra (he is evil).
As the Lubavich Rebbe stated the word “Hu-rah,” his face was burning in
such an inspiring way that his Purim crowd also began to shout
“Hu-rah,” in regards to Stalin. It is an interesting coincidence that
soon after that Stalin passed away. It is as if the Jewish people were praying for a miracle and they got one. According to Dr. Rushnin, author of Why Stalin Didn’t Murder All of the Jews,
Stalin’s death “in itself [is] such a happy end to a huge threat [that]
deserves to be remembered and commemorated by all Jews.” Jews
traditionally believe that whenever the Jewish community is miraculously
saved from disaster, this date should be celebrated on the appropriate
date. Thus, in 1996, Dr. Rushnin initiated Little Purim
celebrations in honor of Soviet Jewry being saved and this Little Soviet
Purim is celebrated in over 100 synagogues across the United States.
By Rachel Avraham
Shturem
Eyewitness Account: Inside the Downfall of a Modern-Day Haman
Joseph
Stalin, the dictator of the Soviet Union, responsible for the murder of
over twenty million human beings (with some estimates running as high
as 40,000,000) was one of the most evil tyrants the world has ever
known. In modern times, he was paralleled only by Hitler, may their
names be erased.
In early 1953, according to many
historians, Stalin began to orchestrate a plan which, he intended, would
result in the deportation of millions of Jews of the Soviet Union to
Siberia and Central Asia and, eventually, to their annihilation.
His
ruse began with a blood libel: A group of Jewish doctors were “caught”
conspiring to poison top Soviet officials, and thereby “destroy the
motherland.” Stoked by the Russian propaganda machine, anti-Semitic
hatred was riled against the Jews.
With Stalin poised to
take the next step of his nefarious plot – the extent of which was
unknown to the public at the time – at least one Jewish leader seems to
have known of the scheme.
In his recent testimony given
to the My Encounter with the Rebbe project, Reb Yoel Kahan, who
participated in the Rebbe’s Farbrengen of Purim, 5713, shared the events
of that day which, clearly, played a role in the story’s unexpected
ending. As in the original Purim story, “It was turned upside down, and
the Jews were victorious over their enemies.”
This special interview was dedicated in loving memory of: Tzvi Yechetzkel Ben Eliezer Gordon
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VIDEO - Rav D.ynovisz: Qui est Amalek aujourd’hui? - Schmouel 35 – 14 Septembre 2011
Données de base sur le livre d'Esther (d'après Univers de la Bible)
Le livre d’Esther était lu lors de la fête juive dont il relate
l’origine: la fête des Pourim. Il porte le nom de son héroïne, une jeune
Juive devenue l’épouse de Xerxès, souverain de l’Empire perse (486-465
av. J.-C.). Sa position lui permettra d’éviter le massacre des Juifs.
L’une des particularités de ce texte est l’absence totale de mention de
Dieu.
Haman, chef des Amalécites (descendant d'Amalek, l'ennemi archétypal des juifs, qui avait ironiquement de lointaines origines juives), était général des armées du roi Ahasvérus. Il conspirait supposément contre les juifs, mais Esther, grâce à sa ruse, retourna la situation contre lui et fit en sorte que Haman soit tué et que son corps soit, ironiquement, pendu, avec ses dix fils, au gibet qu'il avait préparé pour tuer les juifs. (Les historiens n'ont trouvé aucun fondement historique à ce récit très douteux. Rien n'indique qu'un Perse portant ou non le nom d'Haman ait effectivement tenté de massacrer les juifs.)
Ce n'est pas une scène de la Crucifixion mais bien une scène de la mort de Haman étendu sur une croix. Au Moyen-Age les juifs fêtaient Pourim en érigeant des effigies de Haman, souvent en l'associant au symbole de la croix, en le crucifiant ou en le pendant sur une potence en forme de croix. Des textes rabbiniques représentent Haman portant une croix (une "abomination") sur ses vêtements. Ainsi, le Christ se trouvait confondu avec l'ennemi éternel des juifs! Des lois ont du être édictées afin d'empêcher les juifs de s'adonner à ces pratiques haineuses antichrétiennes et antichristiques.
Extraits de Reckless Rites - Purim And The Legacy Of Jewish Violence, p.68 et 157-158:
La première réponse de Radbaz , qui utilise le terme Kedushat ha-Shem (la sanctification du nom de Dieu), a laissé entendre que s’incliner devant Haman aurait pu être considéré comme un acte idolâtre, reflétant la tradition rabbinique selon laquelle Haman portait une image idolâtre sur sa poitrine. Abraham Saba, qui était comme Alashkar un exil d’Espagne, a également évoqué, dans son commentaire sur Esther, la tradition rabbinique concernant l’image idolâtre portée par Haman, ajoutant, toutefois, dans une veine plus contemporaine, que c’était « comme les rois Édomites [ndt : c'est-à-dire Chrétiens] dont les fonctionnaires arborent la croix abominable sur leurs vêtements, afin que quiconque les voit se prosterne ».) (…)
La croix comme abomination
Avant de procéder à d’autres cas de comportement indiscret vis-à-vis de la croix, permettez- moi de revenir sur le terme « abomination » et l’histoire de son utilisation par les Juifs comme un moyen de se référer cacophémistiquement (mon néologisme) à la croix. L’exemple le plus lointain que j’ai pu trouver se trouve à la fin des travaux midrashiques connus sous le nom de Pirkei de-Rabbi Eliezer (Les Chapitres de Rabbi Eliezer) qui, tel qu’indiqué plus haut, a été évidemment composée en Palestine au huitième siècle. Comme nous l’avons vu, l’auteur de l’œuvre tente implicitement, en racontant l’histoire de Pourim, de résoudre un des problèmes les plus épineux dans l’exégèse du livre d’Esther : Pourquoi Mardochée a-t-il refusé de se prosterner devant Haman ? Selon PRE, Haman « avait une « image » [ tzelem ] brodée sur son vêtement, et tous ceux qui se prosternaient devant Haman saluaient également à l’ « abomination » [ to'eva ], qu’il avait faite. Madochée a vu cela et n’a pas consenti de se prosterner devant sa « chose dégoûtante » [ shikutzo ], comme il est dit : « Mais Mardochée ne s’inclina point, ni ne fit révérence » ». L’auteur de ce midrash tardif transforme Haman en un évêque chrétien portant fièrement sur sa poitrine le signe de la croix, appelée du nom peu flatteur de la trinité des termes hébreux – tzelem to’eva, shikutz. Et bien que l’auteur midrashique résida apparemment dans les Omeyyades de Palestine, il sentait néanmoins la nécessité de lier l’ancien ennemi juré du peuple juif avec le symbole central du christianisme. (…)
Mais les Juifs ne se sont pas seulement engagé dans le discours sur le christianisme et ses symboles. Les mots s’étaient, depuis l'Antiquité tardive, reportés dans les faits, comme dans la pratique, interdite par la loi de Théodose de 408, de la fabrication d'une effigie d’un crucifié le jour de Pourim. Des siècles plus tard, les juifs convertis au christianisme dans l'Empire byzantin étaient requis non seulement de renoncer généralement à toute la loi hébraïque, ses coutumes et cérémonies, mais spécifiquement de « maudire ceux qui gardent la fête du soi-disant Mardochée ... clouant Haman au bois, le mêlant ensuite à l'emblème de la croix et les brûlant ensemble ». Un tel serment pré-baptismal, datant de quelque part entre les huit et au début du dix-sept siècles, est venu jusqu'à nous depuis l'Orient byzantin. (...)
Comme Basnage, l'historien juif du dix-neuvième siècle Graetz a pu imaginer plus d'une explication de la loi de Théodose de 408 interdisant de se moquer du christianisme et de ses symboles lors de la fête de Pourim. « En ce jour », écrit-il, « les jeunes lurons [ lustige Jugend ] étaient habitués d’avoir à la main une effigie du pire ennemi des Juifs, Haman, sur une potence (gibet), et cette potence, qu’il était coutume de brûler, avait, soit par dessein, soit par accident, la forme d'une croix ». (Nous soulignons). Son contemporain, cependant, Ferdinand Gregorovius, l'historien de Rome né en Prusse, a présenté la question d'une façon un peu plus unilatérale. Gregorovius, contrairement à Graetz, appartenait à l'école qui avait tendance à considérer les Juifs comme étant eux-mêmes « responsables du mépris » dont ils faisaient souvent l’objet. Il est fortement étonnant, donc, qu'il a vu la loi de Théodose comme interdisant aux Juifs « de célébrer une certain fête [ Pourim ] au cours de laquelle ils étaient habitués à exprimer sournoisement leur haine pour le Sauveur crucifié ». Selon Gregorovius, au cours de cette journée, « ils représentaient Haman crucifié et ... le brûlaient en effigie au milieu des cris et des festivités comme s'il était le Christ » (je souligne). Comme il l'a lui-même vu (et entendu) dans son imagination, il n'y avait pas deux manières d’aborder ce sujet. Les Juifs du cinquième siècle détestaient le Messie crucifié et donnaient une « expression rusée » à leur haine en l’évacuant « au milieu des cris et des festivités » le jour de Pourim.
La loi de Théodose de 408 évoquée par ces trois chercheurs informait les gouverneurs des provinces, tel que mentionné plus tôt, qu’ils devaient « interdire aux Juifs de mettre le feu à Aman en souvenir de sa peine (châtiment), dans une certaine cérémonie de leur festival, et de brûler avec une intention sacrilège une forme faite pour ressembler à la sainte croix au mépris de la foi chrétienne, de peur qu'ils ne souillent le signe de notre foi avec leurs moqueries ».
-
Radbaz's first reply, which used the term kedushat ha-shem (the sanctification of God's name), implied that bowing before Haman could have been considered an idolatrous act reflecting the rabbinic tradition according to which Haman had worn an idolatrous image on his chest. Abraham Saba, like Alashkar an exile from Spain, also referred, in his commentary on Esther, to the rabbinic tradition concerning the idolatrous image worn by Haman, adding, however, in a more contemporary vein, that this was "like the Edomite (Christian) kings who have their officials wear the abominable cross on their clothing, so that whoever sees them would bow down".) (...)
The Cross As Abomination
Before proceeding to other instances of indiscreet behavior vis-a-vis the cross, let me return to the term "abomination" and the history of its use by Jews as a means of referring cacophemistically (my neologism) to the cross. The earliest instance I have been able to find occurs in the late midrashic work known as Pirkei de-Rabbi Eliezer (The Chapters of Rabbi Eliezer), which as noted earlier, was evidently composed in eighth-century Palestine. As we have seen, the work's author implicitly attempts, in retelling the story of Purim, to solve one of the thorniest problems in the exegesis of the book of Esther: Why did Mordecai refuse to bow down to Haman? According to PRE, Haman "had an 'image' [tzelem] embroidered on his garment, and anyone who bowed down to Haman bowed also to the 'abomination' [to'eva] which he had made. Mordecai saw this and did not consent to bow down to his 'disgusting thing' [shikutzo], as it is said, 'But Mordecai bowed not, nor did him reverence'." The author of this late midrash transforms Haman into a Christian bishop who proudly wears upon his chest the sign of the cross, referred to by the uncomplimentary trinity of Hebrew terms -- tzelem to'eva, shikutz. And although the midrashic author apparently resisded in Umayyad Palestine, he nonetheless felt the need to link the ancient arch-enemy of the Jewish People with the central symbol of Christianity. (...)
But Jews did not only engage in discourse about Christianity and its symbols. Words had, since late antiquity, carried over into deeds, as in the practice, prohibited by the Theodosian law of 408, of burning a crucified figure on Purim. Centuries later, Jewish converts to Christianity in the Byzantine empire were required not only to generally renounce every Hebrew law, custom, and ceremony, but to specifically "curse those who keep the festival of the so-called Mordecai ... nailing Haman to wood, and then mixing him with the emblem of the cross and burning them together." Such a prebaptismal oath, dating from some time between the eight and early seventeen centuries, has come down to us from the Byzantine East.(...)
Like Basnage, the nineteenth-century Jewish historian Graetz was able to imagine more than one explanation for the Theodosian law of 408 prohibiting mockery of Christianity and its symbols on Purim. "On this day", he wrote, "the merry youths [the lustige Jugend] were accustomed to hand in effigy the arch-enemy of the Jews, Haman, on a gallows, and this gallows, which it was the custom to burn, had, by design, or by accident, the form of a cross." (emphasis added). His contemporary, however, Ferdinand Gregorovius, the Prussian-born historian of Rome, presented the matter in a somewhat more one-sided way. Gregorovius, in sharp contrast to Graetz, belonged to the school of scholarship that tended to regard the Jews as being themselves "responsible for the contempt" with which they were often held. It is sharply surprising, therefore, that he saw the Theodosian law as forbidding the Jews "to celebrate a certain festival [Purim] at which they were accustomed to give sly expression to their hatred for the Crucified Saviour." According to Gregorovius , on that day, "they represented Haman as crucified and... burned him in effigy amidst shouts and revelry as if he were Christ" (emphasis added). As he saw (and heard) it in his imagination, there were no two ways about it. The Jews of the fifth century hated the crucified Messiah and gave "sly expression" to their hatred by venting it "amidst shouts and revelry" on the day of Purim.
The Theodosian law of 408 alluded to by all three of these scholars had instructed the governors of the provinces, as mentionned earlier, to "prohibit the Jews from setting fire to Aman in memory of his past punishment, in a certain ceremony of their festival, and from burning with sacrilegious intent a form made to resemble the saint cross in contempt of the Christian faith, lest they mingle the sign of our faith with their jests."
Why Crucify Haman?
Artistic representations of the Purim villain shed light on medieval Jewish and Christian interpretations of the holiday.
By Menachem Wecker
According to Martin Luther's 1543 essay "On the Jews and Their Lies," Jews demonstrate their "bloodthirsty" and "vengeful" character in their love of the Book of Esther.
Luther, a priest who initiated the Protestant Reformation and a known
opponent of Jews and Judaism, also said the Book of Esther should be
ignored for being "too Jewish" and packed with "too much heathen
corruption." The 18th century German Bible scholar Johann David Michaelis took Luther's attack on Mordecai and Esther one step further, by protesting Haman's execution without a fair trial.
Luther and Michaelis were not the only ones to think that the Persian Jews in the Book of Esther should have turned the other cheek to Haman.
Luther and Michaelis were not the only ones to think that the Persian Jews in the Book of Esther should have turned the other cheek to Haman.
In Michelangelo's depiction in the Sistine Chapel, "The Punishment of
Haman" pays Haman the theological compliment of crucifying him. Though
the Jewish (and literal) reading of the Book of Esther is that Haman is
the evil antagonist, Michelangelo seems to imply the opposite: Haman's
attempt to kill the Jews was justified, and the fact that the Jews
persecuted and killed Haman makes him like Jesus.
Haman's Cross to Bear
Similarly, a miniature in the collection of The Hague, from around the year 1430, shows a bejeweled Esther kneeling before Ahasuerus begging for the lives of her fellow Jews. Ahasuerus, flanked by attendants and a bearded man, who might be Mordecai, extends his golden scepter to Esther. The story progresses from the left, where Esther kneels, to her right, where a near-naked Haman is crucified behind the seated scribe.
Haman's Cross to Bear
Similarly, a miniature in the collection of The Hague, from around the year 1430, shows a bejeweled Esther kneeling before Ahasuerus begging for the lives of her fellow Jews. Ahasuerus, flanked by attendants and a bearded man, who might be Mordecai, extends his golden scepter to Esther. The story progresses from the left, where Esther kneels, to her right, where a near-naked Haman is crucified behind the seated scribe.
The artist or artists who created the work, referred to as the Azor master, would have been familiar with the fourth century Vulgate,
Jerome's Latin translation of the Hebrew scriptures, which used the
word crux to refer to the gallows which Haman created for Mordecai, and
which Haman was later hanged upon.
The word the Hebrew Bible uses for the gallows, etz, more properly refers to a tree, though Hebrew versions of the Gospel of Matthew (controversial in their own right because there are no surviving versions from Matthew's lifetime) also use the word etz in reference to Jesus' crucifixion.
Jerome's translation may have derived from the reference to Haman's crucifixion in the Septuagint, which originated a few centuries earlier--initially by rabbis, who were forced to produce the translation, and later retranslated over time by Christian scholars. In addition, the first century Jewish historian Josephus' account of the Purim story has Haman prepare a cross for Mordecai, and in Josephus' version Haman's death is by crucifixion. The fourth century monk Evagrius, who lived in Constantinople, implied in his writings that Jews of his time considered Haman's death a crucifixion.
A number of medieval Christian authorities were certain that Jews acted upon the belief that Haman, like Jesus, was crucified. For example, the early fifth-century Theodosian Codex, a set of Roman laws, insisted that Jews abstain from "celebrating a certain feast" during which they "very shrewdly" showed their "secret hatred of the crucified Savior" by representing their enemy Haman as a crucified man and burning his effigy amidst "great shouting and frenzy just as if he were Christ."(...)
The word the Hebrew Bible uses for the gallows, etz, more properly refers to a tree, though Hebrew versions of the Gospel of Matthew (controversial in their own right because there are no surviving versions from Matthew's lifetime) also use the word etz in reference to Jesus' crucifixion.
Jerome's translation may have derived from the reference to Haman's crucifixion in the Septuagint, which originated a few centuries earlier--initially by rabbis, who were forced to produce the translation, and later retranslated over time by Christian scholars. In addition, the first century Jewish historian Josephus' account of the Purim story has Haman prepare a cross for Mordecai, and in Josephus' version Haman's death is by crucifixion. The fourth century monk Evagrius, who lived in Constantinople, implied in his writings that Jews of his time considered Haman's death a crucifixion.
A number of medieval Christian authorities were certain that Jews acted upon the belief that Haman, like Jesus, was crucified. For example, the early fifth-century Theodosian Codex, a set of Roman laws, insisted that Jews abstain from "celebrating a certain feast" during which they "very shrewdly" showed their "secret hatred of the crucified Savior" by representing their enemy Haman as a crucified man and burning his effigy amidst "great shouting and frenzy just as if he were Christ."(...)
Représentation contemporaine de la pendaison d'un Haman aux habits couverts de symboles nazis
Pourim 2012
Pourim 2012
Monday, March 05, 2007
It's so good to be Home for the Holiday Season... you know, the holiday season! The time people dress up, give out candy, (get drunk) and decorate the front of their homes. Yep... sure you know what I mean. They decorate them with beautiful biblical scenes. You know what I mean. The scenes that sort of look like this:
Ahh, it's so good to be Home. So what biblical scenes did your neighbor set up?
Full post and comments...
3/4/2011 - U.S. Groups to Celebrate Purim At Iran's UN Mission American Jewish groups plan public reading of the Book of Esther at the Iranian UN Mission in NYC to send a message to Ahmadinejad: You won't win.
Tuesday, March 06, 2012
Purim 2012: Kill the “Anti-Semites”
On Purim 1994 Brooklyn-born Israeli settler Baruch Goldstein slaughtered 40 Palestinians while they prayed in Hebron.
On
Purim 2003 the U.S. invaded the sovereign nation of Iraq, officially to
eliminate illicit weapons of mass destruction but in reality to
neutralize a possible Iraqi threat to the Israeli government. Nearly
5,000 dead Americans and a trillion dollars later and Iraq has been
totally neutered, just as the Israelis and their American agents had
hoped, notwithstanding the damage to the US economy and our service men
and women.
In
the run-up to Purim 2012, which begins on Wednesday evening March 7,
Senator John McCain has called for a deficit-ridden America to undertake
a multi-million dollar bombing of Syria, while Senator Joseph
Lieberman, speaking at the Israeli lobby’s AIPAC conference, demanded a
U.S. attack on Iran if the government of that Persian nation will not
stop its non-existent nuclear weapons program. The German philosopher
G.W.F. Hegel observed that the only thing we learn from history is that
we learn nothing from history.
Ancient Race War Revived
J.D.
Longstreet on the website of the “Save America Foundation: Patriots in
Action” states: “Before Iran was renamed Iran it was Persia. The rift
between the Jews and the Persians is not new. It goes back many
centuries...It is impossible to read the book of Esther this week,
especially, and not see the parallels between an ancient Jew approaching
a great potentate asking for help to save the lives of the Jewish
people. One can only hope Obama reacts as did King Ahasuerus and that
Obama and Netanyahu can both enjoy a few of those famous “Haman’s Ear”
cookies in celebration of the special occasion when the Jews were saved
and Haman, the evil prime minister of Persia, did not succeed in his
plot to kill all the Jews..."
On Sunday March 4 Herb Keinon wrote in the Jerusalem Post:
“Netanyahu...will meet with US President Barack Obama on Monday to
discuss how to stop a Persian tyrant interested in killing Jews. The
meeting is just two days before Purim, a holiday retelling a similar
tale, involving a Persian tyrant intent on killing Jews thousands of
years earlier. Do not be surprised if Netanyahu somehow connects those
two dots during public comments he will make in Washington.”
Why
are we not surprised that, according to Israel National News, during
the three hours that President Barack Obama spent with Israeli Prime
Minister Binyamin Netanyahu in the White House on March 5, “Netanyahu
took the opportunity to draw a parallel between the narrative in the
Book of Esther – wherein the wicked Haman seeks to destroy the Jewish
people throughout the Persian Empire – with Israel's modern day conflict
with Iran...Iran is geographically Persia and the Iranians are
descendants of the ancient Persians.”
A
race war thousands of years old is invoked in deliberations of the
President of the United States concerning our nation’s war policy. The
modern nation of Iran is identified with the ancient nation of Persia by
the Israeli Prime Minister and his supporters in the Zionist press and
American “patriot” right wing. The high Persian official Haman is
likened unto the officials of present day Iran. This would be little
more than Grade B schlock movie fare were it not invested with
international gravitas before our very eyes. The ancient racial
stereotyping against which the rabbis and the media howl when applied to
“the Jews,” is freely applied to the Iranians in the name of Israeli
national survival and self-defense.
This
contemporary racial targeting becomes more ominous when we consider
that Haman was identified as part of the nation of Amalek which God
ordered annihilated. In Christian teaching, the nation of Amalek is no
longer mentioned. This belief is in accordance with the Bible at
Deuteronomy 25:17-19 “to blot out the memory of Amalek from under
Heaven.” Since Amalek is gone from the face of the earth and
Bible-believers are to blot out his memory, those who keep the memory
alive are in violation of God’s prophetic will. This defiance emanates
from the Babylonian Talmud, which envisions an on-going war with
Amalekites who are defined by 21st century rabbis as the anti-semites
among us, meaning anyone who thwarts Zionism or Judaism.
In
addition to the grave threat of extermination that this warped belief
presents to the dehumanized people of Iran, it is also a warrant for the
murder of all the opponents of Talmudic Judaism and the apartheid
“State of Israel” who are classed as “anti-Semites,” whether or not they
are Iranian.
“Amalek was the first anti-Semite”
Rabbi
Eliezer Melamed is a leader of the violence-prone Israeli settler
movement and the head of Yeshivat Har Bracha in the occupied West Bank
of Palestine. He is esteemed as an authority on rabbinic law. His major
works include his legal treatise, Pininei Halacha. Melamed uses his weekly column in the Israeli newspaper Basheva to
advocate attacks (“vengeance”) on Palestinians by the Israeli
government and the military: "We don't aspire to private vengeance, but
to state vengeance led by the Israel Defense Forces and all the systems
of government." (Cf. Haaretz, March 18, 2011).
Rabbi Melamed has declared that those who worship Jesus Christ are idolaters: "...they (Christians) still embrace idolatry, believing that ‘oto ha’ish’ [Jesus] is god and the messiah, who will be resurrected to redeem the world... This delusion that Jesus is the mashiach (messiah) is indeed a false belief.
As we learned from the words of the Rambam (Moses Maimonides, Laws of
Kings 11:4): ‘Jesus the Christian, who thought he was the Messiah… was
the subject of a prophesy in the Book of Daniel (11:14): ‘…also the
renegades of your people will exalt themselves to fulfill the vision –
but they will stumble.’ Could there be a greater stumbling block than this [Jesus]?” (Emphasis supplied).
For Purim 2012, Rabbi Melamed has made the following declaration:
“Although the main mitzvah of wiping-out Amalek rests upon the community in general, every individual Jew is also obligated to fulfill this mitzvah. Therefore, if one comes upon an Amalekite and has chance to kill him, but does not – he has annulled this mitzvah (Sefer HaChinuch, 604). Amalek was the first anti-Semite...Today, the seed of Amalek has been lost; however, if (it) becomes clear that a certain person is an Amalekite, following in their ways, it would be a mitzvah (blessed deed) to kill him (see
Kol Mevaser 2:42)...Only after evil is eradicated from the world can
there be complete joy. Thus on Purim, after the obliteration of Haman
and his sons, happiness is especially great.” Cf. Rabbi Eliezer Melamed, "Amalek: War Against the Root of Evil," Israel National News, Feb. 28, 2012 (emphasis supplied).
Rabbi
Melamed then creates an escape clause in case some people might be
horrified at the notion of killing anyone labeled an “anti-Semite”: “...if
an Amalekite decides to take upon himself the fulfillment of the Seven
Mitzvoth of Noah's Sons, according to Jewish law, there is no longer
an obligation to kill him...”
The “Seven Mitzvoth of Noah's Sons, according to Jewish law” (i.e. Talmudic law and successive halachos derived from it), decree death for idolaters. In Judaism worship of Jesus Christ is defined as avodah zorah (idol worship). "Anti-semitic"
Amalekites and those who worship Jesus are subject to death. They can
only escape capital punishment by accepting the Seven Mitzvoth of Noah's
Sons and denying that Jesus is God. This is what it means to “take upon” the “Seven Mitzvoth of Noah's Sons” (Noachide Laws): the messiah status and divinity of Jesus Christ must be denied.
The U.S. Congress is on record (Public Law 102-14) recommending the
enactment of these misnamed “Noah” laws (in Orthodox Judaism the
patriarch Noah is derided as a low character; cf. Judaism's Strange Gods [2011] p. 108).
Purim Bacchanal: Judeo-Dionysiac debauchery
Like
other pagan religions based on concepts derived from the ancient
worship of strange gods which Yahweh abominates (Exodus 20:2-3), the
pagan anti-Yahweh religion of Judaism venerates the god Dionysus in his
incarnation as Bacchus, during the drunken Bacchanal conducted during
Purim, when intoxicated Judaic men dress up as women, Arab terrorists
(complete with mock suicide bomb belts), clowns and various animals.
Dionysius’ most common cult name in Greek was Bakch(e)ios; in Latin Bacchus,
from which is derived the name of a drunken revel, the “Bacchanal.” The
rites of Dionysus feature wearing masks, cross-dressing, impersonation
and illusion. Walk the streets of Mea Shearim in Jerusalem or the
Williamsburg section of Brooklyn, New York during Purim and you will
observe these rites being enacted. Dionysiac festivals in ancient times
were accompanied by public drunkenness. Alcoholic intoxication is
condemned by the Bible in Proverbs 20:1; 23:20; Romans 13:13; Ephesians
5:18; I Cor. 6: 9-10. Everyone from Rick Santorum to Patrick J. Buchanan
refers to the civilization that originally gave rise to Europe and the
United States of America as “Judeo-Christian.” They apply this
term out of blatant disregard for the fact that Purim, one of the
religion of Judaism’s holiest days, commands alcoholic intoxication and
is marked by masquerading and cross-dressing.
In the Babylonian Talmud (BT) we read:
Rava
said: One must become so intoxicated on Purim that he cannot
distinguish between “Cursed is Haman” and “Blessed is Mordechai.” Rabbah
and Rav Zeira celebrated the Purim feast together. They became
intoxicated. Rabbah arose and slaughtered Rav Zeira. The next day,
Rabbah prayed for mercy on Rav Zeira’s behalf and revived him. The
following year, Rabbah said, “Let master come, and we will celebrate the
Purim feast together.” Rav Zeira answered, “Not every time does a
miracle occur.” (BT Megillah 7b).
In
the preceding Talmudic account, a great "sage" of the Gemara declares
that Judaics must get blind drunk on Purim. Another "sage" obeys and
becomes so intoxicated that he slaughters another rabbi, and yet the
killer merits having his resurrection wish agreed to by God: the rabbi
who was killed by the drunk comes back from the dead. What part of this
Judeo-Dionysiac debauchery and nonsense rightfully comprises a
hyphenated partnership with Christians as represented by the term
“Judeo-Christian”? (2 Cor. 6:14).
The “positive” side of Purim drunkenness: “Basic happiness is revealed”
“Although
in general drunkenness is disgraceful, nevertheless, its positive sides
cannot be ignored. As a consequence of intoxication, basic happiness is
revealed, expressing physical, unrestrained joy, filled with power and
vitality. Normally, however, the lust and depravity of drunkenness
obscures its positive side, and as a result, it causes wildness and
numerous obstacles. But on Purim, when we drink and take joy in the
salvation of Hashem, remembering the miracle that was done by means of
the feast, the positive sides of drinking are revealed.” --Rabbi Eliezer
Melamed (Israel National News, March 3, 2012).
Alexander Hislop penned a best-selling book, The Two Babylons,
which is a staple volume in some Protestant households. It is full of
quotes and illustrations purporting to show that Roman Catholicism is
allegedly a religion imbued with paganism. Most of these same
Catholic-despising Protestant households are stubbornly yoked to one
degree or another with the Talmud of Babylon and its rabbis, and will
not acknowledge or seriously consider books that document that Judaism
is a Babylonian belief system which uses the Bible only as a cover for
its heathen madness and occult delusions.
As
in 2003 under the administration of Republican President George W.
Bush, in 2012 under the administration of Democrat President Barack
Obama, pagan Purim continues to set the agenda for our nation’s foreign
policy.
AMALEK C'EST "LA HAINE" À L'ÉTAT PUR, dixit juif.org.
http://www.juif.org/le-mag/509,amalek.php
Amalek, c’est la haine à l’état pur,
irrationnelle, c’est l’ignorance, la cruauté, la barbarie, la lâcheté,
le non-respect de la vie, le mauvais, c’est le mal, c’est la volonté de
destruction et de mort, c’est l’ennemi juré du Peuple Juif. Aussi nous
avons le devoir de nous souvenir de ce que nous a fait Amalek, lorsque
nous sommes sortis d’Egypte, dans le désert alors que nous nous
dirigions vers le Sinaï pour recevoir la Torah.
Chaque génération se lève un ou plusieurs Amalek.
A notre époque, nous pouvons constater que ce concept Amalek est plus que jamais présent dans notre génération.
Puisse Ha Shem, en cette veille de Shabbat, et de la fête de Pourim nous délivrer du mal.
«Zakhor» : «Souviens-toi»
par Haim Nisenbaum
A quelques jours de la fête de Pourim,
le dernier Chabbat qui la précède, les synagogues retentissent d’une
lecture particulière, celle d’un texte de la Torah qui donne justement
son nom à ce jour : « Zakhor » ou « souviens-toi ». On le dit souvent,
de manière générale et avec juste raison, le peuple juif a une longue
mémoire. De fait, il a appris, depuis bien longtemps, à se souvenir car
il sait que l’oubli du passé engendre les avenirs dépourvus de sens.
Pourtant, il y a ici quelque chose de plus. Le souvenir auquel nous
sommes conviés avec une insistance remarquable est celui de la guerre
cruelle que fit Amalek aux Hébreux alors que, sortant d’Egypte, ceux-ci
marchaient vers le Sinaï et le Don de la Torah. Il est vrai que cette
histoire dépasse largement le niveau de l’anecdote. Ce n’est pas d’une
rencontre belliqueuse avec un autre peuple qu’il s’agit, comme il en
exista tant dans l’antiquité. Amalek incarne ici une véritable
opposition à tout ce qui est saint et, d’abord, au lien qui se tisse
alors entre D.ieu et Son peuple.
Si on relit ce texte à proximité
immédiate de Pourim, c’est parce que, selon la généalogie
traditionnelle, Amalek fut aussi l’ancêtre d’Haman et que, dans un cas
comme dans l’autre, leur tentative d’en finir avec le peuple juif et son
message aboutit à leur défaite et à leur disparition. L’ordre
« souviens-toi » prend ainsi tout son sens. Depuis lors, le peuple juif a
traversé bien des siècles, bien des pays et bien des cultures. Il a
parfois rencontré le bonheur et souvent l’épreuve. Il a parfois vécu
dans la sérénité et souvent dans l’incertitude. Et, lorsque les ombres
ont grandi, lorsque l’exil a semblé devenir plus obscur encore, il a su
ne pas désespérer, continuer son chemin avec le courage et la ténacité
que donnent l’expérience des choses déjà vécues et la conscience du but à
atteindre. Il a su voir la chute de ceux qui voulaient sa perte.
Alors que Pourim se lève à l’horizon,
tel une indépassable lumière, les échos de cette histoire résonnent à
nos oreilles avec un bruit familier, presque comme si l’on parlait
d’événements de notre temps. Ce n’est guère étonnant : la Torah
n’est-elle pas parole d’éternité ? Il existe toujours des « Amalek » ou
des « Haman » que le peuple juif dérange par sa fidélité et sa
constance. Prêts à tout, ils n’ont de cesse que d’éteindre sa voix. Nous
savons qu’ils n’y parviendront pas. Eternellement libre, le peuple juif
reste lui-même. Ne renonçant jamais à son héritage spirituel ni à sa
mission, il sait que, derrière les nuages qui s’amoncellent, le soleil
brille toujours. Il sait que le sort de l’obscurité est de s’évanouir et
qu’inéluctablement, la lumière vaincra. Pourim n’est-il pas le temps de
la joie ?
La Rédac souhaite à tous une excellente
fête de Pourim dans la Joie, et que ceux qui fomentent contre D.ieu et son
peuple reçoivent le sort en retour de ce qu’ils voulaient nous
infliger.
Bénis soient ceux qui bénissent Israël
VIDEO - Within Israel: Incite to Hate Amalek reference @29:30
Mamilla – 614 : Le plus grand massacre juif de chrétiens est occulté par Jérusalem !
Les médias israéliens font en ce moment assaut
d’invectives contre la venue du pape en Terre Sainte et des
personnalités locales, qualifiées de politiques, multiplient les
déclarations hostiles sinon haineuses à l’encontre des chrétiens, à la
veille de l’arrivée de François.
http://vudefrance.fr/articles/mais-faites-les-taire
C’est pourquoi, il n’est pas inutile d’évoquer le massacre d’au moins 65 000 prisonniers chrétiens rachetés par les juifs aux tribus arabes d’alentour, pour être massacrés par leurs soins dans le réservoir de Mamilla…
Ce chiffre est effarant compte tenu de la population de l’époque qui montre la volonté clairement affichée d’extermination des chrétiens.
L’archéologue israélien Ronny Reich écrit : « Ils ont probablement été vendus au plus offrant. [Selon certaines sources,] les captifs chrétiens du réservoir de Mamilla ont été achetés par des Juifs et mis à mort sur le champ ». Témoin oculaire, Strategius de Saint-Sabas, nous donne un compte rendu plus précis : « Les Juifs ont payé une grasse rançon aux soldats perses pour s’emparer des Chrétiens et les ont massacrés avec délectation au réservoir de Mamilla qui débordait de sang ».
Il y aura cette année 1400 ans !
Site historique s’il en est, le réservoir de Mamilla – créé à l’époque de Ponce Pilate pour répondre aux besoins en eau de la population- est aujourd’hui bordé par un quartier en rénovation, ce qui a été l’occasion pour les autorités israéliennes de détruire sciemment les restes archéologiques attestant du massacre : ce haut lieu de martyre chrétien est devenu… un hôtel cinq étoiles !
Verra-t-on le pape François exiger des excuses du gouvernement sioniste pour cette barbarie ?
On peut en douter…Et puis bien sûr “on ” expliquera que c’est une histoire “inventée” pour nuire aux juifs…
Même si les descriptions et compte-rendu rédigés par les archéologues israéliens responsables des fouilles sont sans équivoque.
Vu de France se devait d’évoquer ce triste anniversaire du plus grand massacre programmé de chrétiens de l’histoire, perpétré il y a 1400 ans…
(Un autre suivra, mais pas en Palestine, 10 ans plus tard… nous en reparlerons !)
Nous laisserons pour cela la parole à Israël Shamir qui a écrit à ce sujet des pages exceptionnelles
http://www.israelshamir.net/French/mamilla.shtml
VdF
Tout va très vite de nos jours. Hier
encore, c’est tout juste si nous osions qualifier « d’apartheid » la
politique israélienne de discrimination officielle à l’égard des
Palestiniens. Aujourd’hui, tandis que les chars et les missiles de
Sharon pilonnent des villes et des villages sans défense, le terme
suffit à peine à exprimer la réalité. Désormais, rien ne justifie plus
qu’on s’en prévale pour insulter les tenants de la suprématie blanche à
l’instar de l’Afrique du Sud. Après tout, ces Blancs n’ont pas employé
de canons ni de chars contre les indigènes, pas plus qu’ils n’ont
assiégé Soweto. Ils n’ont pas refusé de reconnaître l’humanité de leurs
cafres. Mais les tenants de la suprématie juive, eux, n’ont pas hésité à
sauter le pas. Par un coup de baguette magique, ils nous ramènent à
l’époque de Josué et de Saül.
La quête du mot juste se poursuit. Non sans courage, Robert Fisk propose de qualifier les événements de Palestine de « guerre civile ». Si c’est cela une guerre civile, alors on peut dire que l’abattage d’un agneau est une corrida. La disparité entre les forces en présence est tout simplement trop forte. Non, vous autres citoyens de Virginie, il ne s’agit pas d’une guerre civile mais d’un génocide rampant.
C’est à ce moment, dans notre saga, que le bon Juif est censé sortir son mouchoir et s’exclamer : « Comment se peut-il que nous, éternelles victimes de persécutions, commettions de tels crimes ! ». Eh bien, cessez de retenir votre souffle dans l’attente d’un tel discours. On a déjà vu ça et il est probable que cela se reproduira.
Les Juifs ne sont pas plus assoiffés de sang que le reste de l’humanité. Mais l’idée folle d’être le « Peuple élu », la notion de suprématie d’une race ou d’une religion sont des moteurs de génocide. Si vous croyez que Dieu a choisi votre peuple pour gouverner le monde, si vous pensez que les autres ne sont que des sous-hommes, vous serez punis par ce même Dieu dont vous aurez en vain invoqué le nom. Il ne vous transformera pas en charmante petite grenouille mais en assassin délirant.
Quand, dans les années 30, les Japonais ont eu vent de l’existence de cette pathologie, ils ont violé Nankin et dévoré le foie de leurs prisonniers. Imbus de leur complexe de supériorité aryenne, les Allemands ont accumulé les cadavres à Babi Yar. Ayant lu attentivement Josué et le Livre des Juges, les pères pèlerins, fondateurs des Etats-Unis, ont voulu ceindre leur front de la couronne des « Élus » et ce faisant, ils ont pratiquement réussi à exterminer les peuples indigènes d’Amérique.
Les Juifs ne font pas exception. A la sortie de Jérusalem dite « Porte de Jaffa », existait autrefois une petite agglomération du nom de Mamilla, qui a été détruite il n’y a pas si longtemps par des promoteurs immobiliers. A la place, on trouve aujourd’hui un monstrueux « village » accueillant les très grosse fortunes, contigu au luxueux hôtel Hilton. Un peu plus loin, s’étendent le vieux cimetière de Mamilla où repose la noblesse arabe, et le réservoir d’eau de Mamilla que Ponce Pilate avait fait aménager. Au cours des travaux de génie civil, les ouvriers sont tombés sur une caverne funéraire abritant des centaines de crânes et d’os. Cette caverne était ornée d’une croix et d’une inscription : « Dieu seul sait leurs noms ». La Revue d’archéologie biblique éditée par le Juif américain Herschel Shanks a publié une longue narration[i] de cette découverte que l’on doit à l’archéologue israélien Ronny Reich.
C’est en 614 après Jésus-Christ, année la plus effroyable de l’histoire de la Palestine avant le XXe siècle, que les défunts ont été amenés pour y dormir du sommeil du juste. Dans son ouvrage intitulé Historical Geography of Palestine, l’universitaire écossais, Adam Smith, écrit qu’encore aujourd’hui, l’effroyable dévastation de 614 est visible sur le terrain. Les blessures n’ont jamais pu se refermer.
En 614, la Palestine faisait partie de l’Empire byzantin, qui avait succédé à l’Empire romain. C’était une terre prospère, à prédominance chrétienne, où l’agriculture était bien développée, les eaux canalisées et les terrasses soigneusement aménagées. Les pèlerins affluaient en masse vers les Lieux saints, et les édifices construits par Constantin, le Saint-Sépulcre et l’Ascension au mont des Oliviers figuraient parmi les merveilles du monde construites par l’homme. Huit monastères égayaient les étendues sauvages de Judée. On y collectionnait des manuscrits précieux et l’on y priait. Les Pères de l’Église, Saint Jérôme de Bethléem et Origène de Césarée, vivaient encore dans les mémoires.
En plein milieu vivait aussi une petite communauté juive, fort riche, qui s’était installée principalement à Tibériade et sur les rives du Lac. Ses docteurs venaient juste d’achever leur version du Talmud qui codifiait leur foi, le judaïsme rabbinique. Pour autant, chaque fois qu’ils avaient besoin de directives, ils s’en remettaient à la communauté juive dominante de la Babylone perse.
En 614, les Juifs de Palestine se sont alliés à leurs coreligionnaires babyloniens pour prêter main forte aux Perses dans leur conquête de la Terre sainte. A la suite de la victoire perse, les Juifs ont perpétré un holocauste massif des Gentils de Palestine. Ils ont incendié les églises et les monastères, tué les moines et les prêtres, et brûlé les Livres. La charmante basilique des Poissons et des Pains de Tabgha, l’Ascension sur le Mont des Oliviers, Saint Étienne, en face de la Porte de Damas, et Hagia Sion sur la colline du même nom ne sont que quelques exemples parmi les plus notables de l’éradication des édifices religieux De fait, très peu d’églises ont survécu à l’attaque. Laure de Saint Sabas, site extraordinaire niché dans la vallée sans fond du Wadi an-Nar, n’a dû son salut qu’à sa situation reculée et aux rochers escarpés qui l’environnent. L’église de la Nativité a survécu par miracle : lorsque les Juifs ont ordonné sa destruction, les Perses ont regimbé. Ils avaient cru voir dans la mosaïque représentant les rois mages au-dessus du linteau le portrait de quelque roi perse.
Mais le pire de ces crimes n’est pas cette dévastation. Lorsque Jérusalem s’est rendue aux Perses, des milliers d’habitants chrétiens se sont retrouvés prisonniers de guerre et ont été menés, tels un troupeau conduit à l’abattoir, tout près du réservoir de Mamilla. L’archéologue israélien Ronny Reich écrit : « Ils ont probablement été vendus au plus offrant. [Selon certaines sources,] les captifs chrétiens du réservoir de Mamilla ont été achetés par des Juifs et mis à mort sur le champ ». Témoin oculaire, Strategius de Saint-Sabas, nous donne un compte rendu plus précis : « Les Juifs ont payé une grasse rançon aux soldats perses pour s’emparer des Chrétiens et les ont massacrés avec délectation au réservoir de Mamilla qui débordait de sang ». Rien qu’à Jérusalem, les Juifs ont massacré 60 000 chrétiens palestiniens. A l’époque, la Terre ne comptait probablement que quelque 50 millions d’habitants, soit 100 fois moins qu’aujourd’hui. Quelques jours plus tard, ayant compris l’ampleur du massacre, les soldats perses ont empêché les Juifs de poursuivre leurs exactions.
Il faut rendre justice à l’archéologue israélien Ronny Reich dans la mesure où il n’a pas cherché à imputer les massacres aux Perses, comme cela se fait couramment aujourd’hui. Il admet que « l’Empire perse ne reposait pas sur des principes religieux et était effectivement enclin à la tolérance religieuse ». Il est évident que ce brave homme aurait quelques difficultés à publier des articles dans le New York Times. Pourtant, Deborah Sonntag, correspondante de ce journal en Israël, n’hésiterait pas à décrire ce massacre comme « un acte de représailles des Juifs souffrant sous la férule des Chrétiens ».
L’holocauste des Palestiniens chrétiens de 614 a fait l’objet d’une volumineuse documentation. Il est décrit dans des ouvrages anciens comme les trois volume de l’Histoire des Croisades de Runciman, par exemple. Quant aux guides modernes et aux livres d’Histoire, la censure est passée par là. C’est bien dommage car si on ne sait pas ce qu’il en est, il est impossible de comprendre les dispositions du traité conclu en 638 entre les habitants de Jérusalem et le calife Omar ibn Khattab. Dans le Sulh al Quds, nom sous lequel on connaît ce traité de capitulation, le patriarche Sofronius exige, et le puissant dirigeant arabe accepte, de soustraire la population de Jérusalem à la férocité des Juifs.
Après la conquête arabe, une majorité de Palestiniens juifs ont accepté le message de l’Envoyé d’Allah, tout comme la majorité des Palestiniens chrétiens quoique pour des motifs différents. Pour les Chrétiens du cru, l’Islam était une sorte de christianisme nestorien sans les icônes, sans l’intervention de Constantinople et sans les Grecs. (Jusqu’à ce jour, la domination grecque de l’Église palestinienne continue de poser problème aux Chrétiens de la région).
Aux yeux du tout venant des Juifs de la région, l’Islam n’était qu’un retour à la foi d’Abraham et de Moïse. Il faut bien reconnaître que, de toute façon, ces gens-là étaient incapables d’appréhender les complexités de la nouvelle foi babylonienne. La majorité d’entre eux se sont fait musulmans et se sont mélangés à la population de Palestine. D’ailleurs, l’adaptation des Juifs à l’Islam ne s’est pas arrêtée au VIIe siècle. Mille ans plus tard, soit au XVIIe siècle, les grands leaders spirituels de la communauté séfarade nouvellement fondée en Palestine, Sabbatai Zevi et Nathan de Gaza, héritiers de la glorieuse tradition mythique espagnole d’Ari, le Saint de Safed, ont également embrassé « la loi de la miséricorde », nom qu’ils donnaient à l’Islam. Leurs descendants, compagnons d’ Ataturk, ont d’ailleurs sauvé la Turquie de l’assaut des troupes européennes pendant la première Guerre mondiale.
Pourquoi les Juifs d’aujourd’hui se sentiraient-ils coupables des méfaits de leurs ancêtres ? Aucun fils n’est responsable des péchés de son père. Israël aurait pu transformer le charnier de Mamilla, sa chapelle byzantine et ses mosaïques, en un petit mémorial du souvenir, rappelant à ses citoyens une page effroyable de l’histoire de leur terre, mais aussi les dangers de la suprématie génératrice de génocide. Pourtant, les autorités israéliennes ont préféré démolir le tombeau et le transformer en parking. Précisons que nul ne s’est insurgé contre cette démarche.
Les dépositaires de la conscience juive, Amos Oz et d’autres, ont bien élevé des objections contre la destruction de vestiges de l’Antiquité, mais à aucun moment contre celle du tombeau de Mamilla. En revanche, ils ont fait circuler une pétition à l’encontre des gardiens du complexe religieux du Haram as-Sharif pour avoir creusé une tranchée de quelques centimètres afin de poser une nouvelle canalisation. Peu leur importait que, dans une page de chroniques et de commentaires du quotidien Haaretz, le principal archéologue israélien de la région eût nié que les travaux à la mosquée aient quoi que ce soit à voir avec la science. Ils se sont obstinés à les décrire comme « un acte barbare des musulmans dans le but d’éradiquer le patrimoine juif de Jérusalem ». A mon grand étonnement – et à mon grand regret – j’ai constaté que le nom de Ronnie Reich figurait parmi les signataires. On aurait pu penser que lui, au moins, aurait su leur dire qui avait éradiqué les vestiges du patrimoine juif du réservoir de Mamilla.
Pourquoi ai-je voulu raconter l’histoire du bain de sang de Mamilla ? Parce qu’il n’y a rien de plus dangereux que le pharisaïsme et le sentiment de victimisation perpétuelle, confortés par une vision unilatérale de l’Histoire. Là encore, les Juifs ne font pas exception. Eric Margolis du Toronto Sun[ii] a parlé dans ses articles des Arméniens rendus furieux par l’histoire de leur propre holocauste. C’est ainsi qu’ils ont massacré leurs pacifiques voisins d’Azerbaïdjan par milliers dans les années 1990 et provoqué l’exil de 800 000 habitants de la région, qui n’étaient pas Arméniens. Margolis conclut en disant « il est temps de reconnaître toutes les horreurs du monde ».
Lorsqu’elle est censurée, l’Histoire présente une image biaisée de la réalité. Admettre le passé est une étape incontournable sur la voie de l’équilibre mental. Pour avoir admis les crimes de leurs pères et s’être confrontés à leurs défaillances morales, les Allemands et les Japonais sont devenus des peuples plus humbles, moins orgueilleux, proches du reste de l’humanité. Mais nous autres, Juifs, ne sommes jusqu’à présent jamais parvenus à exorciser l’esprit hautain d’un peuple qui se veut « élu », et c’est pourquoi nous nous trouvons face à une situation parfaitement insoluble.
Tout cela pour dire que l’idée de notre suprématie se perpétue et continue de nous conduire au génocide. En 1982, Amos Oz[iii] avait rencontré un Israélien qui partageait avec lui le fantasme de devenir une sorte de Hitler juif pour les Palestiniens. Or, lentement, ce rêve est en train de devenir réalité.
En première page du quotidien Haaretz est parue une publicité [iv], qui n’était autre qu’une fatwa signée par un groupe de rabbins. Ces rabbins proclamaient l’identification théologique d’Ismaël (c’est-à-dire les Arabes) à « Amalek ». Dans la Bible, « Amalek » est le nom d’une tribu qui a donné du fil à retordre aux enfants d’Israël. Dans cette histoire, le Dieu d’Israël ordonne à son Peuple d’exterminer totalement cette tribu sans épargner son bétail. Mais le roi Saul a bâclé le travail. Bien sûr, il a exterminé tous ces gens mais il a oublié de tuer les jeunes filles nubiles qui n’avaient pas encore contracté mariage. Cette « erreur » lui a coûté sa couronne. De nos jours, l’obligation d’exterminer le peuple d’Amalek demeure inscrite dans la doctrine juive quoique personne, pendant des siècles, n’ait associé une nation vivante à la tribu maudite.
Il est pourtant une exception qui prouve à quel point cette sentence est dangereuse. A la fin de la deuxième Guerre mondiale, un certain nombre de Juifs, dont feu le Premier ministre Menachem Begin, ont voulu voir dans les Allemands l’incarnation de la tribu d’Amalek. De fait, Abba Kovner, juif pieux fervent socialiste et combattant contre les Nazis, avait, en 1945, ourdi un complot visant à empoisonner le réseau d’adduction d’eau des villes allemandes et à tuer « six millions d’Allemands ». Kovner s’est procuré du poison auprès de celui qui allait devenir le Président d’Israël, Efraim Katzir. Ce dernier avait cru comprendre que l’intention de Kovner n’était que d’empoisonner « quelques » milliers de prisonniers de guerre allemands. Fort heureusement le complot a été éventé et des officiers britanniques ont arrêté Kovner dans un port européen. Cette histoire a été publiée l’an dernier en Israël, dans une biographie de Kovner rédigée par le Professeur Dina Porat, directrice du Centre de recherches sur l’antisémitisme à l’université de Tel-Aviv[v].
Pour dire les choses simplement, la fatwa des rabbins nous affirme que notre devoir religieux est de tuer tous les Arabes, y compris les femmes, les enfants et le bétail, et de n’épargner quiconque, pas même les chats. Pourtant, le quotidien libéral Haaretz, dont le rédacteur en chef et le propriétaire sont suffisamment instruits pour comprendre la fatwa, n’ont pas hésité à publier cet appel.
Récemment, certains militants pro-palestiniens m’ont critiqué pour avoir collaboré avec l’hebdomadaire russe Zavtra dans lequel les opinions exprimées sont plutôt minoritaires, et pour avoir cité l’hebdomadaire américain Spotlight. Je me demande pourquoi ils ne m’ont pas blâmé d’avoir écrit dans Haaretz. Pour autant que je sache, ni Zavtra ni Spotlight n’ont jamais appelé au génocide.
Il serait injuste de jeter l’opprobre exclusivement sur Haaretz. Le Washington Post, autre journal juif à fort tirage, a publié un appel tout aussi passionné prônant le génocide, signé Charles Krauthammer[vi]. Ne pouvant tabler sur la connaissance de la bible de son lectorat, cet adepte du roi Saül renvoie au massacre des troupes irakiennes en déroute perpétré par le général Colin Powell à la fin de la guerre du Golfe. Krauthammer cite les propres termes de Powell parlant de l’armée irakienne. « D’abord, nous allons leur couper la route, et ensuite nous allons tuer ça ». Pour Krauthammer, qui choisit avec soin ses citations, une multitude d’Arabes assassinés ne mérite pas que l’on humanise l’expression en parlant « d’eux ». Il se contente de dire « ça ». Aux derniers stades de la guerre du Golfe, des Irakiens désarmés faisant retraite ont été assassinés en masse et de sang froid par l’armée de l’Air américaine, leurs cadavres ont été enterrés au bulldozer dans le sable du désert, dans d’immenses charniers qui ne portent pas de nom. Selon les estimations, les victimes de cette hécatombe se chiffreraient entre cent mille et un demi million. Dieu seul sait leur nom…
Krauthammer souhaiterait que ce « haut fait » fût reproduit en Palestine. D’ailleurs, l’armée israélienne a déjà divisé « ça » en soixante-dix lots. Maintenant « ça » est prêt pour le grand massacre. « Tuez-moi ça » revendique Krauthammer dans le feu de la passion. Il craint probablement que les Perses veuillent à nouveau enrayer le bain de sang avant que le réservoir de Mamilla ne déborde. Si nous avons quelque chose à espérer, notre espoir est à la mesure de nos craintes.
[i] BAR, 1996, v 22 No 2
[ii] 22.04.2001
[iii] Here and there in the Land of Israel, Amos Oz
[iv] 21 novembre, 2000
[v] Haaretz, 28 avril 2001
[vi] Washington Post, 20 avril 2001
http://vudefrance.fr/articles/mais-faites-les-taire
C’est pourquoi, il n’est pas inutile d’évoquer le massacre d’au moins 65 000 prisonniers chrétiens rachetés par les juifs aux tribus arabes d’alentour, pour être massacrés par leurs soins dans le réservoir de Mamilla…
Ce chiffre est effarant compte tenu de la population de l’époque qui montre la volonté clairement affichée d’extermination des chrétiens.
L’archéologue israélien Ronny Reich écrit : « Ils ont probablement été vendus au plus offrant. [Selon certaines sources,] les captifs chrétiens du réservoir de Mamilla ont été achetés par des Juifs et mis à mort sur le champ ». Témoin oculaire, Strategius de Saint-Sabas, nous donne un compte rendu plus précis : « Les Juifs ont payé une grasse rançon aux soldats perses pour s’emparer des Chrétiens et les ont massacrés avec délectation au réservoir de Mamilla qui débordait de sang ».
Il y aura cette année 1400 ans !
Site historique s’il en est, le réservoir de Mamilla – créé à l’époque de Ponce Pilate pour répondre aux besoins en eau de la population- est aujourd’hui bordé par un quartier en rénovation, ce qui a été l’occasion pour les autorités israéliennes de détruire sciemment les restes archéologiques attestant du massacre : ce haut lieu de martyre chrétien est devenu… un hôtel cinq étoiles !
Verra-t-on le pape François exiger des excuses du gouvernement sioniste pour cette barbarie ?
On peut en douter…Et puis bien sûr “on ” expliquera que c’est une histoire “inventée” pour nuire aux juifs…
Même si les descriptions et compte-rendu rédigés par les archéologues israéliens responsables des fouilles sont sans équivoque.
Vu de France se devait d’évoquer ce triste anniversaire du plus grand massacre programmé de chrétiens de l’histoire, perpétré il y a 1400 ans…
(Un autre suivra, mais pas en Palestine, 10 ans plus tard… nous en reparlerons !)
Nous laisserons pour cela la parole à Israël Shamir qui a écrit à ce sujet des pages exceptionnelles
http://www.israelshamir.net/French/mamilla.shtml
VdF
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Le Réservoir De Mamilla
La quête du mot juste se poursuit. Non sans courage, Robert Fisk propose de qualifier les événements de Palestine de « guerre civile ». Si c’est cela une guerre civile, alors on peut dire que l’abattage d’un agneau est une corrida. La disparité entre les forces en présence est tout simplement trop forte. Non, vous autres citoyens de Virginie, il ne s’agit pas d’une guerre civile mais d’un génocide rampant.
C’est à ce moment, dans notre saga, que le bon Juif est censé sortir son mouchoir et s’exclamer : « Comment se peut-il que nous, éternelles victimes de persécutions, commettions de tels crimes ! ». Eh bien, cessez de retenir votre souffle dans l’attente d’un tel discours. On a déjà vu ça et il est probable que cela se reproduira.
Les Juifs ne sont pas plus assoiffés de sang que le reste de l’humanité. Mais l’idée folle d’être le « Peuple élu », la notion de suprématie d’une race ou d’une religion sont des moteurs de génocide. Si vous croyez que Dieu a choisi votre peuple pour gouverner le monde, si vous pensez que les autres ne sont que des sous-hommes, vous serez punis par ce même Dieu dont vous aurez en vain invoqué le nom. Il ne vous transformera pas en charmante petite grenouille mais en assassin délirant.
Quand, dans les années 30, les Japonais ont eu vent de l’existence de cette pathologie, ils ont violé Nankin et dévoré le foie de leurs prisonniers. Imbus de leur complexe de supériorité aryenne, les Allemands ont accumulé les cadavres à Babi Yar. Ayant lu attentivement Josué et le Livre des Juges, les pères pèlerins, fondateurs des Etats-Unis, ont voulu ceindre leur front de la couronne des « Élus » et ce faisant, ils ont pratiquement réussi à exterminer les peuples indigènes d’Amérique.
Les Juifs ne font pas exception. A la sortie de Jérusalem dite « Porte de Jaffa », existait autrefois une petite agglomération du nom de Mamilla, qui a été détruite il n’y a pas si longtemps par des promoteurs immobiliers. A la place, on trouve aujourd’hui un monstrueux « village » accueillant les très grosse fortunes, contigu au luxueux hôtel Hilton. Un peu plus loin, s’étendent le vieux cimetière de Mamilla où repose la noblesse arabe, et le réservoir d’eau de Mamilla que Ponce Pilate avait fait aménager. Au cours des travaux de génie civil, les ouvriers sont tombés sur une caverne funéraire abritant des centaines de crânes et d’os. Cette caverne était ornée d’une croix et d’une inscription : « Dieu seul sait leurs noms ». La Revue d’archéologie biblique éditée par le Juif américain Herschel Shanks a publié une longue narration[i] de cette découverte que l’on doit à l’archéologue israélien Ronny Reich.
C’est en 614 après Jésus-Christ, année la plus effroyable de l’histoire de la Palestine avant le XXe siècle, que les défunts ont été amenés pour y dormir du sommeil du juste. Dans son ouvrage intitulé Historical Geography of Palestine, l’universitaire écossais, Adam Smith, écrit qu’encore aujourd’hui, l’effroyable dévastation de 614 est visible sur le terrain. Les blessures n’ont jamais pu se refermer.
En 614, la Palestine faisait partie de l’Empire byzantin, qui avait succédé à l’Empire romain. C’était une terre prospère, à prédominance chrétienne, où l’agriculture était bien développée, les eaux canalisées et les terrasses soigneusement aménagées. Les pèlerins affluaient en masse vers les Lieux saints, et les édifices construits par Constantin, le Saint-Sépulcre et l’Ascension au mont des Oliviers figuraient parmi les merveilles du monde construites par l’homme. Huit monastères égayaient les étendues sauvages de Judée. On y collectionnait des manuscrits précieux et l’on y priait. Les Pères de l’Église, Saint Jérôme de Bethléem et Origène de Césarée, vivaient encore dans les mémoires.
En plein milieu vivait aussi une petite communauté juive, fort riche, qui s’était installée principalement à Tibériade et sur les rives du Lac. Ses docteurs venaient juste d’achever leur version du Talmud qui codifiait leur foi, le judaïsme rabbinique. Pour autant, chaque fois qu’ils avaient besoin de directives, ils s’en remettaient à la communauté juive dominante de la Babylone perse.
En 614, les Juifs de Palestine se sont alliés à leurs coreligionnaires babyloniens pour prêter main forte aux Perses dans leur conquête de la Terre sainte. A la suite de la victoire perse, les Juifs ont perpétré un holocauste massif des Gentils de Palestine. Ils ont incendié les églises et les monastères, tué les moines et les prêtres, et brûlé les Livres. La charmante basilique des Poissons et des Pains de Tabgha, l’Ascension sur le Mont des Oliviers, Saint Étienne, en face de la Porte de Damas, et Hagia Sion sur la colline du même nom ne sont que quelques exemples parmi les plus notables de l’éradication des édifices religieux De fait, très peu d’églises ont survécu à l’attaque. Laure de Saint Sabas, site extraordinaire niché dans la vallée sans fond du Wadi an-Nar, n’a dû son salut qu’à sa situation reculée et aux rochers escarpés qui l’environnent. L’église de la Nativité a survécu par miracle : lorsque les Juifs ont ordonné sa destruction, les Perses ont regimbé. Ils avaient cru voir dans la mosaïque représentant les rois mages au-dessus du linteau le portrait de quelque roi perse.
Mais le pire de ces crimes n’est pas cette dévastation. Lorsque Jérusalem s’est rendue aux Perses, des milliers d’habitants chrétiens se sont retrouvés prisonniers de guerre et ont été menés, tels un troupeau conduit à l’abattoir, tout près du réservoir de Mamilla. L’archéologue israélien Ronny Reich écrit : « Ils ont probablement été vendus au plus offrant. [Selon certaines sources,] les captifs chrétiens du réservoir de Mamilla ont été achetés par des Juifs et mis à mort sur le champ ». Témoin oculaire, Strategius de Saint-Sabas, nous donne un compte rendu plus précis : « Les Juifs ont payé une grasse rançon aux soldats perses pour s’emparer des Chrétiens et les ont massacrés avec délectation au réservoir de Mamilla qui débordait de sang ». Rien qu’à Jérusalem, les Juifs ont massacré 60 000 chrétiens palestiniens. A l’époque, la Terre ne comptait probablement que quelque 50 millions d’habitants, soit 100 fois moins qu’aujourd’hui. Quelques jours plus tard, ayant compris l’ampleur du massacre, les soldats perses ont empêché les Juifs de poursuivre leurs exactions.
Il faut rendre justice à l’archéologue israélien Ronny Reich dans la mesure où il n’a pas cherché à imputer les massacres aux Perses, comme cela se fait couramment aujourd’hui. Il admet que « l’Empire perse ne reposait pas sur des principes religieux et était effectivement enclin à la tolérance religieuse ». Il est évident que ce brave homme aurait quelques difficultés à publier des articles dans le New York Times. Pourtant, Deborah Sonntag, correspondante de ce journal en Israël, n’hésiterait pas à décrire ce massacre comme « un acte de représailles des Juifs souffrant sous la férule des Chrétiens ».
L’holocauste des Palestiniens chrétiens de 614 a fait l’objet d’une volumineuse documentation. Il est décrit dans des ouvrages anciens comme les trois volume de l’Histoire des Croisades de Runciman, par exemple. Quant aux guides modernes et aux livres d’Histoire, la censure est passée par là. C’est bien dommage car si on ne sait pas ce qu’il en est, il est impossible de comprendre les dispositions du traité conclu en 638 entre les habitants de Jérusalem et le calife Omar ibn Khattab. Dans le Sulh al Quds, nom sous lequel on connaît ce traité de capitulation, le patriarche Sofronius exige, et le puissant dirigeant arabe accepte, de soustraire la population de Jérusalem à la férocité des Juifs.
Après la conquête arabe, une majorité de Palestiniens juifs ont accepté le message de l’Envoyé d’Allah, tout comme la majorité des Palestiniens chrétiens quoique pour des motifs différents. Pour les Chrétiens du cru, l’Islam était une sorte de christianisme nestorien sans les icônes, sans l’intervention de Constantinople et sans les Grecs. (Jusqu’à ce jour, la domination grecque de l’Église palestinienne continue de poser problème aux Chrétiens de la région).
Aux yeux du tout venant des Juifs de la région, l’Islam n’était qu’un retour à la foi d’Abraham et de Moïse. Il faut bien reconnaître que, de toute façon, ces gens-là étaient incapables d’appréhender les complexités de la nouvelle foi babylonienne. La majorité d’entre eux se sont fait musulmans et se sont mélangés à la population de Palestine. D’ailleurs, l’adaptation des Juifs à l’Islam ne s’est pas arrêtée au VIIe siècle. Mille ans plus tard, soit au XVIIe siècle, les grands leaders spirituels de la communauté séfarade nouvellement fondée en Palestine, Sabbatai Zevi et Nathan de Gaza, héritiers de la glorieuse tradition mythique espagnole d’Ari, le Saint de Safed, ont également embrassé « la loi de la miséricorde », nom qu’ils donnaient à l’Islam. Leurs descendants, compagnons d’ Ataturk, ont d’ailleurs sauvé la Turquie de l’assaut des troupes européennes pendant la première Guerre mondiale.
Pourquoi les Juifs d’aujourd’hui se sentiraient-ils coupables des méfaits de leurs ancêtres ? Aucun fils n’est responsable des péchés de son père. Israël aurait pu transformer le charnier de Mamilla, sa chapelle byzantine et ses mosaïques, en un petit mémorial du souvenir, rappelant à ses citoyens une page effroyable de l’histoire de leur terre, mais aussi les dangers de la suprématie génératrice de génocide. Pourtant, les autorités israéliennes ont préféré démolir le tombeau et le transformer en parking. Précisons que nul ne s’est insurgé contre cette démarche.
Les dépositaires de la conscience juive, Amos Oz et d’autres, ont bien élevé des objections contre la destruction de vestiges de l’Antiquité, mais à aucun moment contre celle du tombeau de Mamilla. En revanche, ils ont fait circuler une pétition à l’encontre des gardiens du complexe religieux du Haram as-Sharif pour avoir creusé une tranchée de quelques centimètres afin de poser une nouvelle canalisation. Peu leur importait que, dans une page de chroniques et de commentaires du quotidien Haaretz, le principal archéologue israélien de la région eût nié que les travaux à la mosquée aient quoi que ce soit à voir avec la science. Ils se sont obstinés à les décrire comme « un acte barbare des musulmans dans le but d’éradiquer le patrimoine juif de Jérusalem ». A mon grand étonnement – et à mon grand regret – j’ai constaté que le nom de Ronnie Reich figurait parmi les signataires. On aurait pu penser que lui, au moins, aurait su leur dire qui avait éradiqué les vestiges du patrimoine juif du réservoir de Mamilla.
Pourquoi ai-je voulu raconter l’histoire du bain de sang de Mamilla ? Parce qu’il n’y a rien de plus dangereux que le pharisaïsme et le sentiment de victimisation perpétuelle, confortés par une vision unilatérale de l’Histoire. Là encore, les Juifs ne font pas exception. Eric Margolis du Toronto Sun[ii] a parlé dans ses articles des Arméniens rendus furieux par l’histoire de leur propre holocauste. C’est ainsi qu’ils ont massacré leurs pacifiques voisins d’Azerbaïdjan par milliers dans les années 1990 et provoqué l’exil de 800 000 habitants de la région, qui n’étaient pas Arméniens. Margolis conclut en disant « il est temps de reconnaître toutes les horreurs du monde ».
Lorsqu’elle est censurée, l’Histoire présente une image biaisée de la réalité. Admettre le passé est une étape incontournable sur la voie de l’équilibre mental. Pour avoir admis les crimes de leurs pères et s’être confrontés à leurs défaillances morales, les Allemands et les Japonais sont devenus des peuples plus humbles, moins orgueilleux, proches du reste de l’humanité. Mais nous autres, Juifs, ne sommes jusqu’à présent jamais parvenus à exorciser l’esprit hautain d’un peuple qui se veut « élu », et c’est pourquoi nous nous trouvons face à une situation parfaitement insoluble.
Tout cela pour dire que l’idée de notre suprématie se perpétue et continue de nous conduire au génocide. En 1982, Amos Oz[iii] avait rencontré un Israélien qui partageait avec lui le fantasme de devenir une sorte de Hitler juif pour les Palestiniens. Or, lentement, ce rêve est en train de devenir réalité.
En première page du quotidien Haaretz est parue une publicité [iv], qui n’était autre qu’une fatwa signée par un groupe de rabbins. Ces rabbins proclamaient l’identification théologique d’Ismaël (c’est-à-dire les Arabes) à « Amalek ». Dans la Bible, « Amalek » est le nom d’une tribu qui a donné du fil à retordre aux enfants d’Israël. Dans cette histoire, le Dieu d’Israël ordonne à son Peuple d’exterminer totalement cette tribu sans épargner son bétail. Mais le roi Saul a bâclé le travail. Bien sûr, il a exterminé tous ces gens mais il a oublié de tuer les jeunes filles nubiles qui n’avaient pas encore contracté mariage. Cette « erreur » lui a coûté sa couronne. De nos jours, l’obligation d’exterminer le peuple d’Amalek demeure inscrite dans la doctrine juive quoique personne, pendant des siècles, n’ait associé une nation vivante à la tribu maudite.
Il est pourtant une exception qui prouve à quel point cette sentence est dangereuse. A la fin de la deuxième Guerre mondiale, un certain nombre de Juifs, dont feu le Premier ministre Menachem Begin, ont voulu voir dans les Allemands l’incarnation de la tribu d’Amalek. De fait, Abba Kovner, juif pieux fervent socialiste et combattant contre les Nazis, avait, en 1945, ourdi un complot visant à empoisonner le réseau d’adduction d’eau des villes allemandes et à tuer « six millions d’Allemands ». Kovner s’est procuré du poison auprès de celui qui allait devenir le Président d’Israël, Efraim Katzir. Ce dernier avait cru comprendre que l’intention de Kovner n’était que d’empoisonner « quelques » milliers de prisonniers de guerre allemands. Fort heureusement le complot a été éventé et des officiers britanniques ont arrêté Kovner dans un port européen. Cette histoire a été publiée l’an dernier en Israël, dans une biographie de Kovner rédigée par le Professeur Dina Porat, directrice du Centre de recherches sur l’antisémitisme à l’université de Tel-Aviv[v].
Pour dire les choses simplement, la fatwa des rabbins nous affirme que notre devoir religieux est de tuer tous les Arabes, y compris les femmes, les enfants et le bétail, et de n’épargner quiconque, pas même les chats. Pourtant, le quotidien libéral Haaretz, dont le rédacteur en chef et le propriétaire sont suffisamment instruits pour comprendre la fatwa, n’ont pas hésité à publier cet appel.
Récemment, certains militants pro-palestiniens m’ont critiqué pour avoir collaboré avec l’hebdomadaire russe Zavtra dans lequel les opinions exprimées sont plutôt minoritaires, et pour avoir cité l’hebdomadaire américain Spotlight. Je me demande pourquoi ils ne m’ont pas blâmé d’avoir écrit dans Haaretz. Pour autant que je sache, ni Zavtra ni Spotlight n’ont jamais appelé au génocide.
Il serait injuste de jeter l’opprobre exclusivement sur Haaretz. Le Washington Post, autre journal juif à fort tirage, a publié un appel tout aussi passionné prônant le génocide, signé Charles Krauthammer[vi]. Ne pouvant tabler sur la connaissance de la bible de son lectorat, cet adepte du roi Saül renvoie au massacre des troupes irakiennes en déroute perpétré par le général Colin Powell à la fin de la guerre du Golfe. Krauthammer cite les propres termes de Powell parlant de l’armée irakienne. « D’abord, nous allons leur couper la route, et ensuite nous allons tuer ça ». Pour Krauthammer, qui choisit avec soin ses citations, une multitude d’Arabes assassinés ne mérite pas que l’on humanise l’expression en parlant « d’eux ». Il se contente de dire « ça ». Aux derniers stades de la guerre du Golfe, des Irakiens désarmés faisant retraite ont été assassinés en masse et de sang froid par l’armée de l’Air américaine, leurs cadavres ont été enterrés au bulldozer dans le sable du désert, dans d’immenses charniers qui ne portent pas de nom. Selon les estimations, les victimes de cette hécatombe se chiffreraient entre cent mille et un demi million. Dieu seul sait leur nom…
Krauthammer souhaiterait que ce « haut fait » fût reproduit en Palestine. D’ailleurs, l’armée israélienne a déjà divisé « ça » en soixante-dix lots. Maintenant « ça » est prêt pour le grand massacre. « Tuez-moi ça » revendique Krauthammer dans le feu de la passion. Il craint probablement que les Perses veuillent à nouveau enrayer le bain de sang avant que le réservoir de Mamilla ne déborde. Si nous avons quelque chose à espérer, notre espoir est à la mesure de nos craintes.
[i] BAR, 1996, v 22 No 2
[ii] 22.04.2001
[iii] Here and there in the Land of Israel, Amos Oz
[iv] 21 novembre, 2000
[v] Haaretz, 28 avril 2001
[vi] Washington Post, 20 avril 2001
Voltaire : "L'histoire juive est celle de Dieu même, et n'a rien de commun avec la faible raison de tous les peuples de l'univers".
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